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Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

Publié le mercredi 25 avril 2018 à 01h40min

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Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

Vous vous rappelez certainement du témoignage du jeune élève (E.S.), qui accusait un riche expatrié du quartier Gounghin de Ouagadougou de l’avoir violé. Eh bien, le lundi 23 avril 2018, les Hommes de médias ont été conviés à la maison du peuple de Ouagadougou pour, premièrement, écouter ou réécouter ‘’en live’’ le jeune accusateur qui s’était rendu sur les antennes de la station radio « Ouaga FM ». Et deuxièmement, entendre pour la toute première fois, le témoignage d’une autre prétendue victime (C. K., pour ne pas le nommer) tout au long de l’article. Est toujours mis sur le banc des accusés, un riche homme d’affaire de Gounghin.

Après le relais qu’a fait lefaso.net de l’information publiée par son confrère « Ouaga FM » sur une affaire de viol, les langues semblent se délier. En effet, à la suite du témoignage du jeune élève (E.S.), sur les ondes de la radio, un autre, en classe de troisième (C.K.), résidant à Ouagadougou, a avoué en présence d’Hommes de médias être la victime d’un acte de viol semblable à celui précédemment évoqué. Le responsable de cet acte, selon ce nouveau témoin (C.K.), serait le même expatrié (nous ne dévoilerons pas son identité pour le moment). Mais avant le témoignage de ce protagoniste dans cette affaire de prétendu viol, E.S. s’est à nouveau ouvert aux nombreux micros qui lui étaient tendus.

Les faits, selon E.S.

Après le supposé acte de viol, E.S. avoue avoir fait part de sa situation à un aîné de son quartier. Et sur conseils de ce dernier, une plainte fut déposée à la gendarmerie de Nongremassom. Ce serait à la suite de la plainte qu’un gendarme en poste à la brigade de gendarmerie de Boulmiougou aurait commencé avec les menaces et aurait même essayé de taire l’affaire. « Lorsque je portais plainte, le blanc était à Paris. Un gendarme m’a appelé pour me menacer. Il dit qu’il a vu l’oncle de C.K. (actuellement à la MACO), qu’ils se sont entendus sur un point », a-t-on retenu de ses explications.

A en croire E.S., et pour revenir sur le ‘’point d’accord’’ entre le gendarme et l’oncle de C.K., ce dernier devait se faire passer pour l’oncle de E.S., dans le but de trouver un compromis à cette affaire. Hélas ! le fameux oncle ne se serait pas entendu avec le blanc lors de son rapide retour dans la capitale burkinabè parce qu’il semble que le gendarme soit entré en possession d’une certaine somme d’argent sans que le prétendu oncle n’ait été mis au courant de quoi que ce soit. E.S. prétend qu’à la suite de ce geste peu ‘’honnête’’ du gendarme, lui et son soit disant oncle se soient rendus chez l’expatrié. Une fois sur les lieux, l’homme d’affaire se serait en aparté entretenu avec « l’oncle ».

Une autre visite aurait également eu lieu chez l’homme d’affaire. Mais cette fois, avec le gendarme indiqué comme étant à la base des menaces, rappelle E.S.. Sur place, il dit avoir été sommé d’effacer toutes traces d’échanges (SMS), et bien d’autres injonctions.

Des arrestations arbitraires ?

Selon E.S., l’un des interpellés et détenus à la Maison d’arrêt et de correction de Ouagadougou (MACO), qui serait également un employé de l’expatrié, détiendrait un enregistrement mettant en cause le gendarme de la brigade de Boulmiougou. Ce détenu aurait même été violenté, si l’on s’en tient au mot de la présumée victime E.S.. Et ce, afin qu’il signe le Procès-verbal (PV) qui le dit mêlé à une escroquerie. Autre confidence de E.S., c’est que la majeure partie des personnes qui étaient mises au courant de l’affaire sont présentement en prison. Ils sont au nombre de cinq, précise-t-il.

Une seconde accusation contre l’expatrié

La seconde accusation portée contre le même expatrié est le fait de C.K., un élève en classe de 3e. Egalement ami de quartier de E.S.. Les faits, selon C.K., auraient eu lieu pendant les vacances de l’année 2016. Période à laquelle il travaillait encore pour le mis en cause.

« Il m’a appelé et m’a dit que ça lui plaisait de me laisser continuer le travail parce que je le maitrisais », a déclaré C.K. avant d’affirmer qu’à la suite de ce compliment, un premier rendez-vous fut fixé au domicile de son présumé bourreau sexuel. Après ce premier rendez-vous, il eut un second au cours duquel l’acte de viol se serait produit. Il avoue de même avoir reçu juste après l’acte, la somme de 50 000 FCFA de la part de son présumé violeur.

Deux mois plus tard, il dit avoir été convoqué à la gendarmerie de Kosyam et aurait trouvé sur place ‘’le blanc’’ et « son gendarme ». Les intimidations et menaces auraient eu libre cours en ces lieux. Il aurait de fait été amené à nier un certain nombre de faits. Une fois autorisé à rentrer chez lui, il se serait immédiatement rendu au commissariat central pour porter plainte.

S’il y a une remarque à faire de ces deux témoignages, c’est bien celle de la similitude, dans les propos des prétendues victimes, dans le mode opératoire du présumé violeur et les menaces et intimidations après chaque acte supposé. Autre fait remarquable que l’on peut citer dans cet imbroglio, c’est bien la remise en cause de la crédibilité des gendarmes qui sont intervenus dans cette affaire.

Avouant être dans l’incapacité de se concentrer dans leurs études et faisant constamment l’objet de menaces, les deux jeunes élèves (E.S. et C.K.) réclament une seule chose, que la lumière soit faite dans cette affaire. Et même au-delà, parce qu’estiment-ils, en marge de leur intrigue, bon nombre de jeunes ont vécu pareil sort avec le même expatrié.


Lire aussi  : Homosexualité à Ouagadougou : Un expatrié accusé de viol


Tambi Serge Pacôme Zongo
Lefaso.net

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Vos commentaires

  • Le 24 avril 2018 à 14:56, par Indjaba En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

    Tout cela est suspect. Ne nous fions pas facilement à la version de ces jeunes Lycéens. Il faut un juge d’instruction qui va refaire l’historique des relations entre ces jeunes et l’expatrié. Il faut ENQUETER sur le plan psychologique, social, comportemental de ses jeunes. Il faut questionner leurs enseignants, des élèves du lycée qu’ils fréquentent, des voisins de quartiers, leurs communications téléphoniques et internet. Vérifier s’ils se droguent, s’ils sont réguliers à l’école, leurs notes, leurs parcours scolaires, leurs rapports avec le voisinage etc etc. Ne faisons pas du Burkina un pays dangereux pour les étrangers car nous voulons des investiteurs. C’est pas parce que l’expatrié est blanc et homosexuel qu’il y a eut forcement viol. Si en effet il y a eut viol, l’expatrié doit être sanctionné à la hauteur des faits. S’il est innocent qu’il soit relâché n’en déplaise à nos compatriotes lycéens dont la stratégie de communication autour de l’affaire me fait douter de leur sincérité car cela ressemble à de l’harcèlement voir du chantage. Mr le juge au boulot donc.

    • Le 24 avril 2018 à 22:44, par Spartacus du Burkina En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

      Rien de surprenant dans ce pays ou le burkinabé vend son frere à l’etranger sous pretexte qu’ils sont hospitaliers.
      Alors que quand un Burkinabé marche sur le pied de quelqu’un dans un autre pays,il paye cash,quelle manque de solidarité et de patriotisme !

      • Le 25 avril 2018 à 16:03, par Mon oeil oui ! En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

        Oui, c’est le prix à payer pour notre intégrité. C’est ce qui fait que nous méritons notre nom de burkinabé. Oui, nous n’allons pas supporter l’insupportable au détriment de la dignité et de l’intégrité. Ces jeunes là ont dû donner leur Q à ni... pour avoir de l’argent. Quelle honte ! Et les parents se taisent comme des carpes devant cette affaire indigne. Est-ce qu’on peut violer un homme, aussi gringalet soit-il ? Cette affaire est sombre. Il faut qu’on entende aussi le blanco et les gendarmes. Pour le cas des gendarmes, gare à eux s’il y a eu menaces de leur part pour couvrir des choses et recevoir en contrepartie de l’argent de corruption honteuse et indigne !!!

        • Le 26 avril 2018 à 09:44, par maam En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

          Vous n’ êtes pas sérieux.Ces le prix a payer pour être relégué au statut d’animaux dans ce monde. Probablement d’âne. Si cela es votre conviction personnelle garder pour vous.
          C es une grande incompréhension , intégrité nes pas naïveté, hospitalité nes pas prostitution. Sankara qui a amener la notion intégrité a rapatrié des hommes d’affaire étrangers malfaisants, et cessé de coopérer avec la France.

    • Le 25 avril 2018 à 10:33, par Dinguiswayo En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

      Pourquoi accepter une somme de 50.000 francs et ensuite clamer qu’on a été violé. Cela me parait troublant.

    • Le 25 avril 2018 à 12:54, par Paag Naba En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

      Votre commentaire est correct. Il faudra vraiment enquêter au préalable sur le comportement de ses jeunes lycéens et remettre le dossier à un juge qui fera le travail.

    • Le 26 avril 2018 à 09:48, par maam En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

      ourquoi pas autant de méfiance et de contrôle sur l’étranger. l’étranger a probablement tout le soutien qu’il lui faut.

  • Le 24 avril 2018 à 14:56, par abdoul En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

    Ce gendarme , l’expatrie et tous ses complices méritent la fusillade. Si jetais un frère de ces etudiants, soit on me tue. Le gendarme et expatrié n’existeraient plus.. les droits de l’homme. Le gendarme qui est supposé être le garant devient complice d’un étranger pour violer ses propres frères ? Il mérite quoi si ce n’est pas une fusillade ???? Bref, j’espère que les étudiants ont des parents et qui ont leur burkindlim....tant pis pour ceux qui croient à la justice....comment peut-on enfermer des victimes à la maco.....Oeil pour oeil dent pour dent

    • Le 24 avril 2018 à 21:19, par ne soit pas ridicule En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

      commencons par éduquer nos enfants a gagner dignement leur vie au lieu de se prostituer. Des élèves et c’est des soit disants oncles qui partent pour negocier de l’argent avec le violeur. Reflechis un peu : On viole ton neveu et toi tu va pour faire un arrangement où il est question d ’argent.sinon tes menaces de mort ....

      • Le 25 avril 2018 à 00:40, par abdoul En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

        Oui je te comprends très bien cet oncle qui en passant n’est pas son vrai oncle fait partie des complices à fusiller. Je ne m’amuse pas mais si quelqu’un le fait à mon parent direct et proche soit je suis mort sinon la personne ou les personnes complices seront morts. Personne ne souhaite la mort ce n’est pas bien , mais il ya des moments il vaut mieux d’être mort que vivant à moins d’être sans dignité dans burkindlim.... Je ne parle pas de ceux qui ont choisi d’être homosexuel, ca s’est leur problème, mais si tu violés mon frère garçon ou fille par force et menace, soyez en sûr la personne ne le fera plus à quelqu’un d’autre à moins qu’il soit le premier à m’éliminer . La loi du talion est l’une des meilleures lois que Dieu le plus juste des juges nou s a ordonné. Dieu est plus intelligent que nous.

        • Le 25 avril 2018 à 16:16, par Outré En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

          Mr Abdoul, avez-vous prouvé qu’il y a eu viol ? Et s’il y a eu consentement entre le blanc et ces malheureux jeunes ? Est-ce qu’on peut vraiment violer un homme (sauf si on lui met un revolver à la tempe) ? Est-ce que ce ne sont pas plutôt nos enfants que nous devons réprimander, bien sûr avec leurs soi-disants parents corrompus et indignes qui ont dû recevoir de l’argent du blanc pour couvrir cet acte homosexuel ? Soyons toujours juste dans nos prises de position en écoutant les deux parties mises en cause.

      • Le 25 avril 2018 à 06:24, par Mag En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

        Chers frères avant tout propos il est mieux de bien lire le message véhiculer par nos frères journalistes, car c’est derniers ne relate que les faits selon l’annonceur. Et au vue des dires il est évident que le présumé violé < notre burkind bila > est un jeune qui se débrouille en dehors de ses études pour subvenir à ses besoins. Il est important de ne point accablé une personne qui, dans un pays comme le notre, arrive à porter plainte pour viol et de surcroit un homme. Pour ceux invoque certains éléments psychologique, social etc...désolé mais vous n’êtes vraiment pas imprégnés des réalités du citoyen lamda de ce pays. Néanmoins le procureur général doit jouét son rôle d’avocat de la société et entrée en contact avec les victimes pour sévir celui qui mérite châtiment. Au présumés victimes yako ne vous laissé pas intimider car votre silence condamnera vos frères qui seront réduit au silence. Courage à vous.

      • Le 25 avril 2018 à 08:03, par Très Intrigué En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

        Les enfants, issues de famille pas aisées essayaient justement de gagner leur vie en allant travailler chez ce dernier.
        Bien relire svp.

      • Le 26 avril 2018 à 09:29, par maam En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

        Réfléchi : Contre l’étranger on doit toujours défendre les siens et non le discréditer. l’étranger a probablement plus de soutien et protection légal de son pays que tu ne pourra avoir.

  • Le 24 avril 2018 à 15:07, par LePatriote En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

    Pauvre de nous ! Nous sommes un des pays ou il vaut mieux être étranger que local. Les étrangers sont mieux traités que nos frères burkinabé, on aime les autres plus que nous mêmes. La justice et tout l’appareillage administratif ont plus tendance à faire des faveurs aux étrangers même quand ils ont tort au détriment de nos concitoyens. Cette situation n’existe nulle part que dans nos pauvres pays, demander à nos compatriotes qui habitent en Afrique du nord, en Europe ou en Amérique comment ils sont traités !! Vous partez avec un handicap du fait de votre statut d’étranger et pire, de noir.
    C’est inacceptable que des gendarmes collabo méprisent nes compatriotes dans leur raison, en échange de quelques billets de FCFA. J’ai la RAGE.
    NB. au journaliste qui a écrit l’article, le terme approprié est immigré et non expatrié (Un libanais ou français vivant au Burkina doit être considéré comme un immigré du point de vue Burkinabé et expatrié du point de vue des libanais/français).

  • Le 24 avril 2018 à 15:41, par Sidbala En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

    Il est bien évident que ce blanc se livre en toute impunité à des actes de viol et ce en complicité de certains éléments de la gendarmerie qui menacent ensuite les victimes pour les amener à ne pas porter plainte. sinon cette histoire d’escroquerie inventée par les gendarmes est cousue de fil blanc et ça saute à l’œil que c’est pour protéger le corps. Sentant la menace venir du fait de la plainte déposée au commissariat il fallait inventer quelque chose pour cacher la vérité. Mais malheureusement pour eux, cela ne sera pas possible car les personnes impliquées dans cette affaire sont toujours en vie.la gendarmerie gagnerait à extirper les éléments ripoux en son sein au lieu de leur trouver un refuge car à la longue ils vont gangrener tout le corps et ils porteront atteinte à l’image de l’institution. Quant aux autorités judiciaires ils doivent rapidement prendre au sérieux cette affaire et la traiter sans complaisance car il y va de la crédibilité de la justice mais surtout car elle porte atteinte à la dignité humaine.

  • Le 24 avril 2018 à 15:58, par L’intègre En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

    Le Faso est-il devenu la jungle ?
    Toute cette histoire est montée contre le riche man expatrié par certains hommes d’affaire du pays des hommes intègres. Il faudra qu’on commence à dire à ces expatriés que le Burkina Faso n’est un pays de sécurité mais egalement un pays où les expatriés doivent se méfier dans le domaine des affaires.
    Quelle merde.... c’est l’argent cadeau que ces gens cherchent en accusant ce riche man.

  • Le 24 avril 2018 à 16:04, par zenabada En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

    C’est pourquoi j’aime la révolution de Thomas Sankara et je vais toujours l’aimer point bar en son temps cela n’était qu’un rêve parce que sa ne pouvais jamais arriver avec ses gendarmes pourrir.
    l’ennemie de l’homme noir c’est toujours l’homme noir.par ce que c’est soit disant blancs riches ne peuvent pas se permettre ici en Europe ils le font allègrement en Afrique avec leur miette ils corrompe nos force de l’ordre inconscient sans se soucier que c’est le peuple qu’il méprise, qui les pays avec les impôt les taxe et autre mais sont toujours près a tourné le dos à se peuple pour des intérêt égoïste et sans valeurs.
    Ils y a des FDS qui ont perdu leur âme, pendant que d’autre se batte contre les force du mal,il reste encore dans nos rang des FDS qu’ils faut bannir chassé licencier et les envoyer à la MACO au vu de leurs actes.
    Pour ma par j’invite le jeune a poser plainte contre se gendarme avec l’a puis d’un avocat.
    Le peuple doit encore se lever car il reste encore beaucoup a faire.
    Merci a nos valeureux journalistes et Faso-net.
    Les mêmes causes produisent les mêmes effets se gendarme n’a pas pris conscience de l’affaire DAVID et NORBERT ZONGO intimidation jusqu’à ce que mort sans suive ou est François aujourd’hui.
    Si se pauvre gendarme pouvait savoir et comprendre que l’actes pauser sur son frère noir doit le salir lui aussi devant le Blanc qui se croit toujours supérieur au noir la preuve est là au 21 siecle des noirs sont montés contre les noir comme au temps de nos ancêtre esclaves.

    • Le 24 avril 2018 à 19:27, par Deuxieme Yamyélé En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

      Bonsoir parent zenabada . J’aurai souhaité que KA. KORO YAMYELE, MOLOTOV ou X9 nous raconte l’histoire de Jean MORAT sous la révolution. J’étais petit en son temps, mais je crois que c’est un blanc qui a laissé son chien faire l’amour avec une ghanéenne. Je crois savoir que Jean MORAT a été jugé devant les TPR (Tribunaux Populaire de la Révolution) et son chien a été abattu. Cependant je ne me rappelle pas de la sanction écopée à John. Mes grands frères sus-cités, confirmez ou infirmez ce dont je me rappelle vaguement, et donnez nous plus d’infos sur ce dossier Jean MORAT.
      Cordialement, mes grands frères de valeur. J’attends vos précisions. Eclairez la jeune génération

      • Le 25 avril 2018 à 09:02, par Mosak En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

        J’ai suivi cette intrigante affaire en son temps, et je peux vous dire que non seulement Jean Morat a fait la prison, et en plus il a été expulsé du Burkina ; j’ai été jusqu’à vérifier les faits à l’ambassade de France.
        Quand à Habiba Sampoino la ghanéenne, il semblerait qu’on la fait dès qu’elle est retournée au Ghana.

      • Le 25 avril 2018 à 10:37, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

        - Deuxieme Yamyélé, tu seras satisfait par le Kôrô Yamyélé tout de suite. Ma mémoire n’est plus très fidèle mais je crois que Jean MORAT était un expatrié qui travaillait au Burkina Faso sous la Révolution de Thomas Sankara. Il avait je crois accouplé son chien avec une femme de bar d’un pays voisin disait-on (pays que je ne veux pas nommer ici). Alors, surpris, les CDR ont exigé son départ et il a été désigné persona non grata, donc un indésirable au Burkina. Sankara l’a sommé de quitté le pays sous 24 h, ce qui fut fait, mais sans son chien car il fut abattu.

        D’ailleurs à l’époque j’étais de passage à Bobo-Dioulasso et je suis allé au camp Ouezzin pour voir un ami officier et j’entendais le recrues du SERNAPO chanter : ’’Jean MORAT, Anw bii fora ka bô Burkina...’’ (Jean Morat merci d’avoir vite quitté le Burkina....). Je me suis renseigné et on m’a dit que les SERNAPO ont surnommé leur 4ème bataillon sous le commandement d’un certain Peytou Michel, très efficace, ’’Battaillon Jean MORAT’’. La raison ? Un soldat en formation est sorti la nuit sans être vu par les sentielles. Il est allé se ’’soulager’’ chez les femmes de nuit. Puis il refuse de payer. Elles crient l’alerte et l’encerclent avec des bouteilles remplies de sable pour lui régler son compte ! Il fractionne le cercle et disparait dans l’obscurité. Les CDR le prennent en chasse et il fonce dans le cimetière en face du camp, rampe entre les tombes et reprend le mur du camp sans encore être vu par les sentiennelles de faction. Il pénètre furtivement dans sa chambre et se couche tranquillement dans son lit tout habillé comme si de rien n’était et se couvre. Mal lui en prit car une sentinelle avait observé une anomalie et a suivi le mouvement jusque dans la chambre et a exigé de savoir qui vient de rentrer sinon punition collective pour tous. Personne ne l’a dénoncé et le lendemain tous ont mis de gros cailloux dans leurs musettes au dos et sont allés à Matourkou à 10 Km faire signer des papiers par le Directeur comme preuve qu’ils y sont allés, puis sont revenus. Ils ont été manoeuvrés toute la journée, traînés dans boue. Mais rien personne n’a dénoncé et ainsi ce Bataillon fut surnommé ’’Bataillon Jean MORAT’’. Inutile de vous dire que le chef de ce bataillon Chef Michel Peytou fut par la suite félicité par sa hierarchie pour l’efficacité de ses élements !

        Voilà ce que je sais Deuxieme Yamyélé. Peut-être que mon ami KA va en ajouter.

        Par Kôrô Yamyélé

        • Le 25 avril 2018 à 11:55, par Matou à Sikassossièra En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

          Je ne savais pas que Kôrô Yamyélé avait un deuxième grand fils !! Dis moi Kôrô, La femme se nommait Habibou..... non ?? C’était beaucoup Dans Les chansons à Bobo ici.

        • Le 25 avril 2018 à 14:46, par Ka En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

          Mon ami et promo Kôrô Yamyélé : Je n’ai rien a ajouté tu as tout dis, et aussi j’ai répondu a notre jeune Yamyélé comment cette histoire a fait du bruit à l’époque. La coïncidence est qu’en ce moment j’étais aussi à BOBO aux locaux de la police nationale pour initier a nos jeunes pionnière et pionnier, l’idéologie de notre révolution, parmi ces jeunes policières et policier pionnières et pionniers, Nana Saly Fatou Diendéré et tant d’autres, et c’est par le feu Inoussa Sankara nationale, animateur radio, que nous avons appris cette histoire rocambolesque avant même la presse écrite, et qui a même failli créer une crise diplomatique. Heureux de te lire mon ami et promo Kôrô Yamyélé.

    • Le 25 avril 2018 à 07:27, par darlat En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

      Voyez vous mettons nous souvent à la hauteur.
      Le journaliste ecrit des choses suggestives :
      - expatrié est ce important ? qu’est ce que ce statu viens voir avec homosexualité oubien viol ?

  • Le 24 avril 2018 à 16:28, par wait and see En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

    Cette affaire doit être prise au sérieux pour démasquer les véritables coupable.Actuellement il ya la police et la Gendarmerie qui sont impliqués c’est très dangereux.Il faut qu’on situe les responsabilités.Aujourd’hui pour l’argent les gens sont près à tout même vendre son propre frère.

  • Le 24 avril 2018 à 16:46, par lapatriote En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

    L’argent et toujours l’argent. C’est le mouvement balance ton porc qui est en marche. Avant ce sont les filles qui cherchaient les blancs maintenant ce sont nos garçons.
    Je demande à mes frères et sœurs burkinabè et africains de nous recentrer sur l’éducation de nos enfants sinon nous n’aurons plus de larmes pour pleurer.
    éééh l’aaaargent !!!!!

  • Le 24 avril 2018 à 17:28, par Nathalie En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

    C’est triste...
    Mais plus triste est cet écrit. Et le précédent. Soit on décline les identités pour qu’il je dit il ne fasse plus des victimes soit on continue de parler en paraboles et il continue tranquillement ses actes de viols. Même si la justice n’est pas faite tout de suite, déclinez au moins son identité afin que des jeunes sachent, se méfient et ne se jettent pas innocemment dans la gueule du loup. Il ya des choses que l’argent n’achète pas et l’une d’elle est la dignité.

  • Le 24 avril 2018 à 17:35, par Roosvelt En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

    Ces gendarmes sont à déshabiller purement et simplement. Voilà des brebis galeuses qui ternissent l’image d’un corps jadis respecté et qui inspirait confiance. Pourquoi laisse-t-on des délinquants porter la tenue de nos FDS pour dégrader le corps ? La hiérarchie doit, sans complaisance, sanctionner ces délinquants qui profitent de la tenue pour martyriser les citoyens, en les déshabillant. Devenus civils, on verra comment ils peuvent proférer des menaces à l’égard des citoyens.

  • Le 24 avril 2018 à 18:50, par Subtance Grise En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

    Cette histoire de viol est à vérifiér surtout quand on accepté encaissé 50 000 cfa
    Dommage pour cette jeunesse.
    Par contre il faut diligenter une enquête sur le comportement de certains gengarmes dans les brigades. Beaucoup de burkinabè sont victimes d’abus à la faveur de la corruption.
    Vérifiez à la gendarmerie de kossyam non loin de l’échangeur vous servez sidérés du comportement de certains gendarmes
    Le pays va serieusement mal dans son modèle de sociètè actuellement.
    La recherche des capitaux ne saurait etre seulement suffisant.
    A quand la mise au point d’une discipline á suivre par tous
    La corruption est un tombeau ouvert et aucun developpement n’est possible

  • Le 24 avril 2018 à 19:08, par Jkoro En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

    Au contraire, la police vaut mieux que la gendarmerie actuellement. L état major de la gendarmerie est actuellement dans l ex quartier paspanga communément appelé camp paspanga , mais allez y voir la prostitution a ciel ouvert qui y est menée..... Et rien n est fait......cela en dit long.....

  • Le 24 avril 2018 à 19:08, par Cami En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

    Il faut vite suspendre et mettre aux arrêts le gendarme pour les besoins de l’enquête.

    si les indices contre le blancs concordent, vite un mandat d’arrêt international contre lui.

    je ne suis cependant pas surpris du comportement du gendarme. Ils sont nombreux des gendarmes pourris jusqu’aux os , qui prennent l’argent des bourreaux pour faire taire les victimes.
    a de nombreuses reprises, des gendarmes ont été pris la main dans le sac en reclamant de l’argent avec des délinquants sous promesse de ne pas saisir le procureur du Faso pour déferrement à la MACO.

    honte à vous

    a mes jeunes frères burkinabé, je vous exhorte à vous ressaisir. Pour l’argent vous acceptez d’être des pédés . Le blanc vous a t’il forcé pour la relation sexuelle ? Pourquoi avez vous accepte de l’argent après les faits ?
    Cest un peu confus et suspect.

    ehh vous les juges, il faut vous auto saisir de cette affaire

  • Le 24 avril 2018 à 19:10, par Jamahiri En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

    C’est dommage de voir des jeunes se vendre ainsi. Le pire c’est qu’ils se présentent comme des victimes en mediatisant leurs actes.Aucun scrupule et aucune gêne. C’est plutôt l’expatrié qui est victime de chantage et certainement de règlement de compte dont les aboutissants dépassent ces jeunes vendus. Le business de l’expatrié dérange ses concurrents. Ils veulent le faire tomber en usant des moyens mesquins et immoral. Il y’a a peine quelques mois cet expatrié recevait des recompenses de nos autorités pour louer son travail. L’histoire nous a montré à plusieurs reprises que certains commerces fleurissants ont disparu sous prétexte de rumeurs populistes et infondés . Ex kunde.

    • Le 25 avril 2018 à 04:03, par Caca En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

      Si les jeunes reprochent à ce monsieur, c’est qu’il fait quelque chose de malsain au yeux de la population burkinabé. Qu’il se souvient de l’affaire DSK ou d’autres figure mondiale. Si l’expatrié se donne à des pratiques occultes lié au sexe il court vers sa fin. J’admire personnellement le courage de ces jeunes qui veulent affronter leur culpabilité. Ils sont victimes dans le sens ou cette pratique n’est pas autorisée et ni acceptée dans ce pays. Il pouvait se trouver que au départ les jeunes ont fait ces choses pour des fins économiques et l’homme aussi peut bien abuser de leur confiance en croyant qu’avec son argent il pouvait tout acheter et contrôler. Vous connaissez certainement l’expatrié puisse que vous parliez qu’il y a de quelque mois, il a été récompensé par les autorités. Je crois plutôt que les jeunes veulent soulager leur conscience et la justice devait se saisir du dossier avant que ça soit trop tard. Imaginez-vous qu’une association humanitaire d’expatriée auto-saisi l’affaire, parce que les jeunes parlent de viol. Aujourd’hui, on voit même le puissant Boloré devant la police française pour affaire de corruption en Afrique. Jamahiri autant que vous avez compassion de l’expatrié autant devait essayer de comprendre le geste de ces malheureux jeunes. Ils méritent notre respect aussi malgré leur erreur de la jeunesse. Ils regrettent certainement et peut-être la raison d’amener l’affaire sur la place publique.

    • Le 25 avril 2018 à 08:16, par Très Intrigué En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

      Ce qui est intéressante c’est qu’ils ont porté plainte. Alors la lumière sera nous l’espérons faite.

  • Le 24 avril 2018 à 19:17, par Sigry En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

    Si les gendarmes concernés avaient joué franc jeux on en serait pas là. En même temps que ça serve de leçon à tous les corrupteurs ; la corruption ne vous met plus à l’abri de poursuite judiciaire.

  • Le 24 avril 2018 à 21:58, par alpha1 En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

    Les cinq autres qui sont en prison y sont pour quelle affaire ?l’E.S est réparti chez le blanc pour fait quoi ?Est ce que E.S a posé la plainte de concert avec son oncle ou c’est lui seul qui est allé poser la plainte ? Et les cinq autres personnes qui étaient au courant ,qu’ont ils fait ?Les gars posez vous les bonne questions .

  • Le 24 avril 2018 à 22:40, par Elmi En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

    Cette histoire ne tient pas debout du tout. Sois le blanc s’edt ouvertement entendu avec ces gens pour du sexe en échange d’argent ou alors c’est de l’arnaque. Comment de grands garçons comme peuvent se faire violé par un blanc ? Physiquement, je crois que cela n’est pas très probable. Et pour le second jeune homme, pourquoi avoir empocher 50,000 FCFA et revenir après plusieurs jours pour se plaindre ? Arrêtez votre cirque. Deux grand gallards comme vous devraient avoir honte de dire au monde entier qu’ils se sont laissés violé par un blancs sans se défendre. Si le blanc a couché avec vous, c’est que vous vous êtes prostitué, un point c’est tout. Vous devez tous être jugés pour atteinte aux mœurs...

  • Le 25 avril 2018 à 02:58, par Nonbril En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

    Ah ouaga des histoire.tout semble permis dans ce beau pays.vivement bientôt la révolution sinon comment comprendre ces travers dans ce pays la.

  • Le 25 avril 2018 à 03:36, par Caca En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

    Ce expatrié doit commencé à faire ses valises, mais même en France il doit aussi s’inquiéter car Boloré est même en difficulté avec pour l’instant la police judiciaire. Qu’il se souvienne d’un certain DSK, ou un Ramadan tariq. J’ignore si ces jeunes étaient consentants, mais le contexte social burkinabé aujourd’hui conçoit mal l’idée de l’homoséxulité. Même s’il y a des burkinabé qui la pratique, officiellement l’homosexualité est un délit de conscience et ceux qui se donnent à cette pratique mérite un jugement populaire. Que deux jeunes en parlent ça commence à être de trop. Le vice lié toujours au sexe finit à rattraper les auteurs.

    • Le 25 avril 2018 à 16:48, par Jamahiri En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

      Vous semblez être pressé que cet expat fasse ses valises. Sans jugement sans enquête. Qu’il abandonne son projet de vie pour des garçons qui se sont courbés devant lui pour de l’argent ? Que veulent ces jeunes ? Un visa ? De l’argent ? Une chirurgie anale ? Ou peut-être que certainement ils veulent l’ intimider pour qu’il quitte le pays comme vous le souhaité Cher CACA. Ou peut-être que certains aimeraient qu’il cesse ses activités professionnelles dans lesquelles il semble irréprochable. Entre quelqu’un qui se courbe pour a peine 100 dollars et quelqu’un qui emploi des gens lequel apporte plus à notre société ? Imaginez la lutte entre un mangeur de benga et un mangeur de fromage !

      • Le 25 avril 2018 à 18:20, par caca En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

        Cher Jamahiri selon votre terme utilisé me concernant. Il est peut-être vrai que les jeunes ont pratiqué l’homosexualité avec ce étranger pour de l’argent, mais c’est l’enquête qui devrait confirmer. Les jeunes accusent le blanc pour viol c’est différent. Vous serez d’accord avec moi que certains hommes qui ont beaucoup d’argent pensent que tout est permis et que leur sujets doivent se soumettre à tout point à leur volonté. Surtout quand il s’agit des blancs avec des noirs. Je ne connais pas les jeunes et ne soutient pas non plus leur comportement, mais je pense qu’ils quelque chose à reprocher à ce monsieur qui a dépasser sa dignité de l’homme professionnel. Il ne faut as oublier que dans l’affaire DSK au pénal il a payé plus de 3 Millions de dollar et aujourd’hui il est devenu un homme d’ombre. Si ce blanc au pays de Thomas Sankara veut faire affaire qu’il les fasses avec intégrité et de bonne moralité. Les deux jeunes parlent de viol et accusent les gendarmes de complices.

  • Le 25 avril 2018 à 06:11, par Karfolo En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

    Il est temps de recadrer Les choses au Faso. Jusque là l’hommo sexualité est interdite au BURKINA Faso. Une enquête sérieuse et rapide doit être mené. Une enquête sans complaisance. Si ce sale blanc est reconnu coupable, une sanction à la hauteur de son acte doit être prise. Il est temps de protéger nos enfants mineur. Il est temps aussi de dévoiler l’identité de ce soit disant expatrié et homme d’affaires. Nous devons cesser de couvrir les prédateurs et autres vautours qui violent la conscience et l’intégrité physique de nos jeunes mineurs. La déliquescence morale de notre société est entrain d’atteindre à stade de non retour. Si rien n’est fait, nous vivrons en direct ce chaos social.

  • Le 25 avril 2018 à 06:57, par Dallor En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

    Je ne sais pas trop comment analyser cette histoire..certes in viol est condamnable que ce soit sur une fille ou un garcon.
    Mais in viol ou te paye de l’argent et tu accepte excusez moi , c’est pas assez Claire..je ne peux Jamais accepter de l’argent de la part d’une personne qui viens tout juste de me violer, la haine, la rage et le degout que J’aurai eu en moi juste apres in truc Pareil en ma personne c’est de trouver un couteau et trancher la gorges a ce dernier..mais de l’a a accepter de prendre de l’argent dans ses mains jamais je le ferait..
    Alors je pense que cette histoire merite d’être bien analyser afin de determine ce qu’il s’est reellement passer.

    Quand aux gendarmes et aux policiers qui sont soupcones de complices et d’intimidation ou de menaces aupres des pretendue victimes , si ca s’evere être vraie alors il faut les deshabillés.

    La c’est pas une question de noir ou de blanc on parle d’un être humain avant tout.
    Je ne fait que passer.
    Merci

  • Le 25 avril 2018 à 07:05, par Ka En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

    ’’’A’’’ l’internaute deuxième Yamyélé : A l’époque pour cette affaire d’un patron et son gardien qui étaient complices des bêtises d’un chien sur une jeune femme, c’était une affaire planétaire et pour la presse écrite comme le carrefour Africain et Sidwaya, c’était du régale : Car au Burkina le fatalisme est la racine du mal : Le jeune juge des TPR de l’époque son honorable Komi Sambo Antoine toujours vivant à nos jours, peut mieux expliquer cette histoire rocambolesque qui a secouer tout un pays. Pour d’autres dans nos campagnes à l’époque, cette histoire dénature la prédétermination que Dieu et la nature nous réserve : Car, les fatalistes de nos villages, et même quelques cadres conservatifs dans les villes de notre pays, demandent aux autorités coutumiers et judiciaire que ce blanc subisse la passivité de la loi de nature : Car, pour ces fatalistes fondamentaux et conservatifs, ce qui est arrivé à cette pauvre femme dans la résignation, ne rentre pas dans la loi de la nature, et ce n’est pas croyable que cet acte ignoble soit arrivé sur le sol Burkinabé.

    Oui ! Il faut les comprendre, car tout est prédéterminé selon leurs esprits, et que cet acte n’est pas naturel, car pour eux, la mort n’est jamais naturelle : Un accident n’est jamais naturel, une maladie n’est jamais naturelle, cet esprit de l’ignorance à l’époque par les fatalistes de notre pays, demandaient qu’on condamne à mort ce pauvre blanc. Mon cher deuxième Yamyélé, je suis heureux qu’aujourd’hui mon pays ait évolué, si c’était à l’époque, et que cette affaire est avéré vrais, ce blanc ne mettrait plus pied au Burkina, et les gendarmes impliqués seront condamner immédiatement par le TPR. Sous réserve, je m’abstiens de dire tout de ce que cette histoire du chien et la femme a causé comme dégâts morales a quelques-uns de notre peuple de l’époque.

  • Le 25 avril 2018 à 07:12, par Testeurt En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

    Donnez nous s’il vous plait le nom de ce monsieur, s’il vous plait.

  • Le 25 avril 2018 à 07:17, par L’IMPERIAL En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

    M. Indjaba je suis tout de même surpris que tu veux qu’on enquête sur les élèves, mais pourquoi pas sur le blanc en premier lieu ? C’est pas parce qu’on veut des investisseurs qu’on doit laisser les blancs venir faire leurs sales besognes ici. Soyons réaliste. Si tu n’est pas complice de ce blanc, sache que sa n’arrive pas qu’au autres.

  • Le 25 avril 2018 à 08:30, par molotov En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

    Faut pas se laisser submerger par l’émotion et édulcorer les faits. C’est la version d’une partie.Attention à la sensibilité à fleur de peau.J’aimerais bien voir le gabarit de ces jeunes comparé à celui de l’expatrié. Comment on peut violer un homme , le prendre par l’anus (exgisez la grossièreté, mais pas de tabou dans les faits) sans qu’il n’oppose de la résistance. Y’a t-il eu menace avec une arme ou quelque chose dans le genre ? Ou bien il y’a eu un consentement un peu forcé (par l’argent) avant de passer à l’acte.
    Conclusion, il faut pas prendre pour parole d’évangile les dires de ces jeunes hommes sans une enquête sérieuse. Les affabulations, les amalgames sont si faciles dans des cerveaux jeunes. A la presse d’être lucide et ne pas tomber dans le panneau comme dans la triste affaire’’ Dutroux’’.
    J’espère me tromper.

    # MOLOTOV

  • Le 25 avril 2018 à 09:58, par Nonlericcou En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

    Tres bonne contribution , je ne peux rien dire de plus. Merci !

  • Le 25 avril 2018 à 10:08, par BOINZEMWENDE En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

    Restez la a parler, que vous n’allez pas dire les noms, dans quelques jours le gendarme va arriver a avoir son pret puis quitter le pays pour rejoindre son cher expat, c’est la encore on va dire que le complice aussi a quitté le Pays.

  • Le 25 avril 2018 à 10:13, par Agouro En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

    Comment peut-on se laisser embarquer par les déclarations des élèves sans analyser au fond cette prétendue viol ? Comment ses élèves se sont déshabillés ? ils ont engagés une lutte avant les rapports ? où a eu lieu le viol ds la douce dans le lit ? est ce le blanc à lui seul vu son âge peut maîtriser ses jeunes avant de les violer ? pourquoi ils ont accepté l’argent après le viol ? est ce que c’est leur première fois ?

  • Le 25 avril 2018 à 10:23, par LASS En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

    Pourquoi attendre deux ans avant de poser le problème sur la place publique ? Pourquoi accepter prendre de l’argent ? Le Burkinabè ne saurait vendre sa dignité pour un travail. Qu’est ce que le Gendarme gagne dans les bêtises de ce monsieur ? Il faut punir les fautifs a la hauteur de leur acte. Que nos jeunes frères évitent le gain facile et qu’ils sachent que le burkinabè, quelque soit sa misère ne saurais accepter ces choses là.

    • Le 25 avril 2018 à 11:22, par lucidité En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

      Lass vs avez raison, il faut chercher à voir claire dans cette affaire. ici au Faso la pauvreté fait que des personnes sont capable de tout pour obtenir de l’argent. à mon avis c’est jeune là ont voulu faire du chantage au blanc car croyez moi moi certain jeunes sont beaucoup ambitieux.si non comment accepter de l’argent après un tel acte, toi qui te dit homme et contre cela.comment attendre tout ce temps là ?
      voyez même les multiples rendez vous avant le soit disant acte de viol. ne voyiez vous pas où voulait en venir le blanc, déjà l’approche devais vous avertir de quelque chose du genre. il faut vérifier certaine chose pas claire.....

  • Le 25 avril 2018 à 10:39, par PITIEPOURMONPAYS En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

    Vraiment trop de questions à se poser sur ce dossier. Viol ? prostitution ? chantage ? homosexualité dans un pays qui ne l’a pas légalisée ? autant d’intrigues qui plus encore la gendarmerie / police impliquée en tant que accusée. la question saillante que je me pose est pourquoi accepter de l’argent après avoir subi un viol ?
    Dieu sauve le Burkina et sa jeunesse

  • Le 25 avril 2018 à 14:44, par par le droit des enfants En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

    je condamme ce acte de sorcellerie de toutes mes forces .justice pour Sawadogo eugene .les force de l ordre me déçoivent par leur attitude ignoble et meurtrière .justice .tous les burkinabé doivent dire non au viol et non a l homosexualité : !!!!!
    justice pour mon frere !

  • Le 25 avril 2018 à 14:49, par Tilaï En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

    Après avoir découvert le créneau pour se faire l’argent "facile", E.S. a soufflé le secret à son ami C.K.
    Ce dernier est allé à son tour et a constaté que le deal en valait la peine (50 000 F pour un petit footing avec un vieux Blanc !).
    L’argent fini et son "sexe" fané (le Blanc ne voulait plus de son truc...), et toujours à la recherche du gain facile, E. S. mijote un plan B : faire du chantage au Blanc pour lui arracher des sous ; malheureusement un 3ème larron, plus cupide (un gendarme) s’invite dans le deal et gagne mieux que les 2 "prostitués".... à suivre.
    Tilaï

  • Le 25 avril 2018 à 16:59, par le patriarche En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

    Bonjour mes confrères et internautes. Merci au faso.net et ses webmasters. je ne voulais pas du tout commenter cet événement mais, certaines interventions me l’obligent. je voudrais dire simplement à tous ces internautes qui s’insurgent contre ces jeunes victimes de tels actes, tous ceux qui pensent qu’ils veulent escroquer l’expatrié, tous ceux qui ont du mal en entendre les noms gendarmes dans une bavure de ce genre, qu’il n’y a pas de fumée sans feu. Dit-on. Même si l’affaire date de 2016, il y a une raison : la gendarmerie a influencé les citoyens burkinabé tout au cours de la transition avec les arrestations arbitraires. Quotidiennement, la gendarmerie de........a arrêté un tel ou fait ceci ou cela.Aussi, le début de ce régime (2016-2017) a été une période favorable pour cette gendarmerie car très proche des autorités actuelles, elle narguait tout le monde même les militaires et les autres corps se faisant ainsi le MAÎTRE DES MAÎTRES. Le Caporal Madi l’avait signalé lors de son procès que les gendarmes lui affirmaient au cours de sa detention au camp paspanga ceci : Avant c’était vous, maintenant c’est nous.
    Acceptons que pour un citoyen vulnérable qui avait suivi l’actualité des périodes sus citées cède au menaces et intimidations de la gendarmerie
    Donc ne soyons pas étonnés que la gendarmerie ait étouffé cette affaire de viol. Faisons la synthèse des déclarations. Ce gendarme n’est certainement qu’un élément désigné pour exécuter des ordres. Ça fait mal à certaines personnes de voir le nom de la gendarmerie cité dans de telles bavures. Mais sachons qu’ils sont des pas des saints. Vivement que le parquet se mette au sérieux pour élucider affaire.

    • Le 25 avril 2018 à 20:45, par Ka En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

      Patriarche : Merci de nous rappeler que le Burkina est de retour à 100% ou l’état est exclusivement au service des intérêts de la minorité bourgeoise au pouvoir, et les patrons d’entreprise comme cet expatrié même s’il n’y a pas eu un viol, mais d’abus de pouvoir d’argent et d’influence des gendarmes.

      La continuité des régimes de Blaise Compaoré avec son CDP, et de Saye Zerbo et avec son CMRPN sont en pleine action en 2018 avec le régime Kaboré et son MPP. ‘’’C’est-à-dire comme au temps de Saye Zerbo et de Blaise Compaoré, dont l’état en tant que pouvoir, est une force à travers les lois, la justice, l’armée, la gendarmerie la police ou les prisons. La classe dominante bourgeoise utilise comme ce blanc utilise l’état contre les opprimés, comme ces élèves et les exploitent dans l’impunité totale.

      L’exemple approprié qui a illustré la situation dans notre pays, est le régime de Saye Zerbo avec son CMRPN. ‘’’Saye Zerbo en tant que Chef d’état, décrétait des lois pour défendre les intérêts de la classe au pouvoir : La justice condamnait les pauvres types et protégeait les représentants de la classe au pouvoir : la gendarmerie réprimait comme de nos jours les malheureux, comme ces deux éleves et respectaient les bourgeois qui n’étaient pas inquiétés comme ce blanc : La police traquait les pauvres citoyens que l’on n’hésitait pas à menotter, tandis que les bourgeois étaient protégés. L’armée n’était prête à se battre que pour sauver les intérêts de la classe dominante au pouvoir. Mon cher patriarche, je confirme ton autocritique pertinente, et qui est la réalité du régime Roch Kaboré de 2018 avec ses gendarmes a la Djibril Bassolé très corrompu.

  • Le 25 avril 2018 à 23:27, par Le quartier est sorti En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

    Je pense que visiblement nous avons à faire à des jeunes homosexuels qui tentent f extorquer de l argent à un expatrié homosexuel.
    J espère que la vérité va éclater très vite au grand jour.
    Attendez vous pensez qu un Européen en plus d un certain âge peut violer un jeune africain de 19 ans.
    C est dommage ce qui se passe !!!
    C est pas un viol mais un malentendu sur la rémunération.
    Ça saute à l oeil

  • Le 26 avril 2018 à 07:02, par nnn En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

    ce qui est sûr les rapports homosexuels sont interdits.

  • Le 26 avril 2018 à 07:54, par Lapaz En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

    Qui éduquent nos enfants actuellement ? Femme de ménage et le télévision. Alors ne soyons pas étonné de voir ce genre de truc dans nos cité car nous avons démissionné de notre rôle de père et mère éducateurs et au nom d’une soit disant course vers la richesse délaissé nos enfants. Les chats ne deviennent pas des chiens avec le temps

  • Le 26 avril 2018 à 13:00, par M7S En réponse à : Affaire de viol à Ouagadougou : Un autre témoignage pour accabler l’expatrié ?

    Les faits sont têtus, je passe l’histoire de "jean morat" et de la prostituée, revisons cette autre histoire du mois de septembre 2006 ; là ce sont des français qui ont déposé ine plainte de retour en France, n’eut été le cas, il allait continuer... alors éduquons nous et surtout reveillons la conscience de nos enfants.

    "Les faits remontent au 17 août dernier, date à laquelle la police nationale, forte de renseignements, a fait une descente au domicile de Georges Morel à la Kompienga aux environs de 15 heures.
    Elle y trouve deux fillettes âgées respectivement de 12 ans et 14 ans. Une audition sommaire a amené les deux fillettes à passer aux aveux. Elles citeront par la suite les noms de quatre autres camarades qui font partie du groupe.
    Dans la phase proprement dite de la procédure et en présence de leurs parents, les fillettes confirmeront que le sieur Morel les recevait chez lui à domicile où elles passaient souvent la nuit. Il abusait d’elles à travers des relations sexuelles et le lendemain, il les gratifiait de 500 ou 1000 F CFA après leur avoir fait manger des broutilles.
    Les dépositions des fillettes ont été renforcées par le témoignage du personnel de l’hôtel de la Kompienga.
    Ces accusations, Morel les rejettera en bloc pendant son interrogatoire, arguant plutôt d’une conspiration contre sa personne. Mais de balbutiements en atermoiements, l’accusé reconnaîtra son forfait. Mieux, à cette occasion on a su que certaines de ses victimes antérieures, dont nous taisons encore les noms, sont aujourd’hui dans les termes du mariage.
    Autre détail rocambolesque, la perquisition au domicile de M. Morel a permis de découvrir des photos pornographiques des filles avec lesquelles il entretenait des relations sexuelles. Interrogé sur la question, il dira que ces clichés servaient à des fins touristiques. Ecroué à la MACF (Maison d’Arrêt et de Correction de Fada), le sieur Morel doit cogiter sur son sort."
    Lisez ce squelques lignes d’interventions :

    "Après vérification des termes et des informations données par ces français patriotes et amis du Burkina qui ont séjourné dans la région de Konpienga, la Police Nationale burkinabé a vérifié et procéder à l’arrestation de sieur MOREL.
    Grand bravo à ces français qui ont dénoncés ce comportement ignoble. C’est le but exclusif de mon message car si des français n’avaient pas dénoncé ces faits, la police et le parquet burkinabé seraient incapables de prendre l’initiative de telles poursuites. Alors qu’attendent les autorités judiciaires burkinabé pour aiguiser les poursuites dans ce sens. Un autre pédophyle patenté français, Monsieur Bernard ROUSSEAU qui doit être bien recencé à l’ambassade de France au Burkina Faso doit maintenant faire très attention. Un burkinabé vivant en france"

    "Quelle honte,
    Je connu cette personne pendant mon séjour au Burkina en tant que Diplomate auprès de l’Ambassade d’Allemagne et je visité Kompienga avec ma fille de 17 ans.
    Je suis une BLANCHE mais ceci est vraiment horrible et j’espère que ce Monsieur sera vite expulsée et traduit devant un tribunal (africaine.
    Je pense comme cette personne (ci-dessus), nous ne sommes pas toutes comme cette personne et la prison en Afrique convient pafaitement pour un individu parail.
    Viola Hochleitner"

    Vivement que la vérité tombe !!! M7S

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