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Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

Publié le mercredi 19 novembre 2014 à 23h54min

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Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

Pour la première fois après sa désignation comme Président de la transition au Burkina, Michel Kafando s’est exprimé sur les ondes d’une radio internationale, en l’occurrence RFI. Qui va-t-il désigner au poste de Premier ministre ? Que va-t-il advenir de Blaise Compaoré ? Que pense-t-il des chefs d’Etat voulant modifier les constitutions de leurs pays pour briguer de nouveaux mandats ? Nous vous retranscrivons in extenso l’entretien.

RFI : Monsieur le Président, bonjour…

Michel Kafando : Bonjour Monsieur Boisbouvier

RFI : Quel a été votre sentiment dimanche soir après votre désignation ?

Michel Kafando : Lorsque j’ai été désigné, moi qui étais à la retraite, j’ai vu que j’aurai encore une occasion de servir mon pays. Voilà le sentiment premier que j’ai eu, en me disant du reste que par rapport à ce que j’ai eu à rendre comme service avant, cette fois-ci c’est une occasion pour moi de me rattraper sur certains sujets où je pense que je n’avais pas été tout à fait conforme.

RFI : Vous rattrapez sur quel sujet, peut-être le sujet du combat contre la corruption et l’impunité, un point sur lequel vous avez insisté pendant votre exposé de dimanche ?

Michel Kafando : Effectivement, je crois que c’est sur ces deux points là essentiellement que notre pays ne peut pas être laissé comme ça entre les mains des individus véreux qui font des détournements et qui ne sont pas punis. Donc effectivement, je travaillerai à relever le défi, lutter contre la corruption, sévir sur le plan des sanctions.

RFI : Dès votre désignation, vous avez dit, j’entrevois l’immensité de la tâche et les écueils qui m’attendent, quels sont les pièges qu’il faut éviter ?

Michel Kafando : Il faut éviter l’écueil qui consiste à stigmatiser ceux qui étaient là, ceux de l’ancien régime parce que si vous le faites, les conséquences peuvent être redoutables. En même temps qu’il faut mettre l’accent sur des sanctions, par exemple le jugement de certaines personnes qui ont exagérément fait dans la prévarication et dans la concussion des deniers publics, il faut travailler aussi à la réconciliation nationale.

RFI : Donc, il ne faudra pas exclure les membres de l’ancien parti au pouvoir, CDP, du futur parlement provisoire ?

Michel Kafando : Non. De toute façon, la charte que nous venons de voter prévoit une représentation de ce que nous appelons l’ancienne majorité. Donc, ils ne sont pas exclus, en dehors évidemment de ceux que la loi ne peut pas épargner, en tout cas qui doivent encourir les sanctions.

RFI : Quelle sera la place de l’armée ? Est-ce que le lieutenant-colonel Zida pourrait devenir votre premier ministre ?

Michel Kafando : Notre armée a joué un rôle essentiel dans la stabilisation que nous connaissons actuellement. Si nous n’avions pas eu de jeunes militaires de leur trempe pour se convaincre du fait que l’armée est une composante de la nation. S’ils n’avaient pas eu cette conscience de se mêler à la population, de comprendre les problèmes de la population et de se dire non, des Burkinabè ne doivent pas tirer sur d’autres Burkinabè ; peut-être qu’aujourd’hui le Burkina serait encore dans les affres d’une guerre civile. Je dis bien une guerre civile parce que toutes les projections laissaient dire que la situation que nous avons connue risquait d’être encore pire que la RCA. Donc, moi je dis que l’armée doit avoir sa place. Alors, ne soyez pas surpris que l’armée puisse véritablement être représentée dans le gouvernement. Déjà, elle est représentée dans le conseil national de la transition. Je pense aussi qu’elle aura sa place dans le futur gouvernement que nous aurons à mettre en place à partir de demain.

RFI : Le lieutenant-colonel Zida serait intéressé par le poste de Premier ministre, est-ce que vous seriez prêt à le lui offrir ?

Michel Kafando : Ecoutez, tout dépend. Ce n’est pas seulement le Président qui nomme – c’est vrai que c’est les prérogatives du Président – mais tout dépend aussi des consultations que nous sommes en train de mener. Personnellement, je ne serais pas contre que le lieutenant-colonel Zida, qui a joué un rôle essentiel dans la stabilisation même du pays, puisse véritablement avoir une ambition de Premier ministre. Je serai particulièrement en clin à dire que si telle est son ambition, pourquoi ne pas prendre en compte.

RFI : Dans ce cas-là, est-ce que vous ne risquez pas de devenir l’otage des militaires ?

Michel Kafando : Non. Parce que les militaires ont suffisamment démontré, par la décision qu’ils ont prise de se retirer dans les casernes, en tout cas de laisser la place aux civils, que s’ils font partie d’un gouvernement, ils pourront aussi accepter de travailler en bonne collaboration, en bonne entente avec les civils. Je ne pense pas que ça puisse vraiment être un problème.

RFI : D’ici combien de temps pensez-vous pouvoir organiser l’élection présidentielle ?

Michel Kafando : Nous nous sommes fait un point d’honneur d’organiser les élections présidentielles dans les délais impartis. Ça veut dire qu’à partir d’aujourd’hui, de la date d’investiture du nouveau Président de la transition, nous avons en principe 12 mois francs pour organiser les élections.

RFI : Depuis votre désignation, vous avez reçu beaucoup de félicitations. Avez-vous eu plusieurs chefs d’Etat au téléphone ?

Michel Kafando : Oui, hier soir simplement j’ai reçu un coup de fil du Président du Mali que je connais bien. J’ai aussi des appels me disant que le Président du Sénégal cherche à me contacter.

RFI : Est-ce qu’à votre avis, Blaise Compaoré peut rester en Côte d’Ivoire ou pas ?

Michel Kafando : Vous savez que ça c’est une question qui concerne les Ivoiriens. Le Président Blaise Compaoré a quand même beaucoup d’affinités avec le Président Ouattara. Donc, ça c’est des problèmes qui concernent le Président Blaise Compaoré et les autorités ivoiriennes.

RFI : Quand vous dites que certains Burkinabè devront passer en jugement, pensez-vous notamment à l’ancien Président Blaise Compaoré ?

Michel Kafando : Non, n’allons pas vite en besogne. Je vois surtout des affaires pendantes. Nous avons des contentieux qui trainent depuis près de trois ans. Personnellement, je ne comprends pas que si quelqu’un est convaincu de prévarication, si quelqu’un est pratiquement sous le coup d’un flagrant délit que son dossier puisse durer deux ans, trois ans. Non. Mais pour ce qui concerne le Président Blaise Compaoré, n’allons pas vite en besogne. Parce que nous n’avons que 12 mois et en 12 mois, on ne peut pas tout régler.

RFI : Le fait que la France ait aidé Blaise Compaoré à s’enfuir a été interprété par certains comme une ingérence de l’ancienne puissance coloniale dans vos affaires intérieures, qu’est-ce que vous en pensez ?

Michel Kafando : Bon ! Peut-être que la France aussi a pu agir pour des raisons humanitaires. Tout compte fait, ç’a été une bonne chose que le Président Blaise Compaoré ait démissionné très tôt parce que s’il était resté, certainement que nous allions avoir des conséquences incalculables. Donc, je me dis que si le Président est parti plus tôt en démissionnant, peut-être que ç’a sauvé aussi la situation.

RFI : Que répondez-vous à certains qui vous reprochent d’être trop proche de l’ancien régime ?

Michel Kafando : Je leur demanderai d’apporter les preuves. Lorsque j’ai été contacté par ceux que vous appelez l’ancien régime pour aller à New York défendre des dossiers notamment le Libéria et la Sierra Léone, j’ai bien donné comme condition que je ne veux pas qu’il y ait une connotation politique à l’acceptation de ma charge. Donc, je ne vois pas en quoi, j’ai collaboré avec l’ancien régime. Je n’ai jamais fait partie du CDP. Je n’ai jamais appartenu à un parti politique.

RFI : Et qu’est-ce que vous pensez des Présidents africains qui souhaitent modifier les constitutions de leurs pays pour briguer un troisième mandat ?

Michel Kafando : C’est des attitudes pour moi qui ne s’expliquent pas. Lorsqu’on a donné son engagement, il faut respecter les choses jusqu’au bout. En tout cas, pour moi, je pense que ce n’est pas bon de tripatouiller les constitutions.

RFI : Et, pensez-vous comme Ablassé Ouédraogo qu’il faudrait introduire les deux mandats maximum dans la charte de l’Union africaine ?

Michel Kafando : Moi, je suis d’accord avec Ablassé Ouédraogo. Je crois qu’il faut désormais que dans la charte de l’Union africaine, qu’il y ait une charge supranationale qu’on puisse inscrire dans la charte qu’aucun Président ne devait aller au-delà de deux mandats.

RFI : Monsieur le Président, merci.

Entretien réalisée par Christophe Boisbouvier (RFI)
Retranscription : Moussa Diallo (Lefaso.net)

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Vos commentaires

  • Le 19 novembre 2014 à 16:45, par jon b En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    Le PFT Kafando enterrera ce soir la révolution Burkinabè avec un premier ministre militaire

    Elle n’aura pas durée longtemps la Révolution, au Pays des hommes intègres. Dans l’euphorie d’un « printemps noir » aux allures de balai citoyen, les burkinabè se sont fait confisquer leur reprise du pouvoir. Le mouvement populaire et les aspirations de changements seront définitivement enterrés ce mercredi 19 novembre avec la nomination d’un gouvernement de transition qui laissera toutes les commandes aux militaires. Et pas n’importe lesquels puisque les manettes du pouvoir seront tenues par les sinistres Régiments de la sécurité présidentielle (RSP), au cœur du régime depuis près de 30 ans.

    On savait déjà que cette formation d’élite n’était pas prête à céder son pré-carré de régime. Mais on aurait pu croire que le lieutenant-colonel Issac Zida, sous la pression, notamment de la communauté internationale, organisait effectivement une passation de pouvoir à un civil. Sauf que les dés sont pipés depuis le début, avant même la nomination à la présidence de Michel Kafondo.

    Il est déjà étonnant qu’un mouvement populaire qui renverse un régime fasse appel, pour gouverner la transition, à un ambassadeur de l’ancien régime. Qui plus est lorsque cette insurrection populaire se réclame du sankarisme et que Michel Kafondo est soupçonné d’avoir participé à l’arrestation de Thomas Sankara en 1983. Mais lorsque le quotidien l’Observateur Paalga, proche de l’ancien régime, révèle la nomination de Michel Kafondo, quelques heures avant son audition auprès du Collège de désignation, dans la nuit du 16 novembre, il ne fait plus de doute que le jeu est faussé. Comme aux cartes, il suffit de regarder sous la table pour comprendre et voir jaillir la fumée blanche qui fait les papes avant tout le monde.

    C’est ainsi qu’on peut affirmer sans risque la composition du gouvernement qui sera nommé ce soir. Le premier ministre sera un militaire et prendra également le ministère de la défense. Les militaires empocheront au total 11 portefeuilles, dont cinq directement et six qu’ils attribueront. L’opposition en aura 9. Les représentants de la société civile cinq. Un calcul savant qui laisse les mains libres au Régiment de la sécurité présidentielle et anéanti les espérances du peuple.

    Ceux qui réclament déjà que les dignitaires du régime de blaise Compaoré soient traduits en justice en seront pour leurs frais. Durant le couvre feu instauré par l’armée, lorsque le pouvoir était vacant, un ballet d’avions a déjà vidé le palais présidentiel de tous ses documents, sous une garde bienveillante.

    De là à penser que Blaise Compaoré n’est pas loin de l’actuel pouvoir de transition, il n’y a qu’un pas. C’est peut-être même la réponse aux questions des éditorialistes qui s’étonnait qu’un homme de sa trempe, qui règne sans partage sur le pays depuis 27 ans, puisse quitter le pouvoir aussi rapidement et simplement. Toujours est-il que cette présidence s’est grandement intéressée à ce balai citoyen lorsqu’il a commencé à prendre de l’ampleur, lui faisant même des propositions de soutien et établissant des contacts au cœur de la structure. C’est finalement la garde présidentielle qui a aidé le mouvement à parvenir à ses fins. Cette collaboration avait finalement un prix.

  • Le 19 novembre 2014 à 17:03, par Abdoul En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    Notre Président accorde sa première interview à une radio étrangère. Quel dommage ! Apparemment, il devrait d’abord s’adresser à l’ensemble des burkinabè et aux medias nationales avant toute sortie dans les media internationales. Faudrait pas suivre les pas de COMPAORE qui à son habitude annonce les grandes décisions en dehors du pays.

  • Le 19 novembre 2014 à 17:04, par Filsdupays En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    Responsabilité, intégrité et fierté, voici ce que je retiens de ce discours de notre président. Que Dieu puisse guider vos pas. A la question de savoir s’il faut ZIDA comme PM, bien répondu. Au temps de Thomas SANKARA le militaire et le civil ne formait qu’un, il n y a que ce régime de Blaise après avoir séparé les militaires et les civiles, il est allé encore plus loin pour séparer les militaires les uns des autres. Aujourd’hui on retrouve nos frères militaires avec qui nous faisons le show chaque fois que nous pouvons.

  • Le 19 novembre 2014 à 17:06, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    - Mr KAFANDO, pourquoi JOSEPHINE dit que votre candidature était préparée depuis la chute du régime, en d’autres termes quelqu’un vous a soufflé de vous préparer ? Ainsi vous avez eu une longueur d’avance sur les autres candidat ? Et Chérif SY aussi a dit que si on devait choisir le président de la transition à la place de la Révolution en face des insurgés, le résulats serait autre !

    Autrement dit, vous avez triomphé sans gloire ou bien ? Maintenant peu importe, et nous vous attendons au pied du mur !

    Par Kôrô Yamyélé

  • Le 19 novembre 2014 à 17:10, par Farma du Karma En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    Rien de bon ! Il parle des dossiers de 3 ans (Guiro). et les dossiers antérieurs de 27 ans (Thom Sank) ? A lire entre les lignes, le dossiers Compaoré ne sera pas touché par lui (Même pas lever le lièvre pour le président de 2015). J’ai espoir espoir s’il n’a vraiment pas soupé autour de la table compaorose !

  • Le 19 novembre 2014 à 17:12, par yabirou En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    Il faut qu’on se dise la vérité. Même si ça nous fait mal : Blaise n’a pas quitté le pouvoir. Il a disposé ses pions qu’il pousse en restant sagement dans l’ombre. Avec un président désigné par l’armée et un premier ministre RSP, il reste quoi ? Diendéré président du CNT ? Monsieur le Président, plus que jamais nous sommes "a la merci des véreux". Et vous ne pouvez ignorer cette triste réalité.

  • Le 19 novembre 2014 à 17:16, par Leopold Diarra En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    Le Président Michel Kafando est un Medvedev. Zida conserve tous les leviers du pouvoir. C’est faire semblant de passer le pouvoir à un civil. Il faut que le CNT soit très vigilant pour ne pas accepter une nouvelle dictature. Zida est sur les trace de Sanogo et Dadis. Restons mobilisés.

  • Le 19 novembre 2014 à 17:16, par Alexio En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    L ingerance de la France aux affaires africaines est du Neo-colonialisme imbesil.
    Ce Statut de Marionette justement qui lui est trompe. Le faiseur de paix ? Pourquoi la France ne lui pas proposer comme eventuell laureat du prix Nobel de la paix ?

    Le systeme instaurer par sa bande n etait autre chose le monopol de notre richesse commune
    par des intellectuels desaxes de la moral et de l integrite citoyenne.

    Apres 54ans d independance le cytoyen lambda n arrive pas a joindre les deux bouts par privatisation sauvage imposee par les fondamentalistes du marche mondialiste.

  • Le 19 novembre 2014 à 17:22, par La Doctrine En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    Cessons d’imaginer le mal pour notre pays. Personnellement, cet homme (Michel KAFANDO) me rassure et je pense que nous burkinabè, nous devons être patients. Je suis sûr que ce sont les mêmes qui en veulent à l’ancien régime qui seront les premiers à crier à la violation des droits de l’homme si tout de suite, des décisions précipitées dans le sens de venger la population ou de rendre une justice expéditive se présentait dans les actes du nouveau président. Le Burkina Faso nous appartient à nous tous y compris à l’armée, le RSP faisant partie de l’armée. Ce sont des burkinabè, des fils de Burkinabè, des agents publics burkinabè et je refuse que l’on exclut une partie de notre peuple au motif que Blaise COMPAORE les a utilisés à des fins personnelles. Je serai favorable à ce que l’on assigne une mission beaucoup plus républicaine au RSP en tant qu’une armée d’élite ; ça existe dans les pays sérieux même aux USA. Je bannis l’idée que le peuple s’est fait volé sa révolution parce que l’on aura nommé un militaire à la tête du gouvernement. Le Lieutenant-Colonel ZIDA a été ovationné par une foule immense à la maison du peuple le dimanche dernier. Voulez-vous dire que tous ces gens se sont trompés ? Personnellement je ne vois pas en quoi, la nomination de ZIDA à la tête du gouvernement sera une manière pour l’armée de voler la victoire du peuple. Ce qui est sûr, je crois fermement que le temps et les actions de ZIDA et des membres militaires des organes de transition donneront tort à ceux qui prédisent un avenir sombre pour le Burkina dans notre collaboration avec les militaires. Soyons patients, prions pour que les choses se passent bien et soyons à la disposition des nouvelles autorités pour bien travailler en leur collaboration. Soyons présent régulièrement au service, respectons les feux tricolores, payons nos impôts et taxes, évitons les détournements et les gabegies et combattons-les et voyons si les militaires pourront nous voler une quelconque révolution. Ne soyons pas pessimistes, cela ne sert à rien à mon avis. Que Dieu bénisse le Burkina Faso.

  • Le 19 novembre 2014 à 17:41, par yabirou En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    A Ladoctrine. Si un jour on voit Michel Kafando en treillis, moi, ça ne va pas m’étonner. Ils nous ont appliqué de la stratégie militaire. Mais nous ne sommes pas des soldats. Néanmoins, nous avons compris la manoeuvre. On veut la puissance de feu de l’armée et en même temps la liberté des civils. ça, c’est un double vol. ça fait 48 ans qu’on nous fait le coup.

  • Le 19 novembre 2014 à 17:58, par Fasoespoir En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    Je crois que les choses iront bien avec ce dispositif. On voit la volonté du changement se lancer. Le Lieutenant-Colonel ZIDA a déjà tracé la bonne voie.

  • Le 19 novembre 2014 à 17:59, par YEMPOAKBIIGA En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    nous comptons sur vous pour ne pas être la marionnette d’une certaine armée !!!

  • Le 19 novembre 2014 à 18:53 En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    Encore RFI,encore une média étrangère.Je ne comprendrai jamais les nègres.

  • Le 19 novembre 2014 à 19:25, par CV Incomplet En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    J’espere que LaDoctrine evitera de tomber dans les points de vue doctrimaires. Vous refusez de voir l’ evidence. Applaudir un president a la maison du peuple, cela a- t- il valeur de brevet de satisfecit ? MObutu etait plus qu’ ovationne par tout le peuple zairois. Tu connais la suirte ? Le cerveau ne s’ use que si l’ on s’ en sert mal, Mr. LeDoctrinaire.

  • Le 19 novembre 2014 à 19:39, par Le Pionnier En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    A "La Doctrine". Il est vrai que l’armée fait partie du peuple et ne doit pas être exclue dans l’instauration d’une vraie démocratie. Cependant, l’armée a d’autres prérogatives parmi lesquelles, faire de la politique ne figurent point. L’armée doit s’occuper de l’aspect sécuritaire de la démocratie sans directement s’immiscer dans la gestion des affaires courantes. Cela est la mission principale des forces de l’ordre et elle est toute aussi importante que la mission des technocrates dans l’instauration d’une démocratie forte. J’en veux pour preuve la situation critique dans les Etats d’Amérique Centrale. Les forces de l’ordre dans des pays comme Le Salvador, le Guatemala, le Honduras et même le Mexique ont du mal a maintenir l’ordre face aux délinquants, aux gangs ou autres organisations criminelles. Ce qui par ricochet a des conséquences néfastes sur l’économie mais aussi la vie politique de ces pays dans la mesure ou la corruption est profondément ancrée dans les pratiques. L’impunité y est criarde, l’inégalité sociale y est béante, etc. Parce que la démocratie, ce n’est pas seulement le bal politicien que nous voyons tout le temps sur nos écrans de télévision. Il y a plein d’autres aspects qui entrent en jeu pour instaurer une culture démocratique et l’armée peut y contribuer positivement ou négativement. Cependant, l’aspect politique doit revenir aux politiques et l’armée doit s’occuper de ce pourquoi elle a été mise en place : le maintien de l’ordre. Ni plus ni moins. La raison pour laquelle il y a un sentiment de révolte donc ou cette sensation d’avoir été flouée par l’armée burkinabé, c’est parce que comme par hasard, cette dernière est omniprésente dans les rouages du pouvoir de transition. C’est son candidat qui est le président de la transition en la personne de Michel Kafando et c’est le second du tant décrié Regiment de Sécurité Présidentielle (RSP) qui est le Premier ministre de la transition. On n’a guère besoin d’être savant pour deviner que l’armée aura de nombreux portefeuilles dans notre gouvernement de transition et par conséquent, sera celle qui en réalité gérera la transition. Là où le bât blesse c’est que non seulement nous avons déjà à plusieurs reprises expérimenté avec une gestion militaire, mais surtout, notre armée par le biais du RSP notamment, ne peut se targuer d’être blanche comme neige dans la longévité du "Régime Compaoré". Donc ce dont nous aurions eu vraiment besoin, c’est d’avoir des leaders impartiaux pour diriger la transition. Force est de constater que ceci n’est pas forcément le cas en ce moment pour notre chère patrie : le Burkina Faso. Le sieur Kafando si ma mémoire ne me joue point de tour était le représentant permanent du Burkina a l’ONU. Je suis désolé mais cela s’apparente à un poste politique, d’où ses liens avec le régime précédent. Il n’y a point besoin ici de faire la preuve de tels liens avec le régime précédent en ce qui concerne le nouveau Premier Ministre du Faso. Il en va de soit que le peuple puisse se sentir frustré et surtout qu’il se montre suspicieux de la tournure des événements. A l’image de certains corps (avocats, magistrats et même normalement les agents de la fonction publique, etc.), il n’est pas choquant que les membres desdits corps soient frappés de limites d’action dans certains domaines. Ainsi cela ne tenait qu’a moi, toute personne de l’armée désirant activement faire de la politique ne devrait plus avoir fait partie dudit corps pendant au moins cinq ans. Mais cela est un tout autre débat qui mérite certainement d’être considéré dans un futur proche dans notre cher pays.

  • Le 19 novembre 2014 à 19:41, par YIRMOAGA En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    Le PM ZIDA rassure et connaissant les méthodes des courtisans de son ex- patron, il pourra, enfin s’il n’est pas manipulé par.........rendre service au prési KAFANDO pour la transition. Mais aussi s’il se démarque des opportunistes qui gravitent autour, tel que celui assis à droite (CLN BARRY) ? Je pense qu’il va se départir de sa tenue à partir d’aujourd’hui puisqu’il n’est plus chef de guerre ? Il y a aussi sa garde rapprochée d’en faire autant ? Bon vent mon CLN.

  • Le 19 novembre 2014 à 19:45, par PAPA En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    Ceux-lä meme qui hier jetaient des fleurs au camarade Zida, ces derniers n´auront que leurs yeux pour pleurer.Il ya longtemps que les de´s etaient pipes´Ne vous etonnez pas de voir Zida encore 1er ministre apres les elections de 2015 . Moi personnellement je ne fais plus confiance a certains opposants ..

  • Le 19 novembre 2014 à 20:01, par casimir kirilenko En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    Arrêter avec votre pessimiste. Montrez moi une seule personne ayant une expérience de la gestion d’un pays, un intellectuel à renommé international, un fonctionnaire international, un riche commerçant milliardaire, un coutumier ou même un religieux ( en dehors des évêques) qui n’a eu aucune relation directe ou un coup de pouce de COMPAORE. Ça n’existe pas. Chérif S’y n’a pas l’expérience nécessaire pour être Chef de l’Etat. Comment va-t-il défendre les différents programmes, budgets ou projets auprès des institutions internationales en 12 mois. On aura peut- être des élections équitables (car il me semble integre) mais économiquement ça risque d’être chaud.
    Moi, je préfère Mr Kafando. Et en plus Zida comme premier ministre, c’est pas le meilleur choix, mais c’est pas la catastrophe non plus. Il a montré en quelques jours qu’il peut être ferme et ca aide. En plus, la transition est bien balisée. Ils seront chargés de balayer en 12 mois et laisser la maison propre aux suivants. Pour les affaires Thomas Sankara et Norbert Zongo, elles vont évoluer rapidement de fait, étant déjà très avancées. Les témoins n’ont plus peur et les dossiers sont déjà à la justice. En plus si on demande à l’opposition de trouver un 1 er ministre et des ministres, ça allait être chaud, chacun voudrait présenter des proches ( voir CNT). Dans tous les cas, le peuple reste vigilant. A la moindre erreur, c’est reparti. Aussi, il y a une manie chez nous Burkinabé. Vous pensez que Quelqu’un peut prendre le pouvoir et se faire manipuler par un tiers qui n’ en à plus il préférait bosser posser lui même ( voir Biya et Ahidjo). Et le fait que Diendere soit toujours la est légitimement inquiétant, mais je ne sais pas à ce jour comment le faire partir sans bain de sang. Ce n’est pas COMPAORE. C’est un chef militaire en activité qui a des hommes fidèles et qui n’a pas la protection externe d’autres

  • Le 19 novembre 2014 à 20:45, par Figo En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    Ceux qui comptaient sur la chute du régime pour "manger" tout de suite sont encore en train d’inonder le réseau avec des insanités. On a vu comment les appétits se sont vite aiguisés quand il s’est agit de proposer des candidats pour le CNT. Laissez le Premier ministre et le Président faire leur travail. Installez si vous voulez un comité de veille pour surveiller leurs actions afin d’alerter l’opinion si vous remarquez quelque chose. Mais en attendant, ne nous pourrissez pas la vie car personne ne s’enrichira plus jamais sur le dos du Peuple ici.

  • Le 19 novembre 2014 à 20:48, par lejumeau En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    C’est un gout inachevé. Nous n’avons pas réalisé notre révolution pour être confisquée par un élément du sinistre RSP. Zida serait rentré dans l’Histoire en évitant ce deal conclu avec KAFANDO , quoiqu’on dise n’est blanc comme charbon. . C’est donc un KEEN sur le dos du peuple Burkina bè. L a jeunesse vous tient à l’œil . Je suis déçu.Je m’attendais à un appel d’offres à compétences. Zida, vous risquez de ternir l’aura que vous avez aux yeux des Burkina bè car à vouloir danser plus que le son du tamtam, on danse mal. Je suis pour le départ de Blaise mais sur un DEAL ZIDA(Armée) KAFANDO( DONA FOLOGO).

  • Le 19 novembre 2014 à 20:51, par Zongo En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    Le Président Kafando dit que le premier ministre a été choisi, ou allait être choisi, après des consultations. Qui a été consulté ? Que disent les leaders de l’ancienne opposition et ceux de la société civile ? Ont-ils soutenu la nomination de Zida à la primature ?

  • Le 19 novembre 2014 à 21:01, par Tina En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    Personnellement, je n’aime pas les paroles pessimistes.
    Il ne faut pas devancer l’iguane dans l’eau. Soyons patient.
    On ne peut pas taxer tout le monde d’être du pouvoir Compaoré.
    J’ai beaucoup apprécié les réponses de SEM Kanfando. Il vient nous prouver sa diplomatie.
    Il faut savoir répondre à certaine question, qui sont souvent des questions pièges.
    Attendons de les voir agir et on pourra faire nos commentaires.

  • Le 19 novembre 2014 à 21:51, par LE PATRIOTE En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    Comme la dit son excellence Michel KAFANDO, le FASO ne peut pas être à la merci des véreux. Alors MME DG CNSS, la danseuse pour l’article 37, les choses ne seront plus comme avant parce que votre Blaiso n’est plus au pouvoir. Alors faites revenir vos enfants de la France et États Unis pour qu’ils poursuivent leurs études au Faso ici car vous ne pourrez plus voler les fonds de la caisse, nos cotisations sociales évidemment.

  • Le 19 novembre 2014 à 21:57, par mars2larym En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    même pour "révolutionner" après une révolution il faut de la patience. A mettre trop de doute dans nos coeurs on reviendra à la case départ. SEM KAFANDO a donc tout le bénéfice du doute.dans le rêve de grands changements on en revient à oublier que c’est un régime de près de 28ans qu’on a fait tombé en 1jour et démi. ce régime a des tentecules qui ont pris 28ans a pousser et à s’étendre, et dont il faut se donner le temps pour tout balayer et en extirper les racines.Et pour ça il faut de la patience.les meilleurs dirigeants pour ce pays restent à venir.car tous nos grands hommes d’aujourd’hui ont à un moment ou un autre été à la solde volontairement ou non de SEM BLAISE. C’est ma conviction.Que Allah bénisse le Burkina Faso.

  • Le 19 novembre 2014 à 22:00, par boukary NEBIE En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    Ah bon ? Il faut voir un vrai balayage de ces personnes véreux pour y croire. Je refuse qu’on me prélève obligatoirement à chaque fin du mois une bonne partie de mon salaire pour la reverser à la CNSS au titre des cotisations sociales et que je peine à percevoir les allocations familiales de mes enfants. Et j’en connais nombreux qui sont dans pareil cas.
    la Directrice Générale de la CNSS est un cas extrême excellences KAFANDO et ZIDA’. Elle a tellement détourner nos fonds que je me demande si vous pourriez les récupérer tous.
    elle ne pense qu’à elle et sa famille politique, les compaore.
    vivement apportez un homme honnête à la tête de cette institution’

  • Le 19 novembre 2014 à 22:10, par alain KIBORA En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    Il faut surtout retirer toutes les sommes volées avant de chasser ces patrons de nos sociétés d’états.
    Mme SOMKINDA TRAORE n’avait pratiquement rien avant d’être nommée par François COMPAORE comme Directrice Générale de la CNSS.On se connaît tous au Faso. Aujourd’hui, elle ne se gêne pas à nous montrer ses richesses à travers ses nombreux investissements.
    ses détournements et autres mauvaises pratiques ont commencé depuis le ministère lorsqu’elle était SG du ministre. Mais comme sous l’ère Compaore, ce sont les véreux qui sont récompensés par des postes de DG pourvus qu’ils soient CDP et fassent l’affaire de François Compaore.
    MONTREZ NOUS VRAIMENT QUE NEST PLUS À LA MERCI DES VÉREUX EXCELLENCE KAFANDO !!

  • Le 19 novembre 2014 à 22:29, par OUEDRAOGO EMMANUEL En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    Soyez vigilants alors. Sinon vous pouvez tomber dans les filets de ces véreux sans le vouloir. Les fêtes de fin d’années s’approchent, n’acceptez ni cadeaux de vins, de moutons ou poulets, encore moins de la part d’aucun directeur général DG ou DAF.
    le cas de la directrice générale de la CNSS est très particulière : elle est très forte en manipulation.
    rappelez vous que Grace a ses manipulation, elle a pu entraîner le PCA de la CNSS dans une affaire de 5 milliards qu’ils se sont partager.
    encore soyez vigilants si vraiment , une de vos missions est de mettre fin à ces pratiques mail saines au Burkina Faso.
    Que Dieu l’éternel tout puissant vous bénisse et qu’il vous accompagne !!!

  • Le 19 novembre 2014 à 22:31, par Danys En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    Parmi les décisions courageuses à prendre, il y a la dépolitisation de l’Administration publique. Avant la chute de l’ancien régime, il y avait des sections CDP dans beaucoup de ministères où étaient choisi la plupart du personnel à nommer aux hautes fonctions. Il faut que cela cesse. Si les militaires ne doivent pas se mêler de politique, il devrait en être de même pour les magistrats, les diplomates et le personnel de l’administration générale.

  • Le 19 novembre 2014 à 22:32, par Danys En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    Parmi les décisions courageuses à prendre, il y a la dépolitisation de l’Administration publique. Avant la chute de l’ancien régime, il y avait des sections CDP dans beaucoup de ministères où étaient choisi la plupart du personnel à nommer aux hautes fonctions. Il faut que cela cesse. Si les militaires ne doivent pas se mêler de politique, il devrait en être de même pour les magistrats, les diplomates et le personnel de l’administration générale.

  • Le 19 novembre 2014 à 22:49 En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    Dans tous les cas nous restons vigilant. le SC s’opposera à un gouvernement dominé par des militaires. La révolution a d’abord été celle du peuple.

  • Le 19 novembre 2014 à 23:19 En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    Merci pour ce noble engagement Président KAF’ que l’éternel tout puissant vous assiste. Pour aisément pratiquer ses vols, détournements de deniers publics et autres malversations, Mme SOMKINDA à enlever nos valeureux et honnêtes cadres à leur poste pour les remplacer par sa famille. Ce qu’elle ignore, ces personnes dignes sont des agents de la CNSS et y resteront après elle ou y retourneront. Contrairement à elle, lorsquelle sera remplacée, elle ne pourra plus rien obtenir de la CNSS et ne pourra plus y remettre les pieds car elle sera enfermée à la MACO

  • Le 19 novembre 2014 à 23:41, par antibandit En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    tout jugement doit obligatoirement par celui du president compaoré car cest lui quia a laissé en suspens tous cds dossiers.

  • Le 19 novembre 2014 à 23:53, par ZISS En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    Je suis parfaitement d"avis avec la doctrine. Beaucoup avait prédit un total désastre lorsque le peuple tout entier se mobilisait pour un radical changement. Par la grâce de Dieu, ceux-là même qui étaient sûr de leurs prédications ont été surpris.
    Lorsque MZ a pris la tête de la transition pour mettre de l’ordre, le contraire de ce qui s’est passé le 16 et le 18 était une ferme conviction de beaucoup de citoyen.
    Que chacun se rappel de ce proverbe :"LA PATIENCE EST UN CHEMIN D’OR"
    Moi, bien que ne connaissant rien de la politique reste optimiste que tout se passera pour le meilleur.
    Ne semons pas le désespoir dans les cœurs de nos frères et sœur.
    Dieu nous a comblé de ce, dont nous n’attendions pas, rendons le grâce et restons convaincus que DIEU n’a point besoin d’arrange deux fois toutes choses dont IL demeure OMNIPOTENT et OMNISCIENT. QUE LA BENEDICTION DIVINE SOIT ÉTERNELLE SUR LA TERRE PROPRE DES BURKIMBI.

  • Le 20 novembre 2014 à 00:04, par lesage En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    celui qui vient par les armes,repart par les armes. sauf si et seulement si sage qu il est, il decide tres tot de gouverner pour le peuple. michel ou zida, le passe reste dans l histoire. il n est pas une preoccupation de lheure. seul le futur l est. attendons donc de voir leur degre de sagesse et de democratie. mais retenons qu un dictateur ne se met pas seulement en peril, mais aussi ses parents et proches. cest ca la responsabilite. que dieu guide tous les burkinabe et assiste mon cher pays

  • Le 20 novembre 2014 à 00:23, par Yameogo En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    Je me souviens de cet élégant joueur de football qui a fait de bonnes saisons à l’USO. Il était bien sûr plus jeune. Je voudrais lui souhaiter bonne arrivée dans cette jungle où tous les coups pleuvront. Pas parce qu’il est mauvais, mais pour la simple raison que c’est politique et au Faso. Espérons simplement l’arrêt de l’usage des armes pour résoudre les équations. Je le crois homme sans problème et lui donnerai 100% au départ. Je te souhaite de quitter en novembre 2015 avec au moins 50%. Bonne chance, bon courage et accroche toi car il y aura des secousses. Que le Seigneur et les mannes de nos ancêtres t’accompagnent tant que tu auras l’honnêteté et l’intégrité pour parler l’intérêt national

  • Le 20 novembre 2014 à 01:00, par Selano En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    AU JUSTE J’AI COMME L’IMPRESSION QUE NOTRE LUTTE ,NOTRE REVOLUTION A ETEE CONFISQUE PAR CE ZIDA ET TOUS CES LIMOGEAGES NE SONT QUE COUVERTURE ET BANDAGE DES YEUX DU PEUPLE . ET JE VOIS ENCORE EN CELA UN PRÉSIDENT QUI DES A PRÉSENT A QUITTE LE NAVIRE OUI IL A QUITTE LE NAVIRE
    DU MOMENT OU CE MONSIEUR TROUVE QUE LE DOSSIER BLAISE NE PEUT ETRE GÉRER EN SI PEU DE TEMPS PAR LUI BIEN-SUR . J’AI MAL POUR MA NATION ET JE LANCE LA PIERRE A CEUX DU CEFOP QUI ON TRAÎNÉS AVEC LA VICTOIRE JUSQU’A L’ARRIVEE DES MILITAIRE AU DEVANT DES CHOSES . DES PEUREUX TOUT FAIT ,ET ILS SE METTENT A ACCUSER A TORT CETTE DAME SARAN SEREME SERE OVATIONNE PAR LE PUBLIC ET CONDUITE DE FORCE A LA TNB . C’EST FINI,OUI C’EST FINI PUISQU’ILS ONT ACCEPTE PERDRE POUR GAGNER LA SUITE. PITIÉ A CEUX QUI REFUSENT DE VOIR LES CHOSES AU CLAIRE

  • Le 20 novembre 2014 à 02:22, par Burkinbila En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    N’OUBLIONS SURTOUT PAS QU’IL N’A QUE 12 MOIS COMME CHEF D’ETAT. A l’heure actuelle je pense que nous devons nous remettre simplement au travail en suivant de près ce que ces nouveaux dirigeants nous reservent. Il est plus que déplacé de jetter le discrédit maintenant sur des gens qu’on connait à peine. Personnellement je ne connaissais pas Kafando avant sa désignation au pouvoir. Et nous sommes des millions comme ça. Cette discrétion est tout à fait à son honneur. Quand à Zida, c’est évident qu’il ne pouvait pas rester au pouvoir vu la pression tant nationale qu’internationale qui pesait pour lui. Mais il a tout de même montré jusqu’à présent des signes de bonne volonté. Evitons les préjugés et formons un bloc autour de ces nouveaux dirigeants afin qu’ils puissent bien faire leur travail et nous mener à des élections démocratiques où nous pourrons élire enfin celui que nous pensons à même de diriger le Burkina. Les spéculations à l’heure actuelle ne servent à rien car il ne peut y avoir un président accepté par TOUS LES 17 MILLIONS DE BURKINABE. C’est pour ça qu’on parle de CONSENSUS.

  • Le 20 novembre 2014 à 04:30, par Nonguitaba En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    Bien parle LA DOCTRINE. La nommination du Lt Colonel est une suite des choses. Pourquoi ne pas le nommer afin qu’il continue le balayage ? Je pense qu’il est mieux placer et il connait bien les dossiers pourris puisqu’il etait proche de l’ancien regime. On devrait plutot l’encourager et qu’il mette vraiment l’ordre au Faso. Nul n’est parfait ces vrai et bien sur qu’il a des failles mais n’oublions pas q etre au RSP cela ne veut pas dire qu’il approuvait vraiment tout ce que l’ancien President et son clan faisait, lui il fait son boulot comme tout autre personne, q ca soit un medecin, un professeur, un garagiste, un chauffeur etc.. Donc je vois pa pourquoi travailler avec l’ancien regime a un moment de sa vie doit faire oublier les gens qu’il peut aussi travailler avec un autre president. Et il na pa ete nommer par le President seul. Q le seigneur apporte la paix du coeur a ceux qui en veulent au Lt Colonel zida ou meme au nouveau President et que chaque burkinabe se sente fier d’etre burkinabe et fasse son travail normalement et apporte les idees nouvelles dans le but de faire avancer le pays au lieu d’etre la avec des idees pessimistes.Et La transition ces juste pour une annee alors positivons et accompagnons les dans leur tache car ya bcp de choses a faire.

  • Le 20 novembre 2014 à 05:41, par philly En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    Bon vent mon President.

  • Le 20 novembre 2014 à 05:59, par youblobissan En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    On ne voit pas le ventre du nageur mais on voit son dos . Dieu le Tout le Puissant lui voit les deux.

  • Le 20 novembre 2014 à 06:15, par guesbaala En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    A la doctrine. Combien de personnes ovationnait blaise compaoré à chaque sortie ? Des milliers mais ils avaient tous tord. Ce n’est pas le nombre de gens qui ont applaudi zida à la maison du peuple qui lui donne raison ou pas mal. Ce sont les faits et les faits sont têtus. Blaise dehors, blaise dedans. Circulez ya rien à voir !

  • Le 20 novembre 2014 à 07:02 En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    Trop de violence verbale et de haine ! Éternels insatisfaits, calmez vous. C’est facile de s’asseoir et de déverser toute sa bile sur des personnes qui ont juré de travailler dans l’honnêteté ! Ce sont les tonneaux vides qui font le plus de bruit en plus. Il ne faut pas faire les ennemis du peuple vont se frotter les mains. Pardon !

  • Le 20 novembre 2014 à 08:36, par Akingueee En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    Vraiment tres bonne nouvelle. heureusement que le Ministre des mines est aussi partit. Vous vous rendez compte qu’il aurait ete invite par un staff d’une mine a Toronto, ces derniers lui auraient verse 50 millions cash pour avoir le permis d’exploitation. Etant ami de Francois compaore, il aurait clame que ce dernier en plus de Bognessan qui est ressortissan de la zone puisse toucher aussi un certain montant, Ceux ci auraient empoche chacun 30 millions et en mi octobre le conseil de minsitres octroya le permis a cette compagnie. il parait meme que le Maire de la zone a ramasse des benefices et des avantages, des postes pour ses enfants au sein de cette compagnie miniere, vous voyez, dissoudre les mairies arrangeront les choses, le systeme est tout pourri. voila il ya des milliers de jeunes qui souffrent sans job !!!!!!!le merite n’existe plus dans ce pays corrompu a mort.
    On doit sevir au minsitere des mines egalement, il y a encore des rats et memes des chats verreux, balayons tous ces gens, presi commence a secoue labas et progresse vers le minsitere des finances, la douane, les impots, passe a la CNSS, instaure des audits par l’autorite du controle de l’Etat, etc

  • Le 20 novembre 2014 à 08:39, par Kuilgatou En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    Que Dieu protège le Burkina faso que le président et son premier Ministre veillent aux attentes du peuple.question de l’impuniter, corruption, bien mal acquis, détournements, etc....félicitation son excellence ZIDA bon vent le Burkina souhaite un changement.Que Dieu protège le Burkina faso que le président et son premier Ministre veillent aux attentes du peuple.question de l’impuniter, corruption, bien mal acquis, détournements, etc....félicitation son excellence ZIDA bon vent le Burkina souhaite un changement.Que Dieu protège le Burkina faso que le président et son premier Ministre veillent aux attentes du peuple.question de l’impuniter, corruption, bien mal acquis, détournements, etc....félicitation son excellence ZIDA bon vent le Burkina souhaite un changement.

  • Le 20 novembre 2014 à 09:06, par Tinkwendé En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    Je pense que nous sommes devant un fait que nous nous devons d’observer avant de commencer à tirer des conclusions. Peut-être que j’ai une mauvaise analyse des choses, peut-être aussi que non. Pour ce qui est des doutes quant à la confiance à accorder au président et à son premier ministre, je crois nous pouvons nous tromper dans nos hypothèses et c’est selon. Blaise Compaoré et Thomas Sankara, n’étaient-ils pas de bons amis et aussi les pièces maîtresses de la révolution ? Et s’il est arrivé que Blaise Compaoré ait trahi Sankara, alors pourquoi ne pas aussi se dire, que même si Zida est du RSP, ce n’est pas pour autant qu’il était pour le régime ou travaillera forcement dans l’ombre avec et pour Blaise Compaoré. Je ne suis pas dans les secrets des dieux, je me dis que devons accorder un regain de confiance au duo Kafando-Zida. Dans tous les cas, c’est l’histoire qui nous dira de quel camp était la vérité.

  • Le 20 novembre 2014 à 09:06, par Ka En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    Michel Kafando a été choisi par une majorité, et un choix est un choix, le reste n’est que secondaire. Dans 12 mois le peuple jugera si ce choix était bon pour la transition et de ce qui est mieux pour le peuple, ou c’était simplement un choix pour remercier la garde présidentiel d’un service rendu. Que Michel Kafando soit un membre du CDP ou pas, chacun est libre : Ce qui est sure ce ne pas tous les membres du CDP qui sont mauvais.

  • Le 20 novembre 2014 à 09:10, par Ka En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    J’ai répondu a l’ex-majorité dans le B24 qui demande pardon au peuple Burkinabé pour leurs erreurs, et je doute que mon message véridique qui va pour le peuple et non pour le CSC soit publier, en voici mon message : L’ex-majorité ou l’ex-destructeur et corrupteur, respecter une loi était un crime ? Respecter sa parole était une honte ? Nous étions tous du sang du Burkina, et une constitution a accouché un article de loi que tout le peuple doit respecter. Les cris de nos sages, de nos chefs coutumiers, ne vous ont pas touchés. Vous n’aviez pas eu aucun respect pour les 98% du peuple qui était à genoux devant vos pieds en vous priant de respecter l’article 37 que les sages ont confirmés, et vous demande l’alternance pour que la jeunesse s’exprime. 100% des intellectuels de notre pays, 100% des juristes de notre pays, 100% de la jeunesse de notre pays, s’imposaient a votre entêtement, malgré tout, vous aviez voulu dupez un peuple mûri. Depuis 24 mois dans les sites d’information des réseaux sociaux en ligne de notre pays, et des pays voisins, j’ai crié 768 fois avec mes messages et plus de 3millions de messages des autres internautes de ne pas toucher à l’article 37 dont sa lettre et son esprit interdisent tout président du Faso de briguer 3 mandats présidentiels consécutifs : Ou passer outre ses prescriptions, ou un referendum bidon, vous risquez un soulèvement populaire et légitime suivi de la démission du président. Non vous n’aurez aucune excuse car votre entêtement a causé des morts, plus les crimes politique que vous aviez commis durant 27 ans. Tous les responsables du CDP qui sont dans les bois doivent répondre de leurs actes avec leur représentant qui est Blaise Compaoré. Vous voulez un pardon ? Qu’ Alain Yoda, Alain Traoré, Achille Tapsoba, Assimi Kouanda, OHO, tous les membres du BPN répondent les crimes de ce soulèvement populaire, et banni du CDP pour un nouveau départ d’un CDP nouveau. Le pardon des sages et du peuple ne s’obtienne que par un prix ! Payez votre entêtement cruel.’’’’’’’’

  • Le 20 novembre 2014 à 09:24, par willliams En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    Bonjour à tous ; Moi je voudrais que nous attendions de voir les actions que Zida engagera avant de juger que sa nomination au poste de premier ministre revient à une confiscation du pouvoir par l’armée. Si on juge vite on risque d’avoir tort lorsqu’il fera ce que l’on attendait de lui, et mieux encore, il pourrait nous surprendre en faisant mieux que nous ne l’avions envisagé

  • Le 20 novembre 2014 à 09:48, par antanbis En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    Je crois que le moment n’est pas au jugement mais à se mettre au travail. Restez à l’écoute, l’avenir nous dira la vérité. Laissez travailler les gens pour qu’à la fin l’on constate ce qu’ils ont promis haut et fort à la nation.
    bon vent et que Dieu guide chacun dans ses idées.

  • Le 20 novembre 2014 à 10:30, par SING En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    l’affaire GUIRO c’est tout ce que les nouvelles autorités voient ? Et GANDO- FRANCOIS et les dignitaires du CDP ? soyons sérieux.

  • Le 20 novembre 2014 à 10:32, par SING En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    l’affaire GUIRO c’est tout ce que les nouvelles autorités voient ? Et GANDO- FRANCOIS et les dignitaires du CDP ? soyons sérieux.

  • Le 20 novembre 2014 à 10:53, par sidpawalemde En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    oui,c’est d’accord que ns devons etre patient la Doctrine mais il ya de quoi s’inquieter si la justice doit traiter des dossier pendant vieux que de trois ans seulement ! et THOMAS SANKARA,NORBERT ZONGO pr ne citer que cela ? ns voulons une justice pr ts les burkinabes et ZIDA ET SEM PF ont un an pr ns prouver jusqu’où ils st sinceres avc le peuple,que notre revolut* ne sera pas trahis sinon ns restons vigilant et retourneront sur la rue s’il le faut au moment opportun et je profite lance un appel a la jeune

  • Le 20 novembre 2014 à 12:11, par El Pacifico En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    Bonjour cher tous,
    Arrêtons de gémir comme des femmes en couche et participons à écrire l’histoire du Burkina-Faso. Thomas Sankara dont nous sommes si fier aujourd’hui avait aussi été premier ministre d’un gouvernement dans notre pays, bien qu’étant militaire. Blaise COMPAORE nous a confiné dans un état de marasme idéologique. La révolution populaire d’Octobre nous a rendu libre et apte à orienter notre destinée de nous même. Un seul homme ne saurait encore voler notre liberté, sauf si nous acceptons encore de nous compromettre honteusement comme beaucoup de nos compatriotes ont eu à le faire à travers le CDP, la FEDAP-BC et je ne sais qu’elle autre organisations "des milles colinnes". Réflechissons à comment nous allons nous investir chacun à son niveau pour accompagner et encadrer les responsables et les organes de la transition.
    A vous les intervenants sur les forums de débat en ligne, attention à cette stratégie de communication car désormais le régime déchu va s’en servir pour produire de l’intoxication.
    Jugeons les acteurs sur leurs actes et le moment de l’évaluation viendra et nous donnera tort ou raison.
    Aussi prions tous ensemble afin que les fruits (mûrs) puissent tenir la promesse des fleurs.

    Bien à tous.

    El Pacifico

  • Le 20 novembre 2014 à 12:19, par sacsida En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    personnellement, je pense qu’il ne faut pas juger les uns et les autres sur leur appartenance antérieur, mais plutôt sur leur capacité à incarner le changement, à changer eux même leur vision en tenant compte des aspirations du peuple. je pense que nul n’est parfait sur cette terre. Donnons leur une chance pour nous prouver leur bonne foi. c’est le moindre mal à mon avis, parce que nos politiciens nous ont toujours démontré qu’ils sont incapables de s’entendre pour travailler. on ne peut pas satisfaire tout le monde et ça sera toujours comme ça. certains sont d’accord et d’autres pas. ce que je souhaite, c’est que les éléments de la transition et ceux qui viendront après la transition travail à éradiquer la corruption, l’injustice, le clientélisme, la politisation des services. que chacun travail à mériter sa promotion à la sueur de son front et non à la sueur des fesses, ni des pots de vin, ni de son appartenance familiale. qu’il sache mettre nos jeunes au défi, en leur accompagnant sincèrement dans la mise en œuvre de leur projets sans tenir compte de leur appartenance politique ou de leur lien familiale. qu’ils mettent l’accent sur l’agriculture, l’élévage, et l’éducation, afin de parvenir à l’auto suffisance alimentaire. Que Dieu Bénisse le Burkina Faso.

  • Le 20 novembre 2014 à 12:27, par Burkinabè En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    Ça commence mal, on s’est débarrassé d’un certain président qui réservait ses communications importantes aux médias étrangers. Le premier interview devait quand même être donné sur un média burkinabè. Cela montre auprès de qui il croit rendre compte : la France et la communauté dite internationale.

  • Le 20 novembre 2014 à 13:53, par RAWA En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    LES BURKINABE ONT ETE TELEMENT TRAUMATISES PAR 27 ANS DE DICTTATURES ET DE COMPLOTS DE BLAISE QU’ILS NE CROIENT PLUS EN RIEN. BEAUCOUP N’ARRIVE PAS ENCORE A REALISER QUE LA COMPAOROSE, C’EST FINI. LES GARS, GARDEZ VOTRE CALME ET OBSERVEZ AVANT D’ETALER CE PESSIMISME. PLUS RIEN NE PEUT ETRE COMME AVANT.

  • Le 20 novembre 2014 à 14:03, par lassane tiemtore En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    que dieu vous donne le courage la volonte le pouvoir le bonheur a gouverne notre pays de paix

  • Le 20 novembre 2014 à 14:28, par sidpawalemde En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    pourkoi tout mon message n’a pas ete publie ? je ne comprends pas ! jusqu’a demain je dirai que c’est la france qui est a l’origine de ts les maux que ns vivons ds ts les pays francophe en proie a des et autre trouble.et donc ns demandons a la france une cooperat* gagnan-gagnan avc nos dirigeant sinon c’est une revolut* qui l’obligera a quitte son pretendu precare francais en afric.ns ne somme pas contre les français mais contre la politique de la france en afric. ns demandons aussi a nos dirigeant d’arreter de donner plus d’estime au occidentaux qu’ils n’en donne a leur propre frere noir sur notre propre continent.ns refusons d’admettre cette pauvrete fabriquee par la france et ces alies qu’on veut plaquer a notre cher continent africain,continent sans lequel,des nations entiere se disant puissante vont s’effondree !c’est ça la realite.ns ne voulons plus de president fantoches qui s’associent aux occidentaux pr sucer notre sang.LA PATRIE OU LA MORT NOUS VAINCRONS !

  • Le 20 novembre 2014 à 14:46, par yaogo bernard En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    bravo a l’armer et a tous les burkinabés le président de transition et son premier ministre ainsi que les membres du gouvernement qui seront placer connaisse déjà les souhaits les plus préoccupantes du peuple. peut importe chacun son parti. si la révolution du 30 et 31 a put changer le régime de 27ans se ne pas un régime de 12 mois qui oubliera rapidement les dates du 30 et 31 octobre passé prion pur eux et que la lumière faites sur tout ce qui était sombre au yeux de tous les burkinabés.

  • Le 20 novembre 2014 à 19:15, par l’observateur En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    je suis réellement dans le doute ; a mon avis notre révolution a été volée par le Gle Dienderé et son clan. ce que ZIDA a fait dans ces deux jours n’est rien d’autres qu’une stratégie pour conquérir le cœur des Burkinabè. a la lecture de ces différentes réactions, je vois bien qu’il a reçu. ces gestes même s’il ne le posaient pas aucun nouveau président n’allait échapper à cet exercice. nous savons que toutes les grosses entreprises de ce pays sont dirigées par les proches du pouvoir, donc un nouveau président pour montrer au peuple la rupture ne pouvait que faire cet exercice. donc à mon avis ce ne sont pas des gestes forts.
    je pense bien qu’on s’est fait piégé, mais nous serions obligé de faire avec pendant un an. si le peuple reste vigilant, ils seront obliger de travailler pour eux. donc ils ne faut pas disperser vos forces , restons vigilants sur toute la période de transition. DIEU nous aidera.

  • Le 20 novembre 2014 à 22:41, par Ka En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    Son excellence Mr. Michèle Kafando je réponds a votre intervention publier dans B24, ‘’’’’vous unirez tout le peuple Burkinabé si vous arrivez à faire la garde présidentiel et tous les autres corps de l’armée Burkinabé une seule armée et a titre égale. La garde présidentiel est réputé depuis plus de 27 ans un corps dominant de tous les corps de l’armée Burkinabé. Si vous arrivez a reformer ce corps de la garde présidentiel, en écartant les meneurs vous dormirez mieux a Kossyam pour tourner bien le volant de la transition. Le peuple vous regarde.’’’’’’’

  • Le 22 novembre 2014 à 00:01, par l homme integre fache En réponse à : Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »

    Hey Kafando, prend le 1 er carton jaune de l homme integre fache.
    ya HORIZON FM a Ouaga, Il y a OMEGA FM, il y a meme La TNB, pourquoi ta 1 ere interview c est sur RFI ?
    Les presidents complexes comme celui qui est parti ,qui ne parlais pas a la presse nationale, nous on veux pas, le BURKINA et LES MEDIAS BURKINABE d ABORD, tu as compris ?

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