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Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

Publié le dimanche 22 avril 2018 à 21h00min

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Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

Le texte ci-après est une analyse du secrétaire général de la CGT-B, Bassolma Bazié, sur le discours sur l’état de la nation du Premier ministre Paul Kaba Thiéba.

Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction !

Primo : des résultats du 5 février 2018 comparés à ceux du 12 avril 2018, soit 2 mois 7 jours d’intervalle temporel

Bilan des recouvrements des 3 régies financières en 2017 (en milliards de F CFA)

Prévisions Réalisations Taux de recouvrement

Source : http://www.leconomistedufaso.bf/2018/02/05/recettes-fiscales

Total des recouvrements en 2017 : 1397, 182 milliards en 2017.

Or, le jeudi 12 avril 2018, du discours (DSN) de Son Excellence Paul Kaba THIEBA, (discours scanné, page 22, avant dernier paragraphe, il est écrit : « …recettes propres de 1389,4 milliards de F CFA en 2017 contre 1230,5 milliards en 2016 », Source : http://www.sig.bf/…/Discours-du-Premier-ministre-sur-la-sit….

Calcul : 1397,182 F CFA (du 5 février 2018) – 1389,4 F CFA (du 12 avril 2018) = 7, 782 milliards de F CFA.

Pourquoi cet écart de sept milliards sept cent quatre-vingt-deux millions (7, 782 Milliards de F CFA ?

Secundo, les contrevérités sur les 50% de recettes propres affectées « aux dépenses du personnel », même dans sa conception virtuelle et irréaliste

Selon le discours de son Excellence Paul Kaba THIEBA, il ressort que « …Corrélativement, les dépenses de personnel absorbent de plus en plus l’essentiel des recettes fiscales de l’Etat, soit 50% en 2017 ; 51,6% en 2016 ; et 50,4% en 2015. ». (Confère l’Observateur Paalga N° 9587 du vendredi 13 au dimanche 15 avril 2018)

Et sur cette base « des dépenses de personnel absorbent de plus en plus l’essentiel des recettes fiscales de l’Etat », donc des 50%, il est révélé dans ce discours (DSN) du 12 avril 2018 que : « Les dépenses en personnel sont passées de 332,32 milliards de F CFA en 2012 à 618 milliards de F CFA en 2017, soit une variation de 86%. », a expliqué Paul Kaba THIEBA (Cf Aujourd’hui au Faso, N°1023 du vendredi 13 au dimanche 15 avril 2018).

Calcul :

« 50% des recettes propres en 2017 » indiquées dans le discours (DSN) de son Excellence Paul Kaba THIEBA, donc 50% de 1389,4 milliards de F CFA donnent 694,7 milliards de F CFA. Ce résultat comparé à 618 milliards de F CFA en 2017 annoncé par Paul Kaba THIEBA lui-même le 12 avril 2018 à l’AN indique une différence de 76,7 milliards.

C’est-à-dire : 694,7 milliards F CFA – 618 milliards = 76, 7 milliards

Ou bien la marque d’erreur tolérée dans une certaine république est maintenant le milliard ??

Dans tous les cas, ici, soit le montant des « 618 milliards de F CFA en 2017 comme des dépenses du personnel » issus du DSN de son Excellence Paul Kaba THIEBA est inexact, soit les « 50% corrélés » comme pourcentage de « l’essentiel des recettes propres réservées aux dépenses » est une contrevérité. A quoi donc s’attendre des indicateurs de l’espace UEMOA fixés à 35% ???

Une chose est certaine, de même qu’un fusil peut permettre de protéger ou de détruire, il en est de même que le chiffre !

Bassolma BAZIE

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Vos commentaires

  • Le 22 avril 2018 à 15:53, par Tendaogo En réponse à : Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

    Quand un syndicat est politisé, les revendications peuvent aussi être une arme de destruction.

  • Le 22 avril 2018 à 16:29, par NON aux fonds communs En réponse à : Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

    En faite je suis dans mon bureau et chaque jour que Dieu fait ,je me souci de notre avénir.Bien sur que celui du Burkina et en particulier de l’ avénir individuel des Burkinabè,car comme le disait le grand journaliste NORBER ZONGO personne n’aurra un avénir dans un pays qui n’a n’en pas.Et c’est ça qui est là.

  • Le 22 avril 2018 à 16:40, par Ka En réponse à : Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

    C’est vrai que toute lutte de classe est une lutte politique : Mais quand ces responsables des luttes comme Bassolma responsable syndicale deviennent un opposant sans expérience et s’oppose bêtement à un premier ministre qu’il n’aime pas sans passé par une vraie opposition comme le CFOP, je dis que malheureusement, il arrive parfois que la lutte de classes dans une société ne soit plus très vive. Cela se vérifie quand une bonne partie des exploités ignorent complètement qu’ils sont l’objet d’une exploitation éhonté comme celui de notre Chef syndicale Bazié Bassolma qui suit la trace d’un Soumane Touré avec un gosier large pour se faire remarquer par des décideurs qui ne font pas attention à lui.

  • Le 22 avril 2018 à 17:27, par Dedegueba Sanon En réponse à : Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

    Whaou ! Pour moi cela n’a rien de politique.Que le PM s’explique et apporte la contradiction. Au moins tous ses conseillers et techniciens qui pullulent autour de nos premiers responsables doivent mériter les " perdiems grassement " payés.
    On se savait entubé par une équipe d’amis "de dérivés primes du CDP", mais pas à ce point.
    Tom Sank, paix à son âme disait : " certains mangent d’autres regardent, c’est comme cela que naissent les révolutions". J’ajoute que depuis que vous avez " fait" ( le terme est de vous MPP-CDP)Tom Sank, ceux qui vous regardaient manger ne cesse de grossir en nombre, et BC et son clan en a fait la violente expérience.
    Si vous continuez sur la même voie...ils ne vont plus se faire rouler une deuxième fois par des opportunistes professionnels. " Premier gaou n’est pas gaou....".

  • Le 22 avril 2018 à 17:42, par Kpièrou En réponse à : Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

    Je ne comprends plus rien.... L’analyse des nombres et chiffres effectuée par le syndicaliste est le travail élémentaire et des députés et des citoyens s’ils avaient toutes les données.Et s’il y a des incohérences dans l’étalage de ce que le PM a présenté il faut bien le relever pour chercher la droiture et la vérité.
    Mr Mélégué TRAORE a aussi relevé en toute objectivité les faiblesses d’un tel discours. La vérité fait rougir l’oeil mais ne le crève pas, dit-on.

  • Le 22 avril 2018 à 17:50, par Atome En réponse à : Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

    Mr "ka", tout ce qui se conçoit intelligemment se dit sans indecence ! Donc, vérifie les éléments publiés par Bassolma BAZIE voir s’il y a une seule phrase ou mot écrit en " je n’aime pas le premier ministre !" ?. Si Paul kaba Thieba réuni ses amis dans son propre champ agricole pour faire le point sur le nombre de sacs de maïs, de sorgho, de mil etc. qu’il a récoltés, cela n’engage que lui et ses contempteurs dont vous autres. Mais ici il s’agit de la Nation et tout le monde peut se prononcer. Et Bassolma l’a fait de façon scientifique et mâture. Si vous avez des preuves contraires ,sortez les ! Si non, quand on tombe dans les injures et autres aberrations, c’est la preuve qu’on a été démasqué ! Rappelons que Blaise et François avaient aussi des contempteurs ! Grandissez pour honorer qui de droit !

  • Le 22 avril 2018 à 18:28, par Yibi En réponse à : Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

    Monsieur ka, généralement c est le plus faible ou celui qui est limite sur le plan argumentaire qui est prompt au dénigrement et aux insultes. Apportez nous vos chiffres et nous en discuterons.

  • Le 22 avril 2018 à 19:02, par Batin En réponse à : Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

    Merci à M. BASSOLMA.
    Si son calcul est faux, ceux qui ont donné les chiffres au PM ont le droit de réponse.
    Notre Communication au Faso est à la hauteur.
    Ce qui est sûr il y a une évidence qui se dégage clairement au Burkina Faso : La génération actuelle a changé, mais l’élite d’un certain temps qui nous donne nos représentants ne veut pas changer.
    C’est amèrement la conséquence !

  • Le 22 avril 2018 à 19:31, par Dedegueba SANON En réponse à : Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

    Moi j’attends avec impatience l’éclairage des autorités sur les« écarts » mis en évidence par BAZIE.Si ses chiffres sont erronés qu’on nous le démontre. Sinon c’est un flagrant délit de....si je dit le mot ils vont me traquer pour me priver de soleil.
    Ce qui est sûr depuis « l’éruption populaire » qui a contraint à l’exil « l’homme peuple »- « l’homme programme », « l’homme irremplaçable », que les agités du CDP vénèrent comme Dieu, le peuple ne veut plus regarder manger sans réagir. Nous sommes conscients qu’il y a eu juste une succession mal géré au sein d’une même famille politique, sinon on vous connait.
    Que BAZIE fasse très attention, car le peul a osé dire des choses et on veut le lui faire payer. C’est toujours très ennuyeux lorsqu’on a affaire à la justice.

    • Le 23 avril 2018 à 08:38, par tofo En réponse à : Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

      Mr bassolma s’engage sur une piste qu’il ne maitrise pas tous les contours , j’aurais souhaité que ca soit le syndicat des finances qui font cette contre analyse.

      • Le 23 avril 2018 à 09:05, par Le Vigilent En réponse à : Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

        Mon cher tofo,

        Je suis du même avis que vous. Il aurait été plus sage, de la part de Basolma Bazie, de demander aux syndicats du ministère de l’économie et des finances, eux qui ont accès a tous les chiffres réels sur le budget, de porter la contradiction aux affirmations contenues dans le discours du Premier ministre.

        • Le 23 avril 2018 à 10:36, par Anta En réponse à : Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

          Bassolma n’a pourtant pas inventé ces chiffres, c’est sources à l’appui ! Ceux du ministère des finances ne sont pas fiables parce qu’ils sont des finances, puisqu’ils peuvent aussi nous balancer de faux chiffres : les chiffres de Kaba Thiéba viennent justement du MINEFID. Toujours est-il qu’il y a maldonne quelque part, on veut des explications ! Pourquoi tant d’écart ?Il y a mes impôts dedans, et j’ai mon mot à dire, parce que avant que le MPP n’arrive je les payais déjà ! Si c’est être politicien que de demander des éclaircissements, alors soyons politiciens plus que de raison !

          • Le 23 avril 2018 à 21:08, par Le Vigilent En réponse à : Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

            Mon cher Anta,

            Ce que vous feignez d’ignorer, c’est que des indicateurs calculs en utilisant des données de deux ou plusieurs sources différentes peuvent ne pas refléter la réalité. Comme vous le dites, le calcul de Basolma Bazie est fait à partir des chiffres publiés par le journal l’Économiste, chiffres que vous jugez crédibles, et ceux contenus dans le rapport de PKT, et sur lesquels vous émettez des doutes, parce que fournis par le MINFID. C’est justement à cause de cette diversité des sources que certaines personnes estiment que les résultats produits par Basolma Bazie pourraient ne pas refléter la réalité et ce, par manque de rigueur scientifique.
            Mais comme on est visiblement en politique, chacun est libre d’user de toutes les acrobaties possibles pour porter un coup fatal a l’adversaire.

  • Le 22 avril 2018 à 19:56, par Insurescroquerie En réponse à : Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

    Comprenez le vieux Ka. En réalité, c’est quelqu’un qui n’a pas préparé sa retraite et qui s’est reconverti au griotisme espérant se faire remarquer pour bénéficier de miettes. Le général Bassolma, lui défend des idéaux au dessus du niveau de ce fameux Ka.

  • Le 22 avril 2018 à 20:17, par Voltaïque Indigné. En réponse à : Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

    Monsieur le syndicaliste un peu de maturité syndicale vous vous comportez comme un enfant du primaire qui vient de découvrir l’arithmétique : en matière de chiffres économiques il faut éviter de comparer des ćhiffres de sources différentes. L’économiste du Faso est un journal qui vend ses journaux, comparer ses chiffres qu’il publie avec des chiffres officiels ne me semble pas rationnel. Ce journal a obtenu ses chiffres à une date à partir d’une source que vous ignorez et vous prenez ça pour comparer à des chiffres fournis par le PM à une rencontre institutionnelle votre démarche manque de cohérence. Je vous conseille de vous référer à la même source ( Banque Mondiale, Ministėre des finance, FMI...) quand vous comparez des agrégats économiques ou financiers sur des périodes différentes à moins que vous voulez exceller dans le « charlatanisme » dixit PKT.

  • Le 22 avril 2018 à 20:18, par Ka En réponse à : Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

    ’’’A’’’ l’internaute Atome : Avant que je te réponds a ta critique de dénigrement, dit moi le rôle d’un syndicaliste dans notre société ? Le rôle exact d’un responsable syndicale comme Bassolma par rapport à une opposition politique dans notre société ? Aveuglement Il y a du vrai dans ce que tu avances : Mais il faudrait pousser plus loin pour tenter de déterminer les raisons de tes courtes pensées.

    En te lisant, je comprends là où tu veux me placer : Mais sache que je tire à bout portant sur le premier ministre Kaba, Roch Kaboré et toute sa clique, comme ce que je viens de le faire avec Bassolma dont ses sorties, ses soutiens, et ses acharnements suivies des chantages sans fondements dépassent le rôle d’un responsable syndicale, et qui montre qu’il y a une main manipulatrice derrière, comme le Burkina en a connu avec ses responsables syndicaux aux gosiers larges depuis la nuit des temps : D’autres sont disparus, et d’autres sont encore sur la scène politique. Si tu ne les a pas connu, moi oui !

    Personnellement, je n’ai fait que constater que les grèves et les sorties mener par notre Bassolma dans ces derniers temps pourrissent l’avancer et le développement de notre pays, et certainement il y a une main malsaine derrière pour mettre notre pays a genoux.

    Il faut bien reconnaître que ce syndicaliste de Bassolma qui veut suivre la trace de Soumane Touré dont la droite Burkinabé et les impérialistes a son époque l’ont demandé d’éliminer la révolution de Thomas Sankara, a un don certain pour monter en épingle avec des petits rien, comme des différences de chiffres entre deux semaines, et en faire des événements d’envergure planétaire, nous montre qu’il n’a rien à faire que de vouloir a un premier ministre qui patine mais essaye de faire de son mieux.

    Quand à toi, tu es dans le même bain que ceux, quoiqu’un régime bon ou mauvais, fasse pour son pays, aucune bonne action de ce régime ne trouvera grâce à vos yeux. Je ne défends pas ici le régime mouta mouta de Roch Kaboré, loin de là : Mais si nous regardons de loin avec les caisses de l’état vidées par ceux qui ont fui la queue sous les jambes, les sales coups que les Djihadistes nous donnent, nous devions réfléchir deux fois avant d’accuser les décideurs du jour. Pour l’instant unissons-nous, car ça ne sert à rien de jeter le bébé avec l’eau du bain, et que tout n’est pas tout blanc, ni tout noir. Merci de me lire.

    • Le 23 avril 2018 à 06:12, par Kasav En réponse à : Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

      Mr Ka , promo de Kôrô yemyele. À ton âge je trouve que tu es trop excité. Je vous suis depuis plusieurs années, mais vous manquez de maturité d’analyse. En quoi un responsable syndicale ne peut relever des incohérences de chiffres dans le discours d’un PM devant la représentation nationale ?? Sinon son discours se serait fait à huit clos . Vos débats sur le net sont très improductifs et même infantiles.
      Juste une contribution. Ton promo Koro t’a mainte fois rappeler à l’ordre. Évitons l’incivisme numérique. Allez Du courage !!!

  • Le 22 avril 2018 à 20:19, par Yako En réponse à : Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

    @atome,Mr ka a déjà un problème sérieux avec les lettres,vouloir lui parler des chiffres est une perte de temps.Lisez bien son post.Un poste de 6 lignes il ya combien de fautes ?Ça résume bien le personnage,un petit lettré autrefois portefaix du palais, qui s’abrite derrière son clavier pour insulter.

    • Le 22 avril 2018 à 22:52, par zila En réponse à : Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

      dès lors que l’on prend une position par apport a une decision politique naturellement on fait de la politique. basolma est un representant des travailleurs et l mpp dans son manifeste a sa politique du travail donc souffrez que si y’a une decision politique qui porte atteinte aux interets des travailleurs qu’il réagisse et donne la position des travailleurs. donc oui il fait la polique sans pour autant chercher à conquérir le pouvoir d’etat(cela ne fait pas parti des objectifs du syndicat.). élévons notre niveau de conscience politique et arretons ces termes que les politiciens utulisent pour nous narguer comme quoi un syndicat doit etre apolitique car s’il l’est il ne peut exister

    • Le 23 avril 2018 à 07:37, par Ka En réponse à : Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

      A toi Yako, l’exilé sans papier en France : Analyse ma courte critique fondée sur la vérité d’un syndicaliste qui veut prendre la place d’une opposition au lieu de défendre les intérêts de ces clients syndiqués, et si tu trouves une faute d’orthographe, signale la a mes lecteurs : Si ce n’est pas le cas, tu sais ce qui te reste à faire, te pendre. ’’’Quand a ma retraite, je l’ai préparé avec amour, et se réjouis pleinement avec ma famille, qui est plus grande richesse que peut avoir un être humain sur terre avec la grâce de Dieu.

      Je m’excuse, mais votre Bassolma est là pour défendre les syndicats, ou bien il est là pour s’opposer bêtement a la place de l’opposition ? C’est-à-dire refuser systématiquement tout ce qui risque de faire avancer notre pays, afin de foutre la merde.

      Je connais le rôle d’un responsable syndicaliste qui est de défendre avec l’appui du peuple les intérêts naturels des syndiqués, que de jouer le rôle de l’opposition nationale en s’attaquant a un premier ministre gratuitement.

      Pour que notre pays avance dans l’alternance politique voulu par le peuple, chacun doit jouer son rôle : Car nous ne voulons plus de ce que vous les Yako ont poussé l’introverti Blaise Compaoré a dérailler, et a la fin a pris la fuite comme un rat et la queue sous les jambes Quand on pense à ce que vous aviez fait à notre pays sur la base de mensonges et paradigmes foncièrement imaginaires pour des intérêts particuliers, la seule conclusion qui s’impose est que tout ce qui arrive maintenant n’est que la récolte naturelle des semences d’hier. Permettez le Burkina d’avancer proprement sans des des ruses, et chacun dans son rôle pour apporter sa petite a sa reconstruction, après que vous l’aviez détruit.

  • Le 22 avril 2018 à 20:24, par le regard En réponse à : Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

    Un syndicat politisé ne peut que faire de la diffamation.
    .Il n’y a pas et il n’y aura pas un avenir des travailleurs dans un pays qui n’en a point, tout simplement par ce que les ressources sont prises en otage par les travailleurs notamment les fonctionnaires comme les BASSOLMA BAZIE.
    Il ne restera plus rien au gouvernement pour investir pour la population , notamment celle du pays réel................
    Soyons donc lucide , réaliste et objectif et surtout ne soyons pas égoïstes.
    A bon entendeur, salut !

  • Le 22 avril 2018 à 20:31, par Tendaogo En réponse à : Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

    Ce n’est qu’une analyse populiste sans base scientifique et intellectuelle.

  • Le 22 avril 2018 à 21:07, par Le Mentalist En réponse à : Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

    Politisé ou pas, M. BASSOLMA a relevé une faute grave de la part d’un technocrate,docteur en finance et expert des chiffres. Et ça se dit compétent ? Trop de légèretés ! J’ai jamais imaginer cela pour mon pays. L’avenir n’est pas reluisant, réveillons nous

  • Le 22 avril 2018 à 22:00, par Papou En réponse à : Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

    Moi dans tout ça je veux savoir les vraies raisons pour le Gal BASSOLMA qui aime les mots "équité, gouvernance vertueuse, justice sociale... " mais qui trouve normal qu’il ait dans ce pays des agents publics qui ont des FC et d’autres zero. Et c’est lui encore qui trouve moyen de voir des incoherences dans le discours du PM. Est ce que les FC qui triple les salaires des autres fonctionnaires ne sont pas aussi une "incoherence sociale " entre les agents de l’Etat ?
    Je m’interroge toujours.

  • Le 22 avril 2018 à 22:02, par Papou En réponse à : Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

    Moi dans tout ça je veux savoir les vraies raisons pour le Gal BASSOLMA qui aime les mots "équité, gouvernance vertueuse, justice sociale... " mais qui trouve normal qu’il ait dans ce pays des agents publics qui ont des FC et d’autres zero. Et c’est lui encore qui trouve moyen de voir des incoherences dans le discours du PM. Est ce que les FC qui triple les salaires des autres fonctionnaires ne sont pas aussi une "incoherence sociale " entre les agents de l’Etat ?
    Je m’interroge toujours.

  • Le 22 avril 2018 à 22:30, par Vérité En réponse à : Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

    Certaines interventions donnent de la nausée ! Un burkinabé à réagi à un discours avec des chiffres à l’appui ! Au lieu de tomber dans des aberrations du genre :" ce n’est pas scientifique, il faut voir les chiffres du ministère ou de la banque mondiale, l’économiste à sa source etc." Je les invite à taper sur le.moteur de recherche Google : " l’interview sur les recouvrement de la DGI en 2017." Vous verrai que le chiffre donné, des jours après ceux de l’économiste par photographie en un instant T est nettement supérieur en terme de millions. Cela signifie que que les incohérences relevées par Bassolma pourraient être mêmes plus graves. Vérifiez, cela n’est que pour la DGI. Donc arrêtez vos inepties ! Quand une critique est scientifiquement et intelligemment faite, mettre les aberrations au coffre fait grandir !

    • Le 23 avril 2018 à 09:34, par Le Vigilent En réponse à : Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

      On cher Vérité,
      Vous dites pertinemment que, je cite : « Quand une critique est scientifiquement et intelligemment faite, mettre les aberrations au coffre fait grandir ! ». Là où je ne vous suis pas, c’est quand vous reniez aux autres internautes le droit de relever le fait que l’analyse de Basolma Bazie aurait été plus crédible si elle avait respecté un des principes cardinaux de la rigueur scientifique dans ce genre de publication. Dans ce sens, l’on doit éviter d’utiliser des chiffres de sources diverses pour construire des indicateurs et tirer des conclusions hâtives.

  • Le 22 avril 2018 à 22:42, par Maturité En réponse à : Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

    Se taire quand on n’a pas d’argument révèle la grandeur d’un homme ! L’inverse est démoniaque ! Bassolma BAZIE à avancé des chiffres ! Si tu n’as pas le contraire, tu la boucle ! L’économiste du faso ne fabrique pas de chiffres, ce sont des chiffres issus de la même administration financière. Et puis quand on est fier de rester un esclave à vie : en quoi des chiffres peuvent être plus crédibles en venant de la banque mondiale que de l’économiste ? Et puis, Bassolma n’a pas utilisé que les chiffres de ce journal ! Il y a même le discours lui même ! C’est vraiment dommage pour certains ! Donc dis seulement ce qui est scientifiquement exact et la solution est trouvée en face : " c’est l’opposition qui ne manipule, c’est une main invisible eyc." . Quittez donc et remettez le pouvoir à cette opposition ou à cette main invisible qui paraît à mes yeux très posée, convainquant et pas émotionnelle ! Dommage d’être petit d’esprit !

    • Le 23 avril 2018 à 08:51, par Etalon 1er En réponse à : Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

      Quoi qu’il en soit mon cher, reconnaissez qu’il n’y a qu’au Burkina qu’un responsable syndical base son analyse contradictoire au discours du 1er Ministre sur des chiffres tirés d’un journal. Cela fait que son analyse n’est pas très défendable. Si, en tant que responsable syndical, il avait sollicité ses amis des différents ministères, dont il est supposé défendre les intérêts, je pense qu’il aurait présenté une analyse plus crédible. Pourquoi ne l’a t’il pas fait ? Etonnant tout de même !!
      Pardonnez-moi si vous travaillez pour le journal en question.

    • Le 23 avril 2018 à 10:44, par Voltaïque indigné En réponse à : Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

      Maturité pour votre gouverne sachez que la banque mondiale BM ( idem pour le FMI) a des relations institutionnelles avec les pays par le biais des accords signés avec ces pays. Elle a accès aux comptes nationaux de ces pays et a des outils d’investigation de contrôle et d’audit de la cohérence des agrégats monétaires et financiers de ces pays, elle a régulièrement des missions de contrôle et de suivie de ces comptes avec le ministère des finances d’une part et avec la BCEAO d’autre part mais séparément. C’est un acteur neutre qui est habilité à dénoncer les incohérences et l’inexactitude des chiffres publiés par les états. La productions de faux chiffres par les états peut entraîner l’arrêt de programme de financement par ladite Banque. Le journal l’Economiste n’a pas ces moyens institutionnels d’investigation et de contrôle de la BM il n’a que son reseau d’informateurs informels dont la crédibilité peut être douteuse. Voilà pourquoi les chiffres de la BM et du FMI sont plus crédibles que ceux d’un canard local bien qu’il s’appelle L’Economiste du Faso.

  • Le 23 avril 2018 à 01:12, par Sekou En réponse à : Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

    Bien dit internaute18, avec Basolma certaines injustices ne sont pas à denoncer. Il defend le FC corps et âme, quel paradoxe.

  • Le 23 avril 2018 à 06:48, par Mon Papou En réponse à : Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

    Bonjour mon "Papou" ! J’apprécie la façon dont tu abordes le problème ! En effet, tu poses des questions sur l’attitude de Bassolma sur le fc et tu cherches à comprendre. Au fait, moi j’ai fait les constats suivants depuis que cette question de fc est en débat :
    Primo, personne ne peut indiquer un paragraphe où un propos où Bassolma dit qu’il n’est pas d’accord à ce que les autres travailleurs aient un fc. Secundo, certains n’ont jamais lu l’entièreté d’une déclaration de Bassolma. Les gens étant frileux, ils se limitent au titre fait par le journaliste et commencent à tirer des conclusions hâtives sur Bassolma. Tierto, d’aucun disent qu’il ne comprennent pas son français et devait répondre par oui ou non, mais ils tirent aussi tout de même des conclusions. N’est ce pas dommage ! Pour ce que j’ai compris, Bassolma dit que ce sont les mêmes autorités qui ont signé les textes tout en prenant leur propre part dans ce fond commun donc il ne faut pas revenir en hypocrite opposer les travailleurs. Bassolma dit aussi qu’il faut que dans la solidarité les travailleurs se soutiennent dans le combat pour que chaque corps ait des acquis, parceque demander la suppression de ce fond commun n’est pas la bonne solution. Enfin il invite les autorités dans le cadre de la conférence Nationale sur les ressources à mettre toutes les rémunérations et fonds divers sur la table pour un point transparent et redistribution. Donc c’est bien de toujours chercher à comprendre avant de réagir !

  • Le 23 avril 2018 à 08:06, par VERITE En réponse à : Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

    voici un syndicaliste qui défend le patronnant en lieu et place des salariés.c’est simplement la politique de la panse (gros intestin).c’est regrettable et triste.syndicalisme patronal !

  • Le 23 avril 2018 à 08:16, par Indjaba En réponse à : Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

    Le problème de Basolma est qu’il est convaincu qu’il est plus intelligent que tous les ministres et tous les cadres des ministères. Aucun État sérieux ne va donner ces genres de chiffres jusqu’à la virgule près. A partir d’une masse salariale bien précise, on peut déduire le nombre exact des fonctionnaires civiles mais aussi celui des militaire d’un pays. Aucun état ne fera cette erreur de communiquer sur le nombre précis de ces militaires. Ce qui est important Mr Balsoma c’est qu’on est largement au dessus de la marge tolérée pas l’UEMOA et les économistes même si on fait les corrections que tu apportes. Par ailleurs un état c’est les secrets aussi. On peut manipuler confidentiellement certains chiffres pour arracher certainement financiers pour aider à augmenter les salaires que basolma réclame à coup de grève. France, USA, Russie, les secrets existent. Arrêter votre enfantillage. Il ne s’agit pas de prendre des chiffres avec des syndicalistes des finances et sortir jouer au Einstein.

    • Le 23 avril 2018 à 09:15, par Ka En réponse à : Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

      Merci Indjaba : ’’’’Voilà un intellectuel bien posé qui dit tout haut ce que d’autres pensent et disent tout bas.’’’’ Tu ne fais pas parti des détracteurs malhonnêtes et destructeurs, qui, quoi que fasse un régime pour son pays, aucune bonne action de ce régime ne trouvera grâce à leurs yeux. Pour une fois, je reconnais un internaute qui est un grand professionnel en matière de la politique de notre ère dont tout ne se dévoile pas : Indjaba tu es un homme de culture, un homme courageux. Je salue ici ta grandeur d’esprit. Quand un internaute nous donne une critique fondée avec des argumentations solides suivis de la vérité, on dit qu’il le fait en toute objectivité, et j’apprécie ici ta franchise. Que les internautes bornés sans cervelle et aigris, en prennent de la graine.

    • Le 23 avril 2018 à 10:12, par RAWA En réponse à : Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

      La solution au problème de tous ces gens qui pensent qu’ils sont plus intelligents que les décideurs, c’est de prendre M. Bassolma Bazié, je dis bien Bassolma Bazié et d’en faire le prochain ministre de l’économie et des finances du Faso. Cela clouerait le bec de tous ce gens qui on tendance à traiter les autres d’incompétents.

  • Le 23 avril 2018 à 08:33, par Le Vigilent En réponse à : Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

    Mon cher Basolma Bazie,

    Votre raisonnement, bien que logique, pèche en ce qu’il compare des chiffres de sources différentes : le journal l’Économiste et le discours du premier ministre a l’Assemblée nationale. Les analyses crédibles se basent sur des données provenant de la même source.

  • Le 23 avril 2018 à 08:44, par CALMOS En réponse à : Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

    J’avoue que j’ai toujours apprécié les positions de Bassolma depuis qu’il dirige la CGTB mais j’avoue que depuis qu’il a pris faits et causes pour les fonds communs, je ne l’écoute plus. Pitié, c’est quelle équité dont parle Bassolma, une injustice criarde entre des corporations de la centrale CGTB et il trouve cela normal et accuse toujours le gouvernement ?Même les SIDIKI DRAME et Badiel du Syndicat de l’éducation trouve que les fonds communs sont normaux car par là le gouvernement cherche à opposer les travailleurs entre eux. En les écoutant, je ne suis gratté pour voir si j’existais.
    Bref, Rock n’a qu’a donné tout le budget aux travailleurs et d’ici là on sera comme au TCHAD et chacun aura la paix. Un ami tchadien me disait lors d’un séjour à Bamako que les travailleurs tchadiens ont suffisamment grevés, le gouvernement ne les écoutait plus, et souvent certains étaient amenés à faire un tour au service parce qu’ils se sont suffisamment reposés. No coment.

  • Le 23 avril 2018 à 08:50, par ZONGO En réponse à : Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

    Bonne remarque Mr BASOLMA, que le PM revient sur ces chiffres pour confirmer ou infirmer. xa n a rien de politique, il faut la transparence dans la gestion des affaires du pays

  • Le 23 avril 2018 à 09:06, par Le Révolutioonaire En réponse à : Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

    Je suis d’accord avec l’analyse de M.Bassolma. Ceux qui en sont contre qu’ils prouvent le contraire. Ceux qui pensent aussi qu’il ne manie pas la langue de moléaire qu’ils sachent que le vélour de superlatif, la gromologie ne sont et ne seront en aucun cas les facteurs de notre développement.

  • Le 23 avril 2018 à 10:41, par Yibi En réponse à : Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

    Savez vous que nous souffrons dans ce pays parce que même ceux qui ont l âgé de se reposer et qui sont au repos refusent de le faire. Ils s invitent toujours sur les réseaux sociaux pour se distraire comme des gamins. Tonton KA c est mieux d aller jouer au PMU et laisser la nouvelle génération résoudre les vrais problèmes de ce pays. Jus que la Vos anciennes méthodes n ont rien apporté au BURKINA. Respectueusement votre.

    • Le 23 avril 2018 à 21:33, par Ka En réponse à : Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

      Je sais déjà qui tu es : Mais si Dieu le veut, tu liras mes critiques fondées sur des argumentations solides suivis de ma vérité, mon vécu, et mon présent dans quelques années a venir. Peut-être tu finiras par avoir une crise cardiaque si ma vérité te perturbe a ce point. Malheureusement c’est maintenant que tu me remarque, voilà plus de dix ans que je suis sur la toile : Je ne sais pas qu’est ce que c’est un PMU si c’est ton dada tant mieux pour toi. Quant a moi, mon potager en dehors de la capitale avec mes tomates, courgettes, poivrons, gombos, mes petits enfants, et le forum me donnent encore envies de vivre plus longtemps avec la grâce de Dieu.

  • Le 23 avril 2018 à 10:47, par Juste En réponse à : Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

    Messieurs Ka, et N’diaba, ressaissez vous et grandissez. De toutes les façons si vous vous chatouillez pour rire, c’est votre problème d’autant vos tombes intellectuelles ne sont que les vôtres. J’ai suivi un certain nombre de publications pendant des mois et vous deux quand vous êtes dans le décor, de bonnes gens tentent de vous raisonner en vain. N’diaba, dis une seule phrase de Bassolma où il réclame être le plus intelligent ! Vous êtes vraiment ridicule ! À voir de près,tu as dit autrement ce que Bassolma a révélé. En français facile pour vous le faire comprendre, Bassolma dit que "le chiffre est comme le fusil" et tu as complété" la confidentialité". Donc le manque de transparence tire sa source de cette fausse confidentialité. Dites moi, donc Bassolma doit se taire et laisser massacrer mes travailleurs avec des faux Chiffres parceque confidentiels ? J’ai lu d’autres inepties où des défenseurs aveuglés se précipitent dire que les ressources récoltées par le trésor né fond pas partie dans le calcul des 35% donc les chiffres sont justes. Arrêtez car vous enfoncez et Paul kaba Thieba et tout son gouvernement. Normal que quand un aveugle doit conduire le borgne, ils ne peuvent qu’être tous dans le trou ! C’est dommage ! Pour La, ajoute un autre ka et vois ce que ça donne comme nom ! Murissez !

    • Le 23 avril 2018 à 12:29, par Indjaba En réponse à : Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

      Si si Basolma a droit à la parole et là personne ne peut lui enlever cela. Seulement Basolma doit rester logique et réaliste. Dans le journal "le quotidien" d’aujourd’hui, il est s’offusqué contre le gouvernement du fait qu’au ministère de l’agriculture les agents doivent faire 8 KM par jour avec une dotation de 5000f de carburant par mois. Le même Balsoma trouve normal qu’’on accorde des dotations de 500000F par mois de carburant à des agents du ministère des finances. C’est là où il est souvent suspect dans son raisonnement.

  • Le 23 avril 2018 à 10:56, par Sciences En réponse à : Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

    Tous ceux qui parlent de sources différentes là, arrêtez vos aberrations ! Qui a donné les chiffres aux journalistes,n’est ce pas la même administration financière ? Quand les journalistes vont dans votre sens, là c’est la source utilisable et quand c’est le cas contraire,on ne les veux plus. Dites, sur la question des 55 milliards de fonds communs, le journal l’événement à montré que cela fait deux fois le budget d’un ministère ! Vous avez pris cela rapidement ajouter aux arguments pour justifier l’annulation du fond commun. Ce journal a eu les chiffres où ? Par ailleurs, on se table sur des questions de confidentialité pour mentir aux populations, les piller et les opposer aux travailleurs ! Quittez dans ça !

  • Le 23 avril 2018 à 11:01, par Nucléaire En réponse à : Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

    Au fait, Bassolma a taper là où ça fait mal et de façon scientifiquement juste ! Si vous taper de cette façon surnune fourmilière de délinquants, vous verrez les sorties a l’emporte pièce, ceux surpris, ceux étourdis, ceux abasourdis et ça va dans tous les sens pour rafistoler ! Vous n’avez pas que vous pouvez ? Revenez ici ! Ah ah ah haaaaa !

  • Le 23 avril 2018 à 11:25, par Le Faso d’abord En réponse à : Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

    Depuis que j’ai constaté M.BASSOLMA a grossi, j’ai commencé à me demander s’il continue de lutter sérieusement comme avant. Franchement hein. Il faut nous dire d’abord votre position claire sur la question FC. Ensuite on vous suivra mieux dans vos interventions. Ici là, vous parlez en tant que qui : M.BASSOLMA ou SG de la CGT-B ? Je voudrais vous répondre mais j’ai franchement besoin de cet éclaircissement.

  • Le 23 avril 2018 à 11:40, par Ka En réponse à : Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

    Après toutes les critiques et autos critiques sur la sortie de Bassolma avec ses chiffres, je constate que beaucoup d’internaute ne connaissent pas la notion de ‘’’Lutte des classes dite les syndicats.’’’’ Comme je l’ai toujours dit dans mes critiques fondées quand il s’agit des luttes de classes dont mes lecteurs se souviendront, je dis que toute lutte de classes est une lutte politique : Et la lutte de classes constitue la force motrice de développement de la société antagoniste.’’’’

    D’après ce que j’ai appris en tant que partisan syndical, dans la société Burkinabé, cette lutte de classes a toujours existé depuis la société esclavagiste qu’a connu notre société. Avec l’introduction du capitalisme dans notre pays, la lutte de classe est devenu très vive, et beaucoup de nos compatriotes ont été témoins de cette lutte entre patronat et ouvriers, entre les gouvernants et les travailleurs du public. A tout moment pour ces luttes, et pour les mener à bien, les travailleurs derrière un responsable s’organisent en syndicat. Car lutter individuellement contre un patron ou un gouvernement, ne peut déboucher sur la moindre victoire comme Bassolma cavale seul avec ses chiffres face un gouvernement.

    Or parler au nom du syndicat, les travailleurs ou les ouvriers ont un instrument pour s’entendre et défendre leurs intérêts de classe. Ils peuvent faire des grèves, ce qui fait énormément perdre de l’argent au patron, ou à l’état. Mais comme le patron et l’état n’aime pas perdre de l’argent, ils cèdent aux revendications. Si je trouve que Bassolma cavale seule au nom de son titre de responsable syndicale, j’ai vu il y a quelques années, ces divulgations des chiffres par des individus qui veulent se prendre plus intelligents que les autres, et a fait une crise dans un pays voisins dont les salaires des fonctionnaires n’ont pas été payés durant plus de six mois.

    La lutte de classe devient vive quand la classe ou les classes exploitées prennent conscience de leurs exploitation et se donnent la volonté politique de mettre fin à cette exploitation, comme se manifesté ensemble pour une augmentation du salaire, ou maintenir le fond commun dont je soutiens.

    Je sais que beaucoup d’’internautes s’y trompent en disant que les syndicalistes sont apolitiques, ils s’y trompent complètement. Là où il y a conflit d’intérêt il y a forcément de la politique. Or tout syndicat a pour objectif de défendre les intérêts de ses membres en se battant contre le patronat, qui n’est qu’un pouvoir politique. Je serai d’accord avec Bassolma s’il était venu sur cette sortie au nom des syndicats, mais cavaler tout seul et dire qu’il est mieux que les autres, c’est de créer son propre parti politique et rejoindre l’opposition pour mieux s’opposer. Ou démissionner du syndicat et être libre comme Tahirou et faire ce qu’il veut.

  • Le 23 avril 2018 à 12:10, par IB En réponse à : Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

    de plus en plus Bazolma assume son rôle d’opposant.cela a le mérite de la clarté

  • Le 23 avril 2018 à 12:59, par TEBLOS En réponse à : Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

    Hunnnnnn....celui qui dit que Bassolma n’a pas raison ici veut que le Burkina aille dans l’abîme. Oubien le mpp ne permet même pas aux contribuables de demander des éclaircissements..! ah..si cela est averé alors le changement voulu par le peuple burkinabé n’est pas encors en vie et il faut que ce peuple revoit sa copie pour une sanction à la hauteur de la gestion mouta-mouta en tranquilos. Donc l’insurection a été piratée...! je passais...!

  • Le 23 avril 2018 à 15:22, par Nation En réponse à : Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

    Arrêter ces élucubrations sur la lutte des classés. Celui qui en connais un minimum ne s’insurgerait pas contre les positions de Bassolma BAZIE. Il va aux instances et s’y prononcé, puisque vous estimez vous y connaître. Mieux, celui qui demande si c’est Bassolma ou la CGTB, à toi d’en faire tes différences. Quand le pouvoir veut taper sur la CGTB il tape sur qui ? La position développée est elle juste oui ou non ? Dommage !

  • Le 23 avril 2018 à 15:59, par Force En réponse à : Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

    On ne peut empêcher de gesticuler en agonisant ! C’est la preuve que le coup à été bien porté ! En boxe on parle de "direct". Donc, arrêter les enfantillages du genre : " sources différentes, secrets, Bassolma a grossis etc. " Arrêtez, il est plus fort que vous ! Popopopopopooooooooooooo ! Gowou, vient voir ! Bassolma BAZIE à encore Daba les logos là ! Jusqu’à ce que parle maintenant de lutte de classes ! En tout cas en attendant vous êtes classés !

  • Le 24 avril 2018 à 10:35, par Ka En réponse à : Burkina : « Quand la gestion est peu transparente, les chiffres aussi peuvent être une arme de destruction ! » (Bassolma Bazié)

    Je pense que toutes et tous les internautes ont donné leurs avis sur cette sortie de Bassolma ? Alors ne m’en voulez pas, je connais personnellement le personnage : Dans un cadre concurrentiel et d’égalité de chance, la politique est l’art d’observer, d’analyser, de comprendre et d’interpréter les conditions, les tendances, les potentialités, les réactions et les réalités du terrain. Et ce que je demande c’est pourquoi Bassolma qui connaisse ce terrain ne démissionne pas du syndicat et de créer son propre parti politique et s’opposer à 100% un jeune premier ministre qui patine ? Pour lui c’est un agneau a sacrifier pour obtenir bientôt une récompense.

    Connaissant le rôle d’un responsable syndicale, j’ai voulu provoqué tout le monde avec ma première critique fondée, pour savoir s’il y aura des vrais intellectuels qui se rangerons derrière la vérité et dire à Bassolma qu’il est temps de prendre son courage a deux mains et être un vrai opposant et non se dissimulé derrière son rôle de responsable des syndicats pour emmerder tout monde, surtout pousser à bout un premier ministre qui patine mais fait de son mieux, comme il y a eu dans notre pays depuis son indépendance.

    Emettant ici une opinion, je dis que l’Afrique est malade de ses intellectuels : lorsqu’ils entrent en politique, ils ne sont pas différents des pires dictateurs du passé. Lorsqu’ils mettent leur savoir au service des détenteurs du pouvoir, ils ne sont que d’ignobles courtisans. Je sais que Bassolma est un pur produit du CDP-MPP, et qui veut percer et se faire une place avec des chantages : Mais en politique de vengeance et de haine, les choses ne se passent comme ça. Et ma provocation incompris par des uns et des autres m’a fait couvrir d’insultes parce que quelques amis internautes m’a pris pour un MPP, attaquant un intellectuel pourtant pro CDP MPP mais caché.

    Est-ce vraiment ce Bassolma qui se cache derrière son rôle de responsable syndicale avec ses différences de chiffres, veut vraiment s’opposer au premier ministre et sa majorité présidentiel, j’en doute : Simplement il veut se faire montrer pour une place en or dans l’avenir :D’autres responsables syndicaux comme Ouédraogo et Touré ont passé par là pour devenir des politiques entier, et Bassolma ne peut tromper des personnes avertis, que des bornés qui ne connaissent pas le jeu politique de notre pays. Merci à toutes et à tous de me lire et de me comprendre ou de me contredire, c’est ça aussi la richesse du forum de Lefaso.net.

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