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Mutilations génitales féminines : Il faut y mettre fin d’ici à 2030 selon l’UNFPA et l’UNICEF

Publié le lundi 6 février 2017 à 15h22min

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Mutilations génitales féminines : Il faut y mettre fin d’ici à 2030 selon l’UNFPA et l’UNICEF

Déclaration du Directeur exécutif de l’UNFPA, Dr Babatunde Osotimehin, et du Directeur général de l’UNICEF, Anthony Lake, à l’occasion de la Journée internationale de tolérance zéro à l’égard des mutilations génitales féminines.

« Les mutilations génitales féminines endommagent irrémédiablement le corps des filles et leur infligent une douleur insoutenable. Ces pratiques causent également un traumatisme psychologique extrême qui peut durer toute la vie.

« En outre, ces mutilations augmentent les risques de complications potentiellement mortelles pendant la grossesse, le travail et l’accouchement, mettant en péril la mère et l’enfant.

« Elles privent aussi les filles de leur autonomie et bafouent leurs droits fondamentaux.

« Reflet du piètre statut des filles et des femmes, ces pratiques renforcent les inégalités entre les sexes, nourrissent des cycles intergénérationnels de discrimination et portent atteinte aux femmes.

« Malgré les progrès accomplis vers l’élimination des mutilations génitales féminines et de l’excision, des millions de filles pour la plupart âgées de moins de 15 ans seront encore soumises de force à ces pratiques violentes cette année. Hélas, elles s’ajouteront à près de 200 millions de filles et de femmes qui, dans le monde, vivent avec les graves conséquences de l’excision et des mutilations génitales féminines, et dont les communautés sont affectées par les incidences de ces pratiques.

« Tenant compte des liens étroits entre les mutilations génitales féminines, les inégalités entre les sexes et le développement, les objectifs de développement durable ont relancé en 2015 l’action mondiale pour éliminer ces pratiques d’ici à 2030.

« En 2016, plus de 2 900 collectivités (ce qui représente quelque 8,4 millions de personnes) déclaraient avoir abandonné ces pratiques dans les pays où l’UNFPA et l’UNICEF œuvrent pour y mettre fin.

« En 2017, nous devons exiger que des mesures plus rapides soient prises pour imprimer un nouvel élan aux progrès accomplis jusqu’à présent. Demandons aux gouvernements d’agir, d’adopter des lois, de mettre en œuvre des politiques pour protéger les droits des filles et des femmes et interdire ces pratiques.

« Il faut aussi permettre aux groupes à risque et aux survivantes d’accéder plus facilement à des services de soutien. Cela signifie aussi susciter une plus grande demande pour ces services et fournir aux familles et aux communautés davantage d’informations sur les risques que posent les mutilations génitales féminines et l’excision et les avantages qu’il y a à les abandonner.

« Enfin, les familles et les collectivités doivent agir elles aussi et refuser de soumettre leurs filles à l’excision et aux mutilations génitales féminines.

« Faisons de cette génération celle qui abolira ces pratiques une fois pour toutes, afin de créer un monde meilleur et plus sain pour l’ensemble de l’humanité. »

New York, le 6 février 2017

UNFPA
United Nations Children’s Fund (UNICEF)

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Vos commentaires

  • Le 6 février 2017 à 15:45, par leregard En réponse à : Mutilations génitales féminines : Il faut y mettre fin d’ici à 2030 selon l’UNFPA et l’UNICEF

    Que dites-vous des chirurgies dites esthétiques pratiquées de plus en plus par des femmes en Europe, aux USA et ailleurs dans le monde pour rendre plus beau leur sexe : ajustement des lèvres (petites et grandes), gonflement des grandes lèvres, etc. Est-ce de la mutilation génitale ? Est-ce parce que cela se fait dan des cliniques huppées que cela change l’appellation pour faire plus joli, plus acceptable, comme l’homosexualité qui est aujourd’hui appelée "orientation sexuelle" par commodité ? Si cela est accepté, pourquoi faire de l’excision de la femme/fille en Afrique un sujet aussi important. Il faut tout simplement prendre les mesures pour que cette pratique qui est culturelle( contrairement à al chirurgie esthétique du sexe), soit fait dans un centre de santé avec toute sels garanties nécessaires. Il semble que la circoncision est devenue depuis peu une mutilation génitale aussi parce qu’elle a des conséquences (mauvaise cicatrisation, et on note ce que le créateur a mis en place). J’attends une réaction objective non passionnée et basée sur des arguments qui balaient la chirurgie esthétiques du sexe féminin dont j’ai parlé plus haut. Merci

    • Le 6 février 2017 à 17:31, par Alexio En réponse à : Mutilations génitales féminines : Il faut y mettre fin d’ici à 2030 selon l’UNFPA et l’UNICEF

      Ne nous raconte pas des bobards. En Europe c est incrimine det acte barbarre de mutulations des enfants avec ses complications sexuelles. L orgasme ou le bien etre des rapports sexuels des femmes. Une future femme ne doit pas etre seulement une incubateuse pour offrir des enfants. Les retombees psychologiques negatives que porten ce acte barbare n arien de religieux mais de l obscurantisme. Les chirurgies esthetiques ne peuvent etre du meme rubrique cette molestation dorgane genitale pour des raisons traditionnelles. Alors que les chirurgie esthetiques sont dan s la plupart des cas d ordre medicinal. Retressisment du vagin du a un accouchement et ou le frottement genant du clitoris par sa forme qui empechement le bob deroulement des rapports sexuels.

  • Le 6 février 2017 à 15:52, par Paligba En réponse à : Mutilations génitales féminines : Il faut y mettre fin d’ici à 2030 selon l’UNFPA et l’UNICEF

    S’il vous plait, attention a ne pas choquer les âmes sensibles

  • Le 6 février 2017 à 15:53, par leregard En réponse à : Mutilations génitales féminines : Il faut y mettre fin d’ici à 2030 selon l’UNFPA et l’UNICEF

    Que dites-vous des chirurgies dites esthétiques pratiquées de plus en plus par des femmes en Europe, aux USA et ailleurs dans le monde pour rendre plus beau leur sexe : ajustement des lèvres (petites et grandes), gonflement des grandes lèvres, etc. Est-ce de la mutilation génitale ? Est-ce parce que cela se fait dan des cliniques huppées que cela change l’appellation pour faire plus joli, plus acceptable, comme l’homosexualité qui est aujourd’hui appelée "orientation sexuelle" par commodité ? Si cela est accepté, pourquoi faire de l’excision de la femme/fille en Afrique un sujet aussi important. Il faut tout simplement prendre les mesures pour que cette pratique qui est culturelle( contrairement à al chirurgie esthétique du sexe), soit fait dans un centre de santé avec toute sels garanties nécessaires. Il semble que la circoncision est devenue depuis peu une mutilation génitale aussi parce qu’elle a des conséquences (mauvaise cicatrisation, et on note ce que le créateur a mis en place). J’attends une réaction objective non passionnée et basée sur des arguments qui balaient la chirurgie esthétiques du sexe féminin dont j’ai parlé plus haut. Merci

  • Le 6 février 2017 à 15:58, par Ka En réponse à : Mutilations génitales féminines : Il faut y mettre fin d’ici à 2030 selon l’UNFPA et l’UNICEF

    Mr. Vilin, Mr. Carroline, Madame M. Guirma, et tant d’autres criminelles en puissance nommées exciseuses sur l’analyse ‘’’des militants du MPP interpellés dans une affaire d’excision : l’UPC invite le parti au pouvoir à prendre des sanctions,’’’ regardez cette photo, est ce qui cette petite fille pouvait vous dire qu’elle n’est pas consentent de ce qu’on l’impose pour toute sa vie ? Il est temps qu’on vous mette à toutes et tous a la MACO en attendant l’abolition totale de l’excision des femmes.

  • Le 6 février 2017 à 16:03, par Mechtilde Guirma En réponse à : Mutilations génitales féminines : Il faut y mettre fin d’ici à 2030 selon l’UNFPA et l’UNICEF

    O.K, Attendons donc 2030 pour mieux constater les ravages des transgenres, homosexuels, avortements et la réapparition d’anciennes maladies qui seront incurables sans compter les nouvelles qui défient toujours les découvertes scientifiques. Tout comme depuis plus de cent ans, ce n’est que maintenant que les effets du tabac se font sentir, et les ravages constatés. Encouragé au début pour motif économique, décrié aujourd’hui pour les mêmes motifs, nous voilà confronté à présent à une dévastation sans nom devant les méfaits du tabac.

    Sûr qu’en 2030 bien entendu, beaucoup de nous ne serons plus de ce monde, mais au moins, n’avons-nous pas le devoir et le droit d’anticipation pour la future génération qui pourrait nous condamner si nous ne faisons rien pour les prévenir ? Ce sont nos traditions.

    À bon entendeur salut !

    • Le 6 février 2017 à 17:31, par titi En réponse à : Mutilations génitales féminines : Il faut y mettre fin d’ici à 2030 selon l’UNFPA et l’UNICEF

      Qui te dit que la sanction divine attendra 2030 ? car n’oublie pas que ce monde a quitté le stade de pécheur pour atteindre un grade supérieur : celui de l’iniquité par le truchement de lois et de décrets sataniques que des hommes et femmes appliquent consciemment pour certains ou inconsciemment pour d’autres. Chacun n’a qu’à protéger sa tête et celle de sa famille en développant un repentir sincère et en rejettant de ttes ses forces cet ignominie planétaire.

  • Le 6 février 2017 à 16:26, par Anta En réponse à : Mutilations génitales féminines : Il faut y mettre fin d’ici à 2030 selon l’UNFPA et l’UNICEF

    D’ici 2030 ? ça va pas la tête ? D’ici demain et non d’ici 2030.Vous donnez donc tant de temps aux charcuteuses et leurs commanditaires charcuteurs ?

  • Le 6 février 2017 à 17:01, par Le Sable En réponse à : Mutilations génitales féminines : Il faut y mettre fin d’ici à 2030 selon l’UNFPA et l’UNICEF

    Je sais bien que l’excision a des avantages malheureusement je n’ai pas preuves et c’est parce qu’elle est une pratique ancestrale africaine qu’on la dramatise. Ils vont nous la retirer, puis la ramener sous une autre forme j’en suis sûr. Wait and see Africa

    • Le 6 février 2017 à 18:36, par Mechtilde Guirma En réponse à : Mutilations génitales féminines : Il faut y mettre fin d’ici à 2030 selon l’UNFPA et l’UNICEF

      Mon cher sable, ils ont déjà leur forme qu’ils veulent nous imposer :

      De fille à garçon :

      Rallongement du nerf du clitoris et sa transformation en pénis. Puis, fermeture de la vulve, utilisation des grandes lèvres et des petites lèvres qu’on transforme en sacs pour y loger les bourses des testicules. Et le tour est joué.

      De garçon à fille :

      Ouverture du pénis pour dégager le nerf et sa transformation en clitoris. Ouverture des testicules pour dégager les bourses et transformer les deux parois en grandes et petites lèvres en même temps en dégageant le conduit du pipi et celui du sperme qui devient ainsi la vulve.

      Tout cela au prix de mille et une piqûres d’hormone. Nous sommes régulièrement informés ici par des médecins spécialistes et des praticiens. Au Canada, il n’y a pas de tabou. Tout le monde est informé de tout. Et tout le monde a droit à l’information. Ne vous en faite pas nous serons bientôt informés des effets pervers de ces opérations. Et croyez-moi, ce seront les intéressés eux-mêmes qui vont nous informer en tant victimes.

      D’autre part soit dit en passant, que tout se vend : sperme, ovules, bourses de testicules et tout se paie : Opération, suppression des règles des femmes.

      La bataille qu’ils n’ont pas encore gagné (ou qu’ils sont en train de gagner, qui sait ?) c’est celle de faire refiler les dépenses à l’État. En contre partie pour alléger les dépenses, ils veulent imposer l’Euthanasie qui permet de se débarrasser vite des cas dits incurables et qui deviendraient des poids. Mais la bataille n’est pas encore gagnée.

    • Le 6 février 2017 à 18:47, par Mechtilde Guirma En réponse à : Mutilations génitales féminines : Il faut y mettre fin d’ici à 2030 selon l’UNFPA et l’UNICEF

      Mon cher sable, ils ont déjà leur forme qu’ils veulent nous imposer :

      De fille à garçon :

      Rallongement du nerf du clitoris et sa transformation en pénis. Puis, fermeture de la vulve, utilisation des grandes lèvres et des petites lèvres qu’on transforme en sacs pour y loger les bourses des testicules. Et le tour est joué.

      De garçon à fille :

      Ouverture du pénis pour dégager le nerf et sa transformation en clitoris. Ouverture des testicules pour dégager les bourses et transformer les deux parois en grandes et petites lèvres en même temps en dégageant le conduit du pipi et celui du sperme qui devient ainsi la vulve.

      Tout cela au prix de mille et une piqûres d’hormone. Nous sommes régulièrement informés ici par des médecins spécialistes et des praticiens. Au Canada, il n’y a pas de tabou. Tout le monde est informé de tout. Et tout le monde a droit à l’information. Ne vous en faite pas nous serons bientôt informés des effets pervers de ces opérations. Et croyez-moi, ce seront les intéressés eux-mêmes qui vont nous informer en tant victimes.

      D’autre part soit dit en passant, que tout se vend : sperme, ovules, bourses de testicules et tout se paie : Opération, suppression des règles des femmes.

      La bataille qu’ils n’ont pas encore gagné (ou qu’ils sont en train de gagner, qui sait ?) c’est celle de faire refiler les dépenses à l’État. En contre partie pour alléger les dépenses, ils veulent imposer l’Euthanasie qui permet de se débarrasser vite des cas dits incurables et qui deviendraient des poids. Mais la bataille n’est pas encore gagnée.

    • Le 7 février 2017 à 09:45, par luciole En réponse à : Mutilations génitales féminines : Il faut y mettre fin d’ici à 2030 selon l’UNFPA et l’UNICEF

      cher internaute n’utilise pas des mots que tu ne maitrise pas. Qui t’a dit que l’excision à des avantages ? As tu été excisé ? Si oui quels sont tes avantages que tu as par rapport à celle non excisé ? Es tu une femme ? Je sais que tu n’en es pas une. As tu vu une femme mourir en couche tout simplement parce qu’elle à subit les séquelles de l’excision ou une femme qui toute les nuits pleurent sous sa couchette parce qu’elle a des relations intimes douloureuses avec son mari et qu’elle ne peut se soustraire car c’est son devoir. As tu déjà une fillette d’ a peine un an qui pleure lorsqu’elle se soulage (urine) tout simplement parce qu’elle a mal parce qu’on pratiquement recousu tout l’orifice urinaire. ne parle pas de ce que tu ignore. Aide nous à sensibiliser au lieux de prôner pour la destruction des vies des femmes. Car moi même je suis une femme excisée et je vois les conséquences sur ma vie sexuelle et reproductive.

      • Le 7 février 2017 à 14:14, par Mechtilde Guirma En réponse à : Mutilations génitales féminines : Il faut y mettre fin d’ici à 2030 selon l’UNFPA et l’UNICEF

        Vous voyer Luciole, c’est cet amalgame que je combat. Il y a excisions et excision. Tu parles certainement de l’infibulation. Les Mossé ne la pratiquent pas. Mieux ils savaient protéger la vulve qui gardait toute sa forme même au moment de l’accouchement. Tenez au Kenya par exemple, c’est tout juste le prépuce du clitoris qu’ils enlèvent. Mais ce qu’il y a de vicieux dans cette lutte, c’est cet amalgame qui met toutes les excisions à la même enseigne que l’infibulation. Et même avec cette pratique (l’infibulation), il y a une possibilité du dialogue avec la culture qui l’utilise. De mille manières, seule la médicalisation peut régler beaucoup de problèmes. Tout dépend des us et coutumes de chaque région avec laquelle il faudrait dialoguer sur la question. En Afrique, les régions d’infibulation par exemple, sont souvent celles qui connaissent le plus les viols de femmes en cas de razzias, de guerres et de violence. L’infibulation pourrait alors paraître comme un moyen de protection contre le viol. Si l’Occident veut vraiment aider à ce problème, qu’il commence à instaurer le dialogue interculturel, au lieu de combattre les cultures pour imposer d’autres encore pires simplement parce qu’il y a un avantage économique. Alors qu’est-ce qui se passe ? Ils alimentent d’autres luttes en prétendant protéger l’Afrique. Ce qui amène parallèlement et en conséquence d’autres amalgames tels que celui de la question des djihadistes qui leur permettent d’envahir les pays et de les détruire par les guerres, et d’engranger des profits par le lobying des armes. Ils provoquent d’autre part l’exode des marées humaines en exil. Ce qui ne nous empêche pas devant ce déluges humain de vies détruites de penser à la fameuse politique de diminution de la population proclamée et imposée par ces mêmes institutions qui mènent la lutte contre l’excision. Et pourtant elles restent capable d’éradiquer pour de bons les pandémies et autres épidémies. Donc les bienfaits de l’excisions, je l’ai bien expliqué si vous lisiez mes posts.

        D’autre part le dialogue interculturel qui pourrait permettre d’arriver à corriger l’excision (donc à la médicalisation) est bel et bien possible. Pour preuve, lisez :

        Excision : avis favorable de deux gynécologues américains pour des"excisions minimalistes"
        mercredi, 24 février 2016 / Zoodomail

        « Les Dr.Kavita Shah Arora et Allan J. Jacobs disent approuver les excisions minimalistes au nom du respect des traditions culturelles des pays qui les pratiquent. Leur point de vue, qui a aussitôt déclenché un tollé, est paru dans le Journal of Medical Ethics. 
"Nous ne disons pas que les interventions sur les organes génitaux de la femme sont souhaitables, mais plutôt, que certaines interventions devraient être tolérées par des sociétés libérales", font-ils ressortir dans l’article, repris par l’Agence France Presse. Toujours selon les deux Américains, les Occidentaux devraient faire preuve de plus de clémence vis-à-vis de la pratique. De leur avis, les excisions qui n’ont aucun effet durable sur l’apparence ou le fonctionnement des organes génitaux devraient ainsi être tolérées, ou, celles qui modifient "légèrement" leur apparence, sans effet durable sur la capacité de reproduction ou sur l’épanouissement sexuel des femmes. Les deux gynécologues vont même plus loin en comparant ces procédés à la circoncision masculine qui n’a rien d’anormal ».

        C’est pourquoi, il faudrait réinstaurer les camps d’initiation de jadis en les actualisant et en leur dotant service de santé avec une structure d’école primaire qui incorpore comme jadis les enseignements d’Éthique (discipline, art, danse, légende puis une sorte de civisme qui permet l’entrée dans la vie de l’enfant avec ses potentiels culturels et ses repères afin d’entamer des études sérieuses, du primaire jusqu’à la formation professionnelle ou universitaire. Chez la petite fille de 7 ans, les cicatrices des petites lèvres sectionnées finissent par s’épidermiser à l’âge nubile. Et s’il vous plaît, je crois que si on peut faire des opérations de changement de sexe (Je rappelle qu’il y a des enfants transgenres), ce n’est pas la médicalisation de l’excision qui posera problème, surtout chez les Mossé.

        • Le 7 février 2017 à 18:30, par Ka En réponse à : Mutilations génitales féminines : Il faut y mettre fin d’ici à 2030 selon l’UNFPA et l’UNICEF

          A ma chère M. Guirma et à toutes et tous ceux dont vous soutenez pour le maintien de l’excision des pauvres femmes : Je ne suis pas pour les lesbiennes, ni les Omo, mais pour moi, c’est leur vie comme vous et moi nous vivons la nôtre avec nos convictions. Pour moi je vous demande, vous madame Guirma qui demeure au Canada dont mes enfants ont fait des études, ou moi-même j’ai fait un séjour, de nous confirmer si les canadiens qui vous informent tout sont pour l’excision barbare des jeunes filles ? Pour moi c’est non. Allez-y au fond-fond d’Ontario et parlez de votre excision des pauvres filles aux paysans éleveurs, ils vous chasseront avec leurs fourches a foins. Je constate sur cette analyse que des intellectuels comme vous se camouflent derrière leur féodalité, et tentent de se faire écouter leur façon d’utiliser l’excision pour dominer les femmes. Et moi je prends une phrase de Thomas Sankara qui s’adresse au peuple Burkina pour vous demander qu’il est temps que vous ayez le courage pour les femmes mutilées, et de rompre avec l’excision, pour s’autoriser d’autres voies susceptibles de donner du bonheur à nos jeunes filles et femmes, au lieu de continuer à les mutiler a vie.

  • Le 6 février 2017 à 17:47, par MONZON En réponse à : Mutilations génitales féminines : Il faut y mettre fin d’ici à 2030 selon l’UNFPA et l’UNICEF

    REPONSE : Mr legard il faut savoir que la CHIRURGIE PLASTIE concerne les femmes matures qui cherchent à être plus attrayantes vis à vis de son époux ou autres . Cette pratique est médicalement légale et se pratique depuis longtemps .. même ici .en exemple on arrange les gens victime de NOMA ; les pieds bots , les lipomes etc etc .....
    Par contre l’ excision est pratiquée chez des mineurs de manière archaîque , sans raison valable , aucun livre saint ne le défend ; aucune hygiène médicale ne l’ accompagne ,( pas nécéssaire de vous rappéler les conséquence de cette pratique ).
    Mr LEGARD ;le monde ne doit pas reculer , on doit évoluer un proverbe Arabe dit que ** pour celui dont hier est être égal à aujourd’hui est surrément un perdant ** DITES -MOI POURQUOI LES SACRIFICES HUMAINS NE SONT PLUS PRATIQUES DE NOS JOURS ?? si tu veux qu’on continue le débat ,

    • Le 6 février 2017 à 18:41, par LaSagesse En réponse à : Mutilations génitales féminines : Il faut y mettre fin d’ici à 2030 selon l’UNFPA et l’UNICEF

      Je crois que vous n’avez pas compris Mr Legrand, en fait lui il propose que l’excision soit faite dans des centres médicaux, cela réduirait énormément les dégats. Effectivement on voit bien que sur ce sujet l’occident se contente condamner et de mettre la pression sur les gouvernements pour en finir : mais pourquoi ne propose t’il pas un moyen de préserver des vies tout en garder les cultures ? Plutôt que de l’abolir pourquoi ne pas l’améliorer ? Je crois que nous ne devons pas penser que nos ancêtres étaient des idiots, mais chercher à comprendre sérieusement ce phénomène d’excision et l’effet qu’il a dans notre société. Est-ce que l’occident ne veut il pas nous amener à être bête de sexe, où nous allons passer le temps à chercher frénétiquement le sexe jusqu’à divorcer et laisser nos enfants dans les rues ? La vie ne devrait pas être que du sexe : beaucoup de couples sont brisés pour cela.
      Je vous rappelle qu’il ya un ordre mondial qui vise à conduire toute l’humanité dans leur plan comme des boutons. ceux qui n’y crois je les supplie de se réveiller maintenant sinon nos enfants viendront dans le futur et dire comme nous que leurs ancêtres étaient des idiots.
      Réfléchissons beaucoup à la question de l’excision, je vous en prie.

  • Le 6 février 2017 à 18:04, par titi En réponse à : Mutilations génitales féminines : Il faut y mettre fin d’ici à 2030 selon l’UNFPA et l’UNICEF

    L’excision est le visage le plus féroce et le plus laid de l’ignorance. La compassion et la miséricorde n’y ont pas leur place. Une sentence décidée un jour par je ne sais qui et imposée à tous ou presque. Heureusement que les consciences se réveillent !!!

  • Le 6 février 2017 à 18:20, par Ka En réponse à : Mutilations génitales féminines : Il faut y mettre fin d’ici à 2030 selon l’UNFPA et l’UNICEF

    Ma sœur M.Guirma internaute 5 : Je comprends ton combat : C’est la différence de tout en chacun qui donne la richesse de nos critiques, qu’elles soient fondées ou non fondées : Très jeune garçon dans un village j’ai été excisé par ma volonté avec tous les garçons de mon âge, dont après l’excision ‘’dite Baaongo’’ nous étions isolé du village pour apprendre comment devenir des vrais adultes. J’étais fière et conscient de ce que je fais, car ce n’était qu’un bout de la peau qu’on enlevait sans conséquence. Mais forcé des petites filles nées en bonne santé pour les rendre handicapées pour toute leur vie sans leurs avis, s’appelle de la mutilation avec cruauté, et d’un acte criminel. J’ai lu ton explication sur l’autre analyse, mais cette fille dont tu vois sur cette photo ne comprendra pas ce que tu parles. Ce que je veux dire par là, laissez ces pauvres filles décider de ce qu’elles veulent faire de leur corps quand elles grandiront. Il y a des progrès scientifique au 21e siècle qui peuvent remplacer cette mutilation volontaire faites par les exciseuses. J’ai fait plus de trois semaines avant que la plaie de mon excision puisse guérir avec une hygiène lamentable, tant dit qu’aujourd’hui si cette excision est faite volontairement à l’hôpital par un garçon adulte, en trois jours cette plaie est guérie. Je suis un homme avec des cicatrices d’un vrais Mossi sur la figure, et je les portes fièrement malgré qu’on me les fait quand j’avais un ou deux ans : Mais si c’est autour d’hui, j’allais dire à mes parents de me laisser choisir, comme mes quatre garçons qui me demandent s’ils ont besoin de mes conseils. Laissez les femmes choisir, comme les Omo que vous parlez, car on est au 21e siècle, et la nouvelle génération a dit que rien ne sera plus comme avant. Le corps de tout en chacun l’appartient. Sans rancune, et heureux de te lire.

  • Le 6 février 2017 à 19:54, par Yako En réponse à : Mutilations génitales féminines : Il faut y mettre fin d’ici à 2030 selon l’UNFPA et l’UNICEF

    L’image est violente avec cette lame de la honte.Mais si l’objectif est de marquer les esprits pas de souci.

  • Le 6 février 2017 à 20:14, par EMP En réponse à : Mutilations génitales féminines : Il faut y mettre fin d’ici à 2030 selon l’UNFPA et l’UNICEF

    À l’endroit de Monzon. Vous parlez d’évolution, n’est-ce pas ? Malheureusement que nous évoluons au lieu de progresser, d’avancer. Jaugez vos mots avant utilisation car si vous m’aviez précédemment lu, vous n’agirez point de la sorte. Et lorsque vous parlez de sacrifices, voyez-vous, c’est triste mais bien réel ce que nous endurons comme châtiments ancestraux. Nul besoin de vous rappeler que point de développement en dehors de sa propre culture ? Et partant de ce principe, nous voilà face aux graves dérivés de nos sociétés. L’aveugle, c’est celui-là même qui refuse de voir. De sa part, M. Leregard argumente, apporte des prévues qui sous-tendent la véracité de ses dires. Loin de tous regards alimentés rien que d’émotions,d’idées figées. Soupirs... L’ÉDUCATION SANS CONTRAINTE ET VOICI LES EFFETS DÉSASTREUX : COULEURS NATIONALES EN FLAMME,SÉQUESTRATION D’ENSEIGNANTS,BASTONNADE DES PARENTS et que sais-je encore ?

  • Le 6 février 2017 à 21:22, par EMP En réponse à : Mutilations génitales féminines : Il faut y mettre fin d’ici à 2030 selon l’UNFPA et l’UNICEF

    « Le porc est mal placé pour donner des notions d’hygiène à l’âne ».Ce sont les homosexuels,les pédophiles et autres qui nous font à présent la morale.Je dis non et non.Si nous consentons de nous-mêmes que l’excision n’est pas une bonne pratique et que nous décidons de l’abandonner,là c’est louable.Mais que des malades tentent de nous imposer à tout prix leur volonté,là c’est déplorable.Vous cautionnez la chirurgie esthétique au détriment de l’excision.Vous trouvez que Transplanter un sexe est bien.C’est vraiment pitoyable de votre part.Ce qui me chagrine,pourquoi nous financer pour que nous abandonnions telle ou telle pratique.Il y a anguille sous roche.Non,la réflexion doit venir de nous-mêmes.Mais Comme la pauvreté mine nos sociétés,que faire ?Ils nous disent que le noir est le résidu de la race humaine,la source du mal.Et pour justification,ils pointent les guerres,les maladies,la famine en Afrique. Or,nous savons tous que la source du mal est politique.OUVRONS LE BON OEIL,si non le revers sera très AMER...

    • Le 7 février 2017 à 09:25, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Mutilations génitales féminines : Il faut y mettre fin d’ici à 2030 selon l’UNFPA et l’UNICEF

      - EMP, tu es cartainement un islamiste WahhaBITE ?! Dans ce cas, je vais te confier un secret toléré comme tous ces nombreux subterfuges dans le St Coran. Voici dont ce secret que j’ai lu sur Internet :

      Comment les tourments sexuels des islamistes radicaux peuvent expliquer la genèse de la violence djihadiste : En janvier, le gouvernement américain rendait publics quarante-neuf nouveaux documents saisis, en 2011, dans la cache d’Oussama ben Laden à Abbottabad, au Pakistan. Parmi ces pièces -constituant le quatrième et ultime dossier dévoilé depuis 2012-, se trouve une lettre adressée à un collègue d’Afrique du Nord et dans laquelle le feu leader d’al-Qaida soulève « une question de la plus haute importance et du plus haut degré de confidentialité » : Il s’agit du problème des frères qui t’accompagnent et qui, à cause de la situation qui leur a été imposée, sont confrontés à un regrettable célibat et à un manque d’épouses disponibles. Nous prions Dieu pour les en libérer. J’ai écrit au Cheikh/Docteur ((Ayman)), [al-Zawahiri], et j’ai consulté le Cheikh ((Abu Yahya)) [al-Libi].

      Le Dr. Ayman nous a écrit son opinion (...). De notre point de vue, nous n’avons aucune objection au fait de clarifier aux frères leur droit de se masturber dans de telles conditions, tant elles sont particulières. Les ancêtres l’approuvaient pour la communauté. Ils le conseillaient aux jeunes hommes à l’époque de la conquête. De même, les légistes le prescrivaient en cas de besoin impérieux, et il ne fait aucun doute que les frères soient confrontés à une nécessité aussi extrême.

      La fastidiosité dont faisait preuve ben Laden dans la surveillance et la supervision de ses ouailles est connue. Mais peu auraient imaginé qu’il puisse aller aussi loin. Et si on sait que son repaire d’Abbottabad recelait du matériel pornographique, on peut être surpris d’apprendre que ben Laden, le plus éminent djihadiste de sa génération, ait pu penser aussi longuement et durement (sans mauvais jeu de mots) à la masturbation, à l’instar d’Ayman al-Zawahiri, l’actuel chef d’al-Qaida.

      CONCLUSION  : Quand ça vous arrange, c’est ’’Halal’’, mais quand ça ne vous arrange pas, c’est ’’Haram’’. N’est-ce pas ?

      Par Kôrô Yamyélé

      • Le 7 février 2017 à 12:33, par Ka En réponse à : Mutilations génitales féminines : Il faut y mettre fin d’ici à 2030 selon l’UNFPA et l’UNICEF

        Merci mon ami Körö : Les musulmans Djihadistes appliquent ce qui les arranges et non la religion musulmane qui est une religion de tolérance et de paix. Et je demande à des personnes comme du pseudo ‘’’EMP’’’ d’arrêter leur camouflage pour de la manipulation et de l’hypocrisie. Il se camoufle derrière le système ancestral et coutumier pour encourager l’excision et pouvoir dominer les femmes. Il n’y a aucune vérité en Islam des Djihadistes. Tout est faux. On les voie le vendredi souvent ou rarement dans les mosquées avec hypocrisie. Ils sont plongés dans le péché jusqu’au cou. Ils ont l’apparence de la piété avec leur boubou blanc traînant a la longueur de la journée, mais ils vivent dans l’impudicité totale avec leurs 2, 3 ou 4 épouses données par ceux qu’ils arnaquent. Ils sautent d’un lit dans un autre, et ressortent chez eux pour engrosser les petites filles, et les femmes des autres. Ce sont des loups ravisseurs qui ont l’apparence de la sainteté. Ceux qui ne sont pas polygames donnent leurs filles en mariage à des polygames. Dans leurs causeries pour appâter les jeunes et les envoyer tué, ils les font croire que Dieu est un rond-point toutou auquel tous les chemins mènent à l’Islam, pourtant c’est pour tromper lourdement le monde. Et je dis à tous les jeunes qui me lisent, si vous mettez votre espoir de croire à Dieu a ces fanatiques de Djihadistes et des porc puants, tôt ou tard, vous en mordrez les doigts. La preuve est en Syrie, a Mossoul en Irak, et plus près de chez nous au Mali.

      • Le 7 février 2017 à 13:03, par Minnayi En réponse à : Mutilations génitales féminines : Il faut y mettre fin d’ici à 2030 selon l’UNFPA et l’UNICEF

        Pour une des rares fois le Koro Yamyélé est passé à coté de la plaque. Allez-vous même chercher la légalité de la pratique supposée incriminée dans le Saint Coran au lieu de vos limiter à ces commentaires hasardeux. Mieux, la source de ces info (venant des américains) est à revoir.

  • Le 6 février 2017 à 21:28, par Cheikh En réponse à : Mutilations génitales féminines : Il faut y mettre fin d’ici à 2030 selon l’UNFPA et l’UNICEF

    A leregard, moi je répondrai sans chercher à aller loin que tout acte qu’on pose est supposé avoir une raison. Pour le cas de l’excision, l’on pensait au départ que c’était l’Islam qui la recommandait, pour que les prières des femmes soient acceptées par Allah. Mais après maintes enquêtes, on s’est rendu compte, qu’elle n’existait pas dans le coran, et que les arabes mêmes ne la pratiquaient pas. C’est alors qu’on s’ est tourné vers les traditionalistes pour comprendre, mais en vain. Là-bas non plus les arguments brandis n’étaient pas convaincants. C’est tout au plus si de part certains religieux et certains traditionalistes, on ne l’avait pas imposée au départ pour soit-disant rendre les femmes moins frivoles ! Et comme scientifiquement parlant, l’existence ou l’absence de clitoris n’a aucun lien avec les tendances sexuelles d’une femme, l’on s’est alors demandé pourquoi prendre tant de risques, pour un acte qui n’avait pas sa raison d’être. D’où l’activation du combat contre l’excision, qui avait fini avec le temps, par devenir un acte largement communautaire et dévastateur, sans l’assentiment de la victime. Cela n’a donc rien avoir avec la chirurgie esthétique qui est un acte de luxe,volontaire et individuel. Autrement dit, pourquoi vouloir empêcher celles qui veulent s’esquinter librement de le faire ? Moi je pense d’ailleurs, que c’est parce que les gens n’aiment pas les gens que nous en sommes encore là avec ce problème. Car si au Burkina, l’on avait laissé les mains libres à l’honorable dame Lamizana qui avait été la première à se saisir de ce problème, il y a longtemps qu’on en aurait fini. Mais hélas ! A force de vouloir politiser le problème pou mieux bouffer là-dedans, on lui a ravi çà au profit de Chantal Compaoré. Et voilà maintenant qu’on n’en finit pas. A Mechtilde Guirma, je préférerais qu’il prenne son exemple ailleurs, et non sur le tabac dont il ne sait pas grand-chose. Le tabac n’a rien à voir avec la drogue dure qui mérite partout d’être combattu. Car c’est le tabac qui est à la base du développement de Cuba et de nombreux pays de l’Amérique Latine. C’est ceux qui veulent briser l’industrie du tabac, qui lui collent tous les maux du monde. Fidel Castro a fumé toute sa vie, mais à quel âge est-il mort ? Johnny Hallyday est fumeur, mais quel âge a-t-il aujourd’hui ? Arrêtez certains blablas, et vérifiez autour de vous, car tous les vieux docteurs blancs de plus de soixante dix ans fument. Fumer est volontaire et non une contrainte. Laissez ceux qui veulent fumer le faire, le faire librement, au risque de s’intoxiquer comme on vous le fait croire. Sinon le cancer existe avec ou sans la cigarette. C’es de la pure démagogie, que de vouloir passer par ces arguties pour dissuader les masses.Du reste, c’est comme çà que le SIDA a été créé de toutes pièces par les occidentaux, qui nous balancent dans tous les sens comme ils veulent. Aujourd’hui, un produit que vous trouvez efficace en pharmacie, disparaît au bout de deux ans, pour laisser place à un autre moins efficace, mais qu’on tient à vous vendre absolument. Dans les années passées, on prônait à cor et à cri, la planification en occident . Aujourd’hui, on prône le contraire, parce que la population est vieille. Dites-moi entre nous si le vin, les liqueurs et dérivés ne sont pas tout autant nuisibles ? SVP, choisissons librement ce qu’on a à faire ou non, mais arrêtons le colportage !

  • Le 6 février 2017 à 22:46, par YIRMOAGA En réponse à : Mutilations génitales féminines : Il faut y mettre fin d’ici à 2030 selon l’UNFPA et l’UNICEF

    Foutez nous et laissez les vieilles exciseuses tranquille et cherchez à incriminer les parents des fillettes ? ça c’est quelle injustice ? Mêmes des parents intellos envoient leurs enfants au village pour être mutilées par les vieilles ? Qui est fautif en ce moment ?
    Pourquoi emmerder les vieilles à coup de recherche de financement ?

  • Le 7 février 2017 à 11:41, par Hélène En réponse à : Mutilations génitales féminines : Il faut y mettre fin d’ici à 2030 selon l’UNFPA et l’UNICEF

    C’est les sorcières qui nous fait ça
    Elles fait du mal à les femmes qu’on ça tu n’as pas plus envie de un homme
    Nous sommes pas des animaux. ..

  • Le 7 février 2017 à 16:55, par Ka En réponse à : Mutilations génitales féminines : Il faut y mettre fin d’ici à 2030 selon l’UNFPA et l’UNICEF

    A ma chère madame M. Guirma et à toutes et tous ceux dont vous soutenez pour le maintien de l’excision des pauvres femmes : Je ne suis pas pour les lesbiennes, ni les Omo, mais pour moi, c’est leur vie comme vous et moi nous vivons la nôtre avec nos convictions. Pour moi je vous demande, vous madame Guirma qui demeure au Canada dont mes enfants ont fait des études, ou moi-même j’ai fait un séjour, de nous confirmer si les canadiens qui vous informent tout sont pour l’excision barbare des jeunes filles ? Pour moi c’est non. Allez-y au fond-fond d’Ontario et parlez de votre excision des pauvres filles aux paysans éleveurs, ils vous chasseront avec leurs fourches a foins. Je constate sur cette analyse que des intellectuels comme vous se camouflent derrière leur féodalité, et tentent de se faire écouter leur façon d’utiliser l’excision pour dominer les femmes. Et moi je prends une phrase de Thomas Sankara qui s’adresse au peuple Burkina pour vous demander qu’il est temps que vous ayez le courage pour les femmes mutilées, et de rompre avec l’excision, pour s’autoriser d’autres voies susceptibles de donner du bonheur à nos jeunes filles et femmes, au lieu de continuer à les mutiler a vie.

  • Le 7 février 2017 à 17:17, par Ka En réponse à : Mutilations génitales féminines : Il faut y mettre fin d’ici à 2030 selon l’UNFPA et l’UNICEF

    Madame M. Guirma, avec le respect que je te dois, avant d’arrêter ma modeste contribution sur le sujet de l’excision, surtout un système barbare dont vous défendez avec vos explications de clitoris et autres, je vous dis simplement avec ma sincérité de tous les jours, que vous êtes peut-être une sœur en christ ou une excisée qui ne peut plus avoir du plaisir avec un homme. Mais pensez que 99% des femmes, nos jeunes filles, aiment avoir du plaisir avec leurs maris pour conserver la longévité du couple. Ne les privez pas de ce plaisir par ce que ça vous arrange a vous seule et aux hommes féodales.

  • Le 7 février 2017 à 17:18, par Ka En réponse à : Mutilations génitales féminines : Il faut y mettre fin d’ici à 2030 selon l’UNFPA et l’UNICEF

    Madame M. Guirma, avec le respect que je te dois, avant d’arrêter ma modeste contribution sur le sujet de l’excision, surtout un système barbare dont vous défendez avec vos explications de clitoris et autres, je vous dis simplement avec ma sincérité de tous les jours, que vous êtes peut-être une sœur en christ ou une excisée qui ne peut plus avoir du plaisir avec un homme. Mais pensez que 99% des femmes, nos jeunes filles, aiment avoir du plaisir avec leurs maris pour conserver la longévité du couple. Ne les privez pas de ce plaisir par ce que ça vous arrange a vous seule et aux hommes féodales.

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