« Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Dans la lettre ouverte ci-après adressée au Président du Faso, Adama Ouédraogo dit Damiss, accusé dans l’affaire du coup d’Etat de septembre 2015, dénonce la gestion de son dossier par le procureur militaire, le commandant Alioun Zanré. Face au refus de ce dernier de lui délivrer une autorisation pour des soins hors du pays, Adama Ouédraogo n’exclut pas d’envisager le pire. Il se dit prêt à faire la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive.
Excellence Monsieur le Président du Faso,
Après une longue réflexion, j’ai pris ma plume pour vous adresser cette lettre ouverte afin de vous tenir informé de l’arbitraire et de la haine dont je suis victime de la part du procureur militaire, le commandant Alioun Zanré. En privé, j’avais cru et soutenu naïvement auprès d’amis que le chef du parquet militaire, dont on dit beaucoup de mal, était jugé trop sévèrement par rapport à la réalité. Je viens d’apprendre à mes dépens qu’Alioun Zanré est le prototype du magistrat dangereux pour la République et l’Etat de droit.
Si j’ose tenir de tels propos, c’est en raison de la gravité des faits que je voudrais vous exposer.
Excellence Monsieur le Président du Faso,
Dans la matinée du samedi 31 mars 2018, alors que j’étais reparti à mon bureau pour récupérer ma convocation pour l’audience, que j’y avais laissée la veille, je constate que l’un de mes produits contre l’asthme, maladie dont je souffre sérieusement, n’avait plus d’effet sur ma crise, c’est-à-dire que son contenu était vide. Je décide alors d’aller en pharmacie pour l’acheter avant de me rendre à l’audience. Toutefois, je prends préalablement le soin d’envoyer un message (SMS) au procureur militaire pour l’en aviser. En plus de cela, un coaccusé présent dans la salle a pris l’initiative d’informer le procureur militaire, via le greffe, de mon probable retard pour un motif légitime.
A mon arrivée en salle d’audience, je me présente au parquet et quelle ne fut ma surprise de voir des gendarmes me signifier que j’étais en état d’arrestation. Par humanisme, les gendarmes m’escorteront à mon domicile, à quelques encablures de la salle des Banquets de Ouaga 2000, afin que j’emporte tous mes médicaments avant de rejoindre le lieu de mon incarcération. Je fus ensuite conduit à la brigade de gendarmerie de Kosyam, où j’ai été placé en garde à vue pendant 72 heures. J’y apprends plus tard que c’est le parquet militaire qui aurait décidé d’appliquer l’article 150 du Code de procédure pénale, qui dispose en substance : « L’accusé qui a été mis en liberté provisoire ou qui n’a jamais été détenu au cours de l’information doit se constituer prisonnier au plus tard la veille de l’audience. Les dispositions de l’alinéa précédent ne font pas obstacle, le cas échéant, à l’exécution par le ministère public de l’ordonnance de prise de corps prévue à l’article 215.Toutefois, sont exceptés de cette mesure les accusés qui résident au siège de la [Cour d’appel] à moins que, dûment convoqués par voie administrative au greffe de la [chambre criminelle] et sans motif légitime d’excuse, ils ne se soient pas présentés au jour fixé pour être interrogés par le président de la [chambre criminelle] ou par le magistrat qui le remplace. » Le libellé de cet article est clair, net, limpide et dépourvu de la moindre ambiguïté. Ai-je refusé de me présenter devant le président du tribunal pour être interrogé alors que j’y étais convoqué ?
D’ailleurs de quel droit le procureur militaire, qui est partie au procès au même titre que la défense et la partie civile, peut-il décider de l’arrestation d’un accusé sans une décision du tribunal ? Pire, la loi pénale étant d’interprétation stricte, nulle part il n’est écrit que l’accusé qui vient en retard doit être déposé à la maison d’arrêt. Dès l’ouverture du procès, seul le président du tribunal militaire devient le maître de la procédure et lui seul peut, par une ordonnance motivée, prendre une mesure contre un accusé dès que le dossier est renvoyé devant la chambre de première instance pour y être jugé. Les pouvoirs du procureur s’arrêtent là et il n’intervient au procès que sur demande du juge pour tout éclairage éventuel. Dans le cadre du présent procès, on assiste hélas à des « innovations » en matière de procédure judiciaire et le procureur militaire est à la manœuvre dans la conduite des audiences, au mépris du respect des sacro-saints principes de la justice et de mes droits individuels.
L’article 112 du Code de justice militaire dispose : « Si l’inculpé ou le prévenu non détenu refuse de comparaître, sommation d’obéir lui est faite au nom de la loi par un agent de la force publique assermenté commis à cet effet par le président. Il est dressé procès-verbal par cet agent de la sommation et de la réponse de l’inculpé ou du prévenu. Si l’inculpé ou le prévenu n’obtempère pas à la sommation, le président décerne contre lui un mandat d’amener. » A la lumière de ces dispositions, il apparaît clairement qu’on ne décerne pas automatiquement de mandat de dépôt contre un accusé parce qu’il n’a pas répondu présent à une audience où les débats de fond ne sont pas encore ouverts. La haine d’Alioun Zanré pour ma personne est, sans l’ombre d’un doute, due à mes écrits dans mon journal, « Le Dossier », contre certaines pratiques inacceptables de la justice militaire, qui l’ont rendu fou furieux au point qu’il foule royalement aux pieds les règles élémentaires de droit. Pourtant, en bon juriste il sait, mieux que quiconque, que lorsqu’un journaliste fait des écrits et qu’une personne estime y être diffamée, celle-ci dispose de voies de recours comme une plainte en justice pour diffamation, une saisine du Conseil supérieur de la communication ou un droit de réponse. Le commandant Zanré écarte toutes ces pistes légales et tord allégrement le coup au droit en empruntant le petit chemin de la vengeance contre ma personne.
Mes avocats avaient des éléments juridiques pour lui apporter la réplique mais l’un d’eux, Me Mahamadou Bambara en l’occurrence, qui est un homme discret, posé et efficace, a préféré, par sagesse, ne pas ouvrir de front avec le parquet, optant plutôt pour un profil bas, l’essentiel étant que j’obtienne la liberté pour bénéficier de soins appropriés, surtout après 72 heures de détention éprouvante. J’ai ainsi suivi les conseils de Me Bambara et de Me Stéphane Ouédraogo et gardé le silence. Mais j’ai décidé à présent de briser ce silence, eu égard au fait que le procureur Alioun Zanré poursuit ses actes d’injustice envers ma personne. J’en profite d’ailleurs pour présenter mes excuses à mes avocats, qui ne vont sans doute pas apprécier mon action. Mais j’ai décidé, en toute responsabilité, de m’ériger vigoureusement contre l’injustice et l’arbitraire.
A la suite du premier incident ci-dessus rapporté avec le parquet, et alors que je croyais la tension avec le commandant Zanré retombée, je découvre avec stupeur que ce dernier est viscéralement déterminé à violer mes droits. En effet, compte tenu du fait que l’audience reprend le 9 mai prochain, je voulais profiter de cet intervalle pour aller faire un bilan sanitaire global et consulter un médecin qui a une expérience éprouvée de mes ennuis sanitaires. Par le biais de mon avocat Me Paul Kéré, une première lettre d’information est adressée au président du tribunal militaire avec ampliation au parquet et une seconde adressée au procureur Zanré pour obtenir une autorisation de voyager. Mais à ma grande surprise, la requête est l’objet d’un rejet non motivé. J’apprendrai alors dans les coulisses que le commandant Alioun Zanré était en colère contre mon conseil, Me Kéré, qui lui aurait manqué de respect. En quoi les conflits et les incompatibilités d’humeur avec Maître Kéré doivent-ils impacter sur un sujet aussi grave que ma santé ? Pourquoi ces récriminations subjectives doivent-elles obstruer l’expression objective du Droit ? En dépit de la légèreté des récriminations du Procureur Zanré, j’obtins néanmoins de Me Kéré qu’il accepte de présenter des excuses réparatrices pour réduire la fâcherie de M. Zanré. Maître Kéré s’exécutera avec humilité et présenta au Procureur ses excuses les plus sincères.
Passé cet épisode, je décide cette fois d’introduire une seconde lettre via Me Bambara, dont le profil caractériel est censé être plus compatible avec les besoins psychologiques du Procureur Zanré, en espérant en conséquence une réponse favorable du parquet militaire. Cette précaution ne suffira pas à infléchir la position du Procureur Zanré, car au moment où j’écrivais ces lignes, je n’avais pas obtenu de réponse une semaine après la demande alors qu’il sait pertinemment qu’il y a un délai raisonnable pour mon voyage. Sans doute qu’il va assener une fois encore une réponse négative, signant sa grande détermination subjective à m’empêcher d’accéder aux soins auxquels j’ai droit. Cette négation de mon droit d’aller me soigner hors du pays contrarie mes fréquents voyages sans histoires pendant la procédure.
Pour le parquet militaire, Adama Ouédraogo Damiss peut crever s’il veut, cela ne lui fait ni chaud ni froid. Comment peut-on troquer des responsabilités si graves et si hautes que les siennes contre pareille cruauté ? Je comprends maintenant pourquoi Monsieur Zanré se gargarise d’avoir l’âme dure, lui qui évoque fièrement son long vécu en République Démocratique du Congo (RDC), où il a vu des enfants abattus ou brûlés vifs. Quand un homme vit longtemps dans un tel milieu où la vie humaine est banalisée, il finit par avoir un cœur de pierre et ce ne sont pas les jérémiades d’un asthmatique sévère qui pourraient l’émouvoir.
Toutefois, refuser de me laisser bénéficier de soins n’est ni plus ni moins qu’une attitude criminelle, de mon point de vue, que je voudrais dénoncer avec la dernière énergie d’autant que la décision du procureur militaire n’a aucune base juridique. C’est simplement une volonté de restreindre ma liberté et de m’empêcher de me soigner par méchanceté et par vengeance, avec pour finalité de saper mon moral et mon intégrité physique dans la perspective de la reprise du procès. Je ne suis pas en liberté conditionnelle pour que mes allées et venues soient sous le contrôle du parquet militaire mais en liberté provisoire. Je suis juste tenu d’être à l’audience de jugement le jour J. Je considère donc la décision injuste d’Alioun Zanré comme une menace pour ma vie.
Excellence Monsieur le Président du Faso,
Je ne vous demande pas de vous immiscer dans une affaire judiciaire mais de faire cesser une injustice et de faire respecter un droit constitutionnel car vous êtes le Président du Faso et du Conseil des ministres, donc patron du ministre de la Défense, qui est le chef hiérarchique du procureur Alioun Zanré. Le Burkina Faso a mal à sa justice par le fait de certains de ses responsables, à l’exemple du chef du parquet militaire. Il y a pourtant de nombreux magistrats intègres qui exercent leur métier avec professionnalisme et sens de l’honneur. Il faut arrêter les mains destructrices obstinées du Droit qui décrédibilisent radicalement l’institution judiciaire.
Excellence Monsieur le Président du Faso,
De tout ce qui précède, vu l’opportunité qui s’offre à moi de bénéficier de soins sous d’autres cieux, vu que la décision du parquet n’a aucune base légale, vu que je suis manifestement victime d’injustice et d’arbitraire, j’avais décidé de voyager pour mes soins.
Ma soumission au tribunal militaire pour répondre des faits qui me sont reprochés est acquise, mais je refuse de me soumettre à la dictature du commandant Zanré. « Tout ce qui n’est pas défendu par la loi ne peut être empêché et nul ne peut être contraint à faire ce qu’elle n’ordonne pas. » Malgré tout cela, le chef du parquet veut me faire arrêter hors Droit et m’envoyer à la MACA puisque c’est son rêve depuis quelque temps.
Toutefois, Excellence Monsieur le Président du Faso, je tiens à vous informer et à informer l’opinion nationale et internationale que si le parquet me fait arrêter, je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mon asthme me tue à petit feu, jusqu’à ce que mort s’ensuive. Je suis prêt au sacrifice suprême, au nom du respect du Droit et pour une justice à visage humain. Sans le courage et le sacrifice de certaines personnes, le monde n’aurait pas atteint ce niveau de liberté. L’histoire de l’humanité regorge de cas de personnes qui ont contribué à des avancées significatives en matière de droits de l’Homme. Je suis malade et j’exige le respect de mon droit constitutionnel : le droit à la santé tel que stipulé dans la Constitution burkinabè. Si le parquet pense que c’est du chantage, qu’il m’interpelle et décerne contre moi un mandat de dépôt simplement parce que je veux voyager pour me soigner, la suite se passera devant tout le monde et l’histoire retiendra que sous la présidence de Roch Marc Christian Kaboré, un journaliste est mort en prison par la volonté d’un parquet militaire qui lui a refusé le droit de se soigner.
Excellence Monsieur le Président du Faso,
Une injustice faite, ne fût-ce qu’à une seule personne,est une menace pour toute l’humanité. Il est de votre devoir de faire respecter les droits de tout citoyen. Quand le magistrat, qui doit veiller à la bonne application de la loi,commet un abus de droit et de pouvoir, il convient de le rappeler à l’ordre. Nul n’est au-dessus de la loi. Pourquoi le procureur ferait-il l’exception dans un Etat de droit ?
Dans tous les cas, tout pouvoir vient de Dieu, et tout pouvoir a une fin. Le commandant Zanré se doit de le comprendre sans la moindre ambiguïté.
Je vous prie de recevoir, Monsieur le Président du Faso, l’expression de ma très haute considération et de mes sentiments les plus respectueux.
Adama Ouédraogo Damiss
Directeur de publication du mensuel « Le Dossier »
Tél : 70 70 11 06
Photo : Aujourd’hui au Faso
Vos commentaires
1. Le 23 avril 2018 à 18:08, par vérité no1 En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Mon ami, Alioun que j’ai eu l’occasion de connaître, est un homme honnête et intègre, il ne fait que faire son travail ie appliquer le droit !
D’ailleurs, je ne comprends plus rien, quand on veut juger un putschiste, ça crie fort qu’il est dans le comma, mais quand on le libère, ça bavarde fort !
Regardez comment Djibi brille après la prison pour la résidence surveillée !
Dans le jargon mossi, on appelle ça "départ" !!!!!!!!
N’écoute pas ton avocat et prends tes médicaments !!!!!!
Le 24 avril 2018 à 06:46, par L’ESPOIR En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Je ne sais pas sur quoi basez pour que ce juge est honnête ? Il y a un concours pour devenir honnête ? ou encore c’est décoration pour le travail rendu à un individu ? Vous saviez même le diable en personne est un Dieu chez certaines personnes et pourtant dans les livres saints il est mentionné que le diable est un mauvais esprit. Tout vrai burkinabè conscient de l’avenir du Faso a pu remarquer ce que cet tribunal est en train de montrer comme travail en ce qui concerne le dossier de putsch. Le tribunal ne fait que retarder le jugement pour que 2020 passe. Et pourquoi ? Je crois que vous et votre honnête juge le savent très bien. Acceptons que les gens disent ce qu’ils pensent sur la gestion du pouvoir de l’Etat. C’est pas parce que c’est mon père, époux, frère, ami ou accompagnant de partage de la bière dont personne n’a le droit de dire qu’il a commis erreur. C’est un être humain comme vous et moi et il peut se tromper. Hier quand je lisait l’article sur la gestion du ministère de la culture sous le jeune BARRY, alors j’ai commencé à rire en disant donc nous sommes toujours dans les montages de dossiers ? Cher monsieur je ne suis pas contre vous ni à votre cher ami le juge militaire mais seulement je préfère dire un mot que de taire. Alors vous m’excusez beaucoup si mes propos vous ont offensé car c’est cet esprit que je me suis lancé.
Le 24 avril 2018 à 10:52, par kol En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
l’honnetete c’est naissance mon type. il est né avec son honnetete
Le 24 avril 2018 à 14:04, par loblo En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
C’est bien d’être honnête mais de là à jouer avec la vie de quelqu’un ? Oui pour l’honnêteté qui préserve la vie et l’honneur des autres, non l’honnêteté qui banalise la vie et humilie les autres.
Courage Damiss mais ne fais pas la grève du médicament. Tu feras la joie de ceux qui veulent te voir souffrir et mourir.
Le 25 avril 2018 à 00:14, par Nabiiga En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Ne défendons pas l’indéfendable au point de dire que le juge joue avec la vie de quelqu’un. Damiss s’est accoquiné avec des gens qui ont joué avec nous tous entrainant même la perte en vie humaine. Ce n’est pas par la gaieté de cœur que les gens sont jugés mais bien parce qu’ils ont comploté contre l’état qui a causé la mort de nos citoyens. Toi qui crie, pourquoi tu n’es pas jugé. C’est parce que tu n’as rien fait. Damiss a cherché, qu’il assume.
Le 24 avril 2018 à 08:36, par CAUSA NOSTRA En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
le lévirat n’ est pas un crime au Burkina . je suis intéressé au cas où car faisant parti de la grande famille. continuer à acheter les médicaments appauvri ce malade , diminuant la part de chaque héritier,donc il peut laisser de prendre les médicaments. c’est un acte de grandeur. de quelqu’ un qui aime ses parents.
Le 24 avril 2018 à 23:20, par Ablo Dedy En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Quand je vois le menton et la machoire de ce type-la, s’ il reste a cote d’ une femme, moi je recule seulement. Donc meme si sa femme est en or, je mange pas de ca ! Il n’a qu’ a se suicider meme mais c’est pas moi qui vais etre interesse.
Le 24 avril 2018 à 09:38, par Eric En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
N’importe quoi, Vous confondez tous les sujets. Dans ce pays, on ne perd absolument rien pour attendre. Toutes ces approximations judiciaires, auront leur dénouement. allons
Le 24 avril 2018 à 14:27, par zamer En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
demandez la recette pour juger des putchistes a Diendere tu verras ce que veut dire justice
Le 24 avril 2018 à 13:17, par RA En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
mr DAMISS ; j’espère que vous êtes croyant et vous n’alliez pas vous suicider parce que vous n’aviez pas eu l’ autorisation d’aller vous soigner. Vous aviez dit que tout pouvoir vient de Dieu et a une fin donc je suppose que vous croyez en Dieu donc ne commettez pas l’irréparable. Ce que vous vivez est une épreuve et beaucoup sont dans la même situation que vous.
2. Le 23 avril 2018 à 18:26, par brakibra En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Grève de medicament, jusqu’à ce que mort s’en suive !
Mon frère tu cherche trop bouche des gens.
Pourquoi toi et pas Djibril ?
Je comprends le procureur. Simple question de logique. Djibril a demandé, on a pas accordé. Toi tu veux. Mon frère ça c’est provocation. C’est pourquoi le monsieur est faché.Tu veux le piéger ?C’est pour dire après, c’est deux poids, deux mesures.
Tu as foi en toi, tu ne te reproche rien, alors ne te suicide pas. Que Dieu te donne la santé.
Le 24 avril 2018 à 09:43, par VIE En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Vous avez à peine lu l’écrit jusqu’au bout. Votre émotion, est juste liée à vos apriori quand vous avez lu juste le titre. (accusé dans l’affaire du putsh). L’arbitraire, sera notre lot quotidien à tous, à tous les niveau si on n’y prend garde. Ce pays risque d’être bientôt détestable. Ok, je passais ....
Le 24 avril 2018 à 15:19, par LUI En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Mon type l’arbitraire c’est ce que lui et son narcho putschiste de Djédjéré a voulu nous faire ;en tuant nos frères ,en brulant des radios en blessant des burkinabé.Oui à chacun son arbitre et nous, nous sommes d’accord avec ce arbitre.Un asthmatique qui sort très tôt le matin pour humer l’air de Ouagadougou à la recherche d’un soit disant médicament.Lui,il n’a pas de parent ,un ami un voisin pour lui rendre ce service.surtout qu’il est empêtré dans une affaire de meurtre.Et avant tout ça lorsqu’il a s’agit de préparé le coup d’état il était bien en forme hein.
Le 24 avril 2018 à 23:23, par Daouda g. Kalmogo En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
A priori, c’est 2 mots. Journaliste a 2 balles, ouais. Continue d’ inonder lefaso. net de tes ecrits insipides. Si tu veux mourir, faut mort. Mais tu n’ iras nulle part.
3. Le 23 avril 2018 à 18:30, par Burkindbila En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Bonsoir Mr Adama OUEDRAOGO Damiss,
Tout le contenu de votre lettre n’explique pas votre motivation de" grève de médicament"
Je pense qu’en tant que journaliste " se disant éclairé mieux connaissant le droit plus que le procureur" il faudrait avoir raison gardée car je pense qu’il y a des dizaines de journalistes au Burkina Faso même s’ils ne sont pas aussi éclairés que vous même s’ils n’ont aucune connaissance en droit comme vous, ils ne sont pas dans la situation où vous êtes
Avez-vous posé la question à savoir pourquoi vous êtes concerné parmi tant de journalistes au Burkina ? Votre réponse éclairée vous permettra de revenir sur terre car même si vous avez un avocat Omnicient, sachez "qu’on ne nait pas femme mais on le devient" selon Simon de Beauvoir.
Les Burkinabè qui vous lisent sont aussi animés d’une intelligence aussi appréciable que vous et savent faire la différence entre la bonne graine et l’ivraie.
Il semble selon nos ancêtres que quand on est couché sur le dos et en crachant en haut le crachat retombe sur soi peut-être même sur son visage.
Réfléchissez un peu et dites vous que là où vous voulez vous cacher, les autres (Burkindbissi) dorment là-bas
Un petit Burkindbila
Le 24 avril 2018 à 09:56, par VISION En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Pardon mais votre écrit non plus n’explique pas grand chose. sinon vos sentiments et ressentiments très personnels et préconçus à l’endroit du journaliste.
La lettre est pourtant très claire, nous sommes en plein procès, c’est donc le juge en charge du dossier, qui est le seul arbitre. s’il estime qu’un accusé se comporte mal, il lui applique les textes et on avant. Mais là non, c’est Zanré, parce que le journaliste refuse de la fermer et qu’il écrit toujours pour pointer les approximations du tribunal militaire, Zanré le guette au tournant, pour lui montrer, que s’il fait, il peut le faire et puis y a rien....
Alors que depuis sa liberté provisoire le journaliste à déjà voyager plusieurs fois à l’étranger pour son travail. Qui crois vraiment qu’il veut fuir le procès..? Non c’est clair, c’est un règlement de compte très personnel. Et Si Zanré s’amuse à l’arrêter encore, il y aura des conséquences historique sous vos yeux gluants, qui refusent de voir. Wait and see.
Le 24 avril 2018 à 12:26, par paysannoir En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Règlement de compte pourquoi ? quelqu’un sur qui pèsent de gros soupçons et qui demande autorisation pour aller se soigner à l’étranger. Les autres qui se soignent au village avec des infirmiers sans équipements ne sont pas Burkinabè. Le petit africain qui en a un peu, quand il a le rhume, c’est l’étranger. Quand il a l’asthme c’est étranger. Même pour un bouton aux fesses, il veut aller se soigner ailleurs. Tous les médecins de Ouaga sont incompétents ?. Eh y a des gens moi je croyais qu’ils étaient garçons, dja y a rien dedans
Le 24 avril 2018 à 15:58, par vérité no1 En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Mr Vision, et pourtant vous ne voyez rien !
Règlement de comptes ou pas, il est prudent de le laisser ici au Faso, s’il rentre en RCI, on fait comment ?
Il y’a plein de médecins ici pour le soigner, il y’a plein de tradi-praticiens pour le soigner, alors, ton Damiss cherche à divertir la justice !
4. Le 23 avril 2018 à 18:31, par KENICHI En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Mr Damiss... je compatis à ta peine.. Mais franchement à moins que tu ne caches une autre maladie ou que tu n’es un autre Agenda caché, je persiste et signe que nous avons les meilleurs pneumologues de la sous région.. je te parle en connaissance de cause car moi même je suis né Asthmatique et j’ai eu la chance de vivre dans plusieurs pays Africains pendant plus d’une décennie..Tu ne vas cas même pas me dire qu’aucun pneumologue dans tout le BF n’a pu venir à bout de tes crises ? Si tel est le cas, le mal qui te ronge c’est le STRESS à Outrance...
5. Le 23 avril 2018 à 18:33, par Dosso En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Qui peut m’éclairer, Mr Damiss décide de ne pas se soigner et mourir en quoi cela concerne le président du Faso. Il est là pour les vivants et non pas pour les lâches. Si moi je décide de me suicider, je ne dois pas faire une publicité au tour de cela ou bien, un de moins sur 18 millions d’habitants ça nous fait quoi. Si demain on annonce le décès de Damiss, le soleil va toujours se lever à l’est et se coucher à l’ouest, passons à autre chose.
Le 24 avril 2018 à 10:01, par VISION En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Ah bon ?? "Si demain on annonce le décès de Damiss" du fait de Alioun ZANRE, je peux te révéler sans m’autoproclamer prophète, que votre folie conceptuelle de ce pays qui à court depuis 02 à 03 ans, va définitivement prendre fin. OK, ...
Le 24 avril 2018 à 12:01, par kzl En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Tu rigoles !! Conseilles plutôt à Damiss de renoncer à son projet de suicide ! Autrement, il serait mort comme un putschiste qui a vainement tenté de se soustraire de la justice. La vie continuera sereinement son cours au Faso sans lui. La loi est dure mais c’est la loi
Le 24 avril 2018 à 15:46, par VISION En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Longue vie mon frère ! Comme tu connais déjà le verdict de qui est coupable... Par contre je ne lis nul part que Damiss à un projet de suicide. Il est question que quelqu’un dise à Zanré que ce n’est pas lui le juge de l’affaire, pour ordonner des arrestations ! On est vraiment en plein délire. Les Lois cessent progressivement d’avoir une utilité dans ce pays., Vous devez donc vous ressaisir. C’est tout ...
Le 24 avril 2018 à 13:07, par Razanbia En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Vision je comprends ta douleur mais soit rassure car vous ne pourrez pas empecher le soleil de se lever.Vous avez fait coup d Etat et vous avez echoue lamentablement.Tout ce qui vous reste c est quitter le Burkina.libre a vous.Tes menaces c est "bouche parole seulement"trrrrr.Pendant des annees vous allez etre dans la haine cadeau car Dieu vous a abandonne plein midi.
6. Le 23 avril 2018 à 18:54, par Yirmegna En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Vraiment ce monsieur fait des chantages ! Honnêtement dit nous sommes presque 18 millions. Si vous vous allez vite chez Dieu, nous ne pouvons que vous souhaiter bonne route et vous encourager à perseverer dans votre decision que nous respections. La vie va continuer en tout sans vous. Si vous n’aviez rien fait personne ne viendrait vous arrêter.
7. Le 23 avril 2018 à 19:46, par Kankélétigui En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Hum ! tu n’es pas le seul asthmatique au pays ici. Il ne faut pas chercher d’échappatoire. Un malade ne s’associe pas à des malfaiteurs. C’est mieux pour toi de chercher à être évacué que d’adresser une lettre au président. " Quelque soit le comportement du bélier, la fête de Tabaski aura lieu"
8. Le 23 avril 2018 à 19:48, par Koudougou.com En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
On est surpris de constater que tous les inculpés sont malades
Ils sont si souffrants qu on ne peut les soigner au BURKINA
Quant on fait des choix, assumés.
Le 23 avril 2018 à 20:48, par Mafoi En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Eh ouiii...tout s’explique ces gens ne sont plus dans leurs cocons habituels,ils étaient hors sol.Quand quelqu’un était habitué à ne plus se servir de sa main car même pour rentrer dans une voiture il faut que quelqu’un lui ouvre la portière,il est évident que quand bien même il se retrouve dans un lieu comme la MACA où il est d’ailleurs mieux loti que le citoyen ordinaire,ça lui fait un choc et du coup,l’insignifiant devient une maladie incurable.Exemple plus loin de nous et qui concerne l’ancien président égyptien.Avant il était pimpant mais 2 mois après sa chute,il se retrouve grabataire sur une civière.Allez comprendre ces comédiens
9. Le 23 avril 2018 à 19:53, par Djibo En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Sans vouloir minimiser la souffrance de monsieur Ouédraogo, je dois dire tout de même que sa jeunesse est tout aussi transparente dans cette lettre que la méchanceté du Commandant Alioun Zanré dont il se plaint.
Le 24 avril 2018 à 13:39, par Diallo gnouga En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
je rappelle que des innocents sont morts lors de ce putsch il ne faut pas insulter leur mémoire avec des lettres <>
10. Le 23 avril 2018 à 20:08, par le digne fils En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
ah bon tu veux prendre la tangente et le juge est vigilant. Faut pas fatiguer le PF car on a besoin de lui pour la relance de l’économie.
11. Le 23 avril 2018 à 20:16, par armel En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
mr le journaliste d investigation,vous voulez au on vous donne l occasion de fuite n est ce pas ? Et bien c est non.Si vous ne trouvez pas d hôpitaux ici pour vous soigner,a qui la faute.c est bien la faute a vos mentor que vous défendez tant.vous êtes dit on un journaliste d investigation,et pourtant on ne vous a jamais entendu parler dans votre journal des dossiers majeurs du pays que sont entre autres:affaire sankara, Norbert,crimes de sang,crimes économiques.vous avez pris le relais de issaka lengani et vous finirez comme lui,dans la poubelle de l histoire.bon retablissement
12. Le 23 avril 2018 à 20:48, par bsoul En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
J’ai du respect pour Mr Ouedraogo Adama Damis ! juste une question : depuis quant vous avez été mis en liberté provisoire ? cette période ne vous a pas permis de faire des démarches pour pouvoir obtenir l’autorisation pour aller vous soigner ? vous avez préféré resté et passé votre temps à écrire pour dénoncer soit la justice, soit le gouvernement dans votre journal au détriment de votre santé ; comment pouvez vous attendre le début du procès pour formuler une demande d’autorisation de quitter le territoire. vous voulez que le président dit quoi dans cette affaire ? Voulez-vous qu’il parle pour qu’on dit encore qu’il s’immisce des affaires judiciaires ?
Le 24 avril 2018 à 10:27, par VISION En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Puis que vos questions semblent sincères, je vais tenter de vous répondre :
"depuis quant vous avez été mis en liberté provisoire ? cette période ne vous a pas permis de faire des démarches pour pouvoir obtenir l’autorisation pour aller vous soigner ? : Réponse : Il a eu déjà autorisations avant le procès, et il est parti à l’étranger plusieurs fois pour son travail (c’est dans la lettre). ...
"vous avez préféré resté et passé votre temps à écrire pour dénoncer soit la justice, soit le gouvernement dans votre journal" : Réponse : effectivement c’est juste, et je pense que c’est justement ça qu’on ne lui pardonne pas. ..
"comment pouvez vous attendre le début du procès pour formuler une demande d’autorisation de quitter le territoire. vous voulez que le président dit quoi dans cette affaire ?" Réponse : la dégradation de son état de santé est tout ressent. C’est donc justifié, s’il sollicite actuellement quelques semaines, pour faire un aller retour, il ne peut pas logiquement fuir maintenant
Et Zanré veut profiter, pour le coffrer une 2ème fois.
"Voulez-vous qu’il parle pour qu’on dit encore que le Président s’immisce des affaires judiciaires ?" ; Réponse : (dans la lettre) : le Président ne doit pas s’immiscer. Seulement, c’est lui le président du conseil des ministres, donc le patron du ministre de la défense, qui est le supérieur hiérarchique de Zanré.
Il doit dire à Zanré, qu’il n’est pas le juge, et qu’il doit rester tranquille. Il confond son rôle, avec celui du juge.
Merci bien.
Le 24 avril 2018 à 12:34, par Djibi En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Mon cher Damis, je présume que tu es croyant, quand tu dis que tout pouvoir vient de Dieu, me fait dire que tu crois en un Dieu suprême qui est maître de tout. Que tu te reproches des choses ou pas, pries ce même Dieu pour un bon dénouement des choses. En ce sens que, si tu n’as rien à te reprocher restes tranquilos, par contre si tu as quelque chose à te reprocher, confesses-toi, reconnais-le devant le tribunal et implores la clémence du jury. Si non la tentative de suicide par la grève de médicaments n’est pas la solution pour un croyant.
13. Le 23 avril 2018 à 20:52, par L’ancêtre En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Monsieur DAMISS
Quand tu était libre tu n’a jamais voulu aller te soigner à l’étranger, tu te soignais ici.
Laisse le procureur faire son boulot. On a vu Djibril ici qui voulais fuir, finalement il est pris en charge par des médecin burkinabè. C’est quoi ta maladie que nos médecins ne peuvent pas soigner : l’asthme, tu te moque de qui ?
Tu sais que le vent est contre toi et te cherche à fuir. Assume tes faits et gestes et reste serein, le médicament de ton asthme là est ici au Faso.
Ne mélange pas les choses, d’ailleurs toi et ton avocat Paul KERE c’est même pipe même tabac.
14. Le 23 avril 2018 à 20:53, par pifo En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Damiss j’ai lu avec intérêt tes articles dans certaines coupures surtout le dernier article le dossier , tu fais tout sauf du journalisme. En réalité tu as ton camp que tu défends mais tu peux le faire à visage découvert.
15. Le 23 avril 2018 à 20:58, par benol En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Damis pas de problème je te soutien .je pense c"est mieux pour toi car ta sentence serait bien la prison à vie quand tu complotais avec ces putschistes il fallait bien penser
tu n’irais nulle part assassin .
16. Le 23 avril 2018 à 21:13, par Sakisida En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Mourez si cela vous enchante.mais en attendant vous devez repondre de vos actes.
17. Le 23 avril 2018 à 21:21, par molotov En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Vous voilà prévenu monsieur le procureur militaire par le prévenu journaliste.
La justice militaire est vraiment incongrue dans un état de droit.ça passe dans un état d’exception ,mais dans l’État de droit ça fait bizarre
A regarder de près malgré leur bonne volonté, les magistrats au béret violet ne peuvent qu’être à la botte du ministre de la défense (discipline militaire oblige) et aux ordres du chef suprême des armées , le Président du Faso himself.
Il faut laisser le prévenu Damis se soigner convenablement. Lui aussi faut pas exagérer, il n’a pas besoin d’aller à l’étranger pour soigner un asthme même compliqué. C’est une insulte à nos hôpitaux.
A lire sa lettre le procureur Zanre le persécute. Faut pas que ce procureur militaire joue au ’’Vichinsky’’ de service angoisse ce journaliste qui n’est qu’un alevin dans ce dossier.Les gros requins à retrouver sont ailleurs. Suivez mon regard vers Abidjan de..Guillaume SORO.
Quand il s’agit de croquer du menu fretin, le procureur sais lire les virgules de son code, mais il freine des quatre fers sous des prétextes discutables pour ne pas transmettre une simple convocation au morho naaba cité comme témoin dans ce procès.
Drôle de justice à géométrie variable ,à la tête du client. Zida la victime et pompier- pyromane de ces événements douloureux est en fuite. Incapable de le faire venir pour la vérité. Beaucoup à dire sur l’organisation de ce procès.
Aucune sympathie pour Diendere et complices qui a un passé trouble ,mais lui faut un procès équitable pour une sorte de pédagogie. Il ne faut pas faire comme lui face au Zongo
et Lingani qu’il n’a pas hésité à passer par les armes.L’obscurité ne peut pas chasser
L’obscurité. C’est la lumière qui chasse l’obscurité.
Seuls les naïfs sont dupes.Ce procès devient de plus en plus ennuyant.
DIENDERE, BASSOLET...et les puissants du moment sont les caïmans d’un même marigot qui se tiennent par la barbe par des petits secrets honteux jalonnés au cours des 30 dernières années de compagnonnage forcé.
C’est pas demain la veille que la vérité jaillira.
Désolé pour ce long commentaire, c’est le seul au j’ai à faire sur ce sujet ; j’aura pas le temps à perdre pour suivre un procès douteux du coup d’État le plus bête du monde.
Salutations citoyenne.
Le 24 avril 2018 à 11:05, par AHMED En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
MOLOTOV , Damis veut se faire justice en se suicidant. Allez prendre son mémoire en défense avant qu’il ne se pende. peut être qu’il vous doit si non il a un avocat qui sait certainement qu’il veut se suicider. Dans notre constitution y a t’il un article sur le suicide de Burkinabè ? Tant qu’il est en vit il répondra de ses actes sur le coup d’état
18. Le 23 avril 2018 à 21:36, par tu en fais trop, damiss En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
un collabo de putsch qui passe tout son temps à faire que du chantage, c’est vraiment agaçant. vivement que le procès finisse vite pour qu’on ait la paix. quand on fait un choix, on l’assume pleinement. D’autres n’ont pas eu ta chance de liberté provisoire dont tu jouit à merveille et sont sous terre sous le règne sans partage et sans pitié de tes mentors. Et çà, tu le sais.
19. Le 23 avril 2018 à 22:32, par TRAORE En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Autant se pendre que de vouloir faire la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive. Adama Ouédraogo, les Burkinabè ne sont pas dupes.
20. Le 23 avril 2018 à 22:38, par Titi En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Vous connaissez la sentence d’un suicidé dans l’au delà ???. En tt cas je vous conseille de vous soigner pour vous occuper de votre famille. Tout le monde souffre certains pire que vous ce n’est pas par cette raison qu’il faut provoquer sa mort. Meilleure santé, courage.
21. Le 23 avril 2018 à 22:41, par Sans Blagues En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
C est pas croyable, sur les 9 commentaires, pas un seul qui compatisse au cas de Damis. Pourquoi vous étés mauvais comme ça au Burkina Faso ? Pourquoi, vous etes mauvais comme ça ? Votre coeur est dur comme la pierre, pourquoi ? C est quel pays, ça ?
Espérons que Roch n aura pas la même réaction. Sinon, il n y a pas d espoir pour ce pays. Mais sachez les gars, qu il n y a pas de miséricorde pour qui n a pas fait miséricorde. C est pourquoi, il FAUT FAIRE ATTENTION A LA MANIÈRE DONT ON TRAITE LES AUTRES. CAR ON SAIT JAMAIS CE QUE DEMAIN RESERVE.
Je dis au Procureur Zanre de le laisser aller se soigner. Il ne fuira pas. Merci d avance, Procureur.
Le 24 avril 2018 à 00:26, par Astrid En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
"Je dis au Procureur Zanre de le laisser aller se soigner. Il ne fuira pas. Merci d avance, Procureur."
Offrez-vous aussi de prendre sa place au tribunal sur le banc des accuses, dans l’intervalle de son absence, et vous engager a purger sa peine s’il ne rentre pas au Faso ?
Le 24 avril 2018 à 02:32, par Yirmegna En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Il ne faut pas compâtir pour le faire mais lorsque cela est fondé. Vous n’êtes pas objectif sinon vous n’allez pas soutenir ce monsieur.
Il a choisi de se suicider, c’est son plein droit et une affaire entre lui et Dieu qu’il ôte sa vie. Donc je ne pense pas que les burkinabé doivent s’occuper de telles lâchetés. Il veut aller vite dans l’audélà qu’il s’en aille. Nous et notre présidents on s’occupent de ceux qui respectent la vie.
Le 24 avril 2018 à 07:57, par HONORABLE En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
on s’en fou c’est facile de venir défendre un type qui ’est associé a des gens dangereux vous pensez au moins aux parents des victimes. c’est ca aussi le problème au BF on veut jamais s’assumer on tente si ca marche pas c’est la faute à autrui. damiss est loin d’être un journaliste
Le 24 avril 2018 à 09:26, par Garwa En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Est-ce que Damiss connait pardon ? sinon il aurait demandé pardon au victimes du coup d’Etat avant tout propos !
22. Le 23 avril 2018 à 22:51, par Nabiiga En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Journaliste de ton état, comment s’est fait-il que t’est mêlé dans une sale affaire. Tu parles comme s’il n’y avait pas de journalistes au Burkina. C’est impensable que tu n’aies rien fait ou encore, tu n’y sois pour rien. Pour ce qui est de la grève de faim que tu tiens maintenir jusqu’a la mort s’en suive, ça ne sera pas anormal car ce qu’il y a retenir est que nombreux sont les Burkinabè qui ont péri dans la tentative de coup dont on t’accuse. Les gens sont morts grâce à ton implication supposée dans cette affaire alors, crois-tu que le Burkina s’arrêterait si tu mourrais ; je crains fort que non. Mange ton tô oui, et vive. T’es jeune et il y a beaucoup de vie devant toi.
23. Le 23 avril 2018 à 23:09, par Le Vigilent En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Mon cher Damiss,
Comme apparemment tu es pressé de gouter au miel, au lait et aux divers délices du paradis, nous te souhaitons un bon voyage dans l’au-delà. Comme tu as certainement les moyens de t’acheter les médicaments nécessaires pour tes soins mais que tu as décidé volontairement de ne plus en prendre, nous te prions de créer, avant ce départ volontaire et anticipé, une fondation dénommée "DAMISS AU PARADIS". Les ressources de la fondation permettront de fournir gratuitement ces mêmes médicaments aux milliers d’autres burkinabè qui souffrent du même mal que toi et meurent prématurément malgré eux ; tout simplement par manque des moyens pour se procurer régulièrement ces médicaments.
Adios amigo DAMISS, surtout envoie nous régulièrement des infos du paradis et surtout ne nous y attends pas de sitôt !
Le 24 avril 2018 à 17:16, par Vigilent En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Le Vigilent tu vas me tuer avant que DAMISS ne se tue. gagagagagagaaaaa !!!!!!!
24. Le 23 avril 2018 à 23:17, par KIENDREBEOGO issaka En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Mon fils, un conseil d’un bon père qui aime son fils ; prends ton courage à deux mains,surtout pas le suicide comme solution ; la loi ne condamne pas le suicide ; cependant toutes les religions la condamnent car c’est directement l’enfer ; ta mort de cette façon ne te fera un martyr ; c’est une grande chance d’être jugé suite un coup d’état au burkina Faso ; des auteurs de tentative de coup d’état, sans qu’il ne soit consommé avant d’échouer, on été fusillés sans autre forme de procès ; il ne faut pas s’en aller au moment où nous avons encore besoin de toi ; tu connais le nombre de détenus qui sont morts en prison ? Est-ce qu’on en parle ; n’arrêtes pas de prendre tes produits jusqu’à la fin du procès et jusqu’à ce Dieu fasse sa volonté après une longue vie sur terre. Je te souhaite une meilleure santé et ne décourages pas surtout tes avocats qui sont plus avisés en matière de justice.
25. Le 24 avril 2018 à 00:20, par Astrid En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
On se doute bien que la justice militaire est une sorte de cirque en ce moment, cirque bien triste. Mais tout de meme, ce type n’y va pas avec le dos de la cuilliere (...). Il me semble que le Burkina Faso est devenu une Anarchie depuis l’insurrection, chacun y allant de ses invectives au President, sommation, interpellations et exigences. Il ne reste plus que la paysanne qui de son hameau ou elle ne parvient pas a assurer un repas par jour a ses mouflets, pour interpeller le President et exiger, fissa, qu’il trouve une solution a sa misere, a la pluie qui ne tombe pas et tue les recoltes, a la maladie qui ruine le corps.
Franchement ! ce billet au vitriol reste des plus scabreux. Et quoi, il voudrait nous vendre un pont celui-la ?
1)- Quand on a un proces, on s’y prepare, on prend des dispositions pour ne pas arriver en retard le jour de l’audience. Surtout lorsqu’on habite a "quelques encablures" de la, autant que Monsieur le concede.
2)- "Dans la matinée du samedi 31 mars 2018, alors que j’étais reparti à mon bureau pour récupérer ma convocation pour l’audience" Huh ! cette convocation a donc dormi au bureau alors que le lendemain vous deviez etre a l’audience ? Vous n’avez pas pense a l’emporter avec vous a la maison, sachant que de bon matin vous etes au tribunal ?
3)- " ... je constate que l’un de mes produits contre l’asthme, maladie dont je souffre sérieusement, n’avait plus d’effet sur ma crise, c’est-à-dire que son contenu était vide ". Declaration extraordinaire ! Le produit n’avait pas d’effet parce que le contenu etait vide ? Morte de rire. Serieusement.
Un produit epuise et un produit qui n’a plus d’effet sur une maladie sont deux choses bien distingues. La redondance de l’hyperbole dans votre billet attenue votre credibilite. Vous confiez que votre etat est tres serieux. On peut donc supposer que vous prenez ces produits tres regulierement au point de ne pouvoir passer quelques heures au tribunal sans ca. Que vous ayez seulement constate au matin de l’audience qu’il etait epuise laisse pantois. Ne l’aviez vous pas pris la veille et l’avant-veille et constate qu’il etait presqu’epuise ?
4)- "En effet, compte tenu du fait que l’audience reprend le 9 mai prochain, je voulais profiter de cet intervalle pour aller faire un bilan sanitaire global et consulter un médecin qui a une expérience éprouvée de mes ennuis sanitaires. " Tres serieusement, et si le proces n’avait pas ete ajourne. vous auriez fait quoi ? Ou etiez vous avant le proces ? Combien de fois vous etes vous rendu a l’etranger pour y effectuer "un bilan sanitaire global’ ? Si vous y avez deja ete et rencontre ce toubib tres experimente, vous avez certainement des justificatifs, mieux, un billet du celebre toubib fixant le prochain rdv pile poils dans l’intervalle de l’ajournement du proces.
Quand meme, ne prenez pas le Commandant pour un bleu. Et il vous surprend qu’il s’en offusque. Bien sur vous avez un tres joli pont a nous vendre ! meme un ecolier ne vous croirait pas. Mais nous on vous croit puisque nous ne sommes plus des ecoliers. Dommage pour vous que le Commandant soit lui un ecolier qui ne vous croit pas.
Kudos au General qui lui assume sa detention. Ca c’est un homme, un vrai. Il a perdu sa mere et on ne l’a pas entendu broncher.
Serieusement, le Fasonet devrait envisager une facturation des publications sur sa plateforme. On lirait moins ces invectives narcissiques et autres plaisanteries du genre.
Le 24 avril 2018 à 09:41, par Garwa En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Merci mon frère pour cette réplique sensé et dissuasive à ce dilatoire d’un apprenti putschiste en détresse à l’approche de la barre ! ! !
Le 24 avril 2018 à 19:16, par Coeur En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
J’aime cette manière de poser des questions. J’aime, J’aime et J’aime ; exactement les questions que je me posais en me disant qu’il y a vraiment beaucoup facilité et de légèreté dans les propos de ce plaignant.
26. Le 24 avril 2018 à 00:32, par the upright En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Je suis vraiment triste pour cet article, et surtout la réaction de certains internautes. Un certain "Sans Blague" qui trouvent que sur 9 internautes qu’il a lu, aucun n’a compati à la souffrance de Damiss. Pourquoi voulez-vous qu’ils compatissent ? Les arguments que les uns et les autres avancent sont-ils vrais ou faut ? Les enfants du Bon Dieu ne sont pas des canards. Make sense, Mr "Sans Blague" ?
27. Le 24 avril 2018 à 02:07, par Esly En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Je suis très déçu du burkinabé d’aujourd’hui. Je ne reconnais pas mon pays. Pourquoi les gens sont devenues subitement mauvais ? Je crois maintenant a ce que Ablasse disait : 3M. Ça donne quoi cette méchanceté. Aujourd’hui tout est possible dans ce pays. C’est très sérieux !«
Le 24 avril 2018 à 08:13, par amson En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Esly.
le mal dont il parle peut se soigner ici ou bien nos médecinssont incompétents
d’ailleurs le coup d’état dont il est accusé combien de familles ne verront plus leurs enfants.
lui au moins il est envie et c’est soigne il veut.
Le 24 avril 2018 à 12:07, par idi En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Elsy, tu es au sérieux là ? Non ce monsieur là n’est pas à croire : Il veut fuir, c’est tout ! Il était en liberté provisoire et c’est quand les choses commencent à bouger dans le procès qu’il veut aller se soigner à l’extérieur ? Et nos professeurs agrégés de pneumologie ? nos médecins spécialistes disent quoi ? Il faut le remettre en tôle, sinon il risque de s’évaporer !
Lui n’a même plus besoin d’un avocat pour le défendre car à le lire, il maitrise le droit plus que le procureur !
Ne le défendez-pas car un vrai malade n’agirait pas de la sorte ! La légèreté avec laquelle il se soigne(le médicament fini et il ne sait pas !) témoigne de sa mauvaise foi ! Pourquoi tu laisses la convocation au bureau ?
Néanmoins, je te conseille de ne pas te pendre, il faut aller te défendre ; si tout le monde voit que tu es clean, on le dira et peut-être tu seras libre. Même Eddie COMBOIGO a été blanchi, malgré qu’on le croyait impliqué, voyez-vous ?
28. Le 24 avril 2018 à 03:37, par Caca En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Ce Monsieur, est réellement malade en plus de son asthme, il est mentalement déstabilisé et il a besoin d’un suivi psychologique. J’ai lu la lettre ouverte au PF, mais je trouve que ce Monsieur doit retourner dans une bonne école de journalisme apprendre à écrire des personnalités comme le Président du Faso. Quand j’ai lu l’article, la forme interpelle ainsi que le contenu car le soi-disant journaliste adresse au Président du Faso dans un vulgaire français. Il me semble qu’il pouvait avoir la gentillesse de faire relire son texte avant la publication. Que le procureur militaire soit injuste envers lui et qu’il sollicite l’intervention du président du Faso, je peux lui comprendre. Mais quand on manque du respect au procureur militaire et le président, cela c’est l’incivisme et l’impolitesse.
29. Le 24 avril 2018 à 05:31, par papa En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Mr Damis menace de prendre un billet sans retour pour le paradis.,on lui souhaite un tres bon voyage car il semblerait que lä-bas il n´existe pas de maladie ni autres souffrances, lä-bas on y trouve des vierges avec lesquelles il pourra jouir pour l´eternite´. Tu n´es pas le seul journaliste au Faso, et si tu te retrouves dans les filets de la justice militaire c´est pas pour rien . Tu as pris un engagement avec les putschistes alors assume jusqu´au bout,c´est ca etre garcon. Si c´est pour ton voyage au paradis le peuple Burkinabe t´accorde ce choix mais si c´est pour te rendre a l´etranger soit disant pour tes soins , non non tu bouges pas ,reste ici car nous voulons tous voir clair dans cette histoire de putsch.
30. Le 24 avril 2018 à 07:04, par Ino En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
U n’est pas plus important que les autres burkinabé. U n’es pas mieux que les victime du coup d’état. Assume tes actes même au prix de la mort sans toi le Burkina existe.
31. Le 24 avril 2018 à 07:09, par sandokan En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Personne ne supporte ce Monsieur pour la simple et bonne raison qu’il oppose au refus de son autorisation de voyager le suicide. C’est même énervant, insultant pour le public et les médecins Burkinabè que de raisonner de la sorte. Monsieur Adama, le suicide que vous envisagez n’émouvra personne même pas moi qui me veux compatissant pour les humains que nous sommes au vu des difficultés auxquelles nous sommes chaque jour confrontés et du sort qui nous est réservé si nous ne faisons pas la volonté de Dieu avant la fin de notre pèlerinage sur Terre. Monsieur Damiss, si tu meurs sans Jésus Christ dans ta vie, tu iras en enfer ; à combien plus iras-tu en ce lieu si tu te suicides ? Sais-tu comment et pourquoi tu es venu sur la terre ? Fais très attention ! Soumets-toi aux exigences de la justice burkinabè et ne forges pas ta propre justice. Prends tes médicaments, fais-toi soigner par un médecin compétent sur place car les médecins d’ici et d’ailleurs sont formés sur la base des mêmes curricula. Le corps de l’homme qui a servi de support didactique ailleurs est le même qui a servi ici. Restes là, réponds à la justice et si tu es innocent, tu seras relâché.
32. Le 24 avril 2018 à 07:16, par zamer En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
BIZARRERIES !! POUR UNE FOIS LA JUSTICE DE DIEU RISQUE DE VENIR AVANT CELLE DES HOMMES ???????
33. Le 24 avril 2018 à 07:44, par Igor En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Comme l’a dit notre Héros national le capitaine Thomas SANKARA à l’endroit des occidentaux sur la dette des pays : Ils ont joué ils ont perdu c’est la règle du jeux. Mon cher Damiss tu as joué, tu as perdu. Alors il faut assumer tes responsabilité même dans ta maladie. Si le CND avait réussit, tu jouirais des privilèges du pouvoir. reconnais que tu as joué et que tu as perdu.
34. Le 24 avril 2018 à 08:08, par amson En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
depuis quant vous avez été mis en liberté provisoire ? cette période ne vous a pas permis de le faire ? et puis le mal dont tu parles, peut se soigner au Burkina ou bien tu pense que nos médecin sont y incompétents que ça.
enlève le nom de notre président dans ta bouche. assume tes actes en homme.
n’importe quoi. tchrrrrrrrrrrrrrrrrr
35. Le 24 avril 2018 à 08:10, par Zemosse En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Tous ceux qui ont décidé de se faire harakiri l’ont fait sans crier sur tous les toits. Ghandi et Mandela l’ont fait sans alerter qui que ce soit . Soyons de vrais Burkinabé.
Le 25 avril 2018 à 02:15, par Sonia En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Sauf votre respect, Monsieur !
Ni Gandhi, ni Mandela ne s’est fait hara-kiri.
Cordialement.
Sonia.
36. Le 24 avril 2018 à 08:13, par Kôrô Yamyélé En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Vraiment les burkinabè sont de véritables lâches et hypocrites, méchants en plus !! Voyez les réactions des internautes à l’égard de Damiss. Si le gars fini par mettre à exécution sa menace et meurt, ce sont les mêmes qui vont encore revenir sur ce site pour raconter leurs misérables vies. Pour l’histoire je vais copier et garder toutes ces réactions. On a vu le cas de Norbert Zongo ici. Il a crié partout et tous les jours en demandant du secours et ils disait : ’’Ils veulent me tuer ! ils me suivent partout ! Burkinabè aidez-moi !’’. Même pas un rat de burkinabè n’a réagit en son temps jusquà ce qu’il soit carbonisé. Bien au contraire les gens ont continué à boire leurs bières sans souci ! Le burkinabè est un mécréant !
Par Kôrô Yamyélé
Le 24 avril 2018 à 09:15, par Garwa En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Je ne te rconnais pas là !
c’est maintenant tout le monde connait vice de forme ? et pour ça on doit arreter de juger et ou liberer les présumés coupables Yamyélé,pardon ne compare pas ces opportunistes qui ont raté leur coup à l’lillustre journaliste . . .
Le 24 avril 2018 à 09:16, par vérité no1 En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Oui, si Damiss part, ça nous empêchera pas de boire la bière glacée, ni de regarder Jackie Chan au ciné Burkina !
Il doit répondre devant la justice et affronter son destin !!!!!!
Le 24 avril 2018 à 10:23, par KIRIKOU En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Mais kôrô ! Norbert passait son temps à dire qu’on veut le tuer ,c’est pas pareil avec Damiss qui ,lui même veut ôter sa propre vie si il n’a pas l’autorisation d’aller se soigner.Encore moins que les causes défendues par Norbert et qui lui ont coûté la vie sont loin de celles qui ont amené Damiss à répondre devant un tribunal.
Le 24 avril 2018 à 11:30, par Ka En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
A mon ami et promo Kôrô Yamyélé l’idéologue : Ici ce n’est pas pareil comme le cas de notre valeureux Norbert Zongo assassiné et brûler dans sa voiture ; Damis veut ôter volontairement sa vie dont je suis contre. Il faut que nous le conseillons que la vie d’un être humain donné gratuitement par Dieu tout puissant, est plus que de l’or, et ne doit pas être ôter. Dieu est capable de tout, et s’il n’est pas coupable, aucun juge ne pourra le condamner. Mon ami et promo, heureux de te lire ces derniers temps. Mes courgettes, mes tomates, commencent a donner.
Le 24 avril 2018 à 14:01, par vérité no1 En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Merci au vieux Ka pour la pertinence de votre analyse !
On ne peut pas comparer Norbert Zongo à Damiss, c’est très loin !
Norbert Zongo était un journaliste objectif qui luttait pour que la vérité jaillisse, par contre, ce journaliste se comporte comme un bagarreur de quartier en foulant au pieds toutes les règles de droit !
Je comprends le Kôrô qui veut supporter son ami qui est l’avocat de Damiss !
Le 24 avril 2018 à 16:04, par VISION En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Mais Zanré n’est pas le Juge ici. Ou bien ? c’est pas très dur à comprendre non ? Mr Ka, Mais enfin, le juge dans l’affaire qui peut arrêter un accusé s’appelle Seydou Ouedraogo. Zanré n’est pas le juge, pour faire arrêter un accusé ! Est-ce que c’est claire ??? Pardon d’utiliser ce mot, mais c’est ce bordel là dont il est question dans cette "justice", au Faso en 2018. Aurevoir....
Le 24 avril 2018 à 11:53, par Bantchandi En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Kôrô Yamyélé, là tu as fait ce qu’on appelle une sortie de piste déroutante donc un mauvais atterrissage. Les médecins burkinabè ont-ils refuser de vous soigner ? Ou tout simplement vous voulez nous faire croire qu’ils sont incompétents.
Kôrô Yamyélé, tu ne peux comparer Damiss à Norbert ZONGO, c’est confondre torchon et serpillière. Ce sont les gens comme les Damiss et les Lingani (du journal de François Compaoré "l’Opinion") embusqués dans des officines obscures et obscurantistes qui fléchaient Norbert ZONGO. Ce n’est pas parce que nos amis et protecteurs ont perdu le pouvoir que n’importe quel quidam se lève et se découvre un talent ou croit qu’il est subitement un incroyable talent du journalisme d’investigation.
L’asthme se soigne de façon traditionnellement également, au cas où tu ne fais pas confiance à nos vaillants médecins.
Le 24 avril 2018 à 12:25, par idi En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Laissez le Koro tranquillos ! Il a perdu le nord ! ça fait longtemps qu’il est comme ça ! Je ne sais pas ce qu’il a mais, je ne le calcule plus whoo ! Peut-être qu’il fait l’opposition(un partisan dans l’ombre de l’UPC ?), ou bien un stipendié de l’ancien régime ! Mais cela ne semble pas lui coller.
Koro donc toi aussi tu es méchant alors ? puisque tu dis que le burkinabé est un méchant.
Le 24 avril 2018 à 12:46, par Sawad En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Ah, Sacré Kôro Yamyelle, au regret de devoir vous contredire !
Conseillez plutôt Damis à ne pas se suicider. S’ il meurt faute de soins, l’l’opinion publique en sera émue et même revoltée mais s’ il se laisse mourir pour mauvais traitements, ce serait se suicider.
Sawadogo
Le 24 avril 2018 à 17:49, par Petit soldat au poing levé En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Héi Kôrô, là tu divagues net. Tu as dû faire un tour au cabaret de M’ma Tipoko avant d’écrire ces lignes. est-ce tu sais qu’à cause des errements et des rêves de ce type (qui ont fait perdre le nord aux militaires apatrides avides de pouvoir et leur a fait croire que le putsch était possible) des gens sont à trois mètres sous terre ? De tout ça qui est le plus méchant même si on ne lui souhaite pas la mort par compassion de croyant (surtout pas le suicide) ?
Le 24 avril 2018 à 19:51, par LUI En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
il faut avoir des contorsions à l’esprit pour vouloir comparer NORBERT ZONGO à un damis que ce soit dans la forme que dans le fond.Ce sont les mêmes partisans de NORBERT ZONGO que damis et sa petite bande ont traumatisé par un sale coup d’état.De toute façon damis ne fait que jouer à la comédie.Il sait très bien comment avoir ses médicaments en passant par des tiers personnes.Ce qui sont couchés au cimetières aimeraient eux aussi avoir l’occasion d’aller chercher leur médicament et même si s’ils arrivaient en retard au procès ils n’allaient pas se plaindre.
37. Le 24 avril 2018 à 08:22, par klougniré En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Damis je pense qu’il est temps d’être un vrai journaliste d’investigation. tu peux aider ce pays en l’épargnant de toute cette comédie. si journaliste d’investigation tu es, tu devrais donner l’information juste d’abord sur ton implication dans ce putch mais aussi sur tout ce que tu sais. ça se dit journaliste d’investigation, ça vend son âme au diable, ça construit à ouaga 2000, ça tronque les informations au profit... et après ça termine dans un putsch. S’il te plaît aide ton pays et dit tout ce que tu connais dans cette affaire. façon que tu as écrit en prison tu peux aussi informer le peuple de cette même manière.
je suppose que tu es marié et que tu as des enfants, donc épargne les aussi de ta mort et rend toi utilie.
Enfin n’oublie pas que ceux qui sont morts pendant le putsch n’ont pas écrit au PF comme quoi ils attendent les putschistes pour les canardés. Alors reveil toi le frère et ait un sursaut d’orgueil.
Si tu es coupable tu paieras tot ou tard et si tu ne l’es pas soit serein.
Vivement que Dieu veille sur le Burkina Faso et ses fils !
38. Le 24 avril 2018 à 08:24, par oadiz En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Finalement les médecins burkinabè doivent se plaindre contre ces gens , vous n’avez pas confiance à ce personnel soignante, quand même vous aussi ; comme étiez complice avec la gestion mafieuse qui vous a permis de piller la richesse du pays et placé dans les banques européenne...
Le 24 avril 2018 à 09:10, par Garwa En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
tu ne sais pas qu’un certificat medical ne coute pas plus de 2000 F ?
Si tu en veux dis moi ! ! !
39. Le 24 avril 2018 à 09:04, par trankiloos En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
vous parler pour rien hoo,mr damiss n’a pas le cranc pour se oter la vie,il anime juste la galerie.....
40. Le 24 avril 2018 à 09:07, par Ka En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Si le juge militaire a décidé de maintenir Adama Ouédraogo dit Damis en détention, ou ne pas le laisser sortir du territoire pour des soins qui peuvent être faits au Burkina, c’est avec raison : Quand on n’a vu durant plus d’une année les partisans de Djibril Bassolé et les responsables de son parti la NAFA, faire du chantage au président du Faso et son gouvernement jusqu’à l’ONU pour faire sortir ce dernier du pays, pour des soins, et en le voyant très bien portant souriant et narguant les familles des victimes à la salle des banquets, ça donne a réfléchir deux fois avant de laisser d’autres détenus manipulateurs de sortir du pays. On dit que la goutte d’eau qui tombe sur le rocher le plus dur finit par le percer.
Monsieur Adama Ouédraogo sait parfaitement pourquoi il est accusé, car La liberté de la presse et le respect de la déontologie journalistique vont de pair avec la bonne gouvernance. Dans un pays de droit comme le Burkina le prétend, le journalisme d’investigation doit exister, mais en vertu de la déontologie, il ne faut pas confondre investigation et calomnie. Il n’y a pas de place pour les affabulations et les rumeurs partisanes. Pour se prendre en valeureux journaliste d’investigation nationale comme Norbert Zongo, on doit être neutre et non partisan.
A mon humble avis, le président du Faso ne doit pas se mêler de cette affaire de justice, et les supposés accusés comme monsieur Adama Ouédraogo dit Damis, doivent avoir le courage et arrêter de jeter la probe sur le juge militaire. Et comme je ne cesse pas de le répéter, ‘’’ la première cause qui mine le développement d’un pays, c’est sa justice ! La première cause qui crée des crises sociales dans un pays, c’est sa justice !’’’ et le président du Faso doit laisser la justice faire son travail.
Le 24 avril 2018 à 16:15, par VISION En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Mr Ka, pardon mais vous faites de la désinformations à outrance, vous dites : "Si le juge militaire a décidé de maintenir Adama Ouédraogo dit Damis en détention, ou ne pas le laisser sortir du territoire pour des soins qui peuvent être faits au Burkina, c’est avec raison".
Mais justement ce n’est pas le juge militaire qui a dit de l’arrêter, c’est ZANRE. Zanré n’est pas le juge de l’affaire. je n’ai rien contre lui, mais il n’est pas le juge !! le juge s’appelle Seydou Ouédraogo, et vous le savez déjà non ? trop d’hypocrisies et de méchanceté gratuite en 2018 au Faso,... c’est pourtant une roue qui tourne. Et elle tournera certainement. Wait and see
Le 24 avril 2018 à 18:00, par Ptit futé En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Oui, c’est vrai mais.... Est-ce le juge qui fait arrêter et emprisonner ou le procureur pour les besoins de l’enquête et du jugement ? J’entends souvent parler de procureur, de juge d’instruction, de juge de jugement, tout ça. Je ne connais rien en droit. Quelqu’un peut-il m’éclairer ?
41. Le 24 avril 2018 à 09:09, par Garwa En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Damiss,que Dieu te donne la santé.
Djibril est plus puissant que toi mais il est au youf.
Un journaliste dans histoire de coup d’Etat !
Rien ne sert de courir,il faut partir à point !
M’kinmin lam pa rikquè,rakin bala.. . ! ! !
42. Le 24 avril 2018 à 09:38, par Sidzabda En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
tu commences ta grève quand ? il ne faut pas tarder, nous te soutenons dans ta grève. tu as longtemps pactisé avec le régime déchu, construit à Wagda 2000 et lorsqu’on veut t’appliquer la justice, on crie à l’arbitraire. Dis moi combien de journalistes ont construit à waga2000. il faut vite mettre à exécution ta décision, par avance paix à ton âme !!!
yamyélé , je sais que toi et Damiss sont de la même barque vous avez tous volé au CDP maintenant que le bateau a coulé vous vous plaigne. arrête de nous pomper l’air. au lieu de donner de bons conseils, tu invites les gens à commettre l’erreur Dieu te le rendra au centuple !!!
43. Le 24 avril 2018 à 10:01, par NANA En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
KORO N’INSULTE PAS NORBERT ZONGO QUI N’A PAS ETE UN OPPORTUNISTE, UN AMBITIEUX DU POUVOIR, UN TRICHEUR ET DE SURCROIT UN MALHONNETE. QUANT ON VEUT SE SUICIDER ON LE FAIT ET ON N’A PAS BESOIN D’ECRIRE AU PRESIDENT DU FASO. CA NE RAPPELE PAS L’HISTOIRE DU GARS QUI DISAIT : ARRETEZ MOI SINON JE VAIS EN GREVE. QUAND ON VEUT LE FAIRE ON LE FAIT MAIS ON NE SE RIDICULISE PAS DE LA SORTE ET SURTOUT LUI QUI INSULTE LE PRESIDENT DANS TOUS CES ECRITS. KORO QUE VOUS LE SOUTENIEZ OK MAIS DE GRACE NE FAITES JAMAIS UN PARALLELE ENTRE NORBERT ZONGO ET CETTE ORDURE. CE SERAIT INSULTER NORBERT
44. Le 24 avril 2018 à 10:28, par de rien En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
on ne peut que rester sous développés, arriérés et très moutons avec de telles réactions. arguments à l’appui M. Damiss a suffisamment expliqué qu’il est l’objet d’un acharnement et que cela le prive de ses droits d’aller et de venir comme bon lui semble. comme d’habitude le débat s’égare.
45. Le 24 avril 2018 à 10:43, par Dougan En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Damiss, tu risques de devenir Damas donc bombardable.
Tu vois, même les paysans analphabètes vivant très loin des villes et souffrants de ce mal savent qu’il faut avoir plusieurs boîtes du produit contre ce mal. Quand il leur reste une seule boîte, ils sillonnent toutes les pharmacies pour refaire leur stock.
DAMISS, tu as dis avoir oublié ta convocation. si tu y accordais de l’importance tu ne l’aurais pas oublié.
DAMISS, tu as dis aussi que c’est une fois au bureau que tu t’es rendu compte que ta boîte était vide. Tu es un malade complaisant ou quoi ? Même un analphabète ne fait pas cette erreur.
Maintenant tu écris au Président de la République, si le coup avait réussit, Rock ne serait pas là.
Il ne faut pas baga-baga les gens.
Si tu ne veut plus du médicament, c’est bon. Il y aura du surplus et peut être le prix va diminuer à cause de ça.
46. Le 24 avril 2018 à 10:45, par Mamie En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Vous au moins vous avez eu la chance de vivre jusqu’à maintenant. Et ceux qui sont morts lors du coup d’état ? Je ne vois aucun problème à votre problème. Allez-y comme vous le dites. N’importe quoi.
Le 25 avril 2018 à 08:03, par Ka En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Mamie je suis de votre avis : Mais aucune mort n’est acceptable encore moins belle, surtout d’un être humain fusse-t-elle brutale ou attendue comme Damiss veut le faire volontairement dans une situation qui le dépasse. Pensons à sa famille qui sera totalement perdu et vidé comme les parents des victimes de leur coup d’état a la maternelle, et qui en voudra à tout le monde ? Et l’on pense aux hypothèses qui auraient pu l’empêcher de faire ça. Ce que nous pouvons faire pour ce pauvre, peut-être au fond de lui regrette son passé, c’est de l’encourager d’affronter la réalité de la vie, et assumer jusqu’au bout au lieu de se donner la mort inutilement : C’est ma philosophie contre tous ceux qui ôtent les vies que Dieu nous a donné avec bonté dans sa grâce.
47. Le 24 avril 2018 à 10:55, par #BlackBird En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Ce gars là est entrain de jouer au plus malin. Restes là ne soigne pas ton asthme seulement. Ko aller à l’etranger me soigner kiakiakia
48. Le 24 avril 2018 à 11:29, par tororoso En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Cher DAMIS, est ce qu’à la fin vous ne vous contredisez
Vous dites vouloir vous soigner, et en même temps, vous dites que vous allez faire grève de médicament, cad ne plus prendre vos médicaments
Je ne comprends rien
Par ailleurs, n’insultez pas les médecins Burkinabé !!! Un asthme, ils savent le soigner quand même
49. Le 24 avril 2018 à 11:58, par St Salvador En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Mr Damiss, pourquoi demander le respect du droit quand toi meme tu a soutenu des gens qui ont fomente un coup d’etat qui es contre le droit, contre la constitution ? Peut etre te disais tu que le coup allait reussir ? La greve de la fin n’est qu’un pretexte.
Maintenant, tu sais que le Burkina es un Etat de droit ? Mais tu a soutenu activement ceux qui ont voulu prendre le pouvoir par la force, ce qui est contre l’Etat de droit. Comme dis un proverbe de chez nous, ne fais pas a quelqu’un ce que toi meme tu ne veux pas qu’on te fasse. Si tu meurs par suite de greve, cela ne va emouvoir personne, les martyrs de votre action bete attendent toujours justice.
Le 24 avril 2018 à 16:51, par YAWOTO En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
TOUT PASSE, OUI ABSOLUMENT TOUT PASSE !!! C’est l’esprit qui donne la vie et il est écrit " le péché contre l’esprit ne sera jamais pardonné" . Le suicide est une lâcheté qui se paye cher dans le monde astral. Encore une fois TOUT PASSE.
50. Le 24 avril 2018 à 12:32, par Dedegueba Sanon En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Hé ! vous là, ils ( les juristes ) disent " présomption d’innocence.....jusqu’au verdict". Le juge n’ayant pas donné son verdict pourquoi certains traitent Damis comme coupable et lui prédisent une prison à vie ? A moins d’avoir été " étroitement associé " au putsch qui peut dire qui a fait quoi lors du putsch ? Voilà que Golf prétend qu’il n’a fait qu’assumer une intervention de ses hommes. Personnellement j’y crois, même si sa responsabilité est engagée, car l’homme est trop futé pour faire un putsch aussi bête.
Cela dit malgré le côté puéril de la démarche ( ce n’est pas la place qui manque pour un enterrement), il y a du vrai dans ce que Damis dit.
Le problème c’est qu’en fait c’est une " bagarre interne entre gens du même système. Car CDP ( que des perfides disent Chambres De Passe) ou MPP, tous ont été nourris au biberon de Blaise, et seule la succession mal gérée de celui ci a abouti au MPP.
C’est le peuple qu’on roule et qu’on continue de rouler toujours, tout est politique. Rien n’est vrai ou juste.
51. Le 24 avril 2018 à 12:34, par la loupe En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Bjr. C’est nul cette lettre. C’est pas nous tous on cri à l’indépendance de la justice ? Pourquoi demander au PF de s’immiscer dans les décisions de justice. Pourquoi vous qui aviez des moyens pour se soyez à l’extérieur n’a pas un domestique pour envoyer acheter vos médicaments à tel point d’accuser un retard dans un procès tant attendu. Comme vous dites connaître déjà le verdict, mourrez si ça vous tente. Bonne chance nous tous !
52. Le 24 avril 2018 à 12:43, par Wangram En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Mon frère Damiss, tu ne nous montre pas que les médecins du Burkina ont attesté qu’ils ne peuvent pas te soigner et que tu es obliger d’aller à l’étranger ; cela facilitera notre compréhension. Sinon ce que tu as écrit est simplement du verbiage et on sait que toi tu ne vas jamais laisser la brakina te suicider. Si tu veux réellement mourir aussi, il faut faire grève de la faim. De toute façon ça fera un prévenu de moins et moins de boulot pour le parquet.
53. Le 24 avril 2018 à 14:13, par LESMECHANTS ! En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Comme Esly et Koro, je crois que la haine a atteint son paroxysme au Burkina. Eh !!!! C’est quant même méchant ! Je ne m’en revient pas. Au regard de ce que je lis, je pense que la guerre civile est possible au pays ! Le burkinabè est devenu cruel ! Pensez un instant, si ce Mr que je ne connais pas est votre frère, votre père, votre neveu ! Bref,
Êtes-vous sûre que si ce Mr meurt aujourdhui, RMCK n’aura rien sur sa conscience ? Je pense que oui ! Je ne demande pas à quelqu’un de me répondre par ce que je connais votre réponse ! Je suis déçu, tellement la haine prend de l’ampleur !
Allons seulement !
Le 25 avril 2018 à 18:14, par Razambia En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Mr Lesmechants meme si tu ne veux pas de reponse je t ecris cas meme pcq je presume que tu es honnete.Soit rassure pcq le Burkinabe n ira pas jusqu a la guerre civile.Les gens ne font que exprimer leur point de vu par rapport a un probleme pose.Ou se trouve l Os ?Si le meme Damis se montre humble tu seras surpris de la reaction des internaute.Donc tu peux etre tranquille que le Burkinabe n est pas celui que tu decris.As tu deja oublie qu apres le soulevement personne n a ete physiquement violente ?Pourtant c etait plus chaud que les mots du forum.
54. Le 24 avril 2018 à 14:24, par L’insurgé_indigné ! En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Est ce des burkinabè qui écrivent les réactions que je suis en train de lire ? Je me pose la question de savoir si les gens ont lis son message.
Damis est-il déclaré coupable ou présumé coupable ? je ne comprend rien !
Écrire au président, où est le problème ? Ailleurs, on insulte le président et y a rien (suivez mon regard) donc pour moi, l’écrire même en langue locale n’est pas un crime !
Pourquoi les burkinabè sont subitement devenus mauvais
Attendons de voir la réaction du Président !!!ohhhhhhhhhhhhhhh
55. Le 24 avril 2018 à 17:58, par Adama En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Pourquoi refuser a Djibril Bassole l’autorisation d’aller se soigner et vous l’accordez a vous ? Parceque vous êtes journaliste ? Faite comme Bassole attendez tranquillement la fin du jugement et partez vous soigner après.
Autrement dit la loi ne vous interdit pas de vous suicider et vous n’avez pas besoin d’interpeller le Président du Faso pour votre suicide.
merci
56. Le 24 avril 2018 à 18:16, par s En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Si Damiss veut mourir de sa belle mort, les victimes eux n’ont pas eu cette chance.
57. Le 24 avril 2018 à 19:21, par neya boukari En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
La seule question que moi je me pose est la suivante : que diable est-il allé chercher dans cette galère. Un "journaliste" soutenant des putschistes criminels ! Qu’il assume donc aujourd’hui son choix. Si ce putsch foireux avait réussi, ce monsieur aurait pu être ministre de la communication et Dieu seul sait les crimes indéfendables qu’il allait essayer de défendre.
Une chose : prière ne pas comparer Norbert Zongo à cet aventurier, pseudo-journaliste d’investigation. S’il veux vraiment se suicider, de grâce laissez le faire. Le Burkina ne s’en portera que mieux.
58. Le 24 avril 2018 à 20:12, par Ka En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
‘’’A’’’ l’internaute Vision : Dans toutes vos autos critiques vous dupez les internautes en disant de ne pas soutenir les partisans de l’ancien régime comme Damiss et autres ! Des autos critiques à la Sapience ou Madjer. Tout dont je vous demande, c’est de quitter ce jeux dangereux quand vous voulez répondre a mes critiques fondées et dévoiler votre vrai face de partisan de l’ancien régime : Il n’y a pas de honte de défendre un idéale comme Yako, Wyski et tant d’autres nostalgiques de l’ancien régime.
J’ai dit de ce que je pense réellement du manipulateur journaliste Damiss, et les noms des juges je m’en tape, ce que je sais il est dans les mains des juges militaires point barre. Ce qui lui reste, c’est de croire que pour le moment il n’est qu’un présumé accuser, et un présumé a de l’espoir d’être innocenté.
Vous, vous n’aviez aucune vision que des ruses à tromper les internautes de bonne foi, et je vous demande de vous éloigner de mes critiques fondées sur la vérité et des argumentations solides. Car si on pense de tout dont vous aviez fait à notre pays sur la base des mensonges et des prédéterminations fatales, tout ce que le Burkina récolte aujourd’hui ne sont que vos semences. Car pour vous les faux visionnaires, ‘’’’bien manger, bien mourir ou mal mourir, être riche ou être pauvre, faire un accident ou ne pas faire, souffrir ou ne pas souffrir dépendent de vos esprits fatalistes.’’’ Relisez vos autos critiques, vous verrez que vous ne pouviez même pas tromper un bébé d’un jour que vous n’êtes pas un accro de l’ancien régime a berner le monde.
59. Le 24 avril 2018 à 21:13, par Nabb En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
S’il cesse de prendre ses médicaments et qu’il meurt c’est directement l’enfer car c’est un suicide. Nul n’a le droit d’ôter une vie ,même sa propre vie .
Si c’était au temps de son mentor Blaise,il allait applaudir : il aura un cadavre en moins dans son placard
S
60. Le 24 avril 2018 à 22:58, par Commandant MaRation En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
"Sans le courage et le sacrifice de certaines personnes, le monde n’aurait pas atteint ce niveau de liberté. L’histoire de l’humanité regorge de cas de personnes qui ont contribué à des avancées significatives en matière de droits de l’Homme". Tres ironique, n’ est-ce pas ?
En tout cas, nous on a marche contre les balles des assassins du RSP. Apres avoir chasse les malpropres qui voulaiemnt violer notre constitution. Tous ceux qui ont plonge dans ce coup d’ etat le plus salopard du monde vont paye un a un. N’ oubliez pas que des gens sont morts pour des saloperies , tout de meme. Tu peux commencer deja ta greve du medicament mais tu n’est pas le seul a avoir l’ asthme dans ce pays. Je suis Le Commandant Zanre. Commandant, je serre mes petites fesses devant vous !
61. Le 25 avril 2018 à 14:05, par ocm En réponse à : « Je ferai la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive », Adama Ouédraogo dit Damiss, journaliste accusé dans l’affaire du coup d’Etat
Bonjour mon cher Damiss,
Je respecte ta décision, mais pour mourir, on n’a pas besoin de faire de tel bruit.
Un journaliste éclairé comme toi, doit savoir et admettre que tout accusé quelque soit le motif, doit prendre toutes les dispositions utiles pour être présent le jour du jugement. Ce que tu n’as pas fait et tu essaye de nous divertir. Ce n’ai pas digne d’un journaliste de ton rang.
C’est au moment que le jugement est enclenché que monsieur Damiss trouve quelqu’un qui peut le soigner hors du Burkina Faso. Bravo monsieur le journaliste, mais c’est plat comme motif.
Nombreux sont les journalistes au Burkina Faso qui travaillent honnêtement et rendent de loyaux services à notre pays . A ma connaissance, ils sont aussi nombreux les journalistes qui n’ont rien à voir avec le coup d’ Etat le plus bête. En tant que journaliste, si tu es accusé dans un coup d’état militaire, alors ai le courage de prendre tes médicaments car les Burkinabés attendent la vérité sur cette ignoble histoire. Après le jugement, libre à toi de gérer le restant de ta vie comme tu veux.
Au Burkina Faso, il n’y a plus de super militaire, de super journaliste....., de super citoyen. Le Procureur Militaire à fait son devoir et le Président du Faso ne peut pas dire le contraire.Alors, respecte ton métier de journaliste.