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* Obtenir ses avis de crédits TVA
* Fiscalité internationale vue du Burkina Faso

Publié le vendredi 22 mai 2015 à 23h23min

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* Obtenir ses avis de crédits TVA <br>* Fiscalité internationale vue  du Burkina Faso

Le CABINET PIERRE ABADIE présente en co-animation avec un RESPONSABLE DE L’ADMINISTRATION FISCALE, à Ouagadougou (Kwame N’Krumah), deux séminaires de formation :

- COMMENT OBTENIR SES AVIS DE CRÉDITS TVA (CHÈQUES ROSES) ET EVITER TOUT REDRESSEMENT

- TOUT SUR LA FISCALITÉ INTERNATIONALE VUE DU BURKINA FASO

COMMENT OBTENIR SES AVIS DE CRÉDITS TVA du jeudi 14 au vendredi 15 Mai
- Généralités sur les exonérations TVA,
- Présentation du dossier,
- Méthode de suivi des dossiers,
- Du numéro d’AC à la quittance ,
- Comment faire sa déclaration TVA.

Prix : 300 000 F HT


TOUT SUR LA FISCALITE INTERNATIONALE VUE DU BURKINA FASO du mardi 26 au jeudi 28 Mai 2015 :
- Généralité et définition des termes clés,
- Etude comparative des conventions fiscales signées par le Burkina,
- Opportunités et points d’optimisation.

Prix : 500 000 F HT


Prix forfaitaire pour les 2 séminaires : 700 000 F HT


Un compte rendu détaillé est adressé à chaque responsable des entreprises participantes, avec :
+ les gains ou économies chiffrés,
+ les opportunités,
+ les risques,
+ dispositions à prendre au cas par cas.

Pour inscription préalable :

Bulletin d’inscription


- télécharger le Bulletin d’inscription et tarif ci-contre
- ou adresser un email à oumar@pierreabadie.com
- ou adresser un sms au 70 99 75 54 / 78 30 66 99
- ou appeler Oumar YANOGO au (226) 25 33 23 25

Pour plus d’infos : www.cabinetpierreabadie.com

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Vos commentaires

  • Le 8 mai 2015 à 10:25, par lavérité En réponse à : * Obtenir ses avis de crédits TVA
    * Fiscalité internationale vue du Burkina Faso

    Des fonctionaires de l’impôt qui jouent aux conseils fiscaux. Il n’y a qu’au burkina qu’on peut voir une telle pagaille en toute impunité. Sous d’autres cieux ces mêmes fonctionnaires ont interdiction formelle d’exercer ce genres d’activités souvent même jusqu’à 10 ans apres avoir quitté l’administration fiscale. Le conflit d’intérêt ici est gros comme un éléphant même avec une grosse cataracte n’importe qui est capable de le voir.

  • Le 13 mai 2015 à 01:54, par vérité no1 En réponse à : * Obtenir ses avis de crédits TVA
    * Fiscalité internationale vue du Burkina Faso

    Je trouve la fiscalite internationale trop europeenne ! Nous n’avons pas d’entreprises cotees à la bourse des valeurs mobilieres disont quelques unes ! On n a vraiment pas besoin de fiscalistes internationaux pour le moment. Je dis bien pour le moment car ça viendra ! Je voulais proposer la création d’une bourse des valeurs mobilieres locales mais on m’a fait savoir que nos entreprises sont très embryonnaires cote production et on ne peut vraiment pas attirer des capitaux etrangers !

  • Le 13 mai 2015 à 12:48, par curculatum En réponse à : * Obtenir ses avis de crédits TVA
    * Fiscalité internationale vue du Burkina Faso

    Réactions :
    internaute n°1. Vous avez raison de dire qu’un agent des impôts ne doit pas animer un tel séminaire. En effet, ce rôle est réservé aux conseils et experts fiscaux. De nombreux inspecteurs des impôts ont démissionné ou pris leur disponibilité pour faire ce type de tâche. Les agents de l’Administration ne doivent leur faire une concurrence déloyale. Il y a en même temps un trafic d’influence qui ne dit pas son nom. Quand on dit qu’un responsable de la DGI sera animateur on monnaie la position administrative de ce dernier. Il faut qu’on arrête cette pratique indécente qui fait le lit de la corruption grandissante aux impôts. L’ASCE devrait relever le nom de ce responsable et faire des enquêtes sur lui.

    Internaute n°2. La fiscalité internationale est enseignée maintenant dans nos écoles. En effet, il y a des conventions fiscales qui ont été conclues par le Burkina Faso avec d’autres pays dont l’application par les entreprises nécessite la maîtrise de la fiscalité internationale. Nous pouvons citer la convention avec la France (1965), avec la Tunisie (2013) et le règlement n°8 dans le cadre de l’UEMOA (entrée en vigueur en 2009). Par exemple si une entreprise traite ponctuellement avec une entreprise ghanéenne il y a une retenue de 20% a effectuer mais s’il s’agit d’une entreprise béninoise pas de retenue. Si vous devez verser des dividendes à un résident du Tchad, il faut faire une retenue d’IRVM au taux national (12,5%) mais s’il s’agit d’un résident du Mali le taux ne peut excéder 10%. Avec la mondialisation, les échanges se sont internationalisés. Il est important de maîtriser les grands principes du droit fiscal international.

  • Le 13 mai 2015 à 17:14, par Lohé Arouna COULIBALY En réponse à : * Obtenir ses avis de crédits TVA
    * Fiscalité internationale vue du Burkina Faso

    La fiscalité internationale n’est pas destinée uniquement aux entreprises cotées en bourse. Un des aspects importants de cette branche de la fiscalité est l’analyse des conventions fiscales. En effet, les conventions fiscales permettent d’éviter la double imposition.
    Exemple : une entreprise du BTP comme EBOMAF peut avoir un projet de construction en Cote d’Ivoire. Bien entendu, le projet est exécuté en côte d’ivoire est les revenus y sont gagnés. Par conséquent, EBOMAF doit payer un impôt dans ce pays au regard de la législation fiscale de la Cote d’ivoire. Pourtant, EBOMAF a été constituée au Burkina, y a son siège social et son principal lieu d’affaire. Si selon le droit fiscal du Burkina, EBOMAF doit payer l’impôt sur ses revenus de source mondiale, il s’en suit donc une situation de double imposition pour le revenu provenant de la Cote d’Ivoire. Double imposition, car le même revenu qui a été imposé en Côte d’Ivoire doit être pris en compte encore pour calculer l’impôt du Burkina donc imposé une seconde fois au Burkina.
    L’existence d’une convention fiscale entre deux pays permet de déterminer dans quel pays le revenu qu’une entreprise (revenu d’entreprise, revenu de loyer, dividende, intérêt), un employé, par exemple, burkinabè obtient dans un autre pays doit être imposé. Par exemple, dans l’exemple ci-dessus une convention fiscale entre le Burkina et la Cote d’ivoire préciserait le pays dans lequel EBOMAF doit payer de l’impôt pour lui éviter de verser de l’impôt dans chacun des deux (2) pays.
    Une formation sur la fiscalité internationale sera une opportunité pour permettre aux participants d’avoir de l’information sur les conventions fiscales signées par le Burkina en même temps leur indiquer quand recourir aux services d’un fiscaliste.

    Lohé Arouna COULIBALY, Fiscaliste au Canada

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