Municipales du 22 mai 2016 : Les Gaoualais attendent beaucoup du futur maire
Dans quelques jours, le peuple burkinabè ira aux urnes pour le choix des conseillers municipaux qui choisiront à leur tour les maires des différentes communes du Burkina Faso. Alors que la campagne électorale se poursuit, les Gaoualais espèrent que le nouveau maire travaillera dans l’intérêt du peuple. Lisez plutôt !
Coulibaly Mamadou, orpailleur
Je souhaite que le maire qui sera élu soit dynamique et conscient des défis à relever pour le développement de la commune de Gaoua. Gaoua est très en retard dans tous les domaines. Il faut que le futur maire soit ouvert, il y a des gens une fois à la mairie, ils refusent de recevoir les citoyens qui veulent les rencontrer, donc nous n’avons pas besoin de maire inaccessible à Gaoua.
Traoré Fatou, élève maitre à l’ENEP de Gaoua
Je veux que le prochain maire fasse son travail. Je lui demande particulièrement d’user de ses relations s’il en dispose, pour le bitumage de la route qui mène à l’ENEP de Gaoua. Un défi majeur à relever, c’est de voir la question de la circulation. Si la mairie peut durcir la législation, cela éviterait beaucoup d’accidents routiers car l’incivisme gagne du terrain.
Bationo Paul, élève en classe de Tle D
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Matthieu Dalou Da, Correspondant à Gaoua
Lefaso.net
Vos commentaires
1. Le 19 mai 2016 à 19:08, par M’passake Yé En réponse à : Elections du 22 Mai Prochain : Les Gaoualais attendent beaucoup du futur maire
Le futur maire ne fera de votre ville que ce que vous voulez que votre ville soit. Aujourd’hui on parle de gestion participative de la commune. Les jeunes doivent s’impliquer énormément car le développement et votre avenir en dépend. Vous devez pas laisser le maire seul tracer votre avenir. Impliquez-vous en vue de lever le défi de l’organisation du 11 décembre prochain en 2017.Faites des travaux d’intérêts communs, organisez-vous pour nettoyer la ville afin d’avoir une ville très propre et agréable à vivre. Faites en sorte que les travaux d’intérêts communs reviennent dans le quotidien des Burkinabè.