LeFaso.net, l'actualité Burkinabé sur le net
Proverbe du Jour : “Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux.” Proverbe chinois

Homosexualité à Ouagadougou : Un expatrié accusé de viol

Publié le dimanche 22 avril 2018 à 12h00min

PARTAGER :                          
Homosexualité à Ouagadougou : Un expatrié accusé de viol

Un jeune lycéen a avoué être la victime d’un acte de viol. Le mis en cause, serait un richissime expatrié, vivant et travaillant sur le sol burkinabè. Selon « Ouaga FM », station radio qui a recueilli le témoignage du jeune homme et en a fait cas sur ses ondes, la présumée victime aurait après le prétendu acte, porté plaintes à la gendarmerie de Boulmiougou et de Nongremassom, ainsi qu’au commissariat central de Ouagadougou. Plaintes, qui n’ont pas abouti selon le bon vouloir du plaignant. Pis encore, ce dernier aurait fait l’objet de menaces de la part d’un gendarme en poste à la brigade de Boulmiougou. En retour l’expatrié accusé aurait à son tour posé plainte pour extorsion de fonds contre le jeune homme et son entourage. L’affaire, étant encore au parquet en attente de suites, suivez donc le déroulé tel que l’a expliqué « Ouaga FM » au Faso.net.

De l’avis du confrère « Ouaga FM », le jeune lycéen qui fait aujourd’hui la classe de terminale, serait venu dans ses locaux prétendant être la victime d’un acte de viol dont le responsable désigné est un riche expatrié vivant au quartier Gounghin, à Ouagadougou. Les faits, eux, remonteraient à septembre 2017, quand l’élève travaillait encore pour le riche homme d’affaires.

Après donc les faits, explique la source approchée (Ouaga FM), des plaintes ont été déposées par la victime dans les gendarmeries de Boulmiougou et de Nongremassom. Lesdites plaintes, « classées sans suite », selon les termes du plaignant rapportés tels quels par le confrère ; une autre plainte, cette fois au commissariat central de Ouagadougou fut déposée et traitée.

Des menaces proférées à l’encontre de l’accusateur

« Dans son témoignage il dit que non seulement la gendarmerie a refusé de traiter sa plainte, mais aussi il a été l’objet de menaces de la part d’un gendarme en poste à la brigade de Boulmiougou », a noté la source tout en indiquant les menaces proférées. « Il avoue que ce dernier l’a menacé en lui demandant de retirer sa plainte sinon il serait mis en prison. Que l’acte de viol dont il est victime n’est pas interdit au Burkina Faso, et que lui-même en tant que gendarme, il a quelques fois conduit d’autres jeunes vers ce même présumé violeur, etc. », a-t-elle cité.

Au regard de l’effet de bombe et des réactions à la suite de cette affaire sur les antennes de « Ouaga FM », la station radio a jugé nécessaire de se rendre au niveau du commissariat central, endroit où la dernière plainte fut déposée, afin de s’enquérir du déroulement des enquêtes. Là-bas, raconte le confrère de presse, il a été reconnu par les personnes en charge de l’enquête, une concordance des propos tenus lors de l’interview (avec Ouaga FM) et ceux inscrits dans la plainte. Il est également ressorti des enquêtes du commissariat que les menaces proférées sont bel et bien réelles, parce qu’ayant reçu la confirmation de l’opérateur mobile attestant d’échanges de messages et d’appels entre les deux concernés.

La plainte du présumé violeur

Après le commissariat central, le confrère a mis le cap sur la brigade de gendarmerie dont relève l’agent qui serait à la base des menaces. Une fois sur les lieux, les pandores lui auraient fait savoir que c’est plutôt une autre plainte sur la même affaire qui avait été reçue au niveau de la gendarmerie de Kosyam, celle du présumé violeur.
De cette histoire rocambolesque, l’on retient d’une part, qu’il y a au commissariat central, l’existence d’une plainte contre l’expatrié et contre le gendarme accusé d’avoir formulé des menaces. Et de l’autre, à la gendarmerie de Kosyam, une plainte faisant mention d’une escroquerie de 20 millions de FCFA de la part de l’entourage du lycéen et d’un policier jugé comme le cerveau de cette escroquerie.

Contradictions entre policiers et gendarmes

Autre contradiction notable dans cette affaire, c’est celle entre policiers et gendarmes. La première force, qui affirme « avoir bouclé le dossier » et donc est prête à interpeller le principal accusé, l’expatrié, s’est rendue compte que ce dernier n’était plus sur le sol burkinabè. Du côté de la seconde force, la gendarmerie, c’est tout le contraire qui est affirmé. Et elle en veut pour preuve la plainte déposée par l’expatrié à la brigade de Kosyam.

Sur cette énième opposition entre forces de l’ordre, et étant donné que toutes les plaintes formulées ont pour point de convergence le parquet, « Ouaga FM » a décidé de s’y rendre. Reçu alors par madame le procureur du Faso, près le tribunal de grande instance de Ouagadougou, cette dernière aurait attesté de l’existence des deux plaintes (plainte du jeune homme auprès du commissariat central et celle de l’expatrié du côté de la brigade de gendarmerie de Kosyam). Elle compte de même traiter l’affaire en un seul dossier pour la raison que tous les deux dossiers découlent de la prétendue affaire de viol. Aussi, pour ce qui est de la présence ou de l’absence de l’expatrié sur le sol du Burkina, le procureur aurait confirmé, après investigations à l’aéroport, la sortie du territoire burkinabè de l’expatrié et jusqu’à présent aucun retour n’est enregistré.

Vu donc la complexité du dossier, un juge d’instruction a été saisi. Pour sa part, le parquet aurait finalement affirmé que le dossier « n’est pas classé sans suite ». Et promet à cet effet de le traiter sans complaisance pour chacune des parties. Propos rassurant qui laissent croire que toute la lumière sera faite sur cette affaire afin de situer les responsabilités.

Tambi Serge Pacôme Zongo
Lefaso.net

PARTAGER :                              

Vos commentaires

  • Le 20 avril 2018 à 16:05, par kelemassa En réponse à : Homosexualité à Ouagadougou : Un expatrié accusé de viol

    Autre contradiction notable dans cette affaire, c’est celle entre policiers et gendarmes. La première force, qui affirme « avoir bouclé le dossier » et donc est prête à interpeller le principal accusé, l’expatrié, s’est rendue compte que ce dernier n’était plus sur le sol burkinabè . Du côté de la seconde force, la gendarmerie, c’est tout le contraire qui est affirmé. Et elle en veut pour preuve la plainte déposée par l’expatrié à la brigade de Kosyam.
    Aussi, pour ce qui est de la présence ou de l’absence de l’expatrié sur le sol du Burkina, le procureur aurait confirmé, après investigations à l’aéroport, la sortie du territoire burkinabè de l’expatrié et jusqu’à présent aucun retour n’est enregistré.
    ce sont ces contradictions qui font qu’on a plus confiance aux FDS. soyez loyaux et dignes comme les anciens. comment un type accusé de crime (viol) peut il quitter le pays ? informez toujours la police des frontières pour de tels dossiers. il y va va de la sécurité de tout le monde. GENDARMES on vous connait toujours loyaux . POLICIERS on vous connait pour le travail que vous abattez tous les jours pour notre sécurité. HONNEUR A CES DEUX CORPS.

  • Le 20 avril 2018 à 16:10, par Très Intrigué En réponse à : Homosexualité à Ouagadougou : Un expatrié accusé de viol

    WAIT AND SEE NOUS ATTENDONS LA SUITE QUE NOS AUTORITES DONNERONS A CETTE AFFAIRE. ET SURTOUT QUE LE DROIT SOIT DIT ET APPLIQUE.

  • Le 20 avril 2018 à 16:11, par Le Faso d’abord En réponse à : Homosexualité à Ouagadougou : Un expatrié accusé de viol

    Que la lumière soit faite sur cette affaire. Mais avant faites en sorte que l’expatrié revienne au Burkina. Aussi invitons les presses à ne pas transposer cette affaire pour en faire une discorde entre la police et la gendarmerie.

  • Le 20 avril 2018 à 17:53, par Ous En réponse à : Homosexualité à Ouagadougou : Un expatrié accusé de viol

    Certains viennent d’avoir un tuyau ici pour leur fonds communs qui est fou ? Je passais
    De tout cela cette affaire doit tous nous impliquer tous ; autorités coutumières et religieuses ,osc syndicat etc.... il faut que ce monsieur revienne s’expliquer et il faut surtout châtier ses complices protecteurs pour ce fond commun indécent.

  • Le 20 avril 2018 à 18:03, par Cequejenpense En réponse à : Homosexualité à Ouagadougou : Un expatrié accusé de viol

    La justice doit prendre le temps nécessaire pour que la vérité éclate. Il se peut que l’expatrié ait vraiment violé le petit. Tout comme ca peut être un montage pour lui extorquer des sous. En réalité, si le blanc est réellement homosexuel, la peur d’être "jugé pour homosexualité" et pas seulement pour les faits de viol peut l’avoir incité à fuir le pays. Quand on est connu comme homosexuel ca peut être difficile de nier un viol qu’on a pas commis surtout dans un pays où l’homosexualité est "interdite". L’insistance dans l’article sur le fait que le monsieur est riche peut vous donner une idée...

  • Le 20 avril 2018 à 18:40, par Moi En réponse à : Homosexualité à Ouagadougou : Un expatrié accusé de viol

    C’est la meilleure.
    Celui qui vous a dit que c’est permis au Burkina n’a qua sortir à. La télé le dire à visage découvert. C’est par ce qu’un expatrié n’a pas encore été lynché tout ça. Pas seulement, le gendarme la il n’a pas de famille non ?

  • Le 20 avril 2018 à 19:16, par Indjaba En réponse à : Homosexualité à Ouagadougou : Un expatrié accusé de viol

    Si le Lycéen n’es pas mineur, moi je reste de marbre pour cette affaire. ça ressemble à l’affaire de DSK avec Nafissatou Diallo. Le riche et le lycéen certainement "s’attrapaient’’ tranquillement contre échange de gombos et autres avantages pour le jeune homme. Une bagarre, une tentative de séparation, une jalousie ou une baisse du FC pardon des sous faciles est certainement passé par là. Entre temps est intervenu un chantage où le lycéen croit pouvoir faire du chantage au Toubabou dans un contexte où le simple fait d’évoquer être victime d’homosexualité d’un TOUBABOU lui vaudra tous le soutien de tous les Burkindi. Chers juges, Pousser loin les investigations en interrogeant les restaurants, les hotels et les Nights club et on vous dira quelque part avec video à l’appui que ce toubabou et ce lycéen formait un couple ’’parfait’’. Les jeunes filles et garçons s’adonnent actuellement à ce phénomène contre des broutilles au lieu de travailler. Restons sereins et que le droit soit dit sans complaisance ni émotion.

    • Le 22 avril 2018 à 09:52, par Internaute En réponse à : Homosexualité à Ouagadougou : Un expatrié accusé de viol

      Bien dit. Merci laba ! !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! !

    • Le 23 avril 2018 à 07:50, par Mosak En réponse à : Homosexualité à Ouagadougou : Un expatrié accusé de viol

      La majorité n’est pas une arme d’auto défense, surtout quand on sait qu’il y a des majeurs incapables.
      Si on n’a rien à se reprocher et que sa vie n’est pas en danger, on ne fuit pas un pays, surtout après avoir porter plainte.
      D’autre part, si la victime présumée a bravé la honte et persiste dans sa plainte malgré les menaces, ce n’est certainement pas pour une histoire d’argent. Imaginez un instant que le richissime expatrié présumé violeur, ait tenté d’acheter en vain le silence de la victime, et décide finalement d’attaquer pour mieux se défendre. Du reste, tout est possible et seule une enquête approfondie nous révèlera la vérité.

  • Le 20 avril 2018 à 19:32, par Malboul En réponse à : Homosexualité à Ouagadougou : Un expatrié accusé de viol

    Que ce violeur expatrié ou immigré , riche ou pauvre, ne remette plus les pieds au Faso ! Ou lancez un mandat d’arrêt international contre lui. Qu’il soit interpellé par la justice de son pays d’origine. On s’en fout des violeurs et de ceux qui cherchent leur argent à ce prix. Merci

  • Le 20 avril 2018 à 19:42, par Adama En réponse à : Homosexualité à Ouagadougou : Un expatrié accusé de viol

    quand même un gendarme est mis en cause pour pression sur la victime. La gendarmerie doit ouvrir une enquete sur les activités de ce gendarme et appliqué toute la rigueur de la loi et la discipline militaire.
    Il ne faudrait surtout pas occulter le rôle de ce gendarme et de son brigade dans cette affaire.

  • Le 20 avril 2018 à 19:44, par Ya Saanga En réponse à : Homosexualité à Ouagadougou : Un expatrié accusé de viol

    Je parie que la plainte de l’expatrie est juste une invention pour saboter la plainte du lyceen. Voila pourquoi il a fui pour eviter la confrontation.

  • Le 20 avril 2018 à 22:17, par Honte Mossi En réponse à : Homosexualité à Ouagadougou : Un expatrié accusé de viol

    Ca, c’est du montage de la part du lycee de Terminale. Meme une femme, pour la violer, c’est pas facile. A plus forte raison un homme. ya pas de lubrifiant chez ;l’ homme. Donc sans co nsente,ment comment on peut le penetrer meme s’ il y a 10 chiens dans la cour ? Et puis, ca c’est passe dans la chambre au moins, non ? Au moment ou le Riche allait monter sur lui, il pouvait lui donner un coup de talon violent aux couilles. Hey ! C’est une affaire d’ argent. Laissez- nous en paix. Par contre, il faut approfondir l’ affaire du pandore-la, cest ca qui m’ interesse meme car un gendarme ne doit pas s’ eriger en avocat defnseur. ila du se laisser corrompre. Faut pas souiller la Noble Gendarmerie.

    • Le 22 avril 2018 à 08:38, par Subtance Grise En réponse à : Homosexualité à Ouagadougou : Un expatrié accusé de viol

      Il faut qu’au delas de cette affaire on revoit le traitement des plaintes au niveau des gendarmeries surtout celle de kossyam ou parfois des pandores prennent partie pour tordre le coup à la vérité. La justice commence par lá

  • Le 20 avril 2018 à 23:17, par Zitai En réponse à : Homosexualité à Ouagadougou : Un expatrié accusé de viol

    Internaute Indjaba !!!!
    Manifestement, Tu en connais un rayon sur les "choses" de violeurs homosexual. Voici là un scénario qui requiert un acteur et narrateur immergé du milieu ? Pourrons nous espérer te voir collaborer activement avec la police ? Histoire de faire bon usage de tes expériences riches du domaine ? Cest recommander. C’est patriotique.

  • Le 21 avril 2018 à 01:15, par Commentaire à Ce que j’en pense En réponse à : Homosexualité à Ouagadougou : Un expatrié accusé de viol

    .
    Internaute "Ce que je pense", votre connaissance du droit burkinabè est bien faible, car l’homosexualité n’est non seulement pas interdite, mais elle n’est ni un crime ni un délit au Burkina, quoiqu’en pensent les Bado & Cie, les forts en morale religieuse intolérante, et ceux qui se préoccupent négativement du regard des autres. Par contre le viol est un crime grave inadmissible, qui doit être puni, et le caractère homosexuel de la contrainte ne peut en aucun cas être un élément atténuateur du crime.
    Fasonet, il est troublant que sur ce forum il ne soit pas possible de répondre directement aux commentaires des internautes. Le sujet est-il trop sensible ?

    • Le 23 avril 2018 à 08:18, par Mosak En réponse à : Homosexualité à Ouagadougou : Un expatrié accusé de viol

      Même si pour la loi tout ce qui n’est pas interdit est permis, le contexte sociologie, une des sources du droit, condamne l’homosexualité dans la plupart des pays africains, notamment au Burkina.

      Gambie : Le pays refuse les aides européennes si celles-ci sont conditionnées par l’assouplissement de la chasse menée contre les homosexuels.
      Ghana : Le gouvernement ghanéen refuse de se courber face aux vœux des dirigeants occidentaux pour qu’il légalise l’homosexualité dans le pays.
      Ghana : Un jeune homosexuel lynché par une foule d’extrémistes religieux, et son “partenaire” présumé, toujours en danger.

      En outre, quand bien même l’homosexualité ne serait pas explicitement interdite par la loi, elle pourrait l’être par la jurisprudence, même si celle ci au Burkina, semble quasiment inexistante.

      Du reste, on peut très bien sur Fasonet répondre directement aux commentaires des internautes comme vous le constatez.

  • Le 21 avril 2018 à 07:09, par Yibi En réponse à : Homosexualité à Ouagadougou : Un expatrié accusé de viol

    Faites attention. A moins qu on adopte un nouveau code des personnes et de la famille. Sinon celui que nous avons actuellement ne reconnaît que le mariage entre un homme et une femme. En claire se code ne reconnais pas le mariage entre deux personnes de même sexe. A partir de là je ne vois pas ce maire qui célébrera un mariage entre deux hommes ou deux femmes. S il le faisait, lui comme les mariés seront poursuivi conformément à la loi en vigueur actuellement. Un point un trait.

  • Le 21 avril 2018 à 07:19, par Moi En réponse à : Homosexualité à Ouagadougou : Un expatrié accusé de viol

    L’ expatrié et son gendarme là, les koglewéogo doivent s’en occuper sans demander la permission à qui que ce soit.

  • Le 21 avril 2018 à 07:25, par Fayssal Boro En réponse à : Homosexualité à Ouagadougou : Un expatrié accusé de viol

    À propos de cette affaire, vu que l’homosexualité est interdit Au Burkina aller que chaque jour que Dieu face ceux qui prétend dit qu’il ne son pas dedans et que eu il bon combattre à sa ses eu même les tête des homo ici, si on voi bien le Ga il es riche tou le monde ses aussi que les jeune de Ouaga et surtout dans le quartier où ses passé en soi disant viol dans le quartier de goughin il son capable de faire tou pour nuir quel qu’un aller que ses lava que son plein les homosexuels, à mon avis le Fa à raison de quitter le Burkina pour sa propre sécurité, et le gendarme lui il voulait close cette affaire pour qu’il part pas loin, tous les jeunes de maintenant son influence par de l’argent il feron tou pour avoir si le Ga lui refuse de lui donne de l’argent donc pour ce vengé ses sa qu’il a prévu de faire, donc soyons réalistes et voyons bien cette affaire, à force de regardé la télé, qu’est-ce qu’il ce dit que ses les homosexuels qui sont les plus riches dans le monde il on tous, toi les jeune son influence par Damien vau pour lui de close cette affaire si non si le ga reviens au pays il pense qu’il pourra contre le monsieur

    • Le 21 avril 2018 à 13:16, par On vit dans le même Burkina ? En réponse à : Homosexualité à Ouagadougou : Un expatrié accusé de viol

      .
      "Vu que ’homosexualité est interdit au Burkina". Vous avez vu ça où ? Elle n’est pas appréciée des imams et autres moralisateurs de première, mais dans le Droit Burkinabè l’homosexualité n’est ni un crime ni un délit.

      Mais le viol est un crime odieux.

      Fasonet, il est remarquable (mais quelle arrière-pensée a motivé ce changement ?) d’avoir changé l’image apaisée, neutre et bienveillante de deux mains qui se tiennent, par l’image d’un visage convulsé par la honte, la peine et le malheur, d’autant que cette image n’est visiblement pas celle d’un "jeune homme" (on aurait pu imaginer que ce jeune-homme-là était la victime). Alors, quoi ? Que nous dit cette image ? Et que dit le titre "Un expatrié accusé de viol" ? Qu’un tel crime ne peut être commis que par un expatrié, parce l’homosexualité serait une "affaire" de Blancs ? Et qu’il faudrait en périr de honte ?

      Il serait honteux d’assimiler les deux faits, homosexualité, et viol. Ils ne vont pas forcément de pair.
      Un de ces jours (et le plus tôt sera le mieux), il faudra ouvrir les yeux sur ce fait culturel désormais incontournable, l’orientation sexuelle est un choix personnel tout à fait respectable. Et ceux qui ne peuvent vivre leur sexualité que par la force et la violence doice être poursuivis et punis, dans le respect des lois en vigueur.

      • Le 23 avril 2018 à 08:25, par Mosak En réponse à : Homosexualité à Ouagadougou : Un expatrié accusé de viol

        Vous pouvez rêver : " l’homosexualité ne sera JAMAIS légalisée au Burkina " Que chacun assume ses choix.

        Le ton est donné : Le gouvernement ghanéen refuse de se courber face aux vœux des dirigeants occidentaux pour qu’il légalise l’homosexualité dans le pays.

  • Le 21 avril 2018 à 08:15, par Batin En réponse à : Homosexualité à Ouagadougou : Un expatrié accusé de viol

    La pauvreté ne nous mènera pas jusqu’à ce point.
    Je suis sûr que ce jeune n’est pas la seule victime.
    Alors je l’invite à publier le visage de ce monstre pour sauver nos jeunes.
    Et nos autorités qui jouent un jeu de floutise dans cette affaire risquent gros !
    Quand-même hein !!!
    On est où là ???
    Hé Wênnaam !!!

  • Le 21 avril 2018 à 08:18, par Del Piero En réponse à : Homosexualité à Ouagadougou : Un expatrié accusé de viol

    Voilà simplement ce que ça donne quand deux forces de sécurité occupe le même espace avec les mêmes missions. Dans le pays dont nous sommes juste une copie, dans une localité où il ya la police il n’ya pas la gendarmerie et vis versa

  • Le 21 avril 2018 à 11:41, par Dani Ouedraogo En réponse à : Homosexualité à Ouagadougou : Un expatrié accusé de viol

    Vu que la situation commence à les dépasser, la gendarmerie cherche justifier la non prise en compte de la plainte de l’enfant en trouvant un prétexte avec la complicité du blanc. ils ont donc fabriqué une autre plainte du blanc contre l’enfant juste pour se couvrir parce que si la plainte du blanc était réelle et sincère, pourquoi ils n’ont pas convoqué le petit pour l’entendre et traiter le dossier ? Le petit n’a pas voyagé et on sait où il habite. Je félicite la police qui a chercher a traiter ce dossier en allant même vérifier certaines informations auprès des agences de téléphonie mobiles. Les gendarmes pourris concernés doivent être suspendus pendant le reste de l’enquête.

  • Le 21 avril 2018 à 16:52, par Alexio En réponse à : Homosexualité à Ouagadougou : Un expatrié accusé de viol

    L homosexsualitet en Afrique. Pouquoi le balayer sous tapis ? Alors qu il existe. Les colons viennent en Afrique pour exploiter la naivite de nos jeunes en leur promettant la courte echelle de la reussite sosiale.

    A Bobo- Dioulasso dans les annees 64-70, je me rappelle au Patro St Vincent de Koko. Un pretre francais, le pere B que je ne devouillera le nom en entier abusait des jeunes dans son bureau. il faisait la passe en plein journee sans etre inquieter.

    Mais malheusement il na jamais ete epingler par la justice de Bobo-Dioulasso comme un travailleur de Dieu, dans un milieu corrumpu par le silence complice des autres pretres. Tous les jeunes de Koko et Yoro-Koko peut en temoigner aujourdhui som senior mais bonne memoire.

    Quand au victime de Ouagadougou, la corruption du richisssime colon a fait tache dhuile chez nos gendarmes qu on s illusionnait d etre les parfaits hommes de la defence des interets du citoyen burkinabe. Ces gendarmes devraient etre releve de leur competence dans cette affaire.

    Ils sont chez nous pou depraver notre culture avec cultures sexuelles qui nont rien avoir avec notre sivilisation africaine. Pour eux Money talks dans beaucoup de circonstances en Afrique. Des criminelles qui viennent chez nous habilles en en peau d agneau, mais ce sont des loups ravisseurs selon leur comportement de zele.

    Les noirs etaient pendus aux Etats-unis pour crimes qui n avaient jamais commis par le KKK. Mais aujourdhui le prejuge est reste collle a notre image en Europe aussi comme des predateurs sexuels.

    Donald Trump est sous les radards contre une prostituee que son Avocat avait financer pour des milliards du CFA. 130.0000$ pour se taire. Sans compter l Actif du President pour avoir abuser et trakkasser des femmes.

    La pedophilie est aussi le plat prefere de beaucoup de ses colons qui vivent en Afrique. Tant comme turist, ou resident.

    Il est grand que le Public ouvre les yeux contre cette inculture qui est entrain de salir nos societes en Afrique.

  • Le 21 avril 2018 à 22:48, par Elda En réponse à : Homosexualité à Ouagadougou : Un expatrié accusé de viol

    Selon les dispositions legales actuelles, l.homosexualité n.est pas formellement interdite au BF. Juste le mariage homosexual n.est pas reconnu. De ce fait, on ne peut poursuivre quelqu.un pour pratiques homosexuelles. Pour ce cas precis, c.est le viol qui prendra le dessus s.il est prouvé. Courage au jeune et que le Seigneur l.aide a surmonter cette epreuve difficile. Il serait interessant qu.il soit d.ailleurs accompagné par 1 psychologue et meme qu.il quitte le pays. Sos que les autorités Fassent quelque chose.

  • Le 22 avril 2018 à 08:53, par Le quartier est sorti En réponse à : Homosexualité à Ouagadougou : Un expatrié accusé de viol

    Attendons de voir !!! Le monde entier risque d être très surpris du dénouement de cette affaire.

  • Le 22 avril 2018 à 10:39, par Sawadigo En réponse à : Homosexualité à Ouagadougou : Un expatrié accusé de viol

    Pour ma part je pense que nos autorités doivent levées le ton et redonner cette dignité au Burkina. Constater ici le manque de communication qui existe au pays entre nos FDS.
    Comment un présumé coupable peut sortir du pays sans crainte vue ce que vie ma patrie.
    Une chose est de sensibiliser la population pour sa collaboration et une autre chose est de lui donner secoue lorsqu’elle à n’en besoin.

  • Le 23 avril 2018 à 00:23, par Frank En réponse à : Homosexualité à Ouagadougou : Un expatrié accusé de viol

    Hooooooo dommage ! Comment de telle chose peut - elle se reproduire dans le pays des hommes intègres ? Heeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee..........Mon Dieu ! Sauve notre pays. Nous demandons à nos autorités de faire pardon et d’œuvrer à une solution de cette question ; si souvent le peuple décide de se faire justice, c’est au regard de ce qu’il vit et souffre ; je ne croie pas que ça soit un montage car les minables pensants être riches sont capables de toute menace pour aboutir à leur fin ! Seulement, si justice n’est pas faite, ça risque d’être un problème lourd après vu la détermination du jeune à qui j’encourage à aller de l’avant dans la lutte tout en restant dans la vérité et l’intégrité ! Que Dieu bénisse notre pays !

  • Le 23 avril 2018 à 05:33, par EBENEZER En réponse à : Homosexualité à Ouagadougou : Un expatrié accusé de viol

    « Dans son témoignage il dit que non seulement la gendarmerie a refusé de traiter sa plainte, mais aussi il a été l’objet de menaces de la part d’un gendarme en poste à la brigade de Boulmiougou », a noté la source tout en indiquant les menaces proférées. « Il avoue que ce dernier l’a menacé en lui demandant de retirer sa plainte sinon il serait mis en prison. Que l’acte de viol dont il est victime n’est pas interdit au Burkina Faso, et que lui-même en tant que gendarme, il a quelques fois conduit d’autres jeunes vers ce même présumé violeur, etc. »
    Je rêves ? Ce n’est pas possible .Le Burkina Faso est-il tombé si bas ?
    Cet homosexuel doit être jeté en prison et après avoir purgé sa peine il doit être déclaré personna non grata au Burkina Faso.

  • Le 23 avril 2018 à 09:19, par Maxi maxi En réponse à : Homosexualité à Ouagadougou : Un expatrié accusé de viol

    Comment un individu peut violer un jeune qui porte plainte. Et on laisse la victime fuir.
    Ko il est hors de territoire. Ceux qui l’ont laisser fuir en porteront l’entière responsabilité ici et maintenant, demain et pour toujours. Nous ne sommes plus au 14ème siècle.

  • Le 23 avril 2018 à 09:35, par YIOUGO En réponse à : Homosexualité à Ouagadougou : Un expatrié accusé de viol

    Tout d’abord mes félicitations à la presse qui a joué son rôle, et c’est tout ce que nous demandons ! Que les hommes de média fassent des investigations pour vérifier l’information. Ensuite, je salue le sens de collaboration des forces de l’ordre et de la justice qui ont bien voulu recrvoir notre confrère de Ouaga Fm,. Nous espérons enfin, que les promesses de la justices seront tenues afin que nous ne soyons plus victimes de certains mauvais esprits qui croient au finish que leur pouvoir financier leur donne tous les droits . Courage au jeune frère et j’espère qu’il bénéficiera d’un suivi psychologique car c’est très traumatisant.

  • Le 23 avril 2018 à 11:18, par Omso En réponse à : Homosexualité à Ouagadougou : Un expatrié accusé de viol

    POUR MOI LE VRAI VIOLEUR N’EST PAS CET IMMIGRE MAIS PLUTÔT CE GENDARME QUI A TENTE INTIMIDE LE JEUNE PLAIGNANT. COMMENT UN GENDARME PEUT AGIR DE LA SORTE ? IL FAUT K CE GENDARME SOIT PUNI A LA HAUTEUR DE SA MALHONNÊTETÉ.

  • Le 25 avril 2018 à 09:58, par warbita En réponse à : Homosexualité à Ouagadougou : Un expatrié accusé de viol

    La situation est limpide car l’expatrié à commencé des relationsavecl’éleve de terminale.ça marchait bien et il recevait beaucoup de gombos. Il a été délaissé par la suite pour un autre jeunot ami et confident du premier.c’est en réalité une crise de jalousie du premier qui refuse de lâcher l’affaire juteuse.Après avoir exige en vain un dedommagement,il contre attaque a la gendarmerie sous un prétexte fallacieux de viol et demande des millions.Face à ça le blanc à décidé de tout arrêter avec les deux zigotos. Le deuxième à son tour porte plainte pour viol alors que toutes les relations sont librement consenties.Le blanc reconnaît des relations volontaires libres et monayees.Les deux jeûnes veulent soit un gombos pour dédommagement soit la poursuite du contrat de pointage et le maintient des petits contrats à domicile.

 LeFaso TV
 Articles de la même rubrique
Plongez dans l’univers infini de Space Fortuna Casino