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Concertations sur la transition : Accord sur les modalités mais le nom du Président se fait toujours attendre

Publié le jeudi 6 novembre 2014 à 05h44min

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Concertations sur la transition : Accord sur les modalités mais le nom du Président se fait toujours attendre

Trois Chefs d’Etat de la CEDEAO étaient à Ouagadougou ce 5 novembre, dans le cadre d’une réunion de haut niveau pour examiner la situation qui prévaut au Burkina en vue de proposer une sortie de crise. Arrivés à 10h, Macky Sall, Goodluck Jonathan et John Dramani Mahama ont conduit les discussions avec les différents acteurs jusqu’après 21 heures. Aucun nom n’est sorti de ce marathon comme président de la transition, comme l’espéraient de nombreuses personnes, mais plutôt des propositions de sortie de crise. C’est ce qui ressort du communiqué final ci-dessous :

Communiqué final

Conformément à l’esprit et à la lettre du Protocole AFC1/2001 relatif à la démocratie et à la bonne gouvernance, Son Excellence John Dramani Mahama, Président de la République du Ghana et Président en exercice de la CEDEAO ; leurs Excellences Goodluck Jonathan, Président de la République fédérale du Nigeria et Macky Sall, Président de la République du Sénégal, ont effectué le 5 novembre 2014, une visite de consultation à Ouagadougou en vue d’aider à la facilitation du dialogue politique suite aux récents évènements qu’a connu le Burkina Faso, à savoir la démission du Président Blaise Compaoré et la dissolution de gouvernement.

Les Chefs d’Etat et de gouvernement ont reçu le rapport de la mission conjointe d’évaluation des Nation-Unies, de l‘Union africaine et de la CEDEAO envoyée à Ouagadougou le 31 octobre au 5 novembre 2014. Ils se sont également concertés avec toutes les parties prenantes Burkinabè y compris les leaders de partis politiques, les leaders de la société civile, les chefs religieux et traditionnels ainsi que les Forces armées nationales. Ils ont également consulté le président et les membres du Conseil constitutionnel. A l’issue de ces consultations, les Chefs d’Etat et de gouvernement ont pris note des opinions exprimées par toutes parties prenantes qui ont marqué leur accord sur la nécessité de :

1°-la levée immédiate de la suspension de la Constitution permettant au Conseil Constitutionnel de déclarer la vacance du pouvoir et annoncer le processus de la mise en place d‘un gouvernement de transition ;

2°-la nomination urgente par consensus d’une éminente personnalité civile pour présider la transition ;

3°-la formation d’un gouvernement de transition pour une période d’un (1) an ;

4°-l’organisation d’élections présidentielles et législatives d’ici novembre 2015 ;

5°-la garantie de la sécurité de tous les Burkinabè, y compris les leaders politiques, les membres du gouvernement et de l’Assemblée nationale sortant, ainsi que la protection des droits des personnes et des biens ;

6°-la conduite de consultations inclusives entre les leaders des partis politiques, les représentants de la société civile, les leaders religieux et traditionnels ainsi que les Forces armées nationales afin d’arrêter la structure et la composition de l’organe de transition.

Par ailleurs, les Chefs d’Etat et de gouvernement ont rappelé l’important rôle que joue le Burkina Faso dans le cadre des efforts visant la paix et la sécurité globale ainsi que la stabilité politique au niveau régional, continental, en particulier, la participation active dans les missions de maintien de la paix et les processus de médiation.

Les Chefs d’Etat et de gouvernement ont lancé un appel à toutes les parties prenantes pour engager un dialogue en vue de définir une transition cohérente et consensuelle. Ils ont exprimé leurs condoléances les plus attristées aux familles éplorées et leur sympathie aux victimes de l’insurrection du 30 octobre 2014.

Ils ont également exprimé leur profonde gratitude au lieutenant-colonel Yacouba Isaac Zida et à toutes les forces armées du Burkina Faso pour leur professionnalisme dans le maintien de la sécurité, de la loi et de l’ordre ainsi que pour leur rôle positif dans la mise en place d’un processus de transition dirigé par une personnalité civile.

Les Chefs d’Etat et de gouvernement ont convenu de rendre compte au sommet extraordinaire des Chefs d’Etat et de gouvernement de la CEDEAO prévu à Accra les 6 et 7 novembre 2014.

Fait à Ouagadougou, le 5 novembre

Pour la délégation,

Le Président en exercice de la Conférence des Chefs d’Etat et de gouvernement de la CEDEAO.

Retranscris par :
Oumar L. OUEDRAOGO et
Tiga Cheick SAWADOGO

Lefaso.net

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Vos commentaires

  • Le 6 novembre 2014 à 06:30, par lewang En réponse à : Concertations sur la transition : Accord sur les modalités mais le nom du Président se fait toujours attendre

    Messieurs les pédecins après la mort, je vous aurais sin-rement remercié si vous aviez eu la couille nécessaire pour dire à votre ex collègue Blaise Compaoré de ne pas éssayer de tripatouiller la constitution pour y s’éterniser. Ces morts, déchirure du peule et temps perdu actuellement auraient été épargnés si vous aviez eu ce courage. Mais non , on regarde patiemment comme si votre collegue était un dieu et on vient après jouer au pompier. On a tt compris...c’est pour ça que votre organisation sera loin d’etre la CEDEAO des peuples. Il restera CEDEAO des nations puisque le sommet l’a trsnformé en concert de nations et de chefs d’état juste pour faire valoir.

  • Le 6 novembre 2014 à 07:33 En réponse à : Concertations sur la transition : Accord sur les modalités mais le nom du Président se fait toujours attendre

    J’appelle à tous les patriotes autour de la table de concertation ; méfier vous des premiers des tente six mille venus, surtout le sénégalais qu’est ce qu’il viens faire au Burkina après ces déclarations ? comprenez que si la CEDEAO propose 1 ans de transition cela correspond exactement au temps qui restait à blaise compaoré pour finir son mandat. En outre ils déclarent que le Burkina joue un rôle très important dans la stabilité de la sous région. c’est parce qu’ils pensent que ça va continuer ainsi. chaque pays de la sous région n’a qu’a assurer sa propre sécurité. justement parce que l’ex président a oublier son peuple au profit de vous qu’on a précipité sa chute.Il n’y a pas d’union en Afrique sinon l’Afrique n’allait pas continuer a occuper la dernière place vu les richesses qu’elle a. ces gars de la cedeao sont venus pour les intérêts de leur pays pas ceux du Burkina Faso. LA PATRIE OU LA MORT NOUS VAINCRONS ?

  • Le 6 novembre 2014 à 07:37, par yaaba En réponse à : Concertations sur la transition : Accord sur les modalités mais le nom du Président se fait toujours attendre

    Proposition du chef de la transition : pourquoi pas Kabré Désiré OUEDRAOGO ? S’il n’est pas mouillé dans la politique, il pourrait diriger le pays en attendant les futures élections couplees de 2015...c’est juste une proposition.

  • Le 6 novembre 2014 à 08:33, par TS En réponse à : Concertations sur la transition : Accord sur les modalités mais le nom du Président se fait toujours attendre

    Je pense que c’est une bonne chose de laisser au burkinabè de désigner par consensus interne la personne capable de conduire cette transition. Cependant je déplore le fait d’associer l’ex-majorité à cette discussion qui est à l’origine de cette crise. ça ne doit pas se négocier, ils doivent assumer ces conséquences. Pour pérenniser cette paix durable au Burkina éviter de faire appel de façon publique aux membres de l’ex-majorité car la population les déteste actuellement.

  • Le 6 novembre 2014 à 08:35, par Bolonoon En réponse à : Concertations sur la transition : Accord sur les modalités mais le nom du Président se fait toujours attendre

    Mr SAVADOGO Boubacar, Président du Conseil Régional du Nord (Ouahigouya) a déclaré publiquement des menaces visant à incendier les domiciles des leaders de l’opposition et de la société civile. Donc j’espère que la Gendarmerie va l’interpeller immédiatement tout comme Koanda et Zongo !

  • Le 6 novembre 2014 à 08:54, par La doctrine En réponse à : Concertations sur la transition : Accord sur les modalités mais le nom du Président se fait toujours attendre

    Dieu merci. C’est la preuve que Dieu aime le Burkina Faso.

  • Le 6 novembre 2014 à 09:06, par sergent CHE En réponse à : Concertations sur la transition : Accord sur les modalités mais le nom du Président se fait toujours attendre

    Le peuple du BURKINA FASO est reconnaissant à la CEDEAO pour ce qu’elle tente de faire pour ramener la stabilité. Mais ces efforts auraient dû être déployés depuis les marche-meetings et les appels au secours de l’Opposition et de la Société civile il y a environ un an. La prévention des crises ne se décrète pas. C’est sur le terrain, avec l’écoute des parties qu’on se bâtit une opinion et les mécanismes se mettent en branle pour éviter les conflits. Qu’a fait la CEDEAO en réponse aux appels des OSC, de la jeunesse et de l’Opposition politique ? Que l’exemple du BURKINA FASO serve de cas d’école à la communauté internationale./

  • Le 6 novembre 2014 à 09:07, par RAWA En réponse à : Concertations sur la transition : Accord sur les modalités mais le nom du Président se fait toujours attendre

    Le BF ne jouera plus ce prétendu rôle de médiateur, stabilisateur de la sous région parce qu’il ne rentrera plus dans ces histoires de pyromane pompier. il faut le dire clairement, notre pays en complicité avec la france passait le temps à créer des conflits chez les autres. Il est maintenant temps de travailler chez nous honnêtement pour le developpement.

  • Le 6 novembre 2014 à 09:23, par Yamsoba En réponse à : Concertations sur la transition : Accord sur les modalités mais le nom du Président se fait toujours attendre

    7°- La personne qui sera chargé de conduire la transition ne doit pas être un politique.

    8°- La personne qui sera chargé de conduire la transition ne peut pas se présenter aux élections

  • Le 6 novembre 2014 à 09:37, par nouvelle constitution En réponse à : Concertations sur la transition : Accord sur les modalités mais le nom du Président se fait toujours attendre

    Courage à tous les acteurs ! Mais j’invite les acteurs à ce faire plus de soucis sur l’avenir ! Il nous faut une NOUVELLE constitution BETON, afin qu’aucun président n’ait des prérogatives, qu’il lui fait penser qu’il est " homme fort " ! Nous voulons des institutions fortes, qui peuvent sanctionner un président en exercice !

    Propositions pour la nouvelle constitution pour le BURKINA FASO :
    1) Le président est élu pour un mandat de 5 ans, rééligible 1 fois !
    2) Un ex-président (après 1 ou 2 mandats) ne peut se représenter qu’après une période de 15 ans de la fin de son mandat (ceci pour éviter une démocratie bête à la Russie, où Poutine et Medved se remplacent à tour de rôle)
    3) La durée, le nombre de mandats sont inscrits dans les articles NON MODIFIABLES et PAS A REMETTRE EN CAUSE (peu importe la manière, la voie)
    4) Pour un Président en exercice, il n’est pas autorisé la création d’association, de mouvement en SON NOM , ni au nom d’un membre de sa famille directe (sa femme et ses enfants - je veux parler des côneries de FEDAP/BC, ABC, Tantie de Blaise, les amies à Djamila, etc.)
    5) Le conseil constitutionnel doit être autonome, le président ne peut nommer aucun juge là bas, ni le président du conseil
    6) La CENI doit être autonome
    7) Les candidatures indépendantes pour les présidentielles, les législatives et les municipales sont autorisées
    8) A l’assemblée nationale, le nombre de mandat des députés est limité à 2 maxi, et plus jamais après (ceci pour éviter des députés à vie, qui viennent dormir à l’AN) !
    9) Pour les maires également, 2 mandats maxi
    10) Une modification de la constitution doit forcément passée par l’assemblée nationale, et requérir l’avis du peuple (référendum)
    11) Toutes les prérogatives qui avaient été taillées sur mesure dans l’ancienne constitution, élaborée pour blaise, doivent être supprimées. Il faut créer bien une séparation des pouvoirs, avec une justice indépendante, un conseil constitutionnel indépendant, etc.
    12) Mettre un article, qui oblige le président entrant à déclarer ses biens avant de prendre le pouvoir, et à déclarer lorsqu’il quitte le pouvoir. Et chaque président et ses gouvernements doivent répondre de leur gestion du pouvoir.

    Ceci permettra des alternances obligatoires, des rotations aux têtes de nos institutions, et évitera que les intellectuels se prostituent, sans dignité à des mortels, parce qu’ils sont au pouvoir, et à cause des intérêts ! Car si ces imbéciles savent que ce président est là pour maxi 10 ans, ils sauront se fixer à lui, et non faire comme s’il était là éternellement (temps de blaise compaoré) !

  • Le 6 novembre 2014 à 09:49, par wendyam En réponse à : Concertations sur la transition : Accord sur les modalités mais le nom du Président se fait toujours attendre

    Si vous reactivez la Constitution Soungalo va diriger la transition On ne va pas faire des complexes de c’est un partisan de Blaise COMPAORE ALORS QUEZEPH ET SON cfop SONT LES VRAIS PYROMANES QUI ONT BRÜLE ET PILLE CE PAYS

  • Le 6 novembre 2014 à 09:54, par sos En réponse à : Concertations sur la transition : Accord sur les modalités mais le nom du Président se fait toujours attendre

    voyez le collège des sages pour un choix.
    comme la religion est apolitique renvoyez la balle à leur niveau. les quatre religions vont se concerter pour vous trouver le président de transition en leur sein. c’est ce que je propose.

  • Le 6 novembre 2014 à 10:17, par SIA YAC En réponse à : Concertations sur la transition : Accord sur les modalités mais le nom du Président se fait toujours attendre

    Bonjour !
    Pour ma part, je pense qu’il plus urgent de résoudre la transition en consultant toutes les parties prenantes. aussi, l’armée doit faire preuve de patriotisme et de sursaut afin la paix puisse revenir dans notre cher pays à tous.
    Je pense qu’il sera inadmissible pour que les membres de l’ancien régime fassent partie de la transition car, ils sont tous responsables des carnages et blessures nos frères ont été l’objet ; les principaux leaders devront être arrêtés à savoir ASSIMI KOUANDA, ALAIN YODA, Gilbert OUEDRAOGO, Maxime KABORE, Mchel OUEDRAOGO (FESPACO), Hermane YAMEOGO, Gilbert DIENDERE( général), Alha YAGHO, Mathisa alias OUEDRAOGO (coordonnateur des élèves et étudiants CDP),......

    NB : Le CDP peut participer aux élections mais pas à cette transition !

  • Le 6 novembre 2014 à 10:40, par Parure En réponse à : Concertations sur la transition : Accord sur les modalités mais le nom du Président se fait toujours attendre

    Maintenant qu’une transition civile est proposée et en accord avec toutes les parties, la choix de la personnalité se doit d’être plus que déterminant et à l’unanimité. Une homme ou une femme dont on sait et connaît la DROITURE, la NEUTRALITE, la PROBITE, le COURAGE et la RESPONSABILITE. Il y a des gens comme ça au Faso, il n’est pas laborieux de les trouver.

  • Le 6 novembre 2014 à 11:31, par Karissa En réponse à : Concertations sur la transition : Accord sur les modalités mais le nom du Président se fait toujours attendre

    Les chasseurs de primes ou de trophées, qui se font passer pour la communauté internationale, peuvent repartir chez eux.
    N’ont-ils pas vu que nous avons engagé des concertations pour nous accorder sur une transition civile et démocratique dans les meilleurs délais ?
    N’ont-ils pas vu que le Peuple a nettoyé ses villes et est reparti au travail ?
    Que viennent-ils faire ici, maintenant ? Où étaient-ils pendant les 27 ans de dictature déguisée en pseudo-démocratie, quand les manifestations ont commencé, quand le soulèvement a commencé ?
    Qu’ils se partagent leurs perdiem et retournent dans leurs tours d’ivoire. Mieux, qu’ils aillent dans les pays qui courent de graves risques du fait de velléités de tripatouillage des constitutions ; cela permettrait peut-être aux peuples de ces pays de faire l’économie du sacrifice que le Peuple Burkinabè a dû consentir pour sa libération.

  • Le 6 novembre 2014 à 11:51, par Bonou Thomas Messan En réponse à : Concertations sur la transition : Accord sur les modalités mais le nom du Président se fait toujours attendre

    Il faut que nous arrivions à appliquer le contenu de ce que nous signons , nous les africains ! Nous devons donner du respect à ce que nous disons . Le pouvoir exécutif se trouve au-dessus du pouvoir législatif et du pouvoir judiciaire alors que a priori , vu le cadre d’existence de ces pouvoirs , ils sont complémentaires . C’est le peuple qui a concédé une parcelle de pouvoir à ces trois entités . Aussi à tout instant l’esprit global de ce peuple peut comme l’Esprit Saint reprendre sa portion de pouvoir , quoi que puisse lui coûter ce sacrifice ! Les chefs militaires actuellement au pouvoir exécutif burkinabè ne sont ils pas nommés par Blaise Compaoré ? Si oui , qu’ils se retirent autant que Blaise l’a fait se repliant à leur base respective attendant qu’on les nomme si possible à d’autres fonctions .

  • Le 6 novembre 2014 à 11:57 En réponse à : Concertations sur la transition : Accord sur les modalités mais le nom du Président se fait toujours attendre

    Moi je ne suis pas trop presse par rapport au type qui va conduire la transition. La grande victoire du peuple, c’est quecane sera plus un militaire malgre la rhetorique onctueuse mais ignorante des realites de ce pays depuis 27 ans. Nous qui vivons ici, on sait que notre"armee" actuelle doit d’ abord passer par une cure de "desintoxication" avant d’ etre l’ armee du peuple comme c’etait le cas sous Sankara.Nous sous sommes battus contre une armee qui protegeait un seul individu. En 1992, j’ etais encore sur le campus et ils ont tire a balles reelles sur nous et Kilmite a dit que c’est faux, que ceux qui sont blesses sont tombes dans un puits "et ca aussi, c’est normal". Tout ce que tu dis , fais et ecris sera retenu contre toi, hommes publiques.En 1995, la gendarmerie a tire a balles reelles sur des eleves qui manifestaient rien qu’ avec des cailloux. Le commissaire de Garango, Leopold Some, a fait fermer les portes du commissariat quand il a vu les eleves arriver. Mais Jean Pierre Ouattara s’ est leve de son bar, est parti se mettre en tenue combat et a provoque les eleves. Il leur a dit que la gendarmerie n’ est pas la police et que s’ ils osent venir la- bas, il faut savoir qui est garcon. Si tu tien un tel language a un adolescent, c’, est que tu as cherche bagarre. Resultats : En 2 minutes il a abattu comme des pintades Lingani et Sidiani de dos meme. Consequences . Rien. Il a ete mute dans un poste plus juteux parce que comme le dit le grand intellectuel Melegue, "on ne s’ attaque pas a une caserne parce que imaginez si ces eleves avaient pris les armes de la caserne". Nos intellectuels sont tellement forts. Ils peuvent tout justifier.1997, pour une bagarre de chefferie a Kaya(dans le Nahourir), les commandos debarquent et ce fut la catastrophe. Des dizaines de morts et des gens ont fui au Ghana. Ils y sont tojours. 1998, le comble. Norbert Zongo et ses trois compagnons de voyage sont tues et brules. Yarga Larba dit que ce n’est pas notre armee, que c’ est un accident et puis comme Norbert Zongo avait un fusil, que ce sont des balles qui ont explose parce que le vehicule a pris feu. Apres il vient dire que ce sont des braconniers. Tout ca, sans preuves pour un juriste. Mais je comprends. Avec le regime de Blaise, si tu es un juriste reel, tu as des problemes. Apres enquete de la CEI, on a epingle 6 suspects serieux qui sont tous du RSP, donc de l’ armee. Mais un a un ils sont tous morts. Dans les maifestations qui on suivi, on tire sur des populations a mains nues. Djibril Bassolet dit que c’est tres bien execute parce qu’ on a tire sur les pieds, que c’est comme ca qu’ on fait. mon General, je ne savais pas que les pieds ne faisaient pas partie de l’ integrite du corps mais je n’i jamais vu combien de fois vous avez tirer sur les pieds de votre gaillard qui a eu maille a partir avec la gendarmerie dans l’ affaire des sachets noirs en 2005. En 2006, l’ armee se met a tirer sur les policiers. En 2011, l’ armee se mutine pour reclamer ses sous que les grades ont mange. Mais bizarrement, ils se tournent contre nous les civils et nous volent et violent nos femmes et nos filles. Dans la meme annee 2011, un militaire fait irruption dans un bar et tire sur le gerant. Il est lui aussi du RSP. Tout dernierement, c’est ce jeune soldat Woba qui va jusque chez Dame Nikiema et qui tire sur elle, traumatise toute une famille et la tue. Pourquoi ? Elle n’avait pas le droit de ne plus aimer un codo. C’est un crime de lese- majeste. Si tu fais on te fais et ya rien, ca ca vient des civils, ca ? Avec la grande manifestation contre le Guinarou de Ziniare, les militaires on tire a balles reelles, a balles reelles sur des citoyens qui manifestaient. Pourtant la desobeissance civile est legale. Voila pourquoi les burkinabe ont vu tres clair et ont dit qu’ un pouvoir militaire, pas moyen. Et surtout meme pas apres ce grand risque qu’ on ne pouvait pas ne pas prendre pour liberer le pays d’ un clan, d’ une famille, d’ un individu. Sinon, l’ armee, ce sont nos freres, mais pas dans sa version RSP actuelle. Comme c’est le peuple qui a eu mal, c’est lui qui sait la decision qui lui convient le mieux.Le reste n’est que litterature contemplative.

  • Le 6 novembre 2014 à 12:10 En réponse à : Concertations sur la transition : Accord sur les modalités mais le nom du Président se fait toujours attendre

    j’adhère à la nouvelle constitution

  • Le 6 novembre 2014 à 12:21, par la Justice En réponse à : Concertations sur la transition : Accord sur les modalités mais le nom du Président se fait toujours attendre

    Je propose que la transition soit dirigée par l évêque de Bobo ou de Koupéla si leur charge ne les interdissent.

  • Le 6 novembre 2014 à 12:29, par SIMPLISTE En réponse à : Concertations sur la transition : Accord sur les modalités mais le nom du Président se fait toujours attendre

    Je pense que la transition peut etre dirigé par les CHEFS COUTUMIERS. pour permettre les politiques de se retirer en vue de preparer une election constitutionnelle et democratique. je propose aussi que tout président élu au Burkina prête serment devant les coutumes qui se chargeraient d´une visite foudr... pardon inatendue si toute fois il lui vient á l´idée de verser le sang, de comettre des crimes economiques ou meme de trahire les promesses données au peuple.

    juste une proposition

  • Le 6 novembre 2014 à 12:31, par La lumière En réponse à : Concertations sur la transition : Accord sur les modalités mais le nom du Président se fait toujours attendre

    Merci à ces médecins après la guérison du malade. Ils viennent pour faire la paix avec nous comme s’ils étaient sur la planète Mars que Blaiso ’’était en chaleur’’.
    Merci pour votre contribution mais je pense que ca devrait être une leçon pour toute l’Afrique si on veut bien consolider notre démocratie. On attends toujours quand bcp de choses de gâtent pour venir faire la médiation.
    Il faudrait également que l’actuelle opposition (CDP et ADF/RDA et UNDD) fassent très attention car la flamme est passé mais il reste le charbon allumé ils pourront subir pire que ce qu’ils ont déjà subis. Donc ils ont intérêt à rester dans leur terriers en attendant la journée nationale de vérité et réconciliation.
    Camarades restons vigilants et faisons la promotion de la paix sociale.
    Félicitation à Zida, tu sera décoré par le peuple Burkinabé

  • Le 6 novembre 2014 à 12:31, par NulNestIndispensable En réponse à : Concertations sur la transition : Accord sur les modalités mais le nom du Président se fait toujours attendre

    A mon avis les responsables du CDP, ADF/RDA, UNDD etc ne peuvent pas intégrer le cadre de dialogue devant décider de la transition car étant responsable de cette dramatique situation qu’a connu le Burkina. Ils ont le sang des Burkinabé sur leurs mains et doivent d’abord rendre compte de leur gestion du pouvoir public. Je demande à la gendarmerie de mener les enquêtes appropriées en fouillant dans leurs maisons (qui sait s’ils ne vont pas retrouver les restes des corps des Burkinabés disparus).

  • Le 6 novembre 2014 à 12:33, par doudouno le cobra En réponse à : Concertations sur la transition : Accord sur les modalités mais le nom du Président se fait toujours attendre

    Si tu veux qu’ont emprisonne les leaders du CDP, pourquoi pas Roch Simon Salif les plus grand délinquants de la quatrième république. Si ont part aux élections le CDP va vous battre comme d’habitude. Le MPP c’est un CDP bis.Mon ami SIA YAC partout ou tu part tu aura à faire aux CDP à moins que tu ne quittes le pays

  • Le 6 novembre 2014 à 12:40, par Michel En réponse à : Concertations sur la transition : Accord sur les modalités mais le nom du Président se fait toujours attendre

    Je propose Saran SEREME SERE comme Présidente de la transition.

  • Le 6 novembre 2014 à 13:10, par LE FERVENT MILITANT DU MPP, LE GRAND ZAPATA !!!! En réponse à : Concertations sur la transition : Accord sur les modalités mais le nom du Président se fait toujours attendre

    SOS POUR UN PEUPLE EN DANGER, L’AFRIQUE HYPOCRITE ET IRRESPONSABLE AU SECOURS DU TRÈS MOURANT BURKINA FASO !!!!Dire que nous saluons très chaleureusement cette visite des PRÉSIDENTS GHANÉEN, NIGÉRIAN ET SÉNÉGALAIS c’est peu dire car elle est bien tardive parce que LE BURKINA FASO...
    SOS POUR UN PEUPLE EN DANGER, L’AFRIQUE HYPOCRITE ET IRRESPONSABLE AU SECOURS DU TRÈS MOURANT BURKINA FASO !!!!

    Dire que nous saluons très chaleureusement cette visite des PRÉSIDENTS GHANÉEN, NIGÉRIAN ET SÉNÉGALAIS c’est peu dire car elle est bien tardive parce que LE BURKINA FASO revient de très loin où c’est L’ARMÉE RÉPUBLICAINE BURKINABÈ au travers DU RÉGIMENT DE LA SÉCURITÉ PRÉSIDENTIELLE = LE RSP qui a pris toutes ses responsabilités face à la détermination historique du PEUPLE INTÈGRE BURKINABÈ pour déposer proprement LE DICTATEUR BLAISE. Sans ce dénouement presque inattendu, nous serions très certainement à plus de 1.000.000 DE MORTS à l’heure actuelle plus de 5 jours après L’INSURRECTION POPULAIRE car BLAISE était très décidé à rester et à mourir au pouvoir et cela LES 17 MILLIONS DE BURKINABÈ n’allaient plus jamais le permettre ou le favoriser en se laissant faire. Donc LE DICTATEUR BLAISE pour régner éternellement sur LE BURKINA FASO avait l’obligation extrême de massacrer tous les burkinabè. Après plus de 45 MORTS et des dégâts matériels estimés à plus 25 MILLIARDS DE FCFA, il n’y a aucun doute que LE BURKINA FASO mettra au moins 2 ANS pour panser ses plaies car c’est un pays enclavé, sahélien sans aucune ressource et pauvre très endetté et donc le pays des hommes intègres mettra assez de temps pour se relever DE CE TSUNAMI HUMAIN ET MATÉRIEL à cause des caprices d’un seul homme !

    LE DRAME BURKINABÈ latent et qui pointait tout doucement à l’horizon n’a pas surpris qui que ce soit. Nous autres forumistes depuis DÉBUT 2013, nous avons attiré l’attention de LA COMMUNAUTÉ INTERNATIONALE que LE PRÉSIDENT BLAISE COMPAORÉ voulait mourir au pouvoir en tentant par la force UN COUP D’ÉTAT CONSTITUTIONNEL.LE GRAND ZAPATA demande qu’on arrête ces manières diplomatiques de faire de la politique car on n’avait pas trop besoin de DORLOTER BLAISE qui était même prêt à massacrer son propre peuple pour préserver SON TRÔNE acquis de manière frauduleuse et il fallait l’en dissuader aussi diplomatiquement en brandissant automatiquement des menaces et des sanctions par exemple.LA CRISE BURKINABÈ n’a donc surpris personne et elle était visible et palpable depuis plus de 5 ANS et pourquoi ne l’avoir pas alors arrêté à temps ?! Maintenant que tout est gâté que peut réellement L’AFRIQUE POUR LE BURKINA FASO PLUS APPAUVRI QUE JAMAIS ?!

    NOS 3 PRÉSIDENTS (LE GHANÉEN JOHN DRAMANI, LE SÉNÉGALAIS GORGUI MACKY SALL ET LE NIGÉRIAN GOODLUCK JONATHAN) viendront pour exiger très rapidement UNE TRANSITION CIVILE APAISÉE et pleurer très hypocritement LA SOUFFRANCE DU PEUPLE INTÈGRE BURKINABÈ.C’est aussi venir pour menacer ouvertement LE PRÉSIDENT DU FASO ZIDA de quitter au plus vite le pouvoir sinon on va couper LE ROBINET DES FINANCEMENTS à son pays (LE CANADA vient déjà de le faire !). Et ainsi de suite patati patata ! PAUVRE AFRIQUE, nous avons des organisations sous-régionales rien que budgétivores mais incompétentes et irresponsables et qui en réalité ne nous servent pas à grand-chose. 2 JOURS avant que LE PRÉSIDENT BLAISE ne lance le projet de loi de modification constitutionnelle = LE COUP D’ÉTAT CONSTITUTIONNEL qui a fini par le bouffer très mal, il y a eu lieu à OUAGADOUGOU même UNE RENCONTRE DE L’UEMOA avec la présence de plus de 5 PRÉSIDENTS AFRICAINS et vous me direz qu’aucun président n’a eu le courage de dire à BLAISE qu’il fonce droit dans le mur et qu’il va se fracasser terriblement le crâne. Nous souhaitons ardemment que sur tout le continent africain que L’EXEMPLE BURKINABÈ soit pratiquement le dernier car des cris de cœurs des braves populations nous parviennent déjà DU CONGO-KINSHASA, CONGO-BRAZAVILLE, BURUNDI, ETC. où on assistera au même scénario qui inévitablement va se reproduire avec les mêmes conséquences. Que déjà nos présidents aillent dans ces pays là pour prêcher LA BONNE NOUVELLE DE LA DÉMOCRATIE ET DE L’ALTERNANCE et mettent donc en garde les présidents tripatouilleurs de constitution ! PRÉSIDENTS AFRICAINS, au lieu de faire tout le temps du tourisme à travers le monde en vidant nos maigres budgets, prenez au moins un jour toutes vos responsabilités pour proscrire à jamais de tels évènements en nous débarrassant des présidents dictateurs et assoiffés de pouvoir et L’AFRIQUE SE PORTERA PLUS QUE TRÈS BIEN !……LE FERVENT MILITANT DU MPP, LE GRAND ZAPATA !!!!

  • Le 6 novembre 2014 à 13:26, par Hess En réponse à : Concertations sur la transition : Accord sur les modalités mais le nom du Président se fait toujours attendre

    Soungalo et l’Assemblée nationale ont été les victimes de l’état de siège décrété par Blaise. Nabéré TRAORE alors doté des pleins pouvoirs a dissous l’Assemblée. Actuellement, il n’y a plus de députés et encore moins un président d’assemblée !

    Luc Marius IBRIGA serait un bon chef de la transition. en font juriste et intellectuel engagé, nous avons là une chance d’influencer positivement les textes devant régir nos futures institutions.

    Vive le Faso

  • Le 6 novembre 2014 à 13:27, par Monsieur Bébané Lassané En réponse à : Concertations sur la transition : Accord sur les modalités mais le nom du Président se fait toujours attendre

    Moi personnellement je n comprends ce que soit disant CEDAO vient foutre au Burkina, ou était elle quand son Blaise foutait la merde, nous ne voulons des médecin après la mort.

  • Le 6 novembre 2014 à 14:07, par SOUGRE NOMA PAGNGDE En réponse à : Concertations sur la transition : Accord sur les modalités mais le nom du Président se fait toujours attendre

    QUE DIEU NOUS GARDE DES MAUVAIS ESPRITS ET NOUS OUVRE LES YEUX.

    RESTONS VIGILANT ET CULTIVONS LA PAIX ENTRE BURKINABE...

    "SE TROMPE EST HUMAIN MAIS PARDONNER EST DIVIN"

  • Le 6 novembre 2014 à 14:12 En réponse à : Concertations sur la transition : Accord sur les modalités mais le nom du Président se fait toujours attendre

    La voie consensuelle me convient. Mais que l’armee s’ adjuge la victoire qui est une victoire collective, il faut denoncer la naivete qui se veut intellectuelle qui veut finalement laisser l’armee nous diriger encore. On n’est quand meme pas dans les annees 70 la. Le peuple burkinabe est tres mur et ne se laisse pas faire. Tout le monde le sait maintenant.

  • Le 6 novembre 2014 à 14:17, par Colonel Zida En réponse à : Concertations sur la transition : Accord sur les modalités mais le nom du Président se fait toujours attendre

    Dites à ces gas la de nous laisser gerer notre transition. S’il s’étaient déplacer en grappe comme ca pour venir dire à blaise de laisser la constitution, on aurai tout gagné. des salaupards comme ca. boiiii

  • Le 6 novembre 2014 à 14:25 En réponse à : Concertations sur la transition : Accord sur les modalités mais le nom du Président se fait toujours attendre

    Moi je propose Msg Enselme T Sanou oubien le pasteur Karambiri Mamadou.

  • Le 6 novembre 2014 à 14:27, par Transition Civile ou Rien En réponse à : Concertations sur la transition : Accord sur les modalités mais le nom du Président se fait toujours attendre

    Il faut que la question du RSP soit reglee avant que le nouveau pouvoir democratiquement elu ne s’ installe. On ne peut pas faire du nouveau avec du vieux. Scruitairement parlant. Le RSP est une humiliation pour le gros de notre armee.

  • Le 6 novembre 2014 à 14:37, par Ib En réponse à : Concertations sur la transition : Accord sur les modalités mais le nom du Président se fait toujours attendre

    il faut tout faire pour que ces pyromane cdpiste ne puissent ni participé aux différentes rencontres, ni participé au gouvernement de transition. si après les une année de transition, ils peuvent se battre à arme égale avec les autres partis politique pour reprendre le pouvoir , ils n’ont qu’à faire on va voir. Je les méprise ces hommes politiques sans dignité ni idéaux qui ont mis le feux dans mon pays. Ces politiciens moutons sans vergogne qui ne pense qu’à leur pense et leur familles sont monté sur leurs grands chevaux pour dresser les Burkinabè les uns contre les autres. C’est quelle constitution qui était taillé sur mesure pour la seule cause du président lui permettant de faire ce qu’il veut avec son clic et ses clacs. Assimi KOUANDA, Gilbert Noël OUEDRAOGO, vous êtes pire que des monstres mais si c’est surtout pour continuer à proteger vos postes et vos interêts qui vous aviez mis le pays à feux et à sang. DIEU vous le rendra aux centuples.

  • Le 6 novembre 2014 à 14:47, par aboubakar En réponse à : Concertations sur la transition : Accord sur les modalités mais le nom du Président se fait toujours attendre

    Un mandant de cinq ans c’est trop, faison comme les Etats Unis, un mandat de quatre ans, renouvelable une fois. Un point c’est tout. 10 ans c’est trop long ça.

  • Le 6 novembre 2014 à 14:53 En réponse à : Concertations sur la transition : Accord sur les modalités mais le nom du Président se fait toujours attendre

    J’adresse mes condoléance aux familles des victimes, mais je propose que le président soit hors des chefs religieux .

  • Le 6 novembre 2014 à 14:57, par cf En réponse à : Concertations sur la transition : Accord sur les modalités mais le nom du Président se fait toujours attendre

    pourqoui arrêter Mr SAVADOGO Boubacar ? il a juste menacé et n’a pas mis a exécution son plan contrairement à ceux qui ont brulé les maisons des gens sans reflechir. ce que ces gens doivent savoir que les memes causes produisent les effets, dans quelques années ça sera leur tour. c’est pas correct d’avoir autant de haine dans son coeur.

  • Le 6 novembre 2014 à 15:00, par cafe En réponse à : Concertations sur la transition : Accord sur les modalités mais le nom du Président se fait toujours attendre

    les gens font rire , tous ceux que vous applaudissez aujourd’hui ont tous mangé avec Blaise compaore. Soyez logique avec vous meme, et ne vous laissez pas traiter comme des i***.

  • Le 6 novembre 2014 à 15:03, par wuhl En réponse à : Concertations sur la transition : Accord sur les modalités mais le nom du Président se fait toujours attendre

    des dfficultés commenceront très bientot. nous sommes content d’avoir chassé BC, mais en meme temps nous devons prêt a souffrir. Bon courage

  • Le 6 novembre 2014 à 15:33, par Achille En réponse à : Concertations sur la transition : Accord sur les modalités mais le nom du Président se fait toujours attendre

    Je propose le choix premier du peuple : Kouamé Lougué. Il est à la retraite, donc un civil. De plus à l’unanimité et spontanément, le peuple a crié son nom.

  • Le 6 novembre 2014 à 15:40, par mampè En réponse à : Concertations sur la transition : Accord sur les modalités mais le nom du Président se fait toujours attendre

    Voyez du côté du Gl GARANGO pour la transition

  • Le 6 novembre 2014 à 15:51, par kihan En réponse à : Concertations sur la transition : Accord sur les modalités mais le nom du Président se fait toujours attendre

    mon cher zapata, KABILA , SASSOU GUESSO ,KAGAME OU BIA ne sont pas BLAISE. blaise est vite parti pour éviter qu’il ait beaucoup de mort ; mais si c’était ceux que tu as cité là je ne pense pas qu’ils allaient bouger aussi vite ; regarde actuellement il ya combien de mort chaque jour en RDC, CONGO. même si tu n’aime pas le lièvre sache qu’il court très vite.

  • Le 6 novembre 2014 à 16:19, par wendyam En réponse à : Concertations sur la transition : Accord sur les modalités mais le nom du Président se fait toujours attendre

    LE Burkina court malheureusement le danger de la grande déchirure. n’ayons pas peur des mots. La transition ne doit exclure parce que tout le monde est coupable dans cette affaire. Emile PARE membre du bureau du MPP a dit haut et fort que c’est lui qui a donné l’ordre de brûler le Parlement. Donc le MPP est exclu pour faire partie de la transition. ZEPH porte la responsabilité morale de tous les morts dans les pillages. ce sont les plus nombreux . Il doit être entendu et emprisonner pour avoir donné la mort sans intention de le mort. ne parlons de Simon ou Me Sankara qui ne promettaient que les larmes aux Burkinabè. Si l’x majorité présidentielle doit prendre sa part de responsabilité, ces messieurs de l’ex CFOP ne doivent pas acquérir une virginité qu’ils ne méritent pas. Attention, le Burkina n’est pas loin du KO Et cette fois il se relèvera difficilement.

  • Le 6 novembre 2014 à 16:23, par Main dans la Main En réponse à : Concertations sur la transition : Accord sur les modalités mais le nom du Président se fait toujours attendre

    Deja une multitude de proposition et je viens en ajouté une. cela montre deja qu’il est difficile de trouver un consensus dans cette designation du civil pour la transition. Il faudra des gens qui seront consentant pour laisser tombr leurs positions pour admettre celle des autres.

    Moi je propose Le Pr Luc Marius Ibriga de l’université de Ouagadougou. Homme d’une honneteté prouvrée, rigoureux en ses principes et non severe ; integre, ayant montrée son combat pour la democratie du fait de ses actions d’eveilles de la jeunesse et de la societé civile au Burkina Faso... Je n’ai pas connaissance de ses acoinstances avec un parti politique jusque la. Vive le Burkina et tout son peuple integre.

  • Le 6 novembre 2014 à 17:25, par gohoga En réponse à : Concertations sur la transition : Accord sur les modalités mais le nom du Président se fait toujours attendre

    Ce qui est fait et fait. Laissons ZIDA terminer la transition. Au lieu de tourner le couteau dans la plaie. Le risque de division est grand : entre CFOP, OSC et autres partis politiques.

  • Le 6 novembre 2014 à 18:05, par vérité En réponse à : Concertations sur la transition : Accord sur les modalités mais le nom du Président se fait toujours attendre

    les vrais caciques du CDP sont les dirigeants actuels du MPP et du PDC (parti de Saran Seremé). parce qu’ils ont été évincés du pouvoir de Blaise, ils se sont mués en opposants. pour être juste, on doit brûler, saccager aussi leurs biens meubles comme immeubles. ils ne doivent pas rester indemnes parce qu’ils ont plus profité du pouvoir que les victimes actuelles (partisans de la majorité). en plus de cela ils doivent rendre compte de leur gestion quand ils étaient au pouvoir. pour mémoire, c’est eux qui ont commencé à clamer que "l’article 37 est anti démocratique " et qu’on devait le modifier pour permettre à Blaise de se présenter. soyons vigilants, c’est leur ventre qui les intéresse mais pas les intérêts du vaillant peuple burkinabè.

  • Le 7 novembre 2014 à 00:52, par Conscience En réponse à : Concertations sur la transition : Accord sur les modalités mais le nom du Président se fait toujours attendre

    Je propose deux noms pour cette transition civile : Luc Marius IBRIGA ou Augustin LOADA du CGD

  • Le 7 novembre 2014 à 05:50, par Jean MOULIN En réponse à : Concertations sur la transition : Accord sur les modalités mais le nom du Président se fait toujours attendre

    bravo au peuple burkinabè ! quand la Constitution sera rétablie,les dignitaires du CDP, de l’ADF/RDA et du Front républicain devront être tous fichés et exclus de la vie politique. Leur acte est une trahison à la Patrie et une atteinte à la Constitution (article 166 de la Constitution).

  • Le 7 novembre 2014 à 09:34 En réponse à : Concertations sur la transition : Accord sur les modalités mais le nom du Président se fait toujours attendre

    Moi je propose Karambiri, sa femme, oubien Msg Anselme T. Sanou

  • Le 7 novembre 2014 à 17:47, par Ka En réponse à : Concertations sur la transition : Accord sur les modalités mais le nom du Président se fait toujours attendre

    Pour qu’une transition politique et économique réussisse dans un pays comme le nôtre, tous nos acteurs politique y compris le meneur du jeu Yacouba Zida savent que le bon choix n’existe pas, sauf le providentiel : Ayant vécu les expériences amères du Mali et de la Guinée surtout tout dernièrement la centre Afrique, la transition Burkinabé revienne à un sage très écouté par le peuple, et non un assoiffé de pouvoir qui sera issu des partis politique. Qu’elle soit femme ou homme cette personne doit jouir d’une neutralité totale et sans arrière pensé de briguer un mandat présidentiel après la transition. Pour ma part, un chef coutumier venant de tous les horizons de notre pays, ou un ministre d’un chef bien respecter peut tenir au bonheur du peuple Burkinabé et sa jeunesse le volant de la transition pour une année. Pourquoi pas un chef religieux comme celui des catholiques qui a toujours soutenu sans réserve le maintien de l’article 37. Ce sont les seules personnes, neutre et respecter qui peuvent sans jalousie quelconque, mener la transition jusqu’à son terme.

  • Le 7 novembre 2014 à 17:48, par vision En réponse à : Concertations sur la transition : Accord sur les modalités mais le nom du Président se fait toujours attendre

    pourquoi vouloir établir la charte d’une transition qu’on ne va présider. Si le nouveau chef est logique qu’il donne le pouvoir à un civil qui en sa qualité de chef de la transition se chargera avec l’ensemble de toutes les parties prenantes de la feuille de route à suivre jusqu’au élection. la levée de la suspension de la constitution permettra au conseil constitutionnel de désigner le chef de la transition qui est le président de l’assemblée nationale. Si dernier est introuvable donc en empêchement la constitution n’a pas prévu la personnalité qui le remplacera. mais si l’on s’inspirait du fonctionnement de l’assemblée nationale qui en cas d’absence du président c’est le premier vice président et ainsi de suite jusqu’au cinquième président. Si parmi les cinq vices président on en trouve un qui ne soit de ceux qui soutenait le projet de révision de la constitution on le maintient. Si on n’en trouve personne on pourra alors choisir une personne civile consensuelle après concertation. la constitution étant suspendue pour le moments toutes les décisions prises pendant cette périodes ne pourront pas s’exécuter si elles violent la constitution en l’occurrence le délai de douze mois de la transition alors que la constitution prévoit deux mois au plutôt et trois mois au plus tard.

  • Le 8 novembre 2014 à 13:24, par Mechtilde Guirma En réponse à : Concertations sur la transition : Accord sur les modalités mais le nom du Président se fait toujours attendre

    C’est en tant que témoins oculaire de tous les régimes que j’apporte ma contribution. Que ceux qui tentent de faire exclure les dits chefs de ce que eux ils appellent de tous les d’oiseau fassent attention parce que ce sont les véritables incendiaires de la Nation. À ce propos j’ai envoyé une réponse à Monsieur Sidi Mohamed, mais apparemment elle semble avoir été censurée. Aussi je me rabats sur vous. Voici donc la réponse :

    Monsieur Sidi Mohamed, vous ne m’inspirez pas du tout confiance. En plus de cela vous êtes très sélectif en voulant coûte que coûte séparer l’ivraie de la récolte. Or vous n’êtes pas Dieu. Tenez, Que faites-vous des exécutions au temps de Sankara. Combien de veuves et d’orphelins Maria Sankara a quitté Ouagadougou et qui aujourd’hui devenus sans voix croupissent toujours dans la misère totale désormais ? Un enfant vaut-il mieux qu’un enfant ? Les exécutions dans le village forgeron près de celui des Yonyonsé où Sankara lui-même a dirigé et participé au peloton d’exécution, sont toujours racontées par les villageois à voix basse et avec des mots codés. Les exécutions continues de Sigué (lui-même abattu paraît-il en route vers le Ghana) qui préparait également son coup d’État plus sanglant encore. La lettre de Sankara qui devait être lue ce jeudi 15 octobre dans la nuit ne trompe guère les connaisseurs et les décrypteurs des langages codés. Pour vous dire vrai, si pour tout le monde y compris ses ennemis, la mort de Sankara a été déplorée, il faut avouer qu’elle fut une bouffée d’air pour ceux qui étaient déjà programmés pour les dégagements et les exécutions. Mais c’était d’abord un règlement de compte entre révolutionnaires et idéologues marxistes-léninistes-communistes. Que faites-vous de toute cette masse de peuple burkinabé qui ne comprend rien à tout cela et qui a subi tous les avatars de ces régimes et qui se sont en fin de compte exprimé et dit non les mains nues. Certes vous avez aidé, mais vous n’avez pas le droit de désigner, comme nous l’avons vécu à la conférence ce 18 septembre 1989 à la commune de Nongremassem, où tout justement il était demandé aux femmes de « faire des revendications » (encore un langage codé qui se comprenait bien comme celles qui avaient été proférées pour demander l’exécution des sept présumés comploteurs au temps de Sankara ou des anarcho-syndicalistes au temps de l’ODP/MT Blaise Compaoré : bizarre du MPP et du CEFOP !), des loups que vous avez appelé des réactionnaires et des agneaux que vous avez assimilé aux révolutionnaires conséquents voulant le bien du peuple. Cette ivraie combien de fois vous avez déjà tenté d’éliminer physiquement alors qu’elle vous appelait déjà à un dialogue inclusif et consensuel (au fait qu’est devenu l’article récent de Amed Newton Barry de l’évènement qui a repris en effet l’historique cette semaine-même et qui fut subrepticement retiré il y a à peine deux jours de cela ?). Alors dites-le carrément leur vie humaine que vous méprisez, parce qu’ils ont prêché la paix, le dialogue, la concertation en visionnaires ne vaut-il pas la vôtre « casseur d’oeufs pour des omelettes » d’intrusion dans des familles. Et lorsque les omelettes ne vous parviennent pas, vous devenez de grands théoriciens vertueux, donneurs de leçons qui acceptent immoler quand ça chauffe et vous arrange, un des vôtres pour donner l’illusion de justice et de bravoure au peuple tellement meurtris qui n’hésiterait à pactiser même avec le diable pour essayer de se tirer d’affaire ! Tout cela simplement parce que vous avez sauté du bonnet blanc au blanc bonnet ? Peuple du Burkina, n’avalez pas les couleuvres qui veulent vous laisser croire que seules les pratiques coutumières endeuillent les familles, et ne mordez plus à l’appât de la corruption de tout acabit. Surtout les femmes, car elles sont très vulnérables et instables. Exigez une convocation « Vérité, Justice, Réconciliation ». N’ayez pas en ce sens de l’a-priori. Tout au contraire traitez tout avec bienveillance, sans passion. Accordons d’abord (et de façon démocratique) à tout le monde le bénéfice du doute, et écoutons les à tours de rôle, viendront ensuite les condamnations, les réparations et la réconciliation. Ensuite seulement et au vu des résultats, nous pourrons reconstruire une démocratie solide. Tout commence avec l’ère Sankara. Au passage d’ailleurs que l’âme de ces principaux acteurs : Sankara, Harba Hama Diallo, Touré Adama, pour ne citer surtout que ceux-là, reposent en paix et que eux qui sont maintenant dans la Vérité de Dieu, nous viennent en aide, nous qui sommes encore sur cette terre dans des ténèbres opaques afin que cette nouvelle ère qui s’ouvre comble nos espoir de sortie crise et le début d’un vraie démocratie. Pour le moment quelque soit le jugement qu’on peut porter à l’armée, reconnaissons humblement qu’elle a toujours été modératrice. En plus de cela, je la féliciterais pour avoir épargné le Burkina d’un génocide d’avance programmé, tout comme son Éminence Paul Zoungrana en son temps avait félicité le président Saye Zerbo, pour son coup d’État qui n’avait pas versé une seule goutte de sang. Mais la suite on la connaît, le sang a coulé à flot.





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