LeFaso.net, l'actualité Burkinabé sur le net
Proverbe du Jour : “Avec de la persévérance et de l’endurance, nous pouvons obtenir tout ce que nous voulons.” Mike Tyson

Ier Congrès de la NAFA : « Djibrill Bassolé est dans les mains du pouvoir en place » (Pr Dicko, président par intérim du parti)

Publié le dimanche 21 janvier 2018 à 00h16min

PARTAGER :                          
Ier Congrès de la NAFA : « Djibrill Bassolé est dans les mains du pouvoir en place » (Pr Dicko, président par intérim du parti)

La Nouvelle Alliance du Faso (NAFA) a officiellement ouvert ce matin, samedi 20 janvier 2018 à Ouagadougou, son premier congrès ordinaire. Instance suprême du parti, ce congrès est placé sous le thème : « La NAFA à l’heure du renforcement de la cohésion nationale, du dialogue social et de la sécurité ». La cérémonie d’ouverture, qui a enregistré la présence de responsables et représentants de parti politique ainsi que de leaders de la société civile, a servi de tribune aux militants de ce parti pour réitérer leur appel à « rendre justice » à Djibrill Bassolé.

Ils sont venus de l’ensemble des provinces du pays et de la diaspora pour prendre part à cette instance de leur parti, la NAFA, créée le 31 janvier 2015.

Selon les responsables, ce rendez-vous statutaire va permettre de revisiter les textes fondamentaux du parti, donner de nouvelles orientations et de redynamiser ses organes dirigeants. Il s’agit aussi d’échanger, poursuivent-ils, avec l’ensemble des militants sur ce qui a marché, les insuffisances et définir ensemble les perspectives.

Pour le président du comité d’organisation, François Bacyé (secrétaire général du parti), la tenue de cette instance est une victoire pour l’ensemble des militants de la NAFA, tant à sa création le parti a été l’objet de toutes les contraintes et tentatives de déstabilisation. Occasion donc pour les responsables, qui se sont succédé au pupitre, de revenir sur des épreuves qu’a traversées le parti à travers certains de ses membres.

Sous cet angle, ils dénoncent, une fois de plus, ce qu’ils ont qualifié d’acharnement politique dont le leader du parti (Djibrill Bassolé) est l’objet. L’ancien ministre des Affaires étrangères est simplement victime de la peur des adversaires politiques, constatent-ils. Malgré tout, les militants de la NAFA disent croire à la justice pour « rendre justice ». C’est aussi armé de cette conviction, qu’ils « investissent » le général Bassolé en qualité de candidat du parti à la présidentielle à venir (2020).

« Nous souhaitons que Djibrill Bassolé soit notre candidat en 2020. Nous nous soumettons aux décisions de justice, il n’est pas encore condamné. C’est une personnalité politique du Burkina, qui est actuellement, à notre avis, dans les mains du pouvoir en place ; parce que suite à la décision de justice, il avait obtenu une liberté provisoire, mais tout le monde a constaté que le ministre de la défense a pris un autre arrêté pour le détenir dans un autre environnement qui n’est pas idéal pour nous. Donc, nous nous soumettons aux décisions de justice. Mais, il reste notre leader, le leader de notre parti en tant que mentor ; candidat donc de notre parti à l’élection présidentielle à venir et nous souhaitons que Dieu nous aide, que Dieu l’aide et que Dieu aide le Burkina pour qu’en 2020, il puisse être notre candidat », a soutenu le président par intérim de la NAFA, Pr Mahamoudou Dicko.

Ce congrès (qui a été ouvert dans la matinée) a véritablement démarré ses travaux la veille (19 janvier) par les réflexions en commissions. Il referme ses portes dans la soirée de ce samedi, 20 janvier 2018 avec l’élection du nouvel organe dirigeant du parti. Relevons au passage que le premier président, Rasmané Ouédraogo, a, en septembre 2017, rendu sa démission de toutes les instances du parti. Depuis lors, c’est le Pr Mahamoudou Dicko qui assure l’intérim jusqu’à ce renouvellement.

Oumar L. Ouédraogo
Lefaso.net

Portfolio

PARTAGER :                              

Vos commentaires

  • Le 21 janvier 2018 à 08:50, par Danger ! En réponse à : Ier Congrès de la NAFA : « Djibrill Bassolé est dans les mains du pouvoir en place » (Pr Dicko, président par intérim du parti)

    Les ambitions du CDP de revenir au pouvoir en 2020, peuvent apparaître à priori comme une utopie. Cependant, elles pourraient être réelles ,si le président Kaboré ne rectifie pas vite l’erreur qu’il est en train de commettre, à l’instar de celle qui a fait chuter Blaise Compaoré. En effet, pendant les 2 premières décennies du régime Compaoré, il a œuvré au large rassemblement des cadres et des citoyens burkinabè pour le développement national. Malheureusement, au cours des 7 dernières années, il s’est laissé être l’otage de son entourage et de sa famille, qui l’ont mal conseillé de se débarrasser de ses anciens compagnons de lutte dont Salif Diallo,Roch Marc Christian Kaboré,Simon Compaoré.En écartant ainsi ses principaux faiseurs de roi, le président Compaoré s’est entouré de personnes opportunistes, qui n’avaient pas de fortes assises électorales au plan national. La démission de ces ténors pour créer le MPP, a beaucoup affaibli le régime Compaoré et s’est soldée par une large coalition de l’opposition contre son pouvoir jusqu’à la chute par l’insurrection populaire des 30 et 31 octobre 2014.Certaines personnes qui n’ont pas tiré leçon de cette erreur politique de Blaise Compaoré, sont en train d’induire en erreur le président Kaboré ,de se débarrasser de plusieurs cadres proches de Salif Diallo et même de Simon Compaoré et alliés. S’il tombe dans ce piège, il se retrouvera plus affaibli que le cas de Blaise Compaoré et ne pourra pas gagner la présidentielle de 2020 Des partis comme le CDP, l’UPC pourront alors, bien accéder facilement au pouvoir. Les partisans de Roch ne sont réellement pas influents politiquement pour lui permettre de régner. Ce sont surtout des hommes du milieu des affaires, qui ne cherchent que du profit au mépris des réalités politiques d’une nation. Les succès du MPP ont été possibles, grâce au pouvoir financier de Salif Diallo, qui ralliait des cadres et citoyens à sa cause. Ensuite, Simon Compaoré y a beaucoup contribué, par sa capacité de mobilisation électorale et sa connaissance des questions sécuritaire, avec des collaborateurs spécialistes en la matière. Il est donc indispensable que le président Kaboré agisse de sorte à renforcer la cohésion au sein du MPP, son parti d’origine, en sachant allier responsabilisation des anciens et des jeunes. De même, il peut envisager une décrispation nationale, par un gouvernement d’union nationale, ouvert à quelques partis représentatifs comme le CDP, l’UPC,la NAFA,l’ADF/RDA,l’UNDD,le Faso Autrement.

    • Le 21 janvier 2018 à 12:09, par Maria de Ziniaré En réponse à : Ier Congrès de la NAFA : « Djibrill Bassolé est dans les mains du pouvoir en place » (Pr Dicko, président par intérim du parti)

      Danger, je me félicite de ce qu’il y’a des Burkinabé comme vous qui réfléchisssent avec leurs méninges et n’ont pas perdu leurs mémoires. Et oui RMCK, le Burkinabè béni des dieux qui a tout eu dans sa vie sans mouiller le maillot du fait de Blaise COMPAORE (DG de la BIB à 27 ans puis Ministre, Premier Ministre, President AN, Président du CDP) et de Salif DIALLO (PF ) pourra t-il voler de ses propres ailes sans ses Coachs ?. Les élections de 2020 ne seront pas biaisées comme celles de 2015 elles seront forcément inclusives transparentes et équitables avec touts les partis politiques jouissant de la plénitude de leur droits et leur moyens financiers et l’enfant gâté de Tuiré ( sans son second tuteur qui s’en est allé ) devra pour une fois dans sa vie montrer qu’il ne sait pas que boire le biberon mais a grandi et est devenu un adulte qui sait se battre comme les autres garçons qui ont grandit dans l’adversité. Je constate que toute cette galaxie de parti politiques ( NAFA, MPP, Faso Autrement, NTD et même l’UPC ....) sont sortis des entrailles du CDP et leurs leaders ne sont que des fils putatifs de Blaise COMPAORE qui les a fabriqués. Bon vent au NAFA pour l’expression d’une véritable démocratie plurielle au Burkina.

      • Le 21 janvier 2018 à 18:03, par Kouda En réponse à : Ier Congrès de la NAFA : « Djibrill Bassolé est dans les mains du pouvoir en place » (Pr Dicko, président par intérim du parti)

        Pour votre information, Rock Marc Christian Kaboré est né le 25 avril 1957. Il a eu 27 ans en 1984 (1957+27 =1984), année où le régime en place était celui du CNR dirigé par Thomas Sankara. Si vous êtes prompte à mettre toutes les dérives du CNR sur les épaules de Thomas Sankara, vous ne pouvez alors pas dire que Rock a été DG de la BIB en 1984 à cause de Blaise Compaoré.
        Pour le reste, vous êtes libre d’avoir votre opinion et votre analyse.
        Bien à vous.

      • Le 21 janvier 2018 à 18:07, par warzat En réponse à : Ier Congrès de la NAFA : « Djibrill Bassolé est dans les mains du pouvoir en place » (Pr Dicko, président par intérim du parti)

        Blaise Compaoré a fait tel homme politique ....tout le temps. Mais que sont devenus ceux qui n’étaient pas d’accord avec Blaise Compaoré ? Cela pourrait excuser amplement à notre avis ceux qui l’ont suivi et que certains disent qu’il a fait. En dehors des hommes, quelle organisation n’avait pas été noyautée ? Les leaders menacés sinon diminués (blessures dont certains vivent avec les séquelles) ou faits ? Ces organisations sont aussi rares. A ceux qui grevaient pour une amélioration des conditions de travail et de rémunérations, il leur était répondu que quand le pays produira plus de richesse, on partagera.
        Donc, aujourd’hui, il y a ceux qui ont refusé d’embarquer dans le navire qui ont survécu à toutes les privations, les injustices et les brimades. Il y a ceux qui ont embarqué qui ont été éjectés en pleine mer, ceux qui ont sauté à l’eau quand le navire a commencé à tanguer et enfin ceux qui ont coulé avec le navire et ont su nager jusqu’à la plage. Tous ces survivants sont sur la scène politique aujourd’hui et avec la libération de la parole d’autres organisations ...des hommes se sont ajoutés.

    • Le 21 janvier 2018 à 13:40, par AWKODI En réponse à : Ier Congrès de la NAFA : « Djibrill Bassolé est dans les mains du pouvoir en place » (Pr Dicko, président par intérim du parti)

      D’accord avec toi.C’est pourquoi meme si remaniement ministeriel il y a,ROCK ne poura pas se separer de Mr "Tranquilos"

    • Le 21 janvier 2018 à 21:40, par RV En réponse à : Ier Congrès de la NAFA : « Djibrill Bassolé est dans les mains du pouvoir en place » (Pr Dicko, président par intérim du parti)

      À qui profitera ce gouvernement d’union nationale ?!
      Au BF ! Non ! C’est livrer le pays à plus de prédateurs.
      Soyons pas naïf !
      Un homme d’État ne pense pas à sa réélection mais à marquer positivement son époque !

  • Le 21 janvier 2018 à 09:50, par ngoonga En réponse à : Ier Congrès de la NAFA : « Djibrill Bassolé est dans les mains du pouvoir en place » (Pr Dicko, président par intérim du parti)

    Pourquoi à chaque manifestation politique l’on tient à mettre les chefs coutumiers en vedette ??? Qui peut me donner la raison ??? Pardon laissons nos religieux et nos coutumiers hors du jeux politique. Ils ont leurs places ailleurs n’est ce pas ???

  • Le 21 janvier 2018 à 09:57, par ngoonga En réponse à : Ier Congrès de la NAFA : « Djibrill Bassolé est dans les mains du pouvoir en place » (Pr Dicko, président par intérim du parti)

    Les politiciens penser à la diversité culturelle de notre Pays. Nous ne voyons pas les Turbans et les autres coiffures qui sont des symboles également. Soyons fier de notre diversité qui est une richesse.

  • Le 21 janvier 2018 à 17:14, par Cheikh En réponse à : Ier Congrès de la NAFA : « Djibrill Bassolé est dans les mains du pouvoir en place » (Pr Dicko, président par intérim du parti)

    Excellente thématique choisie pour le congrès, mais cependant, même si "Gouverner c’est prévoir", doit-on vraiment vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué ? Autrement dit, à moins de se laisser tenter par la même expérience amère que le CDP qui, à force de s’être accroché à Blaise seul, a du mal aujourd’hui à trouver un Jockey, n’est-ce pas plus sage en attendant, de miser sur un candidat qui est dehors d’abord ?

  • Le 21 janvier 2018 à 17:47, par Cheikh En réponse à : Ier Congrès de la NAFA : « Djibrill Bassolé est dans les mains du pouvoir en place » (Pr Dicko, président par intérim du parti)

    Excellente thématique choisie pour le congrès, mais cependant, même si "Gouverner c’est prévoir", doit-on vraiment vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué ? Autrement dit, à moins de se laisser tenter par la même expérience amère que le CDP qui, à force de s’être accroché à Blaise seul, a du mal aujourd’hui à trouver un Jockey, n’est-ce pas plus sage en attendant, de miser sur un candidat qui est dehors d’abord ?

    • Le 22 janvier 2018 à 10:09, par Ka En réponse à : Ier Congrès de la NAFA : « Djibrill Bassolé est dans les mains du pouvoir en place » (Pr Dicko, président par intérim du parti)

      Cheikh je partage ce que tu viens dire : Simplement voilà des gens qui sont incapables de se remettre en question et qui trouvent toujours des raisons imaginaires pour occulter leurs propres faiblesses. Quand on est nul à ce point, on ne se contente pas de se réunir pour convaincre des moutons de compter sur une personne non crédible face à un peuple averti ? Nous avons vu un exemple avec la dernière équipe de Blaise Compaoré composée De François Compaoré-Kouanda qui ont poussé les militants à se tourner vers un individu et non aux intérêts du peuple et les résultats on les a vu le 31 Octobre 2014.

      Si notre pays est à reculons, c’est qu’au lieu que les incompétents laissent leurs responsabilités aux compétents, ils persistent à tromper les autres. Ce que ces bleus de la NAFA n’ont rien compris, c’est qu’en 2020 en comptant sur une personne comme Djibril qui faisait partie des gens qui ont trahi le pays sur la base des mensonges et paradigmes foncièrement imaginaires pour leurs intérêts personnelles, la seule conclusion qui s’impose est que tout ce qui arrive maintenant n’est que la récolte naturelle des semences d’hier, et aucune de ces personnes ne sera élu par le peuple averti en 2020 que de laisser la continuité a Roch Kaboré.

      Que les partis politiques qui rêvent la victoire en 2020 en dehors du MPP avec ses partis satellites, oublient la victoire individuelle. Pour arriver à piétiner le pouvoir de Roch Kaboré, il faut une opposition forte et avec à sa tête un jeune avec une nouvelle tête dont le peuple aura confiance.

      En 2020 que tout le monde sache que parmi les valeurs qui fondent tout État démocratique, les premières sont des élections ouvertes, transparentes, sincères et honnêtes ce que les 60% de la jeunesse Burkinabé a comprise et de nous avertir que rien ne sera plus comme avant : ‘’’’ a commencer par l’élimination des achats de conscience de l’ère Compaoré et son frère François, ou de maintenir au pouvoir à vie par des bricolages constitutionnels et des scrutins biaisés d’un individu criminel et pilleur des caisses de l’état : Car la jeunesse Burkinabé a compris ce 14 Octobre 2014 que ‘’’si l’Afrique est à feu et à sang c’est à cause de ces motifs.’’’ Quand on écoute les discours des sorties de nos partis politique comme la NAFA ou le CDP, ces discours se limitent a tout faire pour arriver au pouvoir afin de se venger et à piller les ressources du pays d’une manière encore plus avide que ceux qu’on combat.

      Que les responsables de la NAFA ou même ceux du CDP et ADF/RDA sachent que le jour et la nuit ne sont pas à comparer : Il en est de même entre le diable et l’ange, entre Djibril Bassolé faiseur de coup d’état et Blaise Compaoré le tripatouilleur des lois. Après avoir tué et pillé son propre pays pour s’enrichir, on veut maintenant se faire passer pour ceux qui veulent régner avec dignité. Les pyromanes d’hier qui se prétendent aujourd’hui des loyaux pompiers, le peuple les connait. Le mieux pour ces partis, c’est de laisser à la tête de leurs BNP des jeunes avec des nouvelles têtes a conquérir le pouvoir pour une alternance politique saine sans des crimes gratuits ni la corruption a ciel ouvert.

  • Le 22 janvier 2018 à 15:21, par Guirma, Joseph Léonard-Jerry En réponse à : Ier Congrès de la NAFA : « Djibrill Bassolé est dans les mains du pouvoir en place » (Pr Dicko, président par intérim du parti)

    A propos du citoyen nous répétons :

    « ….En clair, le Gouvernement burkinabè n’a pas pu apporter des preuves légales et convaincantes justifiant la détention du Général BASSOLE… »

    Nous nous efforçons de nous abstenir des sujet ayant trait à la jurisprudence et à la politique de notre Nation, pour le simple fait que nous ne posséderions pas les informations nécessaires en dehors des médias pour stipuler objectivement.

    Néanmoins, du fait de notre profonde expérience dans le cadre de l’Humanitaire et du Développement au sein des Nations Unies, nous oserons opiner :

    Libérez le Général !

    Deux années de déchirure avec sa Famille, de privation de sa liberté de citoyen, nous autorisent à « sympathiser en tant qu’être social et humanitaire ». Sans nous vanter d’aucune dextérité dans la « jurisprudence », nous évoquons tout autant le caractère déshumanisant de cette situation qui est devenue un abcès tuberculeux dans la crédibilité du Pays des Hommes Intègres, et soumettons au Gouvernement de croire devoir se targuer de crapulerie sans oser défier la morale et les valeurs humanitaires indéniables et inaliénable pour tout citoyens.

    « mâanê sougrii-ya, tî Naba Kôom yéti sougr’ noonma ».( Faites pardon car Naba-Kom dit que pardons est bon)

    Il est inconcevable dans une Démocratie, de condamner quelqu’un en attendant de le prouver « Coupable ». C’est de l’ animosité sociale et perverse. C’est du terrorisme psychologique et moral

    Justifiez la culpabilité du sujet aux instances internationales et nationales et maintenez- le, ou alors libérez-le et compensez- le. De tels entêtements arbitraires nous sont à tous attribuables, quand, où, pour quoi, et comment, par qui, que, dont ou lequel. Nous ne sommes pas en Chine.

    Nous ne parlons pas d’une chèvre, nous parlons d’un être social, politique et humain. En attendant de confirmer sa culpabilité d’une façon incontestable, de grâce, estompons le pathétique, le ridicule et la tragi-comédie, et remettons- le aux siens, à sa Famille, à sa société.

    Libérez le Général !

  • Le 22 janvier 2018 à 19:37, par tororoso En réponse à : Ier Congrès de la NAFA : « Djibrill Bassolé est dans les mains du pouvoir en place » (Pr Dicko, président par intérim du parti)

    Tiens, Dicko est Professeur maintenant ?
    Bon !!! comme c’est le journaliste qui a écrit, je ne peux rien dire sinon !!!

 LeFaso TV
 Articles de la même rubrique