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Enseignement secondaire : L’AESO décrie des conditions d’études précaires

Publié le mercredi 15 novembre 2017 à 14h53min

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Enseignement secondaire : L’AESO décrie des conditions d’études précaires

Classes engorgées, insuffisance de moyens logistiques dans les établissements publics de Ouagadougou, etc. Le 15 novembre, c’est ce climat qu’a décrit l’Association des Elèves du Secondaire de Ouagadougou (AESO) qui menace de muscler ses méthodes de lutte pour se faire entendre.

Les élèves des lycées publics de la ville de Ouagadougou souffrent le martyre à entendre le président de l’AESO, Dramane Sankara. Et pour cause, ils font face à nombre de préoccupations dont le manque d’infrastructures qui fait que les établissements secondaires publics ne représentent plus qu’une infime partie de l’ensemble des établissements de la ville-environ 1% assurent-ils.

Et comme les établissements privés ne sont pas accessibles à tous les parents, les classes dans le public sont surchargées. « Ils y a des lycées où vous pouvez avoir pas moins de 170 élèves en sixième ; les élèves sont assis à cinq par table, et bien entendu, il n’y a pas de rangées pour permettre aux enseignants d’y circuler… » À cela s’ajoute l’insuffisance des bibliothèques et des laboratoires fonctionnels. Quant aux cantines, elles n’excèderaient pas trois mois de fonctionnement dans les établissements où elles existent. [ Cliquez ici pour lire l’intégralité ]

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Vos commentaires

  • Le 15 novembre 2017 à 16:04, par y En réponse à : Enseignement secondaire : L’AESO décrie des conditions d’étude précaires

    Avec l’épidémie des graves au burkina, bientôt ce sera le tour des écoliers et même les bébés.

  • Le 15 novembre 2017 à 16:31, par Moi MEME En réponse à : Enseignement secondaire : L’AESO décrie des conditions d’étude précaires

    Courage les petits freres.
    Il ya 17 ans j’etais a votre place pour lutter contre le BAC OCECOS.
    Seule la lute libere.

  • Le 15 novembre 2017 à 16:54, par bilaiz En réponse à : Enseignement secondaire : L’AESO décrie des conditions d’étude précaires

    Courage décembre approche, il faut rapidement trouver des motifs de plus pour les grèves. Grèvez grèvez !!! Prenez de la peine, au bout des grèves se trouvent le salue et le succès.

  • Le 15 novembre 2017 à 17:13, par moi meme En réponse à : Enseignement secondaire : L’AESO décrie des conditions d’étude précaires

    Chers jeunes frères, personnellement j ai honte de la situation qui prévaut, mais j ose croire que les autorités mettront fin a certaines faveurs pour mettre un accents sur l avenir du pays. Il est ressorti que bon nombre de vos camarades dans la capitale et a l intérieur n ont pas encore commencé certains cours par ce que des profs ne sont pays pour certains plus de 10 mois. Sans vouloir mettre l huile sur le feu, il est difficile pour nous de juger équitable l éducation et l’enseignement donné a nos compatriotes futurs dirigeants de cette nation. Beaucoup on préférer aller a la soupe, croyant l ensemble de leur enfant pourraient gérer ce pays sans vous et nous. Moi j ai jusqu a preuve de contraire confiance au président. mais qu il nous montre qu il aime ces enfants et cette jeunesse.
    Seul la lutte pacifique libère

  • Le 16 novembre 2017 à 17:00, par kambiré En réponse à : Enseignement secondaire : L’AESO décrie des conditions d’études précaires

    chers jeunes frères,nous à diébougou vivons cette situation depuis fort longtemps.je me pose la question a savoir dans quel État sommes-nous ? et quel gouvernement avons-nous ?
    Nous les élèves de diébougou nous ne sommes pas contents de la situation car le Burkina est État de démocratique.

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