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Fasobaromètre du 15 juillet 2014

Publié le mardi 15 juillet 2014 à 23h59min

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Pr Charlemagne OUEDRAOGO
Président du Conseil régional des médecins de Ouagadougou
Son organisation, (qui regroupe les médecins des régions du Centre, du Plateau central, du Centre-Sud et du Centre-Ouest) vient d’adopter un plan d’action triennal 2014-2016 dont l’un des objectifs est à encourager : éviter la surfacturation des actes médicaux. Vivement que les recommandations pour un exercice éthique de ce noble métier soient respectées.


Reine Sakandé
Promotrice de la coupe « Zany Betty »
La finale de la 8e édition de la coupe de football Zany Betty a eu lieu le 5 juillet 2014 dans la commune de Bougnounou (Province du Ziro) et a vu la victoire du village de Netiao- Guelou. Mais pour la promotrice, Reine Sakandé, par ailleurs secrétaire permanente du Conseil nationale de lutte contre l’excision, au de la compétition sportive, cette coupe est aussi est un instrument efficace d’unité et de lutte contre la pratique de l’excision.


Venant OUEDRAOGO
Président du Conseil d’Etat
Le président du Conseil d’Etat est-il « hors service » ? A en croire notre confrère le Courrier confidentiel, le premier responsable de la plus haute instance judiciaire administrative devrait passer le flambeau pour raison de limite d’âge depuis mai 2014. Mais certains documents le disent né en décembre. Créant ainsi un flou qui fait mauvais genre au moment où se tient le Conseil Supérieur de la magistrature.


Mamadi NAPON
DG de la SOBCA
Que se passe-t-il à la Caisse nationale de Sécurité Sociale. Il avait été question d’un prêt de quelque Cinq milliards de nos francs de la CNSS à la SOBCA. Normal en principe. Sauf que le Directeur Général de la SOBCA et le PCA de la CNSS à l’époque des faits était une seule et même personne. Ce qui avait valu un rappel à l’ordre du ministre de tutelle. On pensait que tout était rentré dans l’ordre mais il semble que non et les 5 milliards seraient toujours une source de problèmes entre les deux institutions. Affaire à suivre comme le dit notre confrère Courrier confidentiel qui a levé le lièvre.


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Vos commentaires

  • Le 15 juillet 2014 à 18:33, par la vie est un cycle qui se termine toujours En réponse à : Fasobaromètre du 15 juillet 2014

    Humm si ce n’est pas dans les républiques bananières qu’on voit ça comment une seule et même personne peut elle cumulé autant de fonctions et avec ça vous parler émergence laquelle ??la vôtre surement pas celle des populations pour lesquelles vous êtes censés travailler Pas étonnant que les gars s’accrochent vaille que vaille qui est fou façon l’argent est doux là mais bon ainsi va la vie au Burkina des anfières

  • Le 15 juillet 2014 à 18:35 En réponse à : Fasobaromètre du 15 juillet 2014

    Vous aussi comment voulez vous qu’il parte puisqu’il se nomme venant peut être qu’en changeant son nom sur l’extrait de naissance en partant il daignera céder la place tchrrrrrrrrrrrr

  • Le 16 juillet 2014 à 12:41, par sountongo En réponse à : Fasobaromètre du 15 juillet 2014

    Félicitation au professeur Charlemagne et à son organisation. Mais ils doivent davantage mettre l’accent sur l’absentéisme des médecins de l’Etat dans les hôpitaux publics au profit des cliniques privées. J’en connais qui, bien qu’étant affecté en région passe son temps à Ouagadougou pour consulter dans les cliniques privées. Pire il y’a d’autres qui, au cours de leurs consultations dans l’hôpital public orientent leurs patients dans les cliniques où ils font des prestations alors qu’ils peuvent bien les soigner à l’hôpital. Tout cela doit être combattu. Le Médecin public doit utiliser seulement ses heures de repos pour consulter dans le privé.

    • Le 17 juillet 2014 à 08:21 En réponse à : Fasobaromètre du 15 juillet 2014

      Le Médecin public ne doit pas utiliser ses heures de repos pour consulter dans le privé. Il ne doit même pas le faire, c’est interdit. Soit, il est libéral (privé) soit il est fonctionnaire, mais pas les deux.

      • Le 22 juillet 2014 à 22:34, par Jamanatigui En réponse à : Fasobaromètre du 15 juillet 2014

        Tout comme toi je pense que l’usage des horaires de repos pour travailler dans les cliniques jouent intolérablement sur le rendement du médecin dans son service d’origine. Donc l’idéale est que chaque médecin fasse une option : exercer en profession libérale ou accepter le statut de fonctionnaire avec ses exigences. A la santé on nous dit toujours que la médecine est une profession libérale mais peut se permettre deux statut pour exercer cette profession ? Pourquoi les magistrats n’exercent pas à la fois dans le public et le privée ?
        Pour les actes médicaux ce n’est pas la surfacturation qu’i faut combattre mais la prescription des actes complaisants. Certains médecins prescrives des examens qui n’ont rien avoir avec le diagnostique de la maladie des patients dans l’unique but de leur faire payer et percevoir des recettes et ceci constitue une forme d’arnaque à combattre.

  • Le 16 juillet 2014 à 15:23, par AFRICAIN En réponse à : Fasobaromètre du 15 juillet 2014

    remettez à la cnss son argent

    • Le 17 juillet 2014 à 08:21, par Oumar Dembélé En réponse à : Fasobaromètre du 15 juillet 2014

      Non, demander à la CNSS d’arreter de prendre nos cotisations pour offrir des primes de départ à la retraite de 15 à 30 millions, et de prendre nos cotisations pour offrir des villas Azimo à leurs agents. S’ils veulent des maisons, qu’ils créent une mutuelle et non qu’ils prennent nos cotisations pour se mettre à l’aise. NOus souffrons et certains prennent l’argent obtenu à la sueur de nos fronts pour s’offrir tout le luxe incensé.

  • Le 16 juillet 2014 à 21:19, par Le Sage En réponse à : Fasobaromètre du 15 juillet 2014

    Mettez l’accent plutot sur la reel REDUCTION DE LA MORTALITE NEONATAL surtout dans vos clinique privee ou vous passez le plus de temps. Cette surfacturation des actes medicaux,se constate egalement plus au niveau de ces meme cliniques privees. Relevez plutot le niveau des medecins de votre organisation pour une meilleure prise en charge des malades.

  • Le 16 juillet 2014 à 23:44, par Xxxxx>>>>> En réponse à : Fasobaromètre du 15 juillet 2014

    Ceci n’est étonnant de la part de ce personnage connu pour ses magouilles. Oui ! Quand on se rappelle des gymnastiques et des magouilles par celui-ci faites pour parvenir à la Direction de l’Entreprise qui l’emploie et/ou encore quant on se rappelle des machinations qu’il a entreprises avec (à l’époque) la complicité des Juges Nébié, Komi et Oui F., de Mme le Ministre des Finances de l’époque et de RMC pour écarter son prédécesseur et le trimbaler devant les TPR avec un faux dossier monté de toutes pièces, on ne s’étonnera de rien. Mieux ! Que ne constate-t-on pas ? Contre toute attente, celui-ci est et reste dans tout le Burkina Faso, le Directeur Général le plus ancien à son poste (1983-2014) dans une Institution où l’Etat détient des participations (au capital social) avec des falsifications et tripatouillages par lui faites sur ses docs adtifs pour demeurer en fonction alors qu’il devait depuis quelques années déjà, être admis à la retraite. Celui-ci a une fois de plus su abuser de la "religion" de la Dame (DG/CNSS) quand bien même celle-ci soit une "Juriste" de 1er Ordre pour réaliser ce nouveau forfait parce que, bénéficiant soit des ignorances des premiers responsables du Département Ministériel qui coiffe et supervise la CNSS, soit avec la complicité de certains caciques du pouvoir. En effet, pour avoir pris goût aux facilités à lui déjà accordées par la CARFO et le Ministère de la Fonction Publique jadis des Fonds pour faire avancer son Institution qui bat de l’aile depuis près de 25 ans, il n’a pas hésité à tout faire pour se hisser à la tête de la CNSS (on ne sait pas trop comment) à cette fin uniquement. Trop c’est trop. On ne devrait pas permettre à des personnes "peu recommandables" tel que ce monsieur de s’amuser avec les cotisations des travailleurs, avec la vie des travailleurs. L’Autorité devrait enfin prendre ses responsabilités pour arrêter "définitivement" ces genres d’abus si elle ne veut pas une fois de plus que "LE PEUPLE" la traite une fois de plus de tous les noms d’oiseaux. Sait-on pourquoi cette Institution n’arrive plus à accéder aux Fonds des Banques pour financer ses activités ? Cherche-t-on à comprendre pourquoi cette Institution (SOBCA) vieille de plus de 30 ans, soit le Tiers de sa "Vie Légale" n’arrive pas à décoller ? Autant de questions qui devraient réveiller enfin les Autorités et même ceux-là qui, abusés pour la plupart ont soutenu et soutiennent ce monsieur-là. Pour bien moins que çà, on a vu pendre (un peu excessif si vous voulez) des gens dans ce pays. Arrestations, emprisonnements, humiliations etc......

  • Le 17 juillet 2014 à 23:40, par Petit Robert En réponse à : Fasobaromètre du 15 juillet 2014

    L’article du courrier confidentiel sur le Président du conseil d’état est la conclusion hâtive d’un jeune . En 1954 lorsque Monsieur ’venant naissait il n’y avait pas de mateŕnite dans son village.donc au lieu d’un acte de naissance il a bénéficié d’un jugement supplétif indiquant qu’il est né vers ou en 1954. Il ne peut donc pas y avoir de mois , ni de jour de naissance . En rappel en 1957 il n’y avait pas plus de 3 maternités à Ouagadougou donc imaginez au bled...Avec l’informatisation des actes de naissance , la machine affiche par défaut 31 DECEMBRE comme jour de naissance à tous ceux qui sont nés vers ou en X année. Les jeunes de maintenant , n’ayant pas connu ce genre de soucis font d’une montagne ce qui ne vaut pas une souris....

    • Le 18 juillet 2014 à 18:22, par SOLDIER En réponse à : Fasobaromètre du 15 juillet 2014

      il faut arrêter ces voleurs qui pillent le pays.ce sont ces agissements qui sont a l origine de l incivisme grandissant

    • Le 18 juillet 2014 à 19:05, par RAMODG TOAKA En réponse à : Fasobaromètre du 15 juillet 2014

      Toi, tu raconte des inepties. Les recherches ménées par le journaliste revèlent que Mr VENANT a plusieurs dates de naissances. Ce qui n’est pas normales. On sent du faux

    • Le 18 juillet 2014 à 19:15, par Georges En réponse à : Fasobaromètre du 15 juillet 2014

      Monsieur Petit Robert, vous faites des amalgames. Il ne s’agit pas de 1954 (ou vers 1954) comme vous l’avez écrit. Les documents dont parle le journal indiquent bien qu’il est né le 17 mai 1951. Même sur son casier judiciaire et ses diplômes, c’est cette date qui figure. A son investiture en 2012 comme Président du Conseil d’Etat, il a aussi été dit publiquement qu’il est né le 17 mai 1951. Pourquoi ce n’est pas cette date qui est dans le fichier du ministère de la Fonction publique mais plutôt 31 décembre 1951 ? Il y a eu des cas où des fonctionnaires malhonnêtes ont utilisé de faux documents pour rester plus longtemps dans l’administration. Pourquoi l’acte de naissance de Venant Ouédraogo, enregistré pendant son intégration dans l’administration publique burkinabè porte la date du 31 décembre 1951, alors que l’acte de naissance qui a servi à établir son casier judiciaire porte la date du 17 mai 1951 ? Le journal a bien posé le problème. Il faut que les structures de contrôle situent les responsabilités et procèdent à des sanctions s’il se trouve que le document introduit par Venant Ouédraogo lors de son intégration dans la Fonction publique est un faux. On attend de voir la suite de cette affaire.

  • Le 19 juillet 2014 à 16:35 En réponse à : Fasobaromètre du 15 juillet 2014

    Master X, comme Malcom X, j’ai lu avec beaucoup d’intérêts votre écrit, je vous avoue réellement comment les sorties de fonds se passent à la CNSS, peut être que le prêt de cinq milliards de francs de la CNSS à la SOBCA n’a pas suivi la règle de l’art mais ce qui est sûr le courrier confidentiel qui a levé le lièvre insiste trop sur ce fait. Le journaliste de ce courrier est il ami aux Directeurs déchus qui ont juré d’avoir la peau de la Directrice Générale ? On l’avait donné trois mois pour partir. Est ce que ce sont les Directeurs déchus qui seraient à la base des informations transmises au courrier confidentiel ? Parce qu’ils ne comprennent pas pourquoi l’on ne la saute pas jusqu’à nos jours. J’ai toujours dit avant que l’on ne saute la DG de la CNSS que l’on commande un grand audit pour entendre non seulement cette dernière sur sa gestion mais aussi sur tous les Directeurs centraux et régionaux de cette institution. Il faudra aussi vérifier les diplômes de ces directeurs, tout en vérifiant à la source leurs doctorats, masters, maitrises etc. Le courrier confidentiel n’a rien dit d’abord. Ce qui est sûr en Afrique les institutions de sécurité sociale sont perçues comme des caisses à sous où l’état se permet de puiser à sa guise des fonds pour des projets de développement économique et social. Au Burkina il existe des institutions appelées « institutions stratégiques » où l’état peut demander "certains efforts " à faire sans passer par des institutions financières locales où internationales. C’est ainsi que la CNSS a participé à plusieurs financements des projets de développement économique et social ainsi que les charges de fonctionnement de certains services. A titre d’exemple : le premier avion FOCKER du Burkina a été payé sur fonds CNSS et remboursé par l’état après une discussion chaude avec les syndicats qui n’ont pas vu d’un bon œil l’opération. Il y a des grands chantiers nationaux où l’état demande des efforts à la CNSS comme le projet Sourou où elle a dépensé 2 milliards 500 millions, les constructions des citées depuis la révolution jusqu’à nos jours : cités AN III, CAN 98 à Bobo, Ouaga 2000, les cités des 11 décembre, la construction de l’aéroport de Bobo des prêts à SOCOGIB des subventions et dons à l’hôpital de Bobo dont le bloc opératoire est en état de délabrement aujourd’hui etc. Vous comprenez monsieur X que ce n’est pas la première fois qu’on donne des prêts, il y a des usines qui étaient au bord de la faillite mais pour préserver les emplois des travailleurs l’état a demandé à la CNSS de relever la pente de ces sociétés ou institutions que je n’aimerais pas citer ici. Maintenant si la CNSS par une pression quelconque donne des prêts à des individus cela n’est pas normal. Mais pour les autres aspects, l’état est au courant puisqu’il a des représentants au conseil d’administration : du ministère chargé de la sécurité sociale (tutelle technique) et celui des finances (tutelle financière) y siègent. Donc l’état est garant de la gestion de sécurité sociale au Burkina. Peut être qu’on peut ouvrir un autre débat, à quand la privatisation de la sécurité sociale au Burkina Faso, sachant bien que l’OIT est contre le transfert des systèmes de sécurité sociale à des compagnies privée ?

    • Le 20 juillet 2014 à 14:00, par Georges En réponse à : Fasobaromètre du 15 juillet 2014

      Les cotisations sociales des travailleurs sont-elles vraiment en sécurité ? La CNSS est-elle devenue une caverne d’Ali Baba où certains se sucrent sur le dos du contribuable ? En effet, malgré la mise en garde du ministre demandant d’annuler l’opération, une deuxième délibération a été signée dans des conditions flous par la CNSS et les 5 milliards remis en clando à la SOBCA. Un extrait de l’article du Courrier confidentiel : "La délibération, signée par le président du Conseil d’administration de la Caisse, Mamadi Napon, qui est, en même temps, Directeur général de la SOBCA, dégageait une forte odeur de magouille. Cette affaire, révélée par notre Journal, avait conduit le ministre de la Fonction publique, du Travail et de la Sécurité sociale, Vincent Zakané, à taper du poing sur la table. Il avait craché ses vérités, droit dans les yeux du PCA. Voici un extrait de sa correspondance : « Après examen du dossier et consultation du Commissaire aux comptes (…), il est apparu que cette opération n’a pas respecté les règles internes de la CNSS et a été réalisée en méconnaissance des textes pertinents de l’Organisation pour l’harmonisation en Afrique du droit des affaires (OHADA), en l’occurrence la loi uniforme sur les conventions réglementées. Cette situation est d’autant plus regrettable que le président du Conseil d’administration de la CNSS que vous êtes, se trouve être aussi le Directeur général de la société bénéficiaire ». Mais le ministre ne s’était pas limité là. « En ma qualité de ministre chargé de la tutelle administrative de la CNSS, et en référence aux dispositions pertinentes du décret N° 2007-736/PRES/PM/MTSS/MEF du 14 novembre 2007 portant statut particulier de la Caisse nationale de sécurité sociale, notamment en ses articles 45 à 48, j’ai l’honneur d’exprimer, par la présente, mon opposition à l’opération et de vous inviter à prendre sans délais toute mesure conservatoire en vue de préserver les intérêts de la CNSS ». Il avait alors donné des instructions fermes : « Suspendre toute opération relative à l’exécution de la délibération mise en cause et de la convention signée à cet effet, et trouver, par le canal approprié, les voies et moyens utiles en vue de rétablir la CNSS dans ses droits ».
      Malgré cela, selon l’article du journal, le PCA, en même temps DG de la SOBCA, a tenu à signer avant la fin de son mandat, une deuxième délibération pour que les 5 milliards n’échappent pas à sa société SOBCA. Et l’argent est sorti des caisses de la CNSS pour se retrouver dans les poches de la SOBCA. L’exécution de cette opération floue a été assurée selon l’article 2 de la délibération par la DG Somkinda. Merci au Courrier confidentiel de tenir les contribuables informé de la manière dont leurs argent est gérée par certains individus placés à certains postes pour détourner les fonds. Il est temps que tous ceux qui cotisent à la CNSS ouvrent l’œil et le bon, avant qu’il ne soit trop tard.

  • Le 22 juillet 2014 à 10:36 En réponse à : Fasobaromètre du 15 juillet 2014

    Pour l’âge, seul l’acte de naissance fait foi. Il est né vers 1954. Il doit partir à la retraite le 31 décembre. C’est écrits dans la presse sont le fruit d’un syndicat et d’un individu qui veut se hisser à la place de Venant. Pauvres malhonnêtes. Attendez au moins votre tour.

    • Le 22 juillet 2014 à 13:42, par demain En réponse à : Fasobaromètre du 15 juillet 2014

      exact. le journaliste ou le syndicat et les gens dans l’omrbre ne cherchent k la place de l’acuel president. kel honte pour notre pays. pourkoi ne pas dveloper des pruves tangibles de vos dclaratIons ?

      • Le 25 juillet 2014 à 12:50 En réponse à : Fasobaromètre du 15 juillet 2014

        Encore eux ! C’est trop facile de se réfugier derrière l’argument "on veut ma place". Chaque fois qu’un média révèle des détournements, des pratiques de corruption, des cas de falsification de documents, etc. les personnes concernées crient toujours au scandale et affirment sur tous les toits qu’il y a des gens qui veulent leur place. L’impunité est-elle devenue une règle de gouvernance ? Au lieu de demander aux structures de l’Etat, chargées du contrôle, de vérifier, les auteurs de mauvaises pratiques se comportent en victimes alors qu’ils sont en réalité des prédateurs. Pitié pour le "pays des hommes intègres". Trop d’impunité !

      • Le 25 juillet 2014 à 13:12 En réponse à : Fasobaromètre du 15 juillet 2014

        Monsieur ou madame "demain", moi j’ai lu l’article. Le journaliste a donné les "preuves tangibles" dont tu parles-là. Venant Ouédraogo a deux certificats de naissance. Sur le premier, il est né le 17 MAI1951 ; sur le deuxième qui a servi à son intégration dans la fonction publique, il est né le 31 DECEMBRE 1951. Nul part, il n’est écrit qu’il est "né vers...". Les dates sont précises. A son investiture comme président du Conseil d’Etat, l’article du journal précise qu’il a été dit officiellement dans les réquisitions qu’il est né le 17 MAI 1951. Sur son certificat de nationalité, c’est le 17 MAI 1951 et même sur ses diplomes. Pourquoi sur l’acte de naissance pour la fonction publique, c’est écrit 31 DECEMBRE 1951 ? Y a du faux ou pas ? C’est ça que les gens veulent savoir maintenant. Je ne crois pas que des gens veulent sa place. S’il y a du faux, convenez avec moi que ce n’est pas digne d’un responsable de juridiction de vouloir prolonger sa date de départ à la retraite pour profiter du gombo et des autres avantages de l’Etat. S’il est né le 17 MAI 1951 , qu’il aille à la retraite et laisse la place à une autre personne. C’est pas sa tête qu’on veut. C’est les mauvaises pratiques-là qu’on veut pas. Un point c’est tout !

      • Le 29 juillet 2014 à 11:11 En réponse à : Fasobaromètre du 15 juillet 2014

        @demain il faut arrêter avec ta mauvaise foi là quelles preuves veux tu de plus que celles qui sont fournies ?et puis en quoi les personnes qui font leur boulot veulent ils sa place ?ça va leur servir à quoi puisqu’ils ne sont pas dans les mêmes domaines professionnelles ?Quand le type n’avait pas atteint la limite d’âge là qui parlait de lui même ?est qu’on le connaissait même à part ceux qui étaient en contact avec son institution ?donc arrêtez votre paranoïa là

  • Le 30 juillet 2014 à 09:21, par enfin !!!!!!!! En réponse à : Fasobaromètre du 15 juillet 2014

    la CNSS n’est pas une caverne d’ali baba car a aucun moment un responsable premier fut-il à la caisse ne peut ni décider ou ni donner des ordres au conseil d’administration pour débloquer de l’argent public comme ça. mr le journaliste dites à vos amis qui étaient aux commandes à la caisse que nous les avons vus ,ils ont plus passé le temps à semer la zizanie entre agents,à faire preuve d’incompétence notoirement connue au sein de la maison et j’en passe. mr le journaliste traitez des sujets qui font avancer le pays que d’être à la solde des gens qui ont à faire la pluie et le beau temps à la caisse. Pour avoir été déchus avec pour conséquence la perte de leur royaume-paradis , ils ne souhaitent que l’échec de l’équipe du moment pour refaire surface, qu’ils acceptent supporter la douleur comme ils l’ont fait à d’autres en son temps.

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