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Situation nationale : L’UPC espère que le président du Faso ne promulguera pas le code électoral, « s’il est soucieux de la cohésion sociale »

Publié le dimanche 12 août 2018 à 12h49min

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Situation nationale : L’UPC espère que le président du Faso ne promulguera pas le code électoral, « s’il est soucieux de la cohésion sociale »

La fin des vifs débats sur le nouveau code électoral n’est visiblement pas pour demain. Après la sortie de l’institution Chef de file de l’opposition politique au Burkina Faso (CFOP-BF), celle de l’Alliance des partis et formations politiques de la majorité présidentielle (APMP), suivies du parti au pouvoir (et même d’organisations de la société civile), c’est au tour de la première force politique de l’opposition, l’UPC, de donner son avis sur le code électoral. Ce samedi, 11 août 2018 à son siège national sis au quartier Gounghin de Ouagadougou, les responsables du « parti du lion » ont haussé le ton contre ce nouvel instrument électoral.

Quatre jours après la sortie du parti au pouvoir, le MPP, pour défendre le nouveau code électoral, c’est la première force politique de l’opposition burkinabè qui dégaine, via également une conférence de presse, contre ce nouvel instrument et ses défenseurs. Au présidium, le porte-parole du parti, le député Moussa Zerbo (principal intervenant à la conférence) ; le secrétaire général, Rabi Yameogo ; le deuxième vice-président du parti, Adama Sosso et le quatrième vice-président en charge de la stratégie électorale de l’UPC, Hamadou Diemdoda Dicko. A leurs côtés, la présidente de l’Union nationale des femmes du parti, députée Henriette Zoumbaré.

Décor ainsi campé, les conférenciers n’ont pas fait dans la dentelle ; tant dans la déclaration liminaire que dans les réactions aux questions des journalistes. « L’UPC rejette ce texte (code électoral, ndlr) tripatouillé par le pouvoir du MPP et alliés, pour quatre principales raisons », ont-ils circonscrit dans la déclaration liminaire avant de s’attarder sur lesdites raisons.

Il s’agit, primo, de l’arrimage du fichier électoral de la CENI (Commission électorale nationale indépendante) au fichier de l’ONI (Office national d’identification). « En termes simples, la modification du Code électoral supprime les cartes l’électeur, et impose que le document servant d’enrôlement et de vote soit la CNIB ou le passeport. Ensuite, il n’y aura plus d’enrôlement physiquement dans les villages et secteurs, mais des envois de SMS et des appels téléphoniques à partir d’une liste annuelle que va fournir l’ONI et comportant de soi-disant nouveaux électeurs », ont exposé les conférenciers.

Forts de cela, ils estiment que le MPP peut donner deux, trois, cinq, et même dix CNIB à la même personne, avec des noms différents, pour qu’elle vote plusieurs fois dans des bureaux différents. Selon leurs explications, l’ONI étant sous contrôle du ministère de la Sécurité, « donc du MPP », le processus est susceptible de toutes les manipulations. « Ces derniers temps, le pouvoir en place a même provoqué une crise à l’ONI, pour pouvoir enlever ceux qui étaient-là et placer ses hommes fidèles », informent-ils, avant de s’interroger : « que cache cette situation ? ».

Toujours dans cette parenthèse, les conférenciers indiquent que la liste que l’ONI fournira à la CENI pour les envois de SMS peut compter des centaines de milliers de faux noms et de fausses adresses. « Personne ne sera là pour contrôler quoi que ce soit. L’ONI, contrôlé par le gouvernement et le MPP, peut aussi faire en sorte que les SMS soient envoyés à telles catégories de nouveaux électeurs favorables au MPP, et n’envoyer qu’à quelques personnes dans les milieux où le MPP est défavorisé », sondent les responsables du parti. Ces derniers rappellent au passage que la création de la CENI et l’organisation des élections par elle ont été le fruit d’une longue lutte de la classe politique pour retirer le processus électoral des mains de l’administration publique.

Tout en soulignant que leur parti ne remet nullement en cause la crédibilité du personnel de l’institution (ONI), les mandataires de l’UPC disent dénoncer ici « avec juste raison » la main politicienne qui y est derrière et qui peut tout faire dans le « noir total ».

En illustrations, le parti relève que « tous les Burkinabè n’ont pas forcément des téléphones portables » ; le taux d’analphabétisme étant évalué à plus de 70% (recensement général en 2006), l’envoi du SMS est à la fois inopportun et suspect ; les gens changent le plus souvent de numéros de téléphones ; le réseau téléphonique n’est pas de qualité dans plusieurs localités du pays. Toujours au titre des insuffisances liées à l’arrimage du fichier électoral de la CENI à celui de l’ONI, les conférenciers se sont adossés à l’article 53 du code électoral qui stipule que « la carte nationale d’identité du Burkina Faso ou le passeport ordinaire en cours de validité tient lieu de carte d’électeur.

La Commission électorale nationale indépendante prend les dispositions pratiques et techniques pour le recensement des majeurs détenteurs de la carte nationale d’identité du Burkina Faso ou du passeport. Il est délivré à l’électeur un document tenant lieu de récépissé identifiant son bureau de vote ». Le « parti du lion » s’interroge donc de savoir comment des récépissés, dont on parle, parviendront aux intéressés. « Ni l’opposition, ni la société civile, ne pourront avoir la preuve que les messages ont été envoyés ou pas à tels citoyens, et selon tel critère. On le voit bien, tout sera contrôlé par le MPP à travers le ministère de la Sécurité, et la CENI ne fera plus qu’accompagner les choses », perçoivent les animateurs de la conférence de presse.

Pour l’UPC donc, et avec ce qu’elle qualifie de « tripatouillage du code électoral », c’est le parti au pouvoir qui va décider des pourcentages respectifs. « C’est la fraude électronique qui se prépare », anticipent les responsables.

La deuxième raison qu’ils ont soulevée pour justifier l’hostilité au code électoral, tient au vote des Burkinabè de la diaspora. Ils ont ici indiqué que dans l’ancien instrument électoral, adopté sous la Transition, il était admis que parmi les documents de vote figurent la CNIB, le passeport et la carte consulaire biométrique et que les représentants du MPP, de l’UNIR/PS, du RDS, du PDS/Metba, et bien d’autres partis qui soutiennent aujourd’hui le pouvoir, « ont applaudi et voté cette réforme ». Ils ont également déclaré que « rien que l’année passée », les représentants du MPP et de la majorité présidentielle à la CENI ont proposé que la diaspora burkinabè puisse prendre part au vote avec l’un des trois documents que sont la CNIB, le passeport et la carte consulaire biométrique.

Ils ont en outre « rappelé aux dignitaires du MPP », que lorsqu’ils étaient encore du CDP, le rapport adopté en Conseil des ministres le 31 juillet 2013 sur l’opérationnalisation de la carte consulaire biométrique, ajouté aux différents rapports de la CENI, indique que cette dernière est conçue non seulement pour servir de CNIB, mais aussi pour servir au fichier électoral. « Donc, le mensonge gouvernemental consistant à dire que la carte consulaire n’est pas faite pour voter, tombe à l’eau. L’UPC rappelle au MPP et à ses griots, que nos compatriotes vivant en Côte d’Ivoire ont payé assez de tribut pour leur nationalité », ont-ils relevé. Tout en démontrant la fiabilité de la carte consulaire biométrique, l’UPC considère qu’en remettant en cause la nationalité de ces Burkinabè pour des intérêts électoralistes, c’est les livrer à des dangers incalculables.

L’UPC se dit également intrigué par les « contradictions flagrantes » relevées dans les sorties médiatiques des ministres du gouvernement. « Tels des enfants, les ministres eux-mêmes ne savent pas ce qu’ils racontent. On leur a ordonné de sortir défendre l’indéfendable, et chacun est allé juste dire ce qui lui vient à la tête », scandent-ils dans la déclaration liminaire. De leur avis, quand on est ministre, il faut prendre le soin de réfléchir sur les sujets « et quand on ne connaît pas, il faut se taire ».

« Nous causons également avec des camarades sincères du MPP, je le dis. Au niveau du MPP, il y a des gens qui sont sincères, avec qui nous causons et qui reconnaissent que, véritablement, il y a problème. Mais, malheureusement, ils sont dans un système où si tu dis que ce n’est pas bon, ils viendront dire que tu es avec l’opposition », confie le deuxième vice-président du parti, Adama Sosso.
Le troisième motif est relatif aux lieux de vote retenus par le nouveau code électoral.

« Dans le texte amendé en 2015, il était dit que le vote devait avoir lieu dans les ambassades et consulats, ou dans tout autre lieu en accord avec le pays hôte. Le MPP revient couper la dernière partie, pour dire que c’est seulement dans les ambassades et consulats. (…). Le Mali avait négocié par exemple en Côte d’Ivoire, plus de 300 bureaux de vote pour que ses ressortissants puissent voter cette année. Au Burkina, à la faveur du second tour de ce scrutin, prévu pour demain dimanche (12 août 2018, ndlr), les Maliens vivant ici bénéficient d’écoles gracieusement prêtées par les autorités burkinabè pour voter. Sauf cas de mauvaise foi, pourquoi notre gouvernement ne pourrait pas en faire autant ? », appuient les animateurs de la conférence.

Jaugeant la distance à parcourir par les Burkinabè dans certains pays pour pouvoir voter (si la loi restait en l’état), l’UPC est arrivé à la conclusion, sur ce point, que le parti au pouvoir multiplie les pièges pour empêcher la diaspora de pouvoir voter.
La quatrième raison tient à l’article 265 du code électoral qui indique que les cartes d’électeur obtenues après inscription sur présentation d’une pièce autre que la carte d’identité, demeurent jusqu’en 2021. Pour l’UPC, cette disposition implique que les Burkinabè de l’intérieur utiliseront des actes de naissance, des permis de conduire, des carnets de famille, des cartes de vaccination…, pour voter jusqu’en 2021. « Où se trouve donc l’équité entre Burkinabè (dont parle le gouvernement) dans le processus électoral ? », poursuivent Moussa Zerbo et ses camarades.

À en croire les responsables de l’UPC, la majorité a fait un « forcing », tout en sachant que ça ne passera pas. « On ne peut pas se permettre encore de gérer le pays comme avant l’insurrection... Les gens n’ont pas encore compris qu’il faut changer », avertit Adama Sosso. Pour ce dernier, le nouveau code électoral a été voté de manière calamiteuse. « Renseignez-vous, pas plus du tiers des députés du MPP ont lu le texte avant son adoption à l’Assemblée nationale », affirme le député Sosso.

Hamadou Diemdoda Dicko soutient dans le même élan qu’il faut un consensus, sinon il y aura des mécontentements ; le fichier électoral étant, selon lui, une question sensible. « On gagne une élection par quoi ? Par le fichier électoral », dit-il.
Même perception pour Rabi Yaméogo, qui pense que le « forcing » peut conduire le Burkina dans une situation qu’il n’a jamais connue en matière d’élections.

L’UPC dit donc soutenir pleinement la lutte que vient d’engager le CFOP-BF, à la fois contre le nouveau code électoral et la gouvernance du MPP de manière générale. « À cet effet, le parti appelle ses structures de l’intérieur et de la diaspora, ses militants et sympathisants, à respecter les directives du CFOP, et à se tenir prêts pour les manifestations qui auront lieu bientôt », ont-ils annoncé.

En regard de tous ces développements, l’UPC dit espérer que le président du Faso ne promulgue pas le nouveau code électoral, s’il est soucieux de la cohésion sociale.

Cette sortie a aussi servi de cadre aux conférenciers pour réagir aux propos du président par intérim du MPP qui qualifiait, lors de sa conférence du 7 août 2018, la position de l’opposition de ‘’film Western de mauvaise qualité’’.

Oumar L. Ouédraogo
Lefaso.net

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Vos commentaires

  • Le 12 août 2018 à 14:20, par papa En réponse à : Situation nationale : l’UPC espère que le président du Faso ne promulgue pas le code électoral, « s’il est soucieux de la cohésion sociale »

    Moi je voudrai que le president Roch sorte de son silence pour dire qu´il mettait fin au vote des Burkinabe de l´etranger et qu´enfin on en finisse avec cette agitation de l´opposition .C´est dommage que Zephirin Diabre se laisse manipuler comme un bambin par le CDP.

    • Le 13 août 2018 à 09:51, par Ultima R2 En réponse à : Situation nationale : l’UPC espère que le président du Faso ne promulgue pas le code électoral, « s’il est soucieux de la cohésion sociale »

      Zephirin est en réalité un opposant "brouette", qui a aidé à la chute du cdp, tout en transportant les résidus du cdp au pouvoir. Aujourd’hui il veut encore transporter ceux qu’il a contribuer à mettre à la poubelle au pouvoir. Comment peut il s’associer à ceux qu’il dénonçait hier et être crédible aux yeux de la masse populaire ? Non seulement il nous pique notre pognon à travers les financements que l’etat octroi à sa structure, en plus il nous prend pour des cons.

      Certains acteurs politiques ont bien raison de traiter une partie du peuple de "mouton". Même si je ne crois pas à la capacité du MPP (+ de 30 années dans les rouages du pouvoir) pour l’émergence du Burkina, je jure que Zeph (ex ministre de Blaise qui a contribué à privatiser certains joyaux du Burkina) devenu président, ne fera pas mieux que ceux qu’il dénonce.

      Avec le temps et les expériences, je constate que le principe de certaine démocratie est de proposer aux peuple le choix entre un loup et une hyène pour garder leur troupeaux. Au final c’est toujours le peuple qui se retrouve dépouillé et les loups en cavale. Les bon bergers qui se privent de tout pour protéger le troupeau sont toujours vilipendés, emprisonnés et généralement mis à mort.

      A quand le Burkina ?

      • Le 13 août 2018 à 12:04, par One smile En réponse à : Situation nationale : l’UPC espère que le président du Faso ne promulgue pas le code électoral, « s’il est soucieux de la cohésion sociale »

        cher Monsieur utumat R2 tous ce que vous dite va à l’encontre de la pure vérité. Zeph est et reste le meilleur meme si à cause d’une raison ou d’une autre les satan du pouvoir et de la cheferie font tous pour l’empecher d’arriver à destination. satan tant interne que externe. Pour avoir travailler avec l’homme au PNUD j sais qu’il est exigent et intransgant. ce qui lui a fallu le post à AREVA. Aussi c’est un intélligent qui croit que l’union donc le pardon seul peut consolider un dévéloppement fort et appréciable. pour des choses dont tu fais alusion, il faut bien t’enprendre au pouvoir en place qui devrait punir les auteurs des vols et crimes fait par le pouvoir de BC. Aussi croit moi le MPP sauf par triche a dejas raté la prochaine election. le CDP n’est qu’ un animateur de la scène politique. afin et enfin le pouvoir à l’UPC en 2020 car si le CDP croit se servir alors il veront le plat imaginaire de l’UPC. A bon attendeur cherche et tu trouvera afin de mieux comprendre.

        • Le 13 août 2018 à 17:50, par Mafoi En réponse à : Situation nationale : l’UPC espère que le président du Faso ne promulgue pas le code électoral, « s’il est soucieux de la cohésion sociale »

          Mais là,tu confonds les torchons et les serviettes.Parceque ton admirateur est exigeant,intransigeant,intelligent avec ses longs diplômes,alors mécaniquement c’est un excellent politicien.Très grosse erreur de ta part car si être une "bête" politique se mesurait à l’aune des diplômes,explique-moi pourquoi un autre surdiplômé comme Ablassé Ouédraogo qui fut aussi ministre et ayant aussi fait carrière à l’international n’est même pas fichu de se faire élire comme simple petit député dans son propre fief du plateau central ?C’est dire qu’on peut avoir de longs et gros diplômes mais être un minable politicien qui passe son temps à débiter des ablasseries et dans cette cancrerie politique,ton Zéphirin Diabré est entrain de ravir la vedette à Ablassé Ouédraogo.Wait and see comme disent les Anglais

    • Le 13 août 2018 à 14:56, par s En réponse à : Situation nationale : l’UPC espère que le président du Faso ne promulgue pas le code électoral, « s’il est soucieux de la cohésion sociale »

      Le cdp prépare son match retour avec son nouveau entraineur l upc mais il risque d être encore battu comme à l allé surtout qu il sera cette fois en déplacement.

  • Le 12 août 2018 à 14:25, par Ka En réponse à : Situation nationale : l’UPC espère que le président du Faso ne promulgue pas le code électoral, « s’il est soucieux de la cohésion sociale »

    Je rêve ! Est-ce vraiment les responsables de l’UPC ont envie de faire autre chose que s’opposer bêtement, c’est à dire refuser systématiquement tout ce qui risquerait de faire avancer le pays ? Est-ce que ces gens ont vraiment quelque chose de sérieuse, concrète et acceptable à proposer en dehors de cette stupide stratégie d’obstruction et de terre brûlée ?

    Moi qui est contre le vote de la diaspora pour 2020, par ce que l’stabilité et le manque de moyens de notre pays ne le permettent pas, et malgré la prétention et l’entêtement du président de maintenir sa promesse et aller droit au mur, je lui dit de faire ce qui est bien pour le pays sans tenir compte des états d’âme des uns et des autres, surtout pas un UPC qui patine et veut mettre le feu au pays. Seules comptent la paix et la stabilité pour aller vers le progrès et le développement avec une élection crédible et transparence faite avec des pièces d’identités fiables comme le passeport et la carte d’identité nationale.

    Maintenant je confirme que Zépherin Diabré est à l’écoute des revanchards obtus et sans imaginations du CDP qui souhaitent que ne rien ne change, que les choses restent en l’état pour servir leurs sales desseins dans la conquête du pouvoir. La raison de toute cette agitation sur la loi voté, est que ces revanchards savent que cette loi a débarrassée de tout ce qu’ils allaient utiliser avec les cartes consulaire pour truquer l’scrutin et redonner la crise Ivoirienne de 2011 au pays des hommes intègres.

    Si les cadres de l’UPC ne sont pas des intellectuels aussi fade et de base envolée, qu’ils fassent des propositions pour renforcer notre jeune démocratie qui veut s’enraciner avec une alternance politique saine voulu par le peuple et sa jeunesse, au lieu d’écouter des revanchards qui veulent mettre le feu au pays. L’histoire récente de notre pays nous a enseigné que ceux qui font plus de bruits sont les cancres du Faso dont la politique pour eux est un lieu de verbiage creux. Ou sont ces politiciens comme Kouanda, Yoda, aujourd’hui ? Messieurs les disciples de l’UPC, le Burkina de 2018 veut des politiques de l’action qui concrétisent leurs idées et démontrent leurs savoirs faire au lieu de porter des masques comme vous le faites pour redonner le pouvoir en 2020 aux charognards qui détruirons notre pays comme le favoritisme du MPP qui tue a petit feu notre pays.

    • Le 13 août 2018 à 11:14, par SAA En réponse à : Situation nationale : l’UPC espère que le président du Faso ne promulgue pas le code électoral, « s’il est soucieux de la cohésion sociale »

      Merci mon cher Ka pour cette pique à l’endroit de tous nos politiciens. Franchement c’est quoi ce théâtre de mauvais gout que l’UPC nous produit depuis le vote de la loi sur le code électoral ? Des gens qui se réclament des démocrates et ne cautionnent pas une loi voté à l’unanimité à l’AN ?. ZEPH, je ne cesserai de le dire à chaque fois que j’interviendrai à ton sujet sur ton alliance (avec le CDP) que tu viens de mettre fin à ta vie politique à l’image de ton nouvel ami du CFOP (Gilbert de l’ADF).
      Mon cher Ka, éclairez-moi si je n’ai pas raison de penser que maintenant que le plan du CDP, UPC, bref CFOP à travers le vote de la diaspora est tombé à l’eau, ils reviennent avec des menaces croyant amener le Président à reporter ledit vote.
      ZEPH, tu viens de hausser la cote de popularité du Président ROCK. Tu n’as pas su utilisé les tâtonnement du MPP pour te hisser. Que c’est dommage pour toi, car tu ne seras plus jamais Président. Quel dommage !!!!!

      • Le 13 août 2018 à 14:38, par Ka En réponse à : Situation nationale : l’UPC espère que le président du Faso ne promulgue pas le code électoral, « s’il est soucieux de la cohésion sociale »

        Mon jeune internaute SAA : Tu as complètement raison en disant que maintenant le plan du CDP, UPC, bref CFOP à travers le vote de la diaspora est tombé à l’eau, ils reviennent avec des menaces croyant amener le Président à reporter ledit vote. ‘’’’’C’est pourquoi je dis souvent que je comprends pourquoi l’Afrique continue à être le continent de toutes les calamités quand le niveau de réflexions de ses intellections politiciens comme ceux de l’UPC est aussi fade et de base envolée.’’’’ Ces disciples de l’UPC oublient que le peuple Burkinabé très averti par les crimes gratuits, la corruption à ciel ouvert, les tripatouillages des articles de loi, ce peuple a compris que dans une démocratie, le pouvoir ne se donne plus au plus offrant avec des miettes comme veut le faire l’introverti Blaise Compaoré qui a volé toute la caisse de l’état, et se la coule au bord de la Lagune à Abidjan en manipulant l’opposition, le pouvoir de 2020 s’arrachera dans la légalité des urnes et dans la non-violence. Et personne au Burkina, avec le masque que porte l’opposition actuelle, leur ambition est de prendre le pouvoir par tous les moyens, quitte à mettre le feu au pays que nous aimons tous. Merci de me lire jeune internaute SAA.

    • Le 13 août 2018 à 11:42, par Bagnard ! En réponse à : Situation nationale : l’UPC espère que le président du Faso ne promulgue pas le code électoral, « s’il est soucieux de la cohésion sociale »

      Toi Ka je lis souvent tes interventions. Tu es pour le MPP. Je ne dis pas que c’est interdit mais ne fait pas semblant pour te faire sage alors que c’est faux sage. Tu es avec MPP et tu ne peut pas tromper quelqu’un ici. Alors laisse les gens tranquille maintenant.

  • Le 12 août 2018 à 15:09, par Nobga En réponse à : Situation nationale : l’UPC espère que le président du Faso ne promulgue pas le code électoral, « s’il est soucieux de la cohésion sociale »

    Vous craignez quoi encore puisque vous avez introduit un recours en justice ? Il va le promulguer et la justice aussi fera son travail. L’opposition à la laisse guidon ne nous amera nulle part.

  • Le 12 août 2018 à 15:22, par LUI En réponse à : Situation nationale : l’UPC espère que le président du Faso ne promulgue pas le code électoral, « s’il est soucieux de la cohésion sociale »

    Vraiment hien ! On l’espère vivement ;comme ça on attendra 2030 ou 2035 pour l’expérimenter,avec d’autres cartes consulaire établis sur la base du cnib ou d’un certificat de nationalité pour anéantir en même temps toute velléité de fraude.

  • Le 12 août 2018 à 15:48, par Nabiiga En réponse à : Situation nationale : l’UPC espère que le président du Faso ne promulgue pas le code électoral, « s’il est soucieux de la cohésion sociale »

    De grâce que la récréation finisse, UPC. Assez c’est assez. Avancez au moins quelque chose de tangible, de raisonnable, de logique et qui n’est pas inspiré de la manigance politicienne mais bien pour le progrès de notre pays, nom de Dieu. Chaque jour que Dieu fait, vous vous mettez devant des micros rien que pour nous écraser les tympans.

  • Le 12 août 2018 à 16:00, par LE PENSEUR En réponse à : Situation nationale : l’UPC espère que le président du Faso ne promulgue pas le code électoral, « s’il est soucieux de la cohésion sociale »

    APPAREMMENT ZEPH S’EN FOU DES CONSEILS.IL PENSE QUE CE SONT DES TOCARDS QUI ÉCRIVENT SUR FASO.NET.LAISSEZ LE CONTINUER.

  • Le 12 août 2018 à 16:10, par Mafoi En réponse à : Situation nationale : l’UPC espère que le président du Faso ne promulgue pas le code électoral, « s’il est soucieux de la cohésion sociale »

    Si j’étais le président de Faso,je prendrai au mot ces guignols qui ne savent plus ce qu’ils racontent en ne promulguant la dite loi.D’ailleurs franchement ça me fera plaisir car j’ai toujours été contre ce vote des Burkinabè de l’extérieur pour 2 raisons très précises à savoir :
    - que son organisation qui sera certainement très calamiteuse coûtera néanmoins trop chère aux contribuables
    - qu’il se prépare et d’ailleurs le système est déjà mis en place pour une fraude massive à partir de la CI
    D’où cette fébrilité de ces politicards véreux qui passent leur temps à nous polluer l’air comme si maintenant ce sont les résultats des élections des Burkinabè de la CI qui doivent décider de l’avenir de ce pays puisque les dirigeants de ce parti en ont encore fait cas et pire,pour faire avaler leur pilule qui ne passe visiblement pas,ils n’ont rien trouvé de mieux que d’affirmer sans honte que nos compatriotes qui sont là bas seront persécutés si la carte consulaire est exclue comme document de vote.Si ce n’est pas du chantage,ça y ressemble.D’ailleurs pourquoi subitement ce retournement de veste de votre mentor Zephirin Diabré que vous semblez suivre comme des moutons et qui en 2013 était contre la carte consulaire pour les votes ?En fait votre Zéphirin Diabré me rappelle un certain Alassane Dramane Ouattara qui cherchait coûte que coûte à devenir président quels qu’en soient les moyens employés et les conséquences qui en découlent pour parvenir à ses fins.Il avait atteint son but avec plus de 3000 morts à enjamber.Alors mes chers dirigeants de l’upc,on vous attend mais avant d’atteindre le peuple il y aura d’abord un cadavre entre vous et vos alliés notamment le cdp.C’est dire que votre Zéphirin Diabré dans ses contorsions,a encore un très long chemin à parcourir pour arriver à Kossyam

  • Le 12 août 2018 à 16:24, par Amadou En réponse à : Situation nationale : L’UPC espère que le président du Faso ne promulguera pas le code électoral, « s’il est soucieux de la cohésion sociale »

    Qui peut me répondre. Et si l’insurrection n’avait pas marché ? Que seront aujourd’hui ZEPHIRIN, ROCK, ABLASSE et autres qui se tenaient la main. Juste pour rappeler à Zephirin que si le cdp revient au pouvoir donc Blaise il n’y aura plus de marches. Aussi je lui rappelle ou se trouve HENRI, LENGANI, NORBERT. Réfléchissons

  • Le 12 août 2018 à 17:23, par madi En réponse à : Situation nationale : L’UPC espère que le président du Faso ne promulguera pas le code électoral, « s’il est soucieux de la cohésion sociale »

    Dommage que l’UPC dont j’avais de l’admiration pour son président se livre à ce jeu morbide ; je n’ai jamais voter pour un parti, je n’aime pas beaucoup le MPP mais j’ai de la sympathie pour RMCK qui manifestement est de bonne

  • Le 12 août 2018 à 22:24, par Kô-tigui En réponse à : Situation nationale : L’UPC espère que le président du Faso ne promulguera pas le code électoral, « s’il est soucieux de la cohésion sociale »

    Bonsoir

    Je souhaite que l’UPC ait une démarche logique :
    primo, vous avez déserté l’hémicycle pour dire que vous vous opposez au projet de loi ;
    secundo, vous avez soumis au conseil constitutionnel, un recours ; et pendant que l’on n’a pas encore fini cet épisode, vous vous mettez à pleurnicher et démander la clémence du PF, en arguant que s’il veut la paix, il ne doit pas promulguer ladite loi.
    Je demande à l’UPC d’avoir de la constance dans les idées. Il fallait commencer par là. Ce n’est pas vos gémissements qui vont changer les choses. Vous avez deux ans pour sensibiliser les gens à s’établir les documents, toute autre voie est sans issue ! Vous avez menacé de faire des marches, allez-y !
    La loi sera promulguée, car c’est la volonté du peuple, exprimée par nos élus !!!

  • Le 12 août 2018 à 22:30, par mytibketa En réponse à : Situation nationale : L’UPC espère que le président du Faso ne promulguera pas le code électoral, « s’il est soucieux de la cohésion sociale »

    J’avoue que l’image que l’on pouvait avoir du chef de l’opposition se trouve maintenant terni par une prise de position en contradiction avec celle prise en 2013 et savamment argumentée.Comment peut on avoir un tel comportement et vouloir gérer tout un pays.L’ONI c’est l’état mais alors avec quelle structure lui il allait travailler ?le privé c’est brakina, c’est Areva. L’état délègue ses prérogatives à une structure pour ce qu’il pense disposer des compétences pour.La question qu’on peut se poser est la suivante. ; Diabré ne serait t’il pas un militant du CDP qui serait la dernière cartouche de Blaise qui rêve de revenir au pouvoir. Comme d’autres l’ont dit avant moi, le malheur de l’Afrique ce sont ses intellectuels, menteurs, anti-démocrates,et surtout rêvant d’accéder par toute forme de subterfuges au pouvoir pour ensuite le balancer le pays dans l’abîme de par leur incompétence et lâcheté. Sangoulé avait raison quand il disait que la Haute Volta est mal en ses fils.De toute façon le chien aboie la caravane passe.Il n’y aura ni insurrection et la loi sera promulgué et on verra.

  • Le 12 août 2018 à 22:31, par le pays va mieux En réponse à : Situation nationale : L’UPC espère que le président du Faso ne promulguera pas le code électoral, « s’il est soucieux de la cohésion sociale »

    Bande de vauriens. Des gens qui ne vivent que des intérêts égoïstes. Cette question du vote des Burkinabé n’est pas d’intérêt national à même de nécessiter des mouvements de protestations. Depuis 2015 et même hier encore, il y a eu plusieurs attaques terroristes contre notre chère patrie. On pleure presque hebdomadairement des morts de ces attaques. Cependant, curieusement personne de ces hypocrites n’a demandé aux gens de sortir manifester afin que le gouvernement prenne des résolutions fermes contre le massacre de la population. Il n’y a pas un problème au Burkina d’aujourd’hui qui menace l’intérêt national que ces attaques. Il n’y a que des gens comme vous qui ne serez pas à même de faire la part des choses. Zéphirin, Komboïgo et Cie me font pitié. Vous demandez à cette pauvre population qu’on tue à longueur de journée de sortir massivement contre un code électoral. Il n’y a pas plus injure à la population que ça. Je ne savais pas que Moussa Zerbo que j’ai connu à Bobo et estimais tant pendant les luttes de 2014 pour bouter Blaise hors de Kosyam sera dans cette merde.

  • Le 12 août 2018 à 23:38, par Dedegueba Sanon En réponse à : Situation nationale : L’UPC espère que le président du Faso ne promulguera pas le code électoral, « s’il est soucieux de la cohésion sociale »

    Entre Simon et vous la différence est bien mince, elle tiend à la " longueur de vos fourchettes lorsque vous diniez avec le diable". D’ailleurs vous êtes retournés à la même table actuellement. Simon a beau être ce qu’il est je le préfère à vous, car je sens chez lui un certain engagement pour la cause commune, alors que je ne vous crédite pas du même engagement.

  • Le 13 août 2018 à 00:31, par Lemessager En réponse à : Situation nationale : L’UPC espère que le président du Faso ne promulguera pas le code électoral, « s’il est soucieux de la cohésion sociale »

    UPC de Zeph, un partis en perte de vitesse. Zeph va se rallier su CDP pour combattre le MPP. End 2020 on vera.

  • Le 13 août 2018 à 07:12, par pluvio En réponse à : Situation nationale : L’UPC espère que le président du Faso ne promulguera pas le code électoral, « s’il est soucieux de la cohésion sociale »

    Bonjour

    Je n’ai pas tant de gesticulations de la part du CFOP que maintenant. Tout pour le vote avec la carte consulaire !!! Bon dieu, si vous n’avez rien planifié pour tricher, pourquoi tant de débats ? La loi a été votée, elle sera promulguée !
    Souciez vous d’autres questions, et Dieu seul sait qu’il y en a qui auraient pu occuper vos esprits, si réellement vous voulez contribuer au bonheur des burkinabè ! Et je vais vous donner des centres d’intérêt pour que vous arrêtez de nous ennuyer :
    - la situation sécuritaire : quelles contributions du CFOP ?
    - les enfants en situation de rue au Burkinabè : Etat des lieux et perspectives
    - Conditions cadres pour le vote des burkinabè à l’extérieur avec la CNIB et le Passeport, les propositions du CFOP ;
    - Propositions du CFOP pour la réalisation de l’Autoroute Ouagadougou-Yamoussokro !

    Panélistes : Amadou D. Dicko, Adama Soso et Eddie Comboïgo
    Modérateurs : Moussa Zerbo et Pr Dicko (de la Nafa)
    Lieu : Koutougou
    Demain, c’est votre jour de conférence de presse, gare à vous si vous revenez avec des histoires bassement politiciennes et sans intérêt pour nous

  • Le 13 août 2018 à 07:29, par Illy En réponse à : Situation nationale : L’UPC espère que le président du Faso ne promulguera pas le code électoral, « s’il est soucieux de la cohésion sociale »

    Je pense que le nouveau code électorale n’a pas sa place dans ce pays. Autant dir qu’il n’ai permis de voter que les partisans du MPP.

  • Le 13 août 2018 à 08:03, par PRINCE En réponse à : Situation nationale : L’UPC espère que le président du Faso ne promulguera pas le code électoral, « s’il est soucieux de la cohésion sociale »

    ZEPH est très décevant pour nous autres qui le prenaient comme un modèle !

  • Le 13 août 2018 à 08:19, par Papy En réponse à : Situation nationale : L’UPC espère que le président du Faso ne promulguera pas le code électoral, « s’il est soucieux de la cohésion sociale »

    Par vos agissements, vous avez permis à RMCK d’avoir plus de sympathisants 2020 c’est bientôt et ne soyez pas surpris s’il passe dès le premier tour car votre attitude de va-en- guerre vous à coûté beaucoup de militants

  • Le 13 août 2018 à 08:19, par Joan En réponse à : Situation nationale : L’UPC espère que le président du Faso ne promulguera pas le code électoral, « s’il est soucieux de la cohésion sociale »

    « L’occasion fait le larron » depuis que mon cher SIMBORO est parti du groupe parlementaire UPC, les petits militants font surface.

  • Le 13 août 2018 à 09:19, par Ka En réponse à : Situation nationale : L’UPC espère que le président du Faso ne promulguera pas le code électoral, « s’il est soucieux de la cohésion sociale »

    Messieurs les disciples de l’UPC, il est certain que vos gesticulations enfantines donnent du tonus au président Roch Kaboré au prés de son peuple, et vous le savez bien. La question dont je me pose, pourquoi agir publiquement en disant au peuple Burkinabé que sans la carte consulaire vous ne pouvez plus truquer l’scrutin des élections pour mettre le chaos au pays ?

    Il faut éviter de porter des masques pour des sorties de ce genre. Nous savons très bien qui tire les ficelles, et se cache derrière ce problème des cartes consulaires pourtant que vous saviez qu’avec cette loi, on veut une élection transparente et crédible pour la fierté de notre pays.

    Si le régime diesel et mouta mouta fait preuve de courage politique pour montrer que notre jeune processus démocratique est en bonne voie pour une élection crédible et transparente, il faut aussi que vous l’UPC, ou l’opposition, font une preuve de courage pour l’affronter avec des idées. Mais au lieu de cela, vous persistez pour les tripatouillages et les trucages du régime Compaoré.

    L’assassinat de la vraie politique transparente qu’a fait le CDP a déjà montré ses limites, et ceux qui, par des intérêts personnels, veulent continuer à pratiquer cette forme de politique moyenâgeuse comme vous, l’apprendront à votre dépend en 2020 : Car, les urnes diront la vérité avec une jeunesse Burkinabé qui a dit que rien ne sera plus comme avant. Monsieur Zépherin Diabré, avec le respect que je te dois a cause de ton passé en tant qu’un vrai chef d’opposition en 2014, je te demande d’oublier le Baobab avec ses revanchards et grandir pour ton parti qui veut le fauteuil présidentiel.

  • Le 13 août 2018 à 09:47, par BILI-BILI En réponse à : Situation nationale : L’UPC espère que le président du Faso ne promulguera pas le code électoral, « s’il est soucieux de la cohésion sociale »

    Autant la majorité a peur des Burkinabés de l’extérieur ; l’opposition lui a peur de ceux de l’intérieur !!

  • Le 13 août 2018 à 10:35, par KoukaDenis En réponse à : Situation nationale : L’UPC espère que le président du Faso ne promulguera pas le code électoral, « s’il est soucieux de la cohésion sociale »

    si l’UPC brandit les possibilités qu’a le pouvoir pour manipuler tout le circuit de votation, alors son argumentation pour les consulaires tombe à l’eau. a t-elle quoi pour contrôler l’établissement des cartes consulaires, le personnel accrédités étant de la confiance du pouvoir si on se réfère à une question d’EDDIE : le pouvoir n’a t-il pas confiance aux ambassadeurs ? Ici l’UPC a plus d’inquiétudes dans l’usage du code qu’arguments contre le code. pour la promulgation, on attend la réponse du conseil constitutionnel à la requête du CFOP.

  • Le 13 août 2018 à 10:57, par souklosso En réponse à : Situation nationale : L’UPC espère que le président du Faso ne promulguera pas le code électoral, « s’il est soucieux de la cohésion sociale »

    Quand est-ce-que ces vils politiciens de l’UPC vont arrêter et s’engager véritablement pour des luttes beaucoup plus nobles. Avec ce que nous venons de subir ce week-end à savoir l’explosion du véhicule des gendarme vers Boungou, dans l’Est du Burkina, moi je propose que le président annule le vote des Burkinabé de la diaspora et qu’on utilise cet argent pour doter nos FDS de moyens logistiques plus sécurisant, comme des blindé et des détecteurs d’engins explosifs. Comment une opposition sérieuse peut faire du vote des Burkinabé de la diaspora une lutte aussi acharnée ? Que cache une telle détermination ? Vous êtes en panne d’idée pour convaincre les Burkinabé de l’intérieur voilà pourquoi vous préférez allez vers la diaspora qui moins au fait des réalité du pays. Cesser de pleurnicher et engager des débats sur des sujets plus constructifs sinon 2020 sera votre terminus car vos sympathisants et certains de vos cadres vont se disperser.

  • Le 13 août 2018 à 11:08, par Le questionnement En réponse à : Situation nationale : L’UPC espère que le président du Faso ne promulguera pas le code électoral, « s’il est soucieux de la cohésion sociale »

    C’est une débauche d’énergie que fait l’UPC, un manque de vision, un manque de stratégie. Au stade actuel l’élection est - elle gagnée par un parti ? La réponse est non, bien que vous pensez qu’il pourrait y avoir fraude. Que faites vous pour contrer la fraude. Pouvez vous vérifier la fiabilité de la liste électorale auprès de la CENI ? Je pense que c’est oui.
    L’UPC doit voir également sir cette option vise à réduire le coût des élections. C’est oui, avec la suppression de la carte d’électeur (une dépense en moins, de l’actualisation en ligne qui réduira le coût de l’établissement de nouvelle carte ou les modifications des lieux de vote). Le choix de la CNIB augmentera les participants au vote à l’intérieur du pays à cause de la disponibilité de ce document chez bon nombre de citoyens et de leur utilisation effective, contrairement à la carte d’électeur que certains ne retrouvaient pas au moment des votes et des indécis qui à la dernière minutes veulent voter mais n’ont pas de carte d’électeur. l’UPC gagnerai à s’organiser pour pouvoir accompagner les citoyens ( ses militants) à bien figurer sur la liste et aussi à retrouver leurs lieux de vote le jour J et enfin à surveiller le décompte dans les bureaux de vote tant à l’intérieur qu’à l’extérieur.
    L’UPC a- t - elle les scores par régions des dernières élections ? Si oui n’est ce pas sur ce données que vous devez travailler pour améliorer les scores.
    L’opinion publique n’est pas un facteur à prendre en compte. Les marches de l’UPC ne seront elles pas contre productive ? A moins de l’UPC ne veuille demeurer que dans l’opposition.
    Pensez vous que les burkinabè dans les villages ou villes où il n’y a pas d’ambassades de la Côte d’Ivoire, de la France ou des Etats Unis effectueront les déplacements de centaines voire de milliers de km pour aller voter ?

  • Le 13 août 2018 à 11:52, par PAR MOI En réponse à : Situation nationale : L’UPC espère que le président du Faso ne promulguera pas le code électoral, « s’il est soucieux de la cohésion sociale »

    L’opposition est maintenant aigrie parce que à chaque sortie, le peuple a toujours soutenu la majorité. nous sentons un pouvoir en action pour la concrétisation des intérêts de tous. l’homme ne peut jamais être à 100% parfais. mais nous sentons cette volonté d’y arriver. a l’opposition, si vous voulez le soutient du peuple laisser la danse de yôrô et donnez les vraies proposition pour le bien être de tous.

  • Le 13 août 2018 à 12:53, par One smile En réponse à : Situation nationale : L’UPC espère que le président du Faso ne promulguera pas le code électoral, « s’il est soucieux de la cohésion sociale »

    Mes chers internaute a vous attendre parler je me rend véritablement conte que vous etes du MPP ou de ces condisciples. pourquoi ? d’abord je vois que tous ceux qui ont intervenus s’attaque à la personne de ZEPH et non du CFOP parce que aujord’hui il a pardonner le CDP comme il avait pardonner les trios du MPP à l’époque et ça on le sait fait mal au MPP et à l’UNIR/PS qui voulais la division bien qu’il ce sont servi dans le meme plat que le CDP. ensuite, aucun de vous qui avez ecris n’a essayer de jauger les opinions pour mieux prendre position, ils apparaissent et verse leurs colères sur ZEPH comme s’il etait le seul à réclamer la carte consulaire. enfin, personne des intervenants n’a eu audace de reconnaitre que le vote est avant tout un droit pour tous les burkinabés ici ou d’ailleurs et que la question de sécurité est une priorité comme le vote des burkinabés de l’étrangé et que ce qui se passe coté insécurité relève de l’incompétence et du carractère borné des gens du pouvoir qui penses que divisé les burkinabés en rejetant une partie les donnerait assez d’éloquence argumentaire et politique pour faire face a tous. comme croire que Blaise n’a rien fait. ON NE JETTE PAS LA BASE D’UNE FORCE POUR CROIRE VAINCRE LE MAL. Il fallait l’union de fils et fille du pays pour renforcer la capacité de faire face. vision de ZEPH. croyez moi il est le messie rejeter qui demeure la voix a suivre. et si s’etait lui qui etais élu il y’a longtemps que la question de reconciliation tant préparer depuis et qui nait jamais aurait lieu. etre du MPP ne veut pas dire refus de toute autre reflexion contre le MPP si on met le pays au dessus de tout.

    • Le 13 août 2018 à 15:39, par Damis En réponse à : Situation nationale : L’UPC espère que le président du Faso ne promulguera pas le code électoral, « s’il est soucieux de la cohésion sociale »

      Monsieur One smile, vous avez un raisonnement aussi plat !
      J’ai l’impression que vous étiez dans un autre ciel quand le bateau de Blaise Compaoré chavirait, et que vous pensez que l’insurrection était un simple film ! C’est bien dommage !
      C’est au contraire les responsables du MPP qu’on appelle "vrais politiciens", des leaders. Ce que toi tu ne sais pas, tout politicien pense d’abord à ses propres intérêts (tous les politiciens sans exceptions). Mais quant au leader politicien, il priorise d’abord ses intérêts, et quand l’intérêt général est menacé, il sacrifie les siens pour chercher une solution du juste milieu. C’est là que tu n’arrives pas à comprendre. Pour ton information, il faut allez lire le courrier confidentiel du 10 mai 2013 (si ma mémoire est bonne) si tu tiens à comprendre un peu la situation qui a conduit à la démission des RSS avec plusieurs de leurs militants et à la création du MPP (en rappel, lors de l’annonce de la démission des RSS, Korô Yamyellé avait dit dans ce même forum que ce montage était trop beau pour être vrai, et que les RSS n’ont pas de courage à ce point pour risquer leur vie et leur carrière politique, et que si cela est vrai, le peuple tout entier leur sera reconnaissant). Il faut t’informer, cela d’aidera à éviter que tu viennes verser un raisonnement borgne, avec une vision aussi noire dans ce forum. Aussi, ton ZEPH que tu apprécies tant n’est pas encore mûr en politique : il est soit un piètre politicien soit il est égoïste. Mais ce n’est que le début de ses descentes aux enfers dans l’atmosphère politique burkinabé, car non seulement les vrais insurgés détestent maintenant, mais Dieu ne le pardonnera (s’il continue ainsi) pour avoir trahi la volonté du peuple insurgé par sa manœuvre de ralliement avec les forces du mal. En réalité, c’était mieux pour lui de se rallier à la mouvance afin qu’on lui apprenne la politique.
      A méditer sans parti pris, STP !

    • Le 13 août 2018 à 18:44, par KOBINABA En réponse à : Situation nationale : L’UPC espère que le président du Faso ne promulguera pas le code électoral, « s’il est soucieux de la cohésion sociale »

      One Smile,je presume que tu es de bonne foi et je te donne ma lecture des choses.Tu es tout faux quand tu penses que tout ceux qui condamne cette prise de position de L UPC sont tous pro MPP.Si tu suivais les differents internautes de lefaso.net tu aurais compris qui est qui.Moi KOBINABA j ai ete pendant lgts sympathisant avec carte de membre de L UPC mais depuis longtemps je ne partage plus le surenchere des dirigeants du parti.Meme le CDP qui est l ennemi jure du MPP n est pas aussi violent.Zeph est un bon technicien mais un pietre politicien.On n a pas fait de sondage mais reconnait que l irredentisme du president a fait perdre bcp au parti.Il est entrain de faire "la bagarre" du CDP.One Smile n oublie pas aussi que la majorite des Bukinabe a besoin d un peu de paix pour gerer sa misere.Sur cette mem toile de nombreux Burkinabe ont soutenu l UPC mais metenant qu il "RENTRE EN BROUSSE" souffre qu il soit desavoue.Amicalement a toi.

  • Le 13 août 2018 à 13:52, par sniper En réponse à : Situation nationale : L’UPC espère que le président du Faso ne promulguera pas le code électoral, « s’il est soucieux de la cohésion sociale »

    Tous les "arguments" de l’UPC se résument en procès d’intention. A partir de là, doit-on même continuer à écouter ces politiciens, à fortiori discuter avec eux ? Il est clair que l’UPC est maintenant le cheval de Troie du CDP. A cette allure, il n’ira pas bien loin et sortira de cette affaire à jamais affaibli. En 2014/2015 pourtant, l’argument fort de l’UPC pour accéder au pouvoir était de chanter que le MPP avait été créé par Blaise pour revenir. L’histoire nous a maintenant révélé le vrai visage tout un chacun !

  • Le 13 août 2018 à 15:31, par Le Sage En réponse à : Situation nationale : L’UPC espère que le président du Faso ne promulguera pas le code électoral, « s’il est soucieux de la cohésion sociale »

    Sans être pro ZEPH, je le trouve constant dans sa lutte. Ayons l’honnêteté intellectuelle de dire que ce nouveau code électorale est un très grand recul pour notre démocratie. Si, le MPP ne se sent pas prêt qu’il annule tout simplement le vote des Burkinabé de l’extérieur et que chaque partie se concentre sur l’électorat interne. Sinon, ce nouveau code est une remise en cause des acquis obtenus par le peuple.

  • Le 13 août 2018 à 16:47, par PETI LOBI En réponse à : Situation nationale : L’UPC espère que le président du Faso ne promulguera pas le code électoral, « s’il est soucieux de la cohésion sociale »

    Ces derniers temps, c’est la panique dans le camp MPP. Quand on les lit ça fait pitié. Aucune analyse de fond chez la plupart des internautes larbins.Sans argument = sans intelligence.

    Dites en quoi l’argument du vote avec la carte biométrique est irrecevable alors qu’il y a moins d’un an, l’ambassadeur en Côte d’ivoire et moins de semaines le Ministre des Affaires Étrangères, ont tous soutenu sa crédibilité en tant que document d’identité nationale ?

    Dites en quoi il sera possible de joindre des milliers de burkinabé, la plupart analphabètes par SMS pour leurs dire de venir s’enrôler et voter ? Tout en sachant la volatilité des numéros de téléphone ?

    Dites comment des dizaines de milliers de burkinabé de la diaspora (par exemple en CI) peuvent voter dans 4 bureaux seulement. Où vont-ils s’arrêter même ? Dans quel espace de l’Ambassade ou du consulat, en sachant qu’un bureau de vote c’est pour au plus 800 électeurs ?

    Les sujets d’intérêt national doivent être défendus certes, par tous les burkinabé mais il faut un minimum de niveau et d’honnêteté pour le faire même si on est d’une chapelle politique donnée.

    Faisons attention. Quand on voit se pouvoir dans son raisonnement, il offre tellement de grain à moudre à l’opposition par l’incohérence et par la faiblesse d’argumentation de beaucoup de ses ministres, de beaucoup de ses cadres. Ce n’est pas étonnant que sur les sujets abordés par l’opposition, ses sbires on dirait des chiots (je m’excuse du terme) qui n’attendent que de l’UPC, aboient en même temps dans tous les coins. C’est bien dommage.

    Alors qu’à l’analyse de la situation, il se voit bien que le MPP sera obligé de remplir des stades recto verso d’ici très bientôt pour contrer le CFOP et Zeph. Mais ça n’empêchera pas ce pouvoir de tomber. Ce n’est plus qu’une question de jours. La première marche, c’est pour bientôt. Vous verrez comment ça va se passer.C’est une question de capacité à manager les hommes, les opinions. Ce dont dispose Zeph plus que quiconque pour le moment. Ça fait mal mais c’est comme ça. C’est Dieu qui le lui a donné.

    Une stratégie de communication qui consiste à mettre la vermine sur la toile en croyant qu’on viendra à bout de Zeph ainsi. L’inintelligence quand elle nous tient.
    Et ce nommé KA que j’aimerai bien avoir en face (lui qui s’attaque aux cadres de l’UPC à tout moment), pour lui dire deux mots qui vont le faire manger ses appétits anti-UPC en silence. Dites lui que je le cherche. Quand je le croiserai dans un débat MPP/UPC, il ne reconnaitra plus sa mère de retour chez lui.

    Trop de petits esprits qui veulent asservir ce peuple et ce pays avant-dernier du monde depuis sa naissance. Comme si nous burkinabé, nous étions une incapacité collective. Et tout ça à cause des obscurantistes qui par les apories de l’histoire et certaines pesanteurs culturelles nous tiennent par les couilles.

  • Le 13 août 2018 à 17:26, par DOUG En réponse à : Situation nationale : L’UPC espère que le président du Faso ne promulguera pas le code électoral, « s’il est soucieux de la cohésion sociale »

    Je vais demander à tout un chacun de mettre un peu d’eau dans son vin.
    Vous savez, quand il y a un sujet qui divise , je pense qu’il faut qu’on s’asseye et qu’on discute sérieusement en vue de trouver un consensus.
    Ce pays nous appartient tous et personne n’aimera qu’il plonge dans le chaos.
    Il y a problème, alors
    Asseyons nous et méditons

  • Le 13 août 2018 à 19:07, par Ka En réponse à : Situation nationale : L’UPC espère que le président du Faso ne promulguera pas le code électoral, « s’il est soucieux de la cohésion sociale »

    Aux internautes ‘’’’Bagnard et Petit Lobi :’’’’’ Remerciez gracieusement à notre honorable Webmaster il saura pourquoi. Et comme je le dis très souvent, l’extrémisme exprime la pensée de celui qui n’admet pas qu’on lui oppose une autre manière de penser.

    La démocratie n’est pas un combat, la politique ne devrait pas en être un. C’est toutes ces métaphores guerrières qui, prises au premier degré, nous amènent a des crises sanglantes et meurtrières.

    Si aujourd’hui la majorité décide de dire la vérité a l’UPC ou à l’opposition pourquoi elle insiste la suppression de la carte consulaire, elle se concertera avec le peuple pour un referendum ‘’’’sur la loi voté, ou la carte consulaire pour le vote de la diaspora, ou le passeport et la carte d’Identité nationale ? vous verrez que le passeport et la carte d’Identité l’emportera a 99%, et qui sera définitivement une solution idoine pour faire des élections crédibles et transparentes pour la fierté de notre pays.

    Alors mes amis, on n’a pas besoin d’être pour le MPP ou le régime au diesel, et cracher la vérité a des cadres alimentaires d’un parti politique comme l’UPC qui patinent. Ici vous pouviez me prendre pour Roch Kaboré, ou Simon Compaoré, ou le fantôme de Salif Diallo, la vérité de Ka vous percera toujours les cœurs. Car, cette vérité vous rougit les yeux, mais ne les crèvent pas. Sachiez aussi que les chiens aboient, mais la caravane passe. Je vous remercie de me lire.

    • Le 14 août 2018 à 08:56, par Bagnard En réponse à : Situation nationale : L’UPC espère que le président du Faso ne promulguera pas le code électoral, « s’il est soucieux de la cohésion sociale »

      Monsieur Ka, tu ne nous perceras pas le cœur car tu n’as pas ce gabarit. Nous te disons simplement la vérité que tu refuses. Est-ce toi le détenteur universel de la vérité et du savoir pour chaque fois sabrer UPC et adouber le MPP ? Non, si tu te respectes arrête cette mendicité morale qui te rabaisse. Tu te caches derrière une fausse sagesse pour défendre des positions bidon et, sauf ceux qui ne savent pas l’histoire de ce pays qui te félicitent. Tu nous narres que la démocratie n’est pas un combat et alors pourquoi tu ne te focalises que sur une partie au détriment de l’autre si ce n’est de l’hypocrisie. Le bon sens voudrait que tu sois impartial. Et si tu es tant intéressé de savoir pourquoi l’UPC insiste sur le cas de la suppression de la carte consulaire, va voir le président de l’UPC, son bureau est accessible et en bon démocrate il te donnera ses mobiles. Les vrais démocrates disent le vrai et non complaisamment nager dans du dilatoire comme tu le fais. Face à Petit Lobi et moi, tu vas baisser la voix car on va te renvoyer ta propre image de fausseté en pleine figure. Ce sont justement vos manières hypocrites et opportunistes d’agir dans le passé qui ont inscrit ce pays dans la situation délétère où il se trouve. Tous les fantasmes que vous racontez pour éblouir les jeunes innocents se trouvent dans toutes les archives des journaux de ce pays et tout le monde peut les trouver. Il n’y a donc rien de nouveau dans vos histoires du chasseur et du lion ou de Bouki l’hyène et Leuk le lièvre. Je vais vous surprendre cependant : je ne suis pas de l’UPC mais du MPP et ce sont vos manières d’intervenir que je trouve incongrues, inopportunes et pas honnêtes car, même étant au MPP, il faut défendre le juste et non faire l’apologie du faux. Monsieur Ka, vous n’avez pas de leçon à donner à personne et vous n’êtes pas non plus un exemple ni une référence, alors bas les pattes ! Aux grands maux, les grands remèdes et désormais nous allons te riposter du tic au tac !

      • Le 14 août 2018 à 09:55, par Ka En réponse à : Situation nationale : L’UPC espère que le président du Faso ne promulguera pas le code électoral, « s’il est soucieux de la cohésion sociale »

        ‘’’’Bagnard’’’’ Soit heureux que notre honorable Webmaster soit clément, et il sait pourquoi ! Mais comme je le dis très souvent : ’’’Le problème au Burkina, surtout avec les internautes de mauvaises foi comme toi, c’est que lorsque tu dénonces les défauts d’un parti politique comme l’UPC, ou l’opposition, tu trouves des malsains pour dire que c’est parce que tu découle pour le régime actuel ou son parti. Arête ton enfantillage, et laisse ma vérité percer ton cœur.’’’ Et comme tu me lis souvent, tu devais savoir que je ne me dérobe pas quand la majorité fait des faux pas, je la tire à bout portant comme ce que je viens de le faire a un parti politique qui patine, ou une opposition qui ne sait pas s’opposé.
        Je ne fais pas parti d’aucun parti politique, mais soutiens ouvertement les actions concrètes de tout parti politique qui vont au peuple et le développement du pays, surtout une action comme vienne de faire la majorité en votant une loi qui conforte notre démocratie vers une élection crédible et transparente. Arrête tes dénigrements, et continu de me lire, car, tu finiras par me connaître mieux. Ou bien tu t’éloigne de mes critiques fondées qui sont conceptuellement structurés et s’adressent à un public d’un certain niveau intellectuel et moral auquel tu n’appartiens manifestement pas, et n’ est pas obligé de les lire. Merci de ta compréhension.

      • Le 14 août 2018 à 12:00, par SAA En réponse à : Situation nationale : L’UPC espère que le président du Faso ne promulguera pas le code électoral, « s’il est soucieux de la cohésion sociale »

        internaute Bagnard, on sent la haine, la rancœur, l’hypocrisie dans vos écrits. ZEPH lui-même reconnait qu’il est en perte de vitesse à travers ses va-t-en guerre de ZERBO et de Rabi YAMEOGO. Laissez-moi vous dire que cette loi est la plus consensuelle pour tout les fils de ce pays. Comment des gens qui prônent l’inclusivité ne se préoccupent même pas des autres Burkinabè qui n’ont ni la carte consulaire, ni la CNIB, encore moins le passeport ?
        internaute Bagnard, loin de moi le défenseur de l’internaute Ka, que je respect et salue au passage pour sa participation à la conscientisation des VRAIS lecteurs du Faso.net, mais je pense que cette tribune ne saurait et devrait pas être un lieu de non respect pour autrui.
        Des internautes comme vous et le Petit lobi venu sur la toile à la faveur du vote de la loi ne peuvent pas tromper les vrais lecteurs de ce forum.Contentez-vous des conférences de presses du CFOP. franchement !!!!!

        • Le 14 août 2018 à 13:41, par Bagnard En réponse à : Situation nationale : L’UPC espère que le président du Faso ne promulguera pas le code électoral, « s’il est soucieux de la cohésion sociale »

          SAA tu es aussi médiocre que ton héros Ka ! Je ne te parle même pas ce ce sera du temps perdu ! Ouste !

        • Le 14 août 2018 à 14:18, par Ka En réponse à : Situation nationale : L’UPC espère que le président du Faso ne promulguera pas le code électoral, « s’il est soucieux de la cohésion sociale »

          SAA : inutile de perdre ton temps. Des internautes de mauvaise foi n’aiment pas qu’on leur dise la vérité, ils considèrent cela comme un sacrilège. C’est à cause des personnes comme Bagnard un repris de justice dont son pseudo l’indique, que le Burkina reste sous-développée. Quand notre pays sera débarrassé de ces personnes, nous avancerons, et nous rattraperons notre retard.

          Quand a Zepherin Diabré et son opposition, surtout avec son UPC, ‘’’est-ce qu’il a vraiment envie de faire autre chose que s’opposer bêtement, c’est à dire refuser systématiquement tout ce qui risquerait de faire avancer les choses ?’’’’ Avec le recul, je voudrai que la majorité se concerte avec le peuple pour un referendum pour voir si le peuple est pour la carte consulaire ou les le passeport et la carte d’Identité nationale pour les votes de la diaspora ? Ce qui est sûr, avec les ragots dans les villes comme dans les villages, 99% de la population sont prêts a laver a l’eau de javel la cervelle de l’opposition pour le passeport et la carte d’identité nationale qui seront fiables pour une élection crédible et transparente. Mon jeune internaute SAA, merci pour ta contribution si intelligente au débat. Ce qui est sûr, Bagnard le repris de justice ne méritera plus aucune auto critique de Ka.

  • Le 14 août 2018 à 08:58, par Jonassan En réponse à : Situation nationale : L’UPC espère que le président du Faso ne promulguera pas le code électoral, « s’il est soucieux de la cohésion sociale »

    Pourquoi l’opposition particularise le cas de la Côte d’Ivoire ? Le Burkina de l’Etranger, c’est la Côte d’Ivoire seulement ? En nombre ce n’est même pas vrai.
    Avec les arguments que vous avez évoqué aucune pièce n’est crédible même pas la carte d’électeur et encore moins la carte consulaire.
    Si vous dites de voter avec la carte consulaire parce que seule la CI en possède (y’a des burkinabé étranger ailleurs aussi), c’est comme si au Burkina on dit de voter avec les actes de naissance.
    UN ENREGISTREMENT BIOMETRIQUE NE GARANTIT EN AUCUNE FACON L’UNICITE DU VOTE :
    1) Déjà techniquement c’est faux de l’affirmer au grand dam de l’opposition.
    2) Comment ce fichier biométrique reconnait ceux qui sont morts depuis ?
    3) ...
    Le foutoir dans les votes a été initié et bâti par le CDP, erreur que le Burkina mettra du temps à corriger. Et, ironie du sort, c’est le CDP qui est à la manoeuvre pour rétropédaler l’avancement si difficile. Je demande à ceux qui peuvent réfléchir dans ce milieu, comme les Zeph, d’avoir une approche RATIONNELLE de la situation et d’AIDER à la correction des tares du CDP.

  • Le 14 août 2018 à 09:00, par Jonassan En réponse à : Situation nationale : L’UPC espère que le président du Faso ne promulguera pas le code électoral, « s’il est soucieux de la cohésion sociale »

    En quoi envoyez des sms à des burkinabé de venir s’enroler est diabolique ? Il faut seulement faire un communiqué à la Radio dixit Opposition Burkinabé.

  • Le 16 août 2018 à 12:48, par Patarbtallé En réponse à : Situation nationale : L’UPC espère que le président du Faso ne promulguera pas le code électoral, « s’il est soucieux de la cohésion sociale »

    "soucieux de la cohésion sociale" ? Mais en quoi le Code électoral perturbe la cohésion sociale ? Nous les communautés, on a appris à vivre ensemble sans vvous les partis politiques. Surtout pas cette opposition qui a tant montré sa médiocrité. On s’en fout. Tranquilos. Vamos.

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