LeFaso.net, l'actualité Burkinabé sur le net
Proverbe du Jour : “Soyez un repère de qualité. Certaines personnes ne sont pas habituées à un environnement où on s’attend à l’excellence.” Steve jobs

« Nous ne sommes pas loin de la situation du 3 janvier 1966 », dixit Rasmané Ouédraogo, président du MODEC

Publié le mardi 1er juillet 2014 à 01h59min

PARTAGER :                          
« Nous ne sommes pas loin de la situation du 3  janvier 1966 », dixit Rasmané Ouédraogo, président du MODEC

« Face aux velléités de remise en cause des acquis républicains, renforçons le MODEC pour mieux contribuer à la consolidation de la démocratie au Burkina Faso », c’est autour de ce thème que les partisans du Mouvement pour la démocratie et la Citoyenneté (MODEC) a tenu, les 27 et 28 juin 2014, dans l’Amphi C de l’Université de Ouagadougou, son premier Congrès ordinaire. Après un « diagnostic » de la situation nationale, les congressistes ont pris des « mesures fortes ».

« Faites l’état de la corruption, de la gabegie, l’état de la remise en cause des acquis républicains... L’alternance a été consacrée, d’abord par la Constitution de 1991, elle a été remise en cause en 1997 et en 2000, au regard du contexte qui prévalait à l’époque, le gouvernement était obligé de revenir sur la question de la limitation des mandats. Parler aujourd’hui d’un référendum pour remettre en cause tout cela, je pense que nous ne sommes pas loin de la situation de janvier 1966 », a analysé Rasmané Ouédraogo, président du MODEC. « Quand vous observez l’histoire politique de notre pays, poursuit-il, le Burkina a été le premier pays, après les indépendances formelles des années 1960, à organiser le premier soulèvement populaire. Aujourd’hui, les conditions du 3 janvier 1966(soulèvement populaire qui a renversé le régime de Maurice Yaméogo) sont établies ». De son avis, en dehors des partis politiques qui sont organisés autour du CFOP, des organisations de la société civile tendent à se mettre en marge du débat démocratique en cours. A l’en croire, certaines d’entre elles feraient croire que le débat est tellement partisan qu’elles ne doivent pas s’y impliquer. « C’est cette lecture de la situation nationale qui nous a conduits à inviter les camarades congressistes à participer à la conférence publique sur le thème du congrès en vue de renforcer la démocratie dans ce pays », a-t-il justifié.

Les axes forts du congrès

Venues des différentes localités du pays, les congressistes ont, selon le premier responsable du MODEC, mené les travaux à travers deux commissions. Ces commissions ont réfléchi, d’une part sur le thème général du congrès « Face aux velléités de remise en cause des acquis républicains, renforçons le MODEC pour mieux contribuer à la consolidation de la démocratie au Burkina Faso » et, d’autre part sur les statuts et règlement intérieur du MODEC. Le thème général qui a fait l’objet d’une conférence publique a été animé par Pr. Basile Guissou et Me Prosper Farama. Selon M. Ouédraogo, les congressistes ont examiné le thème en adoptant l’approche « forces », « faiblesses », « opportunités » et « menaces ». Ainsi, au plan de la gouvernance politique, les congressistes ont noté entre autres forces, la reconnaissance de l’opposition, l’encadrement juridique du pouvoir, l’organisation régulière des élections, l’existence d’institutions républicaines. Cependant, toujours sur ce chapitre, les participants ont « déploré » la monopolisation du pouvoir et la négation de l’alternance politique, l’absence d’indépendance des institutions républicaines, la faiblesse de la participation électorale, la culture de l’impunité. Sur le plan de la gouvernance économique et sociale, après un « diagnostic approfondi », les partisans du MODEC ont surtout, tout en reconnaissant « quelques forces », relevé la forte dépendance de l’extérieur, la faible efficacité de la dépense publique, la persistance de la pauvreté. Ils ont, par ailleurs, fait un diagnostic des secteurs sociaux de base tels que l’enseignement, la santé, l’accès à l’eau et à l’assainissement. Ce qui a conduit les congressistes à prendre des « décisions fortes » à l’issue des 48 heures de travaux.

Le MODEC, en actions… ?

« Le MODEC, en tant que mouvement citoyen progressiste sur qui les masses laborieuses de notre pays fondent leur espoir, s’engage à jouer pleinement sa partition pour une meilleure implication à la consolidation du processus démocratique », ont déclaré les congressistes dans leur rapport. Pour cela, égrènent-ils, le mouvement compte renforcer la capacité d’analyse et d’action de ses militants des 45 provinces, élargir sa base dans toutes les provinces et communes. Sur les questions nationales, le MODEC ambitionne une unité d’action avec les organisations démocratiques sur les questions prioritaires de l’heure, avec les partis politiques de l’opposition réunis autour du CFOP (chef de file de l’opposition) ainsi que des actions spécifiques de lutte pour la défense de la démocratie et la promotion de la citoyenneté. Les travaux se sont achevés par une résolution sur l’unité d’action, un appel au renforcement du MODEC et une motion de condamnation sur l’atteinte des libertés individuelles et collectives.

Créée le 10 mai 2014, le MODEC (qui a pour devise : Egalité-Solidarité-Intégrité) a clairement affiché son « hostilité » contre la révision de l’article 37 (le référendum) et la mise en place du Sénat.

Oumar L. OUEDRAOGO

Lefaso.net

PARTAGER :                              

Vos commentaires

  • Le 30 juin 2014 à 20:38, par vérité no1 En réponse à : « Nous ne sommes pas loin de la situation du 3 janvier 1966 », dixit Rasmané Ouédraogo, président du MODEC

    Du courage, on est ensemble, on ne peut pas accepter du n’importe quoi sur notre territoire !!!!!

    • Le 1er juillet 2014 à 05:59, par Bolibana En réponse à : « Nous ne sommes pas loin de la situation du 3 janvier 1966 », dixit Rasmané Ouédraogo, président du MODEC

      N,importe quoi,pour qu,il y est 03/01/66 il faut que les conditions du soulevement soient reunies.Or,dans la Situation actuelle 1-on ne peut pas parler d,omnipresidence moins encore de la fragilite des institutions.l,assemblee nationale a plus de 23 ans d,existence et compte une majorite et une minorite bien precise refletant le poids reel de tout un chacun.2-la fonction publique ne souffre pas d,un probleme de salaire ce qui met les syndicas hors combat.3-en 66 c,etaient les fonctionnaires combien %de la population a l’epoque avaient decide d,en finir avec le regime du president Yameogo.Mais 48 ans apres peut on parler d,etat des fonctionnaires assurement pas.La masse paysanne n,est plus une simple spectatrice elle est aussi actrice . 4-En fin en 1966 l,etat etait en faillite or,le BF n,a jamais aussi ete riche qu,aujourd,hui la croissance est la si probleme il ya c,est dans sa repartition.Alors ou est la similitude ? Un forcing qui ne dit pas son nom.

      • Le 1er juillet 2014 à 09:39, par inspiron1 En réponse à : « Nous ne sommes pas loin de la situation du 3 janvier 1966 », dixit Rasmané Ouédraogo, président du MODEC

        Mon frère tu dors ! ton reveil sera douloureux

      • Le 1er juillet 2014 à 10:33, par Kontougni/"Nous-pas-bouger" En réponse à : « Nous ne sommes pas loin de la situation du 3 janvier 1966 », dixit Rasmané Ouédraogo, président du MODEC

        Mr Bolibana, ton "analyse" de la situation vient ajouter un élément que l’article n’a pas souligné dans la similitude des situations de janvier 66 et de 2014 : dans les deux cas, les défenseurs du pouvoir en place, dans leurs pseudo-analyse et dans leur certitude, n’ont pas vu venir la fin de leur régime. Vous, aujourd’hui, vous n’arrivez pas à mettre dans votre tête de dominateurs incontestés depuis des décennies, que soit l’alternance se fait tranquillement selon la constitution et que votre petit dieu prend sa retraite, ou bien c’est par la force de l’insurrection d’un peuple excédé que vous allez devoir emprunter douloureusement la porte de sortie ! Il ne vous reste plus que ces deux choix, mais vous ne voulez pas l’accepter, alors vous verrez ! On es tous là !

      • Le 1er juillet 2014 à 10:34, par SOME En réponse à : « Nous ne sommes pas loin de la situation du 3 janvier 1966 », dixit Rasmané Ouédraogo, président du MODEC

        je te comprends ton bolibana est fini T’as peur alors tu pretends donner des arguments qui ne tiennent pas du tout la route. on ne compare pas pour comparer encore faut-il prendre les bons elements de comparaison.
        je comprends aussi que tu suis les directives de ton patron pour defendre tes interets : je maintiens que depuis quelques temps sur internet et plus particulierement sur lefaso.net, des individus comme toi s’evertuent a tout attaquer tout ce qui se dit et n’est pas favorable au pouvoir. C’est leur droit, mais de grace ! donnez nous des arguments valables Elevez le debats (si vous le pouvez evidemment !)
        SOME

      • Le 1er juillet 2014 à 20:13, par electron 1er En réponse à : « Nous ne sommes pas loin de la situation du 3 janvier 1966 », dixit Rasmané Ouédraogo, président du MODEC

        Encore une organisation qui est née,en tout cas avec les agitations politiques qui se vit ces derniers temps chacun cherche a marquer le plus de point et c’est l’occasion donc pour certain de profiter de la situation et se faire un peu de sou.Alors on crée son organisation dans le seul but de se faire un petit jeton pour aller faire la java dans les maquis,on se connait les gars.

      • Le 1er juillet 2014 à 20:37, par petit marteau En réponse à : « Nous ne sommes pas loin de la situation du 3 janvier 1966 », dixit Rasmané Ouédraogo, président du MODEC

        Mes chers amis soyez sans crainte car nous sommes même très loin de la situation de 1966,les années changes et les hommes également ;maintenant le peuple du pays des hommes intègres est assez mûr pour n’est pas tomber dans le piège.J’ose dire que celui qui ose prévoir un soulèvement populaire dans ce pays doit être banni du pays.

  • Le 30 juin 2014 à 20:42, par Americain En réponse à : « Nous ne sommes pas loin de la situation du 3 janvier 1966 », dixit Rasmané Ouédraogo, président du MODEC

    Felicitation pour l’ organisation reussie de cette rencontre. Votre engagement a du sens dans le contexte actuel du Burkina. La seule facon d’ avoir la confience du peuple c’ est d’ aller au dela des interets des partis politiques pour prendre en compte les interts generaux du peuple. Bonne continuation

  • Le 30 juin 2014 à 20:43, par vérité no1 En réponse à : « Nous ne sommes pas loin de la situation du 3 janvier 1966 », dixit Rasmané Ouédraogo, président du MODEC

    Disons non au foutoir orchestré par le CDP, pas de piratage de la constitution. Quand aux fous et semi-fous, on saura comment les gérer !!!!!

  • Le 30 juin 2014 à 22:24, par Jeanne En réponse à : « Nous ne sommes pas loin de la situation du 3 janvier 1966 », dixit Rasmané Ouédraogo, président du MODEC

    Cree en Mai 2014 ??? Surement un de ces satelites que les autres ont cree pour dire que c ;est la societe civile. Regarder deja le cafouillage qui se passe a Ouahigouya dans la mise ne place du CCR. Les gens commencent a comprendre. Attendez un peu vous allez voir bientot.

  • Le 30 juin 2014 à 22:34, par Neekré En réponse à : « Nous ne sommes pas loin de la situation du 3 janvier 1966 », dixit Rasmané Ouédraogo, président du MODEC

    Courage à vous Citoyens. Le referendum n’aura pas lieu. Jamais la societé civile au Burkina n’a eté aussi mobilisée. Nan lara ansara

  • Le 30 juin 2014 à 23:42 En réponse à : « Nous ne sommes pas loin de la situation du 3 janvier 1966 », dixit Rasmané Ouédraogo, président du MODEC

    Les mouvements "révolutionnaires" sont légions dans ce Burkina bouché par les intempéries prévisibles de l’article 37. D’aucuns veulent que le Grand Sachem abdique de sa volonté de briser la barrière constitutionnelle de la limitation des mandats, beaucoup planchent sur la meilleure façon de l’y contraindre. En face, des Amis devenus des Partisans, agitent le foulard rouge d’un lendemain qui cesserait de chanter, si le Chef abandonnait le navire, en pleine tempête. Je voudrais attirer l’attention sur le fait que, parmi ceux qui crient, dans un camp comme dans l’autre, beaucoup ont déjà des passeports, voire des niches ailleurs pour s’y cacher quand la terre tremblera sous les canons. S’ils veulent le bien du pays, ils n’ont qu’à mieux penser à la manière d’accéder au pouvoir ou de s’y maintenir, en tenant compte de ceux qui, dans le silence des labeurs quotidiennes, ne cherchent que la paix pour continuer de bénir la misère et l’espoir de s’en sortir un jour.... Les scénaris violents que l’on concocte dans les assemblées sont beaucoup pire que les images rouges de ceux qui en rêvent. Le Burkina n’appartient pas qu’à BC et à ses lieutenants, ni aux opposants à la modification de la Loi fondamentale. Le Burkina appartient aussi à nous autres, ni citoyens, ni partisans, simplement Burkinabè, forgés par le seul souci de vivre et de voir grandir nos enfants. Et, pendant que ceux-ci et ceux-là se disputent le stade plein ou vide, nous cherchons à nourrir nos familles. Quand ils s’envoleront vers des ailleurs pour revendiquer le statut de réfugiés ou d’exilés politiques, nous serons abandonnés aux démons de la guerre, des viols, des maladies, de la faim, comme personnes déplacées. Que ceux qui ont des yeux voient ! La Patrie ou la Mort, Nous Vaincronsm

    • Le 1er juillet 2014 à 07:20, par Neekré En réponse à : « Nous ne sommes pas loin de la situation du 3 janvier 1966 », dixit Rasmané Ouédraogo, président du MODEC

      Cher anonyme de 23h 42, je retiens seulement la dernire phrase de votre post : La patrie ou la mort, nous vaincrons. Ce n’est pas seulement une phrase en l’air. Elle a un sens. Nornert Zongo disait : "Le pire n’est pas la mechanceté des gens mauvais, mais le silence des gens bien". Personne ne souhaite le chaos dans un pays dans lequel il vit, ou plutôt il vivote. Mais chaque peuple aspire à la liberté et à un meilleur lendemain pour les generations futures. J’espère que vous avez comptis mon message. Fraternellement

    • Le 1er juillet 2014 à 10:41, par SOME En réponse à : « Nous ne sommes pas loin de la situation du 3 janvier 1966 », dixit Rasmané Ouédraogo, président du MODEC

      mon cher anonyme tu fais honneur et ca fait plaisir et redonne de l’espoir. Le pouvoir et le changement ne vient que ce peuple N’attendons rien de ces saprophytes parasites et autres suceurs de sang d’un coté comme de l’autre ceux là memes qui ont tout mis en place mais retournent leur veste aujourd’hui sous les oripeaux de l’interet du peuple alors que tout est pret pour proteger leurs interets et livrer les populations a la misere et dans la merde
      LA PATRIE OU MORT NOUS VAINCRONS C EST CELA LE VRAI SLOGAN A JAMAIS
      SOME

      • Le 2 juillet 2014 à 02:25, par Derrida Deux En réponse à : « Nous ne sommes pas loin de la situation du 3 janvier 1966 », dixit Rasmané Ouédraogo, président du MODEC

        Chers camarades, prenons garde de ne pas confondre les contradictions primaires et les contradictions secondaires. Les contradictions primaires s’ articulent autour de tous ceux qui veulent violer notre constitution. Evitons de mordre plus que nous ne pouvons croquer. Pour moi, meme ceux qui , a un instant ou a un autre, n’ etaient pas du cote du peuple et qui ont fait amende honorable, il faut les accepter mais en restant vigilants. Si nous regardons trop dans le retroviseur, jamais personne ne poura lutter contre le behemoth au pied d’ argile que nous avons devant nous.

  • Le 30 juin 2014 à 23:44, par AFRICAIN En réponse à : « Nous ne sommes pas loin de la situation du 3 janvier 1966 », dixit Rasmané Ouédraogo, président du MODEC

    Du courage mes frères, cette fois ci on a l’œil dessus. ça ne vas pas passser. NAN LAARA AN SAARA

  • Le 1er juillet 2014 à 01:35, par Derrida Deux En réponse à : « Nous ne sommes pas loin de la situation du 3 janvier 1966 », dixit Rasmané Ouédraogo, président du MODEC

    Seule la mobilisation verticale et horizontale du peuple arretera ceux d’ en- face. Ils n’ ont aucun scrupule. Ils ne craignent que les rapports de force.

  • Le 1er juillet 2014 à 04:35, par BEN En réponse à : « Nous ne sommes pas loin de la situation du 3 janvier 1966 », dixit Rasmané Ouédraogo, président du MODEC

    M.R. Ouedraogo prend ses rêves pour la realitê. Aucune analyse sociopolitique serieuse ne permet d’aboutir à ses conclusions .

  • Le 1er juillet 2014 à 04:36, par BEN En réponse à : « Nous ne sommes pas loin de la situation du 3 janvier 1966 », dixit Rasmané Ouédraogo, président du MODEC

    M.R. Ouedraogo prend ses rêves pour la realitê. Aucune analyse sociopolitique serieuse ne permet d’aboutir à ses conclusions .

  • Le 1er juillet 2014 à 07:07, par Kôrô Yamyélé En réponse à : « Nous ne sommes pas loin de la situation du 3 janvier 1966 », dixit Rasmané Ouédraogo, président du MODEC

    - Oui, il y a trop de petits mouvements qui s’agitent de droite à gauche ! Mais en fait, dès les première échauffourés, ils se dipersent tous. Personne n’est capable de tenir tête aux barbares qu’on envoit les gazer !

    Par Kôrô Yamyélé

    • Le 1er juillet 2014 à 08:34, par SING En réponse à : « Nous ne sommes pas loin de la situation du 3 janvier 1966 », dixit Rasmané Ouédraogo, président du MODEC

      La seule chose qui permet au mal de triompher c’est l’inaction des hommes de biens. Et si après toutes ces avertissements( les prêtres de l’église catholique, les sages comme le général Marc GARANGO,Nicolas SARKOSIE,Barrack OBAMA, et même certains amis du président sur nos ondes)et que le Président persiste laissez le foncer. Je me pose souvent la question vers qui il se tournera quand les choses vont s’empirer. Peut être Assimi KOANDA ; pourkoi pas alain yoda ou zambendé SAWADOGO ? L’heure de la récréation a sonné, il faut que les gens arrêtent de se masturber. ça nous amène nul part. Je pense avec conviction que quand on dit homme d’Etat, c’est celui là qui sait prendre des décisions qui vont réjouir,soulager son peuple et non les amener à se diviser sur une question qui ne concerne que ta propre personne.Je le répète la seule chose qui permet au mal de triompher c’est l’inaction des hommes de biens.

  • Le 1er juillet 2014 à 08:20, par PRESIDENT FONDATEUR En réponse à : « Nous ne sommes pas loin de la situation du 3 janvier 1966 », dixit Rasmané Ouédraogo, président du MODEC

    La cristallisation et la radicalisation des positions feront abdiquer le camp de ceux qui au fond d’eux même, seul dans leur chambre la nuit savent qu’ils n’ont pas la vérité avec eux. la lutte pour la liberté n’a pas de prix. Je comprends la peur de ceux d’en face mais c’est la loi de la nature et de la vie, toute chose a une fin aussi douloureuse soit -elle.

  • Le 1er juillet 2014 à 09:17, par Le combattant En réponse à : « Nous ne sommes pas loin de la situation du 3 janvier 1966 », dixit Rasmané Ouédraogo, président du MODEC

    2015 l’année du peuple !!Que Blaise le veuille ou pas il partira.

    • Le 1er juillet 2014 à 13:11, par Le républicain En réponse à : « Nous ne sommes pas loin de la situation du 3 janvier 1966 », dixit Rasmané Ouédraogo, président du MODEC

      Referendum ou rien.J’ai 27 ans et depuis ma naissance,j’ai trouvé ce pays paisible.On ne change jamais une équipe qui gagne.Nous républicains du Faso, prenons l’engagement pour que le Blaiso national soit réélu avec une majorité impitoyable.......................................................................

      • Le 2 juillet 2014 à 02:30, par Gbaa Zieh En réponse à : « Nous ne sommes pas loin de la situation du 3 janvier 1966 », dixit Rasmané Ouédraogo, président du MODEC

        Tu ne peux etre un vrai republicain si tu n’es pas politiquement culrtive. La constitution ne pose pas comme condition de continuer a gouvrner, que tu puisses avoir amene la paix. Maiss diantre ! Le burkina n’ a jamais ete en guerre, pardi ! Et si la paix a ete menacee, c’ est bien apres le 15 octobre. Donc Blaise et tes bailleurs sont les menaceurs de cette paix. Et comme ils ont toujours menace la paix depuis 1987, il faut maintenant les combattre.

  • Le 1er juillet 2014 à 11:05, par SOME En réponse à : « Nous ne sommes pas loin de la situation du 3 janvier 1966 », dixit Rasmané Ouédraogo, président du MODEC

    oui en les temps troubles une quireille de soi disants société civiles se revelent : voyez le ridicule du groupe de bobo avec les dianguinanba, etc salia sanou etc le debat est dans le peuple mais on veut nous aveugler encore. La seule facon de d’y voir clair c’est des initiatives du genre qui vient de se tenir(meme si dedans il est clair comme de l’eau de la guinguette de bobo que des individus mal intentionnés ou des cameleons equilibristes infiltreront cette initiative pour mieux la dynamiter ou la retourner ou l’empecher de fonctionner. L’infiltration hypocrite c’est la specialité des politiciens en burkina faso (le tuug guili). vous pensez bien que l’on n’a pas fait des assassinats pour rigoler ; alors il faut passer à des organisations plus systémiques qui correspondent a la hauteur de leur determination. Il nous faut un peuple de convaincus et non un peuple de vaincus ; cela ne depend que de nous
    SOME

  • Le 1er juillet 2014 à 15:58, par Alexio En réponse à : « Nous ne sommes pas loin de la situation du 3 janvier 1966 », dixit Rasmané Ouédraogo, président du MODEC

    Quelle developement de base ces dirigeants d aujourdhui ce sont appuis ? Les acquis revolutionaires ? Non leur a ete de se defaire et de saboter tous ce que la Revolution avait batti. Ils ont installer la mefiance,la division pour regner,le nepotisme, la poltisation de l administraction,le respect de la chose commune,le respect de la femme(la prostitution),l impunite, le Lib-lib,la demagogie,les assasinats non elucides,la justice corrompu. Le President au dessus de la loi fondamentale. Le culte de la personalite. Combien de burkinabe mange 3 plats par jours ?L affairisme dans les hopitaux et l education. L insecurite.La politique partisane des Marches d appels d offres,les projets infinis sous la benection partisane. Les fraudes fiscales,foncieres. Les traffiques d influences,les chantages. Viola les facteurs qui peuvent tobes ce regime monopolistes.

  • Le 2 juillet 2014 à 04:40, par Alternancier En réponse à : « Nous ne sommes pas loin de la situation du 3 janvier 1966 », dixit Rasmané Ouédraogo, président du MODEC

    Les syndicats ont été achétés et ils ont abandonné le peuple à son triste sort

 LeFaso TV
 Articles de la même rubrique