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Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

Publié le vendredi 28 août 2015 à 02h31min

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 Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

L’Epée de Damoclès que certains compatriotes brandissaient et menaçaient de faire tomber sur la tête de certains des leurs pour des motifs dont la légèreté a été unanimement reconnue, est donc finalement tombée et de façon violente ce mardi 25 aout 2015. Le tranchant de sa lame a scellé d’une simple signature le sort de 42 candidats qui catalysent les espoirs de milliers de personnes. Voilà comment d’une simple décision, l’exclusion est entérinée avec cette mesure déclarant « inéligibles, quarante deux candidats appartenant aux partis CDP, ADF-RDA, NAFA, NTD, UPR et UBN ».

Au delà de toute considération partisane, il est indéniable que le rejet de ces dossiers de candidature n’est pas de nature à soigner la fracture sociale observée ces dernières années au Burkina Faso à cause d’intérêts politiques divergents. L’insurrection d’octobre 2014 est venue en rajouter à la dissension entre les frères et sœurs d’une même patrie. Sans verser de nouveau dans la polémique liée à cet épisode de l’histoire de notre pays, il paraît important de rappeler qu’une Nation se construit dans la cohésion avec la contribution de tous ses enfants. En exclure certains sur la base de leurs actes antérieurs peut paraitre de ce point de vue dangereux dans le sens où les mêmes causes peuvent irrémédiablement produire les effets similaires.

La décision du Conseil constitutionnel qui rame à contre courant de la décision de la Cour de justice de la CEDEAO est porteuse de germes de tensions. L’engagement du Président du Faso à respecter la décision de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest apparait de ce fait comme un grossier montage pour gagner du temps. Et si ces promesses n’ont pas été ténues, il est logique de craindre que l’on assistera en octobre 2015 plus à une transmission de pouvoir qu’à un scrutin transparent, libre, équitable et inclusif. Le caractère sélectif de cette mise à l’écart est un facteur propice à l’exacerbation des frustrations. Loin de nous l’idée de cautionner des propos belliqueux entendus et tendant à brandir l’apocalypse sur le pays en cas d’invalidation de certaines candidatures. Mais l’acte du Conseil Constitutionnel a une connotation aux forts relents politiques.

Quel sort pour les « nouveaux opposants » ?
Ceux qui se prévalent aujourd’hui de l’opposition sont-ils plus valeureux que ceux que le Conseil a choisi délibérément d’écarter pour satisfaire une soi-disant volonté populaire. Les leaders qui ont affirmé s’être acheté une nouvelle virginité politique sont aussi comptables des problèmes du pays qu’ils dénoncent présentement et pour lesquels ils prétendent apporter d’un tour de main des solutions miraculeuses. Permettez-nous d’en douter. Si l’on veut arguer de la tentative de modification de la Loi Fondamentale du BF pour dit-on assouvir les intérêts d’un clan, la logique voudrait que l’on remonte aussi en 2009 où « les nouveaux opposants » soutenaient bec et ongle le projet de modification. Ceux qui critiquaient avec véhémence le régime sont les mêmes qui aujourd’hui se conduisent en dictateurs et profiteurs de la transition. Qu’on nous épargne alors les leçons de patriotisme et de sacrifice pour le bien commun. « Plus rien ne sera comme avant ? » Mais ce qui se fait est pire qu’avant. Nul n’a le monopole du patriotisme. Il n’y a pas non plus de Burkinabè de seconde zone.

Le Collectif de la diaspora de France ne s’érige pas en défenseur des partisans d’un camp contre un autre. Seulement les espoirs que les leaders politiques - aujourd’hui exclus - catalysent ne sont pas anodins. La forte mobilisation des foules constatées lors de leurs rassemblements post insurrection est l’un des indices valables pour dire que malgré le contexte nouveau, ces acteurs politiques représentent une frange non négligeable des populations avec qui il importe de compter. En définitive, ce genre de décision n’est pas de nature à favoriser une participation massive aux élections à venir. Les chiffres de la CENI sont assez éloquents sur l’intérêt que les citoyens accordent régulièrement aux votes au BF.

De ce fait, nous sommes en droit aujourd’hui de nous demander si la Transition roule vraiment pour les laborieuses populations qui ont toutes droit de cité dans le processus de développement du pays. Après avoir acté le non vote des compatriotes de l’étranger, déchainé la machine répressive contre ceux accusés d’avoir enfoncé le pays dans sa situation actuelle, l’exclusion de la quarantaine de dossiers de candidatures vient donc renforcer encore l’idée que le BF appartient uniquement à une catégorie de citoyens. C’est pourquoi, le Collectif tient par cette déclaration à partager ses inquiétudes sur les risques que les acteurs de la transition font peser sur la stabilité du pays. Il invite les autorités actuelles à prendre suffisamment de recul dans leurs prises de position, car elles ont fait le vœu de reconstruire un Etat nouveau où les erreurs du passé serviront de gouvernail aux actes futurs.

Burkina Faso, même pays, même patrie !

La Coordination

Ismail KABORE

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Vos commentaires

  • Le 28 août 2015 à 02:49, par Yénougnia En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    Vous êtes plutôt "le collectif front républicain de la diaspora". Votre analyse est loin d’être neutre et objective. C’est dommage pour des gens qui vivent dans des pays à forte tradition démocratique comme la France de soutenir l’impunité et la trahison du peuple. Vous seriez plus patriotes de nous envoyer quelques euros pour l’organisation des élections.

  • Le 28 août 2015 à 03:21, par le Peuple debout En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    ISMAEL ce sont les mêmes arguments qui nous ont été servi pour encadrer l’entêtement bovins de ces tripatouilleur constitutionnels depuis 2013. Vous nous aviez dit que sans referendum et sans Blaise il n’y aura pas de paix . Le peuple a bravement fait respecter sa constitution du 28 au 30 octobre 2014 non sans obstacle car comme prévu des mercenaires à la soldes du régime ont fait perdre la vie à plus de 30 valeureux fils de notre pays. SVP cessez vos raisonnement d’humeur . Que n’a t on pas fait pacifiquement pour dissuader ces gens là ? Est ce que si le CDP avait accepté conformément à la volonté du peuple de retirer d’annuler sa volonté de modifier la constitution on allions arrivé à l’insurrection qui a endeuillée des familles ? Rappelez vous aussi que le juge Nebié a été assassiné pour la cause . Avez vous penser à toutes ces familles endeuillées. Auriez vous ce raisonnement si une des victimes était de votre famille ? Si ces gens là aiment leur pays , ils doivent se faire remplacer pour cinq ans au moins par honnêteté morale.
    Je précise aussi que le conseil constitutionnel ne fabrique pas de lois . Les tests sur lesquels vous fondez vos arguments ce sont les mêmes tests qui ont motivé la décision des sages . Alors un peu de respect pour nos martyrs ne vous fera pas du mal . La loi est dure mais c’est la loi . Et tout républicain honnête devrait aller dans le sens d’encourager l’acceptation de la décision des juges constitutionnels qui est d’ailleurs sans recours au lieu de semer les germes de la discorde. Nous on avance au Faso. Vous allez voir comment le climat politique , économique et social sera sain à votre retour de bengue. Sans rancune/ Que Dieu bénisse le Faso notre Patrie à tous.

  • Le 28 août 2015 à 05:32, par nato En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    Le collectif dit de la diaspora est une coquille vide survivant grâce au CDP. Ismail Kabore ne représente que lui même depuis que son parti s’est vidé de ses militants. Il faut arrêter de parler pour toi au nom d’un collectif fictif.

  • Le 28 août 2015 à 06:17, par wendenmis En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    C’est juste le droit qui a été dit. Vous conviendrai avec moi qu’un pays ne peut se construire en foulant ses propres lois au pied. Les personnes qui ont été exclues sont les acteurs de la modification avortée de notre constitution. Prochainement renseignez vous ; les injonctions de la CEDEAO à mon sens n’ont pas été contredites.

  • Le 28 août 2015 à 06:18, par Jagger En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    Ismail KABORE et Collectif de la diasporation de France ca fait 2. Arretez cette comedie Mr Ismail.

  • Le 28 août 2015 à 06:36, par Tienfola En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    Mr kabore, la sagesse aurait voulu que vous attendiez le dernier délai des traitements de recours au près du conseil constitutionnel avant de donner votre avis de façon objective. Voilà maintenant que certains candidats du l autre burkina, du mpp et de l upc sont frappés d inéligibilité. Ces partis ont la possibilité de remplacer les candidats recalés. Cela est une aubaine à la jeunesse qui aura sa chance au cas où il y a remplacement des inéligibles. Vive la paix ! Vive la cohésion sociale ! A bas l ingratitude de certaines personnes qui mettent leur famille à l abri et poussent la jeunesse désoeuvrée dans la rue pour des intérêts personnels.

  • Le 28 août 2015 à 06:44, par bobotchè En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    drôle de coordination avec un écrit signé par une personne ignoble qui ne dit pas s’il est le coordinateur mais qu’il sache qu’il rêvé toujours mais son sommeil se prolongera à l’infini.dit à mon parent qui se dit responsable CDP à la mobilisation en France qu’il n’a qu’à se ressaisir à temps sinon.....................

  • Le 28 août 2015 à 07:33, par Sostene En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    Je vis en france et j avoue que cette déclaration est objective. Je soutien leur démarche . L exclusion peut conduire a une situation incontrôlable. De grace pensez aux peuples.

  • Le 28 août 2015 à 07:38, par DROSO En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    mon ami la fracture sociale n’est pas dû à la transition mais aux mêmes personnes qui sont exclues aujourd’hui. merci d’avoir une analyse objective des choses à moins que ce soit le CDP qui a financé tes études en France

  • Le 28 août 2015 à 07:45, par Gilbert En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    Je suis journaliste résident en Italie . Même du collectif j aimerai inviter les internautes a aller au delà de la passion et pensez aux peuples . Je soutien le collectif dans sa démarche. En tout cas il aura prévenu .

  • Le 28 août 2015 à 07:50, par Mysterious En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    Hum. Assez interressant votre analyse. Mais n’ya t-il pas des jeunes dans ce méga parti pour remplacer ces candidats exclus qui ont au minimum deux mandats a leur actif ? C’est l’occasion pour eux de lancer les jeunes et ainsi montrer aux yeux du monde qu’ils ont rompu avec l’ancien système : toujours les mêmes qui sont candidats. Ils seraient des grands hommes qu’ils feront comme Me OUEDRAOGO que tout le monde commence à apprécier.
    Arrêter vos reflexions partisanes par ce que trop subjectives.
    Cordialement !!!!

  • Le 28 août 2015 à 07:53, par Dao En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    Peuples du Burkina ,réveillez vous avant qu’il ne soit tard. Le moment est venu de vous exprimer. Votre combat , l insurrection est prise en otage . Indignez - vous , mais faites le dans les regles de l art. C est ce qui vous diffère des autres. Tout est conçu pour que le MPP passe au pouvoir. J en suis pas contre, mais de grace donnons l opportunité aux peuples d en décider. Sinon vous ferez pire que BLaise qui n a exclu personne en 27 ans de pouvoir.

  • Le 28 août 2015 à 07:59 En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    C’est qui ce Ismail Kaboré et depuis quand existe ce Collectif ; il faut parler en ton nombre et non au des Burkinabè de France ; je vis en France depuis des années, mais je n’ai jamais entendu de la création d’un Collectif. C’est ridcule

  • Le 28 août 2015 à 08:01 En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    Merci pour l écrit nous sommes j ai été contre la modification de l article 37 mais la il faut arrêter et laisser le peuple burkinabe choisir.

  • Le 28 août 2015 à 08:03 En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    On ne commet pas une injustice pour reparer une autre mais la transition seras responsable de cequi va arriver au Burkina .

  • Le 28 août 2015 à 08:05, par delclo En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    Mon cher Ismaïl, rien ne se passera au Burkina car Dieu nous aime. C’est justement à travers ce genre d’écrit que vous mettez le feu au pays. Et en plus, je suis sûr que tes propos ne rencontrent pas l’assentiment de la moitié de tes membres. Fais un sondage et tu comprendras.

  • Le 28 août 2015 à 08:08, par Kader En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    J ai assisté a la dernière rencontre du collectif qui a concouru a cette déclaration. J ai apprécié le ton avec lequel le débat a été mené. Et vu la composition du bureau et les idées véhiculées j en suis arrivé a la conclusion que l esprit démocratique n est pas impossible dans une structure. Je précise que je suis du MPP. J ai cru que je serai mal reçu mais j en suis ressorti satisfait de ses échanges. J ai même pris la parole pour donner mon point de vus. Même si on est pas sur la même longueur d onde sur certains points je reconnais le mérite de votre structure.

  • Le 28 août 2015 à 08:17, par Manu En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    Sachez lire le rendu de la CEDEAO. Ne vous laissez pas endoctriner par la propagande politicienne, les interprétations volontairement tronquées de ces vendeurs d’illusions (si vous êtes vous-même convaincus de vos analyses).

    Il n’y a eut d’exclusions, il y a plutôt eut sanctions des tripatouilleurs de constitution. Il y aurait exclusion si le Conseil constitutionnel n’avait tenu compte de la décision de la CEDEAO en excluant massivement et l’aveuglette toute personne ayant soutenu la modification de l’article 37 donc le maintien à vie (après 30 ans) de pouvoir de votre champion. Là, il y a fautes commises (signature, appels au soutien de la modification tout en sachant que cela était en contradiction avec toutes les promesses et tous les efforts du collège des sages depuis l’assassinat de Norbert Zongo...), Le Conseil constitutionnel est donc en phase avec les Burkinabè soucieux de l’avenir et la cohésion. En France après les deux guerres mondiales et en Tunisie après le printemps arabe (pour ne citer que ces cas) les parties politiques ont été simplement dissouts et fautifs ont été jetés en prisons. On n’aurait dû faire de même au Burkina juste après les la forfaitures des irresponsables qui ne cherchent qu’à sucer le peuple et vivre au dépens des deniers public. Et, c’est ce laxisme qu’on peut reprocher à la Transition.

    Tout État qui se respecte et qui soucieux de l’avenir de son peuple doit forcement sanctionner ce genre d’aventure. Le CONTRAITRE SERAIT DE L’IMPUNITE. Et, vous serez encore les premiers à critiquer et à y avoir de la magouille. Soyons sérieux : où étiez-vous (et votre collectif) quand pendant 27 ans, d’autres Burkinabè étaient définitivement exclus de toute forme de "scrutin" ?

    Pour une fois que le droit est dit, respectons-le.

  • Le 28 août 2015 à 08:20, par Rocky En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    Quitter là-bas oui !Bandes d’apatrides.Vous savez comment le CDP mobilise ?:avec l’argent, eh oui ! Pour votre gouverne, ils remplissent d’essence les reversoirs de soi-disant militants de quelques heures, plus un billet de 1000f ou de 2000f et le tour est joué. Vous êtes totalement déconnecté des réalités du pays, donc arrêtez de jouer à l’avocat du diable.

  • Le 28 août 2015 à 08:24 En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    C’est ton écrit qui sème les graines de la tension ; En France où votre prétendu collectif de diaspora réside pensez-vous que des individus ou partis politiques peuvent défendre impunément la levée de la limitation des mandats présidentiels ? C’est la moralisation de notre vie politique qui commence dans notre pays ; Pour le reste c’est le prix à payer pour que de telles ne passent plus dans nos esprits ;

  • Le 28 août 2015 à 08:36 En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    Merci l injustice est le lit de toute les guerres et le Burkina avec son conseil constitutionnel nous amène droit dans le mur

  • Le 28 août 2015 à 08:37, par CheVoix En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    les fantoches !!!!!!!, laisser la justice s’exprimée librement

  • Le 28 août 2015 à 08:40, par beonere En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    Vous avez fait un beau discours mais on comprend que vous êtes déconnecté des réalités du pays. Je ne doute pas de votre honnêteté mais sachez que même dans les pays démocratiques comme la France ( pour ne pas dire colonialiste), ceux qui traînent des casseroles n’ont pas leur place en politique. Par décence, ils se cachent pour éviter de se salir davantage. On peut plus permettre à des voleurs et bandits à col blanc de gouverner ce pays. Ils ne sont pas encore au bout de leur peine, ils devront répondre de la gestion calamiteuse du pays pendant 27 ans et restituer les biens mal acquis au peuple...

  • Le 28 août 2015 à 08:45, par socrate En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    Allez-y vous faire foutre, bandes d’achetés. Qu’est-ce que vous connaissez en matière de réalité du pays. Démocratie, démocratie,quittez la bas oui. Façon on vous a payé pour déclarer ça la, c’est comme ça ils rentrent dans les campagnes pour payer les jeunes et chefs coutumiers pour venir remplir les stades lors des meeting et vous les soit disant de l’étranger, vous croyez sans réfléchir. Quand Blaise était ici, vous pouvez dire qu’aucune institution n’a déjà eu à intervenir sous son poids ? Mais est-ce que vous avez déjà dénoncé quoi que ce soit ?. Aujourd’hui au moins vous avez la liberté de vous exprimez.Vous parlez d’insurgés, étiez vous dans la rue avec les gens au moment des faits ? Si vous aimez tant le BF, revenez alors au pays. INGRATS.

  • Le 28 août 2015 à 08:46, par Dieudonné En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    ARRÊTER, trop de tu ne m’a pas vus pour rien. Le conseil constitutionnel ne s’est pas auto-saisi. c’est un citoyen comme les membres de votre machin là qui a saisi cette institution et lui a permis de rendre une décision motivée. il ne vous est pas interdit de porter le même recours contre les politiques que vous visiez dans votre article. vous avez les mêmes droit que celui qui a saisi le conseil. Donc agissez vous aussi si vous voyez des politiciens indigne, au lieu de vos bavardages inutiles.

    Unité dans la diversité, c’est le Faso qui y gagne !

  • Le 28 août 2015 à 08:53, par Sidsoba En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    Ainsi donc vous continuez à vouloir dénier la justice. Le conseil constitutionnel a dit le droit. Si vous ne comprenez pas ce que c’est que le droit pour un pays, tant pis pour vous.

  • Le 28 août 2015 à 09:03, par Aubin En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    Bravo. C’est ou on peut s’inscire au collectif de la diapora ?
    Voici des gens qui disent la verite. Sinon on peut comprendre cette perjure de la transition a dire que le Burkina Faso en tant que nation civilisee se pliera a la decision de la CEDEAO et ensuite continuer le projet politique d’exclusion.

  • Le 28 août 2015 à 09:05 En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    Merci pour contribution critiquez comme vous voulez vous même êtes d’office exclu du BF bande d’inconscients !

  • Le 28 août 2015 à 09:07, par isabelle windkouni En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    Merci je vous soutiens vive le Burkina dans l’inclusion !

  • Le 28 août 2015 à 09:10, par isabelle windkouni En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    Seule la lutte libère militants du CDP défendez vos droit dites non à cette parodie de justice si vous dormez personne ne le fera à votre place.

  • Le 28 août 2015 à 09:10, par maatché En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    Il me semble que votre analyse est partisane. En faisant un rétrospective de la lutte contre l’article 37, le président Compaoré a lui-même, hésité à plusieurs reprises. Il s’est réellement décidé et fait l’annonce à Dori en décembre 2013. Au sein du CDP, les coontestations ont commencé en coulisse. C’est en janvier 2014 que certains ont publiquement annoncé leur démission. Ces derniers ont indiqué qu’ils sont avec l’opposition pour lutter contre la modification de l’article 37. C’est ainsi que les marches de l’opposition ont pris une certaine ampleur jamais égalé. En juin 2014, les manifestations étaient si importantes que l’on pensait que le président allait reculer, mais rien n’y fit. C’est en ces temps que ce qu’on peut qualifier d’entêtement a commencé. On se rappelle l’appel de front républicain à convoquer le référendum, le fameux conseil des ministres extraordinaire du 23 oct, le ralliement de l’ADF/RDA, etc. Il était encore possible pour certains de se désolidariser en démissionnant ou même en faisant une déclaration publique. Mais l’aveuglement était réel. Le 29 oct arriva, suivirent les 30 et 31 octobre ! Il y eut des morts et des blessés ! Que faire ? Ceux- la qui ont persisté n’ont même pas reconnu leur erreur d’appréciation. Ils veulent encore dirigé ces mêmes blessés et parents de ceux qui ont perdu la vie. Pourtant ils peuvent se faire remplacer dignement et remporter sièges pour participer au développement de la nation. La responsabilité est ici plus importante que la l’égalité.

  • Le 28 août 2015 à 09:28, par a En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    voici encore un grand menteur qui est dans un quartier non loti de ouaga. Au lieu de te soucier pour ton relogement tu racontes des inepties.Ce monsieur est dans quelle ville de la france ? De toutes les manières nous qui sommes au pays on s,en fout des élucubrations de la cdeao.La vaillante jeunesse du cdp n,est mème pas prète à suivre aveuglement le mot d,ordre de boycot de ces papi et mami, fossiles politiques,égoistes ,égocentristes, individualistes,moiseulistes.

  • Le 28 août 2015 à 10:04, par Tuobènirè METUOLE En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    Mon frère vient au pays vivre les vrais réalités car il me semble que vous ignorez beaucoup certains aspects de la vie des burkinabè. Il n’y a aucune crainte et le BURKINA FASO sera en paix et la vie sera meilleur et tranquille après le 11 Octobre 2014. Nous nous n’avons aucune crainte car tout ce vacarme qui se fait n’est que de l’exhibition et défoulement car ils vont se calmer. après le 11 octobre 2015.

  • Le 28 août 2015 à 10:31, par Ismael BOLY En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    Mr KABORE, votre écrit est un torchon et vous êtes consternant. Moi, de la diaspora de France, ne crains, ABSOLUMENT RIEN, pour la cohésion sociale à travers ce verdict du CC. Et puis, arrêter d’écrire au nom de la diaspora que vous ne représentez guère. Votre écrit ne m’engage nullement. tchrrrrr !

  • Le 28 août 2015 à 10:31, par tengen-biga En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    Dites-nous de quelles structures ou associations est composé le collectif au nom duquel vous parlez ? Pour dire vrai on n’a pas besoin de portez des masques. Contrairement à votre opinion, aucune démocratie ne s’est contruite sans sanction.
    Les USA ont leur guerre de cessesion pour installer la démocratie. Les perdants n’ont même pas eu droit de cité. La France eu sa révolution. Cette révolution a même brulé des églises à l’époque. Je ne vous compte pas le sort des perdants.
    Si vous ne connaissez pas, taisez-vous.

  • Le 28 août 2015 à 10:39, par Pagomziri En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    Si vous n’avez rien a dire, taisez vous. On sait qui vous etes, bande d’apatrides.

  • Le 28 août 2015 à 10:47 En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    Le bon sens a fui le Faso il y a bien longtemps. Il n’y a que les griots, les manipulateurs, les menteurs et les gros voleurs qui se font applaudir. Mensonges, manipulation et lâcheté. Le règne des médiocres. Les politiciens qui ont le vent en poupe (RSS) n’ont pas fait leurs preuves en aucun moment et jurent encore qu’ils sont les meilleurs pour conduire le pays. Le Burkina est malade de la cupidité, de la voracité et de la malhonnêteté de ces fils (vieux comme jeunes, femmes comme hommes). Le Burkina Faso est mis en marché par les plus gourmands de ses fils. Chacun veut sa part et se fout de la suite. Ils veulent juste le pouvoir et l’argent pour leur ambition et intérêts personnels, mais Dieu seul sait ce qu’ils feront de nous après. Qu’avons-nous fait pour mériter un tel sort ? L’avenir du pays est incertain et très sombre car les politiciens actuels n’inspirent pas confiance.

    Nous sommes complètement hypnotisés et conduits comme des moutons vers l’abattoir par ces politiciens. On dirait nous sommes tous hypnotisés pour courir vers la destruction du pays. Tout le monde sent qu’on va dans une mauvaise direction, mais ils disent "allons seulement". Le charlatan qui a wacké les leaders politiques du Burkina Faso et une bonne partie de sa jeunesse est très fort. Le pays des hommes intègres est devenu le règne du mensonge et des flatteries du style "blaguer tuer". Jusqu’où faut-il se laisser tirer dans la mauvaise direction avant de retrouver le bon sens et dire STOP ? . Moi, j’ai très peur et j’ai juste envie de pleurer. Je sens que les politiciens vont continuer de nous faire souffrir et nous pousser à nous entretuer. La transition est juste un lenga dans cette longue souffrance à venir. Je vais fuir au village de mes grands parents et attendre que les élections passent. Pourquoi ?

    La société va beaucoup régresser car la qualité du leadership politique qui sortira des élections ne sera pas meilleure par rapport à l’époque de Blaise COMPAORE. Le pays a plus de problèmes maintenant car personne ne surveille la mise en oeuvre des nombreux programmes prioritaires de développement sur le terrain. Les coordonnateurs et autres gestionnaires risquent de piller allègrement l’argent des projets pour financer la campagne électorale dans l’espoir de conserver leurs postes. A cette allure les bailleurs risquent de refuser de financer notre prochain SCADD. On ne sait pas où les nouveaux élus trouveront l’argent pour répondre au aspirations des enfants, des jeunes, des femmes, des personnes âgées, des paysans, des éleveurs, des commerçants, des fonctionnaires, des politiciens professionnels, des burkinabé de la diaspora. On va souffrir si on compte sur les politiciens qui veulent se faire élire, car ils ne feront que de fausses promesses.

    En terme de développement, je pense que nous sommes partis pour 5 à 10 ans d’errance comme en Cote-d’Ivoire après la crise de Guei et Bédié. Nous sommes devenus prisonniers et victimes de la politique politicienne. On ne parle plus que du passé et du présent. On ne parle pas d’avenir malgré les élections à venir. Or, c’est l’avenir que nous pouvons et devons changer. Le passé est révolu et nous devons bien utiliser le présent pour penser, préparer et construire le futur. Une simple question de morale sociale et de bon sens.

    Il faut que dès maintenant, les populations et les différentes composantes de la société se ressaisissent et prennent leurs sorts en main pour se battre et s’en sortir, comme elles l’ont toujours fait. On connait les problèmes de chaque composante de la société. On peut cependant en faire un inventaire plus exhaustif. Nous pouvons nous organiser pour les résoudre au niveau local tout avec les OSC de développement (et non les OSC politisées) en préservant l’environnement et les ressources naturelles pour les prochaines générations. Il faut que nous travaillions à réapprendre vite à nos enfants, nos familles, nos villages, nos communautés et nos collectivités de vivre de façon autonome sans rien attendre de l’Etat central. Les nouveaux gouvernants vont être tellement occupés à se partager les ressources publiques pour s’enrichir comme ceux de la transition et bien d’autres avant eux. Moi je n’attends rien d’eux.

    Il faut que les populations se prennent en main dès maintenant et évite les vains espoirs qui créent les grandes frustrations et colères. Ky Zerbo appelait l’auto-développement ou développement endogène cette façon de vivre de manière autonome sans rien attendre de quelqu’un d’autre. Les paysans sont habitués à vivre ainsi à cause de l’agriculture de subsistance. Ce sont les citadins et les fonctionnaires qui sont totalement dépendants de l’Etat et contaminent les campagnes avec leurs frustrations et violences collectives. Si nous voulons survivre et échapper à la mainmise des politiciens véreux et apatrides sur l’avenir de ce pays, nous devons prendre en main notre destinée et les laisser s’entretuer entre eux si cela les amuse. Qu’ils aillent sur mars ou Jupiter au lieu de rendre le peuple prisonnier de leurs manigances. Le jeu politique et surtout la démocratie ne sont pas synonymes de guerre, de méchanceté, de haine et de divisions. Comme l’a dit le Moogho Naba, la politique est venue trouver notre société, il ne faut pas qu’elle nous détruise. Les politiciens doivent faire beaucoup attention même s’ils sont sans moralité et ont le pouvoir d’Etat. Tôt ou tard, ils seront rattrapés par leurs actes. Ils rendront compte pour leurs méfaits à l’endroit de la "majorité silencieuse" qui ne demande qu’à vivre sa misère dans la paix et la dignité.

  • Le 28 août 2015 à 10:49 En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    Le bon sens a fui le Faso il y a bien longtemps. Il n’y a que les griots, les manipulateurs, les menteurs et les gros voleurs qui se font applaudir. Mensonges, manipulation et lâcheté. Le règne des médiocres. Les politiciens qui ont le vent en poupe (RSS) n’ont pas fait leurs preuves en aucun moment et jurent encore qu’ils sont les meilleurs pour conduire le pays. Le Burkina est malade de la cupidité, de la voracité et de la malhonnêteté de ces fils (vieux comme jeunes, femmes comme hommes). Le Burkina Faso est mis en marché par les plus gourmands de ses fils. Chacun veut sa part et se fout de la suite. Ils veulent juste le pouvoir et l’argent pour leur ambition et intérêts personnels, mais Dieu seul sait ce qu’ils feront de nous après. Qu’avons-nous fait pour mériter un tel sort ? L’avenir du pays est incertain et très sombre car les politiciens actuels n’inspirent pas confiance.

    Nous sommes complètement hypnotisés et conduits comme des moutons vers l’abattoir par ces politiciens. On dirait nous sommes tous hypnotisés pour courir vers la destruction du pays. Tout le monde sent qu’on va dans une mauvaise direction, mais ils disent "allons seulement". Le charlatan qui a wacké les leaders politiques du Burkina Faso et une bonne partie de sa jeunesse est très fort. Le pays des hommes intègres est devenu le règne du mensonge et des flatteries du style "blaguer tuer". Jusqu’où faut-il se laisser tirer dans la mauvaise direction avant de retrouver le bon sens et dire STOP ? . Moi, j’ai très peur et j’ai juste envie de pleurer. Je sens que les politiciens vont continuer de nous faire souffrir et nous pousser à nous entretuer. La transition est juste un lenga dans cette longue souffrance à venir. Je vais fuir au village de mes grands parents et attendre que les élections passent. Pourquoi ?

    La société va beaucoup régresser car la qualité du leadership politique qui sortira des élections ne sera pas meilleure par rapport à l’époque de Blaise COMPAORE. Le pays a plus de problèmes maintenant car personne ne surveille la mise en oeuvre des nombreux programmes prioritaires de développement sur le terrain. Les coordonnateurs et autres gestionnaires risquent de piller allègrement l’argent des projets pour financer la campagne électorale dans l’espoir de conserver leurs postes. A cette allure les bailleurs risquent de refuser de financer notre prochain SCADD. On ne sait pas où les nouveaux élus trouveront l’argent pour répondre au aspirations des enfants, des jeunes, des femmes, des personnes âgées, des paysans, des éleveurs, des commerçants, des fonctionnaires, des politiciens professionnels, des burkinabé de la diaspora. On va souffrir si on compte sur les politiciens qui veulent se faire élire, car ils ne feront que de fausses promesses.

    En terme de développement, je pense que nous sommes partis pour 5 à 10 ans d’errance comme en Cote-d’Ivoire après la crise de Guei et Bédié. Nous sommes devenus prisonniers et victimes de la politique politicienne. On ne parle plus que du passé et du présent. On ne parle pas d’avenir malgré les élections à venir. Or, c’est l’avenir que nous pouvons et devons changer. Le passé est révolu et nous devons bien utiliser le présent pour penser, préparer et construire le futur. Une simple question de morale sociale et de bon sens.

    Il faut que dès maintenant, les populations et les différentes composantes de la société se ressaisissent et prennent leurs sorts en main pour se battre et s’en sortir, comme elles l’ont toujours fait. On connait les problèmes de chaque composante de la société. On peut cependant en faire un inventaire plus exhaustif. Nous pouvons nous organiser pour les résoudre au niveau local tout avec les OSC de développement (et non les OSC politisées) en préservant l’environnement et les ressources naturelles pour les prochaines générations. Il faut que nous travaillions à réapprendre vite à nos enfants, nos familles, nos villages, nos communautés et nos collectivités de vivre de façon autonome sans rien attendre de l’Etat central. Les nouveaux gouvernants vont être tellement occupés à se partager les ressources publiques pour s’enrichir comme ceux de la transition et bien d’autres avant eux. Moi je n’attends rien d’eux.

    Il faut que les populations se prennent en main dès maintenant et évite les vains espoirs qui créent les grandes frustrations et colères. Ky Zerbo appelait l’auto-développement ou développement endogène cette façon de vivre de manière autonome sans rien attendre de quelqu’un d’autre. Les paysans sont habitués à vivre ainsi à cause de l’agriculture de subsistance. Ce sont les citadins et les fonctionnaires qui sont totalement dépendants de l’Etat et contaminent les campagnes avec leurs frustrations et violences collectives. Si nous voulons survivre et échapper à la mainmise des politiciens véreux et apatrides sur l’avenir de ce pays, nous devons prendre en main notre destinée et les laisser s’entretuer entre eux si cela les amuse. Qu’ils aillent sur mars ou Jupiter au lieu de rendre le peuple prisonnier de leurs manigances. Le jeu politique et surtout la démocratie ne sont pas synonymes de guerre, de méchanceté, de haine et de divisions. Comme l’a dit le Moogho Naba, la politique est venue trouver notre société, il ne faut pas qu’elle nous détruise. Les politiciens doivent faire beaucoup attention même s’ils sont sans moralité et ont le pouvoir d’Etat. Tôt ou tard, ils seront rattrapés par leurs actes. Ils rendront compte pour leurs méfaits à l’endroit de la "majorité silencieuse" qui ne demande qu’à vivre sa misère dans la paix et la dignité.

  • Le 28 août 2015 à 10:53, par wendgou En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    les chiens aboient la caravane passe. bien a vous Mrs de la diaspora

  • Le 28 août 2015 à 10:56 En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    Monsieur Ismail KABORE ! Dites moi, l’esprit de la démocratie chez vous en France suppose-t-il que l’on refuse d’appliquer pas la loi par crainte que celui qui l’ait violer ne le prenne mal ? Que faites vous de la citation latine suivante :"dura lex, sed lex" ? si vous êtes épris de démocratie non partisane, pourquoi refusez-vous que la loi s’applique dans toute sa rigueur ?
    si les gens que vous voulez inclure sont de vrai démocrate respectueux de l’autorité de la chose jugée, il doivent se soumettre à la décision du Conseil Constitutionnel et laisser leur place à d’autres candidats de leurs partis.où voulez vous dire qu’ils sont les seuls censitaires de la candidature de leurs partis.

    Monsieur KABORE, soyeux serieux et objectif. dans tous le cas vous vous la coulez douce en france !donc laisser les vrais burkinabè que sont dans la réalité de leur burkina faire leur démocratie !si vous voulez vous impliquez dans le jeu démocratique burkinabè, il serait plus civilisé de vous établir définitivement au pays. sinon ce serait trop facile de rester en france pour critiquer.

  • Le 28 août 2015 à 10:57 En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    Bonjour chers amis du Collectif. Vous pensez que la faute c’est qui ? Il fallait écrire à Blaise pour lui dire voila ce qu’il a fait du pays et vous étalez ce qui écrit au dessus. C’est parler trop français pour démontrer qu’on connait qui fait reculer notre Faso en arrière. J’ai vraiment peur des intellectuels du Burkina. C’est plutôt vous collectif qui supportez un camp, mais pour objectif recherché à court terme, je n’en sait rien. Saluez François Hollande pour nous et tous les frères présents sur le sol français. Sans rancune.

  • Le 28 août 2015 à 11:13, par Passek En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    Pauvre de toi ! Une coordination avec une seule personne. Avec quel titre ! Les dernières agonies d’une bête sur le point de rendre l’âme

  • Le 28 août 2015 à 11:14, par Touré Edgard En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    Arrêtez de faire peur aux gens et de salir l’image du pays. Quand Blaise et ses mêmes acolytes tripatouillaient la constitution, tuaient, pillaient les richesses du pays, refusaient à certains citoyens au vu et au su de tout le monde, leurs droits élémentaires à la vie, à la justice, où étiez-vous ? ça ne vous inquiétait pas, non ! au contraire, vous disiez que Blaise un un homme fort et que le pays est stable grâce à lui. Parce que "si tu fais, on te fait".

    De grâce, vous n’allez pas nous faire la morale aujourd’hui.

  • Le 28 août 2015 à 11:15, par ayirikem En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    Pourquoi craindre une décision de justice je me demande si vous aviez suivi les évènements des 30 et 31 octobre il faudra bien vous renseigner

  • Le 28 août 2015 à 11:36, par KASA En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    tu te sent mieux en France voila pourquoi tu es labas ! nous on se sent mieux Faso voila pourquoi nous y sommes et ne te préoccupe pas de nous on sait ce qu’on fait.

  • Le 28 août 2015 à 12:21, par wendgou En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    les chiens aboient la caravane passe. bien a vous Mrs de la diaspora

  • Le 28 août 2015 à 12:29, par Le Sage En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    Dites moi si vous êtes un collectif CDP pour faire une analyse si plate de la situation nationale. En vous renvoyant la balle, pensez-vous qu’il y aura cohésion sociale si le Conseil Constitutionnel validait la candidature des ex-tenors et acolytes du CDP ? Ne vous trompez pas du tout car tous, nous descendrons dans la rue pour réclamer purement et simplement l’exclusion de cette "gangrène" de notre pays qui ne sait rien faire d’autre que de piétiner, affamer, piller et sacrifier le peuple burkinabè. Alors cher M. du Collectif de la diaspora de France, si vous n’avez rien de substantiel à proposer au pays, au moins ayez la sagesse de vous taire. A bon entendeur, salut !

  • Le 28 août 2015 à 12:32 En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    Piètre analyse. Tu vis en France. Sais tu combien de morts la révolution française a entraîné ? La France est aujourd’hui un pays respecté dans lequel tu vis. C’est à force de ne rien résoudre de façon radicale que l’Afrique piétine.

  • Le 28 août 2015 à 12:33, par Kimos En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    VA TE FAIRE VOIR,ESPECE DE VENDU ! RESTE CALME EN FRANCE LABA CAR ON SAIT COMMENT BLAISO ET SES SBIRES VOUS ONT INSTRUMENTALISES ET CHERCHENT COUTE QUE COUTE A DIVISER LE BURKINA PAR LES SORTIES MALHEUREUES DE SES GROUSPUSCULES PAR VOIE DE PRESSE !!! LE CDP A EXCLU PENDANT 27 ans tout un peuple dans la gestion de l’Etat, ou etiez-vous alors ??? Qu’avez-vous dit sur cette exclusion paree de tueries, d’actes ignobles ???? BLAISO ET SON CDP perdent leur temps s’ils pensent s’allier une condescendance quelconque de la Communaute internationale qu’ILS CHERCHENT A ENVOUTER PAR SES FAUSSES ANALYSES DU BURKINA REEL !!! SI VOUS VOULEZ BRULER CE PAYS PARCE QUE VOUS AVEZ ETE ECARTES DES ECHEANCES A CAUSE DE VOS PROPRES ERREURS HISTORIQUES, HE BIEN SACHEZ-LE LE PEUBLE BURKINABE VOUS MONTRERA QU’IL PEUT CONTINUER D’EXISTER DANS LE CONCERT DES NATIONS SANS VOUS !!!! LE BURKINA FASO n’est ni la Cote d’Ivoire, ni le Togo, encore moins le Burundi ou le Rwanda !!!!!!! Nous sommes un peuple reflechi et integre comme son PRESIDENT THOMAS SANKARA assassine par Blaise et ses voyous !!!!!! Je vous tiens a l’oeil car moi aussi je suis ici en Europe et je suis vos manigances !!! A bon entendeur, Salut !!!!!

  • Le 28 août 2015 à 13:27, par karim thombiano En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    Votre contribution est utile merci monsieur

  • Le 28 août 2015 à 13:33, par L’alternateur En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    Bonjour chers internautes
    JE SUIS EXCU, DONC NE COMPTEZ PLUS SUR MOI POUR LE DÉVELOPPEMENT DE MA PATRIE. PIRE JE FERAI TOUT POUR QUE MES DROITS FONDAMENTAUX SOIENT RETABLIS ET RESPECTES PAR TOUS LES MOYENS MÊME ILLEGAUX. ILLEGAUX

    L’INCLUSION OU LA MORT. JE NE SUIS PAS REJETÉ PAR MA FAMILLE, POURQUOI CERTAINS VOUDRAIENT QUE JE DEVIENNE UN DESPERADO.
    A BÂBORD POUR UNE RÉPUBLIQUE OU A TRIBORD POUR L’ANARCHIE

  • Le 28 août 2015 à 13:35 En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    He he he ! faut pas dire ca hein ! Sinon ils vont dire que vous etes avec CDP ou NAFA. Maintenant on a pas le droit de faire une analyse objective sans etre insulté.

  • Le 28 août 2015 à 14:00 En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    Ma lecture n’a pas dépassé les 6 premières lignes de cette vomissure.Toi ismael kaboré tu ne représentes que toi-même en France et non tous les Burkinabè de la diaspo française.Moi je suis enjaillé par cette décision de nos sages du CC et si cette décision d’embête,tu peux aller te pendre tout comme les 42 brebis galeuses.Votre suicide individuel ou collectif n’entamera jamais notre cohésion sociale car vous ne représenterez rien,vous êtes au contraire des pourritures

  • Le 28 août 2015 à 14:17, par OUSTAAZ En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    les manipulés-là,foutez-nous la paix !ok ! les burkinabè ont chassé la lionne.ce ne sont pas les 42 lionceaux qu’ils ne peuvent pas écarter sur le chemin du patriotisme.Bande de vendus.c’est sur vous que blaise comptait pour bourrer les urnes hors BF.

  • Le 28 août 2015 à 14:58, par kod En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    C’est dommage que tous nos compatriotes résidant en France aient cette lecture !

  • Le 28 août 2015 à 15:56, par SALAM SH En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    il faut être au pays et comprendre et vivre ce que le peuple dit avant de faire des déclarations sans réfléchir. Cette décision est celle du peuple insurgé et soucieux de son avenir qui n’est plus prêt à laisser sa destiné entre les mains de ceux qui sont pir que le diable.

  • Le 28 août 2015 à 16:26, par COULIBALY Lohé Arouna En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    Vous avez une mauvaise appréciation de la situation. La révolte des 30 et 31 octobre n’a pas créé une dissension entre des personnes. Un peuple a simplement signifié son ras le bol. Au delà des aspects juridiques, il faut voir la question morale et pour ce dernier point tous sont unanimes. Il n’y aura donc aucun problème de cohésion sociale. Les personnes qui pensent être au dessus de la loi trouverons la force publique sur leur chemin. La paix régnera au Burkina

  • Le 28 août 2015 à 17:35, par KABAKO En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    vous, vous n’être que des escrocs associés à la solde de blaise compaoré. vous aviez oublié ce que vous aviez fait subir au peuple burkinabè pendant les 27 ans ? vous l’aviez exclu, violé, tué, détourné de toutes ses richesses. on dit que le sorcier oublie mais la victime n’oublie jamais. je vous invite à vous rappeler de ce que vous aviez semé et récoltez les fruits de votre labeur maintenant.
    D’ailleurs c’est vous qui voulez mettre du feu sur notre cher pays. Mais nous vous voyons venir et rien ne se passera au burkina si c’est pas la paix, la joie, le bonheur et le développement. Vous n’aviez rien vue encore quand Satan descendra son malheur sur vous c’est là que vous saurez que vous aviez réellement péché pendant 27 ans. alors que la descente de Satan n’est plus loin. wait and see

  • Le 28 août 2015 à 17:43, par M.Truth En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    Chers militants du CDP en France, cessez de bourrer nos oreilles avec vos histoires MPP-CDP. Le Conseil constitutionnel est bien au-dessus de vos enfantillages et a dit le droit dans l’intérêt de la nation toute entière.Ces 42 machins ont lourdement fauté et cette cure morale était plus que nécessaire.

  • Le 28 août 2015 à 19:03, par SOME En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    ah ! enfin on commence a avoir des noms sur ce fameux collectif des burkinabe de france ! a lire des interventions ce collectif ne represente que son nom Mais je pense que les freres er soeurs burkinabe et surtout ceux et celles de france, savent ce que c’est la mainiplulation par internet
    SOME

  • Le 29 août 2015 à 02:06, par TEMOIN En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    Mon cher Imael,de quelle cohésion parlez-vous¿n’ayez crainte,ici c’est le Faso,nous avons toujours fait les choses en grand,bien au contraire,la cohésion sociale ira se renforçant,si vous êtes CDPion,sachez que le CDP agonise à présent !!!Bravo à l’ADF RDA et au MTD pour leur amour de la patrie !

  • Le 29 août 2015 à 06:42, par rita magninie En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    JE suis content de te lire c’est vraiment un très bon article nous demandons vraiment une élection inclusive.

  • Le 29 août 2015 à 21:14, par SOUMAILA SAWADOGO En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    En fait monsieur Ismaël vous avez écrit seul cet article. La coordination ne se résume pas seulement à toi. Ou sont les noms des autres. Ces derniers n’ont pas le même avis que toi. C’est normal d’ailleurs que tu parles comme cà puisque c’est le CDP ton parti qui t’a envoyé en France. Dans quel pays au Monde tu as déjà vu un criminel arrêté et qui demande que les mêmes faveurs lui soient accordées comme ses victimes après que les victimes lui soient arrivés à bout. Nous, en tant que transition nous avons vraiment été humains en vous accordant toujours l’existence. Le parti CDP et ses acolytes devaient etre dissouts après le 31 Octobre. Mais nous avons été cléments. Sans doute avons nous été trop bon. C’est pourquoi vous fermez l’esprit pour demander et même exiger les mêmes droits que ceux que vous avez trompé, volé, traumatisé pendant 27 ans et au cours de quelle dure période vous avez assassiné, massacré de pauvres citoyens.

  • Le 30 août 2015 à 11:04, par le burkinabè( france) En réponse à : Décision du Conseil Constitutionnel : Le collectif de la diaspora de France craint pour la cohésion sociale

    Grand merci au cc pour la justice rendu. Aux grands maux aux grands remèdes. IL n’ya aucun problème et il n’y en aura pas. je crois que ce ne pas le diaspora français qui resonne ainsi. c’est juste les ex cdpistes dont leurs freres ont été mis à l’écart qui veulent utiliser les autres. tous les partis politiques sont autorisés à la compétition. si certains militants ont comis des fautes graves, qu’ils soient remplacé par ceux là qui ont les mains propres. Cessez d’etre ridicule à faire certaines declarations. pendant que le peuple a faim et soif, certains ( depuis) la france recevaient de l’argent venant du burkina pour leurs vacances. c’est fini. plus rien ne sera comme avant. si nous voulons la paix au burkina, envoyons de l’argent pour soutenir les elections ou finançons des projets pour des changements positifs. La paix est dejà là parce que le peuple a gagné le procès. Et ce qui est encore plus intéressant, sachez que l’armée republicaine ( a sauvé son peuple et blaise est parti). Calmez vous.

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