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Assurances : Le cri de cœur d’une victime d’un accident de la circulation

Publié le mercredi 11 avril 2018 à 23h28min

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Assurances : Le cri de cœur d’une victime d’un accident de la circulation

Cet usager de la circulation, victime d’un accident impliquant un camion étranger, s’offusque de la longueur des procédures et du montant de l’indemnisation servie.

J’ai été victime d’un accident avec un camion malien depuis le 9 mai 2017 et ce n’est que le 11 avril 2018 soit 11 mois après qu’un dédommagement j’allais dire « ridicule » m’a été servi. Je tairais le nom de l’assurance.

Les faits
1. Le constat et toutes les procédures réglementaires ont été suivis.
2. Le chauffeur malien a reconnu son tord lors de la confrontation à la police.
3. Tous les documents nécessaires au règlement du sinistre ont été fournis
4. Que conseillez-vous à vos clients ?

Questions
1. Pourquoi faut-il attendre 11 mois pour le règlement ?
2. Mon véhicule était hors d’usage sans réparation les désagréments occasionnés par l’immobilisation de mon véhicule sont à la charge de QUI ?
3. Que prévoit la règlementation en la matière ?

Suggestions
Afin d’éviter ce long temps d’attente je préconise que l’on immobilise le véhicule étranger (s’il a tort bien sûr) et exiger au moins une entente écrite entre les 2 parties avant de laisser partir le véhicule étranger. D’ailleurs c’est comme ça au Ghana et on aura l’avantage d’éliminer ces désagréments

Merci
Honilo GNOUMOU

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Vos commentaires

  • Le 11 avril 2018 à 19:23, par veritevraie En réponse à : Assurances : Le cri de cœur d’une victime d’un accident de la circulation

    C est toujours comme ca les assureurs.Quand tu cotise tu ne connais pas leur vrai visage,
    il suffit souvent de vouloire arrete simplement tes cotisations simmplement et tu les vera : negotiations angoissantes, intimidations, propositions halecantes, coupures inexpliques sur les frais a rembourser..... Pire, gagne un accident ou tout autre objet de l assurance, tu vas courrir derriere eux et sans courage tu vas abandonner. vivement que ce secteur soit mieux reglementé et suivi de pres. Dans ce cas vous etes vivants et vous voyez le calvaire deja, on le souhaite pas mais imaginez un cas ou vs n etes pas la et c est des ayants droits qui doivent poursuivre."peine perdue ? souffrance ? a quoi bon cotise dans ces semblants de societe d assurances qui ne rassurent personne ?
    Un conseil d ami : moi je preferes investir que de depose mon argent avec "des escrocs".

    • Le 12 avril 2018 à 18:40, par sage En réponse à : Assurances : Le cri de cœur d’une victime d’un accident de la circulation

      je suis parfaitement d’accord avec vous, aujourd’hui les gens sont entrains de déposer de l’argent en banque soit disant épargne pour demain, mais tu n’as pas le droit de mourir avant l’âge de ta retraite sinon tout est foutu, tes ayants droits auront tout le mal du monde pour avoir ce que tu avais dépose à côté.

      actuellement tout est devenu du pur commerce.

  • Le 11 avril 2018 à 20:11, par Dosso En réponse à : Assurances : Le cri de cœur d’une victime d’un accident de la circulation

    Grand frère GNOUMOU, pourquoi taire le nom de l’assureur, donc vous mentez, permettez à l’assureur un droit de réponse en publiant son nom.

  • Le 11 avril 2018 à 23:41, par Le Debf En réponse à : Assurances : Le cri de cœur d’une victime d’un accident de la circulation

    M Gnoumou,
    Que l’usager en cause dans votre accident soit un étranger ne change rien à la situation. Vous êtes pris en charge ou non par votre assureur (ou celui de la partie adverse) selon les contrats que vous avez signé. Or, ces contrats sont très divers et lorsque vous vous êtes contenté d’une assurance "au tiers" (idem pour la partie adverse) généralement ces contrats ne prévoient qu’un véritable strict minimum de dédommagement. Je vous suggère de bien relire votre contrat d’assurance pour voir jusqu’à quelle mesure votre assureur s’implique lorsque c’est un tiers qui a sa responsabilité engagée dans un sinistre.

  • Le 12 avril 2018 à 01:55, par Verite En réponse à : Assurances : Le cri de cœur d’une victime d’un accident de la circulation

    Et les 11 mois d’attente ? quel contrat d’assurance doit attendre aussi longtemps pour dédommager son assuré ?

  • Le 12 avril 2018 à 06:12, par Intrus En réponse à : Assurances : Le cri de cœur d’une victime d’un accident de la circulation

    Si vous voulez taire le nom de l’assurance, alors taisez vous ! Apprenons à être conséquent.

  • Le 12 avril 2018 à 07:13, par chapité En réponse à : Assurances : Le cri de cœur d’une victime d’un accident de la circulation

    Après un accident avec dégâts matériels uniquement entre deux véhicules, le constat de la police a conclu au tord exclusif de la partie adverse.
    Les déclarations conformément à la législation ont été faites avec les devis de réparation de mon véhicule déposés à la police et chez mon assureur qui ne les a pas contesté. A ce jour soit douze mois ,SAHAM mon assureur m’a obligé à suivre : l’élaboration du PV par la police, la transmission du PV à la justice et à lui communiquer le numéro du dossier. Cela fait un an que j’ai abandonné cette poursuite lunatique auprès de cet assureur, SAHAM, qui ne fait que dans l’escroquerie. Ils ne suivent pas les dossiers et quand vous vous plaignez, ils disent que "l’agent de liaison a beaucoup à faire".
    Il serait temps que la ligue des consommateurs, le REN-LAC,... se penchent sur le cas de ces escrocs des temps modernes.

  • Le 12 avril 2018 à 07:16, par Elcohote En réponse à : Assurances : Le cri de cœur d’une victime d’un accident de la circulation

    Assureur , Banquier, voilà des êtres qu’il fallait crucifié à gauche et à droite de jesus.
    des putains de sangsues

  • Le 12 avril 2018 à 07:30, par sandokan En réponse à : Assurances : Le cri de cœur d’une victime d’un accident de la circulation

    C’est choquant, humiliant et révoltant cette attitude des assurances. M. GNOMOU, vous taisez le nom de l’assurance pour quelque chose qui est connu de tous ? Ces assurances sont des gouffres à sous et l’Etat lui-même est complice. Sinon comment comprendre que l’Etat exigence la souscription à ces assurances et en même n’exige rien aux compagnies en cas de sinistre. De la même façon que l’Etat est prompte à verbaliser quiconque ne détient pas de papier d’assurances, allant même jusqu’à mettre un véhicule en fourrière en cas de défaut, de cette même manière il doit disposer de moyen de pression pour amener ces compagnies à dédommager les victimes. L’Etat ne peut pas constituer un simple rabatteur à sous pour ces assureurs et abandonner les usagers à leur sort quand surviennent les sinistres. Par ailleurs, n’est-il pas possible d’instaurer un pourcentage de remboursement quand la période de validité d’une assurance vient à expiration ? Pourquoi rien n’est prévu de ce côté ? Un exemple : prenons une usager qui souscrit chaque année pour 60 000 pour assurer son véhicule ; il fait 10 ans sans discontinuer dans les souscriptions et sans le moins sinistre cela fera 600 000 FCFA que la compagnie aura encaissé sans contre-partie. Est-ce vraiment juste ?

    • Le 12 avril 2018 à 12:38, par Zangoté En réponse à : Assurances : Le cri de cœur d’une victime d’un accident de la circulation

      Même s’il fait 20 ans et paie 1 200 000 FCFA comme prime, il suffit qu’il heurte un motocycliste qui se fracture la jambe à l’occasion et toute la prime y passera. Quand vous payez 60 000 FCFA et que l’assureur indemnise à hauteur de 600 000 FCFA des dommages matériels subis par un véhicule parce que vous avez été déclaré responsable, c’est normal mais quand c’est le contraire, c’est de l’escroquerie. Trouvez l’erreur.

  • Le 12 avril 2018 à 08:12, par ib En réponse à : Assurances : Le cri de cœur d’une victime d’un accident de la circulation

    Mr Gnoumou, je vous assure que nous faisons l’assurance de nos véhicules mais il faut prier le Bon Dieu pour ne pas à avoir un problème avec ces institutions. Je fus confronté au même cas que vous avec un camion local et j’avais raison. Mon véhicule était irrécupérable et Dieu merci je suis sorti sain et sauf. Mais je n’ai jamais pu être dédommagé pour la simple raison que l’assureur et la justice m’ont tourné pendant un an et j’ai finalement laissé tomber parce que je courrais le risque de perdre mon boulot à cause des demandes d’autorisation d’absence répétées. Cela m’amène à conclure que les assureurs sont des arnaqueurs avec la complicité de la République.

    • Le 12 avril 2018 à 08:58, par Honilo GNOUMOU En réponse à : Assurances : Le cri de cœur d’une victime d’un accident de la circulation

      Je remercie tous ceux qui ont réagi à mon cri de cœur. C est par précaution que j ai tait le nom de l’assureur car je ne m’y connais pas en droit . Ai-je légalement le droit de citer le nom de cette assurance ? Voyez-vous avec votre raison la justice peut vous déclarer fautif . On voit cela tout les jours .
      Merci
      Honilo GNOUMOU

    • Le 12 avril 2018 à 13:11, par senadja En réponse à : Assurances : Le cri de cœur d’une victime d’un accident de la circulation

      Moi j’ai dérapé avec mon véhicule dans les escaliers et dieux merci, j’ai été stopé par un arbre que j’ai terrassé . donc tout l’avant du véhicule est partit . après tous les constats de la gendarmerie et le dossier transmis a l’assurance , on m’a fait comprendre que si j’avais causé dommage a quelqu’un , c’est ce dommage que l’assurance prenait en charge et comme c’est un arbre que j’ai terrassé, eux il n’ont rien a faire dans cela a moins de m’acheter un arbre pour allez remplacer celui que j’ai terrassé. En conclusion je doit réparer mon véhicule mois même.
      et puis les banques sont devenus les complices des assurances , lorsque tu veux un crédit, l’assurance prend pratiquement le tiers du crédit et on te demande encore des garanties. dans quel pays on est ?

  • Le 12 avril 2018 à 08:29, par TAGROU En réponse à : Assurances : Le cri de cœur d’une victime d’un accident de la circulation

    A propos des compagnies d’assurance.
    Je voudrais savoir pourquoi rien n’est fait de leur part pour encourager les clients qui souscrivent chaque année et qui, cependant, n’ont jamais été impliqués dans un accident nécessitant un recours à l’assureur. Pas même une petite prime de reconnaissance, encore moins un tarif préférentiel pour cette catégorie de clients.
    Mais qu’à cela ne tienne. Si elles ne peuvent pas ou ne veulent pas le faire, qu’ elles investissent au moins dans le social. Parce qu’à ma connaissance, je dis bien "à ma connaissance", je n’ai pas encore vu un dispensaire, une maternité, une école ou un panneau de signalisation réalisée ou offerte par une compagnie d’assurance. Je serais heureux d’être édifié, si toutefois des preuves contraires existaient.

  • Le 12 avril 2018 à 08:36, par pomme66 En réponse à : Assurances : Le cri de cœur d’une victime d’un accident de la circulation

    souvent , j’ai l’impression que les assureurs sont des escrocs. J’ai eu un accident avec un tricycle qui est assuré par une agence qui porte le même nom qu’une grande banque de la place. Après toutes les démarches, l’assurance refuse de me dédommager bien que le rapport du constat de dégâts soit clair. L’assurance en question refuse de reconnaître le tort de leur client. Malgré la correspondance de mon assurance l’agence en question reste sourde. Je laisse mon sort à Dieu qui traite la question des impuissants.

  • Le 12 avril 2018 à 09:04, par Somda En réponse à : Assurances : Le cri de cœur d’une victime d’un accident de la circulation

    Cher GNOUMOU,
    Je compatis à ta douleur face à ta situation.Je souhaiterais t’apporter quelques précisions.Je précise que je ne suis pas l’assureur du véhicule malien et je ne prétends nullement le défendre.Je suis seulement un chercheur sur la question et je suis hors du pays pour te rassurer.
    Par rapport à tes plaintes, tu précises que des devis ont été faits et déposés auprès de la compagnie, je suppose que tu as subi des dégâts purement matériels.Dieu merci car ta santé est épargnée. Sur la question le Code cima qui régit les assurances notamment lorsqu’un dommage est causé par un véhicule terrestre à moteur, est muet sur la question du délai d’offre d’indemnisation de l’assureur.C’est pourquoi les assureurs ne s’empressent pas d’indemniser les victimes pour les dégâts purement matériels. Le code impose seulement un délai de 12 mois aux assureurs pour faire une offre à la victime qui subit des préjudices corporels ou mixtes (corporels et matériels.)C’est ce qui explique peut-être cette situation de lenteur. Seule une situation de forte concurrence pour amener les assureurs à être plus réactifs.
    Il serait intéressant, si possible, de souscrire une assurance complémentaire directe qui sera encline à réagir promptement en cas de sinistre.
    Juste un point de vue

  • Le 12 avril 2018 à 09:09, par Bravetchê En réponse à : Assurances : Le cri de cœur d’une victime d’un accident de la circulation

    Depuis des années les états ouest africain sont tous dans ce problème d assurance . Je suis ouest africain je dit en ci la petite mobylette appeler ct ou Peugeot ou encore camico doit être absolument assurée ; mais en réalité ou va cette somme car il y’a plusieurs accidents mais aucun dédommagement et cela dure depuis des décennies. Un groupe de personnes s associe pr créer une assurance et se remplissent les poches au nez des gouvernements car ce sont des cousins des neveux et nièces donc sécurité garantie. Les camions étrangers après les assurances nationale ont une obligation d assurance CEDEAO mais ou va cet argent . Nos assureurs sont des pilleurs . Salutation

  • Le 12 avril 2018 à 13:50, par El_monstro En réponse à : Assurances : Le cri de cœur d’une victime d’un accident de la circulation

    Quand on dit qu’il ne faut faire confiances à ces institutions, on a sans doute raison. Beaucoup de gens sont assurées ou en banque par obligation. Sinon vous êtes aux trousses des policiers et autres pandores à chaque sortie. Meme chose pour votre salaire. je vous raconte ma petite mésaventure. En octobre 2017 la banque fait une erreur et crédite plus de 125 000 000 dans mon compte courant. je signale assez rapidement l’erreur à mon gestionnaire de compte. En fin d’année, je constate que les agios de compte courant qui devaient être autour de 3000 f cfa s’élève à plus de 300 000 F CFA. J’attire l’attention de mon gestionnaire. La banque répond que ces agios ont été calculés sur la base du volume d’argent qui est passé sur le compte. Alors de volume, rien ce sont eux qui avaient fait l’erreur. J’ai naturellement posé réclamation et c’est finalement en mars 2018 que les 300 mille ont été remboursés. Voila la réalité de ces institutions. Si par mégarde vous disparaissez, vous ayants droits ne verront que du feu. On pourra meme rétorque que vous êtes endettés.

  • Le 12 avril 2018 à 14:34, par Dao En réponse à : Assurances : Le cri de cœur d’une victime d’un accident de la circulation

    Cher GNOUMOU,
    Je profite de votre écrit pour vous dire qu’en matière d’assurance Automobile , il y’a l’assurance "au tiers" et l’assurance "tous risque" qui englobe la garantie "Dommage tous accidents". Alors si vous souscrivez à l’assurance "Tous risque", votre assureur est tenu de réparer les dégâts que votre véhicule subit en cas d’accident (que vous soyez responsable de l’accident ou non). A contrario si votre assurance est au "tiers" et que votre responsabilité n’est pas engagée dans l’accident, la procédure d’indemnisation est la suivante :
    pour votre cas, dès que vous faites la déclaration à votre assureur il réuni tous les documents nécessaire (pv de police, déclaration, facture de réparation) qu’il transmet au Bureau Burkinabè de la Carte Brune CEDEAO ce dernier achemine ces dits documents au Bureau Malien de la Carte Brune qui les transmet à la compagnie malienne qui assure le camion.
    Une fois que le dossier remplie toutes les conditions de paiement, le procédure d’indemnisation suit le trajet inverse pour vous parvenir(M. GNOUMOU). La procédure se déroule généralement dans un temps assez fou avant que vous ne soyez indemnisé

  • Le 12 avril 2018 à 14:38, par Dao En réponse à : Assurances : Le cri de cœur d’une victime d’un accident de la circulation

    Cher GNOUMOU,
    Je profite de votre écrit pour vous dire qu’en matière d’assurance Automobile , il y’a l’assurance "au tiers" et l’assurance "tous risque" qui englobe la garantie "Dommage tous accidents". Alors si vous souscrivez à l’assurance "Tous risque", votre assureur est tenu de réparer les dégâts que votre véhicule subit en cas d’accident (que vous soyez responsable de l’accident ou non). A contrario si votre assurance est au "tiers" et que votre responsabilité n’est pas engagée dans l’accident, la procédure d’indemnisation est la suivante :
    pour votre cas, dès que vous faites la déclaration à votre assureur il réuni tous les documents nécessaire (pv de police, déclaration, facture de réparation) qu’il transmet au Bureau Burkinabè de la Carte Brune CEDEAO ce dernier achemine ces dits documents au Bureau Malien de la Carte Brune qui les transmet à la compagnie malienne qui assure le camion.
    Une fois que le dossier remplie toutes les conditions de paiement, le procédure d’indemnisation suit le trajet inverse pour vous parvenir(M. GNOUMOU). La procédure se déroule généralement dans un temps assez fou avant que vous ne soyez indemnisé

  • Le 12 avril 2018 à 18:12, par Ali En réponse à : Assurances : Le cri de cœur d’une victime d’un accident de la circulation

    La force publique est bien complice de ces maisons d’assurance
    Ils y ont des actiond. Moi tailleur pourrai-je avoir l’aide de cette force pour verbaliser tout citoyen qui ne porte pas mon oeuvre ? Si ces maisons appartenaient a l’État je m’en contenterai tout de même. Mais la force publique payer avec nos impôts au service de privés cupides ! Je ne pige rien.

  • Le 13 avril 2018 à 12:13, par Vérité En réponse à : Assurances : Le cri de cœur d’une victime d’un accident de la circulation

    Je pense qu’il faut éviter de réagir avec passion face à cette affaire. Déjà je précise qu’il conviendrait que madame nous précise le type de garantie qu’elle a souscrite auprès de son assureur car si madame était assurée en TOUS RISQUES, son indemnisation n’allait pas prendre 11 mois.
    Par contre si elle était assurée en RESPONSABILITÉ CIVILE communément appelée ASSURANCE SIMPLE, dans ce cas son assureur ne serait engagé que si la responsabilité de madame était engagée à la suite de cet accident.
    Suivant toujours les faits tels qu’exposes elle n’est pas responsable donc d’office son assureur nest pas engagé dans cet accident nous entrons dans une autre dimension de l’assurance qui s’appelle le BUREAU DE LA CARTE BRUNE CEDEAO l’accident implique un car MALIEN donc c’est la responsabilité de l’assureur du camion MALIEN qui est mise en jeu à la suite de cet accident et non l’assureur de madame.
    Ainsi, la lourdeur n’est pas du tout imputable à l’assureur de madame mais plutôt au BUREAU DE LA CARTE BRUNE CEDEAO.
    Par ailleurs il conviendrait de préciser que pour tout problème avec une compagnie d’assurance, l’intéressé peut saisir la DIRECTION DES ASSURANCES qui se trouve au TRÉSOR PUBLIC OUAGA 2000.

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