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Bassolma Bazié, secrétaire général de la CGT-B : « Il n’y a pas une volonté politique engagée d’améliorer de façon conséquente les conditions de vie des travailleurs »

Publié le dimanche 29 janvier 2017 à 23h56min

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Bassolma Bazié, secrétaire général de la CGT-B : « Il n’y a pas une volonté politique engagée d’améliorer de façon conséquente les conditions de vie des travailleurs »

Conformément à ses dispositions statutaires, la Coordination nationale du collectif syndical de la confédération générale du travail du Burkina Faso (CGT-B) a tenu une rencontre le samedi 28 janvier 2017 à Ouagadougou.

« Harmoniser les points de vue des participants sur les grandes questions qui caractérisent le monde et particulièrement la situation nationale au Burkina Faso et renforcer le pôle du syndicalisme révolutionnaire de lutte de classes », tel était l’objectif de la rencontre initiée par la Coordination nationale du collectif syndical de la confédération générale du travail du Burkina Faso (CGT-B).

Le secrétaire général de la CGT-B, Bassolma Bazié qui a présidé la cérémonie avait à ses côtés ses camarades du Syndicat national des travailleurs de l’éducation de base, ceux de la télécommunication et le syndicat des agents du Trésor public. Actualité oblige, la crise mondiale capitaliste s’est invitée dans les débats. Et là-dessus, M. Bazié n’a pas manqué de qualifier les dirigeants burkinabè « de valets locaux » où la question de l’indépendance est politique.

Selon lui, l’indépendance économique, sociale, culturelle, et militaire est véritablement posée. Et dès lors qu’on n’arrive pas à le comprendre, dit-il, on peut s’engager à s’attaquer aux conséquences et non aux causes. C’est dans ce sens qu’il a confié avoir appelé les travailleurs à ouvrir l’esprit critique et faire en sorte de ne pas se limiter au niveau des luttes corporatives, mais adhérer aux luttes populaires.

Elever le niveau de conscience politique et syndicale pour la réussite du PNDES
A en croire le secrétaire général de la CGT-B, la mauvaise gouvernance est à l’origine de la misère des Burkinabè. « Le fait de vouloir mettre un programme d’agissement structurel appelé PNDES, avec le financement des bailleurs sur la base des dettes, sans travailler à ce qu’il y ait une gouvernance vertueuse dans notre pays, nous avons la crainte forte que ces financements seront destinés à des détournements fallacieux », a-t-il soutenu. De ce fait, il pense qu’il faut travailler à élever le niveau de conscience politique et syndicale pour espérer la réussite du Plan national de développement économique et social (PNDES).

Au titre de la justice, Bassolma Bazié a déploré l’incapacité du pouvoir en place de résoudre les dossiers pendants. Ils ont pour nom, entre autres, l’impunité des crimes de sang et des crimes économiques. En ce qui concerne la sécurité, la CGT-B note des tâtonnements dans sa gestion. Par conséquent, elle a salué les luttes multiples et multiformes qui se développent au sein de l’ensemble du peuple, et soutient que le contexte sociopolitique du pays ne saurait donner place à une quelconque trêve sociale. Elle reste cependant convaincue que le changement fondamental auquel aspire le peuple ne viendra ni des élections ni d’un putsch mais de la lutte organisée et consciente des masses populaires.

« Les acquis de la rencontre gouvernement/syndicats seront fonction de la mobilisation des travailleurs, et non des humeurs du gouvernement. Il aime toujours faire des fuites en avant, il n’y a pas une volonté politique engagée d’améliorer de façon conséquente les conditions de vie des travailleurs », ajoute Bassolma Bazié.

Aïssata Laure G. Sidibé
Lefaso.net

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Vos commentaires

  • Le 29 janvier 2017 à 23:17, par Bonnemort En réponse à : Bassolma Bazié, secrétaire général de la CGT-B : « Il n’y a pas une volonté politique engagée d’améliorer de façon conséquente les conditions de vie des travailleurs »

    Soyez plus professionnelle que ça.Je doute fort que le SG de la CGTB tiennent un tel propos sur le PNDS. revoyez vos notes !

  • Le 30 janvier 2017 à 01:49, par abdoul En réponse à : Bassolma Bazié, secrétaire général de la CGT-B : « Il n’y a pas une volonté politique engagée d’améliorer de façon conséquente les conditions de vie des travailleurs »

    Félicitations à Bazie pour sa constance, Rock a véritablement déçu. Nous sommes très déçus, il n’a pas de visions, pas de leadership, navigue à vue. Ces ministres sabotent les syndicats, incapable en un mois de remanier un gouvernement, c’est tout dire. Des vrais leadership c’est comme les trump, le vrai mouta mouta...et incapacité au sommet de l’état naugurent rien de bon. Le peuple est très déçu et se demande s’il pourrait attendre5ans avant de se débarrasser d’un tel passivisme et d’une telle trahison. Avec les magistrats qui n’ont pas participé à l’insurrection ils se sont entendus pour saboter l’insurrection, mais Dieu est au commande, la vraie insurrection reste à venir si ils ne changent pas.

  • Le 30 janvier 2017 à 07:47, par Thién En réponse à : Bassolma Bazié, secrétaire général de la CGT-B : « Il n’y a pas une volonté politique engagée d’améliorer de façon conséquente les conditions de vie des travailleurs »

    Il fallait s’attendre à ces louvoiements du premier ministre !
    Où était-il quand les magistrats négociaent directement avec le président ? Et c’est maintenant que vous, vous voulez négocier avec ce monsieur ?
    Il n’y a que le bras de fer qui marche dans ce pays ! Quand il dit qu’il faut penser au developpement de ce pays, je crois qu’il s’adresse aux autres mais pas à lui-même, sinon il devrait "marcher à pieds" pour nous donner l’exemple du sacrifice ! Combien de véhicules sont à sa disposition ? Et pourquoi faire ?

  • Le 30 janvier 2017 à 07:53, par Fraoco En réponse à : Bassolma Bazié, secrétaire général de la CGT-B : « Il n’y a pas une volonté politique engagée d’améliorer de façon conséquente les conditions de vie des travailleurs »

    Je me demande si monsieur Bazie ne pas un apatride. Il a toujours vu tout en noir dans ce pays. Pour lui rien ne marche a par lui. Quel drôle de syndicaliste

  • Le 30 janvier 2017 à 07:57, par Fraoco En réponse à : Bassolma Bazié, secrétaire général de la CGT-B : « Il n’y a pas une volonté politique engagée d’améliorer de façon conséquente les conditions de vie des travailleurs »

    Et comme rien ne va pour toi cher Bazie on te demande de nous faire sortir de ton laboratoire ton fétiche pour remplacer le PNDES

    • Le 30 janvier 2017 à 10:24, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Bassolma Bazié, secrétaire général de la CGT-B : « Il n’y a pas une volonté politique engagée d’améliorer de façon conséquente les conditions de vie des travailleurs »

      - Fraoco, il faut être au moins sincère avec ta propre conscience ! Que vois-tu de blanc depuis que Rock a pris le pouvoir ? D’abord il a tapé un mois avant de nommer son PM, maintenant il tape un mois encore sans nommer un nouveau Gouvernement que lui-même a annoncé auparavant. Il traîne à changer le Chef d’Etat-Major Général de l’Armée jusqu’à ce que les terroristes l’y oblige. Il laisse en place le DG de la police et le Chef d’Etat-Major de la gendarmerie, alors qu’il devait changer tous ces gens dès sa prise de fonction. En plus ça, entre eux, ils se livrent des querelles de chiffonniers au sommet pour chacun, placer ses hommes afin de tout contrôler. Ces hommes sont tout sauf des vrais politiciens. Le terme politicards les conviendrait mieux ! Si Rock ne change pas et ne quitte pas dans son comportement d’attentisme maladif, son gouvernement sera le plus mauvais que ce pays aura connu depuis l’indépendance. Je donne finalement raison au Dr Ablassé Ouédraogo qui dit que nous somme dans la Rockosité et tout es mouta-mouta.

      Par Kôrô Yamyélé

  • Le 30 janvier 2017 à 08:05, par MONZON En réponse à : Bassolma Bazié, secrétaire général de la CGT-B : « Il n’y a pas une volonté politique engagée d’améliorer de façon conséquente les conditions de vie des travailleurs »

    Hier le Ministre de la santé est resté dubitatif SUR le dossier de la loi 033 ;ils attendent voir le niveau de la grève avant de décider .

  • Le 30 janvier 2017 à 08:14, par Belco En réponse à : Bassolma Bazié, secrétaire général de la CGT-B : « Il n’y a pas une volonté politique engagée d’améliorer de façon conséquente les conditions de vie des travailleurs »

    Merci, BASSOLMA pour ta clairvoyance. J’apprécie beaucoup ton franc parlé et ton courage. Je suis convaincu qu’avec toi les conditions de vie des fonctionnaires burkinabé changeront conséquemment sinon présentement c’est la misère totale. Et chacun vivra décemment avec une bonne pension que ce qui est servi actuellement. j’ycrois vraiment. Nos autorités doivent changer de facon de faire, il faut créer de la richesse et améliorer nos "salaires" qui ne sont que des perdiems sous d’autres cieux.BASSOMA, on te suit, on te croit. Courage !

    • Le 30 janvier 2017 à 09:52, par ad piig ka son nou yé ! En réponse à : Bassolma Bazié, secrétaire général de la CGT-B : « Il n’y a pas une volonté politique engagée d’améliorer de façon conséquente les conditions de vie des travailleurs »

      "Il faut créer de la richesse..."

      Belco, comment créer de la richesse si tout ce qui est instruit s’engouffre dans des bureaux climatisés pour attendre un salaire ? Qui dit création de richesse, dit création de valeur ajoutée. Autrement dit, on produit et on vend à une valeur supérieure au coût de production. Quelle valeur ajoutée le fonctionnaire dont tu plains le sort crée t-il ?

      Le fonctionnaire est certes utile à la bonne marche de l’ensemble. Mais si dans un pays la plupart de ceux qui ont des connaissances théoriques ne les mettent pas en pas en pratique pour générer des biens et services vendables, mais se contentent de les offrir à l’Etat en contrepartie d’un salaire, comment penses-tu qu’on puisse avoir autre chose que des perdiem ? Vois toi même : la plupart des entités véritablement génératrices de valeur ajoutée sont detenues par des structures étrangères ou...par des nationaux semi ou totalement analphabètes.

      L’économie est portée en grande partie par ceux que le système éducatif n’a pas accueilli ou a rejeté. Ce sont ceux-là qui produisent le peu qu’on arrive à faire. Et ceux que tu appelles les fonctionnaires, formés à grands frais se chargent de tout dissiper.

      Et pour être franc, si la CGTB mettait autant d’energie à faire cultiver des champs d’igname ou de pomme de terre, à dispenser des formations sur l’elevage de poulets, ou de caprins à ses militants, plutôt que de se plaindre sans fin de ce que le gouvernement fait ou ne fait pas, elle indiquerait par là, à la jeunesse montante, comment être utile à son pays.

      Mais une surenchère de grèves ou de menaces ne saurait être la clé du developpement du pays.

      Je ne dédouane pas pour autant le gouvernement, qui n’a jamais non plus été en mesure de valoriser l’expertise nationale. Nous sommes un pays aux ressources naturelles très limitées. Mais nous av(i)ons une jeunesse travailleuse. Pour des raisons de populisme, on lance des projets foireux d’installation de jeunes dans des espaces amenagés. On fait un tapage médiatique et après on abandonne tout. Pas sans avoir dissipé tout le financement annoncé.

      Nous avons également des compétences intellectuelles que nul n’exploite. Pour un oui ou un non, on lance des appels d’offres internationaux avec des critères permettant d’exclure toutes entités (personnes morales et physiques) nationales. Et c’est relativement facile à faire. Il suffit d’exiger un chiffre d’affaires exhorbitant et le tour est joué. Comme ça, aucune société ou personne Burkinabè n’est autorisée à participer. Même si techniquement elle est capable.

      En Côte d’Ivoire, une loi reserve desormais un certain pourcentage des marchés d’Etat aux pme-pmi. Ces petites structures vont acquérir de l’expérience et venir coiffer les notres ici, dans le cadre des accords uemoa ou cedeao. Et on paraitra encore une fois ce que nous voulons qu’on voit de nous : des idi.ts !

      Belco, tu sais pourquoi nous nous n’avançons pas ? C’est parce que jusqu’à present nous n’avons été dirigés que par des salariés justement. Un salarié peut créer de la richesse s’il est dirigé. Autrement, il attend son salaire. Quand on sait créer de la richesse par soi-même, on n’aspire pas à être salarié. Compte les membres de notre gouvernement qui sont autre chose que des salariés et tu pourras tirer ta conclusion par toi même.

      Je passais...

  • Le 30 janvier 2017 à 08:37, par Ismaêl En réponse à : Bassolma Bazié, secrétaire général de la CGT-B : « Il n’y a pas une volonté politique engagée d’améliorer de façon conséquente les conditions de vie des travailleurs »

    Le ministre de la santé s’est rendu encore ridicule à l’émission Surface de vérité de la télé BF1 le dimanche 29 janvier 2017.L’acharnement du ministre Smaila Ouédraogo de se confectionner un bilan reluisant s’est soldé par un échec cuisant. Le ministre a démontré publiquement qu’il est spécialiste de contre-vérités. L’animateur de l’émission, face aux réactions épidermiques légendaires du ministre qui sont des tactiques pour fuir les vrais débats, lui a fait savoir qu’il est accusé de faire de l’intoxication dans ses propos pour ne pas accepter des débats cartes sur table. Avec une ambiguïté irresponsable, le ministre a répondu par oui et non sur la question de savoir s’il avait engagé un dialogue sincère avec le Syndicat National des Travailleurs de la Santé Humaine et Animale(SYNTSHA).En mathématique, le positif (oui, +) par le négatif (non,-) donne un résultat négatif. Par conséquent, le ministre n’a pas mené un dialogue franc avec le SYNTSHA. Il s’est surtout contenté d’avoir des appels téléphoniques avec certains responsables du syndicat dans l’intention de les intimider sur la grève. Un autre fait qui montre que le ministre fait du pilotage à vue, porte sur l’évaluation fausse qu’il a faite du nombre de villages au Burkina. Il s’est basé sur les anciens chiffres de 8.000 villages pour le recrutement de 2 agents communautaires de santé par village alors que le Burkina compte de nos jours 8.900 villages. Son hostilité à la concertation élargie préalable s’est encore manifestée sur le projet de la Fonction publique hospitalière car, aux états généraux des hôpitaux, ce ministère chargé de la gestion administrative de l’ensemble des fonctionnaires n’a pas été associé aux débats comme il se devait. C’est par la suite que le ministre de la santé fait savoir qu’il y a eu une rencontre entre lui et le ministre de la Fonction publique sous l’égide du Premier ministre. Le journaliste de BF1 a mis le ministre dans une situation embarrassante sur la question de la CAMEG lorsque le ministre insinuait qu’il a fait débloquer 5 milliards de FCFA pour parer aux ruptures de médicaments. Le journaliste lui a fait savoir comment cette somme a été gérée dans la mesure où la CAMEG n’a pas un organe officiel de gestion en raison des procès qui opposaient les 2 DG et 2 PCA.L e ministre n’a pas su convaincre et a laissé entendre que c’est la direction partisane de son clan qui dirige la CAMEG sans même que la justice n’ait donné un verdict final. Le ministre de la santé est trop préoccupé par un bilan politiquement incorrect de sa première année à la tête du ministère où il met l’accent sur la quantité plutôt que la qualité. Ainsi, il s’est enorgueilli d’avoir fait des recrutements massifs de plus de 400 médecins et d’un millier d’infirmiers en 2016.Pour cela, il fustige indirectement ses ainés en félicitant ses collègues jeunes médecins qui ont accepté d’être affectés dans les hôpitaux provinciaux comme gynécologues, cardiologues etc. Le ministre doit savoir qu’aucun médecin expérimenté n’acceptera de mettre la charrue avant les bœufs en allant dans des hôpitaux qui manquent d’équipements adéquats pour des soins de qualité. Le ministre dit que les moyens nécessaires seront mis plus tard dans ces hôpitaux. C’est irresponsable d’envoyer de jeunes médecins à peine en fin de stage pour jouer des rôles de médecins titulaires car, les risques d’erreurs médicales sont grands sur les malades. Le ministre Smaila Ouédraogo s’insurge contre la mauvaise qualité de certains équipements médicaux alors qu’il est lui-même complice de la dotation de tels équipements. Il a fait remettre récemment à 2 reprises des vieux matériels en provenance de la Suisse au CHU Souro Sanou de Bobo-Dioulasso par l’entremise de son parrain le président de l’Assemblée nationale dont il tente maintenant de nier le soutien pour sa carrière ministérielle. D’une manière générale, cette campagne médiatique du ministre de la santé a produit l’effet contraire recherché en confirmant que le ministre a échoué dans la gestion administrative et des ressources humaines de la santé. Quelle honte pour le gouvernement d’avoir un ministre du genre qui dit des contre-vérités flagrantes et met impunément le système sanitaire national en péril !

  • Le 30 janvier 2017 à 09:01, par Kandba En réponse à : Bassolma Bazié, secrétaire général de la CGT-B : « Il n’y a pas une volonté politique engagée d’améliorer de façon conséquente les conditions de vie des travailleurs »

    Salut Bassolma. Je veux juste te demander, toi en tant que père de famille, est-ce que tu arrive à satisfaire tout le besoin des membres de ta famille ? Essais de reconnaitre que ses dirigeants mettent tout leurs efforts pour combler les caisses vident qu’ils sont venu trouvé afin de repartir sur de bonnes base. C’est vraiment dommage Bazié. Un vrai gouroucy doit bien se comporter.........

  • Le 30 janvier 2017 à 10:02, par HERMAN DE LAFIAMATOU2 En réponse à : Bassolma Bazié, secrétaire général de la CGT-B : « Il n’y a pas une volonté politique engagée d’améliorer de façon conséquente les conditions de vie des travailleurs »

    Bassolma on attend un mot d’ordre de GREVE GENERALE comme au temps du coup d’état de Gilbert Dienderé.Ce gouivernement se fout des fonctionnaires.Revoyez les questions salariales:A diplôme égal salaire égal.Respectons nous dans ce pays.On ne peut pas gouverner avec de telles injustices.

  • Le 30 janvier 2017 à 10:05, par HERMAN DE LAFIAMATOU2 En réponse à : Bassolma Bazié, secrétaire général de la CGT-B : « Il n’y a pas une volonté politique engagée d’améliorer de façon conséquente les conditions de vie des travailleurs »

    Bassolma on attend un mot d’ordre de GREVE GENERALE comme au temps du coup d’état de Gilbert Dienderé.Ce gouivernement se fout des fonctionnaires.Revoyez les questions salariales:A diplôme égal salaire égal.Respectons nous dans ce pays.On ne peut pas gouverner avec de telles injustices.

  • Le 30 janvier 2017 à 10:21, par NAABIGA En réponse à : Bassolma Bazié, secrétaire général de la CGT-B : « Il n’y a pas une volonté politique engagée d’améliorer de façon conséquente les conditions de vie des travailleurs »

    Il est vrai que l’administration est une continuité mais il faut toute raison garder être réaliste. les syndicats demandent une amélioration des conditions de vie des travailleurs dont les fonctionnaires qui émargent au budget de l’Etat pour plus de 40%. Lors des dernières négociations il est question de réduire l’IUTS. Que font les syndicats dans la promotion de la gouvernance vertueuse ? il ne faut pas remettre tout ce qu’il faut faire dans la main de l’Etat, il faut aussi que TOUS mette la main à la pâte. les détournements ne sont pas fait seulement par les dirigeants : il y a par exemple les chauffeurs qui font des deal avec les garagistes ou tous ceux qui gonflent les factures d’entretien et de réparation afin de bénéficier de ces services à titre personnel.
    Concernant la Justice, tous le monde sait que pendant 27 ans tout était sous contrôle.
    mais ce que les gens doivent savoir c’est que la justice est très procédurière. une personne coupable peut être relaxée pour vice de procédure et à vouloir des jugements tout de suite on risque de tout foirer et après on va accuser les juges d’être corrompus. Mais les juges aussi ont leur role à jouer pour etre en phase avec le peuple

  • Le 30 janvier 2017 à 10:27, par REVOLUTIONNAIRE En réponse à : Bassolma Bazié, secrétaire général de la CGT-B : « Il n’y a pas une volonté politique engagée d’améliorer de façon conséquente les conditions de vie des travailleurs »

    encore CGTB, hum ! c’est trop facile de critiquer sans proposer quelque chose de réaliste. bel discours pour la masse mais ceux qui sont un peu éclairé, ont du mal a y croire. je souhaite qu’il créée un partis politiques et proposer l’alternative au burkinabé. C’est sur qu’avec un partis des travailleurs au pouvoir on aura 200% d’augmentation sur nos salaire, l’eau , le courant , le carburant seront gratuit. n’est ce pas Monsieur Bassolma. Tout ceci me rappele la revolution de 1983. thomas Sankara voulais d’une vrai indépendance c’est a dire politique, économique, culturelle. Tout ceci necessite des sacrifices.Mais ce sont les meme syndicat qui ont contribué a l’echec de la revolution car ne voulant pas faire de sacrifice, pourtant à cette epoque la gouvernance etait la vertueuse. Donc vraiment, pour moi ce discours est hypocrite.

  • Le 30 janvier 2017 à 10:42, par GEESKA NEEDA En réponse à : Bassolma Bazié, secrétaire général de la CGT-B : « Il n’y a pas une volonté politique engagée d’améliorer de façon conséquente les conditions de vie des travailleurs »

    Moi je croit que de plus en plus que cette confédération est en réalité un parti politique qui traite de tous ici au Burkina .
    Ces gens doivent savoir qu’il n’y a pas que les fonctionnaires dans ce pays .
    Ce qui est équerrant c’est quand ce balzoma dit qu’il n’y a pas de terroristes que c’est en fait un manœuvre néo colonial comment comprendre et suivre des gens comme ça .
    Pendant que tous cherche des solutions pour contrer ces dérives .
    allez y comprendre . ABAT LE SYNDICALISME RADICAL AU BURKINA .
    LA PATRIE OU LA MORT NOUS VAINCRONS
    QUE DIEU NOUS PROTÈGE

    • Le 30 janvier 2017 à 11:41, par Vaurien En réponse à : Bassolma Bazié, secrétaire général de la CGT-B : « Il n’y a pas une volonté politique engagée d’améliorer de façon conséquente les conditions de vie des travailleurs »

      Il n’y a pas que des fonctionnaires au Burkina Faso. Etre fonctionnaire n’est pas sacré ni un dogme auquel on ne peut pas s’en défaire. Ceux qui ne sont pas contents de leurs traitement ont très vite démissionné de la fonction publique. Allez y voir dans les services publics comment les fonctionnaires traitent les usagers : Négligence, incompétence, absentéisme, corruption et j’en passe. Nous n’allons pas continuer à engraisser des gens qui ne travaillent pas. Quand on a besoin d’un service aujourd’hui, c’est payant (Impôts, DGTTM, Mairies, Hôpitaux...) même au MENA, certains enseignants escroquent les parents d’élèves à travers les fameuses APE mais monsieur bazié n’a jamais organiser une rencontre pour demander aux travailleurs d’être honnêtes, ponctuels, courtois, serviables... Quelle hypocrisie ? Les fonctionnaires d’aujourd’hui sont aussi des commerçants, des entrepreneurs à tel enseigne qu’ils ne consacrent plus leur temps au service public sans pour autant démissionner et laisser la place aux jeunes sans emplois. Quel égoïsme ?

  • Le 30 janvier 2017 à 10:43, par Tinto En réponse à : Bassolma Bazié, secrétaire général de la CGT-B : « Il n’y a pas une volonté politique engagée d’améliorer de façon conséquente les conditions de vie des travailleurs »

    Je suis d’accord avec Bazié Basolma. Le financement du PNDES est trop important pour être géré avec la mêmes méthodes que sous l’ère Compaoré. sans suspecter les détournements, moi je voudrais qu’on audite la capacité des personnels actuels à gérer un tel pactole. Tout le monde reconnait qu’avec l’ère Compaoré, il s’est installé des hommes et des pratiques qui ne peuvent pas aller avec une gestion saine, innovante, efficace et efficiente de nos ressources. Il faut auditer les services publiques avant la mise en place des fonds et mettre en place un système de contrôle qui permettent de justifier la pertinence de chaque sortie de fonds. Que plus jamais des générations ne remboursent ce qu’elles n’ont pas vu.

  • Le 30 janvier 2017 à 11:16, par abcdef..... En réponse à : Bassolma Bazié, secrétaire général de la CGT-B : « Il n’y a pas une volonté politique engagée d’améliorer de façon conséquente les conditions de vie des travailleurs »

    walaye,BASSOLMA que DIEU te bénisse pour que tu puisse dénoncer haut et fort les dérives de ce gouvernement mouta mouta, il ns disent que les caisses st vides pendant que les députés se partage des millions coe des arachides,des femmes st convoyer des 45 province pour présenter des voeux à sika bella adjovi au frai du contribuable

  • Le 30 janvier 2017 à 12:01, par djo En réponse à : Bassolma Bazié, secrétaire général de la CGT-B : « Il n’y a pas une volonté politique engagée d’améliorer de façon conséquente les conditions de vie des travailleurs »

    je suis syndiqué et je répondrai toujours au mot d’ordre de la CGTB.Seulement je suis quelques fois confus,quand j’écoute certains discours de mon syndicat.Je me demande s’il est plus préoccupé par les conditions de vie et de travail de leurs sympathisants, ou s’il n’officie pas pour un certain parti politique clandestin ?Dans tous les cas,le marxisme-léninisme,nous travailleurs Burkinabé n’en n’ont cure.Ce qui nous préoccupent ,c’est le panier de la ménagère.
    - 

  • Le 30 janvier 2017 à 12:05, par silence En réponse à : Bassolma Bazié, secrétaire général de la CGT-B : « Il n’y a pas une volonté politique engagée d’améliorer de façon conséquente les conditions de vie des travailleurs »

    Encore les nouveaux riches commencent à nous pomper l’air. Ils veulent manger et après leur départ qu’on constate les dégâts. Nous n’allons plus accepter cet état de fait car on est fatigué de vivre dans la misère. Ceux qui sont entraine de diffamer nos responsables syndicaux par qu’ils demandent trop, c’est les même qui disaient la même chose avec Bilaise.
    A cette allure la politique du MPP sera pire que le CDP.

  • Le 30 janvier 2017 à 12:17, par OCy En réponse à : Bassolma Bazié, secrétaire général de la CGT-B : « Il n’y a pas une volonté politique engagée d’améliorer de façon conséquente les conditions de vie des travailleurs »

    Vraiment internaute 10, REVOLUTIONNAIRE , je suis d’accord avec vous. C’est vraiment « … trop facile de critiquer sans proposer quelque chose de réaliste… » On fait comme si on voulait le progrès de l’ensemble du peuple. Lorsqu’on parle d’amélioration de condition de vie et de travail, augmentation de salaires, baisse d’IUTS et quoi encore ? Nous voulons quoi ? Si ce n’est l’augmentation de la masse salariale (aujourd’hui autour de 45, 50% alors que la norme de l’UEMOA est à 35%) et une baisse des recettes du pays conséquence d’une baisse des IUTS. Dans ce pays nous sommes parmi les privilégiés à moins de vouloir se mettre dans la peau de l’éternel insatisfait. Franchement, je pense que dans ce pays parmi les pauvres de ce monde, lorsque avec le CEP on peut gagner 60 à 70 mille, avec le BEPC 70 à 80 mille, avec le BAC 80 à 90 mille, BAC+2 90 à 100 mille, Bac+4 autour 120 mille, Doctorat débuter avec 150 mille ce n’est pas rien pour des descendants de paysans et de personnes modestes que nous sommes. Il y a des gens qui savent très bien intérieurement qu’ils sont parmi les privilégiés, mais l’égoïsme et même la méchanceté ne leur permettent pas de laisser leurs agissements pour qu’on pense plus à l’intérêt général.
    Après les mouvements syndicaux de 2016, j’ai aussi pensé que Blaise COMPAORE avant de faire le coup d’état du 15/10/87 savait qu’il aurait le soutien nécessaire parce que en dehors des Valère SOME, Fidèle TOE et quelques patriotes, beaucoup n’aimaient pas la façon de faire serrer la ceinture du Président SANKARA. Donc il y a des gens qui sont aussi des coupables involontaires du coup d’état du 15/10/87, ceux sur qui B.C. a compté pour faire son coup parce que Le Président SANKARA voulait beaucoup de sacrifice.
    (Brillante photo !)

  • Le 30 janvier 2017 à 12:21, par silence En réponse à : Bassolma Bazié, secrétaire général de la CGT-B : « Il n’y a pas une volonté politique engagée d’améliorer de façon conséquente les conditions de vie des travailleurs »

    Encore les nouveaux riches commencent à nous pomper l’air. Ils veulent manger et après leur départ qu’on constate les dégâts. Nous n’allons plus accepter cet état de fait car on est fatigué de vivre dans la misère. Ceux qui sont entraine de diffamer nos responsables syndicaux par qu’ils demandent trop, c’est les même qui disaient la même chose avec Bilaise.
    A cette allure la politique du MPP sera pire que le CDP.

  • Le 30 janvier 2017 à 12:38, par salaka En réponse à : Bassolma Bazié, secrétaire général de la CGT-B : « Il n’y a pas une volonté politique engagée d’améliorer de façon conséquente les conditions de vie des travailleurs »

    merci pour le franc parler. on n’a pas changé de regime on a changé de président. lorsque le pays aura des dirigents comme ceux de la transition, le connaitra son vitesse de progression.

  • Le 30 janvier 2017 à 13:29, par CHAKARA 1er En réponse à : Bassolma Bazié, secrétaire général de la CGT-B : « Il n’y a pas une volonté politique engagée d’améliorer de façon conséquente les conditions de vie des travailleurs »

    BASSOLOMA ohée ! Laisse les 2 internautes 10 et 20 pailler.La fonction publique ne s’aurait être comparée à une simple famille.D’ailleurs dites moi internautes 10 et 20 dans quel domaine de la vie on est satifsfait à 100%.Il n y a que la lutte qui paie.Si vous estimez que vous avez de bonnes conditions de vie et de travail fermez la et laissez ceux qui ne sont pas satisfaits mener leur lutte.Courage Bassolma. Nous te suivrons jusqu’au bout pour l’amélioration de nos conditions de vie.Il y a injustice dans le traitement des fonctionnaires."SANS LUTTE,VOUS N’OBTIENDREZ RIEN.NI AUJOURD’HUI, NI JAMAIS" Patrice LUMUMBA

  • Le 30 janvier 2017 à 14:58, par john,bf En réponse à : Bassolma Bazié, secrétaire général de la CGT-B : « Il n’y a pas une volonté politique engagée d’améliorer de façon conséquente les conditions de vie des travailleurs »

    Bassolma, n’est-ce pas mieux pour toi de créer un parti politique et te présenter aux élections en vu de mettre ton programme politique en exécution ? La, on verra si tu pourras battre le score de Ablasse le musulman mossi du Plateau central. Tu fais de la politique politicienne en utilisant le couvert du syndicat. Le syndicalisme, c’est la défense des intérêts matériels et moraux des travailleurs face au gouvernants ou au patronat. Ce n’est pas du ôte-toi que je m’asseye. Toi tu veux chasser ce gouvernement parce qu’il fait l’affaire des impérialistes. Dis-moi quel gouvernement ne commercialise pas avec ces derniers. Moi, je suis un travailleur syndiqué mais je ne te suivrai jamais sur ce chemin. Laisse le syndicat aux syndicalistes. Tes solutions sont incohérents, inappropriées, obselettes et utopiques. Des pays avant toi l’ont prôné, tenté de l’appliquer mais l’ont vite abandonné à cause de son inadéquation avec les aspirations des populations. Les travailleurs n’ont jamais été aussi exploités que dans les systèmes communistes (sofkoses et kolkoses russes). Donc, laisse le pays en paix.

  • Le 30 janvier 2017 à 15:02, par paysannoir En réponse à : Bassolma Bazié, secrétaire général de la CGT-B : « Il n’y a pas une volonté politique engagée d’améliorer de façon conséquente les conditions de vie des travailleurs »

    Certains internautes disent qu’il n y a pas que les fonctionnaires au Burkina. Quand il pleut des cailloux, chacun doit protéger sa tête. Nous les paysans, pour un simple perdiem, on se plie en quatre devant les fonctionnaires pour participer aux ateliers, aux journées nationales du paysan, etc. Les paysans ignorent ne savent pas que si nous étions unis, on allait pas être exploités comme c’est le cas maintenant. La sofitex nous pille, les minent dégradent nos terres, les pesticides tuent nos animaux et nos bras valides, nos terres sont achetées par des riches qui les clôturent sans rien produire, ce sont nos enfants qui traversent la mer pour aller en europe....... Nous allons nous organiser pour dire non à tout cela. Bassolma a raison. Ni lé ya fo pian

  • Le 30 janvier 2017 à 15:58, par Mamon Yélé En réponse à : Bassolma Bazié, secrétaire général de la CGT-B : « Il n’y a pas une volonté politique engagée d’améliorer de façon conséquente les conditions de vie des travailleurs »

    Je ne voulais pas mettre ma bouche dans ce jeu que je connais très bien.
    Mais à la lecture de M. Bassolma il apparaît clairement que l’objectif n’est pas seulement l’amélioration des conditions de vie des travailleurs mais plus. "le contexte sociopolitique du pays ne saurait donner place à une quelconque trêve sociale. Elle reste cependant convaincue que le changement fondamental auquel aspire le peuple ne viendra ni des élections ni d’un putsch mais de la lutte organisée et consciente des masses populaires."
    C’est claire c’est d’option politique hors de la démocratie actuelle qu’à besoin M. Bassolma. Cette musique nous a aussi été chantée par Tolé Sayon jusqu’à son départ pour finir chef de village ; quelle anachronisme ? On vous connait maintenant avec votre révolution, que vous même appelez dictature du prolétariat. La Révolution National Démocratique et Populaire n’est-ce pas ? On te voie en costume cravate, quel prolétaire es tu ? par rapport au niveau de vie de la myriade de pauvres du Burkina Faso.
    Je ne suis pas pour le pouvoir actuel mais ce que vous nous pompez est dépassé partout dans le monde depuis la perestroïka. Le PAN en sait beaucoup plus que vous sur votre système pour y être tombé étant petit.
    Mettons nous la mains dans la mains pour construire ce pays au lieu de continuer à vomir les théories que les autres ont abandonnées. Après 50 ans nous devons être suffisamment adultes pour savoir que la paresse ne construit pas et prôner le travail. Faisons comme les chinois, travaillons d’abord.

  • Le 30 janvier 2017 à 18:56, par veritas En réponse à : Bassolma Bazié, secrétaire général de la CGT-B : « Il n’y a pas une volonté politique engagée d’améliorer de façon conséquente les conditions de vie des travailleurs »

    J’ai peur pour mon burkina. L’egoisme,la mechancete gagne le coeur de bon nombre de burkinabe notamment les fonctionnaires. Voyez vous des gens malgre qu’ils sont les plus nantis de ce pays ils continuent a se plaindre. Arrivera le moment ou la frange paysane et ouvriere va se soulever et faire comprendre a ces fonctionnaires qu’ils sont pas les seuls citoyens de ce pays. Avant un fonctionnaire avait en charge un beau monde maintenant c’est sa femme et ses enfants ; il arrive a oublier sa mere et son pere . mmddrr

  • Le 30 janvier 2017 à 21:34, par nous En réponse à : Bassolma Bazié, secrétaire général de la CGT-B : « Il n’y a pas une volonté politique engagée d’améliorer de façon conséquente les conditions de vie des travailleurs »

    Si c’est ça être syndicaliste, je préfère me battre seul dans la vérité, l’honétété et le patriotisme. Je pensais que l’âge était un indicateur de sagesse. Je remarque tristement que cette loi que je pensais naturelle produit des effets contraires chez certaines personnes. Que fait la CGTB pour amener les travailleurs à être assidus au services ? Que font les responsables syndicaux pour lutter contre le laxisme des agents ? Que font-ils pour cultiver le patriotisme dans la gestion des affaires publiques. Le rôle du syndicat se résume actuellement aux revendication d’augmentation de salaires, des injures envers l’autorité, des menaces de tout genre. Mais, une chose est sûr : plus vous parlez, parlez, parlez...plus personne ne vous écoute parce qu’au finishe personne n’est dupe contrairement à ce que vous croyez. Ceux qui vous écoutent sont plus intelligent que vous.

  • Le 31 janvier 2017 à 16:05, par OCy En réponse à : Bassolma Bazié, secrétaire général de la CGT-B : « Il n’y a pas une volonté politique engagée d’améliorer de façon conséquente les conditions de vie des travailleurs »

    Internaute 23 CHAKARA 1er, Ne citez surtout pas Patrice LUMUMBA pour la cause que vous défendez. Patrice LUMUMBA que vous citez a pensez surtout à son peuple, à l’intérêt général, sinon il n’allait pas subir le martyre qu’il a subit. Fouillez un dictionnaire pour mieux saisir le sens total de « patriote » car s’en est un. Nos luttes ne doivent pas causer des préjudices aux autres parce qu’ils ne sont pas syndiqués ou parce qu’ils n’ont pas nos capacités de revendication. L’argent que l’état utilise pour satisfaire les revendications appartient à toute la nation et non l’argent d’un gouvernement pour ceux qui ont la capacité de lutter, de revendiquer par tous les moyens. Il y a mieux à faire dans ce pays où 40% vivent en dessous du seuil de pauvreté et 70% de pauvres. Renseignez-vous vous devez être dans les 30%, ceux qui ont une vie acceptable ou aisée. Pensez-vous que vous serez satisfait ici-bas à 100% ?

  • Le 1er février 2017 à 12:05, par SYNDICAT En réponse à : Bassolma Bazié, secrétaire général de la CGT-B : « Il n’y a pas une volonté politique engagée d’améliorer de façon conséquente les conditions de vie des travailleurs »

    Que son Excellence Roch Marc Christian KABORE ouvre bien les oreilles et écoute bien ceux qui ont le courage de lui dire la vérité.
    Le message est clair qu’il se donne pour mission de combattre les pilleurs et menteurs, il s’ouvrira les voies de la réussite de son pouvoir
    Mais s’il s’entoure d’hypocrites et autres pilleurs de l’ombre, il aura un reveil douloureux et les mêmes changeront de camp en temps venu comme ils l’ont fait avec Blaise COMPAORE et l’ont abandonner à son propre et seul sort
    Donc cher Roch, lit attentivement les publications de Bassolma et écoute bien ses interventions, analyse les et agit en toute indépendance, de toutes les façons ses consultations ne sont pas payantes à ce que je sache !
    Bon courage mon président !
    Bon courage à Bassolma dans son combat !
    Que ceux qui cherche qu’a succer à l’ombre de Roch laisse la pays évoluer dans le bon sens des critiques objectives : lutter contre le pillage et les détorunements

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