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Burkina Faso : Le président de l’Assemblée nationale chez le Chef de file de l’opposition politique

Publié le mercredi 18 avril 2018 à 00h58min

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Burkina Faso : Le président de l’Assemblée nationale chez le Chef de file de l’opposition politique

Dans la matinée du 17 avril 2018, le président de l’Assemblée nationale, Alassane Bala Sakandé, a effectué une visite de courtoisie chez le Chef de file de l’Opposition politique (CFOP), Zéphirin Diabré. En plus d’avoir échangé sur les problèmes de la nation, l’hôte est venu recevoir des conseils et bénédictions de son « ancien professeur ». Une occasion également pour découvrir le siège du CFOP.

Après avoir été porté à la tête de l’Assemblée nationale, Alassane Bala Sakandé a jugé nécessaire de rendre une visite de courtoisie au Chef de file de l’opposition politique (CFOP), Zéphirin Diabré, jadis son professeur. Il était 11 heures 27 mn lorsque la voiture qui le transportait fit son entrée dans la cour du CFOP. L’hôte est accueilli à sa descente par le premier responsable des lieux. Après les salutations d’usage, les deux parties ont eu un tête-à-tête qui a duré plus d’une quarantaine de minutes.

« Je voudrais tout simplement vous rappeler qu’après mon élection, le chef de file de l’opposition politique a exprimé le besoin de venir me saluer, me féliciter. En son temps, j’ai voulu refuser parce que c’est le professeur et l’étudiant. J’ai dit que j’allais effectuer le déplacement, il a dit non que lui il est républicain, que j’ai été élu et il devait faire le déplacement pour venir me féliciter. Ce qui a été fait », a confié aux hommes de médias le président Sakandé à sa sortie d’audience. Naturellement, en « bon » ancien étudiant, il devait s’acquitter d’une dette. « (…) C’est ainsi que j’ai demandé à venir le voir ».

Des points discutés lors de cette visite de courtoisie, le président de l’Assemblée nationale a signifié que « quand un étudiant se retrouve avec son professeur, on peut parler de l’université car aujourd’hui, je suis à l’Assemblée nationale ; on a parlé de politique également. Il n’y a pas de coup fourré ». Il était également question de recevoir des conseils et bénédictions d’un ainé. « J’ai beaucoup à apprendre de lui », a-t-il déclaré. Et d’ajouter : « Au-delà de nos divergences politiques, on est tous des humains et moi en tant que président de l’Assemblée nationale, je ne suis pas dans l’incivisme. Je dois respecter les ainés, et ceux qui nous ont aussi donné le savoir ». Par ailleurs, Alassane Bala Sakandé a profité de l’occasion pour découvrir le nouveau siège du CFOP.

Emu par le geste, Zéphirin Diabré a, au nom de l’ensemble de l’opposition, remercié le président de l’Assemblée nationale. S’il est vrai que les sujets à discussion ne manquent pas, le plus important cependant, pour lui, « c’est le travail que fait l’Assemblée nationale sur sa haute direction que j’apprécie fortement, et la manière dont l’opposition notamment parlementaire va continuer à jouer sa partition ».
Situation nationale oblige, les journalistes ont interpellé le Chef de file de l’opposition sur les différents chocs endogènes et sur l’épineuse question du Fonds commun. « On a tellement fait des publications sur ces questions. Peut-être verbalement, le chef de file de l’opposition n’a pas dit quelque chose, parce que vous vous aimez ça. Mais pour moi, chaque fois qu’on fait un communiqué ça prend en compte ces éléments et chaque réunion que nous avons, nous faisons un peu le point de ces questions. Si tel est votre souhait, on aura l’occasion de vous servir », a-t-il répondu.

Relativement à la crise qui secoue l’arrondissement N°7, Zéphirin Diabré a donné son point de vue : « L’arrondissement N°7 a reçu un cadeau. Ce n’est pas à eux d’apprécier si le cadeau est valable ou pas. Si quelqu’un d’autre estime que le cadeau n’est pas bon, il s’explique avec la personne qui a donné le cadeau ».
S’agissant de l’arrondissement N°3, il a concédé qu’il s’agit d’une vieille histoire. « Nous avons une fronde de quelques conseillers qui ont choisi le chemin de la traitrise et qui pensaient qu’on pouvait vendre leur mandat pour avoir d’autres avantages qu’ils n’ont pas en notre sein. C’est le lot de la politique. Ça ne concerne pas que l’arrondissement. Même le parti lui-même a eu à subir ça et d’autres partis ont subi avant », a-t-il expliqué.

Dans la foulée, M. Diabré est revenu sur la plainte déposée contre l’ancien ministre de la sécurité, Simon Compaoré. « Nous continuons à poursuivre le dossier. J’attends toujours que la gendarmerie fasse son travail. Nos avocats sont à pied d’œuvre en la matière. Nous espérons que bientôt, peut-être, une avancée décisive sera enregistrée à ce niveau », a-t-il conclu.

Aïssata Laure G. Sidibé
Lefaso.net

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Vos commentaires

  • Le 17 avril 2018 à 19:40, par RV En réponse à : Burkina Faso : Le président de l’Assemblée nationale chez le Chef de file de l’opposition politique

    Ha !!!
    Si Roch et Zeph se réconcilient, certains revenants d’outre tombe rejoindraient les ténèbres.
    UDP pour que chacun laisse son ego pour l’intérêt général.

  • Le 17 avril 2018 à 19:57, par toudou En réponse à : Burkina Faso : Le président de l’Assemblée nationale chez le Chef de file de l’opposition politique

    C’est le début de la retrouvaille entre le MPP et l’UPC ! Il faut que le MPP dépasse sa honte, reconnaisse qu’il est en train d’échouer et appelle Zeph au secours. C’est la seule condition pour qu’il reste au pouvoir en 2020. Sinon, une alliance UPC-CDP est mortelle pour le MPP.
    Maintenant que Salif est parti, Roch doit surpasser son égo et appeler Zeph au secours !

  • Le 17 avril 2018 à 23:22, par Elève En réponse à : Burkina Faso : Le président de l’Assemblée nationale chez le Chef de file de l’opposition politique

    Zeph il faut les aider à sortir de ténèbres de l’ignorance.Si non on les sent dans une obscurité entrain de dévier la route de 2020. L’étudiant Bala a vu juste pour repartir recevoir des leçons et conseils de son professeur Zeph. Et puis tonton Zeph si votre Etudiant fait malin, il faut lui tirer ses oreilles et il va bien assimiler les enseignements reçus.
    Bon je vais bosser mes cours. On a un devoir demain.

  • Le 18 avril 2018 à 00:52, par Toega En réponse à : Burkina Faso : Le président de l’Assemblée nationale chez le Chef de file de l’opposition politique

    Un ticket Rock -Zeph ferait le gagnant A en 2020 .Zeph PM et tout les chantiers seront bouclés. Les Burkinabés dans son grand ensemble se reconnaîtront de quelques bord qu’ils soient ,parce que les aigris de l’insurrection ne veulent qu’une seule chose : la faillite de l’État.Cette honte n’arrivera jamais.Maintenant c’est à Zeph de se battre pour arriver deuxième,parce que ce sera encore" un gourdin KO ".

  • Le 18 avril 2018 à 07:09, par Ka En réponse à : Burkina Faso : Le président de l’Assemblée nationale chez le Chef de file de l’opposition politique

    Pour une fois, je pense que l’opposition au Burkina commence à se démocratisé pour trouver le chemin a suivre pour rectifier les imparfaits de la majorité et l’obliger de rester dans la bonne gouvernance. De Maurice Yaméogo a Blaise Compaoré, chaque opposition du Burkina s’opposait bêtement : ‘’’C’est à dire refuser systématiquement tout ce qui risquerait de faire avancer les choses, au simple prétexte que ça serait "trahir" et renier son "statut" d’opposition !’’’

    Et dans ces derniers jours, en voyant des personnes aux dents de loup et rusées comme Achille Tapsoba, Gilbert Ouédraogo assied cote a cote avec Zépherin Diabré, je me suis posé la question, ‘’’est-ce que ces gens ont vraiment quelque chose de sérieux, concret et acceptable à proposer en dehors de cette stupide stratégie d’obstruction et de terre brûlée ?’’’’

    Mais avec cette rencontre entre la deuxième personnalité de la majorité qui est le PAN et le chef de l’opposition, je reconfirme que l’opposition Burkinabé se démocratise avec des bonnes bases à rectifier pacifiquement les imparfaits et les dérives de la majorité pour une bonne gouvernance qui fera avancer le pays. A mon humble avis, cette rencontre fera des jaloux, je pense a Achille Tapsoba, Gilbert Ouédraogo, et la CODER avec sa clique de réconciliation sans la justice.

  • Le 18 avril 2018 à 07:21, par LE PENSEUR En réponse à : Burkina Faso : Le président de l’Assemblée nationale chez le Chef de file de l’opposition politique

    LE PROBLEME DU MPP C,EST LE TYPE COURT Là.LE COURT QUI A MIS LE COLONEL BARRY EN PRISON Là.C,est lui.mais on les suit.

  • Le 18 avril 2018 à 09:15, par ZEMSTAABA En réponse à : Burkina Faso : Le président de l’Assemblée nationale chez le Chef de file de l’opposition politique

    Ah je crois que la majorité commence à comprendre que si elle ne compose pas avec Zeph, elle ne pourra pas bouffer son naam jusqu’en 2020. Il n’est jamais tard pour bien faire. Tout le monde sait que c’est Salif qui a fait capoter le rapprochement au lendemain des élections. D’ailleurs en son temps, l’UPC a tendu une main a MPP car Zeph est allé féliciter Roch avant même la fin des résultats. Mais à l’époque, le MPP était arrogant. Il croyait que ce serait facile de gérer le pays. Il n’a pas su saisir la main tendue. Comme les choses son devenues cailloux, et comme le CDP est en train de renaitre, le MPP comprend maintenant que s’il ne se réconcilie pas avec Zeph, une alliance UPC-CDP va le faire perdre le pouvoir en 2020.
    Moi je propose que Zeph soit nommé PM avec tous les pouvoirs et la moitié des postes de ministres.

  • Le 18 avril 2018 à 10:58, par s En réponse à : Burkina Faso : Le président de l’Assemblée nationale chez le Chef de file de l’opposition politique

    c’est plutôt zeph qui avait choisi le mauvais camp, sinon les insurgés devraient gérer le pays ensemble.

    • Le 18 avril 2018 à 12:19, par Togssida En réponse à : Burkina Faso : Le président de l’Assemblée nationale chez le Chef de file de l’opposition politique

      Monsieur S, ne dites pas n’importe quoi ! On ne choisit pas ses partenaires de l’Opposition ! Si en 2020 Zeph gagne et refuse d’inviter le CDP, le MPP et le CDP vont se retrouver au CFOP. C’est ça la réalité. En 2016, le MPP a préféré travailler avec les petits partis qu’il peut dominer. Comme l’UPC a un certain poids, le MPP n’a pas voulu de lui car il ne peut pas le manipuler. Il a préféré les Bénéwendé, les Tahirou et autres menus fretin. Maintenant il se rend compte que ça piétine et qu’il va droit au mur Il voit aussi le réveil du CDP. Ce réveil du CDP se fait au détriment du MPP parce que c’est les anciens CDP qui avaient émigré au MPP qui sont en train de revenir à la maison. Les bonnets rouges qui avaient émigré au MPP sont de retour au CDP parce qu’ils sont convaincus que Blaise va revenir. Pareil pour les opérateurs économiques. Ils avaient misé sur Roch en 2015 mais ils sont tous déçus. Eux aussi repartent à la maison, surtout qu’on dit que Blaise revient. Au sein même du MPP c’est la démobilisation et les bagarres pour les postes. Ceux qui ne seront pas retenus vont forcément émigrer Donc UPC +CDP, c’est mortel pour le MPP. Et on dit que lors de son congrès de Mai ; le CDP va proposer une alliance à l’UPC pour les présidentielles. Si Roch ne fait pas vite, il va être au chômage en 2020.

    • Le 18 avril 2018 à 13:25, par barabara Dianda En réponse à : Burkina Faso : Le président de l’Assemblée nationale chez le Chef de file de l’opposition politique

      Détrompe-toi S. L’erreur du MPP a été de croire qu’il a gagné les élections et donc il vont le gérer avec arrogance. Maintenant qu’il tousse, il joue des pieds et des mains pour faire des yeux doux, mais c’est un peu tard car l’UPC n’a pas intérêt à aller se salir avec le MPP. Les cadres du MPP, pour la plus part sont trop mouillés dans des choses louches de l’ancien régime

  • Le 18 avril 2018 à 12:29, par De Batanga En réponse à : Burkina Faso : Le président de l’Assemblée nationale chez le Chef de file de l’opposition politique

    Ah, voilà enfin des images qui font la fierté des burkinabé. La majorité a obligation de composer avec l’opposition. Cette dernière ne doit pas également animer une haine à l’endroit du pouvoir. Ce d’autant plus, que c’est leur union conjuguée à la bravoure du peuple burkinabé,qui a pu faire écarter les forces qui assaillaient le Faso.

  • Le 18 avril 2018 à 14:22, par Thom’s En réponse à : Burkina Faso : Le président de l’Assemblée nationale chez le Chef de file de l’opposition politique

    Je suis tout à fait d’accord avec toi, ZEMSTAABA, mais je crois qu’au début, c’est Monsieur Zéphirin DIABRE qui n’a pas voulu composer avec le camp de Roch après les élections. Sinon la preuve aurait voulu que les deux camps s’entendent pour gérer ensemble le pays. Je partage vraiment ta proposition et souhaite que Zéphirin soit nommé Premier Ministre. Là, les choses iront mieux, encore qu’il connait bien les réalités du Burkina Faso plus que Paul Kaba THIEBA. Sinon il y a cette volonté de la part du gouvernement de mettre tout en action certes, mais après une insurrection c’est pas facile en 2 ans de pouvoir. En tout cas nous serions ravis de voir Monsieur Zéphirin à la tête du Gouvernement. Que Dieu nous entende et bénisse notre cher Faso !

  • Le 18 avril 2018 à 14:26, par souobou boalidi En réponse à : Burkina Faso : Le président de l’Assemblée nationale chez le Chef de file de l’opposition politique

    internaute2, hé excuez moi, je veut dire pro mpp, ces sont vos arguments plats de se genre qui a fait que l’UPC avait fait un recul pour vous observez au pied du mur. maintenant que sa comment à ne pas allez, on revient pour raconter des inepties ! dommage, s’est déja consommé, vous pouvez prendre les camarades vendus, je veux dire les simbroise qui croyaient que sans eux l’UPC est mort !

  • Le 18 avril 2018 à 14:55, par Time Will Tell En réponse à : Burkina Faso : Le président de l’Assemblée nationale chez le Chef de file de l’opposition politique

    Internaute 4 (Toega), tu es malhonnete en disant : "Maintenant c’est à Zeph de se battre pour arriver deuxième,parce que ce sera encore" un gourdin KO "." Pourquoi tu penses que Zeph ne peut pas sortir président en 2020 ? il n’y a pas que le MPP qui puisse gouverner. vous avez dit cela de blaise, et aujourd’hui on vous voit derriere Roch pour lui dire que c’est encore lui, lui et toujours lui. je pense plutot que c’est au MPP de se battre pour être 2e. sinon avec le retour du CDP le MPP est mal barré.

  • Le 18 avril 2018 à 15:17, par SAWADOGO En réponse à : Burkina Faso : Le président de l’Assemblée nationale chez le Chef de file de l’opposition politique

    Internautes, cessez vos bruits. Le CDP seul peut mener le combat et remporter la victoire en 2020. Nous n’avons pas besoin d’une quelconque alliance. L’ UPC et le MPP se sont entendus avec les OSC pour chassser Monsieur Blaise COMPAORE par un coup d’état idiot. Maintenant que le CDP s’est réveillé avec sa cote populaire, chacun estime qu’il va se rallier à un parti. Nos électeurs (anciens comme nouveaux) nous attendent en 2020, et notre Président Blaise sera de retour de son exile comme dit Nana Thibault, n’en déplaise aux jaloux.

  • Le 18 avril 2018 à 15:25, par SAWADOGO En réponse à : Burkina Faso : Le président de l’Assemblée nationale chez le Chef de file de l’opposition politique

    Je suis tout à fait d’accord avec toi, ZEMSTAABA, mais je crois qu’au début, c’est Monsieur Zéphirin DIABRE qui n’a pas voulu composer avec le camp de Roch après les élections. Sinon la preuve aurait voulu que les deux camps s’entendent pour gérer ensemble le pays. Je partage vraiment ta proposition et souhaite que Zéphirin soit nommé Premier Ministre. Là, les choses iront mieux, encore qu’il connait bien les réalités du Burkina Faso plus que Paul Kaba THIEBA. Sinon il y a cette volonté de la part du gouvernement de mettre tout en action certes, mais après une insurrection c’est pas facile en 2 ans de pouvoir. En tout cas nous serions ravis de voir Monsieur Zéphirin à la tête du Gouvernement. Que Dieu nous entende et bénisse notre cher Faso !

  • Le 18 avril 2018 à 15:35, par Vico vico En réponse à : Burkina Faso : Le président de l’Assemblée nationale chez le Chef de file de l’opposition politique

    Les analyses, développement et autre thèses sont bien fondés, mais voilà ce qu’il faut retenir : "On suce d’orange et jeter son coque et aussi le lendemain rechercher ce coque pour sucer". citation africaine. Ce sont les politiciens qui ont mis le feu au Faso soient-ils du pouvoir ou de l’opposition, surtout la nouvelle opposition, je m’explique : le MPP était dans l’opposition donc un frère à l’UPC, alors dites moi qui de vous ou son frère gagne naam et il refuse de l’aider à travailler pour construire le toit du papa ? C’est simple, on pactiser pas avec un démon de peur qu’il te dévore, l’UPC avait pactisé avec le CDP en oubliant qu’hier seulement c’était l’ensemble de l’opposition qui a chassé le démon. Alors aujourd’hui à force de pactiser, le CDP est entrain de dévorer l’UPC pour récupérer le CFOP, vous ne voyez pas ça ? vous oubliez qu’à CFOP aussi il y a naam ? donc du gombo ?. Dites les choses clairement et demander à chacun de revoir sa copie pour mieux affronter 2020.

  • Le 18 avril 2018 à 16:08, par EBENEER En réponse à : Burkina Faso : Le président de l’Assemblée nationale chez le Chef de file de l’opposition politique

    Je ne peux que saluer à sa juste valeur le P.A.N et le Chef de file de l’opposition.
    Politique ne veut pas dire la guerre.
    Que nos politiciens(les autres) en tirent une leçon pour rechercher la construction du Faso.
    God bless Burkina Faso.

    • Le 19 avril 2018 à 08:19, par Le Samo cool En réponse à : Burkina Faso : Le président de l’Assemblée nationale chez le Chef de file de l’opposition politique

      Je suis tout-à-fait d’accord avec vous. Le PAN a posé là un acte très fort, même si on sait qu’il y a derrière tout ça des calculs politiciens. Il a montré que la politique ce n’est pas la guerre. C’est les combats d’idées, des intelligences, des idéaux et des stratégies, tactiques et tictac. C’est pas la polontique de nos frères du plateau central mossi et autres où lorsqu’on cherche le pouvoir, on peut s’éliminer physiquement. Chapeau bas donc au PAN.

      • Le 19 avril 2018 à 10:48, par EBENEZER En réponse à : Burkina Faso : Le président de l’Assemblée nationale chez le Chef de file de l’opposition politique

        Comme dirait l’autre c’est propre........................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................

  • Le 18 avril 2018 à 18:46, par Ka En réponse à : Burkina Faso : Le président de l’Assemblée nationale chez le Chef de file de l’opposition politique

    ’’’’A l’internaute Togssida :’’’’Dans ta critique, j’entends que Blaise Compaoré sera de retour et d’autres pissent dans leurs culottes et rejoignent le CDP. Je demande à nos intellectuels de grandir et osons échouer pour pouvoir vaincre un jour. En 27 ans le pouvoir de Blaise Compaoré avec une bonne équipe composé de Ludovic Tou, Simon Compaoré, Roch Kaboré, Salif Diallo et autres, ont prouver qu’on pouvait faire avancer le Burkina : Mais d’un côté avec une autre mauvaise équipe composé de François Compaoré sa belle –mère et autres, ce pouvoir à prouver qu’il peut détruire avec des crimes gratuits, des trahisons, des ruses : C’est cette même dernière équipe conçu par Blaise Compaoré pour détruire qui avait les 99% du pouvoir de notre pays jusqu’à sa fuite la queue sous les jambes. C’est ce pouvoir que vous voulez en 2020 avec le retour de Blaise Compaoré ?

    Intellectuels et peuple Burkinabé, ouvrons les yeux : Monsieur Pierre et Marie-Curie sont morts, mais le cuivre a été découvert ! Nous aussi sans Blaise Compaoré nous le pouvons. Pourquoi avez-vous peur de tenter de suivre le chemin de l’alternance sans des crimes gratuits ? Sans des ruses ? Sans les Djihadistes à nos tables, et après nous tueraient sans raisons ?

    Citez-moi le nom d’un seul président africain qui, pour avoir tué son propre peuple, comme Charles Taylor, GBAGBO, Idi Amin, Bokassa, et chassé par leur peuple souverain, a pu retourner reprendre le pouvoir dans son pays ? Blaise Compaoré fait partie de la liste que j’ai cité, et ne mérite autre chose que la CPI ou la MACO.

    Je proclame que si nous voulons vraiment résister, nous y arriverons. Et même si l’un d’entre nous venait à tomber au cours du combat, d’autres poursuivrons la lutte. Rien ne s’acquière sans sacrifices. Le petit peuple du Vietnam est venu à bout de la grande Amérique. Arrêtez d’inoculer vos peurs dans l’imaginaire de notre peuple.

    Déjà Roch Kaboré et sa clique se conduise prudemment avec un peuple sous sa garde, qui est déjà un pas pour un changement dans notre pays : Car depuis Décembre 2015 à nos jours, nous n’avons vécu aucun crime comme celui de Norbert Zongo, Nébié et autres, sauf les crimes des djihadistes amis de Blaise Compaoré que nous essayons de combattre. Osons oublier le criminel en puissance qui est Blaise Compaoré, et construisons un Burkina saine sans des crimes, pour la génération future.

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