Salia Sanou : Rupture de silence face à la presse
Salia Sanou parle. D’ordinaire très discret sur les questions relatives à la vie de sa cité, l’édile de Bobo-Dioulasso a décidé de rompre le silence. Le mercredi 24 juillet 2013, il a tenu une conférence de presse. Avec comme points essentiels des questions relatives à l’éclairage de l’avenue de l’Union européenne et des nids de poule dans sa ville.
Salia Sanou a décidé de rompre avec le mutisme. Très discret sur les questions relatives à la vie de sa cité, l’édile de Bobo-Dioulasso semble vouloir rectifier le tir. C’est ainsi qu’ entouré de ses plus proches collaborateurs, il a animé une conférence de presse.
Pour Salia Sanou, il s’est agi d’éclairer l’opinion publique sur le projet d’éclairage de la route nationale n°1 et de révéler des projets de construction ou de réhabilitation des voies dans sa ville. On se le rappelle, un accident mortel sur le tronçon de l’Union européenne avait récemment déclenché une série de manifestations à Bobo-Dioulasso.
Tout en reconnaissant le bien fondé de la demande des manifestants (éclairage de l’avenue de l’Union européenne), le maire a cependant déploré la manière. Selon lui, bien avant les manifestations, la mairie avait son calendrier. « A l’inauguration de l’Avenue de l’Union européenne, nous avons organisé une grande cérémonie avec des habitants des secteurs 24 et 25. C’est ce jour-là que le représentant de l’Union européenne a promis de doter cette infrastructure d’éclairage publique » a-t-il noté.
Selon le maire, le financement est déjà acquis et l’on trouvera des lampes sur la route nationale N°1 de l’entrée de Bobo-Dioulasso (Bienvenue à Sya) à la place de la femme d’ici novembre 2013. Déjà, des ralentisseurs (gendarmes couchés) ont été installés tout au long de cette voie.
En plus de la route nationale N°1, l’avenue du cinquantenaire communément appelée route du Mali est dans le viseur du maire. Dotée de lampadaires circonstanciels au cours des cérémonies du cinquantenaire de l’indépendance du Burkina à Bobo-Dioulasso (2010), cette route a renoué avec le noir.
L’état du centre- ville en question
Revenant à la situation du centre-ville de Bobo, Salia Sanou n’est pas resté indifférent. « Ce n’est pas beau mais nous y travaillons ».
Dans l’immédiat, le maire compte investir 30 millions de francs CFA pour boucher les nids de poules. A long terme, c’est l’ensemble des voies dégradées du centre-ville bobolais qui seront à reconstruire : « Nous avons fait des études et nous sommes à la phase de recherche de financements » a-t-il laissé entendre.
L’occasion faisant le larron, des journalistes ont cherché à en savoir sur la situation du service communication de la mairie. Parce que jusqu’à ce jour, la mairie de Bobo-Dioulasso fonctionne sans communicateur. Si fait qu’obtenir une information sur les activités de la mairie relève de la croix et de la bannière. Pas d’inquiétude, le communicateur est pour bientôt selon Salia Sanou.
Le stationnement des véhicules de transports, l’occupation anarchique de l’espace publique par les parqueurs, les taxis motos et les taximen se sont également invités dans les échanges.
Ousséni BANCE
Lefaso.net
Vos commentaires
1. Le 25 juillet 2013 à 13:12, par Sam En réponse à : Salia Sanou : Rupture du silence face à la presse
Ce maire m’inquiète.Il est à son deuxième mandat et il cherche toujours des financements pour le centre ville.A mon avis,il y a un problème.Jusqu’à une date récente,même les raccordements avec les nouvelles voies bitumées n’étaient pas faits.
Il faut que les Bobolais se réveillent.
2. Le 25 juillet 2013 à 13:36, par Aboubakar En réponse à : Salia Sanou : Rupture du silence face à la presse
Je suis resté sur ma faim, vous n’aviez rien dit chers journalistes ou ce n’étaient que les amuses gueules d’abord. Quelqu’un qui est à son deuxième mandat et qui nous parle seulement de 30 millions pour boucher des trous qui ont plus que l’âge du règne de Blaise, c’est vraiment écoeurant.
3. Le 25 juillet 2013 à 16:40 En réponse à : Salia Sanou : Rupture du silence face à la presse
ce maire ne prend pas les gens au sérieux
Le 25 juillet 2013 à 17:41, par Pascal En réponse à : Salia Sanou : Rupture du silence face à la presse
Pourquoi tu dis ça ? Tu croyais que c’était quelqu’un de sérieux ? Tu ne l’as pas bien regardé ?
4. Le 25 juillet 2013 à 17:30, par Turq En réponse à : Salia Sanou : Rupture de silence face à la presse
Je suis vraiment déçu de ce maire particulièrement et avec tout les autres maire de Bobo. venez voir le centre ville de la ville, c’est du bordel. Les quelques rare fois que les caniveau sont curés, les déchets sont laissés sur place. Je demande à vous les journalistes de faire un reportage sur le centre ville et sur le caniveaux de la ville.
5. Le 25 juillet 2013 à 18:46, par le sahélien En réponse à : Salia Sanou : Rupture de silence face à la presse
A l’entendre on comprend pourkoi bobo n’est plus la capitale économique du pays. A moins que le journaliste soit tombé sur un visiteur et non le Maire.
6. Le 25 juillet 2013 à 18:55, par le sahélien En réponse à : Salia Sanou : Rupture de silence face à la presse
A l’entendre on comprend pourkoi bobo n’est plus la capitale économique du pays. A moins que le journaliste soit tombé sur un visiteur et non le Maire.
Le 25 juillet 2013 à 21:06, par Jehus En réponse à : Salia Sanou : Rupture de silence face à la presse
En fait, ce que Mr Salia SANOU (je dis bien Mr car il mérite toujours cela) raconte ne dois pas surprendre quelqu’un. Il est venu de loin pour être maire de Bobo. Cela veux dire qu’il n’est pas à cette place pour construire la ville de Bobo. Il est là pour se construire lui même d’abord. Considérons donc que Bobo n’a pas de maire d’abord jusqu’à ce qu’un moins nécessiteux que Salia arrive peut être en 2017. Si j’ai bonne mémoire Mr le maire pour son premier mandat ne s’est pas fait élire à Bobo ville. Mr le maire fuit la presse parcequ’il ne comprend pas bien français car il n’est pas allé loin à l’école et en plus il n’a rien de concret à proposez à ces citoyens. Donc comprenez le Mr les journalistes. C’est aussi la conséquence du fait qu’on peut être consideré comme étranger dans une région de ce même pays en étant Burkinabé malgré qu’on a de bonne idée pour faire du bon travail en tant que Maire.
Le 28 juillet 2013 à 12:27, par ZAK En réponse à : Salia Sanou : Rupture de silence face à la presse
Je pourrais être d’avis avec toi sur la première partie de tes propos, mais il faut retirer la dernière phrase car là tu dis n’importe quoi.
En ton âme et conscience, est-ce que tu peux me citer une seule ville au Burkina qui soit plus accueillante et plus "intégratrice" que Bobo pour les "étrangers" et qui leur fasse la part aussi belle ?
Le 25 juillet 2013 à 23:42, par levtoksky En réponse à : Salia Sanou : Rupture de silence face à la presse
je suis étonné que les gens soient surpris. C’est clair qu’il n’y aura rien a attendre de ces maires frelatés. On cherche trente millions pour<> alors qu’à ouaga c’est des km et des km de goudron qu’on construit chaque année. on attend son deuxième mandat pour boucher les nids de poules qui existaient bien avant son premier mandat ! n’importe quoi , de vrais minables
7. Le 25 juillet 2013 à 20:06, par L homme integre fache En réponse à : Salia Sanou : Rupture de silence face à la presse
Je me demande souvent ce que Bobo-Dsso a fait au bon dieu pour avoir un maire pareil ?
8. Le 25 juillet 2013 à 20:17 En réponse à : Salia Sanou : Rupture de silence face à la presse
Cela se comprend. Comment des gens peuvent venir à la direction d’une ville sans programme, ni vision concret s de développement ? Si ce ne sont des bouts de mensonge ficelés ça et là lors les élections pour être élu. Et pendant le mandant ils se la coulent douce pensant que tout va tomber du ciel. Et après cela ces mêmes personnes demandent qu’on leur accordent 3, 4 mandants pour qu’ils puissent faire les mêmes choses qu’ils auraient pu réaliser en un seul mandant . On ne veut plus de tous ces incapables justes là pour se pavaner pendant les grandes manifestations et bouffer notre argent gratuitement.
9. Le 25 juillet 2013 à 20:21 En réponse à : Salia Sanou : Rupture de silence face à la presse
Cela se comprend. Comment des gens peuvent venir à la direction d’une ville sans programme, ni vision concret s de développement ? Si ce ne sont des bouts de mensonge ficelés ça et là lors les élections pour être élu. Et pendant le mandant ils se la coulent douce pensant que tout va tomber du ciel et tout ira bien. Et après cela ces mêmes personnes demandent qu’on leur accordent 3, 4 mandants pour qu’ils puissent faire les mêmes choses qu’ils auraient pu réaliser en un seul mandant . On ne veut plus de tous ces incapables justes là pour se pavaner pendant les grandes manifestations et bouffer notre argent gratuitement.
10. Le 25 juillet 2013 à 20:54, par SIA En réponse à : Salia Sanou : Rupture de silence face à la presse
RAPPELEZ VOUS QU’A HEMICYCLE MEME L’ANNEE PASSEE ? UN DEPUTE A DEMANDE S’IL Y A UN MAIRE A BOBO ! HONTE A TOUT LE CDP HOUET ! BOBO MEURE ET LE CDP HOUET FAIT DE "YES MAN " SANS VISION SANS PROJET POUR BOBO NE SAVENT MEME PAS OU ILS VONT. C’EST TRISTE POUR BOBO.
TRAVAILLONS A REVEILLER LES BOBOLAIS ! L’IGNORANCE EST LE PIRE DES MAUX ! ON DOIT SE REVEILLER POUR NOTRE VILLE, BOBO LA RUINE !
11. Le 25 juillet 2013 à 20:58, par L’Expert En réponse à : Salia Sanou : Rupture de silence face à la presse
Ce maire continue à s’amuser avec les Bobolais et partant tous les Burkinabés honnêtes. J’avais déjà dit ici au moment du soulèvement sur l’avenue de l’UE suite à l’accident que ce soit disant financement que le maire avait brandi était faux. Il le reconnait lui même aujourd’hui et il nous fait croire que ça sera financé avec la route Sakoinsé-Boromo alors que ce marché est déjà attribué il y a des mois, bien avant la marche sur l’avenue EU, il devrait donc le savoir mais hélas, il nous prend pour des enfants ce maire. mais on attend toujours ces lampadaires..........
12. Le 25 juillet 2013 à 21:05, par SIA En réponse à : Salia Sanou : Rupture de silence face à la presse
vivement si KOUSSOUBE POUVAIT REVENIR
Le 28 juillet 2013 à 12:42, par ZAK En réponse à : Salia Sanou : Rupture de silence face à la presse
Je crois qu’il faut oublier définitivement ce monsieur, car il a eu l’occasion de faire ses preuves et on en a vu le résultat. C’est du pareil au même. Idem avec l’actuel président du conseil régional.
Bobo a besoin du sang neuf, d’hommes nouveaux, intègres et dévoués à la cause de la ville !
13. Le 25 juillet 2013 à 22:01, par Tienfola En réponse à : Salia Sanou : Rupture de silence face à la presse
On dit que chaque peuple merite ses dirigeants. En tant que bobolais j’ai honte de voir que nous continuons a nous faire diriger par des alphabetises au lieu des intellectuels. Avec quel savoir voulez vous que certains maires de bobo puissent convaincre un bailleur de fond ? Bobo restera comme cela jusqu’a ce que nous choisissions des dirigeants charismatiques et intruits pour la destinee de nos communes.
Le 26 juillet 2013 à 08:50 En réponse à : Salia Sanou : Rupture de silence face à la presse
vous savez pourquoi bobo ne se développe pas ? tout simplement parce que : 1/le bobolais ne sait pas se battre. il aime les facilités ; 2/ le bobolais ne sait discerner les bon éléments. IL pense que seul un bobo doit être le maire central même sil est toto. moindre chose, "an ka dugulo". il faut que les bobolais en particulier et les burkinabé en général acceptent les compétences d’où qu’elles viennent. battez vous pour les meilleurs à la tete de votre commune. manifestez vous à chaque moindre erreur des faux responsables pour qu’ils prennent conscience qu’ils sont élus pour le peuple et non pour eux mêmes. ceux qui ne veulent pas cela n’ont qu’a démissionné pour devenir opérateurs économiques, là ils oeuvront pour eux mêmes. je suis fatigué avec les responsables municipaux de bobo. si vous bobolais dormez vous serez les plus malheureux du Burkina. je vous aime kmm.
Le 26 juillet 2013 à 22:38, par VOF En réponse à : Salia Sanou : Rupture de silence face à la presse
Mon ami si tu savais que entre nous les BOBO ils ya plusieurs variantes tu n’allais pas parler ainsi.il ya des candidatures qui ont ete refusees parce qu’ils ne sont ne sont pas des des madarais mais des vorais.Donc menage un peu ton langage quand tu parles,parles des individus en lieu et place des eth’ies
Le 28 juillet 2013 à 13:02, par ZAK En réponse à : Salia Sanou : Rupture de silence face à la presse
"Madarais" et "vorais" devraient mener le même combat pour le changement et le développement !
Mon frère, je pense que tu t’es laissé avoir par la politique de "division pour régner" des politiciens minables de Bobo car tu reprends à ton compte le mêmes termes de division.
Pour l’amour de Bobo, il n’y a aucun combat noble à mener au sein du CDP si ce n’est partager des "miettes de gâteaux" ; le vrai combat doit se mener en dehors de ce parti totalement corrompu, voire même en dehors de la politique politicienne.
14. Le 26 juillet 2013 à 01:50, par Chalamar En réponse à : Salia Sanou : Rupture de silence face à la presse
Il aurait fallu sortir parler au citoyen de Bobo lors du mouvement sur le boulevard de l’UE. C’est dommage que se soit un fils du village qui brade le village comme du foin. Si t’est pas au courant demande à Mélegué.
A Bobo, on est déçu de tout ce monde et bientôt les choses changeront.
Au Burkina, après Blaiso, c’est les TPR qui doivent revenir, afin de dégonfler les valets locaux et politiciens véreux, tout ce monde de corrompu notoire, bref ces hommes du système.
15. Le 26 juillet 2013 à 03:49, par dani6969 En réponse à : Salia Sanou : Rupture de silence face à la presse
Comment on peut choisir un illettré comme maire d’une grande ville et puis attendre de lui quelque chose de positive ? Ce type ne pourrait jamais établir un projet de société et le défendre auprès des bailleurs européens ou autres. C’est ça la réalité.
Le 26 juillet 2013 à 14:20, par BATI BII En réponse à : Salia Sanou : Rupture de silence face à la presse
Ok il ne peut pas défendre un projet auprès des bailleurs européens, mais il faut savoir que tant qu’on comptera sur "des bailleurs européens" on restera dans la misère ... Ceux qui nous dirigent aujourd’hui ne font pas leurs boulots, mais quand notre tour arrivera, pensons aux solutions locales au lieu de compter sur les autres.
16. Le 26 juillet 2013 à 04:15, par Noaga En réponse à : Salia Sanou : Rupture de silence face à la presse
Nous voulons savoir davantage sur le détournement au profit du pied à terre, Mrs les journalistes nous commençons à vous redonner confiance ,donc le lièvre le sorti et il faut le pourchasser. Je suis mossi et même étant dans un avion s’il aperçoit un lièvre il va crier " heee pilote il y’a soamba " repartez voir Mr le maire pour des eclairecissements avant les travaux
Le 26 juillet 2013 à 08:10, par Le Roi En réponse à : Salia Sanou : Rupture de silence face à la presse
Enfin un début de commencement mieux tard que j’aimais dit-on. Trouvons ensemble des solutions pour bobo au lieu d attendre de perdre encore 4 ans en disant qu après Blaise ou le CDP ça va changer n oublions pas que ceux qui dirrige depuis 30and son ancien révolutionnaires que dire des anciens CDR et CR. Ils sont devenus les pires que tous ce que Tomas Sankara a combattu. Cher Burkinabé travaillons a vulgariser les infos sur le bilan de nos dirigeants cela permettra a la population de tirer les conclusion des mandats les compagnes travaillons a l éveil des consciences .
Le 26 juillet 2013 à 08:20, par SABARI En réponse à : Salia Sanou : Rupture de silence face à la presse
je suis de la zone mais j’ai fais 25ans à ouaga,juste vous dire que les mentalités sont différentes comme le disais plus haut quelqu’un chaque peuple mérite ses dirigeants.
C’est vraiment malheureux du faite qu’on nomme des idiots et inconscients à la tête de certains poste assez sensible,ouaga est plus grand que bobo que il y a beaucoup plus de merde à bobo,tout simplement parceque le maire ne fous et passe son temps dans la ville ouagalaise,même si tu n’est pas instruis au moins faut copier un peu,prenons l’exemple de Simon Compaoré il a fait de ouaga une vrai ville c’est pas pour autant qu’il ne volait pas,mais qu’à même on voyais l’effort fourni.
Peuple Burkinabè trop c’est trop,levons nous pendant qu’il est temps,sinon ces politicien finiront par vendre notre patrie un jour,chose qui est en route d’ailleurs.
17. Le 26 juillet 2013 à 08:49, par Cgrav En réponse à : Salia Sanou : Rupture de silence face à la presse
Ce monsieur est un illettrée sans aucune vision !
Aucun feu de circulation ajoute
Aucune nouvelle rue éclairée (plutôt un assombrissement progressif des ruelles)
Aucun aménagement d’espace vert
Aucune nouvelle canalisation des eaux de pluies
Problème de gestion des déchets urbain
Aucun nid de poule bouche
Aucune nouvelle route bitumée (les bitumes récents sont a mettre au compte du cinquantenaire)
Aucun chantier en cours
etc
C’est des considérations ethno-centristes qui ont fait de lui un maire
Résultats des courses a son 2e mandat :
En plus, il ose parler d’un projet a long terme alors qu’il est a son 2e mandat (peut être qu’il compte en faire 2 autres pour être a moyen terme de ces projets) ...
Triste réalité pour mon pays, une capitale économique mérite mieux.
18. Le 26 juillet 2013 à 09:03, par neveu du maire En réponse à : Salia Sanou : Rupture de silence face à la presse
Donc sans intervention de l’UE, pas d’éclairage. Ce maire incarne vraiment la honte. Très bouché !!!!!!!!!!!!!!!!
19. Le 26 juillet 2013 à 09:18, par bran En réponse à : Salia Sanou : Rupture de silence face à la presse
Salia
Quand on parle pas bien la langue des journalistes en face de soi (en l’occurrence le français pour cette conférence) !
Quand on a pas un conseiller en communication pour parler a sa place !
Quand on a pas de projet a proposer !
On s’abstient et on fait profil bas comme durant le 1er mandat, une conférence de presse pour annoncer des nids de poules a boucher ! Quand même...
20. Le 26 juillet 2013 à 09:38, par Point de vue En réponse à : Salia Sanou : Rupture de silence face à la presse
Il faut que les Bobolais et Bobolaise se mettent au sérieux sinon Bobo Sera la dernière ville du Burkina en terme de Développement
Le 26 juillet 2013 à 11:45, par Minnayi En réponse à : Salia Sanou : Rupture de silence face à la presse
Je l’ai déjà dit à beaucoup d’amis natifs de Bobo. Je suis à Bobo il y a seulement un peu moins de 2 ans et c’est vraiment écœurant de constater que Bobo recule. Le centre ville fait terriblement honte et il n’y a qu’à voir la principale voie d’accès au marché central. Elle se transforme en une marre à la moindre pluie. On n’a pas l’impression que la municipalité est consciente de ses responsabilités vis-à-vis de l’aménagement des voiries, de la salubrité publique, etc.
Mais le vrai problème c’est qu’en réalité le niveau d’étude et d’instruction du maire et de son personnel proche reste extrêmement bas. Aucun cadre digne de ce nom en dehors des "dealers et vendeurs de parcelles". Et quand Salia a été reconduit, j’ai tellement exprimé mon indignation au point d’être incompris, d’être traité de ne pas aimé Bobo. Or, la ville de Sya reste l’une des villes les plus accueillante, sinon la plus accueillante, la plus sociable, ...
Comment comprendre que le maire central de la deuxième ville du BF anime un point de presse pour annoncer un projet de 30 millions ? Pendant que toutes villes moyennes ont désormais à leur tête des intellectuels de très haut niveau, capables de monter des projets de développement et surtout de les défendre auprès de partenaires, à Bobo, on se contente de maires dont le niveau est compris entre le primaire et le post primaire. Des huits (8) maires de Bobo, un seul semble avoir le niveau de bac + 2/3.
Je pense qu’il faut un sursaut "bobolais" des fils et filles de Bobo pour recadrer les choses. Mais l’espoir est-il permis ?
21. Le 26 juillet 2013 à 10:23, par habitant de sya En réponse à : Salia Sanou : Rupture de silence face à la presse
je me demande se que se planton limite de la sonar pense,il nes pas reflechit et ne gacher pas vos salive car il nes pas un responsable. au lieu de se soucier a la ville de bobo ses les histoire de fesse qui l’interresse,quelqu’un qui na meme pas respecte le repos de sa famme au sieux se prespite pour remplasser une si grande femme qui a fais de lui se qu’il est aujourd’hui soit disan que je les croiser a l’enterrement de la maman de la premiere dame, ah les gens vont au obsecque pour draguer ses honte mr le maire,et dire qu’ant 2 ans de mandat toi tu peut que negocier 30 millions pour boucher les nids de pouls. heeeeeeeeeeeeeeeeeeee bobo dioulasso pouquoi les gens te mal menne ainsi. dieu tout puissant sauve notre bobo.
22. Le 26 juillet 2013 à 11:21 En réponse à : Salia Sanou : Rupture de silence face à la presse
Quel honte de maire ! responsable d’une capitale économique ose dire qu’il cherche 30 millions pour réparer de nids de poules de sa ville. incroyable ! quel drôle de maire ! si le président du Faso aime bobo et souhaite un vrai développement pour cette localité doit instruire le ministre des collectivité locales afin qu’il le démette de ses fonctions de maire. que les bobo ne disent pas comme je l’ai dis ci-dessus que : "an ka dugulo" que le chef suprême de bobo mandaré appelles ses sujets à méconnaitre ce faux fils de Sya qui ne veut pas le développement économique et sociale de son canton. que les citoyens bobolais le désobéisse et ne paient pas les taxes communales. celui qui ne veut pas se battre pour l’essor de sa commune ne mérite pas être fils de cette commune. "an ka dugulo, ça se mérite". nous voulons des maires comme Simon COMPAORE, Arba DIALLO ....
23. Le 26 juillet 2013 à 11:28, par kolo En réponse à : Salia Sanou : Rupture de silence face à la presse
Il ya par exemple un quartier qui n’a plus de voies praticables à Bobo. Le quartier ouezzin-ville. C’est triste ; même les petites villes comme Fada, Ouahigouya, Koudougou, Dédougou battent Bobo en termes de voiries. Honte aux pilleurs des ressources de notre (ex belle) cité de Sya.
Le 26 juillet 2013 à 19:02, par ABK En réponse à : Salia Sanou : Rupture de silence face à la presse
N’exagérons rien mes amis. Je suis retourné à Bobo 10 ans après mais le changement est visible plus visible qu’à Ouaga à mon sens en terme dévolution de la ville en infrastructures.
Larges voies bien tracés, nouveaux immeubles etc....
Allez voir Bouaké et vous me conterez une ville qui n’a pas évolué et qui n’a reçu aucune infrastructure depuis 20 ans.
Je suis tout de même d’avis qu’il faut élever le niveau de nos maires. ils peuvent-être très volontaire à bien faire mais n’ont pas les capacités intellectuelles ni le sens de la méthode et de l’organisation.
Le 27 juillet 2013 à 15:54, par Adama En réponse à : Salia Sanou : Rupture de silence face à la presse
ABK, il faut comparer ce qui est comparable, BOUAKE était une ville en guerre, là bas il faut essayer de mesurer la destruction et non la construction.
24. Le 27 juillet 2013 à 08:04, par M En réponse à : Salia Sanou : Rupture de silence face à la presse
le travail du maire commence dès son 1er mandat et non lorsqu’il tire à sa fin, il faut que la ville ai un vrai maire.
25. Le 27 juillet 2013 à 22:09, par PAPITO En réponse à : Salia Sanou : Rupture de silence face à la presse
Je profite de cette tribune pour interpeller le maire sur le depotoire d’ordures qui se constitue au secteur 24 .
La zone du verger qui longe le canal de kua est bien lotie à ce que je sache mais chaque jour les charrettes des associations de ramasseuses d’ordures défilent pour y déverser ce qu’elles ont collectées .juste à côté .
Et dire qu’il y a des silures sacrés dans ce marigot ........