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« Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

Publié le mercredi 6 juin 2018 à 13h30min

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« Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

Ouverte le 7 mars 2018, la première session parlementaire de l’année 2018 a refermé ses portes le 4 juin 2018. Pour certains groupes parlementaires, l’heure est au bilan. C’est le cas du groupe parlementaire du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP) qui a, dans la matinée de mercredi 6 juin 2018, animé une conférence de presse à cet effet. Il s’est agi pour Alphonse Nombré, vice-président du groupe, et ses collègues, de donner la quintessence des travaux et l’environnement de travail qui a prévalu durant ces 90 jours (durée d’une session ordinaire).

Avant d’entrer dans le vif de leur sujet, les députés de l’ex-parti au pouvoir ont salué la bravoure des Forces de défense et de sécurité (FDS) « pour la qualité du travail et le professionnalisme » avec lesquels, elles ont procédé au démantèlement de la cellule terroriste le 22 mai dernier au quartier Rayongo. Ils se sont ensuite inclinés devant la mémoire du gendarme tombé sur le champ de bataille (le maréchal des logis-chef, François de Salle Ouédraogo) avant de souhaiter un prompt rétablissement aux blessés.

Puis, l’on retient que la première session parlementaire a été marquée par un « agenda bien chargé » avec, en sus, plusieurs lois votées, des autorisations de ratification de conventions négociées et signées par le pays, sans oublier le contrôle de l’action gouvernementale à travers des questions orales adressées aux membres du gouvernement.
Pour l’exercice, les conférenciers ont articulé leur intervention autour du bilan du vote des projets et propositions de loi, du contrôle de l’action gouvernementale et sur le déroulement de la session et le fonctionnement de l’Assemblée nationale.

Ainsi, du premier point, on note que 27 projets de lois dont douze autorisations de ratification ont été examinés et votés, un projet de loi organique et deux résolutions adoptés. Parmi les projets de loi adoptés, celui portant attributions, composition, organisation et fonctionnement du Conseil supérieur de la communication (CSC) ; la loi fixant les règles relatives à l’établissement, la délivrance et la validité du permis de conduire au Burkina ; le projet de loi portant expropriation pour cause d’utilité publique et indemnisation des personnes affectées par les aménagements et projets d’utilité publique ou d’intérêt général au Burkina.
Il s’agit également de la loi portant autorisation de ratification de la convention d’entraide judiciaire en matière pénale entre le gouvernement du Burkina et le gouvernement de la République française, de celle portant autorisation de ratification de la convention d’extradition entre les gouvernements burkinabè et français. Le code des investissements agro-sylvo-pastoral, halieutique et faunique au Burkina ; le domaine de l’Ordre des urbanistes du Burkina ; le code pénal ; les renseignements…ont également été concernés par la légifération.

Selon les élus du CDP, cette session a connu une « accélération inhabituelle et une célérité jamais vue » dans l’examen et le vote de trois lois. Ce sont les lois portant autorisation de ratification de la convention d’entraide judiciaire en matière pénale entre le gouvernement du Burkina et le gouvernement de la République française, celle portant autorisation de ratification de la convention d’extradition entre les gouvernements burkinabè et français et, enfin, celle relative au code pénal au Burkina.
« Ces trois dossiers ont été inscrits à l’ordre du jour de la session parlementaire, le 3 mai 2018, soit près d’un mois après le délai réglementaire de dépôt de dossiers sur le bureau de l’Assemblée nationale », ont rappelé les conférenciers avant de préciser que les deux conventions ont été signées entre les deux gouvernements le 24 avril 2018, pour être ratifiées par l’Assemblée nationale dès le 17 mai 2018.

Le vice-président, Alphonse Nombré (micro) entouré de Maïmouna Ouédraogo et Paul Sawadogo (à sa droite) et Yaya Zoungrana et Alfred Sanou.

« Bravo au gouvernement pour cette ‘‘célérité’’. Mais ce qui est curieux, c’est que les conventions de financement signées entre notre pays et les partenaires pour le financement du développement, ne bénéficient pas de la même attention du gouvernement, malgré les lois d’habilitation qui lui permettent d’accélérer les procédures. Il en est de même pour la loi portant code pénal qui a apporté une réforme importante à notre droit pénal, en supprimant la peine de mort. Nous saluons cette avancée de droit pénal, mais à examiner de près, le contexte politique et judiciaire dans lequel la ratification de ces deux conventions et le vote de la loi portant code pénal sont intervenues, nous nous posons des interrogations.

Instruit de la jurisprudence de cette loi scélérate, dite loi Shérif, qui a ciblé des citoyens burkinabè, adversaires politiques redoutables, pour les exclure des compétions électorales et restreindre par la même occasion l’offre politique auquel le peuple a droit, notre groupe parlementaire a refusé de donner sa caution à une législation qui cible un individu ou une situation individuelle. Oui, le vote de ces trois dossiers avait pour but de donner plus de chance au dossier d’extradition pendant devant la Cour d’appel de Paris, introduit par notre gouvernement et pour lesquelles des questions bien précises lui ont été posées au cours de l’audience du 28 mai 2018 et auxquelles, il a eu tant de mal à apporter des réponses », ont étayé les animateurs de la conférence.

Ces députés, qui disent être fermement attachés au caractère général et impersonnel de la loi et à la sécurité juridique de leurs concitoyens et des étrangers vivant sur le sol burkinabè, refusent de ce fait de légiférer pour cibler une personne, un groupe de personnes ou des situations individuelles. Toujours dans la même dynamique, le groupe parlementaire s’est élevé contre ce qu’il a qualifié de « façon cavalière » dont le projet de loi portant modification du statut de l’Opposition politique a été « retiré séance tenante » au cours de l’examen de ce dossier, le 1er juin 2018.
« Ce comportement du gouvernement, qui a cédé aux injonctions de sa majorité au parlement, a amené les groupes parlementaires de l’opposition à adopter une position politique en se retirant de la plénière », ont martelé les députés.

Le groupe parlementaire dit cependant applaudir le discours de clôture (de la session) du président de l’Assemblée nationale au cours duquel, il a interpellé le gouvernement à plus de considération pour l’Institution parlementaire. Pour eux, par cet acte, Alassane Bala Sakandé s’est fait le porte-parole de tous les députés, toutes tendances politiques confondues.

Sur le second point, à savoir le contrôle de l’action gouvernementale, Alphonse Nombré et ses camarades déplorent que l’ensemble des questions posées par les députés n’aient pas été enrôlées. Ce qui provoque, confient-ils, des engorgements et des reports de certaines questions qui, avec le temps, peuvent perdre de leur pertinence ou de leur intérêt.
Partant d’un exposé du ministre de l’Économie, des Finances et du Développement sur le « Document de programmation budgétaire et économique pluriannuelle 2019-2021 » fait devant la représentation nationale, les députés ont indiqué que cette instance a permis de prendre connaissance des tendances macro-économiques sur la période ciblée et des projections budgétaires sur la même période.

« Nous retenons de cet exposé, que les projections contenues dans le Plan national de développement économique et social (PNDES), notre référentiel de développement, ne seront pas tenues, notamment le taux de croissance de 8%. Le document de programmation budgétaire ne retient qu’un de croissance de 6,9%. Nous faisons aussi observer que les objectifs de recouvrement fixés aux régies de recettes (impôts, douanes et trésor) sont trop optimistes et irréalistes et pourront difficilement être atteints, compte tenu du contexte sécuritaire et social dans lequel évolue notre économie », ont jaugé les conférenciers.

Sur le dernier point, à savoir la tenue des travaux parlementaires et le fonctionnement de l’institution, il ressort qu’au cours de cette session, le travail parlementaire a été fortement perturbé et la critique selon laquelle, l’institution parlementaire se comporte comme une simple caisse de résonnance de l’Exécutif se conforte, non seulement au sein de l’opinion, mais aussi au sein des députés. « Au fur et à mesure de l’exercice de ce mandat, des faiblesses institutionnelles pèsent lourdement sur notre crédibilité, notre notoriété et notre visibilité », a affirmé le vice-président du groupe parlementaire dans la déclaration liminaire.

Pour étayer leurs propos sur les insuffisances liées au fonctionnement de l’Assemblée nationale, les intervenants ont énuméré les « nombreuses modifications de l’ordre du jour de la session du seul fait du gouvernement ; le délai légal de dépôt des projets et propositions de loi non respecté ; le retrait des dossiers inscrits à l’ordre du jour de la session sans raisons valables et parfois séance tenante ; le report de certains projets de lois et des questions orales du fait de l’absence du gouvernement ; le manque de sérieux dans le traitement des questions orales et écrites adressées au gouvernement ; l’absence non-justifiée ou le retard des certains membres du gouvernement lors des auditions par les commissions générales ; la mauvaise participation des députés au débat parlementaire dû à une mauvaise organisation du travail parlementaire ».

De façon plus détaillée, et sur certains de ces points, les députés demandent par exemple que sur les voyages officiels de leur président, les groupes parlementaires soient consultés. « Nous demandons simplement à ce qu’on revienne au fonctionnement normal des organes de l’Assemblée nationale », appelle le vice-président du groupe parlementaire, Alphonse Nombré.

Tout de même, le groupe apprécie l’ambiance de travail qui prévaut entre les groupes parlementaires (toutes tendances confondues). « Vraiment, l’ambiance est bonne. Sauf ce qui s’est passé le 1er juin où la majorité parlementaire a donné des injonctions à son gouvernement pour le retrait d’un dossier qui a suivi le parcours normal jusqu’en plénière. Sinon, en dehors de cet incident, il n’y a aucun problème entre les groupes parlementaires », a noté M. Nombré.

Sur la loi portant code pénal, les députés CDP estiment, tout en relevant que la réforme a commencé depuis 2013 (sous le régime Compaoré, mais la procédure n’a pas eu le temps d’aboutir), que c’est le timing qui pose problème. « Cette loi serait venue avant que le gouvernement du Burkina introduise la demande d’extradition ou après que la Cour d’appel de Paris ait vidé le contentieux (demande d’extradition de François Compaoré, ndlr), peut être que nous, au niveau du groupe parlementaire, on aurait voté cette loi sans difficulté », ont-ils dit. A en croire ces élus, ce n’est pas la loi qui pose problème, mais le non-respect des principes généraux du droit (notamment le caractère général et impersonnel de la loi).
Pour eux, le gouvernement qui avait le temps pour faire adopter cette loi, a plutôt préféré en retirer d’autres pour pouvoir faire adopter celle indexée.

Si le vote est de la responsabilité du député, le sens du vote l’est aussi, justifient-ils. « Il y a des principes et des procédures avant même le fond… », dit député Paul Sawadogo pour qui la forme est un préalable. Il est appuyé par député Yaya Zoungrana qui révèle que lors des travaux au sein de la commission chargée des lois, la Commission des affaires générales, institutionnelles et des droits Humains (CAGIDH), « les magistrats n’ont pas répondu à l’audition des acteurs.
Ce travail a été mené à tambour battant jusqu’à son terme sans que les magistrats, qui sont les acteurs-clés de notre système judicaire, chargés d’appliquer le code pénal, aient donné leur point de vue. Malgré cela, la majorité a passé outre en disant que ce n’est pas grave, on veut arriver à ça, à ce résultat ».

Mieux, poursuit Yaya Zoungrana, le gouvernement doit, « probablement », inviter l’Assemblée nationale en session extraordinaire très bientôt pour examiner des lois. « Vous verrez que ce code pénal aurait pu être tranquillement mis à cette session extraordinaire pour permettre de mieux l’examiner, de traiter les points qui posent problème à la société du Burkina Faso tels que la peine de mort, l’homosexualité, etc. », a-t-il argué en substance, avant de conclure que ce sont autant d’éléments qui font dire à son groupe parlementaire que cette loi qui a été votée au forceps pour la raison qu’elle cible une personne.

Pour eux, des jurisprudences existent, en plus, pour illustrer leur vote « contre ». Il s’agit notamment de la loi dite « loi Shérif », la loi portant conditions d’avancement des cadres dans l’Armée votée sous la transition qui vise, selon eux, manifestement une personne.

Ouvrant une fenêtre sur l’actualité nationale, les conférenciers ont, au sujet de la grogne sociale, relevé le risque de la situation sur l’économie nationale. C’est pourquoi ont-ils invité le gouvernement à ouvrir un dialogue franc avec les travailleurs, notamment avec les syndicats des Finances, en vue d’apporter une réponse à ce conflit social « qui affecte dangereusement le climat des affaires ».
« Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux », affirme Yaya Zoungrana, qui appelle le gouvernement à régler cette situation.

Oumar L. Ouédraogo

Lefaso.net

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Vos commentaires

  • Le 7 juin 2018 à 00:24, par uriel En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    Le CDP veut oublier son passé ,sous votre régime les syndicats n’avaient pas le droit du sit-in a plus forte raison la greve,quel régime a chassé les agents du ministère des affaires etrangeres en 2007 pour une marche de 2heures,beaucoup d’agent des affaires etrangeres portent toujours les stigmates de cette ¨réaction barbare ,beaucoup de foyers ont¨été brisé,les carrières brisées,sous quel régime en 2007 certains agents du ministère des finances ont été chassés et affecter précipitamment loin de leur famille a Ouagadougou,je veux parler des statisticiens,combien de militant des syndicats ont été chassés de leur poste ,votre regime a plus fait du mal aux syndicats que l’actuel,si ce sont des memes méthodes que vous voulez utiliser pour accéder au ¨pouvoir ,peine perdu

  • Le 7 juin 2018 à 01:35, par AS DE PIQUE En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    # CDP LA FERME

    # MPP = CDP

    # CDP FOUTAISES

    # ROCH KABORE GARE A TOI SI TU NE CHANGE POINT

  • Le 7 juin 2018 à 05:24, par Y K En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    Vous pensez pouvoir conquérir le coeur des burkinabé tout en oubliant ce qui s’est passé sous votre régime.A un moment donné,je pense que vous n’avez aucun respect pour le peuple burkinabé.D’autres personnes ou partis pouvaient faire ce que vous êtes entrain de faire mais pas vous.restez là à critiquer seulement.

  • Le 7 juin 2018 à 06:46, par Le Boss En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    Pas de commentaire mon ami. Votre analyse est correcte et simple. Malgré le droit de grève, quel syndicat a osé lancer un mot de grève sous le regime compaoré. Tous savaient ce qui les attend. Aujourd’hui la liberté est totale. Je me rappelle qu’a l’époque Blaise a traité les agents du Ministère des affaires etrangères de gens qui portent des jeans. Vous n’avez pas honte de vouloir étaler ce manque de liberté syndicale sur la place publique a votre temps ?.
    C’est tres dure pour les gens du CDP de vivre leur situation actuelle et je pense qu’il vaut mieux ne pas rever car il sera ainsi jusqu’a la mort de ces anciens qui ne pensent qu’a eux et non au peuple.
    Le Boss

  • Le 7 juin 2018 à 07:34, par COB En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    Les familles des brûlés vifs et des torturés avant leur mise à mort pourront témoigner pour vous. Ils vous est donc impossible de compassion et de repentance !

  • Le 7 juin 2018 à 07:53, par Ka En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    Messieurs les Cedepistes vous aviez complétement raison qu’a votre temps la lutte de classes était affaiblie par votre répression et surtout les achats de conscience et morale des responsables syndicaux qui sont devenus des multimilliardaires de nos jours, et qui font chanter à l’aise un régime mouta mouta avec un représentant nommé Roch Kaboré au cœur du Christ : Tant dis que votre représentant nommé Blaise Compaoré avait un cœur du diable.

    Pour vous et à votre époque, avec un bilan de corruption à ciel ouvert, des crimes à gogo, la répression intense, ont fait que la lutte de classes dans notre société n’était plus très vive comme en ce moment avec des capricieux responsables syndicaux qui font le chaud et le froid a un gouvernement de lâche qui laisse un ministre de finance sans défense face à des corrompus qui veulent déstabilisé un pays.

    Ce qui est pire, on peut voir qu’une bonne partie des exploités qui sont les fonctionnaires syndiqués, ignorent complètement qu’ils sont l’objet d’une exploitation éhonté par les responsables syndicaux pour leurs propres intérêts.

    A votre temps, vous aviez eu dans vos filets des responsables syndicaux, comme celui au moment de notre révolution inachevée, que la droite Burkinabé et les valets de l’impérialisme avait demandé de déstabiliser la révolution de l’idéologues Thomas Sankara, et après ce dernier a commencé de lécher les pieds de votre représentant au cœur du diable pour des postes.

    Actuellement les responsables syndicaux qui n’ont plus des avantages, ou ne sont plus sous la répression d’un président mouta mouta, se permettent d’être des héros de la lutte des classes pour berner les opprimés syndiqués, et faire des places en or en politique. Qui, peut-être en 2020 racleront les les casseroles de ceux dont ils méprisaient, comme le fait en ce moment Benewendé sankara autrefois notre farouche avocat contre l’injustice et l’impunité, et qui lèche les pieds de la majorité.

  • Le 7 juin 2018 à 08:02, par HUG En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    CDP, je partage votre avis car autant de COMPAORE, la différence entre les travailleurs étaient moindre. On ne choisissait pas de corps pour leur octroyer des avantages faramineux tout en minimisant les autres. Au temps de compaoré, il y avait bel et bien des grèves. Au temps de Blaise compaoré avec le CEPE et le BEPC on pouvait prétendre travailler à la fonction publique sans crainte . Au temps de Compaoré on ne réquisitionnait pas tous les chefs de service lors d’une grève. Au temps de Blaise on n’a pas supprimer tous les concours du niveau CEPE. BLAISE COMPAORE N A PAS CRÉER BEAUCOUP D ’INJUSTICE ENTRE LES TRAVAILLEURS DE LA FONCTION PUBLIQUE. Blaise compaoré était objectif avec les syndicats car un beau matin sous la pression des syndicats on ne se lève pas et on dit les infirmier diplômés d"Etat, sage femmes c’est maintenant niveau bac tout en sachant que lorsqu’on va reclasser ceux qu’on a recruté avec le niveau terminal ça fera beaucoup de sous à dépenser. Il en est de même pour les policiers. OH pouvoir du MPP et consort pensez vous que tout le monde peut avoir le BAC.Beaucoup d’élèves par la force des choses abandonnent l’école sans avoir le BAC. Que deveindrait ces derniers si la police, la santé et bientôt l’ enseignement ou on recrute beaucoup le diplôme demandé c’est le BAC

  • Le 7 juin 2018 à 08:06, par SDG En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    il ne faut pas avoir la mémoire trop courte bonnes gens du CDP. Car plus qu’aucun autre régime avant vous vous avez travaillé à museler les syndicats.

  • Le 7 juin 2018 à 08:15, par EL CAPO En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    Ah ! Je comprends mieux les choses. Donc c’est vous qui incitez ces « intello-terroristes » à des grèves et sit-in sans fin pour amener le peuple à se soulever contre ce régime. De soulèvement populaire, il n’y en aura pas mais vous, vous allez dépasser la Côte d’Ivoire pour vous retrouver dans l’océan.

  • Le 7 juin 2018 à 08:35, par nabayouga En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    Je suis sidéré et en colère face à un tel discours. Au temps du cdp," si tu fait on te fait et il n’y a rien," voilà le discours qu’on entendait. David ouedraogo, le juge Nebié, norbert zongo et ses compagnons, oumarou clement ouedraogo, henri zongo, boukary lingani ...............ont été faits.Pauvre Roch qui laisse passer de tels discours . La révolution est inachevée. Il faut une deuxième révolution a la RAWLINGS pour faire taire à jamais ces tueurs et leurs acolytes.

  • Le 7 juin 2018 à 08:36, par Joan En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    Vous faites rire le monde ! Sous votre règne ??le règne de musellement ?? Je crois que si vous êtes honnêtes vous devriez féliciter ceux qui sont aux commandes actuellement. Au temps de votre Blaise et François Compaoré, des travailleurs pouvaient-ils prendre les rues ainsi ? La réponse est claire et si vous la connaissez pas interroger n’importe quel citoyen honnête. Vous avez museler les travailleurs, en intimidant certains leaders de syndicats et en corrompant d’autres. C’est ça vous appelez PARTENARIAT ??Souvent je me demande ce que d’autres penseront de leur existence au soir de leur vie.

  • Le 7 juin 2018 à 08:42, par Kaka En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    Huummm, vive la liberté d’expression, vive la liberté syndicale. Sous blaise compaoré, le CDP était dissout en même temps que le RSP en 2015....Le Burkina a manqué un RDV avec l’histoire dans ce sens.

  • Le 7 juin 2018 à 08:44, par garkou En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    Vous croyez que le peuple a deja oublie. Sous Blaise quel syndicat avait des couilles ? C’est parce que le MPP prone le dialogue que chacun exibe son "D" pour faire greve. Les problemes de l’Education, des Finances sont des vieux problemes mais a l’epoque le fulgurant Bassolma et lieutenants n’avaient pas atteint leur apogee.
    Le complot est ourdi par les memes vieux politiciens. Plus ca dure, plus ces syndicats seront vomis et c’est normal. Je pense que les financiers egoistes de nature veulent tuer l’economie, mais ils ne pourront pas. Dieu est grand !

  • Le 7 juin 2018 à 08:55, par AM En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    moi je n’ai aucun bord politique mais n’allons pas vite en besogne !Les syndicats étaient des partenaires sociaux vous dites ! rapelez-vous comment vous avez géré la situation aux affaires étrangères en 2007 qui est partie d’une simple marche d’une heure de temps. 105 militants ont été chassés comme des malpropres de leur ministère où pendant 5 ans ils ont rasé les murs, en dépit des décisions de justice en leur faveur. n’oublions pas si vite.

  • Le 7 juin 2018 à 08:55, par Nabiga En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    Au moins le régime actuel n’ôte pas la vie des burkinabè comme le faisait le vôtre et sans qu’il n’ y ait aucune forme de procès. En tout cas si le CDP revient au pouvoir c’est l’immigration qui va commencer pour moi.

  • Le 7 juin 2018 à 09:02, par Le BOSS En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    C’est bien sûr vous le confirmez qu’au temps du CDP la démocratie était étouffée.Si tu fais on te fait et il ya rien .C’est aussi simple que ça .Beaucoup de syndicalistes étaient bien corrompus donc vous pouviez être des partenaires.Merde à vous .Vous ferez mieux de vous cacher mais comme la politique ne connait pas de honte.Je ne sais pas c’est qui ou quoi vous voulez critiquer après nous avoir plongé dans le chaos ?

  • Le 7 juin 2018 à 09:11, par Kladjou En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    Messieurs du CDP, vous êtes mal placé pour nous parler ici de lois scélérates. Quand vous parler de manque de respect aux honorables députés, mais c’était le sport favori du CDP à l’époque !. L’assemblée était transformée par vous en simple caisse de résonnance et gare au député qui ne voulait pas suivre ; son nom était rayé de la liste des candidats du CDP depuis Ouaga aux prochaines échéances électorales . Quand aux conventions ratifiées, vous avez peur de quoi ? Puisque la première cible selon vous est votre camarade et ancien petit président FC (François Compaoré) que vous pensez innocent. Mais entre nous si ce n’est la mauvaise foi, dans la mesure ou la nouvelle loi garanti à votre ancien petit président de n’est pas être exécuté bien que lui ait fait tué de nombreux concitoyens dont certains fervents militants du CDP même, je veux parlé entre autre de David Ouédraogo par exemple que je connaissais bien ; pourquoi ne veux-t-il pas venir pour démontrer son innocence devant la justice de son premier pays (étant depuis devenu ivoirien). Messieurs du CDP, vous semblez sous- estimer le terrible impact de votre gestion durant les 27 dernières années sur ce pays. Je suis dans le privé et je suis mieux placer pour parler de votre gestion des affaires puisque vous étiez de l’autre côte de la table. Nous autres avons été contraints de quitter à un moment notre pays la mort dans l’âme il y a maintenant près de 10 ans pour aller exercer ailleurs parce qu’il était quasiment impossible de bosser dans certains secteurs économiques ici si on avait pas la carte du CDP et parrainer par un hommes d’affaire introduit. On se fichait de vos compétences. A titre d’exemple Nous avons perdu un marché avec une différence de plus de 50 millions de francs CFA avec l’adjudicataire ici qui plus n’avait même pas d’expérience dans le domaines n’en parlons même pas du respect des spéc techniques de son offre.Bref ; laisser d’autres gouverner on vous connaît déjà. Rassurer-vous nous ne vous laisserons pas revenir aux affaires ici incha Allah. Vous aviez oublier l’Omnipotent, le Sage, le Juste qui fait payer leur forfait à tous malfaiteurs avant l’au-delà . N’en déplaise à votre parti, FC répondra de la mort semé dans ce pays tôt ou tard.

  • Le 7 juin 2018 à 09:17, par LUI En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    MES PRÉDÉCESSEURS ONT DÉJÀ TOUT DIT.DITES SEULEMENT A EDIE DE RÉPÉTER AU BURKINABE DE VOTER POUR LUI EN 2020 POUR ÊTRE ÉPARGNE DU TERRORISME.

  • Le 7 juin 2018 à 09:20, par Easy En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    Ko loi impersonnelle. la modification de l’article 37 pour permettre à Blaise de s’éterniser au pouvoir que vous continuez de juger légale, était elle générale et impersonnelle ? Sur votre régime de dictature peint à la couleur de démocratie, les syndicats n’étaient pas fous d’être des adversaires. Tous ceux qui ont essayé cette démarche sont soit 1,50 m sous le sol ou à l’exil. Bandes de suceurs de sang, vous ferez mieux de la boucler.

  • Le 7 juin 2018 à 09:20, par Ka En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    Messieurs les Cedepistes vous aviez complétement raison qu’a votre temps la lutte de classes était affaiblie par votre répression et surtout les achats de conscience et morale des responsables syndicaux qui sont devenus des multimilliardaires de nos jours, et qui font chanter à l’aise un régime mouta mouta avec un représentant nommé Roch Kaboré au cœur du Christ : Tant dis que votre représentant nommé Blaise Compaoré avait un noire.

    Pour vous et à votre époque, avec un bilan de corruption à ciel ouvert, des crimes à gogo, la répression intense, ont fait que la lutte de classes dans notre société n’était plus très vive comme en ce moment avec des capricieux responsables syndicaux qui font le chaud et le froid a un gouvernement mouta mouta qui laisse un ministre de finance sans défense face à des corrompus qui veulent déstabilisé un pays.

    Ce qui est pire, on peut voir qu’une bonne partie des exploités qui sont les fonctionnaires syndiqués, ignorent complètement qu’ils sont l’objet d’une exploitation éhonté par les responsables syndicaux pour leurs propres intérêts.
    A votre temps, vous aviez eu dans vos filets des responsables syndicaux, comme celui au moment de notre révolution inachevée, que la droite Burkinabé et les valets de l’impérialisme avait demandé de déstabiliser la révolution de l’idéologues Thomas Sankara, et après ce dernier a commencé de lécher les pieds de votre représentant au cœur noire pour des postes.

    Actuellement les responsables syndicaux qui n’ont plus des avantages, ou ne sont plus sous la répression d’un président mouta mouta, se permettent d’être des héros de la lutte des classes pour berner les opprimés syndiqués, et faire des places en or en politique. Qui, peut-être en 2020 racleront les casseroles de ceux dont ils méprisaient, comme le fait en ce moment un farouche avocat contre l’injustice et l’impunité, et qui racle les casseroles de la majorité.

  • Le 7 juin 2018 à 09:27, par Thom’s En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    C’est les points de revendication accumulés sous le régime de Blaise que les syndicats revendiquent aujourd’hui. Contrairement à ce que dit Yaya Zoungrana, sous le régime de Blaise, syndicats et gouvernement étaient des adversaires sociaux et non des partenaires sociaux ! En toute sincérité vous ne pouvez contredire cela. Vous croyez tromper la conscience des syndicats, or nous avons tout vu ici. Qui a chassé les agents du Ministère des Affaires Etrangères, et ceux du Ministère des Finances (les statisticiens) en 2007 ? N’est-ce pas le régime Compaoré ? Les grèves perlées aujourd’hui sont les conséquences de mauvaises négociations gouvernement-syndicats sous la gouvernance de Compaoré. Monsieur Zoungrana, ne vendez pas votre honte comme ça. Thom’S du Syn.des Finan.

  • Le 7 juin 2018 à 09:32, par Opinion plurielle En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    Oh ! ! Qu’il est très doux de rêver ?
    Certains peuvent se le permettre parce que le peuple a toujours été pris avec tant de mépris par eux qu’ils croient que celui-ci est amnesique ; même si on peut pardonner, laisser couler, on n’oublie pas les affres de 27 années de si peu !

    Retenez cette sagesse bien africane qui dit que "la soicière oublie vite, mais la mère de l’enfant ne peut jamais oublier son enfant dont la sorcière a mangé l’âme".
    Les africains peuvent vouloir de TOUT SAUF DE CETTE PESTE, de ce CANCER DE L’AFRIQUE QUE CONSTITUE LE SEUL SOUVENIR DE 27 ANNEES DE kuassi blaise et de sa bande (je n’ose pas dire cdp seulement parce que le système était beaucoup plus élaboré que tout ce que l’on peut imaginer).

    Aussi, il vaut mieux ne pas rêver car les africains ne sont pas des DUPES.
    La Patrie ou La Mort, Nous Vaincrons !
    Opinion plurielle qui respecte celle des autres

  • Le 7 juin 2018 à 09:35, par kwiliga En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    Messieurs du CDP, il faut faire attention aux termes que l’on utilise.
    Mais je suis convaincu que vous le saviez déjà.
    Néanmoins, comme vous vous trouvez dans l’incapacité, dans l’impossibilité morale d’utiliser le nom de Blaise, vous ne pouvez exprimer clairement : "sous les mandatures de blaise", "durant la présidence de Blaise",... et vous dites donc : "sous notre régime" !
    Mais un régime, en français, ça détermine la manière de gouverner un état.
    On parle donc de régime monarchique, démocratique, présidentiel, dictatorial,...
    Du fait, si vous tenez à singulariser votre "régime" de celui que nous vivons aujourd’hui, vous admettez, par ce lapsus révélateur, que votre "règne", n’était pas démocratique.
    On retrouve ce même "complexe du CDP", quand vous évoquez : " Oui, le vote de ces trois dossiers avait pour but de donner plus de chance au dossier d’extradition pendant devant la Cour d’appel de Paris", sans être capable de citer nommément François.
    A trainer éternellement ces boulets, cette Compaorose, vous ne vous en sortirez jamais, vos propos seront toujours troubles et ambigus.
    Prenez donc un conseiller en communication, enfin, un compétent, pas le cousin de quelqu’un.
    Il vous dira certainement que peu d’internautes prendront le temps et commettront l’effort de lire un texte aussi long et si peu dynamique.

  • Le 7 juin 2018 à 09:46, par wonderman En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    sous votre régime chacun se cherchait ,on pouvait rien revendiquer et personne n’avait droit à la parole,ni de grêver de peine d’être abattu ,demandez aux militaires s’ils etaient traités de la même façon,taisez vous ,ce régime est entrain de réparer vos injustices

  • Le 7 juin 2018 à 09:54 En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    Les politiciens ont des incroyables talents. Ils oublient très vite les torts commis. L’honorable Yaya ZOUNGRANA était-il au Faso ? Je n’y crois pas, sinon il n’avancerait pas ceci ( Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont................sociaux).

  • Le 7 juin 2018 à 10:05, par Achille De TAPSOBA En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    Chers amis du cdp, toutes ces grèves ne sont que la conséquence collatérale de la mal gouvernance de Blaise l’indispensable(grand désordre). Pendant 27 ans, il a muselé les syndicats et les a brimés dans leurs droits pensant régner à vie au pouvoir. Souvent, nous nous demandons si vous savez ce que vous dites manque de cohérence dans vos déclarations. En rappel,votre mentor Blaise s’est permis de dire lors d’une grève des syndicats que c’est avec son propre argent qu’il paie les fonctionnaires. Or nous savons bien le passé de la famille Compaoré.Elle n’était ni une famille industrielle très riche ni une famille ayant des puits de pétrole pour être capable de payer tous les fonctionnaires. Blaise "l’indispensable" est venu au pouvoir en 1987 en tant que simple capitaine après une effusion de sang.

    Chers amis du cdp, vous oubliez très vite. Toutes les grosses injustices que le pays a connues se sont passées sous le régime des frères Compaoré : crimes de sang(Thomas SANK, Norbert ZONGO, David OUEDRAOGO, Henri ZONGO, Boukary LINGANI, MARTYRS du 30 et 31 Octobre 2014....) crimes économiques(pillages à ciel ouvert, corruption, clientélisme...). Si le pays avait été bien géré par Blaise naturellement on n’en serait pas à toutes ces scènes(grèves, attaques terroristes...).

    Mrs les omniscients du cdp,arrêtez vos critiques stériles et avançons le pays dans la justice et dans la sincérité. Faites des propositions concrètes au lieu de faire la promotion d’homme(Blaise) qui a été chassé toute honte bue en plein midi par ses petits fils. La majorité(mpp) ne peut pas vous prendre au sérieux car vous bavardez inutilement pour amuser la galerie.

    Soyons les bâtisseurs de notre nation et non des personnes qui souhaitent ardemment les malheurs du BURKINA car personne ne gagne (majorité et opposition). Nos enfants sont appelés à vivre ensemble sur cette terre du BURKINA.

    Ne rêvez pas un instant que le BURKINA TOMBERA CAR IL EST BÉNI DE DIEU Le SEIGNEUR EST JUSTE ET BON..

    QUE LE SEIGNEUR BÉNISSE LE BURKINA QUE NOUS AIMONS TOUS.AMEN
    PAIX ET SUCCÈS A TOUS LES BURKINABÉS. AMEN

    Achille De TAPSOBA LE Bobolais

  • Le 7 juin 2018 à 10:31, par Fatime En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    Merci M. Thom’s, en quelques lignes vous avez exprimé toute ma pensée. En plus les quelques rares syndicalistes qui n’ont pas accepté d’être corrompus n’osaient pas s’exprimer comme ils le font aujourd’hui ! Reconnaissons que le CDP a été très arrogant et cupide.

  • Le 7 juin 2018 à 10:35, par Joseph En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    Messieurs et dames les gens du CDP, c’est justement parce les syndicalistes ne pouvaient pas exercer librement leurs droits syndicaux pendant votre règne qu’ils sont en train de se rattraper actuellement. Avez-vous constaté autant de grèves en moins de trois ans pendant votre gouvernance comme c’est le cas maintenant. Pensez-vous que les burkinabé de façons générale et les syndicalistes en particuliers sont aussi amnésiques que vous le croyez ?

  • Le 7 juin 2018 à 10:37, par TRAORE En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    Messieurs les cdpistes, le menteur vit au dépend de celui qui l’écoute. Vous avez oublié les mauvaise graines que vous avez semé hier ; aujourd’hui qu’est-ce que le peuple récolte ? A vous écouter, votre régime était blanc comme neige, pourtant l’obscurité y était totale : gestions chaotiques des biens du peuple, assassinats, discriminations, mauvaises négociations avec les syndicats bref, la liste est longue. Pour prétendre à une nomination, il fallait faire l’affaire du CDP. L’Administration était politisé. Je me rappelle les années où au Ministère des Affaires Etrangères, il fallait être du CDP, si tu veux qu’on te nomme, ou qu’on t’affecte dans une Ambassade ou Consulat Général. Des fiches d’identification même étaient mises à la disposition de chaque service du Minstère. Il appartenait à chaque agent de remplir la fiche en précisant son nom et prénom, son appartenance au parti politique CDP ou non, et en y collant une photo d’identité. J’étais témoin en tant qu’agent du Minstère des Affaires Etrangères. Messieurs les cdpistes, votre crédibilité est où ?

  • Le 7 juin 2018 à 10:41, par Alex En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    Gens du CDP, de quel partenariat entre syndicats et gouvernement barbare et assassin de votre règne parlez-vous ? Voulez-vous qu’on vous rappelle ce que vous avez fait dans ce pays ? Ne faites pas semblant d’oublier. Mais c’est pas vous, c’est la transition qui vous a laissé. Vous et votre défunte Fedap/bc de malheur deviez disparaître à jamais.

  • Le 7 juin 2018 à 10:51, par Ka En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    Merci mon ami Achille de Tapsoba pour ta critique fondée et pertinente : L’extrémisme exprime la pensée de celui qui n’admet pas qu’on lui oppose une autre manière de penser , et surtout, quand l’incapacité frappe à la porte de ceux qui se disent grand, il jette l’anathème sur leur entourage c’est le cas de ces messieurs du CDP qui oublie le passé.

  • Le 7 juin 2018 à 10:51, par PAR LE NOUVEAU En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    Continuer à chanter seulement ! pendant que d’autre pays prônent le progrès, nous on prône le regrèssement. oh ! mon pays ! oh ! Roch ! tu as la volonté d’appliquer ton programme mais tu faits face à une majorité ignorante ! leurs cerveaux ont été lavés durant 27 ans. Ils ignorent les valeurs de ton idéologie ! ( surtout l’équité sociale et l’égalité ). Ce que j’ai à te dire, si tu ne soutient pas ton Ministre des finances, si tu ne continues pas sur cette lancée, si tu te décourages ! les conséquences, on en récolteras à long terme ! à qui donc la faute ?

  • Le 7 juin 2018 à 11:01, par s En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    Sous votre régime les gens avaient peur des assassinats et personne n’osait lever le doigt.

  • Le 7 juin 2018 à 11:02, par tingsaba En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    Vous dans votre régime la vous preniez plus de 50% du budget pour leur donner au détriment du reste du peuple. Sans investissement et sans vision durable.

  • Le 7 juin 2018 à 11:15, par Achille De TAPSOBA En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    Merci mon ami cher KA pour ta lutte. Sois béni pour ton langage de vérité. Merci merci merci.

  • Le 7 juin 2018 à 11:18, par Peut être moi un jour En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    Cette partie du message de CDP est une contradiction au postulat que les lois doivent être impersonnelles et indépendantes des situations individuelles : « Cette loi serait venue avant que le gouvernement du Burkina introduise la demande d’extradition ou après que la Cour d’appel de Paris ait vidé le contentieux (demande d’extradition de François Compaoré, ndlr), peut être que nous, au niveau du groupe parlementaire, on aurait voté cette loi sans difficulté ».
    Cela signifie que s’il fallait attendre que le cas François COmpaoré soit épuré avant d’introduire la loi on retombe sur le même problème de situation personnelle. Pourqui attendre que la situation de l’individu François soit vidé avant de voter la loi ? Et si penant ce temps il ya une autre situation de quelq’un d’autre qui apparait ? on entend aussi ?
    Je penses sincèrement que les lois doivent évoluer en fonction des situations du moment. S’il y’a besoin d’expatrier quelqu’un et que l’on se rend compte qu’une loi manque il faut le voter. C’est pour ça que l’AN est là. sinon on vote toutes les lois une bonne fois pour toute et personne e retouche. Mais cela n’est pas possible car la société évolue et le besoins d’adapter les lois est pressant.

  • Le 7 juin 2018 à 11:29, par Soleymane Traoré de Bouendé En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    Dans un autre continent, un pays, le C D P n’était fou pour sortir la tête au soleil pour soit disant décrier les pratiques politiciennes d’un autre parti politique.
    On s’est toutes et tous vus ici au Faso, si tu parlais avant au sein d’un groupe de personnes rassemblées, il fallait remuer la langue cent fois ensuite regarder au tour de soi avant de se prononcer.
    La peur était installée dans tous les esprit partout, le slogan était : SI TU FAIS, ON TE FAIS.
    Aller vous faire voir en Côte d’ivoire pour dire et critiquer les actions de la classe politique ivoirienne où Alassane votre bras droit veut un troisième mandant.
    Je m’excuse de dire à mes pères et mères que vous dérangez, Que Dieu vous pardonne.
    AMEN !!

  • Le 7 juin 2018 à 11:58, par le véridique En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    Que le cdp arrête de nous pourrir l’atmosphère avec ses complices de terroristes.
    C’est honteux que ces phrases proviennent de ce parti qui est à la base de toutes les condensées de révendications syndicales.
    Des opportunistes politiques.
    Allez vous faire foutre.

  • Le 7 juin 2018 à 12:17, par kabre touwende En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    ya quoi encore CDP le peuple vous a déjà jugé ne vs pressez pas pour le jugement dernier vous avez les mains tachées de sang bcp de sang !

  • Le 7 juin 2018 à 12:45 En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    « Or nous savons bien le passé de la famille Compaoré.Elle n’était ni une famille industrielle très riche ni une famille ayant des puits de pétrole pour être capable de payer tous les fonctionnaires. Blaise "l’indispensable" est venu au pouvoir en 1987 en tant que simple capitaine après une effusion de sang. »
    Achile De TAPSOBA...Donc quand on vient d’une famille pauvre, on ne peut pas devenir milliardaire.???
    « En rappel,votre mentor Blaise s’est permis de dire lors d’une grève des syndicats que c’est avec son propre argent qu’il paie les fonctionnaires. ».. Blaise n’est plus au pouvoir, mais le Burkina existe avec sa vraie réalité et est gouverné par le MPP... Le Gouvernement, les syndicats et tous les burknabés en savent maintenant.

  • Le 7 juin 2018 à 12:53, par Soodaga En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    « Or nous savons bien le passé de la famille Compaoré.Elle n’était ni une famille industrielle très riche ni une famille ayant des puits de pétrole pour être capable de payer tous les fonctionnaires. Blaise "l’indispensable" est venu au pouvoir en 1987 en tant que simple capitaine après une effusion de sang. »
    Achile De TAPSOBA...Donc quand on vient d’une famille pauvre, on ne peut pas devenir milliardaire.???
    « En rappel,votre mentor Blaise s’est permis de dire lors d’une grève des syndicats que c’est avec son propre argent qu’il paie les fonctionnaires. ».. Blaise n’est plus au pouvoir, mais le Burkina existe avec sa vraie réalité et est gouverné par le MPP... Le Gouvernement, les syndicats et tous les burknabés en savent maintenant.

  • Le 7 juin 2018 à 13:21, par LUI En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    Loi personnelle ou impersonnelle.de toute façon on peut pas voter une loi sans que ce vote ne favorise ou défavorise quelqu’un.Moi par exemple je dirai que c’est pour n’est pas pendre le seul survivant des terroriste capturé la dernière fois.

  • Le 7 juin 2018 à 13:22, par LE CITOYEN En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    Vous oubliez ou omettez de dire que le < Celui qui fait, on le fait et il n’y aura rien > incarné par le RSP a été l’arme de dissuasion jusqu’à l’insurrection même jusqu’au "coup d’état le plus bête du monde".

  • Le 7 juin 2018 à 13:36, par L DE TIGA En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    Le BURKINA FASO a besoin d’hommes et de femmes soucieux de l’avenir de leur nation. Un peu d’eau dans le vin de tout un chacun pour un pays qui est à la croissée des chemins de son développement.

  • Le 7 juin 2018 à 14:55, par Bernard Luther King ou le Prophete Impie En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    CDPéens, j’ose affirmer que le regime de Roch Marc Christian aura été le regime le plus democratique de toute l’histoire du Burkina. Toutes ces grèves,bien que douloureuses, sont à l’honneur de la democratie post-insurrectionnelle.
    A bas Dieu et vive la securité routière.

  • Le 7 juin 2018 à 14:56, par ouedraogo yamwekré En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    Chèrs élus du CDP ; vous me faites honte.Meme si vous ave bénéficié des largesses de blaise ; vous deviez avoir honte.
    REJOIGNEZ CE SANGUINAIRE en RCI si toute fois vous avez besoin de lui

    Bonjour ; je vous apporte quelques élements :
    Chers honorables députés du CDP ;
    - Blaise avait envahi la RCI ; la siera leone ; le Liberia pour voler l’or le diament ; le cacao.
    - Blaise avait libéré des otages contre des rançons ; il a beneficié de plusieurs milliards ;
    - Blaise a vendu des armes aux rebelles ; aux intégristes musulmans et a perçu des illiards ;
    - Blaise a vendu des pich up aux intégristes musulmans et il a peçà des milliards ;
    - Blaise a soutenu les rebeelles ivoiriens il a bénéficié des milliards ;
    - Blaise a rompu les accords avec avec la chine populaire en 1994 pour tisser des liens avec TAIWAN et ila bénéficé de 60.000.000 de dolards ;
    - Blaise est un vrai trafiquant.
    ROCH n’est rien dans tous celà.
    C’est çà la vérité.

  • Le 7 juin 2018 à 15:09, par Djibi En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    Sieurs du CDP, croyez-vous pouvoir vernir votre histoire ? Vous ne pourrez plus avoir la confiance des burkinabè. Les loi votées sont impersonnelles du moment où les gouvernants actuels ne vont pas se pérenniser au pouvoir, après leur exercice si quelqu’un de rend coupable d’actes de poursuite judiciaire, il le sera. De quoi avez-vous peur ?
    Aussi vous osez parler de partenaires sociaux, quelles plate-formes revendicatives avez-vous satisfaites ? Le régime actuel trébuche sur vos tas de cas d’injustice causés. De grâce, un peu d’égard pour nous, on ne vous a pas encore oubliés.

  • Le 7 juin 2018 à 18:06, par Sitting bull En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    Vraiment, c’est le comble quoi. Comment ça ? S’ il vous plait vous le CDP là, votez l’extradition de François Compaore il va confirmer ce que vous dites

  • Le 7 juin 2018 à 20:00, par Un fils de Solenzo En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    Si ce que vous dites est réel et vérité alors ramener Blaise et François Compaore pour nous le confirmer. Seuls eux dirigeaient le CDP donc vous autres les pseudo-leaders du CDP de 2018 devrez vous taire et rester tranquilles. Malgré l’exil des frères Compaore est ce que vous avez pu refaire le CDP ? Il a fallu que vous associez le nom de Blaise à votre CDP pour avoir un petit “respect” de la part de vos “militants” !

  • Le 7 juin 2018 à 20:03, par Sidnaba En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    C est parce que votre pratique et arme fatale était la corruption des syndicats qui durant 27ans ont gardé le silence sur les revendications des travailleurs. Sinon comment comprendre que des revendications lointaines surgissent des tiroirs pour satisfaction immédiate. Simplement minable et irresponsable.

  • Le 8 juin 2018 à 12:01, par sya En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    très fière en vous lisant ce matin. les gars de cdp pensaient que les burkinabés étaient tjrs BETE comme au vieux temps. on a pas oublié tout ce que vous avez fait. cher Président RMK tient bon on derrière vous pour 2020.

  • Le 9 juin 2018 à 15:35, par kassapa En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    Ils sont comme ça, toujours d’une autre époque. Ils ont tellement volé l’argent du peuple et vive en hauteur tandis que la masse est au rez de chaussée. Je pensais qu’un jour le CDP allait trouvé des leaders moins idiots pour conduire son navire. Hélas. Un expert économique aux réactions rébarbatives, qui lie l’avenir du parti à leurs ambitions personnelles. Dans leurs discours, je vous parie que le mot « sacrifice pour la nation, avenir du peuple » n’a jamais apparu. Tout leurs discours se focalisent au retour de Blaise, le retour de CDP au pouvoir, et la fin de l’insécurité qui n’est autre que le terrorisme. S’ils continuent de penser que le peuple actuel est le même au temps de Blaise, c’est que leur maladie s’aggrave. En 27 ans prés de 100 personnes sont lâchement assassinés soit en moyenne 4 victimes par an. Dieu n’existe pas dans ce parti. Des gens qui cautionnent des meurtriers sanguinaire au pouvoir pour qu’ils continuent d’endeuiller des familles. Vous n’avez pas de pitié pour les veuves, orphelins et affectés, mais Dieu n’aura pas aussi pitié de vous. Si parmi vous, il n’y a pas un seul honnête et propre, plus jeune et phase avec le contexte actuel, c’est que votre échec sera cuisant. Vous dirai que celui qui écrit par exemple est un corrompu du CDP. Pourtant non. Nous avons vécu les cauchemars du régime Compaoré faits de corruptions sans pudeurs, d’éliminations physiques des détracteurs, de laxisme extravagant. Sachez aussi que Blaise a une famille. A Gambastenga de Dapélogo, sa famille a des familles collatérales. Si des gens issus de ces familles s’érigent contre lui, cela suppose qu’ils ont renié aux faveurs pour dénoncé loyalement les pratiques malsaines. Aucun du CDP n’est capable d’une bonne lecture de la situation nationale. Vous ne savez pas que le peuple affranchi de votre régime, dénonce des injustices dont vous êtes à l’origine. Tous les textes ont été transcrits par votre régime sauf ceux de l’après transition. A vos meetings, les gens viennent en ayant à l’esprit qu’il faut vous retirer l’argent volé. C’est pourquoi vous remplirez de nouveaux des stades mais cela ne vous servira pas. Vous ferez des coups d’Etat mais peine perdu. Vous devez entreprendre un vrai renouveau du parti, car nous voulons seulement des hommes honnêtes et travailleurs pour remplacer Sankara, son ami, son témoin de mariage que le traître fils adoptifs de Sambo a tué. A l’enfer les sanguinaires..

  • Le 9 juin 2018 à 15:39, par kassapa En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    Ils sont comme ça, toujours d’une autre époque. Ils ont tellement volé l’argent du peuple et vive en hauteur tandis que la masse est au rez -de- chaussée. Je pensais qu’un jour le CDP allait trouvé des leaders moins idiots pour conduire son navire. Hélas. Un expert économique aux réactions rébarbatives, qui lie l’avenir du parti à leurs ambitions personnelles. Dans leurs discours, je vous parie que le mot « sacrifice pour la nation, avenir du peuple » n’a jamais apparu. Tout leurs discours se focalisent au retour de Blaise, le retour de CDP au pouvoir, et la fin de l’insécurité qui n’est autre que le terrorisme. S’ils continuent de penser que le peuple actuel est le même au temps de Blaise, c’est que leur maladie s’aggrave. En 27 ans prés de 100 personnes sont lâchement assassinés soit en moyenne 4 victimes par an. Dieu n’existe pas dans ce parti. Des gens qui cautionnent des meurtriers sanguinaire au pouvoir pour qu’ils continuent d’endeuiller des familles. Vous n’avez pas de pitié pour les veuves, orphelins et affectés, mais Dieu n’aura pas aussi pitié de vous. Si parmi vous, il n’y a pas un seul honnête et propre, plus jeune et phase avec le contexte actuel, c’est que votre échec sera cuisant. Vous dirai que celui qui écrit par exemple est un corrompu du MPP. Pourtant non. Nous avons vécu les cauchemars du régime Compaoré faits de corruptions sans pudeurs, d’éliminations physiques des détracteurs, de laxisme extravagant. Sachez aussi que Blaise a une famille. A Gambastenga de Dapélogo, sa famille a des familles collatérales. Si des gens issus de ces familles s’érigent contre lui, cela suppose qu’ils ont renié aux faveurs pour dénoncé loyalement les pratiques malsaines. Aucun du CDP n’est capable d’une bonne lecture de la situation nationale. Vous ne savez pas que le peuple affranchi de votre régime, dénonce des injustices dont vous êtes à l’origine. Tous les textes ont été transcrits par votre régime sauf ceux de l’après transition. A vos meetings, les gens viennent en ayant à l’esprit qu’il faut vous retirer l’argent volé. C’est pourquoi vous remplirez de nouveaux des stades mais cela ne vous servira pas. Vous ferez des coups d’Etat mais peine perdu. Vous devez entreprendre un vrai renouveau du parti, car nous voulons seulement des hommes honnêtes et travailleurs pour remplacer Sankara, son ami, son témoin de mariage que le traître fils adoptifs de Sambo a tué. A l’enfer les sanguinaires..

  • Le 22 juin 2018 à 16:23, par rat sida En réponse à : « Syndicats et gouvernement, sous notre régime, étaient des partenaires sociaux. Aujourd’hui, ils sont devenus des adversaires sociaux » (Groupe parlementaire CDP)

    les mots me manque, chacun lutte pour ses propres interêts. on se connait maintenant, courage à Rock et son equipe ; faisons leur des propositions constructives

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