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Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

Publié le jeudi 16 mars 2017 à 00h35min

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Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

Ce mardi 14 mars 2017 à Ouagadougou, le ministère du Commerce, de l’industrie et de l’artisanat a organisé un atelier de restitution du rapport d’expertise environnementale du projet d’implantation d’une unité de broyage de clinker à Bobo-Dioulasso. Au vu des résultats présentés, l’usine Cimasso ne pressente que des risques « négligeables » pour la nappe phréatique de la capitale économique.

Courant 2016, on s’en souvient, lors de la pose de la première pierre pour l’implantation de l’usine Cimasso dans la capitale économique, des voix s’étaient levées pour s’y opposer. La raison avancée était que la construction de cette unité industrielle infecterait la nappe phréatique de Nasso, lieu d’implantation de l’usine.
Selon le ministre en charge de l’Industrie, Stéphane Sanou, cette polémique qui est née, remettait en cause l’étude d’impact environnemental et social réalisée pour l’occasion. « Face à cette situation délétère pour le climat social, Son excellence Monsieur le Premier ministre, a instruit la conduite de la présente contre-expertise internationale et indépendante en vue d’orienter la prise d’une décision avisée sur le sujet », a-t-il indiqué. Ce qui à son avis prouve « à quel point le dossier Cimasso préoccupe les plus hautes autorités du pays ».

Ainsi, dans cette salle du Liptako Gourma, gouvernants et gouvernés venus de Bobo-Dioulasso, ont eu droit à la restitution de la contre-expertise faite par le Consultant et expert indépendant suisse en environnement, Dr Alexandre Repetti. En octobre 2016, ce dernier s’est rendu sur ledit lieu afin de collecter les données et procéder à une analyse objective.

De cette analyse des impacts sur l’environnement, il ressort que la technologie utilisée pour canaliser l’émission de poussière industrielle due à la production, ainsi que l’écoulement des eaux de l’usine, répondent tous aux normes standards au plan international. Et si l’on tient compte de plusieurs facteurs, en ce qui concerne les ressources en eau, la conclusion de cette étude est que les risques de pollution pour la nappe phréatique sont négligeables. Il n’y a donc pas d’inquiétude à ce niveau.
L’expert en a profité pour faire des recommandations. Toujours dans le souci de cette préservation du cadre environnemental de la ville de Sya.

Présent à cette restitution, le ministre en charge de l’Environnement, Batio Nestor Bassière a salué la tenue de cette rencontre qui va permettre à tous les acteurs de parler le même langage. « Le chef de l’Etat l’a dit à Bobo-Dioulasso, si toutefois Cimasso doit avoir des conséquences sur l’environnement, Cimasso va s’arrêter », a-t-il rappelé. D’où cette expertise internationale qui est un œil extérieur au débat national sur la question, conformément à la volonté du Premier ministre. Il en a profité pour réaffirmer le fait que son département veut l’investissement, mais, que cela se fasse dans le respect de l’environnement.

Juste après cette restitution, les acteurs ont poursuivi les échanges sur le rapport en question, afin de mieux s’accorder et en tirer toutes les conséquences.

Marcus Kouaman
Lefaso.net

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Vos commentaires

  • Le 15 mars 2017 à 12:38, par Omer En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

    Fallait aller faire la restitution à Bobo et répondre aux questions. Vous êtes venus à Ouaga s’enfermer dans une salle entre amis et dire ce que vous voulez et vous applaudir. Cette restitution est sans intérêt. je parle de la restitution, pas les résultats de l’etude que je connais pas.

    • Le 17 mars 2017 à 07:55, par Mahamadi Savadogo En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

      On ne croit plus à vos experts sur mesure qui viennent défendre vos intérêts. Rendez son rapport public avec les détails scientifiques de son analyse nous avons des spécialistes qui sont des patriotes burkinabé qui feront la contre-expertise. On dirai que vous ne vous rendez pas compte que la nappe de Nasso est un trésor nationale à protéger. En plus d’être une source stratégique de survie du burkina, ce sont des millions de vie qui en dependente à l’heure actuelle.

  • Le 15 mars 2017 à 13:44, par TANGA En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

    Négligeable n’est pas synonyme de risque zéro. Surtout quand tous savons comment on est négligeant dans notre pays.

  • Le 15 mars 2017 à 14:10, par Le rvolutionnaire En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

    Messieurs les ministres Sanou et Bassière c’est fort regretable que vous prenez un aménagiste pour venir faire une expertise après un travail fort remarquable d’experts burkinabè intègres patriotes. il est encore possible de revenir en arrière sinon....

  • Le 15 mars 2017 à 14:30, par Anta En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

    C’est pour nous donner un faux sentiment de sécurité. Le risque zéro n’existe pas. Sur le plan des risques naturels, on ne peut rien prévoir, mais sur le volet technique,CIMFASO doit mettre en place un vrai plan de mitigation, sinon dans quelques années les Bassière ne seront pas là pour la défendre. Aucune de ces grandes entreprises ne se préoccupe de la protection de l’environnement . Elles sont là pour faire le maximum de bénéfice, dussent-elles exterminer la moitié de la population. Ce qui m’écœure, c’est que de façon automatique, elles ont l’aval et le soutien des autorités. Soyez sûrs que nous allons garder les coupures de journaux de cette rencontre et rendez-vous dans quelques années. ca me rappelle Donald Trump et les indiens à propos de l’affaire des pipelines.

  • Le 15 mars 2017 à 14:56, par Anse En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

    Mais il faut changer de site. Pourquoi aller implanter une usine à côté d’une source d’eau ?
    On peut faire dire tout ce qu’on veut à un expert. Le bon sens doit prévaloir. Il faut déplacer l’usine sur un autre site .On dit l’eau c est la vie.

  • Le 15 mars 2017 à 15:03, par Alexio En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

    Ce qui est lamentable de linstallations des usines en Afrique par les europeens, les etudes d expertises ne sentiennent pas compte l impacts sur l environnement. Cette culture a ete introduite par le colonisateur francais, ou le profit etait la premiere priorite. Chez eux ils allaient crier halte a la criminalite environnementale.

    La plus grande criminalite environnementale a Bobo-Dioulasso a mes souvenirs d enfance etaient la CITEC. Une usine savon et dhuile avec son fourneau qui degageait des tonnes de CO2(Carbondioxyde) dans l air.

    A cote de l Ecole Bobo-centre. Hormis de cette pollution de l air, les dechets emanants de la Production du savon dont les eaux sales etaient canalisees sur le Marigot du Houet empoisonaient les poisons sacres(Les silures).

    Les eleves traversaient cette couche epais de fumee polluee pour alle a l ecole pendant 9mois. Et persone des autorites ne pouvait lever et pointer du doigt cette criminalite environnementale au profit des emplois.

  • Le 15 mars 2017 à 15:09, par La lumière En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

    Des experts étrangers on en a beaucoup vu ici au Faso ; comme celui qui a fait l’autopsie du juge Nebié. Les conclusions sont connues d’avance excusée fabriquées d’avance. Je ne doute pas aussi de la compétence de nos intellectuels burkinabè. Je souhaite qu’on leur reverse les analyses faites par l’expert pour réaction. Ou qu’on donne ces conclusions à des associations de lutte contre les phénomènes environnementaux pour examen et avis. Parce lorsque le désastre sera effective peut être les ministres et l’expert seront sous d’autre cieux et nous n’aurons que nos yeux pour pleurer. Nos enfants seront privés de cette manne naturelle que le Bon Dieu nous a offerte gratuitement et que des poltrons auront détruite pour s’enrichir sur notre dos. Ouvrons l’œil et le bon car c’est l’avenir de nos enfants qui sont en jeu.

  • Le 15 mars 2017 à 15:11, par tibo En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

    Je trouverai "dommage" que le suisse vienne dire qu’il y a risque de polluer le château d’eau du Burkina. Tout comme l’expert qui a contre expertisé la mort du juge Nebie a dit qu’il a été percuté par un wambraado (camion de bois) l’expert Suisse est venu ; il a pris son "blé" il est parti. Ce qui est véritablement dommage est que Sanou (de bobo) et Bassiere (de bobo) cautionnent l’empoissonnement de leurs électeurs (de Bobo). On peut prendre manger mais rester digne et humain. Mais cela dit qu’ils y aillent. L’eau Lafi polluée et l’usine fermée c’est du pain beni pour la... Présidente des eaux. Empoisnnez empoisonnez il en restera toujours. Que les ligues et les associations des droits humains se reveillent. Alerte est donnée contre les criminels...

  • Le 15 mars 2017 à 15:11, par Adama En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

    "Au vu des résultats présentés, l’usine Cimasso ne pressente que des risques « négligeables » pour la nappe phréatique de la capitale économique" c’est à dire différent du risque zéro.
    on espère que le ministère en charge de l’eau a été impliqué dans le processus d’élaboration et de validation de cette contre expertise et que des mesures de protections idoines doivent être prise par Cimasso pour protéger cette ressource précieuse (l’eau). lorsqu’on sait que les nappes phréatiques dans les zones sédimentaires (Bobo) sont plus vulnérables à la pollution bien sure en fonction de la nature et de la disposition des formations géologiques rencontrées.
    le rapport de cette étude doit être rendu public au regard de l’intérêt général qu’il rencontre.

  • Le 15 mars 2017 à 15:14, par Chapité En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

    En matière d’hydraulique, un risque négligeable est déjà trop ; l’eau c’est la vie, ne sacrifions pas les générations futures pour les miettes d’aujourd’hui. Faites une visite à Zagthouli, regardez l’environnement ; faites un tour à Kossodo. Dieu nous sauve.

  • Le 15 mars 2017 à 15:42, par Cheikh En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

    Soyons quand-même réalistes, soit on veut se développer comme tout le monde, soit on veut rester enfermé dans son cocon. Il ne faut pas passer le temps à jalouser l"émergence des autres villes comme Ouaga, Abidjan et que sais-je encore, lorsqu’on fait soi-même barrière à son propre épanouissement. Que ceux qui, sans aucun argument technique valable, veulent passer leur temps à ruminer leur aigreur, le fassent. Quant à nous, nous n’entendons plus nous retourner à chaque aboiement de chiens. Camarades, allons seulement jusqu’au bilan de notre quinquennat !

  • Le 15 mars 2017 à 15:59, par Jeanbarkbiiga En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

    Pourquoi insister à implanter l’usine à ce lieu pendant qu’il y a d’autres espaces qu’on utiliser ? Je ne comprends pas ce gouvernement qui dilapide les fonds publiques avec des experts corrompus alors que la solution est toute simple. On dit non changer de site point barre. Vous serez responsables de l’état de santé des populations de Bobo. J’allais du Faso.

    • Le 15 mars 2017 à 16:20, par Shalom En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

      Bonjour à tous,

      Je pense que la société CIMFASO n’a aucun respect pour l’environnement. Elle ne voit que ses seuls intérêts. Je pense que si elle insiste pour s’implanter sur le site à risque ’négligeables’ c’est tout simplement pour réduire ses coûts d’investissement (notamment les coûts de branchements électrique et d’eau). Pour le reste, elle n’en a cure. Il appartient à la société civile et à toute la population de Bobo-Dioulasso de barrer la route à cette forfaiture. On ne peut pas compter sur ce gouvernement.

  • Le 15 mars 2017 à 16:19, par Jeanbarkbiiga En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

    Pourquoi insister à implanter l’usine à ce lieu pendant qu’il y a d’autres espaces qu’on utiliser ? Je ne comprends pas ce gouvernement qui dilapide les fonds publiques avec des experts corrompus alors que la solution est toute simple. On dit non changer de site point barre. Vous serez responsables de l’état de santé des populations de Bobo. J’allais du Faso.

  • Le 15 mars 2017 à 16:43, par gramaton En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

    A quoi bon sert d’installer Cimasso dans cette zone. Les professionnels burkinabès du domaine qui ont fait les même études ( universalité de la science) déconseillent cette zone pour l’implantation d’une cimenterie dans le but de préserver la qualité de l’eau ( l’eau c’est la vie) et on proposer un site moins à risque. Dommage que nos autorités font plus confiance aux expatrier auxquels j’ai rien contre mais je pense que nous n’avons plus autant besoin d’expertise extérieure.
    Pauvre autorités burkinabès

  • Le 15 mars 2017 à 16:57, par Le mavais En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

    Je pense qu’il n’y a jamais de risque "zéro". On essaie toujours de les rendre négligeables puis de faire un suivi derrière. La bataille serait plutôt de suivre cet aspect.
    Je crois que beaucoup de gens ne perçoivent pas la morosité de la situation à Bobo...Si vous insistez, ce projet ira ailleurs et tant pis pour Bobo....Ce sera une formidable chance de baisse du chômage à l’eau....
    Soyons sérieux et laissez ces gens là faire leur job...Il y’a tout à y gagner et rien à perdre...

  • Le 15 mars 2017 à 17:04, par Arch En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

    Si vous leur laissé construire, ils la pollueront votre belle Bobo pour leur seul enrichissement. il y’a des choses on a pas besoin detre intelligent pourcomprendre. j’ai fait des études d’ingénierie dans le domaine eau et je sais qu’aucune simulation n’a été fait par ce soit disant expert

  • Le 15 mars 2017 à 17:19, par Lam En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

    D’accord pour les conclusions de l’expertise : risques environnementaux négligeables. Mais qu’en serait-il du cumule des aléas causés à la nature sur le long terme ?
    Autrement dit, qu’est-ce que le cumule des risques va produire dans 10 ans, 20 ans, voir 30 ans ? Encore une fois de plus, ne nous faisons pas insulter par ces blancs qui pensent que le nègre est sans prévision et se préoccupe seulement de l’immédiateté. Il faut accepter déplacer l’usine, un point c’est tout. Sinon, si vous insister, nous allons décréter un boycotte actif de vos produits.
    Pour finir, des études ont prouvé que la plupart des conflits de ces dernières années ont pour causes lointaines, les changements climatiques, avec de plus en plus, la raréfaction des ressources en eau. Si vous sacrifier la dernière bonne nappe du pays sur l’autel de vos ambitions politiques, vous en répondrez devant l’histoire.

  • Le 15 mars 2017 à 17:23, par tinto En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

    Nous OSC de Bobo, demandons simplement et humblement au Premier Ministre de nous publier le rapport produit par les Experts et Universitaires Burkinabè depuis juillet 2016 et dont personne ne pipe mot. Quel est le contenu de ce rapport ? Pourquoi le Premier Ministre le cache -t-il ?
    Nous réclamons le rapport scientifique des experts Burkinabè !!
    Nous réclamons le rapport scientifique des experts Burkinabè !!
    Nous réclamons le rapport scientifique des experts Burkinabè !!
    Nous réclamons le rapport scientifique des experts Burkinabè !!
    Nous réclamons le rapport scientifique des experts Burkinabè !!
    La Patrie ou la Mort, Nous Vaincrons.

  • Le 15 mars 2017 à 17:34, par djass En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

    Dr Alexandre Repetti Repeta ce que ceux qui l’on donné le marché veulent ! Si le Pr de l’UO ne peut pas mentir de meme que les autres experts du pays. j’imagine qu’en suisse une telle situation se presente, le peuple refuse et les experts confirme ce que craigne le peuple, il nyaura pas de contre-connerie. On n’est tro idiot dans nos maniere ! Ce suisse sait kil ne viendra jamais boire l’eau de Bobo ! C’est nous et nos enfants qui payerons chere les malhonnetete.

  • Le 15 mars 2017 à 18:12, par tinto En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

    Nous OSC de Bobo, demandons simplement et humblement au Premier Ministre de nous publier le rapport produit par les Experts et Universitaires Burkinabè depuis juillet 2016 et dont personne ne pipe mot. Quel est le contenu de ce rapport ? Pourquoi le Premier Ministre le cache -t-il ?
    Nous réclamons le rapport scientifique des experts Burkinabè !!
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  • Le 15 mars 2017 à 18:16, par L.T En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

    L’USINE EST SITUÉE EN PLEINE VILLE ET VOUS LE SAVEZ.EN PLUS IL YA RISQUES DE POLLUTIONS DE LA NAPPE .ACCEPTEZ CELA AUSSI.MAIS POURQUOI VOULEZ VOUS FORCEMENT SACRIFIER VOTRE POPULATION ?

  • Le 15 mars 2017 à 19:49, par Joe En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

    C’est dommage le monde actuel.Il a été démontré par des burkinabe s que c’est une catastrophe naturelle. Au cause des milliards on s’en fout de la vie humaine. Le capitalisme est ses ravages. Paix son âme la ville de Sia.

  • Le 15 mars 2017 à 20:14, par tinto En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

    Webmaster, j’espère que tu n’es pas en vacance parce que je ne sais pas pourquoi tu as arrêté de publier nos messages sur le forum.

  • Le 15 mars 2017 à 21:11, par elouss En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

    Je suis resté sur ma faim. Quelle type d’expertise environnementale ledit expert a t-il apporté ?
    Le concept de risque n’est pas exclusivement scientifique. Il fait appel au jugement sur la gravité probable d’un danger. Ce jugement repose plus sur des considérations sociologiques et politiques. Dès lors, il faut comprendre qu’en absence de cadre règlementaire bien établi, on peut prononcer le jugement toujours en faveurs de ce qu’on veut servir. Ou est ce qu’on peut prendre connaissance de cette étude ?
    Pour un soucis de transparence, il est souhaitable de la rendre publique.

  • Le 15 mars 2017 à 21:21, par Romson En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

    Il faut simplement changer le lieu d implantation de l usine. Il y a au moins 2 zones industrielles à bobo pourquoi vouloir à tout prix implanter l usine à ce lieu là contre le bon sens. Le risque négligeable signifie risque possible. Cela veut dire qu il n est pas exclu de voir un jour la nappe polluée par cette usine. J appelle les hautes autorités du pays à faire fi du rapport de cet expert et à tenir un langage de vérité à l industriel pour qu il change de site d implantation. Car contrairement à ouaga qui est alimenté par un barrage , toute la ville de bobo est alimentée par la nappe souterraine de nasso.

    • Le 16 mars 2017 à 17:23, par gbs En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

      Mr ROMSON. Merci pour votre contribution. Je voudrais juste vous rappeler que ce sont ces industriels qui financent les campagnes présidentielles, législatives etc. Je pense que l’expert a fait son travail à savoir conclure pour satisfaire ceux qui ont pris en charges ses honoraires. En tirant la conclusion que les risques sont négligeables, nous sommes satisfaits. Je pense à mon humble avis que cette restitution devrait être publique pour une participation massive. Cela aurait permis de soulever d’autres inquiétudes à savoir les impacts cumulatifs si toutefois d’autres unités avec plus ou moins les mêmes impacts négatifs venaient à s’implanter dans la même zone. En ce moment, nous pensons que le cumul des impacts négligeables pourraient être importants. Bref, je pense que nous disposons d’un service environnemental chargé des questions environnementales mais qui s’est malheureux transformé en Bureau privé pour realiser et juger les etudes d’impact ’environnemental et social (EIES) des projets. Comment peut-on donc être juge et parti. Merci.

  • Le 15 mars 2017 à 23:03, par Deb En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

    J’espère seulement que cet exercice de com se fera à Bobo egalement...

  • Le 16 mars 2017 à 01:13, par Mwinsome En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

    CIMASSO autorisée à polluer durablement de manière "négligeable".
    La démarche choisie par le gouvernement de Paul Kaba THIEBA rappelle et ressemble étrangement à celle préférée par le régime de Blaise COMPAORE pour élucider l’énigme de la mort du juge Salifou NEBIE : recours à une expertise extérieure par défiance vis-à-vis des compétences nationales pour la résolution d’une question très sensible.
    A l’époque, alors que l’opinion publique, sous la conduite du procureur général du Faso, Wenceslas ILBOUDO, était acquise à la thèse d’un "homicide volontaire" consécutif à l’usage d’armes contondantes selon les premières analyses mortuaires réalisées le 27 mai par une équipe burkinabè, le rapport d’autopsie rédigé par le médecin légiste français Stéphane CHOCHOIS, dépêché à Ouagadougou dans le cadre d’une demande d’assistance technique, conclut que le juge constitutionnel est décédé "des suites d’un accident de la circulation, avec percussion violente par un engin indéterminé".
    Dans le cas présent de CIMASSO, deux camps opposés dont les contours et le rapport de force nous échappent se sont affrontés plaçant les autorités devant un dilemme : faire droit aux avantages économiques convoités par l’entreprise, mettre la sécurité des citoyens au-dessus de toute considération d’intérêts privés.
    Si dans les deux cas, il s’agit bien de défendre le droit à la vie, soit d’une victime particulière, soit d’une population difficilement quantifiable dans le temps et l’espace, l’enjeu identique consiste à comprendre pourquoi attenter à la vie de personnes qui ne demandent qu’à comprendre et exercer leurs droits et devoirs. L’engagement pris au moment de son enterrement par un ami de Salifou NEBIE de se battre pour démasquer ses assassins n’a pas abouti à ce jour. Puisse son vœu que « la mort de Salifou Nébié soit un ferment pour les consciences encore endormies » trouver dans le débat en cours une opportunité de réalisation. On pourrait, en effet, se demander :
    Qu’est-ce que la population de Bobo-Dioulasso a fait de mal pour justifier que son sort soit exposé de génération en génération à des risques « négligeables » de pollution de ses nappes phréatiques ? Que devrait-elle faire pour bénéficier de toutes les précautions du pouvoir en vue de la protection sûre et totale de ces dernières et pour le bien-être des victimes potentielles de ce projet d’investissement ?
    Ma première réaction était de lancer un appel à la résistance, mais avec quels arguments et par quel canal pour éviter qu’il ne soit ni entendu ni compris ?
    Je pense plus efficace de lancer cet appel à la promotion de l’intérêt général par chacune des parties prenantes de ce projet.
    A moins d’ignorer la valeur de la ressource « eau », le gouvernement ne devrait accepter de courir aucun risque de pollution même négligeable des nappes phréatiques du HOUET, ni par CIMASSO, ni par aucun autre investisseur ou entrepreneur national ou étranger, même si cela s’accompagne de recommandations d’experts internationaux tels Dr Alexandre REPETTI, l’auteur de la contre-expertise internationale et indépendante commanditée par le premier ministre en vue d’orienter la prise d’une décision avisée sur le sujet. Une experte nationale et patriote en la personne de Mme Karidia ZONGO/YANOGO, députée à l’Assemblée nationale, interpelait le ministre de l’Eau et de l’Assainissement en ces termes, au cours de la séance du 22 avril 2016 : « L’eau souterraine, bien qu’elle soit cachée et invisible est fragile et souvent vulnérable aux nombreuses sources de contamination découlant des activités humaines : industrielles, minières, agricoles et j’en passe. Le traitement d’une eau souterraine contaminée peut s’avérer long et coûteux, voire impossible. Nous avons suivi à cet effet, le documentaire réalisé par le secrétariat permanent du Plan d’action pour la gestion intégrée des ressources en eau sur la question. Du reste, vous avez, dans votre déclaration du 22 mars 2016, mentionné que c’est l’un des défis de votre département…. Quelles sont les dispositions prises et mises en œuvre, en dehors des actions de sensibilisation sur les sites, pour décontaminer les eaux déjà polluées et, naturellement, anticiper sur d’autres cas de pollution quand on sait que les activités humaines à l’origine de ces pollutions ne font que se multiplier ? »
    Gouverner c’est prévoir, dit-on. Si l’Etat burkinabè manque à cette mission et que le mal se produit, c’est à ses représentants (premier ministre Paul Kaba THIEBA, ministres Stéphane SANOU, Niougou Ambroise OUEDRAOGO, Batio Nestor BASSIERE, maire Bourehima SANOU) et comparses et non à l’expert suisse que le peuple abandonné demandera des comptes : il vaut mieux investir aujourd’hui dans une délocalisation préventive de tout désagrément ou suite criminelle que de débourser follement demain pour une contre-offensive perdue d’avance.
    CIMASSO devrait exposer clairement ses risques de pertes ou l’importance du surcoût financier que lui imposerait la délocalisation de son chantier sur les sites alternatifs proposés par les organisations locales de la société civile et rechercher avec sincérité les voies et moyens de les minimiser. Il soignerait avec succès son image de promoteur industriel dans la capitale économique du pays en préférant le renforcement de la cohésion sociale à la volonté de domination socio-politique.
    Les OSC locales avec le soutien des syndicats mobilisés autour de la question devraient entrer en dialogue et offrir leurs concours à l’investisseur pour convenir des voies et moyens de compenser partiellement les frais de délocalisation de l’usine. En cas d’obstination de celui-ci, il faudra se résoudre à surveiller les travaux de construction de l’usine pour dénoncer les entorses aux normes internationales objet des recommandations du rapport de restitution présenté ce mardi 14 mars 2017 dans la salle du Liptako-Gourma, pour être fondé à opposer une résistance populaire légitime au démarrage de l’usine. Alea jacta est, le sort en est jeté !

    • Le 16 mars 2017 à 03:16, par hydrogéologue En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

      Je vous invite à lire le rapport fait par les experts burkinabè sur demande du Premier Ministre vous aurez la force de combattre. Sachez que l’expert international est venu lire un rapport qu’on a rédigé pour lui pour justifier l’implantation de l’usine. La seule alternative est le déplacement de l’usine sur le socle cristallin à 5 kilomètres du site actuel. l’expertise nationale a montré que les risques de pollution de la nappe sont énormes. Il faut demander au Premier Ministre de mettre les deux rapports l’un à coté de l’autre et on verra vous verrez que le débat sera clos. Nous demandons du patriotisme à nos gouvernants et surtout aux faux experts tant nationaux qu’internationaux qui les accompagnent. Demander les termes de référence pour le travail demandé à notre expert international ???? demandez à notre ministre chargé de l’Environnement le profil que devait avoir l’expert international ??? On veut assassiner le bobolais on veut assassiner le peuple burkinabè nous disons non. Chacun doit se lever pour dire non et non et demander le changement du site

  • Le 16 mars 2017 à 07:47, par kourikouri En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

    je suis bien déçu des ministres sanou Stephane et Nestor bassière mais pourquoi forcer une implantation d’usine dans un cours d’eau si c’est pas pour assassiner la population ? sachez que DIEU est et reste au contrôle. nous avons appris que le président est actionnaire dans cimfasso d’où le forcing

  • Le 16 mars 2017 à 08:42, par SOGOSSIRA de Tuiré En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

    Il faut que les bobolais prennent leur destin écologique en main. La qualité de la nappe phréatique de Bobo est un don de Dieu qu’aucune province n’a au Burkina. L’eau du robinet de Bobo est de l’eau minéral parce que venant de la source de Nasso et non d’un barrage avec de l’eau polluée et souillée comme à Oua.....Tous les bobolais et les Burkinabe épris d’un développement durable, la presse les OSC doivent lutter pour que la question de l’implantation du site de CIMFASO soit reconsidérée et traités avec toute la rigueur scientifique avec au demeurant des expertises et contre expertises. Le risque Zéro de pollution de la nappe phréatique doit être requis pour cette affaire qui concernent également les générations futures. CIMFASO est la bienvenu à Bobo mais ne touchez pas à notre nappe phréatique. L’assemblé nationale doit se saisir de la question pour s’assurer que l’irréparable ne se fasse. Nous avons connu l’épopée des Compaorés pendant les 27 ans de règne de l’ami personnel de Sankara avec leur hégémonie dans tous les secteurs clés du Faso nous ne voulons plus d’épopée d’un patronyme qui relègue les interêts vitaux du Burkina parce qu’un des leurs dort à Kossyam : un Kaboré peut en cacher un autre. Pas de passe droit pour CIMFASO de Inoussa KABORE

  • Le 16 mars 2017 à 11:02, par paysannoir En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

    Il faut que pour une fois les populations se mobilisent pour dire non. Voyez ce qui se passe à Dakar avec la première cimenterie d’Afrique de l’Ouest. Les populations n’en peuvent plus alors qu’au début, "les risques étaient négligeables". Si les bobolais acceptent sans penser aux enfants, cela veut dire que nous creusons les tombes de ceux qui ne sont pas encore nés. Au Burkina tous les blancs peuvent venir nous mentir dans une salle et repartir chez eux manger leurs épinards en riant. Est ce qu’on a besoin de quelqu’un de l’extérieur pour faire cette étude. L’environnement du Burkina est en train d’être détruit par les exploitants miniers au nez et à la barbe de nos "experts". Maintenant c’est les cimenteries. Dormons seulement, on verra au réveil. Pauvres de nous

  • Le 16 mars 2017 à 11:15, par OUEDRAOGO Pegdwende En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

    Quel mal y’a t’il pour cette usine à s’implanter juste à cinq(05) km de ce site litigieux comme le demande les experts nationaux ?vous voulez encore réveiller le courroux de la population juste pour faire plaisir à votre orgueil ? respecter ce peuple qui vous a choisi au lieu de le dénigrer au profit d’un certain seul PDG d’usine.

  • Le 16 mars 2017 à 11:35, par tibo En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

    Le Président du Faso ne doit pas nous obliger a le haïr lui et son MPP et ses ministres en très peu de temps. Non les burkinabé même les plus la pacifiques ne vont pas regarder éternellement faire. Le président Blaise a laissé faire. Il a ensuite refusé d’écouter les conseils. Il a obligé les burkinabé à le chasser. Les burkinabé sont toujours au Burkina. Président Roch SVP écoutez le bas peuple aussi. Ne précipitez pas la révolution.

  • Le 16 mars 2017 à 13:23, par warzat En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

    Les aquifères du sédimentaire de la Région de L’Ouest sont ceux qui disposent de plus de données scientifiques. Des projets et programmes colossaux s’y sont déroulés et toute la crème de l’hydrogéologie au Burkina, y a travaillé. Certains de nos experts nationaux y ont eu de bons résultats là où l’expertise étrangère à échouer. Si nos nationaux disent que le risque de pollution est certain et que par complexe d’infériorité, on fait venir un expert d’ailleurs pour dire le contraire, les responsabilités sont clairement situées. Sinon comment comprendre, qu’un fait scientifique suscite autant de réactions. Que coute le déménagement de la cimenterie à 5 km du site actuelle sur le cristallin par rapport à la préservation de la ressource ? S’il n’ y avait aucun risque, pourquoi les gens manifesteraient ? surtout que des jobs seront créés. Nous voulons tous que des usines s’installent à Bobo, mais pas à ce prix. Cette affaire n’est pas une histoire d’assassinat où le Burkina ne dispose pas de beaucoup de compétences ; ici nos géologues qui sont vos conseillers et ceux du BUMIGEB qui ont refait les cartes, les hydrogéologues, des universitaires avec des thèses de doctorats y ont travaillé. Cette affaire va pourrir la vie de certains dans un futur proche quand la pollution sera effective. Il faudra que ce gouvernement évite de faire par pur mercantilisme une telle erreur car les ressources en eau souterraine du sédimentaire sont les seules à pouvoir alimenter en eau potable l’ensemble du Burkina sans grand risque de rupture de la réserve. Donc cette affaire ne concerne pas seulement les Burkinabè de l’ouest mais tout le pays. Ce gouvernement ou un autre peut décider de définir les champs captants sur le sédimentaire ou à sa limite et de convoyer l’eau vers les zones déficitaires pour en finir avec le manque d’eau ou pour un service continu de l’eau, mais pourra t-il le faire si la ressource est polluée ? Et que coutera une dépollution quand on sait que les membranes (filtres) sont les outils les plus chers du domaine des dépollutions. Quels sont les pays qui fabriquent les meilleures membranes ? Si les gens savaient..... Ensuite que faire des boues de dépollution ? C’est terrible et dangereux. Et dire que ce ministre est sankariste.

  • Le 16 mars 2017 à 15:07, par SOUM En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

    Que dit l’opposition par rapport à ce sujet très délicat !

  • Le 16 mars 2017 à 15:39, par Cheick En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

    Les "normes standards au plan international" expression argument pour souvent passer en focre ? Mais ici on parle de risques négligeables comme s’il n’était pas question de la vie des gens ! On parle de "négligeables" comme si négligeables veut dire sans effets néfaste. Mieux, comment ce "négligeables" se comportera dans 20ans-30ans après les débuts de l’exploitation. Or, l’acte de naissance de cimasso est lié à quelqu’un ou un groupe qui poursuit ses intérêts. Cimasso n’est pas née parce que sont posés les intérêts des populations. Et même si c’était le cas, il faut absolument prévoir des conséquences ou risques nulles pour les générations futures dans 50, 100ans et plus. C’est comme ça que les vrais dirigeants qui aiment leurs populations et leur pays raisonnent.
    Non je suis contre l’implantation de cimassodans dans cette zone avec des risques "négligeables " et je pourrai être pour l’implantation de cimasso partout avec des risques nulles et réellement nulles dans le court terme et surtout le long terme. Voilà.

  • Le 16 mars 2017 à 16:27, par Cheikh En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

    Je te rappelle cher tinto, que je n’ai pas besoin des opinions des autres pour donner le mien !
    Dans le monde il y a ceux qui savent et ceux qui vont au delà du savoir pour comprendre. Quant à moi, je suis de la seconde catégorie. Sache que ce n’est pas la première fois que ce projet de cimenterie est tant boudé par vos soi-disant osc, mais la seconde. C’est dans la zone de Noumoudara qu’on avait d’abord voulu l’implanter, mais à cause de vos chichis, cela n’a pas eu lieu. Alors jusqu’à quand croyez-vous qu’on va continuer à vous regarder jacasser. D’ailleurs, je crois que ce n’est plus aux autorités, qu’il appartient d’apporter une quelconque preuve de l’innocuité de ce projet maintenant, mais plutôt à vous les contestataires d’apporter les preuves de sa nocivité.Je t’apprends qu’avec une telle analyse, aucune des usines implantées au monde, ne le serait avec la prétention d’un risque zéro.Alors messieurs les futuristes, c’est parce que vous abusez de la liberté d’expression obtenue, qu’on vous entend glapir maintenant à hue et à dia. Ah j’oubliais ! Merci pour cet honneur que tu me fais, de me remarquer comme ayant la seule opinion contraire aux vôtres. Car il en a toujours été ainsi, que tout ce qui est rare est cher, précieux et valeureux. Méditez fort là-dessus, pour ne pas définitivement rater une belle occasion d’offre d’emplois à tous nos frères , soeurs, fils, filles qui souffrent tant, et une opportunité de relance de la vie économique de cette région, demeurée longtemps en léthargie.

    • Le 16 mars 2017 à 19:52, par warzat En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

      Humblement, je viens à vous Monsieur l’intelligent pour vous dire qu’il s’agit ici de déplacer la cimenterie à coté et non la supprimer. De plus le pays a besoin du ciment pour se construire et Bobo a besoin des jobs. Du reste, les initiateurs de la construction de l’usine le savent mieux que nous. Ce n’est pas de l’opposition pour s’opposer ; c’est plus pointu et le seul intérêt de ceux qui s’opposent à l’implantation sur le site actuel, est la protection de la ressource en eau, des risques de pollution. Ce qui est surprenant c’est le silence du PAN parce que les projets et les programmes d’ études et de réalisations de milliers de forages d’eau, et d’études se sont exécutés quand il était ministre de l’eau et il en connait les résultats dans la mesure où dans tout l’ouest, le monde rural n’oubliera pas de sitôt son nom comme ministre de l’agriculture et de l’eau. Même le ministre actuel sera tenu pour responsable car il est entouré de personnes qui peuvent le briefer rapidement de la situation au lieu de laisser cette affaire entre les mains du P.M et d’un ministre...sankariste soit-il.

  • Le 16 mars 2017 à 16:56, par Truth En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

    Bobolais et Burkinabè de tous horizons, mobilisons-nous pour barrer la voie à Cimasso qui veut faire du forcing pour implanter son usine. Si nous nous dressons comme un seul homme comme nous l’avons fait en Octobre 2014, je pense que ces mercantilistes qui n’ont aucun égard pour la vie humaine sinon à leurs intérêts égoïstes feront marche arrière. SEULE LA LUTTE LIBÉRÈ !

  • Le 16 mars 2017 à 19:06, par K’ma En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

    Directeur de Repetti sàrl, à Montreux
    Ingénieur et aménagiste.
    Ingénieur EPFL du génie rural, Docteur ès Sciences EPFL, Urbaniste REG A, FSU, SIA

  • Le 16 mars 2017 à 20:45, par Maadenka En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

    Patriotisme , Patriotisme et encore Plus de Patriotisme qu’il convient de cultiver chez nos VALETS ; Oh ! je perds de vue qu’ils sont dans leur rôle de spoliation, de pollution de notre environnement.
    Nous n’avons que faire de quelqu’expertise dite internationale qui soit ;
    nous n’avons pas besoin d’emplois à travers une quelconque industrialisation du genre qui nous est presentée ;
    Aussi, si un cheihk pretend qu’il y a des emplois à offrir, de ces emplois très precisement, la population très digne du Burkina Faso n’en a que faire.
    Alors, allez mediter cette pensee très saine de feu Ahmed Sekou TOURE "Nous préférons la liberté dans la pauvreté, à l’opulence dans l’esclavage" ; en ermes assez clairs, la population du Burkina Faso, ne negociera jamais sa santé, sa vie avec des cupides VALETS et leurs maîtres dans leurs veilleités da sacrifier le futur pour leurs interets.
    Qu’ils se le tiennent pour dit.

  • Le 17 mars 2017 à 01:07, par La santé n’a pas de prix En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

    soyons fiers d’être Burkinabè. produisons et consommons burkinabè, car ces "supers"internationaux n’ont pas 2 têtes ni deux faces.

  • Le 17 mars 2017 à 01:29, par La santé n’a pas de prix En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

    "La corruption est apparu sur terre et sur mer a cause de ce que les mains des hommes ont créé....." traduction rapprochée du sens S30V41 coran

  • Le 17 mars 2017 à 04:18, par Gnl IB En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

    Maudit sois ces mrs(BASSIERE-STEPHAN).Dpuis le temps du colon au temps d l’AOF c site a ete preciseman proteger par le colon car zone hauteman sensible pr son caractere tres vital a la sauvegarde d ts l’eco-systeme d la region des hauts bassins.inderdiction pr tte activite tt au long du trace d la nappe.les documents existent tjrs pr l’attester mais prkw vouloir faire du mensonge pr c ki est impossible kan a l’implantation d 7usine.kil choissis 1 otre site long d c site ki pr mw doit etre classer "sacree" car vouloir rester c’est programmer la disparution totale d nos sillures sacrees."reveil tw bobolais-nan larah,an sarah"

  • Le 17 mars 2017 à 09:27, par ASS En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

    Je suis d’accord avec GnI IB. C’est vraiement malheureux qu’en cet période de 21è siècle que nos dirrigeants ne font pas confiance à nos experts nationaux. Est ce qu’on a besoin d’aller à l’école pour comprendre que le site choisi par CIMASSO pour son implantation peut provoques des risques de pollution de la nappe dans cette partie de Bobo. Les risques sont grands et il est raisonnable de se deplacer sur la zone du socle où les risques seront moindres à cause de la nature de la cette zone. On parle d’EIES ; je me demande si ce document a fait l’objet de validation par le BUNEE et quelles ont été les conclusions du BUNEE sur cette question. Leurs réponses sont attendues. Je ne comprends pas pourquoi s’enteter quend on dit que cela va causer des problèmes. ils n’ont qu’aller s’intaller sur le socle et puis on n’en parle plus. S’ils veulent le développement de Bobo et s’ils aiment vraiement ce pays c’est d’écouter ce que disent les conclusions vraies des experts nationaux. Le colon a préservé cette zone à travers la forêt classée, la rivière kou, etc. J’appelle à la conscience de l’Assemblée Nationale pour mettre en place une commission interne qui devra statuer sur la question. Aux OSC, soyez vigilants car c’est lavenir de toute une génération qui sera en peril. Aussi pour une contre expertise, je me demande comment les analyses ont été faites par cet expert ? A t-il rencontré les structures au niveau de Bobo pour comprendre la situation et se prononcer sur la question. Si c’est prendre les rapports et venir s’en fermer dans un bureau pour sortir un document ; alors ce n’est pas la peine. Je crois que le problème doit interpeller nos autorités à prendre la bonne décision qui est de tout simplement deplacer le site sur le socle ; cela y va du bon sens.

  • Le 17 mars 2017 à 10:11, par Kritik En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

    Je crois que face aux inquiétudes des populations et des acteurs institutionnels, il faut purement et simplement trouver un autre site pour cette cimenterie qui n’est ni la première et ne sera certainement pas la dernière. ce site revêt un intérêt écologique capital et il était même question de délocaliser l’Université qui y est implantée. je crois que entre l’université et une cimenterie, le chois est vite fait, même si dans le processus d’implantation des usines, il y a de gros pots de vins pour les environnementalistes chargés de la protection de l’environnement et les décideurs (DT, DG, SG et ministres). Ne nous voilons pas la face, les deals continuent comme sous l’aire CDP.

  • Le 17 mars 2017 à 13:23, par Bonou blaise En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

    Décidément le Burkina n’ est pas prêt de guérir de son << anarchite >>, nouvelle maladie consécutive à l’environnement incivique actuel !!! Et ce sont les <> de l’ environnement , n’ ayant de références avérées nulle part, des Burkinabès aux desseins funestes inavoués pour la ville de bobo qui voudraient imposer le rythme de développement socio économique de la ville ?

    Arrêtez pour vous là !! N’importe quel quidam se lève et s’ érige en censeur !!
    Maintenant, la jeunesse désœuvrée de la ville de sya , les différents secteurs économiques de la ville ( le transport, le petit commerce, le logement etc) ,sinistrés par des choix ethnico politico régionalistes principalement du régime déchu ,qui avaient consisté à DEMANTELER le tissu économique de la ville , à déménager plus d’une usine de Bobo vers la capitale notamment , Félicitent le gouvernement pour l’initiative de la <> sur les impacts environnementaux du projet cimasso,. pour sa volonté de redonner a la <> son statut d’ avant !!

    ET vous qui avez la critique facile devriez plutôt comprendre que face aux <> dont vous êtes porteurs , comment l’ Etat peut il départager les uns et les autres, si ce n’ est par le << concours >> d’ une partie tierce indépendante, aux compétences internationalement avérées ?

    Bien entendu ,<< il n’ y a pas pire aveugle que celui qui ne veut voir >> , n’ est ce pas ? Autrement dit , pour peu qu’ on soit animé de bonne foi , la contre expertise a apporte des réponses techniques claires et détaillées sur les impacts environnementaux supposés par les << anti cimasso >> , notamment sur la nappe phréatique .Et au lieu de déblatérer inutilement , il serait plus rationnel de rechercher le contenu de ce rapport de contre expertise.

    C’ est dire qu’ à bobo , on est pas dupe .Les populations dans leurs grandes majorités, les autorités coutumières , en premier lieu, ont compris que certains burkinabè , habitants de sya ou non ,sont instrumentalisés inconsciemment ou consciemment, politiquement ou culturellement contre la Relance économique de Bobo ou pour le maintient de son <> de ville << sinistrée économiquement >>.Cela ne peut durer ou être accepté indéfiniment !!

    Sinon , Que savez vous de la problématique de développement de Bobo ? que savez vous des questions d’ environnement , en general , des caracteristiques du site du projet cimasso , en particulier ? certainement pas grande chose , mais ceux qui sont animés d’ aucun agenda occulte , peuvent avec le rapport de contre expertise internationale en savoir plus .Si maintenant il ya des burkinabè qui ne << croient en rien >> ou qui ne croient qu’ en eux et eux seuls , c’est-à-dire à leurs opinions , personne ne pourra les aider .

    Lorsque de la brève histoire de notre pays ( des indépendances à nos jours) , il ressort que Bobo <<était la capitale économique >> , cela a-t-il un sens pour vous ? Si votre reponse est <>, sachez qu’ils sont < > , ceux qui ont vécu ces moments magnifiques de l’ histoire de sya .Le tissu industriel de la Haute Volta , ensuite du Burkina << était >> en grande partie << localisée >> à Bobo .La population de sya en a-t-elle été ,pour autant, négativement affectée ? Non , bien au contraire !!!

    Et le plus <> dans cette opposition factice au projet cimasso , c’est que la zone industrielle où s’implante cimasso abrite depuis plus de 30 ans, les cuves de la SONABHY, la Saphyto, industrie chimique produisant des intrants agricoles, des huileries diverses etc . et apparemment cela ne dérange personne !!

    Dans l’ absolu , cela est <> car significatif du fait que l’ industrialisation est bel et bien possible dans la dite zone .On en conviendra ,des lors, que la <> sur l’usine de broyage cimasso véhicule des << non dits >> , qui n’ intéressent pas les futurs bénéficiaires de l’ embellie industrielle de la ville , à savoir les jeunes et personnes agées en quête d’ emploi, les animateurs de l’ économie dérivée attenante : restaurateurs , vendeurs potentiels de ciment, transporteurs, sociétés immobilières etc.

    Nous continuons à nous poser la question <<Pourquoi opposer nécessairement la réindustrialisassions de la ville dont Cimasso n’est que le nouveau <> au respect des normes environnementales ? >>.

    A quoi servent les services de contrôle , le laboratoire national ou les services techniques de l’ ONEA ? <> !!

    Ces services devraient tout simplement relever leurs capacités de surveillance , de contrôle et accompagner au quotidien Cimasso dans son œuvre socio politique importante , et pour la ville et pour tout le pays !!!

    Nous terminons en disant que Bobo Dioulasso reste une entité administrative sous la double autorité coutumière et administrative de l’ Etat Burkinabè , dont la capitale , faut il le rappeler à certains compatriotes qui feignent de l’ ignorer , est Ouagadougou. La décision de relancer l’ économie de Bobo a été prise la bas .Quoi de plus normal donc que l’ atelier de restitution y soit également organisé. De toutes facons les organisations de la societe civile de la ville ,largemement representées , par ailleurs, l administration régionale, les autorités coutumières, etc qui ont toujours été en première ligne pour la <> et la protection de l’ environnement y étaient invités .

    Sya n’ est pas un <> ou le premier venu peut ériger << son gouvernement individuel >> et mettre en application ses desiderata , par ailleurs souvent irrationnels.
    La contre expertise ayant levé les craintes relatives à la pollution de la nappe phréatique ( cf rapport du Dr Alexandre REPETTI ), place au travail !!

    • Le 17 mars 2017 à 16:37, par OUATTARA En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

      Affaire cimasso
      Avec beaucoup d’attention dont je lis les commentaires des uns et des autres à rapport à ce dossier et à l’expertise du consultant. Pour ma part nous pensons déjà que plusieurs efforts ont été consenti tant par le promoteur que l’Etat pour lever le noeud de cette discorde afin de pouvoir contribuer à la relance de l’économie qui peine à prendre son envol. Étant un environnementaliste il y a des points essentiels qui ont été pris en compte lors des précédents rapports et aussi sur le complément du consultant international. Beaucoup se base sur la pollution de la nappe phréatiques combien de personne savent ce que c’est que la nappe phréatique ? A quelle profondeur peut on l’atteindre ? Concernant le sol même save til quelle qualité de sol constitue cette zone et d’une manière générale la ville de bobo ? Concernant l’implantation de cette unité de broyage et d’ensachage savent il quel sont les éléments constituant pour l’obtention du produit fini ? Peuvent il nous dire le plan du site ? Voilà des interrogations que des uns et autres devaient se poser avant de se jetter dans la marre pour raconter du n’importe quoi en remettant en cause ce projet de catégorie A qui n’ont seulement redonnera un souffle à cette ville délaissé et aussi contribuer énormément à l’envol de notre économie. Pour ceux qui ont des doutes auraient pu mieux se renseigner que d’être des suivistes parce qu’une frange manipuler par certaines personnes ne veulent nullement point que le projet voit le jour. Pour juste peu d’informations pour ceux qui y veulent car ne pouvant pas tout étayer ici la nappe phréatiques se situe entre 80 à 100 m de profondeur et cela dépend aussi des zones et pour ce cas précis la nappe se trouve entre 120 à 140 m vu que le site est en altitude 491 sur 317. Pour la définition du mot pour les partisans du moindre efforts où ceux qui ne comprennent pas la nappe phréatique est une nappe d’eau que l’on rencontre à une profondeur qui alimente traditionnellement les puits et les sources en eau potable. De part ce fait que les gens comprennent que les installations des machines n’ont même pas 3 à 5 m de profondeur. Et que l’unité n’utilise pas d’eau dans sa production sauf dans le circuit de refroidissement du moteur. Pour plus d’informations bien vouloir me contacter 76 20 10 66 pour un débat ouvert. Il est temps de laisser travailler que de vouloir empêcher un projet faramineux qui n’à pas d’impact et que certains veulent en faire leur proie
      sauf un petit

    • Le 31 mars 2017 à 22:22, par Wouèyi En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

      Bobo veut CIMASSO mais pas sur ce site. Tu n’es pas bete donc tu compreds bien ! Cherche le nom de celui ki fait contre expertise sur le net, il n’a aucune publication sur l’environnement et sur les roches. Mais mes Pr ki ont prouvé kil ya risque tu verra plus de 20 articles sous leur noms. Du respect pour les hommes et non pour l’argent seul ! Un malade de cancer ou intoxicqué n’a pas besoin d’argent pour s’acheter des medicama. Il va mourir !!

  • Le 17 mars 2017 à 16:18, par C’est pas compliqué En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

    Monsieur BONOU, il ne s’agit pas d’interdire à CIMASSO de s’implanter à BOBO mais de reconsidérer le lieu d’implantation qui réduirait le risque de pollution à zéro . C’est plus simple de déplacer l’implantation d’une Usine que de prendre des risques connus ou inconnus.

  • Le 19 mars 2017 à 02:03, par Bonou Blaise (corrigé) En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

    Décidément le Burkina n’ est pas prêt de guérir de son anarchite , nouvelle maladie consécutive à l’environnement incivique actuel !!! Et ce sont , sur le net ,des spécialistes auto proclamés de l’ environnement , n’ ayant de références avérées nulle part, des Burkinabès aux desseins inavoués pour la ville de bobo qui voudraient imposer le rythme de développement socio économique de la ville ?

    Arrêtez pour vous là !! N’importe quel quidam se lève et s’ érige en censeur !! Incroyable .

    Maintenant, la jeunesse désœuvrée de la ville de sya , les différents secteurs économiques de la ville ( le transport, le petit commerce, le logement etc) ,sinistrés par des choix ethnico politico régionalistes , principalement du régime déchu ,qui avaient consisté à DEMANTELER le tissu économique de la ville , à déménager plus d’une usine de Bobo vers la capitale notamment , Félicitent le gouvernement pour l’initiative de la contre expertise sur les impacts environnementaux du projet cimasso,. pour sa volonté de redonner ,à la capitale économique, son statut d’ avant !!

    ET ceux qui ont la critique facile devraient plutôt comprendre que face aux oppositions dont ils sont porteurs , comment l’ Etat pouvait t il départager les uns et les autres, prendre ses responsabilité , si ce n’ est par le concours d’ une partie tierce indépendante, aux compétences internationalement avérées ?

    Bien entendu , il n’ y a pas pire aveugle que celui qui ne veut voir , n’ est ce pas ? Autrement dit , pour peu qu’ on soit animé de bonne foi , la contre expertise a apporte des réponses techniques claires et détaillées sur les impacts environnementaux supposés par les anti cimasso , notamment sur la nappe phréatique .Et au lieu de déblatérer inutilement , il serait plus rationnel de rechercher le contenu de ce rapport de contre expertise.

    C’ est dire qu’ à bobo , on est pas dupe .Les populations dans leurs grandes majorités, les autorités coutumières , en premier lieu, ont compris que certains burkinabè , habitants de sya ou non , sont instrumentalisés ,inconsciemment ou consciemment, politiquement ou culturellement , contre la Relance économique de Bobo ou pour le maintien de son statut quo de ville sinistrée économiquement .Cela ne peut durer ou être accepté indéfiniment !!

    Sinon , que savez vous de la problématique de développement de Bobo ? que savez vous des questions d’ environnement , en général , des caractéristiques du site du projet cimasso , en particulier ? Certainement pas grande chose !!

    Mais ceux qui sont animés d’ aucun agenda occulte ,c’est à dire QUI SONT DE BONNE FOI , peuvent avec le rapport de contre expertise internationale , savoir plus . Si , maintenant , il y a des compatriotes , habitants de bobo ou d’ autres localités du pays , qui ne croient plus en rien ou qui ne croient qu’ en eux et eux seuls , c’est-à-dire à leurs opinions , personne ne peut les aider .

    Lorsque , de la brève histoire de notre pays ( des indépendances à nos jours) , il ressort que Bobo était la capitale économique , cela a-t-il un sens pour vous ? Si votre réponse est non , sachez qu’ils sont nombreux ,et encore vivants , les Burkinabè qui ont vécu ces moments magnifiques de l’ histoire de sya . Le tissu industriel de la Haute Volta , ensuite du Burkina , pour ne citer que ce secteur , était ,en grande partie , localisée à Bobo .D’ où son appellation de capitale économique La population de sya en avait -t-elle été ,pour autant, négativement affectée ? Non , bien au contraire !!!

    Et le plus curieux dans cette opposition au projet cimasso qui ne se justifie plus au regard des conclusions de l’ expert international Suisse, , c’est que la zone industrielle où s’implante cimasso abrite ,depuis plus de 30 ans, les cuves d’ hydrocarbures de la SONABHY, la Saphyto, une industrie chimique produisant des intrants agricoles, precisement des pesticides , les usines bob 1 , 2 et 3 de la SOFITEX, des huileries diverses etc . et apparemment cela ne dérange personne !!

    Dans l’ absolu , cela est intéressant car significatif du fait que l’ industrialisation est bel et bien possible dans la dite zone .On conviendra ,des lors, que la« fixation » sur l’usine de broyage cimasso véhicule des non dits , qui n’ intéressent pas les futurs bénéficiaires de l’ embellie industrielle de la ville , à savoir les jeunes et personnes âgées en quête d’ emploi, les animateurs de l’ économie dérivée attenante : restaurateurs , vendeurs potentiels de ciment, transporteurs, sociétés immobilières etc.

    Nous continuons à nous poser la question de savoir « pourquoi opposer nécessairement la réindustrialisassions de la ville dont Cimasso n’est que le nouveau porte flambeau au respect des normes environnementales ? »

    A quoi servent les services de contrôle , le laboratoire national ou les services techniques de l’ ONEA ? On ne refuse pas une route bitumée au motif qu’il va y avoir des accidents !! on mobilise et on prend les mesures pour qu’ils n’ arrivent pas !!

    Ces services devraient ,tout simplement , travailler à relever leurs capacités de surveillance , de contrôle et accompagner au quotidien Cimasso dans son œuvre socio politique plus qu’ importante , et pour la ville et pour tout le pays !!!

    Nous terminons en disant que Bobo Dioulasso reste une entité administrative sous la double autorité coutumière et administrative de l’ Etat Burkinabè , dont la capitale , faut il le rappeler à certains compatriotes qui feignent de l’ ignorer , est Ouagadougou. La décision de relancer l’ économie de Bobo a été prise la bas, au sommet de l’ Etat , à la faveur du changement du régime . .Quoi de plus normal donc que l’ atelier de restitution y soit également organisé. De toutes façons les organisations de la société civile de la ville ,largement représentées , par ailleurs, l administration régionale, les autorités coutumières, etc qui ont toujours été en première ligne pour la <> et la protection de l’ environnement y étaient invités .

    Sya n’ est pas un « no man’s land » où le « premier venu » peut ériger son « gouvernement individuel », en institution imposable , et mettre en application ses desiderata , par ailleurs souvent irrationnels, fondés sur des rumeurs .

    En tout état de cause , La contre expertise ayant levé les craintes relatives à la pollution de la nappe phréatique ( cf rapport), place au travail !!

    Soutien indéfectible aux projets de relance économique de sya !!

    Bons vents à Cimasso .

  • Le 27 mars 2017 à 17:28, par sogo En réponse à : Usine Cimasso de Bobo-Dioulasso : « Négligeables », les risques de pollution de la nappe phréatique, selon la contre-expertise

    Arrêtez de nous emmerder avec vos experts étrangers, on a remarqué que quand nos frères vont en Europe pour bosser avec ces blancs ils sont les 1ère de leur classe ; moi je n’envi rien à ces blancs ; donc je doute de leur intelligence. Vous qui êtes parti chercher ce blanc si vous étiez nuls ne douter pas de la capacité des autres ; s’il vous plait sauver notre nappe.
    Merci

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