Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Aux termes des conclusions du Conseil consultatif sur les réformes politiques (CCRP) mis en place à la suite des mutineries de mars 2011, le président Blaise Compaoré, arrivé au pouvoir par l’avènement du 15 octobre 1987 avait, à la veille de la tenue des travaux de ce CCRP, fait la promesse que les questions qui n’auraient pas trouvé de consensus entre les participants devraient demeurer en l’état.
Cependant, après avoir pris acte de l’absence de consensus sur la modification de l’article 37 à l’issue des débats, Blaise Compaoré avait aussitôt déclaré que « les discussions se poursuivraient », sans que personne ne puisse dire, à l’heure actuelle, aux encablures de l’échéance de 2015, quelle est sa position ferme et définitive sur le sujet.
C’est pourquoi, les propos du président du Faso ont été diversement interprétés par divers commentateurs et acteurs de la vie politique burkinabè. Le débat qui s’est installé depuis lors n’est pourtant pas dénué de tout intérêt tant il comporte des enjeux majeurs pour l’avenir de notre jeune démocratie et de la politique de notre pays.
Dans sa lettre du 28 février 2012 au président du Faso, le "KAMSI YIANGDA", se définissant comme un groupe informel de réflexion constitué essentiellement de jeunes diplômés (Bac +5 minimum) et sans emploi à travers leurs 12 propositions a indiqué que
« Le constat à présent est clair, l’article 37 point nodal du dialogue intérieur, n’a pas obtenu comme l’a souhaité le parti au pouvoir, le consensus nécessaire pour sa révision. On comprend donc le manque d’enthousiasme et le moindre empressement qui est affiché depuis lors, pour la mise en œuvre des conclusions auxquelles le processus de réformes politiques a abouti ». Sic !
Quant à Cheik Ahmed du Journal L’Opinion, le 12 mars dernier, dans un article intitulé « une camisole de force », semblant oublier que la révision ou la non révision de l’article 37 dépassait indéniablement les clivages politiques, a indiqué avec, visiblement une certaine maladresse que « …la hargne avec laquelle un certain Stanislas B. SANKARA, du désormais moribond UNIR/PS et certaines plumes avec à leur suite de pitoyables internautes refusent jusqu’au moindre avis divergent du leur, sur le sujet, est tout simplement insupportable et inacceptable. Aussi curieux que cela puisse paraître, c’est au nom de la démocratie et du droit du peuple à choisir librement ses dirigeants que ce bon petit peuple de petits messies s’insurge avec violence et sans concession contre le recours à ce même peuple pour savoir ce qu’il pense réellement, au prétexte que leur seule parole suffit et qu’il n’y a rien à cirer. C’est d’un ridicule si saisissant qu’on ne s’étonne point du tout de retrouver sur cette position, certaines personnes frappées d’incapacité idéologique à supporter toute contradiction tout comme des plumes et des personnages dont la ligne éditoriale et les principes de fonctionnement sont manifestement la provocation à tout va, l’essentiel pour eux étant d’être iconoclastes pour justifier leur existence structurelle… ».
Ces propos, tels que repris textuellement, sont inutilement sévères et vexatoires vis-à-vis surtout de certains internautes qui ne sont pas forcément partisans du parti du président de l’UNIR/PS. Mais Cheick Ahmed n’est pas le seul journaliste à évoquer la question de la révision constitutionnelle de l’article 37 de la Constitution.
Dans son édition du 14 mars 2013, Juvénal Somé du site Lefaso.net a évoqué une « agitation dans le Compaoré land, que ce soit au sommet de l’Etat, ou au sein du parti présidentiel et même dans la presse proche du pouvoir… », où est évoqué « désormais, à mots à peine couverts, le sujet qui fâche. Reste à trouver la méthode. Entre camarades apparatchiks, le débat n’est pas encore tranché selon un responsable. Voie parlementaire ou référendaire, pour l’instant, on scrute l’opinion pour savoir que faire. Mais rien n’est gagné pour autant ».
SOME ajoute : « Dans le camp adverse, l’on affûte également ses arguments. Autant que l’on comptabilise les soutiens. Le but recherché est simple : contrer une éventuelle velléité de passage en force. A l’image de l’UPC et de l’UNIR/PS ou encore Le Faso Autrement qui, ont fait savoir qu’ils étaient pour le respect des dispositions en vigueur dans la Constitution » à savoir la non révision de l’article 37 de la Constitution. Le journaliste de Lefaso.net conclut en ces termes : « Diabré, Sankara, Ablassé, … et le front du non, comme bien d’autres, les partis d’opposition Burkinabè ont réaffirmé leur opposition ferme à toute idée d’un nouveau mandat pour le chef de l’Etat sortant, après 2015… Avec cela, tous espèrent s’appuyer sur un mouvement de sympathie qui engloberait outre la société civile, une partie de l’intelligentsia locale. Une manière de prouver, disent-ils, qu’ils sont prêts ».
Ancien ambassadeur du Burkina au Canada durant une dizaine d’années, Juliette Bonkoungou, n’a pas un avis tranché sur la question et semble s’en remettre de manière surprenante à « la décision du Président » alors que les termes des dispositions combinées des articles 36 et 37 de la Constitution sont claires comme de l’eau de roche. Elle précise curieusement faire confiance à Blaise COMPAORE, qui, invité « dans l’extrême solitude de ses responsabilités, de définir sa place dans l’histoire (pour) se situer dans le sens de l’intérêt de notre peuple ».
Or, la sphère politique burkinabè est divisée sur où se trouvent les intérêts fondamentaux du peuple. Ainsi donc, si pour les uns, partisans effarouchés de la révision constitutionnelle, celui qui « aurait risqué plusieurs fois sa vie pour la liberté et le progrès de notre peuple… bâti à partir de la rocaille de notre pays, un Burkina dont la voix compte aujourd’hui en Afrique et dans le monde », est un homme au « leadership exceptionnel qui mérite de continuer à diriger le Burkina après 2015 », pour les autres, il doit savoir partir pour « entrer dans l’histoire ».
Mais la réaction la plus spectaculaire est venue de Monsieur Adama FOFANA qui s’est exprimé avec une certaine élégance politique appréciable et une honnêteté intellectuelle si rare. Sur la révision ou pas de l’article 37, et se référant à l’avis de Monsieur Ablassé Ouédraogo sur le sujet exprimé au cours d’une interview, M. Adama FOFANA a répondu ceci : « Plaise à Dieu que la confiance nourrie par Ablassé Ouédraogo envers Blaise puisse illuminer Blaise et l’éloigner de toute tentation de révision de l’article 37 ». Et M. Adama FOFANA de renchérir que « la question suprême est de savoir ce que valent les sentiments personnels dans le jeu politique ? Si les mots affables, les plaintes, les cris, les récriminations, les suppliques, les complaintes, les jérémiades suffisaient à formuler une interdiction quelconque à l’endroit du Président Blaise COMPAORE en regard de l’article 37, il y a longtemps que le sujet serait évacué. Monsieur FOFANA conclut qu’il lui « semble que les paramètres du problème sont en train d’être mis en place pour une retouche par la voie parlementaire ». La question est de savoir si dans le contexte national et international actuel, il est souhaitable de gouverner sans discontinuité pendant trente ans alors que l’article 37 de la constitution prescrit que « le Président du Faso est élu pour cinq ans au suffrage universel direct, égal et secret, qu’il est rééligible une fois ».
Dans son principe, certes, l’article 37, peut, sur le plan de la légalité constitutionnelle, faire l’objet d’une révision à l’instar des autres dispositions « révisables » de la constitution. Il n’a donc pas une singularité technique par rapport aux dispositions révisées ou révisables comme celle de 2012 (non frappées par l’intangibilité). La « révisibilité » de l’article 37 pourrait se fonder donc sur la constitution elle-même et ne pourra que suivre la procédure constitutionnelle prévue à cet effet.
Cependant, sur le plan de la légitimité démocratique, la révision de l’article 37 n’est pas souhaitable pour la simple raison que cet article 37 constitue sans conteste, la clé de voûte de notre système démocratique. Il incarne le renouvellement politique, notamment l’alternance qui est aussi à l’heure actuelle, un élément essentiel dans la consolidation de notre processus démocratique. Certains observateurs avisés n’ont-ils pas exprimé publiquement la crainte d’une « monarchisation » ou de « patrimonalisation du pouvoir » en cas de révison de l’article 37 ?
Le cas échéant, si la révision de l’article 37 devait intervenir par voie référendaire ou parlementaire, l’entorse aux dispositions constitutionnelles dudit article 37 pourrait se révéler, si l’on n’y prend garde, une erreur politique irréparable et fatale à ceux qui en prendraient l’initiative.
C’est pourquoi, à l’instar de monsieur Adama FOFANA, et conformément à la bienveillance à la sagesse et à la prudence habituelles du président du Faso, il convient de s’abstenir de commenter un fait qui n’est pas réalisé et de souhaiter, en tant que citoyen que « le mandataire du peuple respecte les termes du contrat sur la base desquels le peuple mandant l’a élu ».
En réalité quelle est la position juridique incontournable ? Aux termes de l’article 36 de la constitution dont l’importance capitale est d’ailleurs totalement passée sous silence par les divers commentateurs, « Le Président du Faso est le Chef de l’Etat.
Il veille au respect de la constitution.
Il fixe les grandes orientations de la politique de l’Etat.
Il incarne et assure l’unité nationale.
Il est garant de l’indépendance nationale, de l’intégrité du territoire, de la permanence et de la continuité de l’Etat, du respect des accords et des traités ».
A la lecture de l’article 36, chaque citoyen burkinabè doit se rendre à l’évidence et ce, quel que soit son appartenance politique que c’est le président du Faso lui-même qui doit « veiller au respect de la constitution ». Par conséquent, personne n’a le droit de douter, de penser ou d’écrire que le président du Faso ne veillera pas au respect de la Constitution comme le lui imposent, dans ses attributions présidentielles, les dispositions de l’article 36 de la constitution.
C’est la raison pour laquelle, la position défendue par monsieur Adama FOFANA nous paraît d’une sagesse élémentaire, raisonnable et respectueuse des institutions républicaines sur le fondement desquelles notre démocratie, à peine trentenaire, a toujours fonctionné jusque-là. Qu’un hommage soutenu soit d’ailleurs rendu au président Blaise COMPAORE pour avoir été l’artisan de cette démocratie naissante qui ne recherche que sa consolidation et sa pérennité.
Personne n’a le droit de douter du départ du Président Blaise COMPAORE en 2015 et les allégations fantaisistes de ce qu’il serait « irremplaçable » ne constituent en réalité qu’une insulte à son égard et à notre peuple tellement les « irremplaçables sont nombreux au cimetière ». Il faut se garder de créer une situation où un caporal ou un officier sortira de nulle part pour suspendre ou supprimer une nouvelle fois les institutions de la république comme ce qu’on a vu récemment au Mali et en République Centrafricaine. Ce serait très dommage pour la paix sociale et un grave recul démocratique.
Pour n’avoir pas écouté ou tenu compte des conseils qui lui avaient été adressés en son temps afin de sortir de la crise politique qui secouait son pays, Laurent Koudou GBAGBO est aujourd’hui à la HAYE dans l’attente de son jugement devant la Cour Pénale Internationale. Il faut donc espérer, sans être ni « petit messie » ni « iconoclaste » parce que n’importe quelle vie humaine en vaut une autre, que dans « l’extrême solitude de ses responsabilités » ou en dehors, le Président Blaise COMPAORE mette « la Patrie » et les intérêts supérieurs de la nation « au-dessus de son clan politique en laissant le jeu politique se dérouler normalement selon la loi fondamentale du 2 juin 1991 ». Parce qu’il est non seulement un patriote, pourquoi prendrait-il, en plus, le risque de ternir « le leadership régional et international » dont il jouit actuellement ?
En sa qualité de « veilleur du respect de la constitution » selon les termes mêmes de l’article 36 alinéa 2, c’est le moins qu’on puisse espérer et le lui dire honnêtement, sincèrement, avec respect tenant à ses fonctions sans aucun « louvoiement » est, nécessairement, un impérieux devoir patriotique.
Paul KÉRÉ, Avocat au Barreau de Nancy. France.
Vos commentaires
1. Le 22 avril 2013 à 11:42, par ISBAN En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’Etat !
les partisans de la protection de l’impunité n’ont qu’à éviter à notre pays la pire page de son histoire. si l’article 37 est modifié, nous allons retomber dans un régime d’exception car il y a beaucoup de mécontents dans le rang de l’armée et ces derniers attendent seulement un faut pas du régime corrompu et moribonde pour mettre fin à ses jours. il faut donc mettre l’intérêt de la nation au dessus de vos intérêts mesquins et égoistes si vous ne voulez pas rejoindre charles taylor, gbabo... à la haye.
Le 22 avril 2013 à 12:21, par LAGUI ADAMA En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’Etat !
Pour le pouvoir du peuple par le peuple, la logique démocratique du respect du PEUPLE exige que le PEUPLE soit le seul décideur de son destin, ceci dit l’article 37 devrait être démocratiquement soumis à une consultation populaire par référendum pour une réponse souveraine du PEUPLE.
Le 22 avril 2013 à 21:44, par veritum En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’Etat !
Nous savons tous que l’option du referendum qui semble être l’avis du peuple par le peuple et pour le peuple ne l’est pas forcement dans la mesure où nous considérons en outre du "suivisme" actuel dans lequel sont tombés nos parents, la non volonté des uns et des autres d’exprimer leur volontés pour les mêmes raisons. Je crois que le président du Faso devrait tenir ses promesses inconditionnelles sur l’issue de ce CCRP instauré par ses soins. ".....à la veille de la tenue des travaux de ce CCRP, fait la promesse que les questions qui n’auraient pas trouvé de consensus entre les participants devraient demeurer en l’état ". Nous oserons croire au maintient d’un bon climat social après 2015. Bien à vous
Le 23 avril 2013 à 00:29, par Ras T En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’Etat !
A Mr. Lagui Adama.
Qui a eu cette idee machiavelique de tripoter l’article 37 de la constitution ? Ou etait la necessite de le faire ? A quelle frequence voulez-vous que notre constitution soit modifiee ? A qui profite la modification de cet article ? Certainement pas au peuple ! Si apres 28 ans le pays est toujours parmi les 10 pays les plus pauvres de la planete, qu’est-ce qu’on peut encore esperer d’un tel personnage ?
Le 23 avril 2013 à 08:41, par LAGUI ADAMA En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’Etat !
Notre constitution AUTORISE la modification de l’article 37 et Ce n’est pas une promesse à titre personnel ou politique de Blaise ou de qui que ce soit faite au CCRP qui doit être une raison d’exclure la consultation du PEUPLE sur un sujet qui concerne sa souveraineté
Le 23 avril 2013 à 16:09, par Bangda En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’Etat !
Vous ne savez pas dans quelles circonstances le Président Blaise COMPAORE est arrivé ce stade. Oui l’article 37 peut être modifié mais il n’est pas opportun que de façon légitime pour assurer l’alternance que cet article ne soit pas modifié.
Le 23 avril 2013 à 09:34, par VINYI En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’Etat !
Veritum , faite une bonne approche du peuple et vous saurez qu’il n’est pas aussi ignorant et décervelé comme vous l’imaginez. Si nous n’avons pas un peuple encore capable de faire son choix de façon volontaire et responsable je pense qu’il faut qu’on laisse tomber cette démocratisation et emperisé le président Blaise COMP. ..c’est mieux .
Le 23 avril 2013 à 10:01, par Raogo En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’Etat !
Un référendum pour un seul article. Savez vous combien d’articles constituent notre constitution ? LAGUI Adama, j’espère que vous n’êtes pas un vrai Lagui. Faites nous plaisir en changeant votre pseudonyme. De la même manière que vous vous moquez de la religion, c’est de cette même manière que vous vous moquez de la république. Tout le respect pour vous. Sans rancune aucune.
Le 23 avril 2013 à 17:14, par homme En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’Etat !
Quel réféndum LAGUI ; tu occupe quel poste dans le gouvernement de Blaise toi. vous voulez encore frauder pour rester au pour on acceptera pas ça ; on a vu des référendum ou le peuples a voté plus de 80% pour en faveur de leur president mais queque temps après le president a été chassé par ce meme peuple ;n’est pas de la fraude si non comment tu peux comprendre que.....
Le 23 avril 2013 à 17:37, par Nanga En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’Etat !
Lagui adama, que penses tu du bourrage d urnes ? si referendum, l resultat est connu d avance. adopte a plus d 80%. laissons l article en l etat. sinon on est foutu en 2015.
2. Le 22 avril 2013 à 11:46, par Ismo En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’Etat !
Assez parlé sur l’article 37, si les gens continuent de se faire sourd sur la question on verra bien ou ira le pays car comme on aime a le dire "il est plus difficile de réveiller quelqu’un qui ne dort pas". Merci a toi Mr KERE
3. Le 22 avril 2013 à 11:49 En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’Etat !
PROPRE.PLUS DE DEBAT AUTOUR DE CET ARTICLE37.BLAISE S EN VA EN 2015
Le 22 avril 2013 à 12:47, par sidyeta En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’Etat !
Joli article M.KERE formidable même si tu es mon esclave
Le 22 avril 2013 à 12:54, par DOUBSON K En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’Etat !
. Nous pensons que tout a ete dit concernant la bonne option à prendre par BLAISE COMPAORE. Il doit respecter la non revision de l’article 37car le contexe national et international actuel n’est vraiement pas favorable à une revision de notre loi fondamentale quel que soit la légalité du moyen utilisé.la légimité du peuple etant deja connue sur cet article ne pertons plus du temps ou de l’argent pour rechercher un concensus deja connu.MERCI Mr KERE ;
Le 22 avril 2013 à 14:11, par issac En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’Etat !
le jours qu’ils vont toucher mon article ils me verront
Le 22 avril 2013 à 15:40, par d12 En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’Etat !
Mai qui est nee president pour vouloir mourie au pouvoir ??
4. Le 22 avril 2013 à 11:58, par Kamikaze En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’Etat !
Depuis un certain temps, nous supplions le CDP, la FEDABC, Partis et Associations alliés au PF de ne pas toucher à l’article 37. Que c’est notre droit de connaitre un président autre que Blaise Compaoré depuis notre naissance. C’est tout ce que nous pouvons faire pour le moment. Mais ils sont libres de ne pas nous écouter aussi. Mais attention ! On dit souvent que Cabri mort n’a pas peur de couteau. Merci
5. Le 22 avril 2013 à 12:02, par le riche En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Je ne comprends pas des gens qui aiment le changement, qui souhaitent l’alternance, qui n’aiment pas le surplace et la monotonie et qui paradoxalement ne veulent pas qu’on change un article dans la constitution qui n’a que trop duré. Maitre Kéré, Blaise et son clan peuvent bien modifier l’article 37 à condition qu’ils s’assurent que cela conviendra à la majorité des Burkinabè. Si cette précaution est prise, l’apocalypse que vous semblez craindre n’est qu’une vue d’esprit. Il y’ a rien en face comme dirait nos voisins.
Le 22 avril 2013 à 18:30, par réalisme En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
monsieur ou madame le riche,sache que si au Burkina il ya eu alternance, c’est bien cet article ou bien tu ne connais pas l’histoire du BF, SI l’article n’avait pas été touché, BLAISE ne serait plus au pouvoir. comme vous voulez sa modification attendez après 2015 pour réclamer. Je comprend qu’il ya trop de KARIM WADE au BF, mais patience. webmaster SVP
6. Le 22 avril 2013 à 12:02, par yaka En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’Etat !
voter françois compaoré en 2015.
7. Le 22 avril 2013 à 12:04, par TIENFO En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Le très sage et vaillant burkinabé ADAMA FOFANA en ses termes « Si les mots affables, les plaintes, les cris, les récriminations, les suppliques, les complaintes, les jérémiades suffisaient à formuler une interdiction quelconque à l’endroit du Président Blaise COMPAORE en regard de l’article 37, il y a longtemps que le sujet serait évacué ». Quant aux propos ambiguës des genres Juliette BONKOUNGOU et Alice TIENDREOGO, le peuple a compris leur position sordide. On comprend aussi le silence des anciens Roch Marc Christian KABORE, Salif DIALLO, Simon COMPAORE et bientôt de Alain YODA et bien d’autres qui le suivront. D’ailleurs, ces derniers ne sont pas dans une position enviable en ces moments. Il leur manque quelque chose de fondamental et crucial que le pauvre paysan au fond de nos villages possède : LA LIBERTÉ D’EXPRESSION.
BLAISE sait plus que quiconque dans ce pays la conduite à tenir. Comme le dit l’adage « on peut amener le troupeau aux abreuvoirs de force, mais on ne peut pas l’obliger à boire ». A BLAISE DE DÉCIDER DE SON DÉPART OU DE SON MAINTIEN APRÈS 2015 ; LA RÉACTION DU PEUPLE SERA FONCTION DE CETTE DÉCISION. CE PEUPLE L’ATTEND AVEC A LA MAIN SA SEULE ARME QU’ELLE BRANDIRA COMME ELLE PEUT. CETTE ARME, C’EST SA SOUVERAINETÉ. Le peuple le vrai, va l’aider à prendre une décision en temps opportun. Ça n’arrive pas qu’aux autres.
8. Le 22 avril 2013 à 12:21, par KABAKO En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
La fin du règne sans fin a sonné. Paul Biya a compris et parle déjà de sa succession. Alors que le médiateur/facilitateur nous facilite la tache au FASO
9. Le 22 avril 2013 à 12:32 En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Laissez les gens s’agiter : Blaise ne va pas modifier l’article 37.
Le 23 avril 2013 à 11:51, par TOOGSSE En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Il semblerait que le petit futur président est même pret à mettre la main dans la poche pour taire les fonctionnaires à cause de cet article. QUE DIEU NOUS GARDE D’UN EVENTUEL ENTETEMENT
Le 23 avril 2013 à 22:04 En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Ce gars-la remplacer son grand- frere, ca sera la calamite. Il tombe dans lapolitique de ce pays comme un cheveu dans la soupe. Honnetement,. ca va etre dur pour qu’ il remplace son frere. Tout le monde m’ est pas mossi et les royaumes, c’est rare au Burkkina Faso.
10. Le 22 avril 2013 à 12:45, par bibega En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
chaque peuple mérite ses dirigeants ! le changement interviendra tôt ou tard, mais comme une parturition ! La douleur sera au rendez-vous, avec ou sans Compaoré ! Au stade où nous sommes, nous avons atteint un point de non retour vers l’apaisement des coeurs ! Dieu nous protège
11. Le 22 avril 2013 à 13:05 En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Chaque citoyen a le droit légitime de se pencher sur les problèmes institutionnels de son pays. Le patriotisme, c’est aussi cela.
12. Le 22 avril 2013 à 13:13, par article 36 contre article 37 En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Si certains sont fatigués de la démocratie et désirent amener le pays a essayer l’anarchie dans la dictature, ils doivent avoir des raisons de préférer ce régime dictatorial. Au cas échéant, il leur faut assumer tout ce qui adviendra. Dieu seul sait combien la dictature donne à l’histoire beaucoup de choses à régler avant qu’une nation ne se rtrouve. A chacun de choisir son camp dans ce jeu.... Pour ma part, il y a longtemps j’ai estimé que Blaise ne sera jamais heureux si il ne donne à son remplaçant immédiat (futur) que le choix que lui même Blaise a fait en 1987 : succéder à Président en l’envoyant ad patres... Ce sera une autre perte pour le Burkina Faso, à tous points de vue. Aux révisionistes, je dis ceci : "dura democraty, ced democraty" ! Blaise doit aimer la patrie au nom de l’article 36 contre la révision de l’article 37
13. Le 22 avril 2013 à 13:13 En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Encore une réflexion propre, cohérent et incritiquable de notre compatriote Paul Kéré. Que Dieu te bénisse mon frère burkinabè, seuls les imbéciles ne changent pas. Ce que tu as écrit au sujet du lèche-botte Cheick Ahmed Lingani est sans commentaire
14. Le 22 avril 2013 à 13:15, par Sidnaba En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Belle contribution au débat M. KERE.
Que ceux qui ont des oreilles pour entendre entendent......
Vive le Burkina Faso. Puisse Dieu donner sagesse et clairvoyance au Blaiso pour qu’il respecter les dispositions de notre TOTEM (la constitution)..
15. Le 22 avril 2013 à 13:48, par VAGABOND En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Cet article bouffera le pays ! Touchez-y et vous ouvrirez les portes de l’enfer à tous ! Si le ET et le OU ont bouffé la côte d’ivoire, le 37n lui perdra le Faso.
16. Le 22 avril 2013 à 14:30, par ka En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Me. kèrè Lors de la dernière révision de l’article 37 le président Compaoré a bien senti venir l’alternance à cause de ses erreurs d’assassinat gratuit qui n’était pas le gout de son peuple, et il a opté le mandat de cinq ans et peut renouveler une seule fois. Vous êtes un homme de loi, je le suis aussi, et la loi, est loi. Vous êtes loin du pays et ne voyez pas les réalités que nous vivons ici au Burkina, peut-être ai-je involontairement aidé à la correction de l’article 37 qui a été adopté : pour moi il est juridiquement intouchable. L’article 36 conforte juridiquement l’article 37 qui devienne un socle qu’aucune personne ne peut le bouger même pas par magouillage comme pense le faire le couple Blaise-Gilbert de Kossyam. Malgré leur jeux de chat et souris, le peuple Burkinabé n’est pas dupe, surtout nous connaissons l’histoire de Compaoré et Gilbert ’’’ voilà toi voilà moi, on partage, tu fais la moitié et moi la moitié, c’est ainsi l’idée de régner a vie est né à Kossiyam’’’. Malgré que notre opposition est sans une arme pour l’alternance, il Ya des personnes capable de remplacer le couple de Kossyam. Le peuple sait que son président est prisonnier, et son gardien a tous les atouts. Je n’en disconviens pas que les xix engagements pris en 1998 par le président pendant sa campagne ont étés réalisés a 90 %, et s’il veut partir avec les honneurs de son peuple, qu’il sorte de son mutisme et freiner la corruption, à commencer par sa famille, juger ceux qui ont vidé la caisse de l’Etat et qui n’ont pas d’inquiétude. Me. Kéré s’il commence à passer par ce chemin, son peuple préparera son départ en 2015 avec joie et honneur. Non le Burkina n’est pas le Mali de Sanogo, ou la Cote d’Ivoire de Gbagbo.’’’ Nous sommes des hommes intègres d’une autre génération, on souffre mais sait là où on va. Souvenez-vous que l’article 37 a été réviser deux fois c’était pour apaiser la tension sociale, le mandat du président qui était de 7 ans est ramener a 5 ans et renouvelable une fois, donc un président qui a eu ses deux mandats doit se retirer et revenir au bout de 5 ans s’il le désire. Depuis 2000 les barons du CDP essayent de tripoter ce fameux article 37 qui barre la route du pouvoir a vie de Mr blaise Compaoré. Rappelons-nous qu’il eut un temps ou les responsables des R14 ( regroupement des 14 partis politiques ) ont fait trembler le pouvoir de Mr. Blaise Compaoré justement à cause de l’article 37, aujourd’hui le peuple burkinabé est dans sa légitimité de dire à Mr Blaise Compaoré de partir après ce dernier mandat, en cas de refus de ce dernier, un soulèvement populaire est légitime. Le groupe du CCRP n’a aucun droit de programmer le changement de l’article 37, ni organiser un referendum.
17. Le 22 avril 2013 à 14:38, par JINA D’INDE En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
FAITES TRES ATTENTION A CE QUE VOUS ALLEZ LIRE ET NOTEZ LE POUR L’AVENIR.
SI L’OPOSITION NE PREPARE PAS LA BATAILLE DE 2015, ELLE SERA SURPRISE. EN EFFET, TOUT LE MONDE EST TELLEMENT FOCLISE SUR CET ARTICLE 37 QUE LE SCENARIO PERDRA LES UNS ET LES AUTRES.
DERNIERE MINUTE DE 2015, L"ARTICLE 37 N’EST PAS MODIFIE, BLAISE N’EST PAS CANDIDAT, MEME SI C’EST MA GRANDE MERE OU ALORS FRANCOIS COMPAORE (IL EN A LE DROIT CAR IL EST CITOYEN BURKINABE) QUI EST CANDIDAT CDP, IL PASSE.
VOUS N’AUREZ QUE VOS YEUX POUR PLEURER ET TENTER DE DIRE QUE FRANCOIS CI... FRANCOIS CA... ET AUCUN PAYS DEMOCRATIQUE NE VOUS SUIVRA. ATTENTION DONC, LAISSEZ L"ARTICLE 37 EN PAIX ET PREPAREZ VOUS POUR LES ELECTIONS DE 2015.
Le 22 avril 2013 à 19:27 En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Bien vu. La bataille pour l’alternance se prépare dès maintenant. Il reste moins de deux ans.
Le 22 avril 2013 à 20:33 En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
MAGNIFIQUE point de vue !
18. Le 22 avril 2013 à 14:39, par elcapo En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Oh làlà les gars continuer dans vos raisonnement sana tète ni queue on révisera l’article c’est callé barré.....vs coyez quoi qu’on vs construire kosyamm joliement comme çà et partir vs laisser mon œil ouiiiii
Le 22 avril 2013 à 19:01, par Que la Sagesse l’emporte. En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Oui on peut construire un si beau palais pour les futures générations. Et cela constitue une sagesse et une générosité pour les générations à venir.
si encore les gens du CDP partageaient le gateau avec tout le peuple, ça irait mieux. Mais non, c’est leur clan, rien que leur clan et les autres doivent accepter ça jusqu’à la fin des temps ? soyons raisonnables quand même.
Le 23 avril 2013 à 07:29, par isban En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
elcapo,blaise n’a pas construit le kossyam avec son argent,cè un bien commun au peuple burkinabé.son palais à lui est à ziniaré.cè vou pareil qi biaisez l’avenir de ce pays.
19. Le 22 avril 2013 à 14:42, par ibrahimo En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
La sagesse est sacrée en afrique, l’origine de la limitation des mandat formulée à l’article 37 émane de la recommandation avisée du rapport du conseil des sages mise en place après la crise de 1998. Alors, Celui qui viole la parole sacrée d’un sage l’apprendra à ses dépens.
20. Le 22 avril 2013 à 14:47, par ka yaandé En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
dites a ce monsieur une bonne fois pour toute qu’on ne veu plus de lui apres 2015. y en a marre !!!!!!!!!!!!!!!!!!
21. Le 22 avril 2013 à 14:51, par perplexe En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Il doit partir. Non seulement son état de santé (au sujet duquel aucun membre du gouvernement ne veut communiquer réellement) ne lui permet plus de fixer les grandes orientations de la politique économique et sociale du pays comme le prévoit la constitution mais encore cet homme a suffisamment démontré son incapacité à faire du Burkina Faso un pays émergent. Sous ses mandats successifs, la gabegie, la corruption, le clientélisme politique, l’impunité n’ont cessé de gagner du terrain. La vie au Burkina était bien plus belle et plus douce en 1987 qu ’en 2013. Santé, Enseignement, transport, agriculture ont fait un bond en arrière. Ceux qui le poussent à réviser l’article 37 ce sont les loups qui constituent sa coure. Ces loups se sont enrichis outrageusement de façon illicite et redoutent un scénario à la Karim Wade. Mais qu’ils le sachent. Tôt ou tard, ils rendront des comptes. Mon souhait le plus absolu c’est une alternance paisible. Il doit donc partir paisiblement ...
Le 22 avril 2013 à 20:18 En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Blaise a cruellement echoue. Personnellement il est devenu l’ un des africains les plus riches mais comme personne n’ emporte pas les richesses materielles dans sa tombe, c’est sur les richessees morales et spirituelles qu’ il convient de juger l’action d’ un homme. En classsement, Blaise est le dernier des presidents africains. Il a beau regner par la force, le sang et la ruise pendant 30 ans, son palmares n’ est que plus terne. Pire, quand il a introduit sa famille en politique, il a place une bombe a retardement dans la paix sociale. Voila que Francois Compaore, son petit frere meme pere meme nmere veut profiter du pouvoir de son grand- frere pour usurper le pouvopir a la Mogho Naaba Wobgo. Et ce n’est pas les "gourounsi" aux gros bras et aux gros batons qui manquent pour l’aider dans sa sale besogne. Vous voulez que ce pays soit reduit en cendres. Vous avez plus a perdre que nous que vous avez passe tout le temps a piller. On a vu la lumiere.
Epiphany Ouedraogo
22. Le 22 avril 2013 à 14:53, par Alexio En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Ces partisans doivent prendre reference a L icone Nelson Mandela. Est-ce qu il voulu s accrocher au pouvoir comme President a vie comme beaucoup reve de voir Blaise au pouvoir pour assouvir la continuite du pillage orchestres du patrimoine de toute la nation Burkinabe. Les enrihcemments illicites de klans lies au pouvoir depuis trois deccenies. Blaise Compaore a depasser le seuil d un president a un roi/Naaba. En l entendre parler au TV5 francais de son statut actuel m a etonner de son double jeu a l egard de nos vaillants journalistes. Pourqoui se confesser devant une etrangere vs la presse nationale ? Il preconisait qu il pouvait demissioner si les contraintes l exigeaient. Meme a demaim il pouvait le faire.Cette contracdition sur l article 37 est aujoudhui palpable avec son CDP. Parti equilibriste qui croit se tout permettre,pour mettre le pays dans le chaos en ignorant le resultat final du CCRP en jouant au pyroman.
23. Le 22 avril 2013 à 15:08, par Agostro En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Trêve de paroles, les pb du Burkina ne sauraient se résumer à un seul article !
Vous casser les couill.. avec votre article là ! Nous on veut plus d’emplois et une augmentation des salaires des fonctionnaires ! Les reste vous pouvez modifier votre paperasse là.., . Ouuuuufffffff.
24. Le 22 avril 2013 à 15:13, par Benji En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Maître Paul KERE,merci pour ce bel article,cet article intelligemment soigneusement écrit qui,j’espère bien fera mieux réfléchir son Excellence le Président Blaise COMPAORÉ. Que ceux qui sont pour ’’ l’explosion’’ des verrous de la constitution sache qu’aucune des raisons qu’ils avanceront pour cette révision ne sera acceptée.Les burkinabè en ont assez de voir la direction du pays aux mains des ami(e)s du pouvoir.Cela a occasionné leur soif de l’alternance et ils sont actuellement prêts à tout, oui je dis bien tout pour réaliser ce rêve en espérant que ça leur apportera un vent de fraîcheur,de nouveaux dirigeants qui ne sont pas accrocs au luxe mais qui mettront l’accent sur l’agriculture, la santé (hôpitaux bien équipés et personnel bien formé et courtois), la qualité de l’éducation (résolution de la crise à l’université pour commencer), le partage équitable des richesses du pays et la justice (sans favoritisme).
25. Le 22 avril 2013 à 15:28, par imothep vigie du Pharaon En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
L’article 37 tant connu des Burkinabès, fait toujours des remous au sein de toutes les classes sociales. Pourquoi tenir "mordicus" à la révision. L’histoire montre que dans la sous-région, la volonté de s’accrocher ipso facto au pouvoir, a fini par embraser des clans politiques et même des chefs d’États et de façon concomitante précipité les peuples dans une hécatombe. Il faut surtout que le 1er responsable en l’occurrence le président du Faso ait le courage politique de sauver le Burkina d’un "tsunami chaotique" en acceptant de quitter le pouvoir et de ne pas changer l’article 37.
26. Le 22 avril 2013 à 15:31 En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
S`il ne s`en pas en 2015, qui viendra faire la paix chez lui etant donne qu`il s`est erige en faiseur de paix en Afrique ?
27. Le 22 avril 2013 à 15:39, par wendbenedo En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Voilà qu’on retrouve le Maître Kéré qu’on aime tant ! Mais attention maître, tu ne prépares pas la route pour ton ami Gilbert ?
Wait and see
Le 22 avril 2013 à 19:34, par Pouknini Rawa En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Lequel ? parce que les amis du prénom de Gilbert, ils sont nombreux dans le monde entier. Ce sont de telles supputations qui perdent les burkinabè. Pendant que le CDP et son clan sont en train de travailler en douce, vous vous passez le temps dans l’opposition à supputer et après arrivé aux élections vous êtes surpris d’avoir perdu car le CDP est parti dans tous les villages pour convaincre les masses populaires. Ouvrez l’oeil et le bon.
28. Le 22 avril 2013 à 15:40, par Sampawendé En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Très bel écrit. Mais le moins que l’on puisse dire s’est que comme l’ont déjà dit d’autres, le président Compaoré doit savoir rentrer dans l’histoire. Car il n’ya rien qui le prédisait là ou il est quand il prenait le pouvoir en 1987. Ce qui veut dire que ya d’autres Burkinabés frappé d’une exceptionnelle intelligence comme le disait ces partisans, qui peuvent gérer le Burkina sinon faire mieux que lui. Il a beaucoup donné au Burkina et je reste convaincu la majorité lui est reconnaissant.
Il doit faire aussi comprendre a ces partisans qui font le tour du Faso actuellement pour le referendum en vu de la modification de l’article 37 que ça ne sert à rien parce qu’en lieu et place des résultats qu’ils ont dans leur tête actuellement à savoir 80.30 à hauteur d’homme, c’est le pourcentage des burkinabés qu’ils trouveront dans la rue pour les "déloger" et les amener vers une destination inconnue.
A bon entendeur.
29. Le 22 avril 2013 à 15:40, par imothep vigie du Pharaon En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Je demande aux gourous du pouvoir, de faire preuve de sacrifice politique en acceptant l’alternance. La situation est très inquiétante car les mêmes gens qui ont emmagasiné des milliards, ce sont ceux-là qui encouragent et conseillent le président à rester. Certains sont déjà épinglés (Presses étrangères : J A) sur les affaires de l’or au Burkina notamment : Gilbert Guindéré, Cissé, Diawara, François ..... Le rapport dépeint comment ses derniers à eux seuls ont pris en otage l’avenir économique et financière de tout un pays.... Alors comment peut-on espérer l’alternance ? En plus ils sont aux échos de la poire amère que le président Maky SaLL est entrain de faire digérer Karim Wade. L’avenir de l’article se trouve dans les mains des citoyens Burkinabès, c’est à eux de prendre leur destin en main....
Le 23 avril 2013 à 03:18 En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Inutile de demander quoi que ce soit a ces gourmands. Laisee les faire ce qu’ ils veulent faire. Apres nous on va reajuster les pendules a l’ heure. Cette fois- ci, ca va etre chaud pour nous topus. La sagesse va changer de camp pour que la democratie soit un soleil qui brile pour tous.
30. Le 22 avril 2013 à 15:58, par l’intellectuel En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
A bon entendeur, salut. Merci Paul ! ! !
31. Le 22 avril 2013 à 16:07, par Selme En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Le débat avant 2015, est pour l’heure le moyen le plus approprié pour faire avancer la réflexion, pour sensibiliser tous les membres de la famille du Burkina sur les enjeux que recouvre la question. Il faut en débattre encore et encore. Il en va du devenir de tous. Merci à M. KERE et à tous ceux qui participent à tenir le peuple éveillé.
32. Le 22 avril 2013 à 16:08 En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Maître je vous respecte, belle analyse, il faut que Blaise en tienne compte
33. Le 22 avril 2013 à 16:21, par farafina En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
La rectification promise par Mr Compaoré après l’assassinant de Sankara est un échec . La démocratisation de notre pays est virtuelle et néfaste parce que c’est une démocratie de façade et par conséquent plus dangereux que la dictature. Compaoré, qu’il parte maintenant du pouvoir ou qu’il modifié l’article 37 est déjà rentré dans l’histoire pour avoir assassiné sankara. Comparons les résultats de 27ans de pouvoir dominé par la corruption et des détournements et de 4 ’ans où Le peuple a atteint l’autosuffisance alimentaire.La démocratie a peu de chance d’aboutir dans l’analphabétisme . Entre le mal et le pire il doit choisir le moindre , partir.
34. Le 22 avril 2013 à 16:32, par L’autre En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Merci à toi KERE, j’ai les même convictions que toi. Je défonce même, et persuadé que celui qui est le premier artisan de la démocratie burkinabé attend qu’il ait assez d’opinions contradictoires, avant de proposer une sacralisation de ce article 37 de la constitution. Et par là, il détournera alors tous ses détracteurs, afin de se hisser encore au sommet d’une popularité jamais égalé, pour bénéficier d’une amnistie morale. Que chacun analyse toutes les prises de décisions dont il a fait preuve depuis qu’il est à la magistrature suprême, et facilement on s’en rend compte qu’il est un fin stratège politique doublé à sa clairvoyance militalo-régionale.
35. Le 22 avril 2013 à 16:44, par siou En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Merci pour ce texte édifiant .Nous espérons que ceux qui aiment ce pays laisseront l’article 37 tranquille afin de preserver la paix chère et precieuse pour notre épanouissement. Les gens ont juste peur de se faire rattraper par la justice s’ils perdent le pouvoir. On espère que la sagesse et le bon sens les guideras dans leur choix même difficile. Que DIEU protège le BURKINA FASO.
36. Le 22 avril 2013 à 17:11, par NATO En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Que va-t-il ce passer si Blaise decide de modifier l’article 37 ? Rien de rien. Les gesticulateurs (clavier, presse,...) resteront dans l’indignation silencieuse et non dans l’action. Sinon, pourquoi aucun mouvement structuré n’est né pour contrer ce projet. Les burkinabè sont l’OTAN en anglais NATO : No Actions, Talk Only
Le 23 avril 2013 à 03:23 En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Pas de probleme. Continuer a sonder votre boussole jusqu’a ce que l’ arrogance vous perde. Quand l’ ane va te terrasser, tu vois les oreilles quand tu es deja en l’ai. Donc le sol est ta seule destination. Tu voudrais qu’ on te dise que nopn, on ne va pas seulement taper sur les claviers ? Essayez seulement de toucher a l’ intouchable. Faut pat trop chatouiller l’ ours. Il a une reaction imprevisible. Seulement, il ne t’a pas dit.. Si tu es malin, faut aller doucement. Transmets ca a tes maitres. Dis- leur que pa nan i ongo koeh.
37. Le 22 avril 2013 à 18:00, par CNT En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
J appelle chacun a s assumer le rôle qui lui revient.
le clan du pouvoir joue son rôle
l opposition politique doit jouer son rôle
la société civile ne doit pas rester en reste
Le CNT jouera également le rôle qu on lui a attribué.
Réveil, tu as raison. Il faut plonger.
38. Le 22 avril 2013 à 18:06, par toutsimplement En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Très belle analyse. Blaise ne doit pas décourager son peuple en allant encore aux élections même si l’article était facilement modifiable.
39. Le 22 avril 2013 à 18:07, par Idam En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Très bien dit ; si on s’amuse c’est un caporal qui va prendre le pouvoir et tout foutre en l’air. Au moins la Cote d’Ivoire a des ressources pour se reconstruire rapidement ; nous on n’a rien, on mettra 20 ans pour se relever ; Puisse la sagesse habiter notre président pour qu’il parte. Quant à ceux qui ne doivent leur existence à Blaise (journal Opinion), comprenez qu’ils ne peuvent écrire autrement jusqu’à niant l’évidence et le raisonnable.
Sortons de notre bulle, le Burkina peut exploser et les dommages seront énormes, très énormes.
40. Le 22 avril 2013 à 18:50, par Le laic En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Je pense qu’il va falloir que nous même citoyens arrêtions de nous prononcer sur cet article. Depuis que je feuillette ce site je rencontre aussi bien des articles contre que des articles pour la modification de cet article. Qu’est ce à dire ? Que les avis sont partagés ; et cela est vrai, quelque soient les arguments et les motivations de part et d’autre. Mais ce qui penche vraiment en défaveur de ceux qui sont contre la modification, c’est que Blaise lui même exploite ce débat et dise : "puisqu’il y a différentes positions, passons par un referendum pour trancher" ; et là c’est sûr que le "oui" pour la modif passera haut les mains. Donc arrêtons ce débat. Lui même, de toutes les façons, n’a jamais émis l’idée de le modifier. On en conclut que point de perspectives de modif à l’horizon. Le débat est clos.
Le 23 avril 2013 à 01:35, par Tampsoba En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Comment les Burkinabè se sont débrouillés pour que Blaise Compaoré soit resté longtemps au pouvoir au point que même au vu de l’article 37, ses partisans ou ses courtisans osent même évoquer la modification de cet article 37 de la constitution. Expliquez-moi s’il vous plaît. Et ils n’ont même pas peur ? Il paraît que le pouvoir rend fou et le pouvoir absolu rend absolument fou. Dieu bénira le Burkina quoi qu’il arrive.
41. Le 22 avril 2013 à 19:01, par Raison En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
souhaitons le meilleur pour le peuple burkinabe
42. Le 22 avril 2013 à 19:49, par anta En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Monsieur l’Avocat, vos propos sont tombés dans l’oreille d’un sourd-hableur-aveugle:le CDP. Car le CDP est un maître ès Casuistique .Il tire ses lois générales à partir de cas particuliers, comme la gourmandise égoïste de gens de la sorte du "perroquet de l’Opinion". En attendant de mourir d’une indigestion du fiel qu’il distille !
Le 22 avril 2013 à 23:28 En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Merci Maître Kere,tout le Burkina est structuré M37 de tass tass, à. banfora, ns sommes prêts
Le 23 avril 2013 à 14:58, par Le Sage X En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Anta, le problème j’allais dire l’équation qui se pose au sein du CDP est : est -ce que c’est le capitaine président qui a généré ces politiciens ou est-ce que ce sont ces intellectuel opportunistes qui ont parfait la formation politique du capitaine président ? Scientifiquement , la question de l’oeuf et la poule est résolu. Dis le leur.
43. Le 22 avril 2013 à 23:57, par burkibila En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Je pense que 2015 appartient au peuple. Le Faso a amorcé une nouvelle ère qui va connaître son apothéose en 2015. L’article 37 est verrouillé, pensons plutôt à nos projets pour le pays après 2015. Sachons choisir parmi les futurs candidats le bon pour notre pays.
44. Le 23 avril 2013 à 00:56, par toukyam En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
aucun président n’a le droit de rester aussi silencieux a propos de sujet si sensible. Le Faso n’est pas un labo, quand il s’agit pour le PF de donner des explications au chaine française c’est facile ! attention au silence face au peuple burkinabé !!!
45. Le 23 avril 2013 à 02:09, par Tamp-soba En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Nombreux sont les candidats proches du Cdp qui peuvent valablement succéder au Président Blaise Compaoré. Sans aucune importance dans le classement sans ordre :
Kadré Désiré Ouédraogo
Général Gilbert Diendéré
Luc Adolphe Tiao
Djibrill Bassolé
François Compaoré
Assimi Kouanda et la liste n’est pas finie.
Dans l’opposition amie, Gilbert Noël Ouédraogo
Dans l’opposition adversaire, Zéphirin Diabré.
Ce qui frappe dans ce régime c’est la CO-optation au détriment souvent de la compétence. Ce qui rend davantage légitime la soif de l’alternance. Et c’est parfaitement visible même par un novice en politique.
46. Le 23 avril 2013 à 03:31 En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
" Il faut se garder de créer une situation où un caporal ou un officier sortira de nulle part pour suspendre ou supprimer une nouvelle fois les institutions de la république comme ce qu’on a vu récemment au Mali et en République Centrafricaine. Ce serait très dommage pour la paix sociale et un grave recul démocratique."
Merci frere Kere, mais je vois mal comment a cette allure ou le pillage est devenu une methode de gouvernement, ou la plupart ds deputes sont nommes, alors je vois mal comment le systeme ne reussira pas a secreterr ce petit soldat s’ en fout la mort qui va se lever un petit matin pour s’ accaparer du pouvoir. D’ aileurs lors des evenements, ils n’ y ont pas trop cru sinon que le pouvoir etait vacant et trainait a terre. Mais comme le burkinabe ne croit pas a lui- meme, ils ont laisse le pouvoir repartir dans les mains des memes qui nous traumatisent depuis des annees. imaginez- vous un seul instant si les milos etaient alles faire une declaration fustigeant le regime impopulaire et concussionnaire de Blaise Compaore au lieu de piller et de traumatiser les pauvres populations , imaginez- vous combien allaient regretter ce regime ? Pourtant les regimes d’ exceptions, c’est acheter chat en poche. Le cas de la republique centrafricaine est patent. Voila que le regime de blaise, meme si je reste tres democrate, voila un regime que personne ne regretterairt meme si un aventurier venait a mettre fin a cette aventure qui ne nous nous sert pas. Pourquoi ? Parce que le regime a opere cette rupture nete avec le peuple. Alors, il cruse sa propre tombe et gare si il frotte le piment sur nos plaies deja beantes.
LOP
Le 23 avril 2013 à 10:11 En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Voilà une belle méthodologie comparé aux mutins de mars 2011 si l’article 37 devait être modifiée. Pas de pillage, pas de viol, pas de vol, pas de vendalisme, dans le calme et dans la discipline, une marche silencieuse autour du M 37 pour réclamer le pouvoir du peuple à son mandant qui l’aura exercé pendant 29 ans parce qu’il aura, en modifiant par voie référendaire ou parlementaire, trahi sa parole et le peuple burkinabè tout entier avec. Cette marche silencieuse en cas de modification devra se faire dans une discipline exemplaire et démocratique. Mais on peut éviter tout ça par le simple et seul respect de l’article 37 de la constitution parce que la modification de l’article 37 créera plus de problèmes au Burkina qu’il n’en règlera. Donc, il faut même rendre constituionnellement intangible (donc non modificable) cet article 37 de la Constitution comme les autres domaines intangibles. Soyons vigilants comme des CDR sans être des CDR, parce que nous sommes des démocrates. Faisons confiance au Président du Faso et celui-ci, il faut l’espérer, méritera notre confiance. Y a des gens qui sont blottis dans l’armée et dans l’opposition négative qui attendent ce faux pas pour régler leur problème avec le Président et le Régiment de sécurité présidentiel (RSP). Il ne faudrait pas leur donner la moindre occasion. Nos institutions sont plus fortes et demandent à être consolidées. Merci.
Le 7 mai 2013 à 10:37 En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Blaise, 29 ns, c’st pas trop ? Tant va la cruche a l’ eau qu’ elle finit ar se casser. Si le bête du village deviant malin, c’est le chef qui doit changer de village,
Lokre Sambila.
47. Le 23 avril 2013 à 09:08, par ZS En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Rien a dire, belle lecture et bonne analyse. Bravo Me !
48. Le 23 avril 2013 à 09:37, par regardprofond En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Que Dieu vs benisse chers Burkinabe ! cette equipe staniste qi et au pouvoir et qui a consacre l’universite de Ouaga a satan doit partir maintenant et Dieu donnera le courage au peuple Burkinabe de dire non a la soumission de ceux qui veulent initier nos futures cadres a satan. veifiez logo de l’univairsite et vs verrez que c’est celui de la franc massonerie.
49. Le 23 avril 2013 à 09:56, par Time-is-up En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Je pense que cet article mérite d’être publié partout ou besoin sera. Car il est rempli d’enseignement et de sagesse. Par conséquent j’invite les internautes à le diffuser dans tout les réseaux sociaux pour rappelé le sens de responsable des burkinabés face à leur destin ; à commencer par son premier magistrat.
La nouvelle génération doit toujours se rappeler que l’arme fatale pour lutte contre ces politiciens qui ont le ventre à place du cerveau, est la bonne l’information partagée.
« Ensemble disons non à la non assistance de peuple en danger » sinon on risque d’être licencié par le peuple.
50. Le 23 avril 2013 à 10:52, par siida En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Très beau texte. Mais malheureusement c’est un juste de texte de plus pour Blaise. D’ailleurs, les irreductibles de la Compaorose sont atteints de cécité et trouvent que toux ceux qui ont une opinion logique sont illogiques.
Autre chose, je ne crois pas que le politicien utilise 2% de son intellect. Et ce qui est triste, sa maladie aveuglante l’est pour tout son entourage !! Je vous dis que dans imbroglio total dans lequel Blaise nous a mis, sa femme, contaminée qu’elle est, chuchottes aux oreilles de son amour "Ne descends pas, tu es bon, ya pas ton deux, on s’en fou des aigris".
Moi j’aime ce pays et j’ai envie de vivre en paix !
51. Le 23 avril 2013 à 10:59, par la sagesse En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
LA CONSTITUTION américaine a été adoptée en 1787 ( il y a de cela 226 ans) et depuis cette année là , elle n’a connu que 13 révisions. Chez nous, au Burkina, elle a été adoptée en 1991( il y a seulement 22 ans) elle a déjà été ravisée et a déjà permis à Blaise C. de se présenter aux présidentielles.
Les 13 révisions ont concerné de petites choses pas sur la durée du mandat présidentiel comme au Faso.
52. Le 23 avril 2013 à 11:39 En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Bravo petit esclave c’est une exceotion d’avoir un bi-ss-a intelligen, merci à toi. Faut revenir souvent au faso car depuis la fac de droit ya long temps.quand au sujet ,je pense que Blaise ne va franchir le rubicon.A mon sens son souci est sauver ses arrières (c’est normal) car des burkinabè ont un seprit de vengeance acerbe. Pensons pays et rien que pays !!!
Le 23 avril 2013 à 22:06 En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Ca se voit qu’ ont a pas bruler ton frere vif ou kafcidenter ton frere et cousin en mission ou pris la femme de ton oncle sous couvert de nominations bidons. Si justice avait ete dit ca pouvait etre calme- coeur. C’est pas les burkinabe qui aiment ce vangwer. s’est qu’ on a trop violer les droits des inidivudus dans ce pays.
53. Le 23 avril 2013 à 12:50, par SANNOU En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
En démocratie, quand il y a à manger, c’est pour les élus ; quand la nation est en danger, on cherche des volontaires pour aller mourir et quand il faut payer, c’est les pauvres qui payent.
Dites moi, voulez vous changer de mangeurs ? Ils vont prendre le temps qu’il faut pour se gaver avant de penser à nous le peuple. Comme ceux qui sont là sont déjà pleins, il faut les laisser continuer.
Ce qu’il y a, il faut tout simplement éloigner le petit frère national et la belle mère nationale car ces deux là nous font gerber.
Allons mollo mollo avec notre Blazo. Je ne suis pas d’avis avec ceux qui pensent comme les blancs qu’il faut que notre blazo parte avec fracas ; si non on joue leur jeu continuant à être les bene si si des toubabes.
Si nous continuons à attiser le feu, il faudra que nous sachions que le Blazo lui a étudier Kalach mais nous non !!!
L’homme irradié à force de travailler pour areva parle comme si aux yeux de ceux là même qui le poussent devant, il vaut mieux que le Blazo. Il est aussi un pion et pas plus. Pire, il ne peut pas faire de plan militaire contre un autre pour aider le blanco
Le 23 avril 2013 à 16:51, par kalaburkina En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Très propre cher Maître. J’ai lu quelques articles de vous mais celui ci me convainc tout particulièrement. Chapeau l’artiste
Le 23 avril 2013 à 17:45, par Wakata En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Bientôt nous marcherons pour demander la modification de l’article 37. N’en deplaise à nos detracteurs affamés et affoifés.
Le 27 avril 2013 à 23:52, par SLAM DUNCK En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
IL FAUT QUE MR SANOU SACHE QUE QUAND ON A DE L’ARGENT ON EN VEUT TOUJOUR D’AVANTAGE ET ENCORS PLUS CHAQUE JOUR. NE PAS QUE CEUX QUI EN ONT DEJA NE CONTINUENT PAS A VOLER. ILS LE FONT ET C’EST PAS VOUS QUI ALLEZ LES EMPECHER. LES LOIS ET REFORMES SONT TAILLEES SUR MESURES. LES MARCHES SONT ATTRIBUEES SUR MESURES. LES LOTISSEMENTS BREFS TOUTS LES ROUAGES DU PAYS EST SOUS CONTROLE ET ON VOUS VOLE CHAQUE JOURS QUE DIEUX FAIT OU PLUTOT ON BOIS LE SANG DU PEUPLE. JE PEUT SEULEMENT ATTIRER VOTRE ATTENTION EN DISANT QUE UNE FOIS DE PLUS EN 2015 LE PAYS DEMANDRA LE SACRIFICE DE SON PEUPLE ; PASQUE L’HISTOIRE DE NOTRE PAYS EST AINSI ET MALHEUREUSEMENT CE SERA LE CAS EN 2015.
54. Le 23 avril 2013 à 13:03, par NVS BONDOKUY En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Mr lagui vous parlez democratie ce qui n’existe meme pas au faso,vous parlez aussi de peuple 95% analphaete qu’est quil coonnait en politique ou en democratie,et meme si on pouvait la modifier le peuple est fatigue de blaise ;sa politique son gouvernement et meme de sa femme qui ne sait rien faire a part gaspille nos sou dans des defiles de mode.et vous lagui et je doute de votre laguitude a vous entre parle on sent que mangez dans la main de quelqu1 du gouvernement.le feu de l’enfer attent bocoups de gens
55. Le 23 avril 2013 à 14:01, par Vega En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Messieurs les journalistes,qu’est ce que vous avez ces derniers temps à nous casser les pieds avec cette histoire d’article 37 ? Les burkinabé sont déjà passés à autre chose.On n’y touche pas,un point c’est tout.Si vous en parlez (comme il est récurent ces temps ci) c’est que vous avez vous-mêmes un objectif derrière qui est sa modification.Avec la crise sociale sans pareil que le pays traverse actuellement,y a trop de problèmes à gérer......Je garde la foi,car les burkinabé ne sont pas dupes et feront ce qu’il faut quand le temps viendra.Pour l’instant,comme on le dirait chez ceux d’à coté : LAISSEZ CA !!!!!!!!
56. Le 23 avril 2013 à 15:18, par futur leadeur En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Article 37, article 37 !!! On est fatigue’ de toutes ces théories de modification ou non en 2015. Ce qui est sur tout se fera devant nous ; 2015 n’est pas loin et ce qui doit arriver arrivera, dieu seul est maitre des destins. Ce qui est sur nous la jeune génération nous engagerons l’émergence du Burkina dans 25 ans, car il faut que ses rapaces qui sont au pouvoir meurt d’abord. Rdv en l’an 2038 pour un réel décolage politico-socioéconomique du Burkina
57. Le 23 avril 2013 à 16:31, par vivre en paix En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
et si le peuple se trompait dans le choix de l’homme en 2015 ?
je pense qu’on doit nettoyer ce qui ne va pas pour le moment et cela nous permettra de voir si l’adhésion à la révision de l’article 37 nous garantira une vie meilleur après 2015.
58. Le 23 avril 2013 à 18:43 En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Merci a tous
59. Le 23 avril 2013 à 22:11 En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
La revision ou la non revision de l’ article 37 depasse les clivages politiques. Je dirais meme depasse les clivages personnels. C’est pourquoi, moi LOP , oppose a Me Kere par temperament , lui dit que cet article est tres bien ecrit et s’ inscrit dans la dynamique de l’ interet supoerieur de la nation. Sous ce regard, je le felecite pior ce grand article, tiut en le mettant en garde de ne pas lui faire des cadeaux si jamais, si jamais, il voudrait chasser avec les loups et courir avec les chevres. mais quand c’est bon il fauit le dire. Me Kere, pour aujourd’ hui la en tout cas, c’est bon. Mais pour demain, je sais pas.
Ton ami LOP
60. Le 24 avril 2013 à 10:36, par Paul KERE, Avocat au Barreau de Nancy En réponse à : Sans « louvoiement », Il faut garder l’article 37 en l’état !
Chers internautes,
Je voudrais témoigner de ma reconnaissance à l’égard de tous les internautes qui, dans une grande majorité ont apprécié cet article. C’est un signe d’encouragement pour le progrès du débat démocratique. Je voudrais surtout, par honnêteté intellectuelle nécessaire, rendre un hommage appuyé à Monsieur le Professeur SOMA, constitutionnaliste, qui a également contribué précieusement par l’échange que nous avons eu par mail sur la "révisabilité’ de l’article 37 dans mon article. Ce qui prouve toujours la nécessité d’une concertation utile. Je lui suis infiniment reconnaissant et le rassure de son référencement dans mon article par cette mention expresse de gratitude et de reconnaissance à son égard. Je remercie aussi tous les journalistes du Fasonet et, en particulier, Monsieur Joachim VOKOUMA qui, depuis de longue date, "souffre" toujours de me relire et de me "corriger" avant publication. Sans lui, aucun de mes articles ne serait qu’un torchon en lambeau. Qu’il en soit remercié parce qu’il est vraiment difficile d’écrire un article.... A mon "ami" LOP, je précise que nous ne sommes pas obligés d’être en harmonie sur nos positions et j’apprécie particulièrement ses contradictions qui ne font que faire avancer le débat démocratique pour le renforcement de nos institutions républicaines. Il suffit que les critiques se fassent dans le respect bien compris de chacun, encore que cela n’ait pas plus d’importance que la conviction de chacun. Merci enfin à toux ceux qui n’ont cessé de m’adresser des compliments que je trouve vraiment excessifs en comparaison du devoir de contribution patriotique de chacun, même si les compliments valent mieux, humainement, que les critiques. Paul Kéré.