LeFaso.net, l'actualité Burkinabé sur le net
Proverbe du Jour : “Nous sommes lents à croire ce qui fait mаl à сrοirе. ” Ovide

Putsch manqué au Burkina : L’ambiance du procès à la salle des banquets de Ouaga 2000

Publié le mardi 27 février 2018 à 12h54min

PARTAGER :                          
Putsch manqué au Burkina : L’ambiance du procès  à la salle des banquets de Ouaga 2000

Le procès du putsch du Conseil National pour la Démocratie (CND) s’est ouvert ce mardi 27 février 2018 à la salle des banquets de Ouaga 2000. Nous vous proposons de suivre ici l’événement en direct, à travers notre fil d’actualité mis à jour minute par minute.

PARTAGER :                              

Vos commentaires

  • Le 27 février 2018 à 07:57, par Juste En réponse à : Putsch du CND : Le procès en direct !

    Donc on ne pourra pas suivre le procès en direct même à la radio ? C’est quoi cette histoire ? Pensez vous que toute la population du pays peut effectuer le déplacement à Ouaga 2000 ? Ou que le Burkina Faso se résume à Ouaga ?

    • Le 27 février 2018 à 08:34, par skal En réponse à : Putsch du CND : Le procès en direct !

      Mon cher, estime toi heureux que le Faso.net a bien voulu nous faire vivre l’événement en direct.

      • Le 27 février 2018 à 08:59, par verité En réponse à : Putsch du CND : Le procès en direct !

        Oui ; mais c’est très insuffisant. Tout le monde n’a pas accès au net et surtout que le coût et le débit est au dessus de la plupart d’entre nous !!!!!

    • Le 27 février 2018 à 09:39, par FGHien En réponse à : Putsch du CND : Le procès en direct !

      Monsieur Juste, c’est juste parce que la loi n’autorise ni la retransmission en direct ni de filmer les débats lors des procès. C’est comme ça, mais c’est la loi... Nous devrions donc être heureux que lefaso.net nous tienne au courant à travers son fil d’actualité : au moins pour ceux qui ont accès au Net, ils pourrons faire le point autant de fois qu’ils veulent dans la journée.

      • Le 27 février 2018 à 14:00, par alpha En réponse à : Putsch du CND : Le procès en direct !

        je crois que la loi la n’interdit dans le fond mais il appartient au tribunal de décider si oui ou non les journalistes peuvent accéder a la salle avec leur matériel. Sinon j’admet que le tribunal est dans son plein droit

    • Le 27 février 2018 à 11:20, par Télécommande En réponse à : Putsch du CND : Le procès en direct !

      Mon ami, c’est pas le TPR.
      Si tu veux suivre il faut t’y rendre. Sinon contente toi des comptes rendus de Lefaso.net.
      Même dans les grandes démocraties les procès ne sont pas diffusés à la radio ou à la télé.
      Les journalistes font leur travail en faisant des dessins des accusés mais on ne filme pas leur procès.

    • Le 27 février 2018 à 14:52, par kaos weogo En réponse à : Putsch du CND : Le procès en direct !

      Tout le monde se croit compétent pour tout et gueule à tout vent. Propos inutiles.... laisser la justice faire son travail . On est dans un Etat de droit. Keep quite please !!!!!

    • Le 27 février 2018 à 16:28, par xavier En réponse à : Putsch du CND : Le procès en direct !

      Ah oui vous avez tout à fait vrai ! Burkina ne se limite pas seulement à Ouaga ni là ou tu es presentement ! Viens à Ouaga si tu veux voir et entendre !
      Simplement !

    • Le 28 février 2018 à 08:01, par Daniele Massaro En réponse à : Putsch du CND : Le procès en direct !

      Arrêtez vos comédies, depuis quand un procès se fait à la télé et à la radio ? Arrêtez vos passions et demandons un bon procès. Nous ne sommes plus au TPR mon frère. Mais ce que je comprend dans ce début de procès c’est que les plus hautes autorités de pays là ne veulent pas de justice. Tout est presque tordu dans les procédures et je crois que seule une bonne justice dans ce pays pourrait apaiser véritablement les esprits et par conséquent une unité nationale.

  • Le 27 février 2018 à 08:25, par Achille De TAPSOBA. En réponse à : Putsch du CND : Le procès en direct !

    Chers JUGES intègres je vous salue majestueusement

    Je vous félicite très sincèrement pour la tenue de ce procès tant attendu par le Brave Peuple (votre 1ère victoire). En rappel, ce Brave Peuple a énormément souffert pendant longtemps des injustices criardes gangrénées par une corruption exponentielle sous l’ère Compaoré où les plus forts et les plus riches (galaxie Compaoré) opprimaient méchamment les plus faibles (martyrs, familles des victimes ou le peuple) et pillaient sans état d’âme les ressources du pays. La règle de droit fut enterrée avec la formule choc du moment des hommes forts « si tu fais on te fais et puis y a rien ». Une minorité d’hommes forts s’est exclusivement approprié le pays sous le regard médusé du Brave Peuple. Ils décidaient le droit de vie ou de mort sur tous les Burkinabés. A chaque fois que notre chère nation vivait des évènements tragiques mystérieusement ils clamaient leur innocence or ils étaient les architectes chevronnés de tous ces crimes : De Thomas Sankara à Clemence Oumarou Ouedraogo, de David Ouedraogo à Norbert Zongo, du Juge Salifou Nebié aux Martyrs du 30, 31 Octobre 2014 et 15, 16 Septembre 2015. Ils nous roulaient dans la farine pour nous faire croire qu’ils sont totalement étrangers à toutes ces tueries. . Le mensonge était leur règle de gouvernance. Beaucoup de familles se sont senties profondément meurtries dans leur chair et dans leur esprit et abandonnées par la justice. Nos prisons sont devenues le nid permanent de petits voleurs de moutons et des poulets ou de petits caïds du quartier tandis que les grands criminels sillonnent le monde de si belle en moquant du Brave Peuple ou sont libérés par de faux certificats médicaux. Quand ils étaient aux affaires(pouvoir) ils étaient très bien portants subitement en prison,ils deviennent des malades chroniques. Drôle de mystère !
    .
    Je ne suis d’aucun parti politique au BURKINA je ne suis ni militant ni sympathisant d’un parti politique. J’ai participé à l’insurrection populaire pour restaurer la DEMOCRATIE dans mon pays c’est-à-dire la JUSITCE dans la VÉRITÉ. Auparavant, j’avais écrit un article intitulé « Pourquoi vendre notre constitution à Blaise » publié sur Faso.net le 16 Octobre 2014 à Blaise Compaoré que s’il tendait de modifier l’article 37 il précipiterait sa chute comme Ben Ali de la Tunisie mais malheureusement il ne m’a pas écouté ma petite voix. Mon combat quotidien est et reste logiquement la lutte contre l’injustice ou l’impunité même au prix du sang. Je défends toujours la VÉRITÉ en d’autres termes UNE JUSITCIE EQUITABLE, INDEPENDANTE et IMPARTIALE POUR TOUS. Aucun BURKINABE ne doit être au-dessus de la loi. Si un Burkinabé (Saint Blaise, Saint François, Saint Gilbert, « ange » Djibril, Saint Christian dit Roch, Saint Simon dit tulk-guili (prendre tout en français) ou mr ex security, Achille De TAPSOBA le Bobolais…) commet des crimes de sang ou économique qu’il soit littéralement traduit devant des JUGES sans état d’âme pour répondre tout naturellement de ses actes et puni conformément à la rigueur de la loi .

    Mrs les juges intègres,vous jouez votre crédibilité dans ce procès c’est-à-dire rendre JUSTICE aux MARTYRS qui ont injustement payé de leurs vies par des « BOULIMIQUEURS » du pouvoir. Il s’agit notamment de la machine téléguidée à tuer des frères Compaoré Diendéré et de « ange » Djibril de concert avec Soro le rebelle qui ont décidé monstrueusement de nous frapper en détruisant nos postes de gendarmerie et notre aéroport, faire souffrir le PAUVRE PEUPLE. Faut-il qu’on se range pendant ce procès derrière les potentiels putschistes par peur de leurs regards foudroyants et machiavéliques ? Absolument pas notre conscience ou notre foi religieuse (Chrétienne ou musulmane) nous interdit formellement d’accompagner les forces du mal avec leur ramification (Galaxie Compaoré) qui cherchaient à tout démolir dans notre pays pour leurs intérêts égoïstes et personnels. La sentence doit être à la hauteur de leurs forfaits (effusion de sang).De prime à bord, nous vous recommandons solennellement de publier le rapport de l’expertise des écoutes téléphoniques fait par l’allemand car certains partisans de l’impunité ont crié urbi et orbi à un montage de la transition avant le grand déballage (procès proprement dit). Ces deux généraux félons sont des fabulateurs excusez-moi chers juges intègres du terme ce sont des gros menteurs. Ils pensent qu’ils sont plus intelligents que tout le Brave Peuple. Leur stratégie est connue de tous la manipulation à grande échelle, ils chargeront (noyer) les petits soldats de l’ex-rsp avec leurs conseils (avocats) comme s’ils étaient en odeur de sainteté. Pitié pour ces petits militaires qui vont assumer tout à la place des grands CRIMINELS. Ces généraux félons vont accuser les hommes de rang de tous les péchés d’Israël pour sauver leurs peaux. Je ne cesse de le répéter ces faux généraux ont été toujours des lâches quand ils ont le dos au mur.Les bourreaux d’hier se sont subitement et rapidement transformés en victimes d’aujourd’hui ou des artisans de paix prêchant la Bonne Nouvelle de DIEU ou d’ALLAH dans leurs prisons dorées or ils demeurent les CERVEAUX de ce putsch le plus bête du monde. Ces généraux félons détiennent la palme d’or en mensonge et en bêtise devançant largement le capitaine Sanogo du Mali. Ils pleurnichent sous tous les toits avec des canaux de communication très sophistiqués (tapages médiatiques) pour déclarer de façon mensongère au monde un acharnement sur leur personne. Ils se voyaient en costume de président légitime après leur mentor Blaise « le grand médiateur hors pair ». Un ami des djihadistes « ange » Djibril disait à son interlocutrice togolaise au téléphone pendant le putsch : « On maitrise la situation. Ne t’inquiète pas pour moi. Je serai président. A bientôt ».

    Mrs les juges intègres, ne vous laissez pas emballer dans leur jeu. Avec leurs avocats, ils vont troubler ce procès. Chassez systématiquement tous les perturbateurs de la salle. Leurs avocats (surtout français) tendront de vous humilier devant le Brave Peuple. Soyez sereins et prudents. Le Burkina n’est pas une banlieue de Paris ni d’Abidjan ni de Dakara. Ne cédez à aucune pression d’où qu’elle vienne : pouvoir actuel (mpp), pèlerins de l’impunité (partisans et francs-maçons) ou communauté internationale. Tenir compte du séducteur regard des criminels c’est être complice de leurs crimes. Les anciens disent : « lorsque tu tiens compte du beau regard apparemment innocent du chat qui a volé de la viande tu renonceras à le tuer ».

    Chers juges intègres, votre devoir moral est de cicatriser toutes les PLAIES béantes (injustices) afin de permettre une RECONCIALATION entre les fils et les filles de ce pays à travers le PARDON. La justice est le SOCLE d’un bon développement pour un pays. Oter la vie d’un autre burkinabé pour un pouvoir (politique, économique, social…) surtout avec les armes achetées par le contribuable Burkinabé doit être sévèrement puni pour que nous ne vivions plus ces scènes macabres au Faso. Chacun de nous doit soulager les familles des victimes en défendant la vérité car le malheur n’arrive seulement qu’aux autres. Le Brave Peuple vous regarde attentivement pour dire le DROIT rien que le DROIT sans passion à mi- mot sans règlement de compte. A aucun cas, il n’acceptera un procès de complaisance pour faire plaisir aux grands criminels et ses supporteurs zélés. Cependant, la justice n’est pas une boite de nuit pour faire plaisir à ses mélomanes c’est-à-dire à ceux qui proclament visiblement l’impunité. Dans un état de droit, il y a évidemment des règles à respecter.
    Mrs les magistrats, à l’issu du verdict final d’un procès équitable, le Brave Peuple vous restituera tous les honneurs de la nation avec félicitations exceptionnelles du jury. Toute la nation saluera très honorablement votre acte patriotique et vous respectera.

    Chers juges intègres, faites entrer les accusés. Que l’audience commence.

    Je vous remercie très chaleureusement.

    LA VÉRITÉ TRIOMPHERA SUR LE MAL OU L’IMPUNITÉ(le mensonge) UN JOUR

    A NOS MARTYRS QU’ILS SE REPOSENT EN PAIX. QUE JUSTICE LEUR SOIT RENDUE RAPIDEMENT

    JUSTICE POUR NORBERT ZONGO
    JUSTICE POUR THOMAS SANKARA
    JUSTICE POUR SALIFOU NEBIE
    JUSTICE POUR DAVID OUEDRAOGO
    JUSTICE POUR DABO BOUKARY

    VICTOIRE TOUJOURS AU BRAVE PEUPLE
    VIVE LE BRAVE PEUPLE BURKINABÉ

    QUE LE SEIGNEUR BÉNISSE LE BURKINA QUE NOUS AIMONS TOUS.AMEN
    PAIX ET SUCCÈS A TOUS LES BURKINABÉS. AMEN

    Achille De TAPSOBA LE Bobolais

  • Le 27 février 2018 à 09:33, par zidouemba wendin miyondo journaliste a radio pognere pouytenga En réponse à : Putsch du CND : Le procès en direct !

    félicitation a Faso net vous.êtes un media professionnel.merci de nous permettre de suivre les différentes étapes de ce procès en direct

  • Le 27 février 2018 à 09:55, par TANGA En réponse à : Putsch du CND : Le procès en direct !

    Famille, n’allons pas préparer des justifications bidons pour justifier quoi que ce soit après le procès.
    Dans tous les pays du monde et dans toutes les institutions qui rassemblent de hautes personnalités, on ne vient pas le jour J avec ces appareils et prétendre couvrir un évènement.
    Un journaliste qui sait ce qu’il fait contacte la sécurité et dit ce qu’il aura à faire. De ce fait, récupère ces appareils que l’on place dans les locaux après examen minutieux. L’Homme de média viendra alors le jour J dans le local et retrouvera son matériel qu’il utilisera.
    SAVEZ VOUS COMBIEN DE PERSONNES SONT TOMBEES SOUS LES APPAREIL PIEGES ?

  • Le 27 février 2018 à 10:54, par cisse En réponse à : Putsch manqué au Burkina : L’ambiance du procès à la salle des banquets de Ouaga 2000

    Cher population nous voulons la justice rien que ça, mais attende on va voir coma sera le procès
    .

  • Le 27 février 2018 à 11:03, par Maitre Panglos En réponse à : Putsch manqué au Burkina : L’ambiance du procès à la salle des banquets de Ouaga 2000

    Je prefère un assassin confirmé à un terrosite caché.La boule est dans le camp des juges, surtout zéro tolérence pour un chef coutimier qui serait impliqué dans cette salle histoire.Je rapel le Burkina est une république et non un royaume

  • Le 27 février 2018 à 11:33, par Megd’ En réponse à : Putsch manqué au Burkina : L’ambiance du procès à la salle des banquets de Ouaga 2000

    Si la presse étrangère est présente, je suis certains que nous aurons des récits authentiques. Les occidentaux ont largement les moyens d’enregistrer les débats sans que la sécurité ne détecter leur matériel.

    Nous sommes à l’ère de la miniature. Des stylos, comme des lunettes sont des sources de micro ou de caméra. Je ne me fais donc pas de souci.

    • Le 27 février 2018 à 13:34, par yelwingtiim En réponse à : Putsch manqué au Burkina : L’ambiance du procès à la salle des banquets de Ouaga 2000

      Et toi tu en es fier ?? que des étrangers viennent nous espionner et soutirer des informations à la place de nos frères journalistes ??
      Si nous exigeons la justice, alors commençons par respecter les dispositions prévues par la loi en la matière. Contentons nous des méthodes d’informations utilisables dans les conditions actuelles.
      Merci au Faso.net

  • Le 27 février 2018 à 11:46, par Sayouba Traoré En réponse à : Putsch manqué au Burkina : L’ambiance du procès à la salle des banquets de Ouaga 2000

    Je ne connais pas ce que dit notre législation au Faso, mais habituellement "Le code de procédure pénale interdit de filmer, de prendre des photos ou d’enregistrer pendant un procès". C’est pourquoi dans les journaux, on voit surtout des dessins. Pour les chaînes de radio et télévision, on reste dehors et on fait un article d’ambiance. Je dois signaler qu’il y a eu des exceptions où des procès ont été filmés et enregistrés, selon l’importance de l’affaire et suivant décision ponctuelle du législateur. Autrement dit, ce n’est la faute à personne, parce que c’est la loi qui dit que c’est comme cela qu’on procède. Et on ne va pas commencer un procès en violant la loi. Mais, une fois encore, je confesse mon ignorance pour la procédure au Faso. Les juristes devraient pouvoir nous éclairer à ce sujet. Nous devons donc remercier doublement lefaso.net pour tous ces efforts.

  • Le 27 février 2018 à 11:56, par Pathe Diallo En réponse à : Putsch manqué au Burkina : L’ambiance du procès à la salle des banquets de Ouaga 2000

    Ce procès n’est pas comme les autres, tout le peuple burkinabe s’intéresse et par conséquent on devrait faitre retransmettre tous les débats en direct à la radio et à la télé pour montrer que effectivement on ne cache rien ! En refusant l’accès aux journalistes, celà veut dire qu’il y a des choses que l’on cache !

  • Le 27 février 2018 à 12:25, par Nabiiga En réponse à : Putsch manqué au Burkina : L’ambiance du procès à la salle des banquets de Ouaga 2000

    ....mais enfin, où est bien passé la maladie cardiaque qui a fait de Djirbil un mourant qu’il fallait évacuer en France sinon, il mourrait le lendemain. Regardons combien il est bien portant. Il n’est pas mort, qu’il prouve son innocence et la ville de Léo sera la sienne, chez lui sera encore la sienne, NAFTA sera encore la sienne et la liberté de se mouvoir sera encore la sienne. Le bluff quand NAFTA nous tienne, oui

  • Le 27 février 2018 à 12:28, par Bravetchê En réponse à : Putsch manqué au Burkina : L’ambiance du procès à la salle des banquets de Ouaga 2000

    Les juges à vs de dirent le droit rien que le droit ; pr 1 fois le monde entier à les yeux sr vs ; le peuple du faso veut la vérité. Que cette vérité soit incontestable cela va de votre crédibilité. Que ceux qui seront reconnu coupable soit puni au nom de la loi pas au nom de la revanche. Que ceux qui seront reconnu innocents soit libérés aussi au nom de la loi. Je compte sr vs pr dirent la loi. Dite ns tte la vérité sans complaisance sans parti pris ainsi vs rendez justice à ttes les victimes. Faite de sorte que le peuple ai vtr confiance prouver impartialité c est le moment où jamais. Salutations

  • Le 27 février 2018 à 12:43, par BF En réponse à : Putsch manqué au Burkina : L’ambiance du procès à la salle des banquets de Ouaga 2000

    Que Dieu Bénisse le Général

  • Le 27 février 2018 à 14:01, par Asbarka En réponse à : Putsch manqué au Burkina : L’ambiance du procès à la salle des banquets de Ouaga 2000

    Et voici la ruse de Général DIENDERE. Il savait très bien que le Tribunal ne peut siéger sans les Généraux les plus gradés que lui et il les a tous cité comme témoins donc lui même ne veut pas la vérité dans ce procès. Depuis 1982 il a participé aux différents coups d’état mais n’est jamais au courant de rien

  • Le 27 février 2018 à 15:04, par la patrie ou la mort nous vaincrons En réponse à : Putsch manqué au Burkina : L’ambiance du procès à la salle des banquets de Ouaga 2000

    si les avocats refusent faites comme le procès de issa abré au Sénégal des avocats commis d office

  • Le 27 février 2018 à 16:08, par SAA En réponse à : Putsch manqué au Burkina : L’ambiance du procès à la salle des banquets de Ouaga 2000

    Et sa s’appelle GENERAL, n’importe quoi. Je comprend pourquoi notre armée a besoin d’être reformé. Avec ces pacotilles de Généraux incapable de s’assumer pour une fois dans leur vie. Honte à vous.
    C’est quoi cette histoire de juridiction compétente, de forme, de je ne sais quoi.
    A vous chers juristes, devons-nous prendre en otage la vérité sous le couvert d’une science ?
    Je commence à douter maintenant de cette machine (judiciaire) qui, pour des raisons économiques, certains juristes bafouent la dignité humaine au bénéfice des espèces sonnantes et trébuchantes.
    Tout le peuple Burkinabè a été témoin de cette forfaiture de nos généraux de pacotille, pour que des gens soient-ils juristes viennent nous pomper l’air pour des raison de forme.
    Vous faites simplement honte à l’humanité toute entière, à l’espèce humaine au peuple et à tous ceux qui sont tombé sous les balles de ces félons.

  • Le 27 février 2018 à 16:11, par jahman En réponse à : Putsch manqué au Burkina : L’ambiance du procès à la salle des banquets de Ouaga 2000

    "Le bâtonnier avance que le décret qui nomme le président du tribunal a été publié au journal officiel juste le 22 février dernier." La loi qui fait de vous le président de la Chambre de première instance du tribunal militaire n’est pas en vigueur ", a t il poursuivi arguant que c’est huit jours après la publication dans le journal officiel, que la loi qui nomme le président entre en vigueur. " Ainsi donc c’est pour un tel motif que les avocat des accusés recuse le tribunal et quitte la ssalle !!!!!!!! Tchrrrrrrr genral frelon !!!!!!! Et bien moi je propose que les lkaisse pourrir en prison. Que Ceux qui beneficient de la liberté provisoire soient ramené en prison, En attandant que l’on reprogramme le procès pour dans six mois.

  • Le 27 février 2018 à 16:25, par Retour à la MACA En réponse à : Putsch manqué au Burkina : L’ambiance du procès à la salle des banquets de Ouaga 2000

    Si les accusés se sentent bien à la MACA, qu’ils y retournent sans être jugés. Toutes ces comédies que leurs avocats nous font voir, vont retourner contre eux-mêmes.
    Le verdict :
    1- Les deux Ex-generaux sont condamnés à mort avec effet immédiat à la Place de la Revolution par pendaison jusqu’à ce que mort s’en suive.
    2- Les Ex- officiers, sous-officiers, hommes de rang et soldats sont comdamnés chacun à 20 ans de prison ferme sans possibilité de reduction de peine et à des travaux forcés penibles dans les mines de calcaire de Tambao.
    3- Quant aux civils, ils seront remis aux Kolwéogo pour un chatillement exemplaire à la hauteur de leur forfait à raison de 50 coups de fouets par jour de préférence en plein midi et en presence de leurs conjoints respectifs.
    Sur ce, le présent procés est terminé pour faire place à celui des ministres du dernier gouvernement de Blaise Compaoré.
    Signé : L’Etalon Très Enragé

  • Le 27 février 2018 à 17:18, par fat_lion En réponse à : Putsch manqué au Burkina : L’ambiance du procès à la salle des banquets de Ouaga 2000

    Les avocats sont-ils venus pour faire du théâtre ou pour plaider la cause de leur client ? La ruse continue...

  • Le 27 février 2018 à 17:56, par e En réponse à : Putsch manqué au Burkina : L’ambiance du procès à la salle des banquets de Ouaga 2000

    Me Kam ! tu as eu du gombo encore ! bon courage à toi ! Quand tu aura les honoraires n’oublie pas pas ton cousin au village ! c’est la faim qui va me dja ici .
    Tu fais bien ton boulot !!! gombo , gombo, gombo...lol

  • Le 27 février 2018 à 19:40, par Sidbéwendé Zoungrana En réponse à : Putsch manqué au Burkina : L’ambiance du procès à la salle des banquets de Ouaga 2000

    Nous venons féliciter Lefaso.net pour ses efforts multipliés pour informer dans la justesse des choses. Cependant, une critique à l’endroit du Tribunal chargé de ce Jugement de grande importance et surtout à l’endroit de l’Autorité Politique Nationale, c’est-à-dire du Gouvernement. En effet, contre toutes attentes, l’on se rend de plus en plus compte qu’aucun effort n’est réellement mis en oeuvre pour l’information de la plus large partie du peuple. Oui ! Que dispose le peuple pour suivre ce Procès qui est pourtant pour le peuple, très capital ? PRIMO : Constat est fait que pour être informé sur le déroulement de l’Audience, il faut tout d’abord être à Ouagadougou (lieu du procès) parce que, quand bien même la Salle y consacrée soit vaste pour recevoir un nombre important de personnes, il n’est nullement envisagé une quelconque possibilité de retransmission qui permettrait à la population le suivi du procès. Les habitants des autres Provinces du pays se retrouvent par ce fait en "laissés pour compte" pour ne devoir se contenter que des brefs résumés de la Presse dans sa généralité. Pis, étant donné que seules les Chaînes Publiques Nationales (Radio et Télé donc la RTB) qui couvre la plus large partie du territoire national. SECUNDO : Avec la décision de la Sécurité Nationale de ne permettre à aucun journaliste d’accéder la Salle d’Audience avec leurs outils de travail tels, Caméras, Dictaphones, Enregistreurs etc. Comment pense-t-on que les professionnels de l’Information puissent fidèlement informer la population sur le déroulement du Procès ? Pourtant, il y a quelques Années alors qu’on était sous la Révolution, période pendant laquelle on avait opté d’humilier, insulter, vilipender et pourquoi pas, régler des comptes politico-personnels avec des personnes qui ne répondaient pas de la même idéologie, l’Etat avait opté et ce pendant de longs moments, un diffusion tous azimuts sur toutes les Chaînes de Radios et Télévision Nationales. Si oui que cela a un coût, puisque certaines personnes auront l’outrecuidance de chercher à se cacher derrière l’aspect Coût et Budgétaire d’une telle Action pour se justifier, nous pensons que pour des évènements moins importants en "importance", des milliards de FCFA ont été engloutis pour n’accoucher que de souris. En exemple, les fonds qui sont dilapidés pour des choses telles la HCRUN, les Conférences bidons pour parler de Réconciliation Nationale alors que la première étape dudit processus qu’est la "Justice" n’avait pas encore, ni été abordée et encore moins solutionnée. Des cas de gaspillages sont nombreux qu’on ne puisse en quelques lignes étaler. L’Autorité, si elle est consciente de l’importance de ce Procès parce que, intéressant tout le peuple insurgé qui a voulu du/des changements qui sont entrain de s’opérer, devrait vaille que vaille, trouver les moyens à la PRESSE dans son ensemble pour couvrir tout le Procès. Diffusion directe et permanente tant par les Radios et Télévisions (Publiques au moins) pour que tout le peuple sache ce qui s’est passé et qui se passera tout au long de l’Audience. Un refus de cette Action, si nous ne nous abusons, sera source de "Mouta-mouta éventuels". Or, tout doit être su et connu. Nous entrevoyons des risques de couverture de bon nombre de personnes auteurs de faits au profit d’innocentes personnes qui seront condamnées en lieu et place des premières. Ce qui décevra beaucoup et beaucoup le Peuple.

  • Le 27 février 2018 à 21:09, par Anta En réponse à : Putsch manqué au Burkina : L’ambiance du procès à la salle des banquets de Ouaga 2000

    Si j’étais présidente du tribunal, je reporterais le jugement à l’an prochain, pendant ce temps tout le monde au gnouf, ça leur apprendra à faire dans le dilatoire. C’est vous qui criez qu’il faut aller vite au jugement, on vous amène devant le tribunal et vous faites les zouaves. La prochaine fois, si les deux putschistes font leur petit malin il faut les remettre aux koglweogos. Voilà le tribunal qu’il leur faut:Président du tribunal : Dassamkandé Naaba, premier assesseur : Django de Fada, deuxième assesseur:Pr.Albert le Tocsin, Procureur de la république ; Boukari le Lion. Voilà le tribunal qu’il faut à ces putschistes, avec à leurs côtés des fouetteurs . Celui qui ne veut pas parler, on lui administre la question ordinaire et si nécessaire l’extraordinaire.Est-ce que vous avez laissé cette chance aux Lingani et Zongo Henri ? Tchrrrr !

  • Le 27 février 2018 à 21:19, par pierre En réponse à : Putsch manqué au Burkina : L’ambiance du procès à la salle des banquets de Ouaga 2000

    Un non évènement ! les inculpés vont galérer car cela va prendre des semaines voire des mois ou plus ! pendant ce temps-là, les avocats vont se frotter les mains et se sucrer sur leur dos ! Ils vont se faire hara kiri eux-mêmes car ceux/celles qui seront innocentés s’il y en a, vont le regretté car leurs séjours vont se prolonger d’autant ! Pas de peine de morts, mais, prisons à vie est sans doute pire que la peine de mort...

  • Le 28 février 2018 à 06:31, par PROPOSITION A FASO.NET En réponse à : Putsch manqué au Burkina : L’ambiance du procès à la salle des banquets de Ouaga 2000

    FASO.NET,

    Je vous prie de bien vouloir re-considerer le fil de la mise en jour. Au lieu de mettre les nouvelles recentes en haut, je vous propose de mettre les anciennes pour qu’en defilant du haut vers le bas, on voit les mises a jour pour finir avec les commentaires.

    Avec la presentation actuelle, on n’est oblige de defiler jusqu’en bas d’abord pour voir comment et a quelle heure ont commence les choses avant de remonter pour voir l’evolution pour redescendre lire et laisser des commentaires. Cela est complique.

    Bien vouloir commencer le fil par la premiere nouvelle et la mettre a jour au fur et a mesure qu’on defile.

    Merci pour la consideration

  • Le 28 février 2018 à 08:47, par MADAME MACRON En réponse à : Putsch manqué au Burkina : L’ambiance du procès à la salle des banquets de Ouaga 2000

    BONJOUR TOUT LE MONDE. MOI JE SAIS SEULEMENT QUE TÔT OU TARD CES PERSONNES RÉPONDRONT DEVANT LE BON DIEU TOUT PUISSANT. QUI AS TIRE HOHHOT QUI AS DONNE L ORDRE DE TIRE HOHHOT, JE N’EST PAS DE FORCE MAIS DIEU FERA MON PALABRE.POUR MOI C EST LE DERNIER MOT DE DIEU JE VEUX.

  • Le 28 février 2018 à 11:19, par LANDOLO En réponse à : Putsch manqué au Burkina : L’ambiance du procès à la salle des banquets de Ouaga 2000

    J’en veux aux hommes de presse, surtout privée qui mentent au peuple et incitent la population contre les forces de défenses et de sécurité. Malhonnêtes qu’ils sont, personne parmi eux n’a parlé ni expliquer au peuple ce que l’article 34 de la loi 041-2017/AN du 29/01/2017 dit et qu’ils doivent s’y soumettre. Les FDS n’ont fait que l’appliquer en tenant compte de leurs missions de protections de biens et des personnes. Si vous ne voulez pas de cette loi, adressez-vous à l’Assemblée Nationale. A travers la réaction des uns et des autres de la presse, l’on se demande si le premier responsable de l’incivisme grandissant au Burkina n’est pas la presse tant écrite que parlée.

 LeFaso TV
 Articles de la même rubrique
Putsch de septembre 2015 : Minata Guelwaré est décédée
La problématique de la liberté chez Jean-Jacques Rousseau