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Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

Publié le mardi 13 février 2018 à 00h11min

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Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

Pour l’implantation de l’usine de transformation de textile du turc Ayka Textile, c’est la ville de Ouagadougou qui a été retenue. Et des voies discordantes se font entendre de plus en plus. Dans la tribune qui suit, le député Moussa Zerbo dit préférer Bobo-Dioulasso et il dit pourquoi.

Pays reconnu comme l’un des meilleurs producteurs de coton de la sous-région,surtout grâce à sa région Ouest où se trouve la capitale économique, le Burkina Faso n’a malheureusement pas une capacité à transformer son or blanc sur place. En conséquence, l’exportation de cette matière première ne profite presque pas aux producteurs et au pays !

Fort heureusement, une lueur d’espoir semble pointer à l’horizon, avec le turc Ayka Textile dont le Président,Yusuf Aydeniz, déclarait à sa sortie d’audience avec le Premier ministre Paul Kaba THIEBA :" Dans les six mois à venir, l’usine sortira de terre".

Le coût de l’investissement est estimé à 220 milliards de francs CFA, soit 335 millions d’Euros, et l’usine créera à terme 12 000 emplois.
C’est un projet salutaire. Mais, la grande déception vient du choix du lieu d’implantation de cette usine dans la capitale politique, Ouagadougou, au détriment de la capitale économique, Bobo-Dioulasso, qui, mieux, est pourvoyeuse de la matière première qu’est le coton.

Jadis, cette ville et ses alentours faisaient la fierté de notre pays de par les immenses potentialités qu’ils offraient sur tous les plans : Productions céréalière, cotonnière, fruitière, maraîchère ; ressources halieutiques, etc.
Nous savons également que toute usine exige beaucoup en matière d’eau. Cette denrée est justement en abondance à Bobo-Dioulasso.

Une usine telle que la SAVANA, qui transformait les fruits et légumes en jus, en purée de conserve (tomate, confiture,...) et dont les produits étaient prisés dans la sous-région, a dû être bradée. La SIFA, première en production de motocyclettes et vélos, a disparu. La SOFAPIL Winner agonise depuis des mois à cause de 800 millions de francs d’impôts impayés. La liste est longue, si longue que l’on ne pourrait l’épuiser.

Avec cette usine de transformation de textile, il y a une réelle opportunité de soulager la souffrance de nos producteurs de coton, et de redonner un nouveau souffle à Sya. Hélas ! Notre gouvernement se penche pour l’implantation de l’usine à Ouagadougou, loin de la matière première, loin des ressources en eau, malgré les surcoûts. La raison avancée est que c’est l’investisseur qui a choisi Ouagadougou. Cet argument ne tient pas, d’autant que l’Etat burkinabè détient 45 pourcent des actions. D’ailleurs, comment un Etat sérieux va-t-il se plier ainsi face à des investisseurs ?

L’implantation de l’usine à Ouagadougou va engendrer des frais supplémentaires pour le transport. Nous pensons que, du point de vue de la situation géographique, par rapport au chemin de fer qui nous relie au port d’Abidjan, le pays gagnerait à implanter cette usine à Bobo-Dioulasso.

Loin de nous un esprit régionaliste ! C’est une question de bon sens !
Chers promoteurs et actionnaire, prêtez attention aux nombreux cris de cœur du Grand Ouest !

Pour terminer, nous invitons solennellement les hommes politiques bobolais de tous les bords, les organisations de la société civile et les autres leaders d’opinions, à surpasser les divisions pour défendre ce qui est bien pour le Burkina Faso et pour la ville de Bobo-Dioulasso.

Dans ce sens, nous les inviterons bientôt à signer une pétition à l’intention de nos plus hautes autorités.

Ouagadougou, le 12 février 2018
Moussa ZERBO,
Député à l’Assemblée nationale
Email : zerbom@ymail.com

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Vos commentaires

  • Le 12 février 2018 à 13:26, par sidzabda En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Je suis entièrement d’accord avec vous. Vivement que vous lancez la pétition.

    • Le 12 février 2018 à 16:15, par Ali Moussa K En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

      Ayka Addis, the Ethiopian subsidiary of the Turkish textile giant Ayka Textile, inaugurated in 2010 its factory at a cost of US$140 million at Alemgena, 20km west of Addis Ababa, creating jobs for more than 10,000 people. Ayka Addis has the capacity to export textile products worth US$100 million a year per year.

      Traduction sommaire : AYKA a construit une usine textile a vingt (20) km de la capitale Addis Abeba en Ethiopie. L usine emploie dix mille (10000) personnes.
      source : www.investethiopia.gov.et/stories/success-stories/213-ayka-addis

      Conclusion : l investisseur privé construit ou il veut. Il ya eu une etude prealable avan la decision de l investisseur. arretons les jeremiades.

      AYKA sait que quand CIMAF a voulu construire une usine a Bobo, des gens ses ont opposé sous le pretexte que le site est sur une nappe phreatique. Donc meme pour creer des emplois, vous faites des miseres a l investisseur CIMAF. Ayi sabari

      • Le 12 février 2018 à 18:26, par Kpièrou En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

        Voilà des réactions dignes d’insensés !
        La vérité rougit l’oeil dit-on mais ne le crève pas. Si l’installation de CIMAF va causer des dommages écologiques il faut se taire et prendre l’offre parce qu’elle apporte une création d’emplois ? Non. Mais ce que dit cet article est la vérité et il faut reconnaître la vérité même si elle "offense" en touchant une manière de faire qui n’est pas bonne pour la gestion du pays.

        • Le 13 février 2018 à 09:09, par bod En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

          Au Burkina Faso, en apparence, nos élus ne connaissent pas bien leur rôle. Hier c’était le Président du Conseil régional qui rejetait la réalisation d’échangeurs à Bobo sous le prétexte que Bobo manque de routes alors qu’on n’a pas besoin d’aller à la Sorbonne pour savoir que la réalisation d’échangeurs et de routes sont compatibles et parfaitement complémentaires et que, lui son rôle est d’aller partout dans le monde pour capter l’investissement au profit de son pays et particulièrement de Bobo ; aujourd’hui c’est Monsieur le Député qui prend le risque d’écrire sur un sujet aussi sensible au risque de troubler les esprits ; d’exacerber certains replis identitaires et faire fuir les investisseurs pour des pays voisins ! Si donc, l’étude réalisée montre au promoteur industriel que c’est Ouaga qui est indiquée pour abriter cette usine, le reste ne peut être que de la négociation. L’élu du peuple devrait donc chercher à les rencontrer pour mieux comprendre les raisons qui ont conduit à ce choix et enfin, voir avec le Gouvernement comment rattraper les choses au profit d’une autre ville burkinabè pouvant abriter cette unité industrielle car toutes les villes se meurent. C’est seulement après une telle démarche qu’on peut écrire pour prendre l’opinion à témoins. Arrêtons de présenter les choses comme s’il y’avait une conspiration contre l’Ouest du Burkina. J’ai eu la chance de sillonner tout le Faso et je sais que l’Ouest se présente mieux en termes de développement que l’Est, le sud, le Nord etc. de notre pays. je lance un appel à tous les élus, qu’ils aillent à l’information vraie, qu’ils aillent vers les investisseurs pour négocier des choses pour leur peuple au lieu de contester systématiquement les choix des quelques rares investisseurs qui nous viennent ou les tentatives du Gouvernement en vue d’apporter le développement ou résorber le chômage ! Très amicalement...!

          • Le 13 février 2018 à 10:34, par Peuple insurgé En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

            Mon frère les échangeurs sont ridicules pour une ville dont toutes les rues sont poussiéreuses (Bobo et Ouaga). On n’a vraiment pas besoin d’aller à la Sorbonne pour savoir que le caleçon est prioritaire par rapport au bonnet. Je préfère une ville aux rues goudronnées qu’une ville poussiéreuse avec qques échangeurs arpentés par des motocyclettes.

            • Le 13 février 2018 à 13:33, par bod En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

              Si vous n’êtes pas un élu, on peut vous concéder une telle analyse. Toutes les rues de Bobo sont elles vraiment poussiéreuses ? La réalisation d’échangeurs, en quoi ca empêche la construction des routes ? Le choix à faire face à la problématique des transports urbains c’est de construire et les routes et les échangeurs. Les deux sont complémentaires. Et Bobo mérite plus que des échangeurs qui n’ont rien d’extraordinaire ! Quittons la couardise et osons, à l’image de Thomas SANKARA, produire des miracles pour notre peuple. L’élu doit inscrire son action dans le développement et non la critique politicienne. La couardise ne mène à rien. Si nous voulons quitter notre place de dernier du monde, il nous faut oser !

      • Le 13 février 2018 à 06:19, par Mamamdou En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

        "Vous" là c’est qui ? IL y a un problème sérieux dans ce pays, et les gens semblent l’ignorer. Nous qui sommes de l’Ouest subissent une marginalisation indescriptible. C’est comme si nous n’appartenons pas à ce pays. Un exemple simple, lors du Cocktail organisé par Mascot en côte d’Ivoire quel artiste de grand ouest était invité, pas un seul, c’étaient des mossi et assimilés, les autres ressortissants du pays étaient là pendant que les mossi envahissaient la piste, les autres les Bwaba, les bobo, les sambla, Dafing ne se retrouvaient pas totalement dans cette manifestation dite de l’intégration. Tenez vous bien à chaque fois que ç’avait été organisé, les artistes de l’Ouest ont été royalement ignorés. C’est ça la réalité. Regardez Remdogo, le même Cocktail quand il est organisé au Burkina les artistes du grand ouest sont moins présents. Faisons attention. Le pays nous appartient à nous tous. Si on en parle, on crie qu’il n’ ya pas ce genre de chose au Burkina.

        • Le 13 février 2018 à 09:57, par badboyx En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

          Très très vrai mon frère
          . Louest est vraiment laisser a lui même. Marginalisation.com

        • Le 13 février 2018 à 15:11, par Le Faso d’Abord En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

          Quand je lis les soi-disant ressortissants de l’Ouest, je suis écœuré ! Et cela me rappelle le temps où j’étais étudiant à Dakar. A Dakar, je voyais toujours des gens de la Casamance se plaindre à tue-tête comme quoi ils sont marginalisés, ils sont l’objet de discrimination et autre mise à l’écart. Et de ce fait, eux, n’ont pas accès à l’emploi. Je me rappelle que je leur disais qu’ils avaient un complexe et que s’ils sont compétents ils auront du boulot forcément. La preuve, moi je n’étais ni Casamançais ni Ouolof mais j’avais du boulot. Plusieurs entreprises m’ont proposé de me recruter en dépit de ce que j’étais Burkinabè. Et j’avais du boulot ! Et bien rémunéré ! Avant de rentrer au pays ! Je constate que des gens attribuent leur échec personnel à une certaine appartenance à une région ! Certains pensent que tout doit être teinté de régionalisme et ne pas réfléchir comme eux c’est automatiquement être contre eux. J’avoue que le discours qui tend à opposer Bobolais et Mossi comme je vois ici est ridicule et ne doit pas prospérer au risque de déboucher sur des crises profondes comme certains pays les ont connu. Je pense que si malheureusement les non Bobolais ou les non-OUEST avaient cette mentalité qui tend à ne voir que sa région et voir les autres comme des gens sales, broussards, qui manquent de savoir-vivre, envahisseurs, malhonnêtes, ce pays là aurait viré dans autre chose depuis. La chance de ce pays c’est d’avoir plusieurs ethnies mais surtout une ethnie majoritaire travailleur et qui n’agite le foulard de la région dans ce qu’elle fait. On nous dit Bobolais et Mossi ! Vous croyez que les Mossis qui sont nés et vivent à Bobo ne sont pas des Bobolais ? Vous croyez que le Ouagalais est simplement le Mossi ? C’est ridicule, cette façon de voir les choses. Bobo ou Ouaga, c’est le Burkina Faso. Et ne vous méprenez pas : le développement du Burkina Faso devra se faire avec tous ses fils, le Burkina Faso ne saurait se développer si Bobo est sous-développé, le "Bobolais" est Mossi comme le Ouagalais est Bobo, Dagara, Gourounsi, Lobi, etc. Vous en faites trop tout même ! Avec vos considérations fondées sur l’ethnie et autres facteurs aux antipodes de la rationalité ! Bobo ou gens de l’Ouest réveillez-vous, travaillez, suscitez des projets d’usine ! Ne vous auto-excluez pas. Quand vous analysez bien, quel est le gar de l’Ouest qui a osé se présenter aux élections présidentielles ? La majorité des candidats était Mossi et autre Bissa et Samo ! Pourquoi vous ne suscitez pas une candidature de l’OUEST ? Franchement, le malheur de l’Ouest c’est les gens de l’Ouest ! N’oubliez pas qu’à l’Ouest si on enlève les Mossis il ne reste presque plus rien ! Donc l’Ouest n’est pas qu’aux Bobos, Bouaba, Sambla, Sénoufo, etc. Il faut oublier cette histoire de Bobo et cultiver votre jardin ! Cette usine là va employer 12 mille Burkinabè, va transformer le coton de SOFITEX cultivé par des Burkinabè, va fabriquer des vêtements qui seront portés par des Burkinabè ! Evitez d’activer le foulard identitaire là où on n’en a cure !

      • Le 13 février 2018 à 08:35, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

        - Ali Moussa K, tu racontes des bobards à scandales ! L’investisseur privé ne construit pas où il veut parce que le Burkina Faso n’est pas une jungle ! Alors qu’il aille construire sa filature à Kossyam ou dans ta cour si fait est que tu as même une parcelle non-lotie !

        Par Kôrô Yamyélé

        • Le 13 février 2018 à 15:02, par SAA En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

          Dire que j’ai perdu de mon temps à vous lire croyant que vous au moins vous êtes éclairé.
          Le Burkina-Faso, c’est pas seulement l’Ouest et j’espère que vous le savez . Et comme vous semblez connaitre les lieux indiqué pour un investissement privé , vous attendez quoi pour implanter vos usines dans votre Bobo ?
          Excusez-moi si je suis descendu dans la boue, mais j’ai pensé que c’était la seule façon de me faire comprendre.

      • Le 13 février 2018 à 09:34, par SOME En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

        donc il fallait laisser cimaf polluer la nappe phreatique, pour tuer les milliers de gens parce que cimaf va donner des emplois, etc voila les raisonnements qui nous avancent au burkina faso !
        SOME

      • Le 13 février 2018 à 10:27, par Soulbees En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

        Merci Ali Moussa pour ta réaction !!
        Les Burkinabè n’ont franchement rien à faire. Ils passent le temps dans les bureaux à ne rien foutre ! Leur jeu favoris, c’est la critique stérile et puérile. Ce Député fait un développement qui est fort intéressant mais est ce qu’avant d’écrire son article, il a pris la peine d’investiguer ? d’aller voir la cellule chargée de la mise en oeuvre du projet ? de consulter le bureau d’études qui a conduit les études de faisabilité ? ou même de consulter le rapport d’étude de faisabilité ? Il se fonde sur la doxa et "le bon sens" que lui seul aurait en tant qu’Honorable pour défendre sa position !
        Franchement, il est des réactions qui frisent souvent la méchanceté quoi. Dites-moi, à quand remonte la réalisation d’une unité industrielle de ce type au Burkina Faso ? Personne ne s’est plaint ou même tenter une initiative à Bobo ou ailleurs. Aujourd’hui que les autorités sont allées convaincre un gros investisseur pétri de savoir-faire pour lancer quelque chose d’inédit dans notre pays, c’est des critiques ! Des critiques fondées sur des suspicions, des considérations régionalistes ! Le Député dit "loin de nous un esprit régionaliste !" C’est une question de bon sens !Chers promoteurs et actionnaire, prêtez attention aux nombreux cris de cœur du Grand Ouest !" C’est bien de régionalisme qu’il s’agit ici. Vous ne voyez que Bobo, l’Ouest ! vous ne voyez pas le Burkina ! Vous croyez que vous seuls avez le "bon sens" ? Je vous informe que le Burkina produit en moyenne 300.000 tonnes de coton fibre, et que l’usine envisagée transformera autour de 10% (30.000 T) en vitesse de croisière. Cela signifie qu’en moyenne c’est 270.000 T qui reste à être transformé. Sinon c’est exporté brut pour nous revenir sous forme de vêtement à un prix multiplié par 6 par rapport au prix d’achat du kilo de coton fibre. Je crois qu’au lieu de saboter ce projet parce qu’il n’est pas dans notre région il faut chercher à comprendre les raisons qui ont prévalu à son installation dans la périphérie de Ouagadougou et surtout à mobiliser les personnes nanties de votre région pour prendre des initiatives de mise en place d’usines de ce type et solliciter l’appui de l’Etat pour leur mise en oeuvre. La pétition que vous envisagez d’initier est ridicule et ne fera pas changer la destination de l’usine à partir du moment où il y a eu des études et que l’investisseur, l’Etat et les partenaires financiers se sont accordés pour son opérationalisation. Faites plutôt une pétition appelant les fils de Bobo ou de l’Ouest à activer leur fibre patriotique pour cotiser ou constituer une société de capitaux pour la mise en place d’une usine de coton par exemple, ou de jus de fruits, etc. Vous pourrez obliger l’Etat à mettre la main dans la poche en tant qu’actionnaire pour lancer cette usine. Sinon tout le reste n’est que folklore, qui du reste, nuit énormément à la mise en oeuvre de ce projet. Vous vous imaginez l’effet de ces idées négatives sur l’investisseur ? sur les bailleurs ? sur les partenaires techniques ? Burkinabè , changez un peu ! Trouvez vous du travail, initiez des choses, saluons quand il le faut, travaillons pour le Burkina !

    • Le 12 février 2018 à 19:32, par Badara En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

      sidzabda, vous êtes peut être expert en traduction mais pas en argument sur ce cas- ci.
      Premièrement : Si tout projet réalisé est faisable, tout projet faisable n’est pas nécessairement réalisé.
      Deuxièmement : Il faut faire une étude de faisabilité sur plusieurs sites pour savoir le site le mieux indiqué.
      Vous ne parlez ni de l’un ni de l’autre. Votre argument me donne l’impression que l’investisseur peut investir
      là où ça lui plaît. Cela n’est pas bon pour un pays souverain.
      D’autre part l’Honorable Député est dans son droit de parler au nom de ceux qui l’ont élu. Il joue pleinement
      son rôle, s’il parle au nom de ceux et celles qui l’ont élu. Donc le jeu démocratique est pleinement en marche.

    • Le 13 février 2018 à 07:23, par le meme En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

      je sais pas mais chaque fois qu’on parle de bobo on n’ a l’impression que les gens se focalisent sur la régionalisation.
      on sent un conflit entre Ouagadougou et bobo ou pire encore entre mossi et bobolais.
      les blancs n’installent pas une usine pour faire plaisir aux régions.ils cherchent leur intérêt et s’y installent.ce n’est pas une question d’espace géographique .ils s’installent ou ils savent qu’ils vont rapporter grand.que cela soit à ouaga ou bobo ça change quoi ? n’est ce pas le Burkina ?
      ils ont tout évaluer et ils savent qu’ils gagneraient à installer à ouaga.même si vous installer une usine à fada et qu’on observe que ceux de fada n’aiment pas s’habiller en tenue traditionnelle ,ils ne le feront pas à fada mais à ouaga même si la matière est à fada.
      si c’est pas bobo c’est ouaga.et l’est ? et le nord ?

      • Le 13 février 2018 à 09:44, par SOME En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

        non mon frere ce que tu dis : soit tu ne sais rien des liens entre le politique et l’economique, soit tu es totalement de mauvaise foi. Tes idees sont tres graves...
        SOME

        • Le 13 février 2018 à 14:24, par Le Faso d’Abord En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

          SOME dis nous ce que toi par contre tu sais "des liens entre le politique et l’économique" et qu’on ait la paix finalement !
          Des savants devant des écrans qui ne savent que critiquer pour critiquer. Tu as monté combien de projets en tant que SOME ? Tu as investi combien ? Si tu devais investir, tu irais crier partout que tu veux investir ? Et qu’il faut que les gens te disent où tu dois investir ? Ne parle pas de ce que tu ne sais pas. D’ailleurs, un fonctionnaire ne devrait même pas être impliqué lorsqu’il s’agit d’apprécier un projet privé. Que de folklore !

    • Le 13 février 2018 à 08:22, par Jonassan En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

      Vraiment le Burkina faso a mal. Qu’il y ait un fait par ci, un fait par là et voilà les REACTIONS EPIDERMIQUES par ci, par là : réactions de complexés, réactions subjectives nostalgiques. VOUS CROYEZ VRAIMENT QU’ON CHOISIT LES LIEUX D’IMPLANTATION D’USINE AU HASARD COMME CA ? L’investisseur serait vraiment ignorant, idiot, pas calculateur....
      S.V.P. dites à ceux qui trouvent que c’est Bobo qui est le mieux placé, quelle étude de faisabilité ils ont commandité pour l’affirmer ? JE COMPRENDS QU’IL EXISTE ENCORE AU BURKINA DES NOSTALGIQUES A RAISONNER REGION - jusqu’à affirmer que Bobo se meurt - (Bobo peut-il mourir et le Burkina survivre ?). Bref, ICI seul les arguments économiques doivent jouer surtout qu’il s’agit d’un investissement que ne peut supporter le Burkina, un investissement PRIVE. Dans les temps qui courent - d’extrême pauvreté, de chômage endémique - il faut OU accepter la défaite nationale OU faire fi des sentiments de ceux qui peinent à abandonner le lait maternel.

      • Le 13 février 2018 à 09:49, par SOME En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

        mon frere, donne moi des arguments d’ordre economique et viables economiquement qui justifie en politique et theorie economiques. donne moi des arguments qui contredisent ceux de M Zerbo et demontre moi qu’il tord. Or jusqu’a present M Zerbo a raison : c’est les fondamentaux de l’economie : du simple B.A.B.A !
        SOME

        • Le 13 février 2018 à 13:43, par Jonassan En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

          Ah, bon mon cher SOME. ECONOMIE et ARITHMETIQUE font DEUX ; en économie la ligne droite peut ne pas être le plus court chemin d’un point à un autre. Ce n’est toujours rentable d’implanter le lieu de transformation au lieu de production, sinon on implanterait les raffineries au lieu d’extraction de pétrole, c-à-d, souvent en pleine mer.
          ATTENTION A L’ECOLE DU BLANC. L’Ecole n’a pas été créée pour rien. Et ce qui est dangereux ce n’est pas ceux qui ne l’ont pas fréquenté mais ceux qui l’ont fréquenté à moitié or nous, les dits intellectuels, l’ont suivi à moitié. Souvent à partir de la Terminale, nous avons été de briands universitaires mais on oublie souvent, qu’à ce stade, bien souvent on a été spécialisé. Et l’on croit que tout est ADDITION OU MULTIPLICATION et même qu’en Arithmétique 1+1 peut être égale à 10 et non 2 si on fait attention de savoir dans quelle base on fait le calcul et calculer sans tenir compte de la base mène à des erreurs qui peuvent être mortelles.
          Bref, quand vous vous entousiasmez de vos délires politico-égocentro-socio évitez de tout banaliser. S.V.P.

        • Le 13 février 2018 à 14:52, par SAA En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

          SOME, comme toi et ton Zerbo saviez que c’est Bobo qui doit bénéficier de l’implantation de l’usine, qu’est-ce qui vous empêche toi et ton député d’aller chercher vos investisseurs pour Bobo. Vous faites C...... enfin
          Arrêtez de vous comporter en majeur incapable. Moindre chose, Bobo, Bobo.
          Zerbo qui se dit député du peuple, dites-moi, il y a quelle usine à Dori, Fada, Yako, Koupela, Tenkodogo, Toma, Léo... vous voyez, la liste est longue.
          M Zerbo, c’est pas ça être opposant. Bref, C’est pas étonnant, suis mon regard.

        • Le 13 février 2018 à 15:38, par le meme En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

          toi qui est si éclairé en théorie économique et politiques n’hésite pas à nous éclairer de la perte d’installer cette usine à ouaga.
          ta contribution serait la bienvenue dans la courtoisie.
          merci

      • Le 13 février 2018 à 12:48, par sanou En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

        Cher frère il y a des réalités qui sont la .vous savez il y a beaucoup de service à bobo qui peuvent meme pas payer une facture de plus de cinquante mille et vous dite que Bobo ne meurt pas . il faut que ces services attendent l’autorisation de Ouaga et pendant ce temps la personne qui a fait le travail doit attendre très longtemps pour etre payer soit on lui demande de venir à ouaga pour etre payer

    • Le 13 février 2018 à 16:59, par RV En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

      Le député enfonce des portes ouvertes car Bobo est délaissé.
      Les ressortissants de l’ouest doivent accepter (ils le savent) que l’union fait la force surtout en politique.
      Je ne connais pas le dossier et son opportunité d’implantation ou pas à Bobo.
      Mais je sais que ZERBO est un des députés frondeurs de l’UPC.
      Cet écrit ressemble à un amertume de ne pas faire parti du Gouvernement PKT3.
      Si c’est le cas ?! C’est le degré ZÉRO de la Politique !

      • Le 13 février 2018 à 20:55, par Amin dada En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

        Salut. Ce que vous dites n’est pas vrai. Le député Zerbo ne fait pas parti des frondeurs de l’UPC. Verdier vos sources. Aussi il fait la une analyse cohérente et constructive. Félicitations à lui.

  • Le 12 février 2018 à 13:28, par sergio En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Votre écrit n’a qu’un objectif, faire du régionalisme et de la récuperation politique. Ayant vu depuis le debut de la semaine qu’on parlait de Koudougou comme alternative à Ouagadougou, vous vous êtes pressés de sortir du bois pour plaire aux gens de Bobo. Un homme politique doit être plus responsable que cela et éviter ce type de positionnement tendancieux à but électoraliste. Laissez ce travail aux citoyens lamda que nous sommes. Car il n’y a pas que Bobo dans ce pays.
    Ce n’est pas de cette manière qu’un parti en perdition réconquiert l’électorat. Ce que les politiciens ignorent c’est que la population qu’ils cherchent à manipuler est plus intelligente que eux mêmes.

    • Le 12 février 2018 à 14:21, par Un fils de Solenzo En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

      C’est plutôt vous qui avez l’esprit régionaliste. L’honorable a marqué des points ici ; il faut voir les choses dans la globalité et à long terme. Je trouve que ceux qui ont monté le projet ont manqué un peu de profondeur dans les paramètres économiques. Même si la matière première n’etait Pas à Bobo, il fallait y délocaliser l’usine. C’est Un grand risque de tout amener à Ouaga et environs. Les examples suivants sont édifiant : L’aéroport de Dakar a été délocalisé à 1h-1h30mn de toute de Dakar ; La capitale politique du Nigeria a été délocalisée de Lagos, etc...

      • Le 12 février 2018 à 14:48, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

        - Un fils de Solenzo, laisse ce mossi de Sergio, très ethniciste en plus. On va mettre fin à ses ambbitions de conquête de l’Ouest ! Quel est ce mossi qui, quand on lui tend la main, vous attrappe jusqu’au coude !? Sergio alias mossi, le temps où on échangeait 20 hectares de terre contre un vélo neuf est révolu et aujourd’hui, l’Ouest nina puukamè !!

        Par Kôrô Yamyélé

      • Le 13 février 2018 à 08:36, par Jonassan En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

        Des histoires. Il faut choisir soit de retourner dans vos champs soit de vous plaire dans les bureaux climatisés des blancs. Le problème de région doit être débattu ailleurs pas dans des stratégies de développement d’un pays en sous-développement. Si l’investisseur a trouvé bon de construire l’usine au Centre plutôt qu’à l’Ouest ce n’est certainement pas au détriment de la rentabilité qu’il partagera avec le Burkina et non avec Ouagadougou. Ce sont des ouagalais ou des burkinabé qui y seront recrutés ?
        Saisir une implantation économique pour parler de régionalisation pour ne pas dire régionalisme est malhonnête, irraisonnable. Pour un député, en riant, on peut l’accepter mais pour quelqu’un qui broute dans l’enceinte du monde politico-économique, c’est dangereux. Et de là à sauter pour dire que Bobo se meurt. Si Bobo se meurt c’est que le Burkina est déjà enterré.
        Vous vous abaissez à quereller comme ces chefs de village qui s’agitent quand on veut construire une institution dans un village voisin. Ici, qui-plus-est, il ne s’agit pas d’une institution administrative mais d’une UNITE ECONOMIQUE. Je sais que ces messieurs préféreraient voir le projet abandonné que de le voir réalisé à Ouaga ou à Dori ?
        SI ON SE MEURT, SURTOUT DE FAIM, ON DOIT REFLECHIR A COMMENT ACQUERIR LE PAIN, NON PAR D’OU NOUS VIENT CE PAIN. Il faut que nos intellectuels prennent leur responsabilité pour éduquer ce peuple (ne pas laisser ceux qui croient que quand on connait écrire et parler français comme nos journalistes, on devient expert en tout sinon il devient chaque jour difficile de bâtir ici et bientôt Boko Haram et Cie prendront le relais. Basta !

      • Le 13 février 2018 à 10:25, par DDCOOL En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

        Dites moi, Bobo dispose de combien d’usine ??? Où est ce qu’on produit le coton ?? Bobo ? le grand ouest ? uniquement dans ces zones pré-citées ???? Et le grand Est ? et le plateau central ? et le centre-est ? le sud-ouest ??? Allez y voire dans ces zones...Il ya aussi des producteurs de coton. Quand vous êtes député, ca ne fait pas de vous un expert dans tous les domaines. vous devez modéré certains de vos propos. Nous aussi des autres régions voyont qu’on fait tout à Bobo et à Ouaga ? Tenez vous, Quand Blaise à commencer à mettre en place l’électrification rurale, c’etait là le début de la fin de son règne. Tout simplement parce qu’il a voulu l’équité. Celui qui est dans une zone rurale est Burkinabè oui ou non ! Son seul tord c’est de se retrouver en campagne !!! et là aussi pour cultiver et nourrir vous autres, politicier, députés et citadins...Les gens ont commencé à dire sur les stations FM (HFM surtout où on vocifère chaque matin) que ouaga ou bobo n’a même pas tous les quartier electrifier et on s’en va jetter les poteau en brousse... Aujourdhui aujourd’hui là, allez dans les zones rurales où l’énergie est disponible et apprécier leur part cointributive au développement socio economique...C’est sans équivoque ! Pardon bobo seul ne peut rien faire pour le burkina, c’est tout le pays avec les régions diverses.

    • Le 12 février 2018 à 14:48, par Burkina En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

      Honorable Député, pour un investisseur, la 1ère vocation d’une usine n’est pas sociale. Vous faites bien de citer les usines de Bobo-Dioulasso qui sont mortes sans dire pourquoi elles le sont. Vous ne voulez quand même pas qu’au bout de quelques années, les 45% de l’Etat burkinabè soient perdus comme ce fut le cas de votre longue liste d’usines mortes. N’est-ce pas mieux d’avoir une usine partout au Burkina que pas du tout ? Est-ce que vous voulez nous condamner à n’avoir qu’une usine de textiles. Je pense que la sagesse voudrait qu’on prie Dieu que la première prospère et elle appellera d’autres. A ce que je sache, nous sommes dans le capitalisme et non dans le socialisme. Si nos 45% pouvaient construire l’usine, on serait allé la mettre là où on veut. Je parie que vous même, si avez le choix d’investir entre Ouaga et Bobo que j’aime bien, je suis sûr que investirez à Ouaga, s’il ce n’est déjà fait.

      • Le 13 février 2018 à 07:30, par Daniele Massaro En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

        Bjr mon très chère Burkina, ce n’est que dans notre pays qu’on s’efforce de faire d’une ville la capitale politique et la capitale économique. Et cela au su et au vu de tous. Qui se plaindrait si cette fameuse usine était à Dédougou ? Comment voulez vous réduire les coûts de production quand vous n’implantez pas là où il y a les matières premières ? On a problème d’eau et d’électricité à Waga sans compter qu’ un gramme de coton n’y est produit. en plus tu parles des industries mortes à Bobo comme si c’était les Bobos qui les ont tuées. Ce sont les mêmes comme vous qui ont tout fait pour asphysier l’économie du pays en étouffant Bobo Dioulasso par la délocalisation de certaines usines et par la MALGOUVERNANCE de l’équipe de Blaise Compaoré et les mêmes qui sont aujourd’hui au pouvoir. Tant que vous, les autres Burkinabé et moi ne seront pas plus intelligents et plus visionnaires que nos dirigeants, nous aurons nos yeux que pour pleurer. d’ailleurs si vous ne connaissez pas les Noms au BF, ZERBO n’est pas Bobo mais Samo. J’ai aussi l’impression que tu ne connais pas ton pays sinon tu comprendrais que l’économie de Bobo est détenue en majeur partie par les mossis et sur les Yarcés. Généralement cz sont les ethnicistes qui accusent à tord ce qui ne le sont pas de l’être. Que Dieu continue de bénir ce Burkina.

        • Le 13 février 2018 à 08:40, par Jonassan En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

          Ces histoires de capitale économique et capitale politique, ça appartient au passé. Aujourd’hui les usines n’ont plus besoin d’une vaste étendue de territoire pour produire. SI LE POLITIQUE (science de la gestion de la cité) supplante L’ECONOMIQUE (science de la recherche du profit par la maximisation des opportunités), ADIEU le développement et vive la république de la grande masse misérable.

        • Le 13 février 2018 à 09:54, par SOME En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

          Merci mon frere c’est l’occasion pour cette armada de tribalistes de sortir du bois et de faire barrage avec des arguments des plus idiots et crier au regionalistes parce que justement eux ils le sont ! pour la cohesion nationales il faut les laisser faire...JAMAIS !
          SOME

        • Le 13 février 2018 à 10:23, par Damus En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

          En attendant nos matières premières sortent au delà de nos frontières pour d’autres usines.

      • Le 13 février 2018 à 08:05, par TEBLOS En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

        monsieur Burkina, ces usines sont mortes par la seule volonté des dirigents et gouvernants..point barre. Ok investissez où vous voulez seulement, si le coton qui est pressenti être la matière première ne suffit plus, alors bienvenue à la debandade...! Votre coton là, je ne voit pas qui est encors et sera motivé pour le cultiver en quantité à l’ouest...si vous ne changez pas votre manière d’harmoniser vos décisions !

    • Le 12 février 2018 à 15:02, par Mogo En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

      Soi-disant Sergio. C’est vous qui avez des relents de régionalisme et de division dans votre intervention. Mes félicitations à l’honorable Zerbo pour cette contribution. Avec tous les efforts faits par les cotonculteurs et les sociétés cotonnières, il est de bonne guère que cette usine soit implantée dans le bassin cotonnier. Le bassin cotonnier ne signifie pas Bobo uniquement. Il y a par exemple Houndé, Dedougou. Ce n’est pas du régionalisme, mais de la vision pour le développement. Regardez toutes les expériences d’installation d’usines a Ouaga. Toutes ou la plupart des échecs. Pourquoi s’entêter et regretter plus tard nos actes. Ces investisseurs ne connaissent pas la réalité de notre pays. Ils viennent investir c’est vrai, mais on a le devoir et l’obligation de bien les orienter. Sinon on aurait fait du mal pour notre pays.

      • Le 13 février 2018 à 08:07, par wendy En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

        vous dites des contre verités. on investi pas au hasard dans un pays. on fait des études de faisabilité avant de s’y lancer. je n’en disconvient pas que l’usine, implantée dans l’ouest serait bien. l’investisseur n’a rien a faire avec ta vision profane du dévéloppement. c’est quand meme des milliards qu’il risque et il desir faire des bénéfices. rassurez vous, si les conditions étaient reunies dans votre zone comme vous le dites on aurait implanté l’usine labas. sans doute !

        • Le 13 février 2018 à 09:59, par SOME En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

          si tu ne connais rien a l’economie inutile de vouloir te montrer : M zerbo (et les autres intervenants qui vous enervent et vous savez pourquoi) a montré qu’il n’y a pas la moindre etude faisabilité et que c’est une decision politique qui n’ rien a voir avec le bien du pays, mais plutot avec une vision tribaliste du pays.
          SOME

          • Le 14 février 2018 à 08:45, par idi En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

            Mon ami SOME, il faut dépassionner le débat et apprécier les arguments des autres objectivement. Il ne faut pas parler de régionalisme. Plus qu’à l’ouest du Burkina, partout c’est la terre de Dieu. Nous devons pouvoir cohabiter ensemble en excluant cet esprit. Qui héritera de la terre et de son contenu ? Ce n’est pas sûr que si on implante l’usine à Bobo, ce ne sont pas les "mossis" qui vont encore plus bénéficier en terme de retombés car ils y sont nombreux également.
            Imaginez un peu si chacun des treize régions se mettait à faire pareil, où serions nous ? C’est à quel spectacle on a assister ? Un élu de la nation de surcroît ! Je crois qu’il est en train de filer du mauvais coton.

        • Le 14 février 2018 à 07:36, par Mogo En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

          Vous qui semblez avoir des notions en économie, dites moi que vaudrait investir des milliards et fermer boutique 5 ans plus tard et investir des milliards dans un environnement propice et fonctionner plusieurs dizaines d’années (plus de 50 ans) ? Pensez à nos enfants et petits enfants et non à vous seulement. C’est ça la vision de développement. Je l’ai dit, il faut accompagner l’investisseur avec des conseils judicieux et non politiques. Tout le monde sait que Ouaga est saturé et vous vous engluer dans cette vision étriquée de développement. Faites un tour au Ghana, les villes sont à des niveaux de développement presque similaire. J’ai dit PRESQUE SiIMILAIRE. Si vous êtes à Kumasi c’est comme si vous êtes arrivé à Accra. Les politiciens passent le peuple demeure. A bon entendeur, salut

    • Le 13 février 2018 à 01:39, par DH Ben En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

      Mr Sergio
      Le Député Zerbo à parfaitement raison ,vous aussi ! Dans ce pays il n’y a pas que Ouagadougou et Koudougou dans ce pays non plus .L’usine textile, jadis implantée à Koudougou ou en êtes vous aujourd’hui ?
      Prenons le cas de l’aéroport de Bobo... Voilàs un aéroport doté de la plus longue piste d’atterrissage de la sous région mais il n’y pratiquement pas d’avions pouvons nous dire
      L’aéroport de Zignaré ou en êtes vous ?
      Mr Sergio selon vous personnes ne doit tirer la sonnette d’alarme si ça ne va pas ?
      C’est dommage cessons de nous voiler la face ,la politique n’ai pas un acquis , mais l’art de lettre l’autre en difficulté pour nous africains
      Ce qui fait de nous un disque de 33 Tours nous tournons tellement sur nous même sans évoluer , ne pas reconnaître ce qui est mieux pour son pays relève de l’ogoisme
      Que dieu protège notre pays

    • Le 13 février 2018 à 07:52, par TEBLOS En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

      Walay...toi sergio tu ment et tu mentire toujours, sinon le deputé est dans son droit car il a promis le developpement pour ses electeurs pourquoi ne pas les defendre...! c’est toi qui est trop sourde....!

  • Le 12 février 2018 à 13:38, par Le Zongale En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Il y a bien une usine d’égrenage de coton à Ouaga non ? et cela ne choque pas à vous entendre. Franchement, évitons même si on veut faire de la politique, d’agir comme l’homme de la rue. Il y a bien d’autres réalisation qui sont entrain de se faire à Bobo non ? Le lieu d’implantation peut-il vraiment faire vociférer comme cela ? Et politique politicienne quand tu nous tient !!!

  • Le 12 février 2018 à 13:51, par Adoume En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Cette usine doit s’installer à l’ouest ( Houndé, Dédougou, Diébougou, Bobo...) ou à l’Est. Diversifions les pôles de croissance et d’immigration pour un développement harmonieux de notre cher pays. Moussa, là tu as raison mais en profitant pour attaquer le gouvernement tu écart ses soutiens de ta pétion.

    • Le 12 février 2018 à 16:21, par sidy En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

      de mon point de vue, vous faites une bonne analyse. il faut un développement harmonieux de notre pays diversifié les pôles de croissances.
      mais à vouloir faire de cette affaire une recuperation politique politique je suis dessolé pour l’honorable

      • Le 13 février 2018 à 07:38, par mytibketa En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

        Vous savez soyez prudents dans vos analyses parce que il est bon que nous raisonnions Burkina Faso dans son entièreté et que nous voyons comment faire pour que le fruit de toute activité où qu’elle soit inonde l’ensemble du pays.Des cas extrêmes veulent qu’un émigré installé dans les champs de cacao en Côte d’Ivoire ou ailleurs hors du Burkina fait souvent vivre sa famille restée au village. Il faut se démarquer de ces gars viscéralement régionalistes souvent paresseux de nature qui voulant déstabiliser le pays trouvent un argumentaire insensé en voulant contourner le bon sens pour des projets qui ont pour eux un caractère contemplatif.Je me souviendrait encore de cette mer intérieure que constitue le Barrage de Douna dans le kenedougou réalisé sous l’instigation de Cyrille Wentissé (je crois) avec un canal primaire métrique et qu’il y a 20 ans n’était exploité que sur 0,5% de sa superficie. La raison avancé était que les migrants n’étaient pas acceptés. Et pourtant les locaux à l’époque ne trouvaient aucune raison à s’échiner dans des tâches dont ils ne voyaient pas le plus que ce là pouvait leur rapporter. Peut être que la situation a depuis lors changé. De même vous avez il y a plus de 10 ans des barrages inexploités dans la région du gourma étaient visibles et pourtant leurs cousins yadsés en auraient fait des eldorados.Les choses bougeant et Les mentalités changeant, nous devons où que se trouve un point de développement faire en sorte que cela soit perçu comme un pôle dont les retombées sont pour toute la nation à l’instar de la LONAB. Le repli identitaire n’a aucun sens de toute façon les retardataires verront le train du développement passé sans la possibilité de le prendre. De même l’abattoire principal ou l’usine de transformation du carné ne seront pas à Djibo mais à Ouaga ou Bobo pour des raisons économiques.Aussi cessons d’instrumentaliser nos chefs traditionnels dont les comportements posent un réel problème de leur raison d’’être.

        • Le 13 février 2018 à 08:47, par Jonassan En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

          Vous avez raison et les internautes abondent par mimétisme. Comment on peut développer un pays dans lequel les réactions profanes sous-couvert de subjectivisme régionaliste deviennent ligne conductrice d’un développement harmonieux. Qu’entendre par développement harmonieux et décentralisation.
          Si cette approche était faite à l’époque ou par ma grand-mère j’aurais compris mais de nos jours-là, en rester-là et avoir le courage de le dire est d’une aberration indescriptible et je commence à ne plus avoir confiance en mon pays.

      • Le 13 février 2018 à 08:39, par Tagsda En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

        Pour ce que je vois venir,après avoir écoute et lu les uns et autres c’est cette usine qui divisera les burkinabé si on n’y prend garde... quelles raison allez vous évoquer pour convaincre la population afin de délocaliser a nouveau cette usine !!! vous ne dirai pas en tout cas que c’est à cause de la pression des uns(par ce qu’on parle déjà de pétition ou bien des Notables). Dans tous les cas,soyez en sure que cette population se révoltera et cette révolte sera plus violente que vous le regretterai si vous aimez votre pays. sur ce, je demande à tous les fils de ce pays à ce départir de tout comportement qui pourrait nous opposer car si les investisseurs ont choisi leur site c’est bien par ce que ça les arrange nettement mieux,n’oublions pas que c’est du Business et mettre toute cette fortune dedans,je reste convaincu que ce n’est pas les beaux yeux des wagalais qui les ont attiré !!! Pour quelqu’un qui aime son pays,quelque soit le lieu d’implantation de cette usine,tant quelle permettra d’apporter un plus dans ce pays il n’y a pas de problème,surtout que c’est du coton burkinabè qui y sera transformé. Il ne faudrait surtout pas semer la graine de la colère dans le cœur des fils, pour les producteurs leur seul problème à ce niveau,c’est que l’on paie leur coton,même si l’usine était situé au Nord,pourvu que le cotons soit payé a bon prix. A vous HONORABLE,a qui j’ai le plus grand estime je panse que vous êtes le mieux placé pour expliquer judicieusement aux Burkinabè,tout l’intérêt de ne pas polémiquer sur cette affaire car un pays qui se veut unis ne tergiverse pas sur des situations pareil. Mes frères et sœur,restons toujours soudé afin que mains dans la mains nous construisons notre maison commune,notre très cher BURKINA FASO,que le DIEU tout puissant nous bénisse et qu’il nous fasse vivre en enfant bien aimé !!!!

        • Le 13 février 2018 à 13:54, par Jonassan En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

          Non, à mon humble avis, si une implantation d’usine au Burkina divise les burkinabé c’est que les burkinabé étaient déjà divisés. Ailleurs les régions luttent pour qu’on éloigne les usines de chez eux, au Burkina on se bat pour que les usines s’implantent chez soi. Allez-y comprendre ce comportement.
          L’implantation territoriale d’une usine n’a rien à voir avec la division d’un pays ou les complaintes de ce qui ne savent pas cultiver mais dissertent allègrement de la répartition des fruits de la récolte.

    • Le 13 février 2018 à 10:07, par SOME En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

      Non justement la demarche de M zerbo dit tout a fait le cnontraire : c’est une demarche patriotque qui exige la justice et l’idée de nation au dela des positions politiques. Ce n’est pas parce qu’on voté pour un gouvernement que l’on dire oui a tout ce qu’il fait surtout quand cela detruit la cohésion nationale et n’apporte rien au developpement optimum du pays.
      SOME

  • Le 12 février 2018 à 13:52, par Chef des San En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Wallassi, je suis entièrement d’accord avec vous ; pardon toi le ZERBAL.
    Il faut mettre les choses qu’il faut là où il faut.
    Pardon, si quelqu’un peut dire à ceux de devant dougou de revoir le lieu d’implantation. Ces gens là ne lisent pas lefaso.net.
    Il y a seulement des mounafika qui leur lisent ça.
    Mon Samo, pour une fois je me met au garde à vous devant un esclave.
    Mais va voir ton frère qui est labas là et dit lui que l’Ouest n’est pas content, que le pays chamo n’est pas content de lui. Dis lui aussi que ce n’est pas en ne défendant pas corps et âme sa région qu’on dira qu’il est bon samo car samo c’est chamo.

  • Le 12 février 2018 à 13:54, par Yirmegna En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Je ne sais pas de quel parti vous êtes mais vos plaintes ont des connotations regionalistes.
    Si le gouvernement aussi a décidé de suivre l’investisseur que les interêts du pays c’est dommage. Un investisseur doit suivre nos intérêts de court ou moyen terme sinon il DOIT continuer ailleurs. Les bobolais peuvent se deplacer s’ils le veulent.

  • Le 12 février 2018 à 13:59, par Walaka En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Les débats sont lancés, mais il convient d’être le plus objectif possible. Ouagadougou en tant que telle est saturée et dépassée du point de vue de l’implantation d’infrastructure du genre. La surpopulation due à la concentration exagérée déjà des structures (), pendant que les infrastructures telles les routes, le transport, la desserte en eau, etc. ne suivent pas, ajoutée à l’éloignement de la matière première ne sont pas des gages de durabilité.
    L’on devrait penser à un décongestionnement des pôles de concentration de la population, que les pôles de croissance soient reparties à travers le pays, à ce rythme, Ouagadougou va s’asphyxier un jour ...

  • Le 12 février 2018 à 14:01, par Tengbiiga En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Monsieur Moussa Zerbo, vous devez etre un député national, même si vous êtes un élu des Hauts Bassins. Evitez ce genre d’attitude opportuniste et anti-nationale. Je ne suis pas de Koudougou ni meme du plateau central et j’adore Bobo. Mais je pense que Koudougou est la meilleure place pour cette usine textile. Les Bobolais sont des gens honnetes et ne vous suivront pas.

    Avec meilleures salutations.

    • Le 12 février 2018 à 17:23, par Amin dada En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

      Salut. Frère. Désolé pour vous mais je pense que le Député Zerbo fait une analyse objective. Et félicitations à lui pour la clairvoyance dans ses idées. Revenant à Koudougou, je n’ai rien contre cette ville. Mais elle ne serait pas du tout l’emplacement idéale pour cette usine car n’etant pas une zone productrice de coton. Il faudrait plutôt oeuvrer à la réouverture de l’usine fasofani.

      • Le 13 février 2018 à 15:28, par Tagsda En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

        Frère Amin dada, vraiment désole,moi je ne suis dans aucun parti politique et je ne sais pas si vous êtes du même parti mais, il n’y a pas de mal dans ça aussi,franchement je panse que la réaction de l’Honorable,loin de renfoncer l’unité divise encore les fils d’un même pays. On est libre de s’exprimer mai déjà qu’il y a des problèmes avec la sortie des notables de Koudougou,pourquoi en rajouter si ce n’est de diviser encore plus,ou bien pour lui il relègue en second plan la raquette des notables. ça c’est de la récupération a des fins politiques et pire,par la pression,pour preuve,la pétition dont il parle. ce comportement c’est la politique de "si moi je gagne pas que ça ce gate"(le peuhl lépreux). j’ai de l’estime pour ce Mr mais sur ce coût,il s’inscrit dans la logique de la division car si son argumentaire est acceptable(ce qui peut être démonté par d’autres faits),il cache mal son intention de corser encore le problème pour le régime et ça,ça ne fait pas Burkinabè. De toutes les façon c’est le Burkina qui gagne,ou bien vous n’êtes pas dans la logique du Burkina QUI gagne ??!!!

        • Le 13 février 2018 à 21:17, par Amin dada En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

          Salut. Je comprends votre argumentaire. Au finish nous avons les mêmes voeux : q
          ue le Burkina se construit et se développe dans la paix et la cohésion sociale et que tous les fils du pays en bénéficie. Merci. Amicalement

      • Le 13 février 2018 à 21:34, par Zola En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

        Ce député et tous ceux qui agissent comme lui feront beaucoup de mal à bobo, aux bobolais et même au Burkina tout entier. Ce sont des populistes dont le seul agenda est de se servir de la crédulité des crédules pour tirer leurs épingles du jeu. La vérité qu’il faut dire aux burkinabè est que personne ne viendra faire notre bonheur à notre place. Les turcs auraient pu ne pas venir avec leur usine et nous serions là avec nos multiples problèmes si nous ne cherchons pas à les résoudre par nous même. Le business ne s’embarrasse pas de considérations sentimentalistes ni ethno-régionalistes.
        Pour preuve, lisez : Akon : « Pourquoi je préfère m’investir au Nigéria plutôt qu’au Sénégal » "Sur le plan continental, la musique sénégalaise peine véritablement à sortir la tête de l’eau, et peine à s’imposer en Afrique par exemple. Un continent dominé, et de loin, par le Nigéria. Expliquant ce retard lorsqu’il lançait la plateforme Musik Bi, l’artiste interplanétaire Akon ne s’était pas montré tendre et avait fait une analyse crue de la situation. « En plus de son rythme difficile à danser, il y a le wolof qui n’est pas une langue très populaire alors qu’au Nigéria les artistes chantent avec la langue anglaise qui est une langue internationale ou les messages sont faciles à véhiculer », disait-il. Avant d’expliquer : « pour s’imposer dans la musique au niveau international, il faut souvent chanter en utilisant l’anglais. C’est la raison pour laquelle je préfère m’investir au Nigeria plutôt qu’au Sénégal ».
        On peut ne pas être d’accord avec Akon, mais il a fait son choix et des députés sénégalais n’ont pas lancé de pétition pour l’obliger à changer de position.
        Ce serait trop facile pour un député de se transformer en agitateur politique en lieu et place de son rôle plus utile d’éveilleur honnête et des consciences.

  • Le 12 février 2018 à 14:05, par Le Professeur En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Il ya des fibres sur les quelles tout politicien avisé devrait éviter d’actionner : celles du régionalisme, de l’ethnicisme etc... La hargne de conquérir le pouvoir ne doit pas voiler les conséquences non maîtrisables que des agissements sur des terrains suffisamment sensibles peuvent occasionner au détriment des populations. Le grand but de la politique, c’est de travailler au bonheur des populations. Or, en créant des rivalités entre les régions telles que vous entreprenez de le faire, vous mettrez à mal cette paisible cohabitation que ces populations partagent depuis des décennies. Dans cette logique, il ne vous restera qu’à exiger que même le gouvernement s’implante à Bobo. Fort heureusement, les populations Burkinabè sont mâtures.

    • Le 12 février 2018 à 14:42, par Un fils de Solenzo En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

      Et pourtant la capitale politique originelle de la primitive Haute-Volta n’etait point Ouaga. Ce sont les politiciens, Feodaux et valets locaux du colons qui ont fait amener la capitale politique à Ouaga. Sinon que la capitale était Dedougou. Remontez l’histoire de notre pays et vous comprendrez mieux les choses. Pour votre information, Ouagadougou est la seule capitale au monde qui n’est pas traversée par un fleuve/lagune/mer, en tout cas de l’eau en abondance. Rectifions nos erreurs du passé pour le bonheur des générations futures.

      • Le 12 février 2018 à 22:18, par Passakziri En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

        Ou est le problème ? retournes alors vivre dans ce temps ou Dedougou était la capitale . Vous commencez à en faire trop . La souffrance des populations ne concernent pas seulement Bobo ou l’ouest ou le nord. Au lieu de pleurnicher , demandez vous ce que Bobo a eu à proposer aux investisseurs pour ne pas reussir à les convaincre. peut-être que les politiciens locaux manquent vendent mal la ville ou que sais-je ? Quand vous comprendrez que dans cette mondialisation il n’ya pas de place pour le sentimentalisme enfantin, vous allez commencer à monter des strategies qui attireront les investisseurs. Yaa ya boin ?

        Passakziri

        • Le 13 février 2018 à 11:12, par Un fils de Solenzo En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

          Justement le problème est que c’est cette bêtise lointaine qui nous retarde et fait que vous et moi sommes entrain de pleurnicher aujourd’hui. Aussi ce n’est pas de la responsabilité des ressortissants de l’Ouest de mettre des stratégies pour attirer les investisseurs. C’est de la responsabilité du gouvernement et de la Chambre de Commerce. Lorsqu’il s’est agit de faire la promotion des ressources minières du pays est ce qu’on a demandé que ce soit fait par les ressortissants des zones minières. Nous disons que nos Leaders devraient penser autrement que ce qu’ils nous démontrent aujourd’hui car notre pays n’a pas d’avenir dans de telles pratiques. Au lieu d’aller loin, prenons l’exemple sur la façon de faire de Sankara. Sous la Révolution Sankara savait que les diversités culturelles et socio-économiques des siens recommandaient la décentralisation des activités nationales.

          • Le 13 février 2018 à 17:06, par Passakziri En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

            Vous trouverez la reponse de vos plaintes dans vos propres affirmations. Si les ressortissants de l’ouest ne voient nulle part leur responsabilité pour leur developpement local et attendent tout de l’Etat et de la chambre de commerce, vous allez attendre plus d’un millénaire. Personellement j’en ai marre, d’entendre ces révendications régionalistes, qu’elle vienne de Koudougou ou de Bobo. Même si ca venait de mon village je n’aurais pas cautioné . Trop c’est trop.

            Passakziri

      • Le 14 février 2018 à 06:43, par Sonia En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

        Désolée mon cher fils (LOL)....
        Seule au monde sana cours d’eau fait de Ouagadougou une capitale originale, vous ne trouvez pas ?
        Je vous suggère de bien revoir vos notes de géo sciences ou de géographie économique. Vous nous reviendrez sûrement ici avec un post erratum.
        En outre, un cours d’eau qui traverse une localité, c’est bien ; mais ce n’est pas toujours un gage de prospérité. Le facteur déterminant en la matière s’appuie sur bien d’autres leviers parmis lesquel l’ingéniosité. Bamako et Niamey ne sont pas New-York et Tokyo.
        Bobo, la belle citée de Sya n’est pas Paris.... en dépit des cours d’eau....

        Cordialement.

        Sonia.

  • Le 12 février 2018 à 14:20, par L’Ogust En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Un proverbe de chez nous dit que ce que tu ne veux pas prendre parce que donné
    avec la main gauche, tu le prendras à terre. Cet investisseur peut très bien aller
    implanter son usine au Mali qui produit autant de coton que le Burkina. J’ai mon argent,
    je veux créer une usine, je l’implante sur la lune si ça ma chante.
    Monsieur ZERBO Moussa nous dit que l’Etat burkinabè détient 45% des actions.Donc
    Ayka Textile est l’actionnaire majoritaire et sa volonté compte.
    C’est connu l’argent n’aime pas le bruit. Monsieur ZERBO Moussa, si vos excitations
    et gesticulations font fuir l’investisseur turc, on verra qui aura gagné. Le Mali attend
    Ayka Textile à bras ouverts même si l’usine sera implanter à Kidal.Nos producteurs
    contourneront la SOFITEX pour vendre leur coton au Mali.
    Monsieur ZERBO Moussa, vous qui dites que c’est une question de bon sens, vous
    qui avez plus de bon sens que le Président Yusuf Aydeniz, qu’avez -vous implanté
    à Bobo Dioulasso ?
    Et puis question : pourquoi, malgré toutes les potentialités, et supposés avantages,
    les usines implantées à Bobo Dioulasso meurent ou agonisent ?

  • Le 12 février 2018 à 14:21, par skiter En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Si c’est l’actionnaire majoritaire qui décide, l’Etat peut faire quoi ?de plus en plus les gens ont des relents regionalistes.Jusqu’ici savez vous où va le "fameux coton de Bobo" ?Ce qui est sûr ça reste pas à Ouaga !!!Cela n’est pas un problème.Mais dès qu’on dit que ça va aller dans autre localité, voilà problème.
    Mais plus sérieusement, donc les Burkinabè tous ensemble ne peuvent pas trouver 200milliadrs pour créer une usine en faisant des souscriptions sous forme d’actions quoi ?

    • Le 12 février 2018 à 14:57, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

      - skiter tu ne comprends rien en Économie Politique !! Le Burkina Faso est un État souverain et si l’État est vraiment un État responsable, qu’il n’y a pas des politiciens et des chefs traditionnels véreux et régionalistes qui veulent que tout soit à Ouaga, alors l’État souverain et responsable du Burkina devrait être en mesure de dire à tes actionnaires majoritaires : ’’Nous ne partageons pas votre avis sur le choix de l’implantation de cette usine. Et plusieurs facteurs sont à notre avis défavorables : insiffisance d’eau, faible production de la matière 1ère coton qui va augmenter les coûts de production, etc. Notre choix est Bobo-Dioulasso et en tout cas à l’Ouest en général. Chers partenaires c’est à prendre ou à laisser pour une question de stratégie économique. Nous vous remercions’’. voilà ce que des responsables devraient dire sans sourciller !

      Par Kôrô yamyélé

      • Le 13 février 2018 à 09:01, par Jonassan En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

        ... pas une question de STRATEGIE ECONOMIQUE... çà, celui qui apporte ses milliards le connaît mieux que toi, mon ami Kôrô. C’est une question de COMPLEXE REGIONALE et çà, je ne sais pas s’il ne faut pas laisser tomber çà dans un contexte mondial ou ECONOMIQUE dans lequel seule la rentabilité exprimée par l’apporteur de capitaux est primordiale.
        Et mieux que tu le dis, au marché, il n’y a pas que le demandeur qui peut crier C’EST A CE PRIX SINON JE LAISSE, l’offreur aussi peut crier C’EST A PRENDRE OU A LAISSER. Et tous les économistes savent quel sera le résultat de l’échange = le prix va s’équilibrer ou le marché va fermer. Et si le marché ferme, l’offreur peut garder sa marchandise (son argent) et le demandeur reste SANS RIEN et peut aller pleurer devant sa grand-mère. En raisonnant à l’absurde, on peut dire que le Mali est un bon producteur de coton et aller implanter l’usine là-bas aussi et cela profitera également au coton burkinabé ou bien au coton bobolais devrais-je dire ? RAISONNONS, S.V.P.

        • Le 13 février 2018 à 10:17, par SOME En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

          Voil le genre de raisonnement plus que absurde qui a tué la haute volta jusqu’a aujourd’hui Le koro yamyele a voulu t’ouvrir la tete tu n’y a rien compris ! ce que tu lui reponds est atterant !
          SOME

          • Le 13 février 2018 à 14:05, par Jonassan En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

            Mon ami SOME, tu m’as bien lu ? Pendant que tu t’adonnes à ton égo, moi je parle d’économie, de demande et d’offre et du comportement du prix sur un marché et toi, tu dis .... c’est ce genre de raisonnement.... Quels arguments ou quel raisonnement trouveras-tu contre la science économique ? Le comportement de l’investisseur rationnel n’a rien à voir avec tes visées subjectives et primitives de répartition des ENDROITS où construire des usines. C’est ainsi qu’ont raisonné nos premiers dirigeants africains. Chacun voulait des usines chez lui, depuis-là, c’est le tatonnement et la déperdition de capitaux et nous voilà aujourd’hui. Continuez à faire confiance à vos égo et le pays restera là où il est sinon plus bas que tu l’as trouvé.
            Economiquement tu as déjà entendu ce genre de raisonnement selon lequel il faut répartir les usines équitablement sur l’étendue d’un pays pour assurer son développement ? C’est quelle nouvelle thérie économique que les chercheurs ont oublié que vous venez de découvrir ?

            • Le 13 février 2018 à 18:11, par yekatoi En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

              Merci Jonassan, victimes trop longtemps de sorciers sur lefaso.net. Ton raisonnement est clair, coherent mais bon, les simples d’esprits emprunteront toujours la courte echelles. mais on a tout compris.

            • Le 13 février 2018 à 21:41, par Noumea En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

              Merci d’apporter un peu de rationnel à ce débat insensé. Le reproche que l’on peut faire à nos politiques, y compris à Monsieur ZERBO, c’est peut être l’absence d’une stratégie industrielle, avec par exemples des Zones Economiques Spéciales (modèle qui semble marcher en Ethiopie), offrant des infrastructures et peut être des incitations fiscales, susceptibles d’attirer des investisseurs. Mais ce débat et ce combat, Monsieur ZERBO doit le mener à l’AN, dans la sphère politique. Résumer ce débat politique au choix d’investisseurs, au point de lancer une pétition, est un non sens et une atteinte à la liberté des gens d’entreprendre, de se tromper, et de recommencer.

            • Le 14 février 2018 à 15:37, par SAA En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

              Cher Jonassan, vous n’avez toujours pas compris que le député plaignant (UPC), les internautes SOME, kôrô yamyélé et autres n’ont rien à comprendre du développement du Burkina initié par le MPP ?
              Tous ce que le MPP fera n’est pas bien et ne sera jamais bien pour eux. Passez à autre chose sans ces gens.
              revisitez les propos d’un des députés frondeur de l’UPC (l’honorable Charles LONA OUATTARA) sur surface de vérité concernant le bitumage de la route Léraba frontière du Mali et vous serez édifié du comportement de certains députés dite de l’opposition qui ne pensent qu’à leur élection. Je ne suis pas étonné des propos de ce député car pour eux, la conquête de l’électorat passe par le sabotage des projets de développement impulsé par le MPP.
              Et dire que c’est un projet privé qui fait craquer la toile. imaginez si ce projet venait du Gouvernement. C’est tout le CEFOP qui allait descendre dans la rue.

  • Le 12 février 2018 à 14:21, par rakiswendé En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Le débat sur le lieu de l’implantation de la future usine de textile est marqué par la pathétique interpellation des chefs coutumiers de Koudougou, lieu d’implantation de l’ex FASO FANI qui a longtemps fait la fierté du Burkina dans le domaine de la transformation de son coton. Il me paraissait important pour un député, représentant national du peuple, de partager un tel cri de cœur au nom du bon sens. Aussi suis-je abasourdi par cette sortie médiatique de cet honorable député. La sagesse nous enseigne que « A défaut d’arranger, ayons la crainte divine de ne pas gâter ».

  • Le 12 février 2018 à 14:22, par YAAM SOBA En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Pourquoi certains internautes racontent des inepties sur l’interpellation du député Zerbo ? Est-ce que ce qu’il a dit c’est faux ? Bobo est la capitale économique du Burkina et en plus il serait judicieux d’implanter l’usine là-bas, parce que les coûts de transport de la matère première sera réduit. Quittez dans ce faux débat de récupération politique ou de régionalisme. A Bobo il y’a toutes les ethnies qui y vivent en harmonie. Soutien total à Moussa Zerbo pour son noble engagement au service du développement.

  • Le 12 février 2018 à 14:34, par Nikiema En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Bonne analyse. La solution à mon avis ne peut venir que des bobolais eux même. Tant que la population ne va pas choisir des dirigeants responsables et soucieux du développement de la ville on marchera à reculon.

  • Le 12 février 2018 à 14:37, par Juste Juste En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Les décideurs burkinabè doivent œuvrer à ce qu’aucune localité du pays ne donne de la voix parce qu’elle se sent lésée dans le schéma national de développement}

    .

  • Le 12 février 2018 à 14:41, par Souviens toi En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    La façon irresponsable d’appréhender le développement national a bien failli conduire le pays vers des lendemains incertains. Dès les années 2000, des divergences ont apparu à cet effet entre les bonzes du régime déchu. L’ex-sherpa du boss Blaise Compaoré, ex-serviteur dévoué et zélé, l’ex-tout puissant ministre du développement rural (Agriculture-Hydraulique-Ressources halieutiques) en sait quelque chose. Il a eu chaud quand il s’est présenté à l’hémicycle pour défendre le financement et la mise en œuvre du Programme d’investissement communautaire en fertilité agricole (PICOFA). Une vingtaine de députés de la majorité, de la mouvance et de l’opposition n’a pas raté l’occasion de demander au gouvernement de Paramanga Ernest Yonli de faire beaucoup attention sur le choix des localités bénéficiaires des projets et programmes de développement. « Nous remarquons avec amertume que la plupart de vos actions sont orientées vers les régions du Nord et de l’Est. Sur quoi, ces choix reposent-ils ? Est-ce parce que ce sont les zones d’origine du chef du gouvernement et de son ministre de l’agriculture ? Sachez que le Burkina Faso ne se limite pas à ces deux régions-là. Elles sont plusieurs qui espèrent être prises compte », se sont indignés les élus nationaux. La mauvaise répartition des richesses d’un pays couplée aux choix injustes de la mise en œuvre des projets et programmes de développement est le terreau des révoltes.
    C’est là que surviennent les vieux démons. La discrimination « négative » entretient les étincelles alimentant les grands feux des guerres civiles, régionales, ethniques. Ce sont les alibis des tragédies ivoirienne, soudanaise, …

  • Le 12 février 2018 à 14:54, par Citoyen du Burkina Faso En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Je remercie d’abord honorable Moussa Zerbo pour son analyse très pertinente sur la situation à Bobo-Dioulasso. Je ne suis pas d’accord avec ceux qui traitent le député Zerbo de régionaliste. C’est une conclusion malsaine. Le retard de cette ville est belle et bien une volonté politique nationale et il est temps d’arrêter cela sinon cela sera à l’origine des tensions sociales. Je le dis et je le réaffirme. Il faut redonner à la ville sa vraie place de capitale économique (pas une capitale économique sur papier) en soutenant les industries installées (évitons de délocaliser les industries ailleurs). Même en politique, l’ancien régime (le CDP de Blaise COMPAORE) a toujours mis des fils de Bobo-Dioulasso incontestablement incapables de diriger la ville. Ces gens là sont des valets locaux des politiciens ouagalais qui défendent seulement leur tube digestif et non l’intérêt de la ville. A mon avis, ceci est très logique car ce sont de parvenus et arrivistes. On peut citer le cas du maire Salia Sanou qui n’avait la bagatelle nécessaire pour conduire la destinée de cette belle ville et cela arrangeait les politiciens qui l’avaient placé pour le manipuler à dessein. Il est temps que nous les bobolais (je parle de ceux qui habitent à Bobo-Dioulasso sans distinction ethnique ) prenions nos responsabilités pour mettre l’homme qu’il faut à la place qu’il faut. L’état doit penser à l’intérêt général du peuple burkinabè en utilisant toutes les potentialités de toutes ses régions sans parti pris. Cela permettra un développement harmonieux de ce beau pays qui a des hommes valables et intègres. L’occasion est bien venue pour relancer le pays : asseoir une bonne gouvernance, soigner l’école car depuis un certain temps, elle est malade, renforcer les infrastructures de santé, moderniser l’agriculture,.....Pour l’épanouissement de notre chère patrie, en avant. La patrie ou la mort, nous vaincrons.

    • Le 12 février 2018 à 16:54, par Ka En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

      Le citoyen du Burkina Faso, Je souscris entièrement ton analyse pertinente mais réelle et limpide. Quand l’incapacité frappe à la porte de ceux qui se disent grand, il jette l’anathème sur leur entourage. C’est le principe qu’enseigne ‘’’’Machiavel dans le Prince.’’’’ Je suis désolé pour Moussa Zerbo, quand on est un député national honnête et respectueux, on s’abstient d’écrire sur des sujets où on est incompétent et même totalement ignare.

      Citer toutes les entreprises en faillites dans notre ville dite mortellement économique à cause des politiques de pacotille comme Salia Sanou, Koussoubé et consorts, aucun investisseur même de nationalité Burkinabé ne s’aventurera à investir sur ce terrain, si toutes ces punaises ne sont pas balayées du terrain.

      Le client est roi même avec un centime en poche pour faire avancer le Burkina, mais se jeter dans la gueule du loup avec des politiques au gosiers larges qui ne pensent qu’a leurs intérêts au lieu du développement de la région malgré ses opportunités, ceux-ci font peur aux investisseurs bien informés.

      Ce projet a été concocté plus d’une année entre investisseur et l’état, et le choix de l’investisseur l’a emporté a cause des raisons que Moussa Zerbo a invoqué, ‘’’’le manque de sérieux et du soudure des politiques de la région qui se terminent dans ‘’’le laissé aller.’’’ BOBO récolte de nos jours les mauvaises semences de ses politiques de pacotille comme Salia Sanou et consorts.

      • Le 12 février 2018 à 17:55, par verité no1 En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

        Merci au vieux Ka pour la pertinence de votre analyse. Continuez à éclairer la jeunesse avec votre sagesse.
        Le propriétaire a décider d"implanter son usine à Ouaga et les régionalistes de carrière veulent forcer les choses !

      • Le 13 février 2018 à 10:38, par SOME En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

        oui mon ami ka Bobo recolte les résultats de l’incurie de ses dirigeants des années passées mais il appartient aux autorités de la hierarchie superieure, au gouvernement actuel de redresser la barre lorsque l’on veut travailler pour toutes les populations d’un pour le pays tout entier. On ne doit pas continuer la aggraver la situation. C’est cela la justice sociale et creer un esprit d’etat nation. or le comportement de ces gens au pouvoir me decoivent de plus en plus et montrent que plus que jamais j’avais raison de ne pas les avoir soutenus des le depart. Je suis plus que decu par Roch. Il se revele non seulement un incompetent mais aussi un tribaliste aussi ?
        SOME

    • Le 13 février 2018 à 10:30, par SOME En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

      Merci mon frere tu as fait une analyse tres pertinente. J’avais fait une intervention qui malheureusement n’a aps été publiée sur cette situation de bobo : la msiere miserble qui est tombée sur bobo ne vient que de la misere morale des fils et filles de bobo qui ont accepté jouer sur le tribalisme de blaise et se faire utiliser par Blaise pour tuer la region. N’eut été les interventions de Mgr Sanou ca aurait ete pire encore
      SOME

  • Le 12 février 2018 à 14:54, par Marie En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Une approche objective des strategies de developpements socio-economiques adoptees par les gouvernements successifs ne peut que partager votre cri de coeur. Ce n’est pas seulement Bobo, ce sont les autres regions et surtout le Grand Ouest (et tant pis pour ceux du plateau central qui vont crier haro sur le regionalisme de l’Ouest. C’est parce qu’ils ont toujours ete les premiers et les mieux servis). Le Burkina Faso n’est pas seulement fait de Ouagadougou et du Plateau Mossi. Et il est grand temps que les autres regions pendant longtemps delaissees ou oubliees se reveillent et fassent voix commune.
    Cependant il convient de rester objectif et de rappeler aux Bobolais et a leurs autorites qu’ils doivent faire un enorme travail d’ouverture... N’est-ce pas a Bobo qu’une societe de cimenterie peine a trouver un site pour implanter son usine ? N’est-ce pas a Bobo qu’un elu, selon ce qui est rapporte par la presse, disait qu’il n’y a pas de place pour construire un 2eme hopital ? Et pourtant Bobo est de loin moins congestionnee que Ouagadougou et il y a beaucoup d’espace. Le probleme ? entre autres bien sur, la tradition et les chefs coutumiers que de nos jours les politiciens iniques caressent dans le sens du poil pour avoir le soutien electoral. Du coup, on n’ose pas froisser une decision de chefferie meme quand elle handicape un plan de developpement socio-economique. J’en ai fait personnellement l’experience il y a environ 4 ans. J’ai fait verser une avance sur un terrain de 25 hectares dans un village situe a moins d’une vingtaine de kilometres de Bobo avec pour objectif d’y implanter un centre scolaire et universitaire offrant une formation de la 6eme au doctorat, un internat et un centre de rencontres et de formations. Le site etait borne et exploite par un mossi qui y cultivait du mais et d’autres cereales. Il avait decide de le vendre et l’offre etait interessante pour moi. A mesure des discussions, nous avions demande un papier apres l’autre. Le pauvre proprietaire peinait a fournir les documents basics qui donneraient de la transparence sur le titre de propriete. Nos demarches a la mairie n’avaient rien donne, bien au contraire, on relevait une certaine reticence chez les employes qui n’etaient nullement enclins a nous aider a mettre les choses en ordre pour conclure l’achat.
    C’est alors qu’un ressortisant de ce village, une personne que nous avions deja employee sur un de nos chantiers, mis au courant de nos demarches, m’avait contactee pour conseiller l’abandon de la procedure d’acquisition du site car ce serait selon lui peine perdue. Il confiait alors que la mairie ne delivrera aucun document donnant titre de propriete dans la zone parce que le chef de village le leur interdisait. Apparemment, le chef de Village aurait enjoint aux autochtones de ne jamais vendre de terrain a des hallogenes. Cependant certains autochtones ont continue a vendre des terrains. Ne pouvant rien faire contre eux, le chef de village s’est tourne vers la Mairie avec beaucoup plus d’efficacite ; il leur a interdi de delivrer tout document donnant titre de propriete a un non autochtone. Ainsi dans cette localite un autochtone peut bien ceder son terrain contre argent a qui il veut. Mais si tel acquerreur est un non autochtone, la marie ne validera pas l’acquisition et ne delivrera aucun document officiel. Quand on s’en etonne, ils repondent qu’un terrain peut etre prete pour exploitation agricole et non pour possession. Apres deux mois perdus, nous avions du reclamer l’avance versee au proprietaire du site. La petite histoire est que le pauvre avait deja commence a grignoter la dedans et avait du demander 15 mois de delai pour rembourser. Et ou en est-on de l’idee de ce centre educatif ? Well, toujours le statu quo. L’implanter a Ouaga ? No no no. A Banfora ou a Gaoua ? Trop a l’Ouest. Bobo etait un choix parfait. Mais helas !
    Sinon, joli bazin, Mr. l’Elu ! qui a dit que les Burkinabes rament ? Seulement certains burkinabe rament. D’autres ont des bazins riches. La difference est de taille.

  • Le 12 février 2018 à 14:54, par Song Naaba En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Si ces questions se discutent aujourd’hui, c’est parce que les projets sont mal repartis sur l’ensemble du territoire national. il n’y a pas longtemps, des concitoyens se sont vus refusés d’implanter leurs projets négociés avec des investisseurs pour diminuer la souffrance de leurs localités.Parfois on oblige certaines bonnes volontés à investir dans des zones dont ils ne souhaitaient pas. si on doit faire le recapitulatif des projets depuis un certain temps, on trouvera que certaines zones ont beneficié plus que d’autres. aujourd’hui tout le monde veut la rationnalité car il n’y a pas sous-burkinabè ou des territoires d’outre mer. ailleurs, il y a un plan de developpement du pays mais au Burkina tout est politique. des projets ont ete finalisés sur papier au grand dam des populations de certaines zones. ce sont des attitudes à bannir et surtout lorsqu’il implique des cadres de hauts niveau. les promesses sont faites pendant les campagnes electorales et lorsqu’on passe cette périod, on oublie les promesses.
    .

  • Le 12 février 2018 à 14:56, par BONJOUR En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    L’analyse du député est pertinente. Faso fani était installée à Koudougou, car à cette époque, la zone de Koudougou était le principal bassin cotonnier du pays.
    Bobo a la matière première, un port sec, le train qui relie le pays au port d’Abidjan. Pensez vous que cette usine produira seulement pour le pays ? Si c’est le cas, elle verra le même sort que Faso fani.
    Et ouaga est si saturée qu’on ne peut même plus dégager des parcelles d’habitation.
    Le régionalisme consiste justement pour les hommes politiques à faire de la politique politicienne...en voulant tout mettre autour de soi.
    On a vu l’aéroport qui devait être implanté vers Bingo, au carrefour des grandes villes du pays, et qui subitement s’est retrouvé sur la route de Ziniaré.

  • Le 12 février 2018 à 14:57, par Papou En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Belle sortie de l’honorable député. Que Dieu vous bénisse Moussa. On n’arrive vraiment pas à comprendre cette myopie de nos dirigeants. A croire aussi que le conseil présidentiel pour l’investissement ou quoi d’autre ne joue pas son rôle ne guide pas les investisseurs.
    Même si les produits finis quittent le pays par les airs, Bobo a un aéroport. Autant l’investisseur est prêt à installer une centrale pour soutenir ses besoins, autant l’état pouvait aussi mettre à niveau l’aéroport de Bobo-Dioulasso pour les besoins d’AYKA textile.
    Nous attendons la pétition pour la signer.

  • Le 12 février 2018 à 15:00, par YAAM SOBA En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Internaute n°9, s’il vous plait ne déformez pas l’analyse de l’honorable Zerbo. loin d’un esprit régionnaliste, son diagnostic est poignant et interpellateur. Il a présenté à nu les réalités que vivent les habitants de la ville. Je suis MOAGA, je vis à Bobo MAIS JE SUIS CONTRE LA POLITIQUE DEVELOPPEE DEPUIS OUAGA POUR CONDUIRE BOBO. En dehors du forum, vous pouvez me contacter au 78 78 63 84. Ne plaisantons pas avec la situation socio économique de Bobo.

  • Le 12 février 2018 à 15:04, par Allons Seulement En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    C’est dommage pour BOBO qui était le poumon exemplaire du développement des villes de notre pays, mais les 27 ans d’un régime dit un régime par favoritisme, Bobo a été défavorisé par l’égoïsme de ces responsables municipaux qui ne pensaient qu’a soutenir un individu et son régime surtout de leur gosier en oubliant le développement de la ville historique, fierté du pays des hommes intègre par son histoire et ses continuités coutumière panasse du tourisme de haut en couleur appréciés par les Sudistes et les Nordistes. Je félicite les jeunes de Bobo et de Koudougou sanctionnés par le manque d’embauche, l’ignorance de leurs responsables communaux, et l’histoire des militaires récalcitrants. Le problème ne vient pas de la jeunesse ni les efforts des bobolais en générale, mais du régime qui choisit des responsables communaux dont il manipule a sa guise en oubliant le peuple. Moussa Zerbo je valide ta réflexion ! Vivement que le gouvernement lise ça pour comprendre !

  • Le 12 février 2018 à 15:07, par Assane En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Cette unième inconséquence de notre gouvernement n’est pas acceptable. Je ne sais pas quelle vision du développement ces gas ont ! Savent-ils que chaque région a une spécificité, et qu’il faut orienter les projets en fonction des potentialités des régions. Continuez vous risquez de vous réveiller alors qu’il est trop tard. Le grand ouest ne continuera pas à être comme une cuillère dont on ne serve qu’au besoin. *NINA PUKAMI*

  • Le 12 février 2018 à 15:14, par YAMITIORE En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Bonsoir honorable je viens de vous lire sur faso.net je crois que cette petition sera la bien venue dans le milieu universitaire, scolaire, dans le secteur informel, des commerçants, cultivateurs, fonctionnaires Mobilisons nous pour barrer la route à ces idées régionalistes qui consistent à tout ramener à Ouaga Tout le grand ouest doit réfuser cette forfaiture Si l’usine n’est pas implantée ici nous n’allons pas cultiver le coton
    Envoyer vite honorable cette pétition Publiée la dans faso.net dans les différents médias
    Moi je suis à 100%100 sur que ce sont nos soit disant autorités qui ont donné le site d’implantation de l’usine Pas l’investisseur Ne soyons pas régionalistes Chers Mr de la capitale

    • Le 12 février 2018 à 19:44, par yiem yam En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

      Mr YAMITIORE,
      Arrêtez votre Histoire de grand ouest,grand ouest....." Tout le grand ouest doit refuser cette forfaiture Si l’usine n’est pas implantée ici". Je ne suis pas de l’ouest mais, je partage les arguments du Député. Il a argumenté intelligemment et vous ramenez ses idées vers le régionalisme pour exclure le soutien de certains burkinabés d’autres régions. Grand ouest, et ou est le petit ouest ? quand vous êtes à court d’idée vous faites appel au régionalisme. Merci, soutien et courage au Député pour ses arguments. L’usine peut s’implanter partout au Burkina mais c’est l’argument de l’état pour le site de Ouagadougou qui n’est pas convainquant.

  • Le 12 février 2018 à 15:28, par kone S. En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Chers frères et sœurs, il ne faut surtout pas voir le côté politique de la chose mais le côté économique et durable qui peut profiter à toute la population burkinabè par la création d’emploi et autres - la sortie de l’honorable député ZERBO n’est pas du régionalisme - si vous jugez son intervention dans ce sens, ça peut donner un autre visage à la chose or sa préoccupation est loin de ce que certains pensent. Soyons positifs avec un esprit constructif et ensemble nous pourrons apporter notre pierre au développement de notre chère patrie.
    Toutes les zones cotonnières sont propices à l’implantation de cette usine mais l’investisseur ne voit pas dans ce sens - Si nous arrivons à bien argumenter nos propos c’est possible que l’investisseur change de décision -

  • Le 12 février 2018 à 15:34, par Sidpawalemdé Sebgo En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Ah ba... Avec des déclarations du genre "si l’investisseur ne veut pas se plier qu’il continue ailleurs", vous n’allez pas avoir beaucoup d’investisseurs étrangers au Faso hein... Déjà qu’avec notre électricité, notre eau et notre carburant trop chers ont a mal à les attirer...

    Est-il besoin de dire que si depuis 58 ans on n’a pas d’autre usine textile que celle (éternelle ressuscitée) de koudougou, il y a des raisons ? Il faut investir des milliards (que nous n’avons pas), avoir un savoir-faire (que nous avons peu), avoir des filières d’écoulement (que nous n’avons pas assez) et surtout avoir un coût de revient compétitif. L’usine de Koudougou vivote parce que cela revient moins cher de commander ses pagnes ailleurs (Chine, Maroc, Tunisie, Maurice) que sur place. Si l’investisseur a calculé que malgré le transport de la matière première à Ouaga, c’est cette implantation qui lui garantit le meilleur coût de revient tout compris, ce ne sont pas des manifestations politico-régionalistes qui vont le faire changer d’avis. Mieux, on a du lui faire la cour pour le faire venir car les pays côtiers voisins sont plus compétitifs à tous les niveaux.

    M. le député devrait le savoir, une pétition a pour but de déclencher le vote d’une loi à l’assemblée nationale, pas de diriger les choix stratégiques d’une entreprise mixte à financement extérieur ! Tout ce que vous allez gagner avec une pétition ou des marches, c’est de faire capoter le projet si l’investisseur estime qu’il y a un risque politique à investir ici, et faire perdre au pays 12.000 emplois potentiels ! Et là, on vous demandera des comptes... Comprenez que ces turcs ne viennent pas faire du développement, et particulièrement celui de Bobo en lieu et place des Burkinabè et des Bobolais, encore moins du social mais du business. Vouloir lui imposer des choix qui nuisent à la rentabilité de son projet revient à le chasser et à renoncer au projet. Entre 12.000 emplois basés à Ouaga ou zéro emplois basés à Bobo ou ailleurs, le choix est simple.

    Quand à l’influence de l’état, il faut savoir qu’il ne gagne rien à faire fuir les investisseurs alors qu’il fait le tour du monde pour les attirer. Et quand on parle de parts de l’état dans la société, ce n’est généralement pas du liquide mais des apports du genre terrain, crédits d’impôts, etc... Dans tous les cas un actionnaire ne gagne pas à faire couler l’entreprise avant même son ouverture !

    Rassurez vous, si la politique annoncée par le Président et son gouvernement est bien menée, d’autres entreprises et unités viendront, dont certaines comme l’usine de ciment vont préférer Bobo. Et en tant que députés, vos missions à l’étranger peuvent contribuer à faire venir des investisseurs à Bobo ou ailleurs. Activez vous donc dans la "diplomatie parlementaire de développement" au lieu de vouloir torpiller les initiatives des autres... Évitons de se disputer un os jusqu’au tombeau...

  • Le 12 février 2018 à 15:35, par Marie Sabine Dipama En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Merci honorable Zerbo Moussa pour l’écrit. Les burkinabé vont toujours souffrir. Je reste convaincue qu’une personne ne veut dire la vérité dans ce pays. Aujourd’hui dire que c’est mieux d’implanter une usine de transformation du coton à Bobo est jugé régionalisme, et pendant la campagne en 2015, quels propos le MPP n’a pas tenu à l’égard de Zeph ? Bobo Dioulasso c’est maintenant ou jamais. Celui qui dort c’est pour lui qui d’en va !!!!

  • Le 12 février 2018 à 15:37, par TRAORE En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Ici l’honorable Zerbo n’a pas fait une analyse partisane ou régionaliste ; il a fait cas de la situation qui prévaut à Bobo en tant que capitale économique. Quant aux profanes qui insinuent que le Député Zerbo va inciter les Turcs à ne plus investir, jeleur demanderai tout simplement d’aller au delà de leurs intérêts égoïstes. A moins que l’investisseur ne soit un idiot, qui est fou pour implanter une usine à 400 KM de la matière première, pourtant à Bobo ce serait une distance de moins de 50 KM ? Soyons sérieux ! On vous dit que 45% des actionnaires sont burkinabé et vous trouvez moyen de dire que ce sont les turcs qui ont imposé le lieu d’implantation ! Soutien au député ZERBO ! C’est le Burkina qui gagne !

    • Le 13 février 2018 à 09:10, par Jonassan En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

      Qui est Fou ? Si je prends votre raisonnement, QUI EST FOU POUR IMPLANTER UNE RAFFINERIE A DES MILLIERS DE KILOMETRES DU LIEU DE PRODUCTION ? Alors, ceux qui exploitent le pétrole en pleine mer et qui montent des pipe-line jusqu’aux centres de raffinage sont des fous. S.V.P. n’affirmez pas facilement les choses surtout quand vous n’en maîtrisez pas les contours. En économie les coûts ont leur importance, mais il s’agit d’un package de coût et de rapport entre les coûts et les prix, une affaire d’opportunité.
      Y’a des sociétés comme Coca Cola qui investissent dans des secteurs ou des aires à perte depuis des années et qui continuent de le faire parce qu’eux seuls en connaissent les raisons. CE N’EST PAS AUSSI SIMPLE QUE VOUS LE DITES et le débat entre le fait que certaines régions du Burkina se meurent n’est pas vain mais forcément à cette occasion d’investissement, j’en doute fort de l’utilité et du rapport.

  • Le 12 février 2018 à 15:45, par Maria de Ziniaré En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    En matière de vision quel Burkina voulons nous en terme de développement ?. Un développement décidé par l’extérieur ou venant de notre propre réflexion mûrie. Un développement avec une mégapole Ouaga qui concentre et englouti tous les projets ( avec la question structurelle de pénurie d’eau qui n’est que atténuée avec Ziga 2 et ne sera jamais résolue ) dans un désert de villages et villes pauvres en équipements en industries et services ?. Il est bon que le débat ait lieu et que les uns et les autres donnent leurs opinions.
    S’agissant de la question du lieu de l’implantation de l’usine et des choix techniques ( centrale thermique) préliminaires, à mon humble avis tout est discutable il suffit que le gouvernement ait une bonne vision et discute avec le promoteur dans un esprit win/win et de développement équilibré et durable. L’état a toujours la carotte des incitations fiscales pour faire prévaloir ses points de vue sans remettre en cause la rentabilité pour l’investisseur. Le bon sens doit prévaloir et les surenchères du genre Koudougou avait Faso Fani donc l’usine doit être à Koudougou doivent être écartées ( aucune raison économique ni environnementale ne militait pour l’implantation de l’usine à Koudougou, à part le fait du prince ). DAFANI notre fierté a été implanté par les privés (qui ont quand même du bon sens ) dans la région productrice de mangue. A mon humble avis l’implantation de l’usine à Ouaga serait un manque de vision et un manque de considération pour les autres régions qui ont des atouts meilleurs ( Est , boucle du Nouhoun, haut bassin).

    • Le 12 février 2018 à 18:16, par verité no1 En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

      Ya pas une histoire de win/win ici, l’usine sera implantée à Ouaga, point barre !
      Le reste, c’est fait divers !!!!!!!!!!!
      Celui qui n’est pas content, qu’il attrape la RCI, d’ailleurs ils ont attieke avec poisson là bas !!!!!!!
      Le gouvernement doit taper sur la table pour mettre fin à la récréation.

  • Le 12 février 2018 à 15:49, par yambia En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    cette usine doit être implantée dans la Région de la boucle du Mouhoun

  • Le 12 février 2018 à 15:59, par TRAORE En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Ici l’honorable Zerbo n’a pas fait une analyse partisane ou régionaliste ; il a fait cas de la situation qui prévaut à Bobo en tant que capitale économique. Quant aux profanes qui insinuent que le Député Zerbo va inciter les Turcs à ne plus investir, jeleur demanderai tout simplement d’aller au delà de leurs intérêts égoïstes. A moins que l’investisseur ne soit un idiot, qui est fou pour implanter une usine à 400 KM de la matière première, pourtant à Bobo ce serait une distance de moins de 50 KM ? Soyons sérieux ! On vous dit que 45% des actionnaires sont burkinabé et vous trouvez moyen de dire que ce sont les turcs qui ont imposé le lieu d’implantation ! Soutien au député ZERBO ! C’est le Burkina qui gagne !

  • Le 12 février 2018 à 16:07, par Nikiema En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Internaute numéro 25, je suis 100% d’accord avec ton idée. On doit signer une pétition pour qu’on implante l’usine à Koudougou ou soit Bobo. Sinon à cette allure, tout le monde va se retrouver à Ouaga.

  • Le 12 février 2018 à 16:14, par Maxi maxi En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Merci Honorable. Nous avons besoin des députés comme vous à l’Assemblée. Fini le temps où certains députés qui levaient le doigt parce que l’un des membres du parti à lever son petit doigt...

  • Le 12 février 2018 à 16:15, par Passakziri En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Bobo se meurt ?
    Au moins Bobo a vécu pour mourir. Que dire de Fada, Dori, Gorom-Gorom,Nouna, Tenkodogo, Tougan etc ? Elles n’ont jamais vécu pour mourir. Bref, il ne faudrait pas se faire d’allusion. C’est un marché ouvert, et les investisseurs n’étant pas venus pour du social savent bien ou implanter leur usine. Le jour ou vous aurez votre capital pour investir, investissez sur la lune ou sur mars si vous voulez. On est ou là.

    Passakziri

    • Le 12 février 2018 à 18:07, par verité no1 En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

      Merci à Passakziri pour la pertinence de votre analyse. Les gens n’aiment pas la vérité dans ce pays.
      Ceux du Nord ne se plaignent pas, ceux de l’Est ne se plaignent pas, n’en parlons pas ceux du Sud.
      A tout moment, ce sont les gens de Bobo qui se plaignent !

      • Le 13 février 2018 à 09:50, par HORUDIAOM En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

        Parce qu’ils ont été formatés à la plainte, donc de l’automatisme. Meme pour leur propre bien, ils se plaignent. Le Burkina Faso compte 45 provinces, il est grand temps, qu’ils le comprennent. Celui qui a son argent à l’Ouest, il peut implanter son usine là ou il veut. Les Bobolais doivent commencer à se choisir des élus crédibles. Quand on vote quelqu’un qui veut faire de Djamila Compaoré la présidente du Faso, on ne doit pas s’étonner que les usines ferment à Bobo. Vous ne voulez pas la vérité et pourtant, c’est ça !!!!!!

  • Le 12 février 2018 à 16:21, par Amdoum En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Pour une fois, les dirigeants Burkinabe doivent faire preuve de bon sens.
    Aucune raison est suffisamment bonne pour implanter cette usine autre part qu’a Bobo Dioulasso. L’usine, une fois installee, le ciel sera la limite quant au developpement de Bobo, la region, et celui du pays.

    Pour l’amour du ciel et pour cette fois-ci, ecoutez vos tetes et coeurs pour le bien de notre cher Burkina Faso !

  • Le 12 février 2018 à 16:28, par King En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Pour ne pas être pris dans le tourbillon des choix à polémique,l’Etat Burkinabé doit avoir une politique claire d’industrialisation ou de réindustrialisation de toutes les zones du pays en excluant de facto OUAGADOUGOU qui est déjà à un niveau d’industrialisation avancé par rapport aux autres contrées de notre pays.L’Etat doit avoir un contrat d’industrialisation d’adhésion du pays auquel les éventuels investisseurs doivent se conformer ou repartir.Cela évitera bon nombre de problèmes.

    • Le 12 février 2018 à 17:08, par Passakziri En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

      Vous plaisantez là . Niveau d’industrialisation avancée de Ouaga ? pour un pays ou on ne produit ni aiguille ni fil à coudre ? Si c’est embouteiller la bière vous apellez industrialisation, alors nos ambitions ne dépassent pas le bout de notre nez. Comme vous relativez en comparant " un peu" avec "rien", ca peu se comprendre. Mais je rapelle à tout un chacun qu’il s’agit ici d’investisseurs privé qui ne sauraient se plier aux injonctions de l’Etat quant au lieu d’implanter leur usine, sinon la solution est simple : ils s’implantent à Cotonou, Niamey, Bamako ou Abidjan. Soyons quand même réalistes et ne prenons pas nos rêves pour la réalité.

      Passakziri

    • Le 13 février 2018 à 14:12, par Jonassan En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

      Vous plaisantez vraiment ! Qui vous dit qu’on développe un pays en implantant équitablement les implantations d’usine sur le territoire national ? Basta ! si vous me dites des institutions administratives pour une décentralisation harmonieuse là encore je peux admettre et même là ? Mais des USINES EQUITABLEMENT REPARTIES SUR L’ETENDUE TERRITORIRALE, c’est quel plan de développement çà ? Un moulin par famille alors ? on dit mille villages, mille centres de santé mais mille villages mille centres de tannage conduit à la catastrophe...

  • Le 12 février 2018 à 16:36, par YAAM SOBA En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Internaute 35 ne pensez pas de la sorte. Le député ZERBO a dit que : « C’est un projet salutaire. Mais, la grande déception vient du choix du lieu d’implantation de cette usine dans la capitale politique, Ouagadougou, au détriment de la capitale économique, Bobo-Dioulasso, qui, mieux, est pourvoyeuse de la matière première qu’est le coton. ». Il a fait allusion à la capitale économique, donc évitez vos préjugés bidons.

    • Le 12 février 2018 à 22:26, par Passakziri En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

      Ecoutez, je me fiche de ce que le député a dit. Et je n’ai pas de directives à recevoir de qui que ce soit sur mes pensées.
      Le rôle du député c’est de songer à élaborer une législation . demandez à votre député quelle propositions de loi il a eu à faire pour attirer les investisseurs au pays . demandez lui ce qu’il a eu à proposer pour faciliter le developpement décentralisé. Bobo est Burkina, Ouaga est au Burkina aussi et non sur la lune. Depuis un certain temps c’est l’ouest matin midi soir qui ne cesse de pleurnicher. Sachez que s’il y ’a l’ouest il y’a aussi l’EST, le Nord ,le Sud et bien sûr le centre .

      Passakziri

  • Le 12 février 2018 à 16:40, par Vision partagée En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Voilà un article qui ne peut laisser indifférent !!! Le député Moussa Zerbo est un vrai visionnaire. Je vous donne une simple information : la semaine passée, un avion gros porteur a été obligé d’atterrir pour sa première fois sur l’aéroport de Bobo-Dioulasso, car celui de Ouagadougou lui était inaccessible. Quelle ne fut la surprise des pilotes qui ont trouvé qu’il est plus pratique de manœuvrer à Bobo qu’à Ouaga et ont souhaité même chaque fois atterrir à Bobo plutôt qu’à Ouaga. } C’est la volonté politique qui manque !!!!.

    • Le 13 février 2018 à 11:17, par Sidpawalemdé Sebgo En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

      Mon frère, un avion qui contient des marchandises pour les deux millions de consommateurs de Ouaga ne va pas atterrir à Bobo juste parce que la piste est bonne !

      Non seulement c’est une complication inutile, mais la même marchandise transportée par route de Bobo à Ouaga reviendra plus cher. On parle de coûts et de rentabilité, pas de faire de l’animation pour "remplir recto-verso".

      Au contraire, les nombreux efforts faits pour relever Bobo, dont la mise à niveau de l’aéroport, ne sont pas rentabilisés actuellement, ce qui fait reculer ceux qui voudraient faire d’autres investissements.

    • Le 13 février 2018 à 15:18, par Rabaoyele En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

      Bonjour,
      Il est regrettable qu’un député puisse attiser impunément ce relent régionaliste du "Grand Ouest" et qu’il soit applaudi par des "intellectuels" de l’Ouest.
      Bientôt on va réveiller le Mouvement Autonomiste de l’Ouest (MAO). Allons seulement !!
      On peut dire aussi de déplacer la colline de manganèse de Tambao à Bobo, la mine d’or d’Essakane à Bobo, la mine de zinc de Perkoa à Bobo, les barrages de Kompienga et de Bagré à Bobo, le cheptel du sahel à Bobo.
      Il faut même prévoir dans la constitution que Bobo soit la capitale de tout le Burkina (capitale politique, économique, ethnique, sociale, commerciale etc..).
      Ainsi on rendra à Bobo sa vocation divine.
      En faisant ainsi le Burkina va bien se développer grâce au dynamisme et à l’acharnement des habitants de Bobo.
      Merci et bonne chance nous tous. Qui vivra verra.

  • Le 12 février 2018 à 16:46, par FILS DE BOBO DIOULASSO En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    A la longue liste des routes qui méritaient en priorité le bitume coulé sur Tuiré-Zorgho pour les funérailles de la maman à Roch, il faut ajouter la bretelle Dande-Ndorola d’envion 45 km dans le Kenedougou et qui dessert 2 usines a coton de la SOFITEX (Kourouma et Ndorola), les rizières de la grande plaine de Niena-Dionkele et une très grande production locale de mil/mais/ tomate/ ognons et j’en passe. Je souligne que cette route est certainement l’unique du pays que même les gros camions de la SOFITEX délaissent pour circuler sur les bas cotés en saison des pluies, tant elle devient alors chaotique ! On construit tout au plateau-central et on laisse la région de l’Ouest qui est naturellement riche !

    • Le 12 février 2018 à 19:43, par liberation day En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

      Va creuser enlever la route de Zorgho et va le mettre à bwobo. ces gens-là veulent quoi à la fin

  • Le 12 février 2018 à 16:51, par Anta En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Je ne comprends pas cette guéguerre sur une hypothétique usine. Et si vous parlez trop et le Turc va implanter son usine au Bénin vous allez faire quoi ? Que ce soit à Ouaga, à Bobo ou à Fada est-ce que ce sont des singes(je veux dire des gourmantché ou des Samos ) qui vont y travailler ? Ça sera des petits Burkinabè. Laissons le Turc implanter son usine. Au moment du recrutement, si jamais on fait la force à un de l’Ouest ou du Sud ou du Septentrion à cause de son origine, non seulement on va raser l’usine, mais aussi la barbe du Turc. Donc quittez là-bas avec vos jérémiades d’enfants pourris !

    • Le 12 février 2018 à 18:02, par Ka En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

      Merci Anta : Toujours avec des analyses qui vont pour l’avancement du Burkina et nos pour une région ou un individu. Je confirme, qu’importe là où est installé cette usine, il suffit qu’elle aide a développer le pays et donner des emplois à notre jeunesse.

    • Le 12 février 2018 à 19:25, par Un fils de Solenzo En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

      Ce que vous dites ne tient pas. Les résidents (populations locales) sont et doivent toujours être favorisées en matière d’emplois. Ça c’est la règle internationale. Mieux vaut combattre le mal en amont. Nous remarquons qu’une autre plaie de notre pays est que notre État ne contrôle rien en matière des quota dans le monde des emplois. Nos mines d’or sont bourrées de non résidents du Burkina pour des emplois qui auraient du être les leurs ; qui en dit quoi ? Même pas les pouvoirs publics qui devraient réguler et contrôler ce domaine. Les emplois de la Sofitex de Solenzo sont occupés à 90% de personnes initialement non résidents des Banwa. C’est la même situation partout ailleurs.
      Le President du Faso devrait s’entourer de personnes compétentes et qui ont une hauteur de l’esprit ; pas de petites gens qui pensent que le Burkina s’arrete à leur génération et a celle de leurs enfants.

    • Le 12 février 2018 à 20:22, par KOBINBA En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

      Votre reflexion est tres pertinente mais je doute fort que les simples d esprit comprenent le message.Ki Zerbo a dit et je crois que "on ne developpe pas un pays,on se developpe".Ceux qui vont travailler dans l Usine sont t ils des Burkinabe ou pas ?Chez moi on n a dUsine mais on ne se porte pas moin bien.Faut t il que chaque province face une petition pour sa province.A cette allure on va faire un referendum pour decider de tout.Pendant qu on y est j invite le depute Zerbo a trouver un dite consensuel pour eriger l Hopital de Bobo.

    • Le 13 février 2018 à 08:24, par ya maam En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

      Pardon Anta !!Tu penses que le Turc ne sait pas ou se trouve le Benin ?
      Donc il a choisi le burkina pas pour nous aider mais pour tirer profît...

    • Le 14 février 2018 à 09:13, par verité no1 En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

      Bjr Anta, ça fait un bout de temps.
      Belle contribution et surtout n’oublie pas de m’inviter car c’est un jour très spécial !
      Happy va.......... day !

  • Le 12 février 2018 à 16:52, par Massa Sanou En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    L’analyse de l’honorable zerbo est pertinente. Qu’en est-il de la décentralisation au Burkina Faso ? Aucune politique à long terme, tout est concentré dans la capitale politique. Un investisseur qui a fait une étude technique, aurait placé cette usine de textile dans la capitale économique du fait de la proximité de la matière première.
    Aujourd’hui 80% de la jeunesse de Bobo vie et travail à Ouaga et ils gagnent très bien leur vie. A Bobo actuellement, dans les quartiers vous trouverez majoritairement les Vieux (> 45ans) et les enfants (<17ans).
    la tranche jeunes 18 et 45ans travaille à Ouaga (ils ne boivent pas le thé à longueur de journée comme l’affirme certains qui ne comprennent pas grand chose)
    Il vous suffit de regarder l’affluence au niveau des compagnies de transport lors des fêtes et des longs weekend. La majorités de ces jeunes rentrent à Bobo pour saluer la famille.
    Ils aimeraient tous retourner à Bobo (ville ou il fait bon vivre), mais par maque de travail ils sont obligés de venir travailler à Ouaga.
    Mais je vous assure que le retour est proche, très proche car les conditions seront réunies pour bientôt. Signons la pétition du député Moussa Zerbo dans un esprit collectif !
    Massa Sanou, un BOBO de pur sang.

    • Le 12 février 2018 à 22:25, par Grand En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

      bsr compatriotes c’est ça le vrai problème de vous autres. implanter une usine et vous courrez pour dire d’abord les bobolais bobolais. À waga on ne connais pas ça. waga n’appartient à personne mais nos régions sont assis chaque fois prenez les locaux. quittons dans ça.

  • Le 12 février 2018 à 17:09, par Camarade Fousséni En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    « Bobo-Dioulasso est devenue une capitale économique sans économie : cette ville, jadis resplendissente est devenue l’ombre d’elle-même et peine à se relever. Malgré une concentration de nombreuses industries agro-alimentaires, mécaniques et métallurgiques, la ville enregistre le taux de chômage le plus élevé du pays. »
    C’est pour cela que j’invite tous les leaders d’opinions de la région à s’investir pour la pétition de l’honorable Zerbo ! Laissez vos appartenances politiques et trouvons des solutions avant que Bobo ne soit une ville abandonnée !

  • Le 12 février 2018 à 17:10, par Song Naaba En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Même si l’investisseur a choisi Ouagadougou pour implanter son projet dans lequel ’Etat burkinabè est impliqué, il (Etat) devrait discuter là où le projet aurait plus de réussite que de se faire imposer un site. Depuis longtemps des projets ont été dirigés vers le Nord sans resultats. Cherchons-nous le bien-être des burkinabé ou celui d’un groupe d’individus. Nous connaissons tous où un projet peut avoir du succès et profitable à tous. C’est pourquoi depuis plus de 50 ans notre pays souffre. l’Egoisme est le mal qui tue notre developpement. Nous en avons conscience mais on trouve du plaisir à se maintenir dédans. Si réellement, il y a de l’amour pour la mère patrie, il y avait des defis qu’on avait déjà relevé. Mais helas. Les pensées telles "qu’il faut "à tout prix conserver le Naam entre nos mains" sont à bannir car ils vont nous conduire dans des situations qu’on espérait pas.
    Tous aujourd’hui avons les yeux ouverts et voient ce que les autres pensent. Ce n’est plus un sujet tabou.

  • Le 12 février 2018 à 17:22, par vincent Thieoule, Vigilence de citoyenne En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    A faire trop de bruit, on peut décourager nos investisseurs. Ouaga ou Bobo, c’est la même chose si le travail est bien fait et le projet bien gérer. Faut laisser les commentaires enflammés pour aller à l’essentiel. Y’aura d’autres usines, croyez moi si on gere bien celle ci. Mais c’est tout à l’honneur du député Zerbo de revenir sur le cas de Bobo qu’il faut considerer comme un test de bonne gouvernance. C’est un peu un mirroir national qu’il faut restaurer. On est ensemble !

  • Le 12 février 2018 à 17:23, par Vérité En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Mr Sergio il n’y a pas seulement Ouaga au Burkina. Capitale politique et économique je dis non. C’est cela le régionalisme mon frère. Que Bobo barre la route pour que son coton ne vienne dans cette usine te on verra. point barre

  • Le 12 février 2018 à 18:23, par la loupe En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Bonsoir. Tout simplement honte à l’honorable Moussa ZERBO. Moi, je suis née à Ouaga mais je suis installé à Bobo non pas à cause de vos belles femmes. L’usine est au BF et c’est l’important. Vous pouvez envoyez vos parents là-bas comme beaucoup de mossis qui sont en Cote d’ivoire et qui s’y plait. Vous n’êtes pas condamné de contribuer au malheur du BF. Bonne chance nous tous !

  • Le 12 février 2018 à 18:26, par Ka En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Quand l’incapacité frappe à la porte de ceux qui se disent grand, il jette l’anathème sur leur entourage. C’est le principe qu’enseigne ‘’’’Machiavel dans le Prince.’’’’ Je suis désolé pour Moussa Zerbo, quand on est un député national honnête et respectueux, on s’abstient d’écrire sur des sujets où on est incompétent et même totalement ignare.

    Citer toutes les entreprises en faillites dans notre ville dite mortellement économique à cause des politiques de pacotille comme Salia Sanou, Koussoubé et consorts, aucun investisseur même de nationalité Burkinabé ne s’aventurera à investir sur ce terrain, si toutes ces punaises ne sont pas balayées du terrain.

    Le client est roi même avec un centime en poche pour faire avancer le Burkina, mais se jeter dans la gueule du loup avec des politiques au gosiers larges qui ne pensent qu’a leurs intérêts au lieu du développement de la région malgré ses opportunités, ceux-ci font peur aux investisseurs bien informés.

    Ce projet a été concocté plus d’une année entre investisseur et l’état, et le choix de l’investisseur l’a emporté a cause des raisons que Moussa Zerbo a invoqué, ‘’’’le manque de sérieux et du soudure des politiques de la région qui se terminent dans ‘’’le laissé aller.’’’ BOBO récolte de nos jours les mauvaises semences de ses politiques de pacotille comme Salia Sanou et consorts. Comme l’a dit l’internaute de bonne foi ’’’’Anta,’’’’ qu’importe ou cette Usine sera installé, il suffit qu’elle contribue au développement du pays, surtout créer des emplois pour retenir notre jeunesse a l’immigration mortel.

  • Le 12 février 2018 à 18:47, par Nab Youré En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Pour terminer, nous invitons solennellement les hommes politiques bobolais de tous les bords, les organisations de la société civile et les autres leaders d’opinions, à surpasser les divisions pour défendre ce qui est bien pour le Burkina Faso et pour la ville de Bobo-Dioulasso.a

    Monsieur le Depute Moussa Zerbo,
    a ,vos propos ci dessus nous répondons ceci :
    Pour commencer, nous invitons solennellement les hommes politiques du centre a savoir centre NORD centre SUD centre EST et le CENTRE LUI MEME et le NORD et le SUD et L EST les politiques de tous les bords de toutes ces entités administratives, les organisations de la société civile et les autres leaders d’opinions, à surpasser les divisions pour défendre ce qui est bien pour le Burkina Faso et pour la ville de OUAGADOUGOU

    Le terrain du régionalisme est comme du sable mouvant : si vous y mettez un pied par hazard ou par ignorance ou par inculture vous ne savez plus ou mettre l autre pied afin de vous appuyer pour retirer le pied qui s enfonce

  • Le 12 février 2018 à 18:53, par Hinti En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Bonjour, le Burkina Faso n’est pas que Ouaga et Bobo.

  • Le 12 février 2018 à 19:20, par Sanfo En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Chers ami turc vous voulez rentabiliser ! Allez au mali ou au benin les burkinabè aiment la polémique stérile. Si zerbo ou berewedougou est capable qu’il ouvre son usine à bobo ou à koudougou

  • Le 12 février 2018 à 19:23, par warzat En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Il y a quoi être perdu.
    Le caoutchouc vient du Liberia,le pneu de France, le moteur du Mexique, les accessoires d’Italie ; le véhicule fini de Détroit aux Etats Unis.
    L’avion est rassemblé en France à Toulouse, le reste : ailes, moteur, réacteur de trois autres pays.
    Le coton vient d’Égypte, la filature se fait en Inde, le tissu fabriqué chez les Turcs, les habits sont cousues en Chine, les entrepôts sont en Espagne.
    Les copeaux de bois arrivent de Suède, en Angleterre on la transforme en amidon, et c’est en Allemagne que cet amidon est transformé en fil puis en tissu , enfin la teinture se fait dans les différentes couleurs et motifs ailleurs.
    Donc tout une logistique pourvoyeuse d’emplois sur toute la chaine et dans tous les pays.
    Peut être que chez nous on connait mieux l’usage de l’argent à bon escient que le propriétaire de l’argent lui même.

  • Le 12 février 2018 à 19:26, par Michel En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    une analyse plate et dépourvue de sens. voici le niveau de réflexion de nos députés. pitié. si toutes ces usines citées ont fermé c’est que la zone pêche un peu je crois. et puis qui vous a dit que le bailleur veut passer par Abidjan pour exporter ses produits ? n’importe quoi !

  • Le 12 février 2018 à 19:29, par Sidbéwendé Zoungrana En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Honorable Député ZERBO ! Votre cri de coeur est entendu par tout le monde car même s’il se justifie, on constate que vous manquez de discernement dans votre exposé. En effet, sans douter que vous jouissez d’un très haut niveau intellectuel, on s’accordera à comprendre que vous ne comprenez que quedal dans les Affaires. Loin est la prétention, sinon, la confusion que vous tentez de semer dans les esprits des gens et particulièrement, les habitants de Bobo-Dioulasso. D’un Député de l’Opposition reversé dans le MPP (ou rapproché de celui-ci) depuis votre dissidence, vous surprenez plus d’une personne. Aussi, nous nous faisons le devoir d’attirer votre attention sur ce qui suit. PRIMO : Nous vous inviterons à vous accoutumer aux comportements des Investisseurs privés et surtout de l’International. Oui ! tout comme vous recherchez le moindre coût lorsque vous faites vos amplettes, sachez que les Investisseurs qui sont loin d’être des "enfants de coeur ou l’Armée du Salut", ne recherchent et ne poursuivent que leurs intérêts. Et de ce faite, ils privilégient lors des négociations, leurs intérêts. C’est-à-dire, ne retenir que les facteurs de gains à eux favorables nonobstant les desiderata des gens comme vous et encore moins, des politiques. Ils recherchent le plus possible l’amenuisement autant que possible de leurs coûts de production qui au sortir des cheminements leur permettront de gagner le plus possible ne vous en déplaise. Au titre des distances pour les évacuations par exemple que vous semblez pointer du doigt, convenez avec nous que si Bobo-Dsso est proche de la Côte d’Ivoire qui dispose d’un Port Maritime de référence d’une part et d’autre part de la Voie ferrée qui traverse la Région, Ouagadougou est aussi bien prêt de TEMA, TAKORADI, LOME et COTONOU qui disposent également (même en moindre mesure) les logistiques suffisantes pour assurer à l’Investisseur les prestations par lui désirées et ce, à des coûts bien moindre. SECUNDO : votre référence aux emplois qui seront créés ne sied pas car au Burkina Faso, les populations sont libres d’aller et venir partout sur toute l’étendue du territoire pour travailler. C’est dire que les jeunes bras peuvent bien obtenir de ces emplois et y venir pour travailler. Alors que FASO FANI était implanté à Koudougou, vous n’aviez en son temps entrevu aucune objection à cette présence. Pourquoi ? Tout le monde est bien d’accord que toutes les Régions du pays nécessitent des développements. Mais ce souhait serait résolu si en interne, l’Etat et nos Opérateurs privés pouvaient et avaient les possibilités qu’il faut pour agir. Pourquoi ne réclamez-vous pas cette implantation pour le Sourou votre Région et plus précisément Tougan votre Capitale. Petit Samo va ! TERTIO : des proches à vous et notamment la population de Koudougou, se tablant sur les déclarations de Campagne de feu Salif DIALLO et de RMC, réclament abusivement la venue de cet Investisseur à Koudougou pour faire renaître FASO FANI. Ont-ils bien compris ces messages politiques, surtout débités lors d’une Campagne électorale ? Je ne crois pas. Et comme d’habitude, c’est le peuple qui, abusé par des promesses généralement irréalisables donnent à ces politiques, leurs voix. QUATRO : A ce que l’on a entendu et suivi, il est revenu que d’autres Investisseurs potentiels se sont intéressés à notre coton. Même que certains d’entre eux ont visité le cadavre de FASO FANI en promettant y revenir. Pourquoi cette impatience de votre part ? Est-ce parce que c’est chaud et grave pour nous que nous nous faisons plus pressés que ceux-là qui détiennent l’argent à nous nécessaire pour sortir nos têtes hors de l’eau ? Nous ne pensons pas que ce soit la bonne formule, surtout de la manière dont nous nous comportons. Chercher à imposer à nos hôtes nos desiderata n’est pas une solution de sagesse. Le Gouvernement n’est en rien responsable de ce choix et ne saurait imposer aux Investisseurs ce qu’il veut. Leurs souhaits et leurs devoirs sont de pouvoir convaincre ces "Détenteurs d’argent" à avoir confiance en notre pays et acceptent de venir y risquer leurs argents. Alors Honorable ! Soyez plus responsable, plus logique et plus encadreur que cela. C’est pour cela que la population des Hauts-Bassins et de tout le pays d’ailleurs vous ont élus. Jouez plus votre rôle de "Mandaté" plutôt que de jouer à ces jeux déstabilisants. Avez-vous compris, petit Samo ? Vous n’auriez pas été un Oncle que nous vous dirons des choses plus sales que cela.

    • Le 13 février 2018 à 14:32, par Jonassan En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

      Merci de l’effort fait pour expliquer aux politiciens de ne pas tout ramener à la politique. Comme tous les politiciens sous le soleil, le monsieur n’a pas eu d’arguments SERIEUX dans son exposé : Bobo se meurt, est-ce que l’implantation d’usine de TRANSFORMATION à Bobo va le sauver de la mort ? Lui, pour qui le fait d’abriter la PRODUCTION n’a pas guéri ?
      Ce citoyen a la paresse de mener la réflexion qui conduira à la réponse à sa question.
      Pourquoi Bobo se meurt ? C’est l’implantation d’une usine hors de Bobo qui va l’enterrer ?
      J’installe une usine à Bobo parce que Bobo se meurt,
      j’installe mon moulin au champ parce qu’au champ il n’y a pas de machine,
      j’installe mon moulin au champ parce que c’est là même que je récolte mon mil.
      je n’installe pas mon moulin au village parce qu’il y’a déjà un puit dans ce village.....

  • Le 12 février 2018 à 19:37, par liberation day En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Ce qui me plaît pas, c’est que les maliens tardent à venir les récupérer pour qu’on puisse avoir la paix. il ne fallait pas reconstituer la HV dans ses lim de 1919. mais il semble que les gaulois ont un nouveau projet pour l’Afrique de l’Ouest et les KWG sont entrain de dessiner les limites du futur

    • Le 13 février 2018 à 08:48, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

      - liberation day, je constate que depuis longtemps tu ne fais que raconter ta vie. Soit un peu plus intelligent ! Au Mali il y a des djihadistes et des terroristes et ils n’iront pas là-bas !! Toi aussi !

      Par Kôrô Yamyélé

      • Le 13 février 2018 à 14:31, par Sawad En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

        Ha ha ha ! Ca m’a fait beaucoup rire cette réponse du Kôro !
        C’est ça l’Afrique, nous nous detestons et nous nous entretuons pour rien ! Le forum est un vrai défouloir, c’est ce qui m’amuse. je m’arrete là, car ma cherie bobo vient de me faire signe qu’il est l’heure de la prière. Que les 1 et les autres ne s’ inquiètent point, le Burkina sera toujours un hàvre de paix !
        Allons seulement.
        Sawadogo

      • Le 13 février 2018 à 16:52, par liberation day En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

        tu n’a rien compris. je parle du soit-disant ouest, pas de l’usine Turc. si tu ne le sait pas la partie malienne du projet est déjà presque achevé ; il y aura un macina , un azawad et un mali ratatiné. la suite c’est le Burkina et le coup d’envoi a été donné le 30 /10/14. Les KWG sont entrain de sauver ce qui peut l’être

        • Le 13 février 2018 à 18:12, par Sawad En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

          Mon frère, il a compris, c’est juste de l’humour qu’il fait ! Ne vous emportez pas pour des choses qui se disent dans les fora, ça n’en vaut pas la peine. la rivalité ouaga/bobo ne date pas d’aujourd’hui. Tu sais, dans certains pays c’est comme ça. Au Cameroun par exemple, douala et yaounde, se rivalisent sur fond de repli identitaire. Avec le temps, tous les replis identitaires s’attenueront avec la reconfiguration dynamique et permanente des populations et l’inevitable métissage culturel et inter-ethnique en marche ?
          Calmos frero
          Sawadogo

  • Le 12 février 2018 à 19:56, par Sidnoma En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Je suis d’accord avec le point de vue de l’honorable, mais j’estime que pour un député, la tribune la mieux indiquée est l’hémicycle et non sur la toile. Que faites-vous donc à l’Assemblée si vous êtes incapable d’y transmettre la voix de vos électeurs ?
    Bien à tous !

  • Le 12 février 2018 à 20:18, par Le zongale En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Moi je dis tout simplement merde à ce ’’dépité ’’. On vous a assez vus.

    • Le 13 février 2018 à 15:36, par @@gog En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

      Pourquoi ce Zerbo ne demande-t-il pas l’installation de l’usine en question à Tougan chez-lui ?
      Bobo n’est pas chez lui .Vous vous êtes pauvres et des viennent vous aider en choisissant le lieu de leur usines et vous discutez !
      Ce n’est pas parce que la parole existe qu’il faut au hasard. s’il y a à négocier je m’aligne sur la demande des sages de Koudougou
      ville ancienne du textile. Vous n’allez quand même pas laisser Koudougou ville tout indiquée ? Je suis de DJIBASSO mais je préfère etre honnêtes .

  • Le 12 février 2018 à 20:37, par Un fils de Solenzo En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Je voudrais rassurer les uns et les autres que ce n’est pas une mauvaise chose en soi que certains disent Grand Ouest et s’identifient et cette zone. Ne voyez pas cela du mauvais œil. Ça devrait plutôt être une source nourricière pour impulser le bon vivre ou du bien être sociologique-économique des populations. Quand on parle du Grand Ouest ce n’est point lié à l’ethnie mais à une zone géographique. Les États Unis ce sont développés vite parce qu’ils l’ont compris tôt. Chacun des États a sa spécificité et ses populations sont fiers de s’y identifier. Moi je serai fier de savoir que le Burkina est reparti en 5 entités au lieu de 13 régions. On pourrait avoir le Grand Ouest (Bobo, richesse = agriculture, Eau. Développement basé sur l’industrialisation de transformation des produits agricoles et tour), le Plateau Central (Ouaga, richesse = Services. Development basé sur l’import-export, les taxes), l’Est (Fada, richesse = agriculture et Mines. Développement basé sur la manne minière, la faune, l’halieutique et quelques industries) et le Nord (Dori, richesse = élevage et mines. Development basé sur industries de transformation de produit laitiers, artisanaux et l’industrie minière)

  • Le 12 février 2018 à 20:44, par Le maire En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Merci là-bas. Pendant ce temps le maire de Bobo est plus preocuppe par faire la peau au PCA de la Structure de Gestion du Grand Marché (SGM) en roulant au pied les textes qu’a parler de développement de la ville. Toujours pareil comme tous ces successeur. Au lieu de s’atteler véritablement au développement de la ville c’est bagarre instestine...fiaaaa

  • Le 12 février 2018 à 20:58, par Cheikh En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Ici, il faut dire que pourtant Ali Moussa K mérite d’être soutenu ! Très franchement, on a des raisons d’être maintenant embarrassé, face à ces genres de distinctions d’ordre prioritaire. Par le passé,l’on pouvait se positionner systématiquement et sans crainte, pour le choix de l’Ouest ou de Bobo. Mais, avec les récentes expériences que l’on a vécues à la faveur des cas de la SIMAF et du Centre Hospitalier Régional, je dois dire que face à toute question semblable, Bobo Dioulasso a intérêt à se débarrasser d’abord de certaines de ses velléités. Car en vérité, tant qu’à l’Ouest ou à Bobo,on passera son temps à user négativement de l’argument démagogique, lié à la sauvegarde de la nappe phréatique comme principal frein à l’implantation des projets, autant arrêter de rebattre les oreilles des gens en en revendiquant intempestivement. Il faut absolument un examen de conscience d’abord, sinon, ne croyez-vous pas que les Autorités elles-mêmes commencent à en avoir plus qu’assez maintenant, avec ce comportement d’enfant capricieux, toujours en train de demander à la fois une chose et son contraire ?

  • Le 12 février 2018 à 21:23, par Gnantigou Lalogo En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Ne faites pas une mauvaise querelle aux gens. L’ investisseur installe son investissement la ou il croit etre plus rentable. Il n’est pas venu pour developper le Burkina mais pour faire des affaires. Le developpement de votre pays, adressez- vous a ceux que vous avez votes pour cela.

  • Le 12 février 2018 à 21:54, par Abina gnè En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    BOBO A MAL ET MEME TRES MAL.
    NE PRENEZ PAS LE SUJET A LA LEGERE.
    C’EST TOUT DE MEME LA CAPITALE ECONOMIQUE.
    SI VOUS VOULEZ, ENLEVEZ LUI CE TITRE ET AJOUTEZ LE A LA VILLE DE OUAGA. COMME CELA CA DEVIENDRA LA CAPITALE POLITICO-ECONOMIQUE.

    • Le 13 février 2018 à 14:41, par Jonassan En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

      Capitale politique, capitale économique. Aujourd’hui l’économie a dépassé ce centralisme zonal ; c’était au temps des usines de charbon, de filature à la main où les usines avaient besoin d’une main-d’oeuvre si nombreuse qu’elle se fabriquait une ville. C’est vraiment dépassé ; y’a longtemps elle n’a plus besoin d’ENDROIT de capitale. Et même qu’après avoir pavoisé dans les capitales boursières (Londres, New-york, Paris, Hong-Kong, Moscou...) la finance mondiale vit dans les e-mails, les sms et la blockchain, pendant ce temps vous vous battez pour une histoire d’implantation. J’ai peur que ce sujet soit OU sans objet OU hors à-propos.

  • Le 12 février 2018 à 22:19, par Grand En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    bsr à cette allure je préfère que ces turcs partent au Mali ou au bénin.
    Je ne suis pas sur que si cette usine s’implante en région les gens ne vont pas commencé encore à manifester pour qu’on recrute d’abord leurs parents. ouaga à l’avantage de n’appartenir à personne pourtant en région c’est d’abord les fils fils fils.

  • Le 12 février 2018 à 22:36, par Alexio En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Je ne suis pas Bobo d ethnie, mais Bobolais par l implatation familliale dans cette ville avant l independance de notre pays la Haute-Volta. Maurice Yameogo a ete le seul president qui avait une vision sincere pour cette ville qui etait la plaque tournante de l Afrique de l Ouest.

    Le boulevard dit Ebouet dans le temps etait un des oeuvres de l ancien president. Qui ne se rappelent pas le jardin pupblique conn sous le pseudonyme "Le Jardin d Amour". Ou les nouveaux lyceens venant des regions du Sud, de Gaoua a Diebougou se rencontrer pour se rteposer ou prendre de l air frais.

    Le Zoo de Bobo.Dioulasso etait un edefice parcelle de la recreation de ville.

    DEpuis la chute Maurice Yameogo, Bobo.Dioulasso commnecait a perdre son attraction a cause du sabotage politique dont la villle a ete victime. La jalousie, le regionalisme sous banniere deguisee, avait pris son petit baton de pelering jus qua nos jours. Nos malheurs sont crees par nous memes.

    Quelle strategie economique la capitale de sentrer cette nouvelle usine sans tenir compte les industries des fibres de SOFITEX qui est deja sur place ? La realite sur le terrain ne favorise pas la fiabilite de xette usine a Ouagadougou. Les politiques ne doivent pas mettre le baton dans les roues pour contrer Bobo-Dioulasso.

  • Le 12 février 2018 à 22:47, par kman En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Bonjour à tous et à toutes,

    j’ai lu votre cri de coeur et c’est normal et légitime de réagir.
    Excusez moi mais je vais vous parler directement sans langue de bois :
    La pétition est une très bonne idée mais quelle sera l’impact d’une telle pétition ?
    Cette pétition pourra t-elle contraindre le gouvernement à revenir sur sa décision ? Sinon que faites vous après ? Car si je comprends bien la nouvelle usine sortira sous terre dans les prochains six mois. Cela voudrait dire que le choix du site est déjà connu, les travaux et tout le nécessaire est déjà lancé si j’en crois aux dires du gouvernement.
    Pour ma part, je vous suggère d’abord de développer d’autres stratégies à votre niveau aussi pour aider Bobo, notamment en trouvant d’autres investisseurs capables de réveiller les sociétés mortes, en cours de fermeture, et en créant de nouvelles.
    Je vous suggère encore d’effectuer une visite en Turquie (Istanbul) zone des entreprises, il y a d’énormes entreprises là-bas qui ne cherchent qu’avoir des pays pour s’installer et de créer plus de 12 000 emplois, ensuite vous pourrez nouer des contacts et partenariats au profit de Bobo.
    Je vous suggère enfin en partant d’envoyer avec vous de bons projets bien ficelés, et vous verrez à votre retour que vous aurez apporter un grand plus en tant fils et député du pays.

    Modeste contribution d’un citoyen apolitique, je dis bien apolitique.

  • Le 12 février 2018 à 23:01, par Angamiri En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    On peut mentir à sa femme sans conséquence mais on ne saurait le faire en ce qui concerne un pays sans en payer le prix. Pour le développement durable d’un pays les choix d’investissement doivent obéir à des critères objectifs et non à des calculs mesquins et égoïstes. S’il s’agit d’implanter un abattoir ultra moderne pour exporter la viande le choix objectif de toute évidence et qui ne souffrira pas de débat serait le sahel. ainsi de suite. Juste pour dire qu’on doit se baser à 80% sur les potentialités d’une région pour l’implantation de toute usine de transformation des produits locaux à forte valeur ajoutée. Les meilleurs coûts de production en dépende. Les populations seraient également convaincus du choix. Les usines de vin sont situées en zones viticoles. C’est aussi. Juste du bon sens et de la bonne gestion.

  • Le 13 février 2018 à 00:17, par Dedegueba Sanon En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Bien dit Anta, en plus si le Turc vient polluer la nappe avec sa chimie, on dira quoi après ?
    Faso fani a Koudougou n’a pas fait que donner du travail, l’usine avait ’bousillé" pas mal de poumons aussi.

  • Le 13 février 2018 à 05:37, par Petit Minitaire En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Député Zerbo, c’est déjà un bon pas pour toi de venir dire ce message. Mais c’est depuis longtemps tu devrais te préparer pour faire ça. Si vous députés de Grand Ouest Burkina ne travaillent pas avec pouvoir centrale, pour expliquer et gagner ce qui est bon pour votre région, ce n’est pas la faute de quelqu’un plus que vous les représentants de Grand Ouest-là. Alors, il faut aller dire aux députés de Grand-Ouest, d’arrêter de rouler dans 4x4 V8 blanc entre village natale et capitale Ouaga, mais de travailler ensemble les projets pour Grand Ouest, d’exiger ce qui leur revient en priorité pour que votre Dioulasso ne va pas mourir comme un cadavre. On est dans démocratie et on veut vivre dans démocratie. Donc, on ne va pas diviser pays-là parce que y a des députés qui ne peuvent pas demander à avoir quelque chose avec bonnes raisons. C’est dans conseil de ministres que tout se passe. Là, il faut être courageux pour dire vérité-là, même si on va perdre demain jolie fauteuil en cuir brun, air climatisé et V8 4x4.

  • Le 13 février 2018 à 06:37, par Joseph En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Honorable, merci pour votre poste. je voudrais souligner que l’installation d’une usine industrielle ou d’une affaire de façon globale tient compte de plusieurs facteurs dont entre autre : la matière première, les ressources humaines, le transport, la clientèle, la facilité administrative, etc, etc. un investisseur fait une étude d’identification du site pour en faire son choix. nous n’imaginons pas qu’on puisse mettre 220 milliards un bon matin sans étude le terrain. le raisonnement d’un investisseur ne colle pas avec la politique. si je dois investir dans un pays, je regarde l’emplacement qui me convient après avoir pris connaissance du climat des affaires du pays.

  • Le 13 février 2018 à 06:50, par Le Boss En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    C’est bien d’interpeller l’opinion sur la léthargie de Bobo mais ne faites pas croire que la zone cotonnière se limite à Bobo et ses alentours car l’usine à implanter à Ouaga ne demandeque 20 000 tonnes sur une production moyenne annuelle de 600 000tonnes. L’Est à lui seul fournit à cette usine ce dont elle a besoin pour fonctionner. Pendant 2ans le ministre du commerce a été un fils de Bobo, quelle usine a t il pu dépoussiérer là-bas ? On vous a toujours conseillé de choisir des gens capables mais vous préférez toujours votre fils, votre frère même s’il est incompétent. Vous préférez votre médiocre au brillant du voisin qui peut vous sauver. Les mossi disent sue c’est pas forcément l’enfant que tu as mis au monde qui prend soins de toi. Bobo sera resucitė inch Allah grâce à Harouna KABORE, c’est notre souhait à tous. En attendant, prions pour que le Burkina Faso avance et Bobo avec.
    En atyendant, comme Koudougou réclame, Bobo exige et Ouaga est retenu, je vous invite à l’installer à Fada où l’eau coule à flot avec une production cotonnière suffisante pour alimenter ce bijou à naitre de l’économie Burkinabé. Merci à tous.

    • Le 13 février 2018 à 07:55, par Paulus En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

      très très pertinent l’usine peut être implanté dans toutes les zones cotonnières du Burkina, c’est pas cette usine qui viendra réussite Bobo, mais les filles et fils de Bobo

  • Le 13 février 2018 à 07:45, par Paulus En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Vraiment, moi j’ai du mal à comprendre certaines personnes, chacun crie , Bobo par ci Bobo par là, est ce que c’est Bobo seulement qui fourni l’or blanc au Burkina Faso ? Certes c’est la capitale économique, mais sachez que l’usine peut être implanté dans toutes les zones cotonnières du Burkina. le développement de Bobo n’incombe pas seulement au gouvernement, mais tous les filles et fils de Bobo soudés derrière leurs municipalités.

    • Le 13 février 2018 à 10:43, par SOME En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

      ce qui est incriminé n’est pas la ville de bobo en tant que telle mais la politique meme de choix econimiques et de developpement de notre pays qui n’a rien d’une logique economique mais plutot d’une logique regonaliste et ethniciste. ca c’est ianceeptable
      SOME

  • Le 13 février 2018 à 08:12, par TEBLOS En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Pauvre Bobo, on t’exploite pour développer d’autres zones....! Un colon noire au Burkina de ThomSank...c’est triste, très triste.

  • Le 13 février 2018 à 08:14, par Kotigui En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Bravo depute zerbo bien parler ne soyez pas etonner de voir que toute les regions de l,ouest Sofitex Soient transferee a Ouagadougou et apres fermenteurs des autres industries rescapees de l,ouest transferee aussi a Ouagadougou et la fin rayer l,ouest sur la carte du Burkina vous savez pourquoi il y,a toujour eu un cas de superiorite entre Ouagadougou ete,ouest et le pire dans ca ils nous utilisent nous gens de l,ouest pour notre propre destruction et nous mettent toujour en conflit pour mieux nous Gerer (je suis d,accord avec intervention de le boss la verite blesse Mais il a tout dit )qu,Elle est ce responsable qu,on a mis resortissant de l,ouest qui a puis faire quelque. Chose de bien et Bon rien reorganisons nous. femmes ,hommes de l,ouest pour sauver notre ouest personne ne le fera a notre place il y,a des inverstiseurs burkinabe venant de l,ouest donnont nous la main oublions que ces gens de Ouagadougou qui vont nous envoyez des invertiseurs non rest ont souder donnons la mains oublions ces querelles entre nous et faite notre ouest une region de reference

  • Le 13 février 2018 à 08:19, par sidsomde En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Je suis AYIK ; Burkina, je veux implanter une une usine chez toi, tu veux ? Oui. Mes techniciens ont choisi l’emplacement étudié X, tu veux ? Y a pas de mais.... ou je renonce.

  • Le 13 février 2018 à 08:27, par Ka En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Le mal en Afrique, c’est l’égoïsme des ignorants comme ce député régionaliste qui prennent leurs compatriotes comme des moutons ou ses élèves. Vouloir détourner ‘’’toutes les opportunités’’’’ à son profit tue le développement du pays. Monsieur le député, même parmi les décideurs de ce projet dont quelques-uns viennent de ta région que je connais, n’ont pas songé une minute à négocier pour que cette usine soit installer à BOBO, et ils savent pourquoi.

    Dieu dans sa bonté infinie a doté l’Afrique de toutes les richesses, ‘’’un sous-sol scandaleusement riche, un sol vaste et fertile et bien arrosé, un climat superbe d’été permanent, un soleil généreux, un peuple jeune et travailleur :’’’ Malheureusement le Satan est venu ajouter des intellectuels égoïstes comme les nôtres qui ne pensent pas plus que le bout de leur nez. Je voudrai ici remercier au fond du cœur l’internaute ‘’’’Sidbéwendé Zoungrana,’’’’ certainement un conseiller technique dans le domaine que je suis, pour son analyse très propre à suivre pour tout investisseur qui désire réussir et investir au pays des hommes intègres. Un investisseur qui veut se faire ruiner aveuglement, peut suivre les régionalistes bornés qui ne savent pas que le développement d’un pays marche avec des intérêts durables, que des faillites des entreprises d’une région, causés par ses propres fils. Monsieur Sidbéwendé Zougrana, la vérité blesse mais ne tue pas, merci pour ta pertinente analyse

  • Le 13 février 2018 à 08:36, par Tapsoba R(de H) En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    « D’ailleurs, comment un Etat sérieux va-t-il se plier ainsi face à des investisseurs ? » Il serait judicieux que l honorable nous donne plus d explications à cette affirmation.Quel pouvoir a t-il un gouvernement d imposer des choix à un investisseur privé ,peu importe que l Etat détienne des parts dans cet investissement,minoritaire de surcroit,cela lui donne t-il le droit de choisir un lieu d implantation de son usine ? Les coûts et les besoins en eau dont vous parlez,l investisseur ne les a t-il pas analysés ,pensez vous ?

    • Le 13 février 2018 à 10:50, par SOME En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

      Non mon tapsoba est ce parce que quelqu’un a l’argent qu’il doit se permettre de ffaire ce qu’il veut ? Non il vient dans un pays investir, certes pour ganger de l’argent mais aussi l’etat doit absolument le ffaire faire selon son plan de developpement et la vision qu’il a pour son pays. Sous la revolution sankara a refusé des aides (dont on avait vitalement besoin) car c’etaient des investissement liés qui n’aident pas le pays. C’est cela avoir la souveraineté nationale.
      SOME

      • Le 13 février 2018 à 17:04, par liberation day En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

        Ah bon ! investir à Ouaga est un crime ! ouvrir une usine à Ouaga nous asservit ? bêtise quand tu nous enchaîne la cervelle

      • Le 14 février 2018 à 10:52, par Tapsoba R(de H) En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

        Mr SOME,je vous renvoie au commentaire No 81 (Sidpawalemdé Sebgo) .Il n y a plus rien à y ajouter.

  • Le 13 février 2018 à 08:49, par RICH 7 En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Pour une fois un burkinabè intègre s’exprime. Moi, je serai pret à vous supporter quoi qu’il advienne. Notre gouvernement doit apprendre à dire non aux bailleurs quand ceux-ci veulent nous imposer une autre forme de colonisation. Comment un partenaire peut connaitre mieux les réalités de notre pays à tel point que son choix emporte tout un gouvernement. Chers membres de gouvernements, soyeux attentifs et acceptez les bonnes critiques comme celle de l’honrable zerbo. Big up à lui. cette analyse juste, critique et sincère mérite 10000 voix en 2020.

    • Le 13 février 2018 à 16:41, par Sidbéwendé Zoungrana En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

      Pour un RICH, vous êtes vraiment RISH dans votre esprit. Avec vos faux langages anglais de rue empruntés, parce que très bassement utilisés étant donné que vous n’en comprenez aucunement leurs sens, vous débitez des inepties. On dirait que vous n’avez absolument rien compris des avis échangés par les uns et les autres. Suggérer de dire NON systématiquement à ceux qui sont disposés à risques et périls de venir nous aider est preuve que ne connaissez absolument rien ni en politique, ni en Economie de Développement. Vous êtes et restez bien limités. Des dires de TomSank dont a fait allusion un certain camarade, il faut aussi reconnaître que ce dernier n’a absolument rien compris le Grand SANKARA qui en effet s’était assigné pour mission de "Réveiller les burkinabé dans leurs esprits, leurs têtes et surtout leurs manières de chercher à se développer". En effet, jadis, alors que vous n’étiez peut-être pas encore nés, des Crédits ont été empruntés par nos Tontons sans destinations précises au profit du développement de notre pays ; emprunts que, j’en suis sûr, vous êtes toujours entrain de payer aujourd’hui. Après eux, nos aînés parvenus au Pouvoir n’ont fait de mieux que, tout en nous engageant davantage, de détourner ces dettes contractées à notre nom pour leurs propres comptes. C’est ainsi que, pendant que peinons à avancer, il y a des individus qui sont dans notre pays, des "Multi-milliardaires" sans qu’on ne puisse dire d’où proviennent leurs énormes richesses. Avec ce minus Réveil de conscience de certains de nos camarades, des idées sont nées à travers des Programmes considérés comme positifs et intéressants. Nous voulons ici faire cas de la SCADD qui fut améliorée pour être et devenir PNDES (n’en déplaise à ceux qui se réclament la paternité du PNDES car les deux Programmes Stratégiques de Développement ayant pour objectifs finaux d’impulser un certain Développement National). Que constate-t-on ? Des malins débouchent çà et là pour dire que ce ne sont pas des programmes appropriés pour cette impulsion recherchée. Aujourd’hui, ce sont des petits, pour ne pas dire des « Minus » qui s’autorisent de déclarer qu’il faut rejeter ceux-là qui se proposent de nous appuyer tout en préservant et couvrant leurs avoirs, leurs argents. Ceci est impensable et nous nous faisons le devoir de dire à tout ce monde que nous considérons comme des « inconscients, des malhonnêtes et des vaniteux et égoïstes », d’arrêter ces comportements de rue qui sont plus déstabilisateurs et rassembleurs. Nous avons tous en faite, le devoir d’agir pour le Développement de notre pays au profit de nos progénitures qui nous succèderont. Leurs comportements sont loin d’être patriotiques.

  • Le 13 février 2018 à 08:51, par Lassici En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    je crois qu’il faut être réaliste et faire une bonne politique si vous voulez le développement de ce pays. Ne pensez pas toujours à semer la haine au tour de vous croyant faire du bien. Je serai d’accord avec vous si vous avez proposé KOUDOUGOU pour remplacer FASOFANI ou encore DEDOUGOU qui est le centre de la culture du coton mais parce que vous êtes élu du Houet vous voulez des points auprès de vos électeurs il faut les instrumentaliser c’est d’hommage pour votre image mon honorable.

  • Le 13 février 2018 à 09:20, par Juste En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Je suis inquiet pour le pays avec ces termes de Grand ouest, région, ethnie, famille... qui commencent à être abondamment employés. Faisons attention parce que si en plus de la pauvreté nous perdons la paix, ce serait fini pour le pays. Dévier l’implantation de l’usine à Bobo ne suffit pas pour aiguiser l’esprit régionaliste ; c’est une récupération politique qui peut nous coûter très chère si on ne fait pas attention.

  • Le 13 février 2018 à 09:31, par SOME En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Ces histoires de « capitale economique où il n’y a rien qui releve de ce qu’on appelle éeconomie », de zone industrielle (où il n’y aucune industrie) , etc toutes ces notions et concepts vides qu’on nous vend et que nous on se croit obligé( pr paresse intellectuelle) d’enteriner. De « pays en sous developpement » « en voie de developpement », « émergence » « bonne gouvernance » etc toute cette merde intellectuelle qu’on vend et que nous pressons de manger… voila notre vrai esclavage mental. Vous avez beau changer les mots la realite reste la meme. A nous de comprendre que la vraie independance se trouve dans nos mots et nos concepts adaptés a notre civilisation et notre culture.

    En quoi Bobo est la capitale economique ? Si cela était vrai ou en tout en avait l’ambition sous la colonisation, ce fut totalement l’inverse a l’independance, et cela a cause …du tribalisme mossi, orchestré par le moro naba. Encore lui ! Ces sinistres individus comme les gerard gango, konombo, etc ont fait beaucoup de mal a ce pays de part leur instinct tribaliste. Thomas sankara avait reusii a brise rcette mentamlité et commencé a créer un sentiment d’appartenance a une nation unie et une independamment de son appartenance ethnique. Mais encore une fois le tribalisme mossi du centre s’est levé et a utilisé le pauvre Blaise pour tout casser. Et voila où on se retrouve ! Plus de 50 ans apres on reparle de mouvement autonomiste de l’ouest, de defense de peuls, etc de ceci cela…

    Felicitations a M Zerbo qui a le courage de dire les choses et de le dire bien, et en toute objectivité. Il faut reconnaitre que cette situation est due a la pourriture morale des fils de l’ouest en general et de bobo en particulier. Ces derniers se sont vendus a un tel vil prix a Blaise compaore… Bobo était presque la capitale de toute l’afrique de l’ouest. Sortez un peu (si vous ne connaissez pas l’histoire regionale) et quand vous dites venir de Bobo, les gens d’un certain age se rappellent de cette ville et de son aura.

    Cette situation desastreuse (simple exemple symbolique comme l’abattage des arbres de bobo qui faisaient la specificité de bobo), l’abandon systematique, etc par les fils memes de bobo, etc Tout ca c’est de leur faute a eux les fils et filles de bobo. N’eut été la reaction d’un Mgr Sanou, la situation aurait été encore plus dramatique.

    Felicitations M Zerbo : vous me rassurez et me raffermissez : il n’y a qu’une seule solution : « …surpasser les divisions pour défendre ce qui est bien pour le Burkina Faso et pour la ville de Bobo-Dioulasso. » il nous faut un sursaut salvateur, non seulement sauver la region, mais aussi et surtout sauver la cohesion nationale. Ca c’est une realité reelle , n’en deplaise a certains qui ne veulent rien voir. Le president Roch s’est definitivement disqualifié a mes yeux comme president de ce pays ! J’ai eu raison de n’avoir pas voté pour lui et je m’en felicite.
    SOME

    • Le 13 février 2018 à 16:57, par Sidbéwendé Zoungrana En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

      Nous ne savons pas qui vous êtes, mais à vous lire, on comprendra que vous êtes certainement un intello de très haut niveau, et même qu’il ne serait pas étonnant que vous fassiez partie des élites du pays, et pourquoi pas, un responsable administratif du pays. De par vos analyses, nous nous convaincrons qu’on n’a vraiment pas besoin d’aller à l’Ecole, faire le Lycée et l’Université pour être un Intellectuel intelligent. Si l’on se réfère à l’histoire, la Région Dagara fut l’une des premières contrées de notre pays qui ont largement eu accès à l’Instruction, l’Education du colon blanc. Ainsi, notre Fonction Publique et ce à ses niveaux les plus élevés compte beaucoup plus de Cadres Dagara que d’autres ethnies, simplement parce qu’ils ont profité de cette avance d’instruction pour être devant. Personne n’a osé à ce jour relever cet état de chose pour étaler les inepties que vous distillez. Si aigre vous êtes dans votre vie, ne déverser pas vos aigreurs sur les vaillants burkinabé qui, soudés, recherchent à tous prix, des solutions pour nous sortir la tête hors de l’eau.

  • Le 13 février 2018 à 09:53, par Sidpawalemdé Sebgo En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Ah... Vous n’allez pas faire pardon ? Visiblement la sortie de ce député a vraiment semé la zizanie dans les esprits et la confusion dans les analyses !

    1°) Les gens parlent de "stratégie de décentralisation", de développement des régions, de justice entre régions, de dirigeants qui favorisent leurs régions etc. Bien... MAIS CE N’EST PAS UN PROJET DE L’ETAT !!! Vous confondez entreprise privée et actions de développement du gouvernement ! A moins de voter une loi pour interdire les investissements à Ouaga ou décréter le communisme au Faso, aucune pétition ne peut avoir d’influence sur les décisions du conseil d’administration d’une entreprise privée multinationale. Liberté d’entreprendre ne rime pas avec populisme et dirigisme d’état. C’est justement ce dirigisme dicté par d’autres considérations que la rentabilité qui a fait couler de nombreuses entreprises dans ce pays et ailleurs, et fait chuter le bloc soviétique ! Vous êtes à contre courant des réalités économiques et de l’histoire. Et votre bruit ne fera que faire fuir cet opérateur et les autres investisseur potentiels !!!. Vous aurez alors commis un crime économique en faisant perdre 12.000 emplois acquis et d’autres potentiels pour des considérations égoïstes. (Oui, ne penser qu’à Bobo, ce n’est peut être pas régionaliste mais c’est égoïste !)

    2°) Le député, ainsi que de nombreux internautes donnent leur analyse sur les supposés avantages économiques de l’implantation dans telle ou telle localité. Mais on est où là ? Vous savez mieux étudier un projet d’investissement de plusieurs milliards dans un forum que les experts de cette multinationale turque implantées dans le monde entier ??? Croyez vous vraiment que cela s’arrête à la pluviométrie et à la proximité des zones cotonnières ? Dans ce cas pourquoi les usines meurent à Bobo ? La proximités des fruits a-t-elle suffit à faire le bonheur de la défunte Savana ? Sosuco n’a pas dû être privatisée ? Et l’usine de tomate qu’on a forcé mettre à Ziniaré sous prétexte de "proximité des producteurs", où en est-elle ? Toutes devraient pourtant être florissantes si on suit votre raisonnement ? Et à ce propos, le sahel n’EST PAS la meilleure zone d’implantation d’une usine de viande à l’heure actuelle, même si c’est une zone de grand élevage. Vous parlez sans savoir !

    3°) Pour information, l’analyse de l’implantation d’une unité, en dehors des aspects approvisionnements en intrants (vous avez cité ici le coton et l’eau) prend en compte d’autres facteurs : La disponibilité de personnel en nombre et en qualification, de services financiers, d’énergie, de facilités de télécommunications et de transport (routes, train, avion), de la sécurité, de prestataires qualifiés. La position géographique prend en compte les intrants, c’est vrai, mais aussi le marché, c’est à dire les clients potentiels locaux et éloignés, ainsi que la fiscalité. Sachez que les localités autres que Ouaga donnent droit à des avantages en impôts et taxes. Si malgré cela l’opérateur a choisi Ouaga c’est qu’il y a vraiment intérêt. Et eux, il n’ont pas pour rôle ni ambition de développer Bobo ! Comme l’a dit Macron, c’est le rôle de tous les Burkinabè et particulièrement le Président, le gouvernement et l’assemblée, donc le votre !

    4°) Tout le monde, même ceux qui ne sont pas de Bobo, souhaite son développement, et celui des 13 régions du Burkina en général. La solution est de faire venir des investisseurs pour TOUTES ces régions, pas de se disputer l’implantation d’UN projet au point de faire fuir TOUS les investisseurs potentiels, donc exactement le contraire ! Question de bon sens, ou bien M. le député ???

    Et puis, en supposant que vous obteniez gain de cause, la prochaine étape c’est quoi ? Vous allez leur imposer les employés, les salaires, les entreprises de construction et d’approvisionnement, voir même à qui vendre ou pas ??? Où ça va s’arrêter ? Quel investisseur qui veut faire du profit va accepter cela ? L’argent sérieux déteste le bruit, arrêtez ça pendant qu’il est temps. Vous risquez sinon de nuire gravement à votre pays (si ce n’est déjà fait), ce qui serait un comble pour un député...

  • Le 13 février 2018 à 09:54, par Rosamonde En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Chers internautes,
    Bonjour à toutes et à tous !

    Je suis du Grand Ouest, mais lorsque j’ai lu l’information disant qu’une usine de transformation du coton allait s’implanter à Ouagadougou, je me suis écrié "Plutôt à Koudougou à cause de Faso Fani qu’il faut ressusciter". Pourquoi Ouagadougou où il y a déjà tant d’usines, pourquoi pas Bobo-Dioulasso où il y a déjà une usine d’égrenage ? Bref, je me suis dit que Ouagadougou n’était pas le site idéal.
    Mais en lisant les uns et les autres , je suis choquée par l’intervention de M.Le Boss qui dit ceci : "Pendant 2 ans, l’e ministre du commerce a été fils de l’Ouest quelle usine a-t-il pu dépoussiérer là-bas ? Donc chaque Ministre doit agir pour chez lui ? haaaaaaaa ! Le Pr Nicolas MEDA dans ses tournées régionales, a commencé par la région du Sud-ouest : Gaoua, qu’a-t-on dit à son sujet sur le même faso.net ? Qu’il était régionaliste. M Le Boss, nos fils ne sont pas libres d’agir au risque de se voir taxés de régionalistes. Souvent également, on met les gens au lieu de mettre les gens qu’il faut aux places qu’il faut, c’est le contraire que l’on fait. On met les gens qu’il ne faut pas aux places qu’il ne faut pas pour justement dire qu’ils sont incompétents et les remplacer avec.... et dire qu’ils sont les meilleurs. C’est la même chose pour le choix des sites. A mon humble avis, les bobolais ont voulu dire de choisir un site moins polluant pour la nappe phréatique afin d’installer la CIMAT, ils n’ont pas dit qu’ils ne voulaient pas de l’usine à Bobo. Ne préparons pas la révolte technique en l’alimentant avec les termes "vous êtes régionalistes..."Par contre je suis entièrement d’accord avec les internautes n° 68 et 65 : Il faut travailler, il faut s’investir dans les démarches, les recherches de partenariats, les montages de projets durables, viables et communautaires, il faut valoriser les compétences et expertises disponibles dans la région. Et pour cela, les élus de la région du Grand Ouest ou les nommés du Grand Ouest devront travailler ensemble, se concerter plus souvent, s’unir et se faire évaluer à l’action et à l’impact des actions. Les écrits, c’est bien mais ce n’est pas arrivé..... Vive le Burkina Faso, Terre des HOMMES intègres. Pays de tout Burkinabé qu’il soit Majoritaire ou Minoritaire. Bon courage à nous tous !

    • Le 13 février 2018 à 11:00, par SOME En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

      merci rosamonde tu fais honneur. Il y en a qui se precipitent et avancent tellement d’inepties... J’ai tout aussi relevé cette phrase qui m’a plus que inquiété : ""Pendant 2 ans, l’e ministre du commerce a été fils de l’Ouest quelle usine a-t-il pu dépoussiérer là-bas ?" C’est vraiment catastrophique cette mentalité qui semble s’etre installée dans nos tetes. Aussi devait -on laisser cimat polluer la nappe phreatique sous pretexte de creation d’emploi et de developement de la region ? Le grand probleme c’est qu’il n’y a paas de synergie des acteurs et fils de l’ouest pour impulser une autre dynamique au lieu de laisser la place aux ethnicistes qui eux disposent de structures tribalistes et agissent de concert en dessous. justement parce ces gens du sud ouest ne veulent pas de division alors on va utiliser ce sentiment contre eux
      SOME

      • Le 13 février 2018 à 15:00, par Jonassan En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

        Mon cher SOME, pour une fois que tu as mordu à l’ameçon autant tirer rapidement sur le fil. Tu commences la réflexion que le député aussi aurait dû aussi commencer dans sa question somme toutes pertinente, nationale voire patriotique de : POURQUOI BOBO SE MEURT ? et peut-être arriver à la conclusion que ce n’est pas une affaire d’usine et que même si l’on implantait toutes les usines du Burkina à Bobo, Bobo risquait de continuer son voyage vers l’au-delà et que ce ne serait point l’Eldorado.
        En parlant d’Eldorado, ce n’est pas des usines d’or qui ont rendu célèbre ce coin des états-unis mais la ruée des américains vers l’extraction quasi-manuelle de la manne. Si donc Bobo est notre Eldorado (ce n’est pas par décret mais une réalité confinée par les chercheurs d’or) alors la question de "Pourquoi Bobo se meurt ?" pourrait devenir "Pourquoi y’a pas une ruée vers Bobo ?" et quelques réponses empiriques qui ne peuvent bloquer la réflexion que monsieur le Député aurait et doit porter à la connaissance de ses fans, c’est que les riches zones agricoles et cotonnières de Bobo n’intéressent ni la jeunesse bobolaise, ni la jeunesse burkinabé sinon le BURKINA SERAIT DEVENU CE GRAND PRODUCTEUR RICHARD et BOBO SERAIT AUJOURD’HUI DEVENU LE GRENIER NATIONAL et la province qui nourrit le BURKINA ne peut mourir et le Burkina continuer à respirer. L’article soulève un PROBLEME mais la REPONSE n’est pas encore là.

        • Le 13 février 2018 à 17:06, par SOME En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

          non car on l’aurait accusé de velleites regionalistes. Il n’a fait que presenter des arguments de viabilité economique qui montrent que certaines decisions ne le sont pas. Or une decision economique devrait dans une politique plus globale ; c’est justement cette vision qui manque et qu’incrimine M Zerbo. Peut etre que tu n’as pas lu mon intervention precedente ou je recuse ces faux concepts de "capitale économique" etc qui ne correspondent a rien du tout. bobo se meurt non seulement du comportement de ses fils et filles mais aussi a cause d’une certaine conception ethniciste de la gestion de l’etat, malgre tout ce qu’on nous veut faire croire. une etude objective denuée de toute arriere pensée ethnico tribaliste n’hesiterait meme pas quant au meilleur emplacement de cette usine. et cela pour toutes les raisons avancées par M Zerbo. si la responsabilité est partagée elle l’est pour les dirigeants irresponsables qui ndivisent ou qui refusent de prendre leurs responsabilités face au devenir d’un pays. M Zerbo a bel et bien soulevé la question de la meilleure maniere et a pu evité ainsi evité le peige de l’ethnicisme tribalisme. Seule une lecture superficielle ou de mauvaise foi peut accuser M Zerbo d’autre chose. tu passes par trop de raccourcis sans arguments pour dire c’est la faute a la jeunesse bobolaise : il n’y a de ruee vers bobo parce justement certains ont une mauvaise coprehension et decident qu’il en sera ainsi. Si cette usine etait installée Bobo c’est ainsi que la ruée pourrait demarrer au lieu de la bloquer chaque fois sous de faux pretextes
          SOME

  • Le 13 février 2018 à 10:41, par quittez dans cas En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    repondez moi svp : ce sont les mêmes ministres députés directeurs etc. qui déposent leur argents dans des comptes à l’extérieur et qui reviennent exiger aux autres d’investir dans telle ou telle autre localité ? eux au moins ils veulent investir chez nous. vous votre argent sert à quoi : villa voiture poulet braisés femmes voyages bières champagnes et j’en passe. une autre question : donc l’Etat burkinabé n’a pas 220 milliards pour ouvrir usine quoi ? on est pauvre deh.

    • Le 14 février 2018 à 12:32, par Sidpawalemdé Sebgo En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

      Non, non, c’est pas 220 milliards qu’on n’a pas hein... Les investissements de 2018 dépassent les 1000 milliards. C’est plus compliqué que ça :

      1°) Faire du textile de qualité à un prix compétitif et le vendre est un métier. Et ce n’est pas le métier d’un gouvernement, c’est celui d’opérateurs comme le turque Ayik Textile. Pourquoi se lancer dans une aventure hasardeuse alors que Faso Fani peine déjà à survivre ?

      2°) Il y a autre chose à faire avec cet argent que de créer une usine qui risque de fermer peu de temps après : Construire des écoles, des dispensaires, hôpitaux et routes, creuser des forages et j’en passe. On appelle ça le vrai bon sens, (pas celui douteux du député).

      3°) Le projet "juteux" qui fait saliver les "Bobophiles" ne consommera que 20.000 à 30.000 tonnes de coton, sur les 500.000 à 600.000 tonnes que nous produisons annuellement (qui ne viennent pas en totalité de Bobo, contrairement à ce que raconte le député). Selon le point de vue, on peut dire que c’est une goutte d’eau, ou qu’il y a la place pour 30 autres usines de la même taille. Si le Burkina se lance dans ça d’autres priorités vont en souffrir.

      P.S. : A propos, dites au député néo-économiste auto-proclamé qu’il y a la place pour dix usines de cette taille à Bobo s’il trouve des investisseurs à convaincre. Qu’il laisse donc la paix à celui là, ou qu’il tente de le convaincre d’en faire une deuxième là bas, au lieu de lui dicter la localisation sur celle-ci !

  • Le 13 février 2018 à 11:00, par Sidpawalemdé Sebgo En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Il était une fois treize jeunes chasseurs qui s’en allaient chasser de bon matin ;
    Il vint alors un gros lièvre, qui sauta dans la gibecière du premier avec entrain,
    Il y avait en effet mis de l’herbe coupée de son jardin ;
    Il sembla alors que sa bonne fortune de leur aventure soit la fin ;

    Les douze autres se mettant alors à réclamer chacun ce gibier, si dodu et déjà captif ;
    Le chanceux selon eux, n’avait aucun mérite ni n’avait été plus actif ;
    Les échos de leur dispute alerta les autres gibiers, qui s’enfuirent si vifs ;
    La cambrousse devenant alors bien vide et la chasse un projet très oisif.

    Messire lièvre, par ce bruit effrayé, et par les belligérants oublié,
    Mesura le danger et sorti de la gibecière et du bourbier,
    M’ba Soamba ainsi sauvé par l’inconséquence de nos débatteurs timorés,
    Messieurs les chasseur s’en retournèrent ainsi sans aucun gibier !

    • Le 13 février 2018 à 12:09, par Sidpawalemdé Sebgo En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

      N’oublions pas la morale du conte : Mieux vaut continuer à chasser et attraper des dizaines de lièvres que de se battre pour le premier... Sans compter qu’à défaut on le mangera ensemble ce lièvre !

    • Le 13 février 2018 à 18:15, par XY En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

      Belle histoire qui illustre parfaitement la situation de cette usine textile
      Mais il ne faut pas oublier que l’objectif de certaines personnes qui ( Lookman Sawadogo, et autres) qui font le bruit autour de cette usine c’est de chasser les investisseurs ;
      Egoisme et ignorance quant tu nous tiens !!!

  • Le 13 février 2018 à 11:32, par Code En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Objectivement, l’usine devrait s’installer dans la zone de production de la matière première pour réduire certains coûts liés au transport et autres de ladite matière. Aussi, cela diversifierait nos zones de productions industrielles et accélérait le développement de certaines localités autre que la capitale. Par conséquent, si la décision n’est pas politicienne et que les promoteurs, après des études de faisabilité au Faso, décident l’installation dans la capitale, nous ne pouvons que s’étonner et se tenir à cette décision car quelle que soit la localité, ce sont des Burkinabè qui en bénéficieront. Espérons que cette usine verra le jour au Faso car c’est déjà un pas et créons toujours un environnement favorable aux quelques investisseurs qui y viennent en lieu et place de la récupération politicienne ou des raisonnements régionalistes. C’est le Faso qui gagne !!!

  • Le 13 février 2018 à 11:54, par HAMA En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    A tous mes frères de Bobo, ce que vous dites n’est pas fondé. La "compaorose" a gâté la ville de Sya avec de l’argent. Quand ils étaient au pouvoir, les agents pathogènes (députés, maires, ministres etc) de cette maladie venant de la région n’ont rien fait. Tous voulaient remplir leurs poches au détriment de la ville. Personne, je dis bien personne n’ y a attiré des investisseurs. On ne faisait que spolier la population de leur terre et les vendre pour se construire des villas et s’acheter des belles voitures...Les jeunes sont laissé à eux-mêmes. Ne nous apprenons pas aux gouvernants actuels, le problème, c’est que la région n’a pas encore trouvé des gens intellectuellement forts, honnêtes et dignes qui se soucis du développement de la ville de Sya. Il faudra que nous les jeunes de tout bord politique de la région soyons unis et qu’on s’investisse fortement dans vie de la nation surtout pour la ville de Bobo. Ne laissons pas les politiciens ingrats, voleurs et malhonnêtes nous diviser pour des raisons bêtes sans tête ni queue. Sinon le choix de Bobo ou d’une autre ville n’est pas une question de région, d’ethnie ou de localisation. C’est la faute à nos représentants locaux qui ne jouent pas leur rôle. Dans une guerre, tout le monde se bat pour être vainqueur. Nos gens partent dormir à l’Assemblée et ils veulent qu’on investisse dans leur région. Le malade qui ne va pas à l’hôpital, peut-il vraiment être guérir de sa maladie ?

    • Le 13 février 2018 à 16:00, par SOME En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

      Oui tout le probleme vient de l’irresponsabilite des fils et filles du pays. Cela je le criais dans mes interventions depuis le temps de Blaise qui voulait tuer la region
      Mais le gouvernement ne doit continuer une meme politique qui est negative pour le pays : voila là ou se trouve le probleme soulevé ici
      SOME

      • Le 13 février 2018 à 17:17, par liberation day En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

        tu parles de quelle région il n’y a pas de région de l’ouest parmi les 13 régions du Burkina

      • Le 14 février 2018 à 00:16, par C’est Ca En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

        Notre cher député a donné son point de vue sur la situation de Bobo. Je retiens qu’il a mentionné que plusieurs usines ont fermé ou sont en souffrance. A en croire à ses propos, ces usines sont très nombreuses. Pourquoi ne pas proposer une réflexion sur cette situation qui pourrait aboutir à une réhabilitation de celles-ci. je pense que la réhabilitation de ces usines donnera plus de travail à nos frères dans cette région. Il me semble que le député a fait un état des lieux des usines en souffrance mais je pense qu’il manque les solutions pour leur réhabilitation. Une pétition réunira les signatures d’une quantité importante de personnes. Pourquoi ne pas utiliser ces personnes pour réfléchir sur les solutions de réhabilitation des usines en souffrance. Il en sortira des propositions à même d’orienter nos dirigeants. L’usine dont on parle ici ne transformera qu’environ 3 % de notre coton. Il reste 97 % de notre coton à transformer. Il faut plutôt encourager les autorité à poursuivre dans cette lancé afin que d’autres usines voient le jour et certaines pourront être implantées à Bobo, Banfora, Fada,etc...comme on voit avec les multiples usines d’égrainage de coton que nous avons dans plusieurs localités du pays.. Evitons les querelles inutiles. Trop de propos haineux ici. Peut être que les turcs s’en iront voir ailleurs et le Burkina Faso sortira perdant.

  • Le 13 février 2018 à 12:23, par Le Brave En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Tout le monde sait que Bobo est delessé à elle même. On parle de capitale économique, mon oeil oui. Une capitale économique se réconnait par ses grandes industries et son commerce dynamique. Alors qu’a Bobo ici les usines se fermes les une après les autres. De nos jours je crois que c’est Ouaga qui cumules les deux postes de capitale celle politique et celle de l’économie. En ce qui concerne les routes tout le monde c’est que les échangeurs en plus de rentre la circulation fluide rend une ville belle et attirante. La circulation à Bobo est elle fluide où bobo est elle une belle et attirante ville ?? De grace je croit qu’il est grand temps que le gouvernement songe à réaliser de grands chantiers de developement à Bobo-Dioulasso.

    • Le 14 février 2018 à 00:29, par Et oui En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

      Juste pour info, il y a quelques jours de cela, sur lefaso.net, il y a eu un écrit d’un responsable et pas les moindres des hauts bassins, qui disait qu’ll préférait du goudron au niveau des quartiers périphériques de Bobo à un échangeur. Ses propos sont suite à un projet du gouvernement de construire un échangeur à Bobo. Selon lui pas nécessaire de construire un échangeur à Bobo. A qui la faute ?

  • Le 13 février 2018 à 14:06, par bédjou En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Une trop forte concentration d’usines à ouaga est à l’origine de toutes les difficultés que l’on connaît de nos jours(bidonvilles à n’en pas finir, non disponibilité de l’eau en quantité et en qualité, embouteillage dans la circulation à n’en pas finir pratiquement à n’importe quelle heure de la journée et sur la quasi totalité des axes routiers, incivisme galopant ( les populations devenant de plus en plus aigres) les infrastructures socio éducatives et sanitaires très vite dépassées à raison d’impossibilité de la planification démographique, donc forte surpopulation de la ville). La population de ouaga de ns jours serait trois fois plus élevée que celle de bobo, la 2ème ville et considérée comme la capitale économique. Un bon planificateur sait qu’il faut prendre des mesures en cherchant à décongestionner ouaga, pour éviter de l’étouffer. Ouaga devient de plus en plus une bombe en raison de la surpopulation ; celle ci ayant des effets pervers à terme.

  • Le 13 février 2018 à 15:07, par sylas En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Djamila va investir Bobo. N’est ce pas M Salia Sanou ; L’usine vient des turcs donc l’état n’a pas le contrôle de son lieu d’implantation.

  • Le 13 février 2018 à 17:10, par Desintegration En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    je me réjouis parce que les internautes et la population sont entrain de comprendre le vrai visage de ces bobocentristes invétérés

  • Le 13 février 2018 à 17:22, par Internaute En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Je ne sais plus qu’elle est la capitale économique du Burkina ? C’est bobo ou ouaga ?
    Une telle usine, c’est dans la capitale économique qu’elle doit être construite.

  • Le 13 février 2018 à 18:17, par Adakanla En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Moi je m’en prend à nos premiers dirigeants qui ont laissé ce vide Depuis longtemps. Comment on peut imaginer l’absence d’une telle unité dans notre pays. C’est regrettable que ce vide soit combler par des tierce et sujet à polémique entre les fils de ce pays.
    La politique c’est la vision pas autre chose. On a tous mal ojourdhui de ce qui ce passe dans ce pays. Rassembler les fils de pays SVP chers dirigeants.

  • Le 13 février 2018 à 18:34, par Bouba En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Je viens de lire cet article. Je n’ai pas encore eu le temps de lire les commentaires. Mais le fait que le gouvernement n’a même pas eu le courage de communiquer sur le lieu choisi en dit long sur la tricherie et la malhonnête dans cette affaire. Ce gouvernement mouta mouta est en train de creuser sa propre tombe en créant les conditions d’une guerre civile qui n’arrange pas lui-même. L’autre a eu le temps de rejoindre sa belle famille grâce aux Français, mais vous n’aurez pas cette chance. Hier c’était le Mogho Naba, qui n’est que le naba du plateau central qui recevait les Kolgweogos de l’ouest illégaux non reconnus de l’Ouest. Le Mogho Naba n’est même pas le chef de tous les mossi puisqu’il n’a même pas autorité sur les Mossi de Ouahigouya, de Kaya, de Tenkodogo,, etc. C’est de l’imposture de croire que le Mogho NAba est le chef de tous les mossi. Il n’est même pas le chef de tous les mossi à plus forte raison le chef de tous les Burkinbè. L’histoire est têtue car le Mogho Naba Boukari Koutou a fui au Ghana dès une rumeur sur l’arrivée de la colonne Voulet-Chanoine. La conséquence est que sa fausse armée "tigre en papier" n’a opposé aucune résistance au colonisateur. Les Mossi n’ont opposé aucune résistance au colonisateur. La création et l’indépendance de ce pays ne leur doit rien. L’histoire est également têtue car le Mogho Naba Kougri dans la boulimie du pouvoir moaga a tenté d’imposer une monarchie constitutionnelle en 1957. Il a échoué avec fracas. L’injustice, les inégalités, la magouille aux détriments des régions doit disparaître si nous voulons un Burkina de paix

  • Le 13 février 2018 à 18:40, par Substance Grise En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Il faut vraiment être patient avec les burkinabè en attendant de trouver les mésures appropriées.
    Tout de même il faut que l’executif presse le pas avant que les partenaires au developpement et á l’investissement ne soient dans la crainte et se retirent.
    May God Help us ! On se demmande parfois on est dans quel monde avec ce pays au regard de la mentalité qui y prévaut.
    En toute sincérité rien ne me surprend vu la tournure des choses depuis les années 1990.

  • Le 13 février 2018 à 19:31, par Ka En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    En parcourant les critiques fondées et les autos critiques des internautes : Ma conclusion pour la sortie de notre député régionale M. Zerbo est de le dire, et de le conseiller : ‘’’’Quand on a un bilan d’une ville comme BOBO dont on se sent comptable de sa négativité, la moindre des choses est de prendre acte de ce constat, et mettre la faute à l’incompétence de tous les acteurs qui tiennent la clé de cette ville, même y compris nos gouvernants d’avant ou de nos jours, et d’en tirer les conclusions immédiates, au lieu de crier la mort de cette ville en appelant des investisseurs averti de venir se jeter dans la gueule du loup.

    Autrefois BOBO fut la porte de l’industrie de notre pays, mais cette ville connu son lot de perdition après la révolution ou des individus filles et fils de la région comme les Salia et Koussoubé ne jurait leur fidélité économiquement et politiquement qu’a un individu, un introverti appelé Blaise Compaoré, et oubliant le développement de la ville de SYA qui n’est pas mourante mais morte. Pourquoi elle est morte industriellement ? Par ce que les décideurs de cette ville comme les Koussoubé et les Sanou Salia forçaient par la corruption et par pression a des gestionnaires d’Entreprises d’employés des familles et connaissances sans qualification à des postes de responsabilités, et ceux-ci a conduit à la faillite de plusieurs entreprises florissantes de la région durant les dernières 25 années. Et faites-moi confiance monsieur le député régionale, ‘’’qu’il soit un investisseur Turc, Français, ils se renseignent et tout se sait.’’’

    Et mon conseil aux acteurs qui tiennent la clé de notre capitale économique, c’est qu’il vous faut lutter quotidiennement de jour comme de nuit, main dans la main sans repos ni trêve, pour avoir la confiance des investisseurs et même l’état Burkinabé qui vous tourne le dos. Je profite remercié mes amis internautes ’’’’SOME et vérité No1 de me lire.

    • Le 14 février 2018 à 09:10, par SOME En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

      Mon frere et ami ka tu sais bien que c’est toujours vec plaisir que je te lis. Je sais que toi tu ne viens pas sur ce forum pour te pavaner et insulter sans avoir la capacité d’argumenter un tant soit peu, ni meme proposer quelque chose de constructif pour ce pays et ce valeureux peuple. Bref toi, moi verite n1, tapsoba de bobo, etc on sait pourquoi on vient ici, continuons notre travail de "conscientisation" de la jeunesse et laissons les aboyer. S’ils ont ete capables de detruire la revolution, ce n’est pas mintenant qu’ils vont arreter...
      bref tu sais que je souscris entierement a tes critiques sur bobo et le comportement rapaces de ces dirigeants a une certaine epoque. Je critique cette decision, c’est plus global comme vision de la politique economique : on n’en a pas en dehors d’une vieille vision teinttée d’ethnicisme. Plus de 50ans apres comment apres l’insurrection, on soit encore resté a cela ? Comment le MPP peut continuer a enteriner cette vision là ? certes la corruption existe a ouaga aussi comme partout ailleurs, mais dans cette ffaire, une vision a long terme et nationale et patriotique de l’avenir du pays deciderait d’utre chose, et c’est l-occasion pour l’etat de reprendre les choses en main a bobo pour une vision nationale. Alors que là... on contribue a renforcer l’animosité des gens de l’ouest. Comment peut on encore parler d’autonomie du grand ouest de nos jours ? Il y a un vrai probleme quelque part, meme si certins se reveillent aujourd’hui (comme M zerbo) alors qu’ils ont bobo a sac. Neut été les interventions de Mgr Sanou, ca risquait d’etre la guerre civle a bobo. et cela a divisé les bobo
      SOME

      • Le 14 février 2018 à 12:52, par Ka En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

        Oui mon ami SOME, voilà plusieurs années que nous sommes sur la toile avec nos critiques fondées et nos différences qui enrichissent le forum de Lefaso.net : Auparavant ce fut dans d’autres sites comme Le pays, B24, l’Evènement, L’observateur Lebanco.net exct. On ne vient pas sur le Web seulement avec des dénigrements ou d’stérilités, ou partisan, mais avec des analyses qui vont pour le peuple exploité et opprimé, surtout des critiques et des autos critiques qui vont pour l’avancer du pays que nous aimons tous.

        Je n’oublierai pas que depuis plus de dix ans, les internautes de bonne foi, comme toi, mon ami et promo Kôrô Yamyélé, Anta, Achille de Tapsoba le Bobolais, Vérité No1, Le Citoyen, Karim Ouédraogo, ma petite Eliane, madame M. Guirma, et tant d’autres, ont contribué a la richesse des forums pour des lectrices et lecteurs assoiffés de la vérité et des vécus des uns et des autres. C’est vrais que nous ne partageons pas toujours les mêmes idées, mais je reconnais que par les internautes dont j’ai cité, sont des professionnels, des personnes de culture différente et riche, dont Je salue leurs grandeurs d’esprit et leurs franchises.

        Quant au problème de BOBO, il ne date pas de nos jours, car une ville économique dans un pays profondément corrompu depuis plus de 60 ans, n’est pas transformable en un modèle d’un lieu économique en peu temps. Et comme je l’ai dit, il est temps que les cadres de la région se mettent au combat, et à sa tête pour mener bien ce combat, le député M. Zerbo. Ça sera un combat dure pour donner une confiance aux investisseurs, car les mauvaises habitudes des acquises pour au moins 30 ans ne se perdent que par étapes, le tout soutenu par une transformation progressive des mentalités des Bobolaises et Bobolais. Malgré que je n’aie pas été attendrissant avec notre jeune député M. Zerbo dans mes critiques fondées, il faut être objectif et saluer sa franchise. Bonne fête de St.Valentin a toutes et tous mes lecteurs et lectrices, sans oublier l’homme a la plume d’or le Dr. C.Paré et son équipe de Lefaso.net.

  • Le 14 février 2018 à 09:01, par verité no1 En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Bobo et Ouaga, c’est exactement comme une femme et sa coépouse.
    Elles mangent ensemble, partent au marché ensemble, vivent ensemble mais ne s’aiment pas.
    Si la première gagne un cadeau, ça moyen tuer la deuxième !
    Jalousie et hypocrisie mélangées à de rires jaunes !
    Sauf qu’ici, c’est la deuxième qui ne veut pas voir la première !!!!!!!!!!
    Plus jamais ça mon député !!!!!!!!

  • Le 14 février 2018 à 09:29, par yameogo En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Pour un député, ces arguments sont d’une telle faiblesse qu’ils sont irrecevables. Monsieur Zerbo, vous comprenez ce qu’est un actionnaire majoritaire ?
    Il vient avec ses projets et propositions pour des intérêts privés. Pour ce cas ci, il s’associe à l’état du Faso. Si vous n’êtes pas intéressé, il ira voir ailleurs.
    Vous êtes à un niveau (et les autres responsables aussi : députés, maires, conseillers,...) où vous devez comprendre les mécanismes internationaux pour que le Faso puisse y trouver sa place sans brader sa souveraineté (qui est quand même limitée).
    Votre pétition, bof !......

  • Le 14 février 2018 à 09:34, par Sidpawalemdé Sebgo En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Trop de (faux) savants sur le net !!! Non, Ouagadougou n’est pas "saturée" ! Vouloir sauver Bobo n’implique pas de dire des contre vérités, comme cela n’implique pas de torpiller un projet d’usine prévu à Ouaga. Déshabiller Pierre pour habiller Paul en disant que Pierre a déjà un caleçon n’est pas une une approche intelligente.

    Les "petits" deux millions d’habitants de la ville sont loin des populations des capitales voisines. Nous avons aussi moins d’industries que les capitales de la région et du monde, alors qu’elles en cherchent pourtant toujours. Sachez que Ouaga, dont la surface au sol dépasse Paris, n’a pas 10% de ses usines ! Au contraire, il faut plus d’unités pour fournir du travail à cette population. Et on sait aussi que le nombre de consommateurs potentiels ainsi que la disponibilité de main d’œuvre qualifiée attire les investisseurs.

    Par contre, l’espace est mal organisé, les lotissements mal faits, les routes faites sans tenir compte de l’avenir. Que ce soit dans la zone industrielle de Gounghin ou celle de Kossodo plusieurs anciennes usines mortes restent vides, pendant que des parcelles d’habitation sont détournés pour des ateliers, fermes et usines créant des nuisances dans la ville. Les zones périphériques sont accaparées par des spéculateurs fonciers qui ont borné des hectares qu’ils n’exploitent pas. Quand aux logements et bureaux, l’entêtement à construire des R+0 gâche l’espace et complique l’urbanisation, ramenant les populations de plus en plus loin, ce qui complique les déplacements et rend les routes insuffisantes, renchérissant l’adduction d’eau, d’électricité et l’assainissement par la dispersion.

    Les solutions radicales étant douloureuses, les politiques évitent de les évoquer. Car si on parle de déguerpir des vieux lotissements pour réorganiser la ville et les routes, ou de saisir les terrains non exploités comme on fait pour les parcelles attribuées, les gens vont crier au scandale, même avec des dédommagements. Quand à enterrer les branchements électriques et de téléphone ou faire des égouts ou parkings souterrains, cela coute cher en plus des désagréments prévisibles. C’est pourtant comme ça que toutes les grandes villes ont résolu leurs problèmes.

    Pour le moment, leur seule solution est d’aller de plus en plus loin du centre ville. Cela explique entre autres la bagarre pour les élections et la direction de certains arrondissements afin de disposer d’espace exploitable. Mais au moins cela crée des emplois, en attendant des solutions plus responsables et durables...

  • Le 14 février 2018 à 10:23, par ECLAVIVESUDOUEST En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Comprendre pourquoi l’ouest bassin cotonnier avec suffisance d’eau et proche des ports maritimes n’a pas été éligible en comparaison de ces prérequis économiques pour un soit disant étude implantation d’usine de textiles cotonnier surtout pour susciter l’attrait l’implantation à d’autres usines éventuels du domaine si toutes les potentialités économiques de toutes les régions du BURKINA FASO sont bien promues à la bonne occasion sans ostracisme déguisé par le fait d’une majorité agissante ...dont dans certaines occasions l’ouest a semblé en être victime.

  • Le 14 février 2018 à 11:24, par Rabaoyele En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Je demande aux députés du Kadiogo de tous les partis de lancer une contre pétition pour l’implantation de l’usine à Ouagadougou.
    On peut aussi faire un référendum Ouaga/Bobo pour choisir et dans ce cas on fait quoi de Koudougou de Dédougou ?
    Il faut arrêter ces conneries à relents régionalistes

  • Le 14 février 2018 à 13:23, par SOME En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Desolé de devoir revenir sur ce debat (« ENCORE LUI ? » diront les détracteurs de SOME). Mais au vu des interventions des uns et des autres, et tout en faisant fi des insultes ouvertes ou insinuées, (insultez comme vous voulez !), je reviens pour dire simplement que beaucoup se sont seulement focalisés sur une dimension regionaliste de l’intervention de M Zerbo. Et du meme coup ils lisent les interventions des uns et des autres (ou en tout cas lisent mes interventions) avec des lunettes de regionalistes ethnicistes sans meme se donner la peine de comprendre en profondeur les idees avancées, ni les tenants et les aboutissants et sans les reclasser dans le contexte actuel de l’histoire de notre pays. Il faudrait commencer par là. C’est seulement alors que le debat pourra etre depassionné et abordé de facon objective et sereine. Et ce faisant vous comprendrez la portée de la sortie de M Zerbo, quel que soit le grief qu’on lui reproche.

    Il ne sert a rien de venir jouer une fois de plus la politique de l’autruche comme on l’a fait depuis les annees 90 quand Blaise a opté purement et simplement et clairement pour le tribalisme afin d’asseoir son pouvoir. Il ne sert a rien de venir encore rechanter encore cette rengaine usée et eculée de "nous sommes tous burkinabe, le burkina appartient a tous les burkinabe", etc etc. Oui c’est une verité, mais cette verité est vecue comment dans notre pays ? Comment tentons nous de mettre en oeuvre de facon concrete ce vivre ensemble de plus de 60 ethnies du burkina et ayant des pratiques de gouvernance parfois opposées ? Si depuis plus de 50 ans on se retrouve au 21e siecle a parler de separatisme du grand ouest, de mouvement de defense des peuls, de grand macina, etc, il y a probleme a coup sur. Comment ose-t-on venir caresser encore aujourd’hui de telles velleités ? Non ! ca veut dire quoi ?

    Mon ami ka en a donné un aspect en fustigeant les responsables locaux de bobo, et je partage bien ses arguments, meme si je ne partage pas la conclusion qu’il en tire. Il faut passer a une étape superieure dans la construction de l’état nation comme Thomas sankara a tenté de le faire sous la revolution, Malheureusement cette clique de predateurs voraces egoistes n’ont jamais mis dans leurs tetes une telle avancée dans l’avenir de notre pays, et toutes leurs pratiques le confirment. Je les taxais d’incompetents, mais en realite je decouvre (et me convainc) que c’était plutôt du tribalisme et non de l’incompetence. Je comprends pourquoi ils se sont tus, muets comme des carpes quand Ablassé ouedraogo a osé vomir si tranquillement sa merde de « mossi musulman du plateau central ». Je comprends et me convainc qu’ils ont été les vrais orfevres de la destruction de la revolution parce que Sankara n’était pas un moaga du plateau central ; il n’est meme pas un vrai mossi car il est silmi moaga, et a ce titre comment blaise compaore un vrai moaga du plateau central peut-il se laisser commander par un faux mossi... Voilà là ou ils ont travaillé pour eliminer Sankara. Peut-on construire un pays ainsi ? Non !

    Nous revenons encore aux comportements des moro naba juste avant les independances et leurs basses manœuvres. Nous comprenons comment Bobo (et la Haute volta) a été depouillée de tout alors qu’elle était sur le point d’etre la capitale meme de l’afrique de l’ouest. Nous savons comment les Nazi Boni, Ouezzin coulibaly, Zinda Kabore, et meme Maurice Yameogo, etc ont été éliminés et pourquoi ils l’ont été ? On connait l’incurie et la nocivité du tribalisme d’individus comme les conombo, kango et autres. Nous en payons encore le prix aujourd’hui.

    Nous avons été complices aussi car nous n’avions rien fait pour nous opposer a ce choix tribaliste de Blaise : bien au contraire certains s’y sont engouffrés pour avoir des postes. Voila la faute des fils et filles de bobo. J’ai été parmi les premiers a denoncer ce tribalisme et ce comportements des fils et filles de bobo : vous pouvez faire des recherches sur les forums du fasonet. Je n’affirme pas pour affirmer des niaiseries et m’en vanter comme certains qui voient en lefasonet une vitrine de leur ego.

    Ce debat que pose M Zerbo va au dela du regionalisme. Je ne connais pas cette personne ni de pres ni de loin. Je ne le decouvre qu’ici, mais je le decouvre sous des arguments avancés pour soutenir une position sur une question donnée. Je ne suis lié a lui en rien : ni politiquement, ni ethniquement, ni matrimonialement, etc rien. Je n’habite meme pas bobo. Nous parlons ici d’une certaine vision de ce qu’on appelle bien gouverner, ou gouverner tout court. Qu’on ne vienne pas me decerner des relents ethnicistes et tribalistes, penchants que j’ai combattus (mais vous n’etes pas obligés de me croire, vous ne me connaissez pas : je suis un quidam privilégié par rapport a la majorite des burkinabe, assis au frais en train de discuter sur internet, etc.

    Si mon ami ka et moi disons la meme chose, nous nous concentrons neanmoins sur deux aspects differents : lui sur la responsabilite des locaux sur la situation actuelle et leur deconfiture morale ; moi sur ce que doit faire un pays dit souverain et qui vise un tant soit peu a jeter les bases de ce qu’on appelle un état-nation. Pourquoi aujourd’hui plus de 50 ans d’independance apres, on a des rwanda, burundi, des cote d’ivoire, etc et bientôt le burkina comme certains (y compris parmi ses dirigeants) font tout pour nous envoyer dans ce maudit enfer. Posons nous la question pourquoi on tient tant a faire imploser le burkina ? Il ne suffit pas des discours « pour communiquer » : il faut des actes comme le montrait sankara (peut etre le faisait-il parce qu’il n’est pas mossi du plateau central !).

    Allons dans la profondeurs des choses et departissons nous des reactions epidermiques sans aucune analyse froide et objective. Certains reagissent par peur car ils savent que le probleme est reel, mais tentent de le nier en ne l’affrontant pas. C’est la pire des facons de l’aborder. Relisez M Zerbo en profondeur et vous comprendrez mieux son idee : elle n’a rien d’un regionaliste. La region est tellement frustrée depuis tant de temps et certains veulent utiliser cette insuffisance de l’etat pour leurs basses besognes. On parle de bobo, mais voyez les autres regions : pourquoi tout le monde migre sur Ouaga avec les problemes qu’on connait ? Critiquons l’etat quand il ne joue pas son role. Et merci déjà d’avoir eu le courage de lire jusqu’au bout !
    SOME

    • Le 14 février 2018 à 18:37, par Moi aussi En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

      Félicitations SOMÉ pour votre ténacité. Après la lecture de certains postes venant même d’internautes habitués à des raisonnements qui ont de l’allure, j’ai renoncé à écrire, certain que si rien n’est fait, la prochaine étape de ce pays, c’est l’enfer de la guerre civile ou des attaques à l’image de ce qui se passe dans le Nord Cameroun anglophone. Vous avez dit votre crainte et je le partage entièrement.
      A tous ceux qui ont combattu vos arguments (ainsi que d’autres) et ceux du député que je ne connais ni de près ni de loin (je le découvre ici aussi), je dis que si un État souverain raisonne comme eux, c’est que sa fin est en route.
      Je laisse volontairement les arguments d’ordre économiques pour parler de trois sujets importants qui doivent guider tout décideur politique de haut rang à savoir : l’équilibre de l’aménagement du territoire, l’équilibre des impacts écologiques du déséquilibre démographique et enfin, la crise des infrastructures induite par une surpopulation (le logement et ses corolaires comme le besoin d’eau potable, de routes adéquates, des écoles ou des établissements de soins).
      Dans certains pays, il est arrivé que ces trois aspects surclassent les avantages économiques d’un projet. Voyez les milliers de morts qu’on enregistre chaque jour en RD. Congo par la faute de l’exploitation minière et de ces conséquences démographiques. Aux États-Unis et au Canada, l’exploitation du gaz de schiste soulève des débats malgré les besoins en énergie et les retombés sur l’économie nationale.
      Déjà, aujourd’hui, on constate que Ouagadougou est à bout de souffle à cause du manque criard d’infrastructures suffisantes pour accueillir de nouveaux migrants car, il faut bien le dire, les gens viennent à Ouaga parce qu’ils n’ont pas de boulot ailleurs. Or, tout résident qui s’est installé dans une ville aspire quelques années plus tard à une parcelle pour sa famille qu’il a fondée entre temps. Voyez comment la question des parcelles se pose avec acquitté aujourd’hui à Ouaga ? Ce problème est si sensible qu’il faut craindre une réaction populaire à venir. Si à cela, vous ajoutez les soucis induits par rapport aux besoins en eau potable, en routes adéquates, en écoles et en établissements de soins, on ne s’en sort pas.
      En revanche, si l’aménagement du territoire est équilibré, les mêmes préoccupations seront réparties sur le territoire et seront moins ressenties par l’État.
      Ce que je viens de dire n’a rien à voir avec l’ethnie, la religion ou la région. Cela relève du bon sens comme l’ont dit certains internautes.
      Et si nos gouvernants perdent de vue ces aspects dans leur action, leur mission est perdue d’avance et dans 30 ou 40 ans, nous serons là à réparer nos conneries de 2018 au lieu d’avancer.
      Compatriote SOMÉ, je n’avais pas voulu réagir dès le départ, mais c’est fait même si c’est après coup. Bon courage à vous.

    • Le 14 février 2018 à 18:47, par Next... En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

      Some, tu dis ce que tu veux. Tu es libre de penser et de t’exprimer (ce que ton idol Sankara et son accolite Blaise ont refuse aux gens de 1983 a 1991et meme au dela). Mais que tu manques de respect au Mogho Naaba, avec des accusations sans prevues ni fondements je dis non ! Va exprimer ton impolitesse ailleurs. Au dela de l’individu, le Mogho Naaba represente (symboliquement) un people. Je ne veux pas (et ne le ferai jamais) m’attaquer a ton ethnie et ses symbols. Donc SVP si tu es incapable de respecter les autres, abstient toi. S’abstenir est auusi une force.
      Y en a marre a la fin !!!

  • Le 14 février 2018 à 19:10, par Next... En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Pour tous ceux qui profitent pour s’en prendre aux Mosses et au Mogho Naaba (dont je n’ai pas la pretention d’en etre le defenseur) voici ce que je pense.
    L’usine et toute autre usine, ecole, hospital, echangeur, etc. seront construite a Ouaga, dans la cour du Mogho Naaba, mieux, dans sa chambre. Pour travailler dans l’usine, il faut etre "Moagha musulman du plateau central", avoir des balafres Moagha et "mogbiter". Celui qui n’aime pas qu’il declare sa cour independante ou qu’il se pende.
    Avec autant d’impolitesses et de fausses informations vous finissez par braquer les gens contre ce que vous defendez !

  • Le 15 février 2018 à 11:00, par Ka En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Mon ami SOME, comme tu m’as bien dit un jour, ‘’’ce sont nos différences qui font les richesses des analyses du forum du web.’’’ Nous avons un point commun sur la révolution inachevée de l’idéologue Thomas Sankara : Pour toi comme pour moi, cette révolution démocratique et assassinée par les impérialistes, était une révolution porteuse d’espoir réel pour l’édification d’une société nouvelle. Malgré tout, ‘’’tuer cette révolution démocratique et populaire avec son initiateur était inutile, car ils n’ont pas pu tuer ses idées qui restent éternelle.

    A part le régime révolutionnaire de Thomas Sankara, le pouvoir au Burkina se résume a un pouvoir d’opposition qui tue l’avancer du pays. Même élu démocratiquement, le président qui s’opposait à son rival reste opposant aux objectifs concrets faire par son prédécesseur, et prenne toute la liberté de faire ce qui lui convient pour ses intérêts personnels, et qui retarde le pays comme durant plus de 27 ans après la révolution, BOBO a été oublié.

    Je vois que tes détracteurs se focalisent sur le problème ethnique ! Pour ma part, ce problème ethnique est très incompréhensif pour certains extrémistes qui ont une seul idée fixe que pour une ethnie et son individu : L’histoire ethnique de notre monde s’est renforcée après Jésus-Christ, qui a mis des braises sur les histoires ethniques et les origines douteuses. Tous ceux qui sont nés avant les indépendances de notre continent, sont forcément des ethnies et des origines douteuses, puisque les nationalités dont ils se prévalent (ou dont vous vous prévalez tous) maintenant n’existaient pas au moment de leur naissance, et encore moins à la naissance de leurs parents. Je suis un mossi balafré des cicatrices raciales ce qu’on dit : Mais pour moi, nous les mossis de 2018, nous avons en fait une société traditionnelle de démocratie populaire que d’autres penseurs qualifient d’anarchie populaire. Tout ceux-ci sont dû aux chefs de village, ‘’’une création de l’administration coloniale pour limité l’anarchie et le féodalisme régionale.

    A présent les querelles ethniques des politiques amateurs de notre pays, surtout pour les pouvoirs régionaux utilisent ce féodalisme inadmissible, et qui constituent un obstacle considérable au développement du pays que nous aimons tous : Et si l’Afrique en est encore là où elle est, c’est en grande partie à cause de ça, et surtout a des personnes qui ne connaissent rien de l’ethnicise dont l’extrémismes exprime leur seule pensée, et qui n’admette pas qu’on lui oppose une autre manière de penser.

  • Le 24 février 2018 à 22:13, par WAKOLYBLE En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    de toute façon ce sont des blàblà, le développement d’une région ne dépand pas seulement d’une usine de textile avant de penser textile il faut avoir le ventre plein le vrai développement d’un pays ou d’une région commence d’abord par une auto suffisance alimentaire, l’éducation, la santé une fois que toute ces paramètres fonctionnent bien un pays peu prétendre a une vie meilleur au lieu de chercher a promouvoir une agriculture digne de ce nom pour que le peuple mange a sa faim, on cultive le cacao c’est l’occident le grand bénéficiaire, le coton, café c’est aussi l’occident le grand gagnant ; il y a toujours des gens qui refusent de voir la réalité en face,en ce qui concerne l’oublie de Ouaga face à bobo-diuolasso je voudrais juste donner un petit exemple parmi tant d’autres es-ce normal de faire 365 km juste pour ce faire un passeport tout passe par ouaga tout le monde sait que ce genres des démarches permet à une ville de faire tournée son économie il y a beaucoup de choses comme ça que Ouaga monopolise au détriment des villes comme Bobo soit disant capitale économique mon oeil il est grand temps que la politique de Ouaga change, Bobo-dioulasso la ville de sya est bénit nous avons de l’eau en abondance et le climat est supportable ; la politique finira par créer des conflits ethniques dans ce pays tôt ou tard, j’espère bien qu’on arrivera pas a ces extrêmes cas ; Vive un autre Sankara pour sauver notre cher Faso. LA PATRIE OU LA MORT NOUS VAINCRONS

  • Le 26 février 2018 à 13:39, par heeey ! heeey ! heeey ! En réponse à : Au secours, Bobo-Dioulasso se meurt !

    Une Nation c’est une communauté de passé , de présent et d’ avenir .A la démocratie politique associons la démocratie économique à travers un developpement équillibré et harmonieux des différentes régions avec ce qu’elles régorgent comme potentialités en toute complémentarité. L ’économie a des règles auxquelles on ne peut enfreindre sans en payer le prix fort.Que direz vous du gisement de calcaire à ciel ouvert (ciment) de tindiouf localisé àTINAKOF découvert aux lendemains des independances ; ce qui n a pas empeché l’nstallation d’une cimenterie à Ouagadougou pour importer la matière premiere du togo à 1000km ?QUE direz vous de 70% DES BARRAGES du burkina faso localisés au centre du pays ? QUE deriez vous de la route Dori ESSAKANE QUI SERT A ACHEMINER en valeur valeur marchande 10 tonnes d’or (1000000000)frs cfa par jour qui n est pas encore bitumée ;alors que de ziniaré à zitenga trone du bitume économiquement peu rentable. etc...Ayons LE COURAGE ;la lucidite ; et surtout l’ honneteté d aborder certaines questions dites sensibles qui fachent car elles nous rapprocherons plus qu’elles nous diviserons à mon humble avis ! AUCUNE GRANDE NATION NE S’EST CONSTRUITE DANS LE MENSONGE ET L’INGNORANCE DES INTERETS AUTRES. HEEEY ! HEEEY ! HEEEY !

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