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« Les policiers, gendarmes et militaires n’ont pas besoin de mots qui sapent leur moral », selon le ministre Simon Compaoré

Publié le lundi 17 octobre 2016 à 23h53min

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« Les policiers, gendarmes et militaires n’ont pas besoin de mots qui sapent leur moral », selon le ministre Simon Compaoré

Après les événements sur le pont Nazinon et la récente attaque d’Intagom revendiquée par l’organisation Etat islamique, le ministre en charge de la sécurité intérieure, Simon Compaoré, a rencontré ses « généraux » de la police nationale dans la soirée du lundi 17 octobre 2016. Objectif : faire le point sur ces récents événements et réconforter les troupes dans leurs missions.

Une heure. C’est le temps qu’a duré cette rencontre à huis clos entre Simon Compaoré et les contrôleurs généraux, les directeurs régionaux et provinciaux de la police nationale. A en croire le ministre en charge de la sécurité intérieure, cette rencontre qui fait suite à celle avec les unités d’intervention de l’institution, la veille, avait pour but de faire le point des récents événements qu’a connus le Burkina Faso sur le plan sécuritaire. La fusillade sur le pont Nazinon et l’attaque d’Intagom.

« Encourager » les forces de défense et de sécurité

Selon Simon Compaoré, les policiers ne doivent pas se contenter de ce qu’ils entendent ou lisent dans les médias. Cette rencontre a donc été l’occasion de leur donner les bonnes informations et de les galvaniser tout en leur demandant de prendre toutes les précautions sécuritaires pour ne pas se faire surprendre. Conscient que la tâche n’est pas aisée, le ministre a appelé les Burkinabè à éviter la critique facile et à encourager les policiers, gendarmes et militaires qui travaillent, selon lui, dans des conditions extrêmement difficiles. « J’ai été sur le terrain et je ne peux pas parler comme si j’étais un enfant de Ouagadougou qui ne connait pas les réalités. J’ai été aux confins du pays et j’ai vu les conditions dans lesquelles ils travaillent. Le climat y est très sévère, rigoureux. Ils doivent se nourrir, se reposer un peu, et ils n’ont pas besoin de mots qui sapent leur moral mais des mots qui requinquent leur moral », a lancé Simon Compaoré.

« Avez-vous le contrôle de la situation » ?

« Je ne réponds pas à cette question. Si nous ne sommes pas à mesure d’organiser nos hommes, de leur dire ce qu’il faut faire, qu’est-ce que vous ferez encore au niveau du ministère ? (…) Si c’est pour savoir si on a la certitude que plus jamais le Burkina ne sera attaqué, on peut dire que c’est de la provocation que vous faites (Sourires !) Même ceux qui sont hyper équipés, subissent des attaques tous les jours. Seulement nous disons à nos hommes que l’ennemi peut taper n’importe quand et n’importe où. Même en mangeant, il faut avoir son fusil en bandoulière. Pareil quand on va au petit coin. Sinon on peut vous surprendre et vous faire mal », a déclaré Simon Compaoré.

Le moral des troupes ?

A en croire le ministre en charge de la sécurité intérieure, les policiers ont le moral au plus haut niveau. « Ils ont été formés pour cela et sont conscients que le peuple attend beaucoup d’eux. Ils ne débandent pas. Ils bandent leurs muscles. La conviction qu’ils ont est qu’en rangs serrés, on peut bouter le terrorisme et les putschistes hors de notre zone », a-t-il fait savoir. Conscient que la sécurité est un travail collectif, le ministre a insisté auprès de ses hommes pour une étroite collaboration avec les populations. « Nous faisons face à un ennemi qui n’a pas de règle et qui nous livre une guerre asymétrique. Même si on donne les chars les plus perfectionnés, ils ne seront qu’un amas de ferrailles sans l’homme, sans la contribution des populations ».

Le directeur régional de la police nationale du Sahel, Daniel Zoungrana, a confié que les Burkinabè n’ont pas de répondant immédiat de l’autre côté de la frontière malienne. Ce qui rend souvent difficile le partage des informations, selon lui. Pour l’instant, il a indiqué que ses hommes ont reçu le minimum en armes pour assurer la sécurité des populations. « C’est déjà un grand pas », s’est-il réjoui.

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Vos commentaires

  • Le 17 octobre 2016 à 23:41, par Cequejenpense En réponse à : « Les policiers, gendarmes et militaires n’ont pas besoin de mots qui sapent leur moral », selon le ministre Simon Compaoré

    Decidement ce pays est dans une vraie galere. Personne ne sape le moral des FDS. Au contraire c’est le langage du ministre Simon meme (plat plat et emprunt d’humour) qui laisse croire qu’il ne mesure pas la gravite de la situation. Je n’ai jamais vu pareil ministre de la securite. Cette situation decourage les hommes. Et si ca continue, ils prefereront se sauver que de se "suicider" pour la patrie qui ne les aide pas a la proteger. On a vu au Mali les militaires dans la debandade... Le courage et le patriotisme seuls ne suffisent pas face a un ennemi equipe et determine.

    Simon doit demissionner. Je ne sais pas ce que le CFOP attend pour exiger cela. Nous sommes dans une situation ou on a besoin d’un ministre fin stratege en securite et defense. Un ministre qui sait contribuer avec des propositions claires dans un debat de la hierarchie militaire sur la securisation du pays. Non seulement on a un ministre de la securite incapable et trop gourmand avec un ministere fourre-tout, mais aussi un ministre de la defense absent (par ce cumul de President-Ministre). Comment voulez vous que la hierarchie militaire puisse coordonner et etre efficace dans ces conditions ?

    Depuis l’attaque de Capuchino j’ai cru comprendre que nous sommes en guerre contre les terroristes. Nada ! A part les controles multiples instaures sur nos routes.

    L’ennemi vient nous frapper chez nous. Allons le frapper la ou il est puisque tu (Simon) pretendait qu’ils sont "dans un coin au Mali".
    A quoi nous servent toutes ces casernes a Ouagadougou alors que nos frontieres ne sont pas securisees ?
    A quoi nous servent ces militaires entasses a Ouagadougou a faire le tour des maquis, a garder le sommeil de quelques autorites privilegies, a aggresser des civiles dans les bars et dans les rues, etc alors meme qu’il a fallu la venue des jeunes officiers et leurs troupes de Bobo, Koudougou, Dedougou, Kaya pour sauver la capitale des mains des putchistes ?

    • Le 18 octobre 2016 à 14:00, par kapriss En réponse à : « Les policiers, gendarmes et militaires n’ont pas besoin de mots qui sapent leur moral », selon le ministre Simon Compaoré

      Bien dit, mon frère. Mais ce que tu oublies c’est que Simon n’occupe pas ce poste pour le travail, non. Ce poste c’est sa récompense. Le travail il l’a fait en battant campagne pour Roch. Seulement il faut que Mr le Ministre comprenne que la gestion de la sécurité nationale n’est pas la gestion de la salubrité de la ville de Ouagadougou ; et envoyer les fils de la patrie affronter l’ennemi dont il parle, n’est pas envoyer les femmes affronter les rues de Ouaga avec des balais et des pelles. Il doit réviser la leçon qu’ils ont donnée à Blaise Compaoré. Blaise s’est entêté pour rester président, ils l’ont fait partir ; s’il s’entête à rester ministre, ...

    • Le 18 octobre 2016 à 17:13, par KOTI En réponse à : « Les policiers, gendarmes et militaires n’ont pas besoin de mots qui sapent leur moral », selon le ministre Simon Compaoré

      Hé burkinabè ! Comment pouvez vous être aussi légers dans vos analyses ? Tout le temps c’est "un tel est icncompétent" , "tel autre doit démissionner". Regardez vous vous même parfois et osez affirmer que vous êtes compétent, vous êtes la perfection. Vous n’êtes sûrement pas plus malins que ces gens qui prennent les décisions. Soyez plus modestes. Donc toi tu penses que c’est facile, on sait où sont les terroristes et on les laisse faire. Le burkina n’est pas seul en lutte dans le sahel. Il y’a le Mali, le Niger et même des élément des forces fraçaises et américaines avec des contacts avec les satellites et sûrement des drones. Donc tout ces gens sont des "incompétents" ? Si on pouvait sortir chacun de derrière sa machine pour voir qui il est, on serait surpris de la médiocrité de certains. je m’excuse mais les gens sont quand même légers. Des pays avec des moyens mille fois supérieurs à nous ne s’en sortent pas avec ces gens. Arrêtez de décourager ceux qui ne dorment pas à cause de ces terroristes pendant que vous vous buvez votre bière.

    • Le 18 octobre 2016 à 17:17, par ngoonga En réponse à : « Les policiers, gendarmes et militaires n’ont pas besoin de mots qui sapent leur moral », selon le ministre Simon Compaoré

      Pourquoi voulez vous que SIMON démissionne ? La sécurité est un poste stratégique qui n’échoit pas à n’importe qui.Il faut avant tout la confiance. Vous avez vu sur la transition.....

      Vigilance ROCK.

  • Le 18 octobre 2016 à 03:23, par Le prévoyant ! En réponse à : « Les policiers, gendarmes et militaires n’ont pas besoin de mots qui sapent leur moral », selon le ministre Simon Compaoré

    Simon est devenu le "DOMBA KONATE " du régime. EN rappelle DOMBA KONATE cest ce ministre qui a été la cause de la chute du régime de Sangoule Lamizana dans les années 80.

    Mr Simon Compaoré, LES moyens de nos forces de sécurité ne sont pas à la hauteur de leur mission cest tout. Maintenant c’est le maçon au pieds du mur. Le travail la vous dépasse.

  • Le 18 octobre 2016 à 06:19, par demessin En réponse à : « Les policiers, gendarmes et militaires n’ont pas besoin de mots qui sapent leur moral », selon le ministre Simon Compaoré

    Un seul conseil monsieur le ministre. Laissez votre place à un technicien en la matière. Dites, quand vous êtes maladie, consultez vous un médecin ou un boulanger ?

  • Le 18 octobre 2016 à 07:31, par El_monstro En réponse à : « Les policiers, gendarmes et militaires n’ont pas besoin de mots qui sapent leur moral », selon le ministre Simon Compaoré

    On commence sérieusement à douter de la bonne gestion des hommes. Donc de la qualité de ceux qui dirigent. Je le dis et le répète nous n’avons que 274 000 m² par rapport au Mali et au Niger qui eux disposent du plus de 1 millions km² chacun. Je pense qu’une bonne stratégie pourrait permettre de mieux quadriller ce petit territoire (ici c’est un avantage). Mais là, on ne comprend plus rien. On ne pourra jamais empêcher les attaques, mais les ripostes seront elles que ces djiadistes ne répartiront pas vivants ne parlons pas avec notre équipement. Ils pourront se contenter des attentats genre Cappucino, pas plus. Regarder du côté Algerie... Massacre à volonté dès qu’il y a attaque terrestre.....

  • Le 18 octobre 2016 à 07:46, par Etienne Arthur Kafando En réponse à : « Les policiers, gendarmes et militaires n’ont pas besoin de mots qui sapent leur moral », selon le ministre Simon Compaoré

    Je pense que le ministre Simon parle trop et met souvent les forces de sécurité en péril par ses déclarations. En terme de sécurité on ne dit pas tout, surtout si une mission est en route pour des opérations de sécurisation ou de ratissage. Pourquoi parle-t-on de la "Grande muette" pour les militaires. Il y a aussi nos journalistes en disent souvent trop sur ce qui doit être gardé secret.

  • Le 18 octobre 2016 à 07:48, par Cheick Omar En réponse à : « Les policiers, gendarmes et militaires n’ont pas besoin de mots qui sapent leur moral », selon le ministre Simon Compaoré

    Je pense que depuis le début des attaques terroristes, le peuple burkinabè est toujours resté aux côtés des forces de défense et de sécurité. Les Burkinabè ont toujours été témoins des actes de bravoure de nos FDS qui sont réputés être parmi les meilleurs de la sous-région. Que ce soit en matière de formation ou opérationnelle, les FDS n’ont jamais manqué du soutien de leurs compatriotes. Des FDS dont plusieurs élément ont payé le sacrifice suprême dans leur engagement à assurer la sécurité du pays et ses habitants.
    Mais l’arbre de l’engagement et du sacrifice ne doit pas cacher la forêt des difficultés qui minent l’action de nos FDS pour assurer notre sécurité. Monsieur le ministre, qu’est-ce qui est fait pour permettre aux FDS d’être plus performantes ? Disposent-elles des effectifs et de la logistique nécessaire pour’ accomplir au mieux leurs mission ? Le Burkinabè ont assez des déclarations des hommes politiques après les attaques terroristes. Toujours les mêmes refrains alors que sur le terrain, aucune action concrète n’est engagée pour permettre à nos FDS d’être dans de bonnes dispositions pour affronter des gens sans foi ni loi qui ne cherchent qu’à semer la mort.
    Monsieur le ministre de la sécurité, ceux qui sapent le morale de nos FDS, c’est ceux qui font des déclarations malheureuses, déplacées ou inopportuns au lieu de répondre aux sollicitations de nos FDS pour mieux agir contre les terroristes. Ce n’est pas le peuple Burkinabè qui, dans leurs déclarations, sapent le morale de nos FDS, mais ceux depuis qu’ils sont à la tête du département de la sécurité ont démontré leur incapacité à insuffler une nouvelle dynamique, notamment par des actes concrets et non des discours creux. Décidément, certains portent des tuniques trop grands pour ceux au ministère en charge de notre sécurité.

  • Le 18 octobre 2016 à 08:00, par Le combattant En réponse à : « Les policiers, gendarmes et militaires n’ont pas besoin de mots qui sapent leur moral », selon le ministre Simon Compaoré

    Je ne sais pas comment des gens aussi respectables que les premiers responsables de notre armée nationnale arrivent à parler avec un pyromane comme simon.
    Respecter vous les gares ça sert à rein de faire semblant pour des parvenus comme simon s’illustre dans l’histoire de ce beau pays.
    Ils ne faudrait que vous aussi ayez à vous expliquer d’ici là pour des choses que vous n’avez pas voulut cautionner.
    Méfier vous de celui par qui le BURKINA va achever son insurrection.

  • Le 18 octobre 2016 à 08:19, par Kôrô Yamyélé En réponse à : « Les policiers, gendarmes et militaires n’ont pas besoin de mots qui sapent leur moral », selon le ministre Simon Compaoré

    - Mon ami Simon, et pour ta gouverne toi aussi, ’’les populations n’ont pas besoin de mots d’orgueil qui sapent leur moral’’. OK ?

    Par Kôrô Yamyélé

  • Le 18 octobre 2016 à 08:26, par bouba En réponse à : « Les policiers, gendarmes et militaires n’ont pas besoin de mots qui sapent leur moral », selon le ministre Simon Compaoré

    Nous n’avons rien contre les policiers, gendarmes et militaires. C’est vous-même le problème. Vous n’êtes pas à la hauteur. On ne gère pas la sécurité comme on gère un yaar. C’est vous-même et le gouvernement mouta-mouta qui baissez le moral de la troupe depuis votre arrivée avec votre système de gouvernement de copains-coquins,beau-frère, amis, etc. Vous vous accaparez de gros porte-feuilles défense, administration, sécurité, etc. Sans oublié le Président de l’assemblée nationale qui s’accapare en arrière-scène presque tous les porte-feuilles, Que ce soit Rock, Simon ou Salif, chacun d’ente vous est diminué de 50% de ses capacités. C’est la loi de la nature et on le voit physiquement non seulement à cause de vos antécédents mais aussi à cause de l’âge (les neurones sont des cellules qui se régénèrent pas). La situation actuelle appelle compétences et professionnalisme. Confiez la défense et la sécurité à des professionnels militaires, gendarmes ou policiers. O n’a pas besoin de politiciens à ces postes.

    • Le 18 octobre 2016 à 12:18, par Zangoté En réponse à : « Les policiers, gendarmes et militaires n’ont pas besoin de mots qui sapent leur moral », selon le ministre Simon Compaoré

      Cher Bouba ! Je vois que tu es très en colère par rapport à ce qui se passe et tu as tout à fait raison. Simon doit reconnaître qu’il est trop chargé pour gérer à lui seul 3 ministères. C’est une question d’efficacité et non de personnes comme les gens du MPP le prennent. Dans un environnement sécuritaire trop précaire, il faut un ministre de la sécurité, un ministre de l’intérieur et un ministre de l’administration et des collectivités territoriales. Chaque ministre, gère à fonds et répond pleinement des actes qui émanent de son ministère. Après tout c’est une question de responsabilité. Malheureusement, les RSS tardent à comprendre cela et c’est justement cette lourdeur et cette lenteur mises à comprendre qui nous ont valu d’être attaqués un 15 janvier 2016.
      Cela dit je ne suis pas d’accord avec Bouba qui pense qu’il faut un militaire ou un agent de sécurité à la tête du ministère. Ce serait même une grave erreur si cela devait arriver. Regardez partout dans le monde et vous verrez que dans les pays démocrates, sur 10 ministres de la sécurité, vous n’en trouverez pas 2 qui soient militaires ou para militaire.

  • Le 18 octobre 2016 à 11:50, par Éric En réponse à : « Les policiers, gendarmes et militaires n’ont pas besoin de mots qui sapent leur moral », selon le ministre Simon Compaoré

    Toi Simon petit bout d’homme vilain tu ferais mieux de te taire nous avons le droit de dire ce que nous pensions sur de la situation National en tant que burkinabe

  • Le 18 octobre 2016 à 12:34, par Nansamda En réponse à : « Les policiers, gendarmes et militaires n’ont pas besoin de mots qui sapent leur moral », selon le ministre Simon Compaoré

    Bonjour,
    S’il vous plait, la gouvernance c’est un système où un ministre ne peut agir à sa tête.
    Même si c’est un général qui est à la tête du ministère de la sécurité, tant que le système ne le permettra pas il ne va rien pouvoir faire. Parce qu’il aura besoin de décisions, de moyens et d’hommes pour agir. Pourtant tout dépendra de son chef le premier ministre qui lui aussi agit au nom du président. Là encore, il faut que Salif Diallo et ses collègues leur donne la permission.

  • Le 18 octobre 2016 à 14:59, par quelqun En réponse à : « Les policiers, gendarmes et militaires n’ont pas besoin de mots qui sapent leur moral », selon le ministre Simon Compaoré

    Je pense que les internautes précédents ont tout dit.
    Simon il n’y a pas de honte à laisser sa place à plus méritant si c’est pour la l’intérêt de la nation.
    Il faut être un vrai patriote. A cette allure c’est le Président qui sera jugé responsable de la destruction du pays. Qd c’est pour empêcher les défilés vous êtes bien renseigné et vous avez le temps pour le médiatiser. Qd c’est pour protéger l’intérêt général on vous voit pas.
    Vous avez laissé des amateurs gérer la transition et nous n’avons pas finis de récolter les pots cassés et voila que maintenant c’est votre orgueil qui va nous terminer ici.
    Vous pensez que nous sommes mieux que le Mali avec une armée plus divisée que jamais.

  • Le 18 octobre 2016 à 21:01, par yaasida En réponse à : « Les policiers, gendarmes et militaires n’ont pas besoin de mots qui sapent leur moral », selon le ministre Simon Compaoré

    Vraiment, l’orgueil demesure de simon va nous tuer tous.
    Avec ce culmul de poste, tu as certainement chaque jour que Dieu fait tu as des cas a gerer ce qui veut dire que es surchargé ; et tu comptes etre efficace avec tout ca. quand meme sois realiste. Autrement ton entetement pourrait couter la vie a votre regime tout entier. A bon entendeur SALUT !

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