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Pr Mahamoudou Dicko, Président par intérim de la NAFA : « Notre silence a des limites et nous exigeons la libération de Djibrill Bassolé »

Publié le samedi 30 septembre 2017 à 23h29min

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Pr Mahamoudou Dicko, Président par intérim de la NAFA : « Notre silence a des limites et nous exigeons la libération de Djibrill Bassolé »

29 septembre 2015- 29 septembre 2017. Cela fait exactement deux ans que le Général Djibrill Bassolé croupit à la Maison d’arrêt et de correction des armées (MACA). Arrêté et détenu dans le cadre du putsch perpétré par le Général Gilbert Diendéré et le RSP, il attend toujours son jugement. D’une dizaine de chefs d’inculpations au départ, une seule a finalement (trahison) a été retenue contre lui par le juge d’instruction lors du délibéré du 15 Juin 2017. Pour ses partisans, le Général Bassolé est simplement un détenu politique.

Pour marquer son indignation face à cette « détention arbitraire », la Nouvelle alliance du Faso (NAFA) a organisé une conférence de presse, ce jour, pour exiger la libération de son leader. Estimant que leur silence a des limites, les premiers responsables de la NAFA ont précisé qu’ils se donneront désormais tous les moyens légaux pour parvenir à la libération de ce « détenu politique ». Tout en réaffirmant son soutien indéfectible au Général Djibrill Bassolé qui est et reste son candidat pour les élections présidentielles à venir, la NAFA appelle « ses militants et sympathisants à rester mobilisés et prêts à agir selon ses consignes si toutefois rien n’est fait en faveur de la manifestation de la justice pour la libération de Djibrill BASSOLE »

Ci-après la déclaration liminaire du Président par intérim de la NAFA, le Pr Mahamoudou Dicko

« Mesdames et messieurs les journalistes
Chers camarades,

La Nouvelle Alliance du Faso (NAFA), par ma voix, vous remercie de votre présence à cette conférence de presse en dépit de vos nombreuses sollicitations.
A l’entame de mon propos, je voudrais tout d’abord vous rappeler le contexte dans le quel la nouvelle alliance du Faso (NAFA) a vu le jour.

Né le 31 Janvier 2015 après l’insurrection populaire, des militants à l’époque de la majorité comme de l’opposition, la Nouvelle Alliance du Faso a été créée dans le but d’apporter une réponse citoyenne et politique aux préoccupations et sollicitudes du peuple burkinabè et de sa jeunesse telles qu’exprimées les 30 et 31 octobre 2014.
C’est fort de ses objectifs que le parti s’est résolu à soutenir la candidature du Général Djibrill Bassolé aux élections présidentielles de 2015, car aux yeux de tous ses militants, il incarne les valeurs qui permettent au Burkina de parvenir à son épanouissement économique dans la paix et la sécurité.

Ainsi, certains partis politiques au vue des adhésions massives dès les premiers instants de la création du parti, du charisme et du leadership de son candidat au plan national qu’international, ont vu en la NAFA et Djibrill Bassolé une menace pour leurs ambitions politiques.

Aussi, ont-ils choisi de façon éhonté de les combattre et de les anéantir non pas sur le terrain politique mais par le mensonge, la calomnie et la violence, et ce en complicité avec le pouvoir de la transition de l’époque

C’est ainsi qu’après les manœuvres visant à nous empêcher d’exister légalement par le refus de nous délivrer notre récépissé de reconnaissance, tentative qui est restée vaine, ils ont choisi la voie des menaces et de la répression pour empêcher l’enracinement de la NAFA. Vous vous souviendrez que notre camarade Awa Traoré a perdue la vie à Bobo-Dioulasso, le vendredi 24 avril 2015 à la suite de ses blessures contractées lors d’une manifestation réprimée par les forces de sécurité. De même, nos camarades, Sita Ouattara, secrétaire adjointe à l’organisation et Rasmané Ouédraogo ex-Président de la NAFA ont été arrêtés et détenus pour association avec des groupes armés pour déstabiliser les institutions de la Transition. Tenez vous bien Sita Ouattara et Rasmané Ouédraogo, pour association avec des groupes armés pour déstabiliser les institutions de la Transition.

Profitant du coup d’état du Général Gilbert Dienderé du 16 septembre 2015, la transition toujours en complicité avec les mêmes partis politiques ira plus loin dans le but nous écraser en accusant notre leader Djibrill Basollé dont la candidature a été rejetée pour la présidentielle de 2015 d’avoir soutenu le Général Gilbert Dienderé lors du putsch manqué et de mobiliser des groupes armés et de djihadistes dans le but de déstabiliser le Burkina Faso.

S’en est alors suivi une campagne de diabolisation contre notre candidat et de notre parti, le gèle des avoirs de Djibrill Bassolé, du parti ainsi que de ses premiers responsables afin de l’affaiblir et de lui donner le coup de massue pour les élections législatives.
Malgré ces acharnements dans ce contexte difficile, avec courage et abnégation nous avons réussi à faire de la NAFA, la 4ème force politique du Burkina Faso en termes de suffrages exprimés.

Mesdames et messieurs les journalistes

Chers camarades,

Revenant sur les accusations portées sur la NAFA et son candidat, à l’époque, dans ce même endroit, nous avons dénoncé ces manœuvres politiques. Nous avons affirmé haut et fort que ni Djibrill Bassolé, encore moins la NAFA n’étaient mêlés ni de près ni de loin à ce coup d’Etat que la NAFA avait d’ailleurs condamné.

Aujourd’hui les faits sont là et c’est les dernières actualités au niveau de la justice militaire qui confirment le mensonge orchestré à l’époque. Il s’est avéré qu’aucun militant de la NAFA n’est impliqué dans le putsch et c’est désormais officiel.

C’est donc à tort et à dessein que le parti et ses premiers responsables ont été accusés.
Notre candidat qui est accusé de tous les péchés d’Israël avec en résumé comme charges :

- « attentat contre la sûreté de l’État,
- association de malfaiteurs,
- fourniture de moyens financiers,
- meurtre,
- dégradation volontaire de biens,
- coups et blessures volontaires,
- collision avec des forces étrangères pour déstabiliser la sécurité intérieure,
- incitation à indiscipline
- Trahison…, etc.

De toutes ces charges, seule la charge pour « trahison » a été retenue par le juge d’instruction lors de leur délibéré du 15 Juin 2017.

Mesdames et messieurs les journalistes
Chers camarades,

Tout ça pour ça ? Comme l’a eu à l’affirmer le chef de file de l’opposition. Tout ça pour ça ? Et il va même plus loin en affirmant que « Concernant particulièrement le Général Djibrill Bassolé, une des conséquences logiques de cet allègement de charges serait qu’il puisse bénéficier maintenant d’une liberté provisoire pour aller se soigner et revenir laver son honneur. Sur ce plan il est victime d’une injustice nourrie par des calculs politiques. Le MPP a peur qu’il ne soit dans la course en 2020. C’est cela le fond de la chose ! », fin de citation.

Nonobstant la fragilité actuelle de l’état de santé de Bassolé et le fait que la détention est une exception, ses multiples demandes de liberté provisoires sont maintes fois rejetées.
Aujourd’hui 29 septembre 2017 marque le deuxième anniversaire de l’arrestation arbitraire du Général Djibrill Bassolé. Nous disons que trop c’est trop. Deux ans de mensonges c’est trop, deux ans d’arbitraire c’est trop, deux ans de manipulation politico-militaire, c’est trop, deux ans d’embrigadement de la justice par l’exécutif, c’est trop, deux ans d’injustice, c’est trop.

Mesdames et messieurs les journalistes
Chers camarades,

Il est temps que s’arrête la prise en otage politique du dossier Bassolé. Il est temps que la justice militaire et le Gouvernement du Burkina Faso arrêtent le mépris vis-à-vis de la décision du Groupe de travail des Nations unies qui considère que la détention de Djibrill est arbitraire et a exigé la libération immédiate et sans condition de Djibrill Basssolé. Et mieux encore a recommandé la réparation.

Notre silence a des limites et nous exigeons la libération de Djibrill Bassolé. Nous tenons de ce fait à informer l’opinion nationale et internationale qu’à partir d’aujourd’hui la NAFA se donnera tous les moyens légaux pour parvenir à cet objectif. Ce sera désormais son combat principal partout au Burkina Faso et dans le monde entier.

La NAFA réaffirme par cette conférence de presse, son soutien indéfectible au Général Djibrill Bassolé qui est et reste son candidat pour les élections présidentielles à venir. C’est un citoyen patriote, sincère et respectueux des institutions de la république. Le parti appelle ses militants et sympathisants et tous ceux qui sont convaincus que l’arbitraire ne saurait être la règle dans un État de droit, à rester mobilisés et prêts à agir selon ses consignes si toutefois rien n’est fait en faveur de la manifestation de la justice pour la libération de Djibrill BASSOLE.

La NAFA interpelle la responsabilité du chef de l’Etat sur l’état de santé de BASSOLE et sur sa sécurité.

Liberté pour Djibrill BASSOLE !!!
Pour la vérité et la justice, en avant !!!
NAFA pour tous !!!
Je vous remercie. »

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Vos commentaires

  • Le 30 septembre 2017 à 09:34, par ngoonga En réponse à : Pr Mahamoudou Dicko, Président par intérim de la NAFA : « Notre silence a des limites et nous exigeons la libération de Djibrill Bassolé »

    Tous MPP,NAFA, NTD, etc. sont de la même faune politique. Je rappel à une date récente le Général disait en tant que Ministre de la Sécurité, à propos des manifestations de l’opposition qu’ils sont tous issus de la même école de la subversion. Quelques jours la fausse lettre accusant Halidou O. d’avoir reçu de l’argent avec Bagbo en plus son incarcération et son humiliation, car il fut raser. Seul ALLAH subsiste le reste n’est que passager. Du reste Cher Professeur vs êtes sincère à tel enseigne que la politique n’est pas votre vocation (vs étiez personnellement opposer à la modification de l’article 37 malgré les consignes de votre parti). Faites la recherche et défendez les causes justes. Certainement que votre tour viendra mais pour le moment pas avec ses vampires politiques.

  • Le 30 septembre 2017 à 09:54, par Sidpasata Veritas En réponse à : Pr Mahamoudou Dicko, Président par intérim de la NAFA : « Notre silence a des limites et nous exigeons la libération de Djibrill Bassolé »

    Vous êtes un parti politique et vous avez votre position politique qui n’a pour autre but que d’obtenir la libération de votre champion qui est détenu et cité devant la justice Burkinabè.
    Moi je suis un citoyen qui ne milite dans aucun parti politique et non membre d’aucune OSC de la place. Mon parti, mon OSC et la cause première et ultime c’est la nation Burkinabè et ses intérêts.
    Alors je me permets de critiquer votre position de principe qui vise à obtenir la libération de Djibril Bassolé à tout prix, quelques soient les moyens et les arguments.
    - 1- Vous avez tout faux en voulant faire d’une affaire judiciaire (malgré son volet politique) une affaire purement politique. Vos débats se font toujours dans la rue et non devant le juge et les tribunaux. Cela m’exaspère et peut exaspérer bcp de burkinabè qui, dans l’insurrection, ont montré clairement qu’ils ne supporteront plus l’impunité outrancière du régime précédent dont votre champion était un des acteurs de premier plan.
    - 2- Vous demandez la libération pure et simple de quelqu’un qui a des démêlés avec la Justice burkinabè. Pire vous passez de la revendication à des invectives et à des menaces à peine voilées. Vous manquez de respect à l’Institution Judiciaire du Faso et vous insultez l’intelligence de tous les Burkinabè. Nous aurions mieux compris que vous demandiez comme bcp de citoyens de ce pays, que les affaires soient jugées rapidement. Mais réclamer la libération pure et simple d’un accusé revient à dire que celui-ci est au-dessus de la loi et aurait des droits que les autres accusés de la justice burkinabè n’ont pas. Il vous faudra demander la libération de tous les accusés détenus (y compris les voleurs de poules) par la justice de l’État pour être juste. J’aurai mieux compris que vous soyez impatient de pouvoir justifier de l’innocence de Djibril Bassolé devant les tribunaux. Mais votre agitation me porte à croire que vous et votre champion cherchez simplement à éviter la Justice.
    - 3- Réfléchissez davantage à ce que vous dites et demandez : Ce qui a provoqué la chute du régime dictatorial auquel votre champion était partie prenante, c’est de n’avoir pas perçu et tenu compte du niveau d’exaspération de leurs concitoyens. A mon humble avis, vous de la NAFA, vous êtes aujourd’hui dans la même erreur ; car rien ne dit que votre Djibril est plus en sécurité dehors qu’à l’intérieur de sa prison. La détention judiciaire peut aussi se faire dans l’intérêt du détenu lui-même. Ne l’oubliez pas !

  • Le 30 septembre 2017 à 09:55, par n’koulou En réponse à : Pr Mahamoudou Dicko, Président par intérim de la NAFA : « Notre silence a des limites et nous exigeons la libération de Djibrill Bassolé »

    pr dicko avec tout le respect que je vous dois épargnez nous de tout acte de nature à vouloir semer la zizanie dans ce Pays.
    On ne peut pas se permettre de tuer impunément ou de vouloir déstabiliser un pays et penser être libérer facilement. s’il est innocent il sera libre et si c’est pas le cas il doit et va répondre devant les burkinabè pas seulement devant la justice.
    Désolé et si vous êtes impatient allez le libéré.

  • Le 30 septembre 2017 à 10:35, par Le banlieusard En réponse à : Pr Mahamoudou Dicko, Président par intérim de la NAFA : « Notre silence a des limites et nous exigeons la libération de Djibrill Bassolé »

    J’ai honte avec ce professeur là. Professeur de quoi au fait ? Professeur de gargote ? Généralement les professeurs sont des gens imbus de leur grade et ne se laissent pas entrainer par des médiocres comme Djibril Bassolé sans bagages intellectuels en tant que tels. Professeur Dicko, vous êtes passibles de poursuites judiciaires pour incitations à braver les lois de la république. Il faut le savoir. Djibril restera en prison de haute sécurité jusqu’à l’éclatement de la vérité sur son implication de tous les dossiers emblématiques David, or, putsch etc... et ensuite purge de prisons jusqu’au centuple. Il faut se le dire.

  • Le 30 septembre 2017 à 10:58, par Mafoi En réponse à : Pr Mahamoudou Dicko, Président par intérim de la NAFA : « Notre silence a des limites et nous exigeons la libération de Djibrill Bassolé »

    Bande de mange-mils,allez libérer votre putschiste.Franchement ça commence à trop faire

  • Le 30 septembre 2017 à 12:27, par justice En réponse à : Pr Mahamoudou Dicko, Président par intérim de la NAFA : « Notre silence a des limites et nous exigeons la libération de Djibrill Bassolé »

    Je suis d’avis avec vous il faut une justice. Justement votre étudiant en thèse que vous avez injustement bloqué mérite justice également. Les professeurs chevronné d’ici et d’ailleurs reconnaissent le travail formidable de l’étudiant mais vous pour des intérêts et palabres personnel s’acharnent à refuser le travail de l’étudiant. Justice également pour tous ces étudiants que vous avez clochardisez en détournant ces centaines de millions au CENOU pour acheter votre superbe villa à Ouaga 2000. Alors nous disons à l’ASCE que vos dossiers ne sorte pas maintenant de tiroirs notre ‘’SILENCE A EGALEMENT DES LIMITES’’ .Justice également pour l’université pour ce grand projet salvateur que vous avez saboté délibérément pour vous venger. En somme vous combattez votre Université que vous emploie. Je comprends pourquoi l’Université se dirige vers sa mort. je compte sur ce gouvernement pour mettre ces personnes maniaque hors d’état de nuire dans ce pays. Vous n’aimez pas la politique vous y êtes à la recherche de poste et d’argent. On n’est pas contre vous, nous voulons juste des hommes intègres digne et honnêtes pour diriger nos institutions. la NAFA est un parti que j’aime bien mais il a intérêt chercher ces types de personnes pour le diriger.

    • Le 1er octobre 2017 à 09:50, par Danga En réponse à : Pr Mahamoudou Dicko, Président par intérim de la NAFA : « Notre silence a des limites et nous exigeons la libération de Djibrill Bassolé »

      Merci mon frère justice.
      Effectivement nos universités et nos instituts sont bourrés de sois disant Pr qui se pannent en longueur des journées mais ne sont compétents que l’acte du MAL : tricher, voler, bloquer les étudiants et les projets, transférer les labo et leurs matériels en ville à leur propre compte, violer étudiantes et des femmes des gens ......................................................................................................................
      Si la deuxième insurrection sera contre la justice, la troisième sera contre ces mafioso de Professeur d’université (Pr= Pour Rien)

  • Le 30 septembre 2017 à 12:43, par SIATRA En réponse à : Pr Mahamoudou Dicko, Président par intérim de la NAFA : « Notre silence a des limites et nous exigeons la libération de Djibrill Bassolé »

    DJIBI SORTIRA DE SA CELLULE AFFAIBLI PHYSIQUEMENT QUE MENTALEMENT.TOUT CELA PESERA SUR SON AVENIR POLITIQUE.LE PAUVRE.

  • Le 30 septembre 2017 à 12:47, par HAMPATHE En réponse à : Pr Mahamoudou Dicko, Président par intérim de la NAFA : « Notre silence a des limites et nous exigeons la libération de Djibrill Bassolé »

    Nous avons tous demande la separation des pouvoirs, gage de toute democratie.
    Si nous voulons que ce soit une realite dans les faits, arretons de manifester pour demander au pouvoir executif de donner des ordres au pouvoir judiciaire.
    Demandons plutot l’acceleration du processus, sans pression aucune, tant au niveau des juges que des avocats, pour la manifestation de la verite.
    Sachons qu’une "liberation politique" du General Djibril Bassolet ne signifie pas l’extinction de l’action judiciaire et ne l’innocente nullement.

  • Le 30 septembre 2017 à 13:44, par Ka En réponse à : Pr Mahamoudou Dicko, Président par intérim de la NAFA : « Notre silence a des limites et nous exigeons la libération de Djibrill Bassolé »

    Vous nous parlez comme si Djiril était un super humain plus que tous les détenus dans les prisons du Burkina. Sachez-le fort bien qu’il n’est nullement plus important que quiconque en ce qui concerne sa nature humaine. Difficile à vous comprendre lorsque vous vous mettez à le défendre dans ces termes comme si il a été incarcéré injustement. Comme le garde des sceaux vient de le confirmer, son sort dépend du juge qui a son dossier, et qui applique la loi pour tous. Force est de vous rappeler que nous nous disposons au Burkina, tout comme dans le monde entier, un système judiciaire qui est indépendant et s’exécute selon un rythme et un calendrier bien propre à lui. Son travail est basé essentiellement sur des enquêtes ; si les enquêtes ne sont pas finies, que ce soit un certain Djibril qui n’assume pas actes, ou celui qui veut acheter les juges par achat de conscience, en faisant faire des marches inutiles par des inconscients, aggrave le sort du présumé coupable. Tant que les achetés de la NAFA par Djibril Bassolé n’auront pas compris qu’ils doivent faire profil bas pour que la justice soit dite, et que toutes leurs manipulations et pressions cessent d’ennuyer la justice, leur investisseur avec le denier public et l’or volé restera en prison. Fi chez-nous la paix avec vos enfantillages.

  • Le 30 septembre 2017 à 13:51, par Papa En réponse à : Pr Mahamoudou Dicko, Président par intérim de la NAFA : « Notre silence a des limites et nous exigeons la libération de Djibrill Bassolé »

    Je n’ai pas voulu user de mon temps precieux pour lire votre poeme car le sujet dejas m’enervais ( Notre patience a des limites ) .djibril ne sera pas libere’ avant son proces et si vous n’etes pas contents montrez-nous de quoi vous etes capable. C’est par vos declarations fantaisistes suivies de menaces qui agravent la situation de Mr Bassole’ Vous etes les premiers ennemis de Djibril Bassole’.

  • Le 30 septembre 2017 à 14:10, par Touabga En réponse à : Pr Mahamoudou Dicko, Président par intérim de la NAFA : « Notre silence a des limites et nous exigeons la libération de Djibrill Bassolé »

    Le message de ce culotté est adressé directement à Rock, l’incapacable

  • Le 30 septembre 2017 à 14:29, par le pays va mieux En réponse à : Pr Mahamoudou Dicko, Président par intérim de la NAFA : « Notre silence a des limites et nous exigeons la libération de Djibrill Bassolé »

    je suis désolé mr DICKO mais tu peux aller le libérer. Si tu avais perdu un parent dans cette tentative de coup d’état, tu n’allais pas tenir ce langage. Du n’importe quoi.

  • Le 30 septembre 2017 à 14:34, par Nabiiga En réponse à : Pr Mahamoudou Dicko, Président par intérim de la NAFA : « Notre silence a des limites et nous exigeons la libération de Djibrill Bassolé »

    Hi, Hi, Hi, ah bon, vous passez aux menaces ? Allez-vous en le libérez car c’est vous qui l’avez mis en détention. Je remarque tout au long que les gens qui réclament la libération de Djibril et autres, ne l’aiment pas vraiment. Il fallait, au départ, lui conseiller de ne pas s’impliquer dans la déstabilisation de notre pays. Vous vous êtes tus, et le voilà dans des beaux draps et vous menacez de descendre à la MACA ? Tenez, Il a semé, qui peut le priver de récolter ? Bien d’autres haut gradés de nos forces armées sont libres de leurs mouvements, sont chez eux avec leurs familles et vaquent en toute quiétude à leurs responsabilités. Pourquoi personne ne les pas a détenus et pourquoi ils n’ont rien à s’inquiéter ? Dites-vous bien que le jour où vous oserez, on vous donnerait la correction exemplaire et dissuasive qui est la vôtre. Bande de fanfarons

  • Le 30 septembre 2017 à 14:35, par Dedegueba Sanon En réponse à : Pr Mahamoudou Dicko, Président par intérim de la NAFA : « Notre silence a des limites et nous exigeons la libération de Djibrill Bassolé »

    Ainsi vous osez proferer des menaces ???
    Bien, nous vous attendons lorsque votre limite sera franchise, nous qui avions été 27 ans durant malmenés par votre "lumière", dans son zèle de servir celui, qui pour echapper à son destin a pris une autre nationalité.
    Qu’un Dicko, sorte pour nous menacer ne m’etonne guère, vue que Djibo est une zone chaude sur le plan securitaire.Et je me rappelle encore l’image de Djiby enturbanné à Djibo.
    Suspect, très suspect tout ça.

  • Le 30 septembre 2017 à 14:38, par le burkinabe En réponse à : Pr Mahamoudou Dicko, Président par intérim de la NAFA : « Notre silence a des limites et nous exigeons la libération de Djibrill Bassolé »

    Il est pervers de demander la libération d’un présumé coupable.si vous êtes de bonne moralité mettez plutôt la pression a la justice pour qu’on aille au jugement.
    PROFFESSEUR ! vous êtes Pr en quoi ? mettez votre intellectualisme au service de la nation si vous l’êtes vraiment au lieu de faire des déclaration contre nature juste pour le ventre.
    En plus qu’elle mal vous pouvez faire a l’ETAT BURKINABE si la limite de votre silence est atteint

  • Le 30 septembre 2017 à 15:02, par cheickh En réponse à : Pr Mahamoudou Dicko, Président par intérim de la NAFA : « Notre silence a des limites et nous exigeons la libération de Djibrill Bassolé »

    Tout le monde a compris ! On appelle çà s’agiter pour se faire de l’argent. Sinon de quels moyens userez-vous pour contraindre les autorités ? Peut-être une lutte armée ou une offensive mercenaire, attendons de voir alors !

  • Le 30 septembre 2017 à 15:09, par ANJ En réponse à : Pr Mahamoudou Dicko, Président par intérim de la NAFA : « Notre silence a des limites et nous exigeons la libération de Djibrill Bassolé »

    J’ai l’impression que vous n’avez jamais été silencieux.Dites plutot que la tactique va changer.
    dans ce cas croyez moi vous trouverez sur votre route un peuple Burkinabe uni et soude contre votre forfaiture et votre tentative de souiller ce peuple a des fins personnels.
    Monsieurs de la NAFA il est temps que vous vous recadrez car l’existence et le programme d’un parti ne saurai se limiter a l’unique revendication:liberation de Djibril Bassolet qui est par ailleurs humain devant la justice comme tout autre humain.Pourquoi tant d’excitation attendons stoïquement que justice soit rendu a Mr Bassole au lieu de tout ce tapage médiatique qui n’est pas forcement bon pour votre maitre,maitre car a vous suivre de prêt
    ce n’est que des rapports maitre-esclave qui sous-tendent vos actions,affranchissez vous de la tutelle meme si cela se ferra au prix de votre ventre c’est cela aussi le BUKINABE.

  • Le 30 septembre 2017 à 15:27, par Armel En réponse à : Pr Mahamoudou Dicko, Président par intérim de la NAFA : « Notre silence a des limites et nous exigeons la libération de Djibrill Bassolé »

    Mr Dikho,votre mentor d assassin putschiste sera jugé,dégradé, et bouclé. Vous n y pouvez rien de rien.alors,du calme

  • Le 30 septembre 2017 à 17:18, par Aba ! Quelle contradiction dans tes propos En réponse à : Pr Mahamoudou Dicko, Président par intérim de la NAFA : « Notre silence a des limites et nous exigeons la libération de Djibrill Bassolé »

    « Nous avons affirmé haut et fort que ni Djibrill Bassolé, encore moins la NAFA n’étaient mêlés ni de près ni de loin à ce coup d’Etat que la NAFA avait d’ailleurs condamné.
    Aujourd’hui les faits sont là et c’est les dernières actualités au niveau de la justice militaire qui confirment le mensonge orchestré à l’époque. Il s’est avéré qu’aucun militant de la NAFA n’est impliqué dans le putsch et c’est désormais officiel. »

    Et portant c’est la même justice militaire qui accuse Bassolet de haute trahison dans cette affaire de putsch alors qu’il est des vôtres. Allez y comprendre vos propres contradictions. Et puis, n’oubliez pas que les premiers moments du coup d’Etat où vous étiez forts là, vous en étiez d’accord et vous étiez de ceux qui passaient leur temps sur les ondes à justifier le coup de force arguant que c’est le résultat de ce que vos clics appelaient l’exclusion. Arrêter d’amuser la galerie avec vos menaces insensées et non sérieuse car vous n’y pouvez rien. On n’est plus au temps de la compaorose où la justice était aux ordres.

  • Le 30 septembre 2017 à 18:21, par Batin En réponse à : Pr Mahamoudou Dicko, Président par intérim de la NAFA : « Notre silence a des limites et nous exigeons la libération de Djibrill Bassolé »

    Si les faits sont avérés, qu’il soit jugé et qu’il reçoive un verdict au vu et au su de tout le monde.
    Garder quelqu’un de cette façon, même s’il était vraiment coupable, plusieurs années avant de le juger est de l’ordre de la Cruauté et non de la Justice.
    C’est trop vilain ça !

  • Le 30 septembre 2017 à 18:24, par Koukou En réponse à : Pr Mahamoudou Dicko, Président par intérim de la NAFA : « Notre silence a des limites et nous exigeons la libération de Djibrill Bassolé »

    Roch est arrivé, il a vite fait de blanchir Soro !
    Pauvre Bassolet quant à lui, devra assumer non seulement sa part, mais aussi la part de Soro.
    Et ça, c’est une autre injustice ! Hé Wêndé !
    Misérables politiciens ! ! !

  • Le 30 septembre 2017 à 20:07, par le burkinabe En réponse à : Pr Mahamoudou Dicko, Président par intérim de la NAFA : « Notre silence a des limites et nous exigeons la libération de Djibrill Bassolé »

    Vous êtes entrain de violer la loi en menaçant la justice de libérer un présumé coupable avant son jugement. Votre démarche est contre nature. Demander plutôt le jugement pour que votre idole se défende. s’il est coupable il sera condamné car il n’est pas plus grand que les autre prisonnier

  • Le 30 septembre 2017 à 21:06, par wennonga tounsba En réponse à : Pr Mahamoudou Dicko, Président par intérim de la NAFA : « Notre silence a des limites et nous exigeons la libération de Djibrill Bassolé »

    Si Bassole ne se reproche rien, laissez la justice retablir son innocence.

  • Le 30 septembre 2017 à 21:36, par joel En réponse à : Pr Mahamoudou Dicko, Président par intérim de la NAFA : « Notre silence a des limites et nous exigeons la libération de Djibrill Bassolé »

    Pas étonnant d’entendre Dicko parler ainsi. Qui connaît l’homme comprend. Et ça se fait appeler professeur.

  • Le 30 septembre 2017 à 21:41, par Objectivité En réponse à : Pr Mahamoudou Dicko, Président par intérim de la NAFA : « Notre silence a des limites et nous exigeons la libération de Djibrill Bassolé »

    Si Djibril, comme vous le dites, n’est mêlé à rien, il sera acquitté. Mais de grâce, laissez la justice travailler. Vous voulez une justice comme vous le souhaitez et non une justice qui rend justice. Au moins Djibril a de la chance qu’il a eu des avocats. Dans pareilles accusations d’autres (Henri ZONGO et LINGANI) n’ont pas eu ce privilège et ont été froidement tués.Alors laissez la justice faire son travail. Djibril n’est pas plus que les autres.

  • Le 30 septembre 2017 à 21:56, par Achille De TAPSOBA En réponse à : Pr Mahamoudou Dicko, Président par intérim de la NAFA : « Notre silence a des limites et nous exigeons la libération de Djibrill Bassolé »

    Hommage à nos Martyrs du 30, 31 Octobre 2014 et 16,17 Septembre 2015

    Crier, pleurer, rouler à terre,marcher faites ce que vous voulez. "ange" Djibril ne sera pas libéré il n’y a rien en face. Vos menaces ou vos chantages sont très petits. La place de "ange" Djibril et la machine des frères Compaoré se trouve naturellement à la maca en français facile la prison. Votre faux général est sans doute un fin manipulateur mais cette fois ci sa manipulation ne marchera pas les juges.

    Vos menaces n’amènent nulle part. Le Burkina est régi par des lois ce n’est pas comme sous l’ère des frères Compaoré où le crime ou la malhonnêteté est une récompense ou une vertu et l’honnêteté est un délit. Aucune prime ne sera accordée à l’impunité.

    "ange" Djibril et la machine à tuer des frères Compaoré Diendéré seront jugés et condamnés à la hauteur de leurs forfaits sans pitié. Sous la révolution, "ange" Djibril avait profondément ses collègues gendarmes dans le procès de la disparition de l’or pour se soustraire facilement mais cette fois-ci il fait chou blanc il a lamentablement échoué les juges ne vont pas accéder à ses faux jeux.

    Chers amis de Nafa, soyez très sûrs, "ange" Djibril répondra de ses actes pour être le BRAS FINANCIER de putsch. Dites courageusement à "ange" Djibril de ne pas pleurnicher car ce n’est la solution, s’assumer devant les juges est la meilleure option pour lui . La justice ira jusqu’au bout sans peur des pressions ou manipulations menant des pèlerins de l’impunité la galaxie Compaoré. Les familles des MARTYRS seront soulagées.

    Nous restons intraitables et imperturbables sur les dossiers de l’insurrection populaire et du putsch.

    A nos Martyrs qu’ils se reposent en paix. Que justice leur soit rendue rapidement

    Justice pour Norbert Zongo
    Justice pour Thomas Sankara
    Justice pour Salifou Nebié
    Justice pour David Ouèdraogo
    Justice pour Boukary Dabo

    Victoire toujours au Brave Peuple
    Vive la démocratie au Faso
    Vive le Brave Peuple Burkinabé

    Que LE SEIGNEUR bénisse le BURKINA que nous aimons tous.Amen
    Paix et Succès à Tous les BURKINABES . Amen

    Achille De TAPSOBA le Bobolais

  • Le 30 septembre 2017 à 22:29, par kagbe En réponse à : Pr Mahamoudou Dicko, Président par intérim de la NAFA : « Notre silence a des limites et nous exigeons la libération de Djibrill Bassolé »

    Attends mon cher président par intérim, ne nous prends pas pour des idiots, l’histoire est récente et ni Djibril ni la nafa n’a condamnés le coup d’État au contraire vous avez été de ceux qui sont sortis soutenir les putschistes à libya hôtel lors de la rencontre de diendere avec les autres présidents. Arrêtez de vous foutre des gens Svp et assumer vos actes une fois dans votre vie

  • Le 30 septembre 2017 à 23:49, par Jean Francois Kabore En réponse à : Pr Mahamoudou Dicko, Président par intérim de la NAFA : « Notre silence a des limites et nous exigeons la libération de Djibrill Bassolé »

    C est indigne d un professeur !! Lorsque un citoyen se trouve accuse de faits aussi graves qu M.Bassole, aucun homme équilibré ne peut exige sa libération ; il convient tout simplement de souhaiter qu il ait droit à un procès équitable : s il est blanc comme neige, il sera libéré et s il est reconnu coupable tout Bassole qu il est , il purgera sa peine
    Et puis M Dicko pourquoi vous ou moi n avons nous pas été arrêtés ??? N insultez pas l intelligence des burkinabé
    Vous décrétez qu il est votre candidat pour les élections avenir ; si le ridicule tuait moi qui croyait que dans tous les partis,ce sont les instances qui se réunissent pour apprécier les dossiers et retenir le candidats je plains les militants de Nafa
    J osé croire que toutes ces turpitudes ne sont pas motivées par l alimentaire

  • Le 1er octobre 2017 à 07:05, par Ka En réponse à : Pr Mahamoudou Dicko, Président par intérim de la NAFA : « Notre silence a des limites et nous exigeons la libération de Djibrill Bassolé »

    Monsieur Dicko, avant de faire une sortie de provocation comme celle-là, il fallait se regarder devant une glace comment vous êtes gonflé par l’argent volé de Djidril Bassolé : Si ce dernier continu à vos engraissé avec l’argent de l’or volé, vous alliez finir par vous éclater un jour. Souvent la patience est un chemin d’or. Vous n’êtes rien pour ne pas être patient devant la justice qui fait son travail. Et je vous redis comme dans mon premier message, que vous nous parlez comme si Djiril était un super humain plus que tous les détenus dans les prisons du Burkina. Sachez-le fort bien qu’il n’est nullement plus important que quiconque en ce qui concerne sa nature humaine. Difficile à vous comprendre, lorsque vous vous mettez à le défendre dans ces termes comme si il a été incarcéré injustement. Comme le garde des sceaux vient de le confirmer, son sort dépend du juge qui a son dossier, et qui applique la loi pour tous. Force est de vous rappeler que nous nous disposons au Burkina, tout comme dans le monde entier, un système judiciaire qui est indépendant et s’exécute selon un rythme et un calendrier bien propre à lui. Son travail est basé essentiellement sur des enquêtes ; si les enquêtes ne sont pas finies, que ce soit un certain Djibril qui n’assume pas actes, ou celui qui veut acheter les juges par achat de conscience, en faisant faire des marches inutiles par des inconscients, aggrave le sort du présumé coupable. Tant que les achetés de la NAFA par Djibril Bassolé n’auront pas compris qu’ils doivent faire profil bas pour que la justice soit dite, et que toutes leurs manipulations et pressions cessent d’ennuyer la justice, leur investisseur avec le denier public et l’or volé restera en prison. Fi chez-nous la paix avec vos enfantillages.

  • Le 1er octobre 2017 à 08:41, par nabayouga En réponse à : Pr Mahamoudou Dicko, Président par intérim de la NAFA : « Notre silence a des limites et nous exigeons la libération de Djibrill Bassolé »

    Laissez les gens s’agiter comme des oiseaux de mauvais augure . Djibi doit savoir qu’il n’est rien et d’ailleurs la magnanimité de ROCH a des limites.

  • Le 1er octobre 2017 à 10:27, par Alexio En réponse à : Pr Mahamoudou Dicko, Président par intérim de la NAFA : « Notre silence a des limites et nous exigeons la libération de Djibrill Bassolé »

    Des professeurs qui semettent au service et a la servilite de la poltique policienne. Au lieu d aller eduquer nos enfants qui ont besoin de votre experience. On passe tout son temps dans les Conferences de presse, alorsque le Burkina Faso manque des professeurs pour consolider et donner une bonne image de marque a son education.

    Nos pseudo-intellecto doivent cessez cela, car c est notre pays qui a financer leurs etudes. La politique doit etre juteuse si des professeurs fuirent leur port d attache pour se consacrer a la politique. Djibril Bassole n ajamais ette un prisonier politique, mais en element d un coup d etat echoue.

    Supposons que Diendere etsa bande reussissait cette sale besogne pour maintenir le peuple burkinabe sous dominance et dictature. Le sang allait couler a flots plusque la trahison de Blaise Compaore de son ami et frere d armes. Thomas I.Sankara. Qu il a pu fait eleminer physiquement mais pas spirituellement.

    Dont la mort es plus que jamais un symbol de liberation contre imperialiste Occidental dont la jeunesse africaine a memoriser dans leur conscience et immortalise.

    C est triste que un professeur ne connait pas la separation de la justice. Ou bien parvce que Djibril Basole parceque est un General de la Gendarmerie, qu il merite le favortisme de justice de la justice. Quand ils etaient aux commandes eux ils tuaient pour leur sacrefice humain maconique pour tous ceux qui etaient sur leur chemin qui les empechaient d aboutir a leurs sales besognes. La justice ne vous appartient pas. Mr le professeur. Et vous ne pouviez pas la force a vous satisfaire votre requete.

    Ne rendez pas le Burkina Faso plusque bannaniere que sous la l ancien regime, ou le crime de sang des commanditaires sont aujopurdhui en fuite. Et Bassole Djbril faisait parti de la table ronde, ou Il a preferer la politique politicienne a la Gendarmerie avec les honneurs et lintegrite de son homme.

  • Le 1er octobre 2017 à 11:04, par warzat En réponse à : Pr Mahamoudou Dicko, Président par intérim de la NAFA : « Notre silence a des limites et nous exigeons la libération de Djibrill Bassolé »

    Moi, j’ai plutôt l’impression que ces menaces, ces manifestations ont un effet contraire au but recherché. Tout le monde sait qu’avec une justice indépendante, les pressions diverses ne peuvent pas faire fléchir un juge. De plus, que penserait le reste du peuple d’une hypothétique intervention politique pour plier à vos menaces. Une question simple êtes vous plus nombreux que ceux qui se taisent, qui ne manifestent pas, qui attendent de voir l’issu de ces affaires en justice ? Une chose est certaine, ceux qui encaissent vos menaces, qui suivent patiemment et attendent le dénouement de ces affaires sont plus nombreux, calment leur colère qui sourde en eux....comme exactement au temps de l’ancien pouvoir dont votre candidat divin était un des ténors.C’est exactement le même comportement que les soutiens à la présidente du CSC ont adopté au lieu de l’aider à réunir les preuves de son innocence. Donc, avec une justice indépendante, lente et qui tarde à venir, j’ai plutôt peur pour votre leader, car certainement elle dispose d’éléments qui ne militent pas pour sa libération et qu’elle ne communiquera pas.

  • Le 1er octobre 2017 à 13:21, par jeunedame seret En réponse à : Pr Mahamoudou Dicko, Président par intérim de la NAFA : « Notre silence a des limites et nous exigeons la libération de Djibrill Bassolé »

    Votre culture a des limites ; et nous vous conseillons la relecture et la compréhension de la loi. Non aux manifestations seulement exhibitionnistes.

  • Le 1er octobre 2017 à 16:35, par Wennonga Tounsba En réponse à : Pr Mahamoudou Dicko, Président par intérim de la NAFA : « Notre silence a des limites et nous exigeons la libération de Djibrill Bassolé »

    Des Généraux génériques en légalement en prison défendus probablement par un Pr générique ou de mauvaise foi. Dieu sauve mon Faso.

  • Le 1er octobre 2017 à 19:50, par y en a marre de ces gugus ! En réponse à : Pr Mahamoudou Dicko, Président par intérim de la NAFA : « Notre silence a des limites et nous exigeons la libération de Djibrill Bassolé »

    Soyons sérieux NAFA ! votre programme se résume à Bassolé candidat en 2020 ! sans savoir si ce dernier le sera ! si le ridicule pouvait... Alors, faire du brouhaha pour conclure par : "La NAFA interpelle la responsabilité du chef de l’Etat sur l’état de santé de BASSOLE et sur sa sécurité". 2 ans qu’il est en sécurité et soigné par l’état... !
    Qu"il vient s’expliquer sur les lingots d’or... et sur la décision prise de renvoyer un certain Robert Ménard de RSF manu militari dans l’affaire Norbert Zongo, qui a mal tourné depuis comme maire !

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