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Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

Publié le lundi 28 janvier 2013 à 23h26min

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Chrisogone Zougmoré  (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

Depuis un certain temps, la crise malienne fait couler beaucoup d’encre et de salive dans notre pays. Dans la foulée, le MBDHP a donné de la voix depuis le mois de novembre dernier à l’occasion de son Assemblée générale statutaire en s’insurgeant contre toute velléité d’intervention militaire étrangère au Mali. Dans cet entretien accordé le 23 janvier 2013, Chrisogone Zougmoré, président du Mouvement, justifie cette position et appelle à plus de délicatesse dans la gestion de cette crise qui risque d’embraser toute la sous-région ouest-africaine.

Lefaso.net : Comment appréhendez-vous l’évolution de la situation de crise au Mali ces derniers jours ?

Il faut dire que la situation a évolué de manière précipitée. Nous tenons d’abord à dénoncer et à condamner la partition de fait du Mali, de même que nous condamnons de la manière la plus ferme les agressions et exactions commises sur les populations du nord Mali par les groupes terroristes et autres bandits qui écument cette région du pays. Cela dit, nous avions comme vous le savez, au cours de notre Assemblée générale statutaire tenue au mois de novembre dernier, pris une position d’ensemble sur la situation qui prévaut dans la sous-région ouest africaine et au Mali en particulier. La position centrale était que nous étions opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali, parce que la situation qui prévaut en ce moment au Mali pose la question fondamentale de la souveraineté de ce pays. Et vous savez que de toute souveraineté qui vaille, l’armée en est l’une des principales garantes. C’est même une question nationale fondamentale, une question d’honneur et de dignité. Voilà pourquoi, nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère.

C’est vrai que l’armée malienne connaît actuellement des difficultés matérielles et organisationnelles mais de notre point de vue, par principe, c’est l’armée malienne réorganisée, remise en confiance, avec le soutien de l’ensemble du peuple malien, qui devrait s’occuper de la libération du Nord. Notre position n’a donc pas varié. Vous savez du reste qu’il y a déjà eu au Nord des mouvements de résistance menés par des jeunes et des femmes contre ces groupes islamistes et qui ont quelque peu mis à mal les assurances de ces derniers. Il appartient au peuple malien de prendre en main la libération du Nord et la reconquête de son intégrité territoriale. De toute façon, ni l’armée française, ni les troupes de la CEDEAO n’y resteront éternellement. Et c’est ce qui fonde la justesse de notre position.

Le message du MBDHP n’a pas varié comme vous le dites, est-ce à dire que vous êtes contre cette intervention militaire jusqu’à présent, ou vous exigez l’arrêt des combats militaires ?

De l’intervention de l’armée française, je voudrais d’abord m’inquiéter de la manière dont elle s’opère et surtout de ses conséquences sur la situation au Burkina ainsi que dans les autres pays voisins du Mali. Chose curieuse en effet, c’est par la voix du ministre français de la défense, sur RFI (Radio France internationale), que nous avons appris que dans le cadre de l’ »opération Serval », la France disposerait d’unités et de matériels militaires déployés au Burkina Faso. Et il l’a annoncé sans sourciller et de la manière la plus naturelle qui soit. C’est inadmissible ! Qui a donc donné l’autorisation à la France, à l’insu des burkinabè, de déployer ces unités et ce matériel sur notre sol d’Etat indépendant ? Est-il certain qu’elles repartiront une fois l’opération Serval terminée ou les maintiendra-t-on chez nous pour autre chose ?

Et lorsqu’on parle d’attitude de type néocolonialiste, certains osent encore s’offusquer. Même dans l’Hexagone, au sein de la classe politique française, des analystes politiques avisés comme le président Valéry Giscard D’Estaing, tirent la sonnette d’alarme en disant non à toute attitude de type néocolonialiste. Pour l’heure, nous pensons que la présence de ces troupes constitue un réel danger pour le Burkina en termes de sécurité. Du reste, les autorités françaises en sont conscientes. Voyez déjà le dispositif sécuritaire qui est mis en place aux environs de l’ambassade de France ou du Lycée français Saint Exupéry, ici à Ouagadougou. C’est bien. Et les autres lycées ? Et ces lieux publics que fréquentent quotidiennement le burkinabè « Lamda » ? Ces troupes doivent quitter notre territoire pour ne pas nous créer des ennuis.

Sur l’autre volet de votre question, bien que les hostilités soient aujourd’hui ouvertes, le dialogue et la concertation ont toujours leur place. Vous savez que ces groupes islamiques qui écument le Nord du Mali s’étaient à un moment donné, ouverts au dialogue, notamment sous la médiation du Burkina Faso. Je pense qu’il est toujours possible de reprendre et de poursuivre ce dialogue, afin de trouver l’issue la moins douloureuse et la moins dangereuse possible à cette situation.

Qu’aurait pu faire la communauté internationale au stade où intervenait l’armée française ?

D’abord soutenir les efforts de médiation ainsi que le processus de normalisation politique au Mali, qui étaient et qui sont toujours en cours. Et puis il y a la résolution (2085) des Nations-Unies qui a été prise au mois de décembre 2012 et dont la mise en œuvre était également en cours. Je pense qu’il eut fallu tout de même attendre qu’on étudie cette résolution dans ses fondamentaux, et dans les principes de sa mise en œuvre, avant toute intervention militaire précipitée. L’on aurait également pu à ce stade mettre encore un peu de patience, en prenant toutefois des mesures strictes de dissuasion et de sécurisation des lignes de fronts. C’est vrai que les islamistes ont franchi ces lignes très sensibles et hautement stratégiques, mais il est évident que l’intervention française a précédé tout début de mise en œuvre des termes de la résolution 2085, conduisant ainsi au fait accompli. Ce qui pourrait davantage compliquer la situation.

Mettre encore un peu de patience, est-ce-que le Mali n’aurait pas été occupé intégralement par ces groupes terroristes ?

Occupé intégralement, je ne le crois pas. Je pense que le Mali a une armée qui, malgré les difficultés qu’elle connaît en ce moment, dispose encore d’un fond de combativité. Je pense aussi que la perspective, clairement exprimée, d’une mise en œuvre d’accords militaires que le Mali a pu signer avec des pays amis, aurait pu suffire pour dissuader ces groupes terroristes. Il semble en effet qu’il y ait après coup des dissensions au sein de ces groupes, sur l’opportunité d’avoir ainsi déclenché les hostilités.

Aujourd’hui, les frappes militaires se déroulent sur le terrain, que compte faire le MBDHP pour soutenir ses mouvements frères du Mali, et de façon générale, le peuple malien ?

Il faut déjà et avant tout déplorer les conséquences immédiates de cette guerre avec les morts aussi bien de militaires que de civils, de même que les effets collatéraux avec déjà cet afflux massif de déplacés et réfugiés maliens, à l’intérieur comme à l’extérieur du Mali. Cela pose de sérieux problèmes de droits humains. Il nous faut soutenir ces populations déplacées ou réfugiées et exiger des pouvoirs en place la prise de mesures concrètes pour leur venir en aide et les protéger. Au-delà des aspects ponctuels et immédiats de nos contributions, une dimension tout aussi importante, c’est la réflexion au fond que les composantes des sociétés civiles de la sous-région devraient mener sur la situation actuelle.

Pour une lecture objective et une résolution correcte de la crise sociopolitique et militaire qui sévit dans toute la sous-région ouest-africaine et au Mali en particulier, la société civile devrait davantage faire entendre sa voix et jouer pleinement sa partition, en éveillant plus que jamais les consciences de nos populations et en interpelant nos dirigeants politiques à plus de sérieux dans la gouvernance politique. Nous avons la conviction que la résolution à terme de ces crises structurelles et multidimensionnelles récurrentes qui secouent le continent, passe nécessairement par la construction d’Etats de droit modernes véritables dans nos différents pays, en lieux et place de ces Etats aux gestions patrimoniales et mafieuses qui sont présentement établis en Afrique. Pour l’heure, nous appelons l’ensemble des forces démocratiques maliennes à veiller à la mise en œuvre d’une juste solution de la question nationale, permettant à chaque malien (quelles que soient sa nationalité, sa race, sa religion, ses origines) de se sentir à l’aise dans un Mali indépendant et unifié.

Le Burkina Faso s’apprête à envoyer une troupe de 500 hommes sur le terrain des combats au Mali. Comment appréhendez-vous la procédure d’envoi de ce contingent ?

La procédure d’envoi de ce contingent, il ne m’appartient pas de l’analyser, parce qu’elle comporte des aspects techniques, politiques, et militaires que je ne maîtrise pas. Mais ce qu’il faut dire, c’est qu’on sent un peu de précipitation dans l’envoi de ces troupes. Cela fait des mois qu’on en parle ; mais c’est suite à l’intervention de l’armée française que ces troupes commencent à se déployer. On sent un peu de pression sur nos Etats quant à l’envoi de ces troupes. C’était un peu comme pour couvrir ou atténuer les critiques formulées à l’endroit de nos pays par rapport à l’intervention française. Et puis, compte tenu de cette précipitation, il me semble que ces troupes n’ont véritablement pas été préparées. Il y a lieu de s’inquiéter car il n’est pas évident d’intervenir militairement dans une zone comme le désert malien.

Le MBDHP a-t-il un appel à lancer à la communauté internationale dans la gestion de cette crise ?

La crise actuelle a des causes fondamentalement politiques et géostratégiques. C’est une crise de gouvernance politique tirant ses fondements de la domination séculaire et toujours actuelle des Etas africains par des puissances occidentales. Des régimes faillis sont soutenus à bout de bras par ces puissances, dans le seul but de veiller à préserver leurs intérêts. Et comme certains analystes l’évoquent, l’intervention française n’est pas exempte de tout intérêt. Vous savez que la zone sahélo-saharienne regorge de pas mal de ressources, minières notamment. Vous avez à proximité du Mali, le Niger avec son uranium exploitée par AREVA ; il n’est pas exclu que l’intervention française ait également pour objectif de protéger l’ensemble de ces ressources sur lesquelles la France a plus ou moins la haute main dans la région ouest-africaine. Il faut qu’il soit mis fin à tout type de rapports de dominant à dominé, si nous voulons véritablement construire un monde de justice et d’équité. Il faut promouvoir davantage des rapports normaux entre Etats et nations, dans le strict respect de la souveraineté des uns et des autres.

Je voudrais aussi et surtout attirer l’attention sur les risques. Il est constant que des interventions du type de celle que vient d’effectuer la France au Mali ont toujours connu des suites extrêmement douloureuses, bien qu’il soit évident que nul ne puisse rester insensible face aux pratiques barbares et moyenâgeuses de ces bandits et narco-trafiquants qui écument le nord Mali. Voyez ce qui se passe aujourd’hui encore en Irak, en Libye et près de chez nous, en Côte d’Ivoire. Là aussi la France était intervenue militairement pour soit disant ramener de l’ordre et forcer au respect des institutions. Aujourd’hui la fracture sociopolitique dans ce pays demeure profonde. Les rancœurs continuent malheureusement de s’aiguiser et des conflits intercommunautaires renaissent. Il n’est pas exclu qu’au Mali de telles situations dommageables à la cohésion des communautés et nationalités se produisent. Il nous faut en Afrique apprendre à construire des mécanismes pérennes qui permettent de prévenir la survenue de ce type de situation. Et pour cela il nous faut des régimes véritablement soucieux du bien-être de leurs populations. Ce qui n’est malheureusement pas le cas aujourd’hui.

Le 2 décembre dernier le peuple du Burkina Faso était appelé aux urnes pour des élections législatives et municipales couplées. Le MBDHP avait demandé l’admission de candidatures indépendantes à ces élections ; ce qui n’a pas été accepté. Aujourd’hui, on se trouve dans une situation où dans la commune de Ouagadougou, il y a lieu de reprendre, cela a même été annoncé par le président de la CENI. Quelle lecture faites-vous de cette reprise ?

Comme vous le faites si bien observer, il y a quand même eu des problèmes au niveau de l’organisation de ces élections. C’est vrai qu’il n’y a pas de grabuges, ni de bagarres à grande échelle, mais il y a tout de même eu de nombreux cas de fraudes, bien qu’on ait introduit la biométrie ; cela n’a pas empêché des cas de fraudes caractérisées, comme dans l’arrondissement de Nongr-Masson à Ouagadougou.

Deuxièmement, ce qui retient le plus notre attention, c’est l’après élection notamment avec le processus de désignation de maires dans différentes communes. On sent que des difficultés manifestes existent quant à la désignation de ces maires. Il est souvent arrivé pour telle ou telle mairie, qu’il y ait deux candidats du même parti, notamment du CDP, qui se battent pour le perchoir. Cela repose le problème de fond des candidatures indépendantes sur lesquelles nous avons beaucoup insisté et continuons d’insister.

Aujourd’hui, le peuple burkinabè est suffisamment mature et veut choisir les hommes et les femmes en qui il a confiance. Je pense que le problème de fond qui se pose par rapport à ce que nous vivons aujourd’hui pour la désignation des maires, c’est celui des candidatures indépendantes. Nous avons du reste lancé une campagne en faveur de ces candidatures indépendantes, qui est en cours. Nous allons davantage insister, continuer d’insister pour que ce principe soit enfin admis au Burkina Faso. Si nous nous considérons comme un Etat de droit véritable, dans un processus de décentralisation intégral, il faut admettre enfin ce principe des candidatures indépendantes, et nous insistons beaucoup là-dessus.

A l’occasion d’un point de presse animé le 18 janvier dernier pour annoncer la reprise de ces municipales le 17 février, le président de la CENI a appelé la société civile à donner de la voix à ce processus. Vous sentez-vous concernés ?

Oui, naturellement que nous nous sentons concernés. Nos militantes et militants sont des citoyens burkinabè ; mais nous avons toujours dit que les questions d’élection intéressent au premier abord, les partis et formations politiques. Nous sommes des acteurs de la vie politique nationale, mais nous avons des principes qui gouvernent et fixent les limites de notre intervention sur ce champ-là. Vous savez que lorsqu’il y a des élections, généralement la société civile, les structures de défense des droits de l’Homme en l’occurrence, s’emploient à l’observation. C’est déjà une bonne chose que cela se fasse, surtout que nous produisons à l’issue de nos missions d’observation des rapports critiques et analytiques qui contiennent généralement des recommandations pertinentes.

Toujours sur la question des élections, de la position des partis et de l’attitude des populations, je pense aussi que d’une manière générale, l’offre politique aujourd’hui au Burkina Faso reste très en deçà des attentes des populations burkinabè, parce qu’aujourd’hui, les questions fondamentales qui se posent au peuple burkinabè, ce sont des questions de survie, de santé, d’éducation, auxquelles les partis politiques ne semblent pas proposer de véritables voies de solutions. C’est pourquoi au Burkina, les gens s’intéressent de moins en moins aux élections. Un Etat de droit, ce n’est pas seulement des institutions, des textes de loi ou des proclamations d’intentions à répétition ; c’est aussi faire en sorte que les populations vivent dignement leur statut d’être humain.

Aujourd’hui ce qui manque au Burkina Faso, ce sont des réponses concrètes des partis et formations politiques aux attentes des populations. Je crois qu’il est temps que les choses changent, que les partis politiques se ressaisissent et que les populations continuent de se battre surtout. Vous savez que le MBDHP est membre de réseaux associatifs, notamment la coalition contre la vie chère. Nous estimons qu’au sein de ces réseaux, les populations doivent davantage se mobiliser et s’affirmer, donner de la voix pour pousser les partis et autorités politiques à prendre en considération leurs aspirations profondes.

Les 23 et 24 novembre dernier, le MBDHP était en Assemblée générale statutaire, occasion d’appeler à la dynamisation des structures de base du mouvement. Que peut-on retenir aujourd’hui quant à l’aspect organisationnel du mouvement face à ses défis ?

Dans la formulation du thème, nous avons tenu compte la situation dans la sous-région. Il y a déjà un afflux massif de réfugiés au Burkina Faso. Nous avons des sections qui se trouvent au niveau des zones frontalières du Mali, notamment au Nord et au Sahel. Il est tout à fait normal et indiqué que nous appelions ces sections à beaucoup plus de dynamisme, pour notamment la prise en charge des questions d’accueil et de gestion de ces réfugiés qui affluent au Burkina Faso.

Deuxièmement, comme je l’ai fait observer plus haut, des crises comme celle qui a cours au Mali, nécessitent une analyse profonde de la situation avant toute prise de position. Il est vrai qu’avec les exactions perpétrées par les groupes terroristes au Nord du Mali et face à l’impuissante actuelle de l’armée malienne, la réaction immédiate normale, c’est d’appeler à l’intervention extérieure. Mais comme je l’ai dit aussi, il faut tenir compte de la situation d’ensemble des Etats africains. Il y a de cela trois ans, nous fêtions en boucle et en grandes pompes les cinquantenaires de nos indépendances. Convenez avec moi que qui dit indépendance, dit souveraineté, et affirmation de cette souveraineté. C’est là un minimum. Il n’est pas normal que plus de 50 années après, il n’y ait que très peu d’armées qui soient capables d’assurer l’intégrité territoriale de nos Etats. C’est inadmissible !

Il nous faut donc chercher à comprendre, surtout lorsqu’on sait que les hauts gradés de ces armées sont généralement formés en France ou dans ces pays occidentaux qui interviennent dans nos pays lorsqu’ils le veulent. Qu’apprend-t-on donc à nos officiers au cours de leur formation ? A opérer des coups d’Etat ? À se muer en gardiens protecteurs de régimes dictatoriaux ? À intimider et à éliminer au besoin des opposants politiques, des journalistes d’investigation et des étudiants ? Comment comprendre en effet que 50 ans après nos indépendances, il faille à chaque fois faire recours à l’ancienne puissance colonisatrice pour défendre l’intégrité territoriale de nos Etats ? Les droits de l’homme et des peuples, c’est aussi le droit à la souveraineté, qui doit être en bonne partie assuré et garanti par nos armées nationales. Nous avons donc au cours de cette Assemblée générale, procédé à une analyse de la situation nationale, ouest-africaine, et internationale, afin d’armer nos militants du point de vue de la réflexion et de l’analyse de situations.

Quels sont les grands projets du MBDHP en cette année 2013 qui commence ?

Je voudrais saisir l’occasion que vous m’offrez là, pour souhaiter une bonne et heureuse année 2013 à nos militantes et militants, à celles et ceux des autres composantes de la société civile, ainsi qu’à l’ensemble du peuple burkinabè, qui prend de plus en plus conscience de ses droits. Je voudrais tout autant appeler nos populations à se consacrer à leurs devoirs de citoyens.

Cela dit, nous avons des chantiers en termes d’activités ; il y a la campagne en faveur des candidatures indépendantes qui est lancée et que nous allons poursuivre. En matière de droits humains, nous nous sommes assez souvent investis sur le champ des droits civils et politiques. Vous constatez avec moi que depuis ces dernières années, la vie devient de plus en plus chère. Nous allons mettre un accent particulier les années à venir sur la promotion et la protection des droits socio-économiques et culturels. Il y a un protocole facultatif relatif au pacte international sur les droits économiques, sociaux et culturels qui a été adopté au niveau international. Nous allons, en partenariat avec d’autres organisations de la société civile, mener une campagne de plaidoyer auprès des autorités burkinabè afin que le Burkina signe et ratifie ce protocole facultatif, pour prendre davantage en considération la question des droits économiques, sociaux et culturels. Et puis naturellement, à travers nos organes de direction et d’animation, nous allons continuer de nous investir au quotidien dans la promotion, la protection et la défense des droits humains avec la rigueur et la constance qui nous ont toujours été reconnues.

Fulbert Paré

Lefaso.net

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Vos commentaires

  • Le 28 janvier 2013 à 19:26, par Raso En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    Désolé de ne pas être d’accord avec le MBDHP, mais sans l’intervension de la France, Bamako serais occupé aujourd’hui. Ce qui aurait rendu encore plus compliquée toute libération possible..

  • Le 28 janvier 2013 à 19:46, par Patriote africain En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    Bien dit M. le président. Cette autre intervention militaire de la France sur le continent est une honte. Après avoir fêté en grande pompe le cinquantenaire de nos indépendances, c’est la France qui est encore chargée de résoudre nos problèmes à notre place. Quelle honte.

  • Le 28 janvier 2013 à 20:16, par Le malien En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    Enfin un son de cloche lumineux ! Peut-on être indépendant et accepter des interventions militaires étrangères sur son territoire ? Absolument pas. Merci au MBDHP et courage à cette organisation RESPONSABLE.

    • Le 29 janvier 2013 à 08:32 En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

      Mon frère, je suppose que tu es chez toi, libre et indépendant dans ta maison. J’imagine que dans ta logique, quand il y aura un incendie chez toi (ce que je ne te souhaite nullement), au nom de ton indépendance, personne ne devra accourir avec un seau d’eau ? Même si toi on ne t’aime pas parce que tu es indépendant dans ta propre conception de ce terme (c’est-à-dire arrogant et négligeant), on ne peut pas être là à regarder le feu consumer tes enfants et tout le patrimoine qui, quelque part, est aussi le leur. Il faut souvent ramener les choses à de une échelle simple pour comprendre.

    • Le 29 janvier 2013 à 08:36, par shalom En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

      "Le malien" toi tu n’est pas malien tu dis "Peut-on être indépendant et accepter des interventions militaires étrangères sur son territoire ?" donc tu preferes que les integristes prennent tout le territoir au lieu que la france viennent aider le mali. tu crois que les gars de ansardines, mujao et consor c’est des maliens ? moktar benmoctar qui a organiser la prise d’otage est algerien ! le mali a appeler a l’aide et comme la cedeao et l’ua mettent un an pour faire des reunions la france a repondue. si elle ne reponait pas c’est vous autre encore qui allez vous plaindre. en somme vous etes des plaignants quoi qu’il arrive. bravo continuer dans ca, le reveil sera dur

  • Le 28 janvier 2013 à 20:22, par Charles En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    Comment est financé le MBDHP ? Des structures qui vivent de l’aide étrangère et qui pensent qu’ils peuvent donner des léçons !
    Vous faires vraiment honte et pitié !

  • Le 28 janvier 2013 à 20:22, par Charles En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    Comment est financé le MBDHP ? Des structures qui vivent de l’aide étrangère et qui pensent qu’ils peuvent donner des léçons !
    Vous faites vraiment honte et pitié !

  • Le 28 janvier 2013 à 20:42, par G.R. En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    Aucun esprit critique, aucun recul, aucune perspective géopolitique dans son analyse. Suffit pas de dire qu’on est opposé à l’intervention. Aucune guerre n’est bonne mais face à ces terroristes il ne faut pas faire dans la dentelle. Et si c’est le Burkina qui avait été à la place du Mali, il serait aussi contre une intervention ? C’est vrai que les présidents Konaré et ATT ont mis à bas l’armée malienne mais de là à laisser les Maliens sous le joug des islamistes, il y a un pas à ne pas franchir.
    Mr Zougmoré vient de perdre toute l’estime que j’avais pour lui. En réalité ce mec n’a pas aucune jugeotte.

  • Le 28 janvier 2013 à 21:26, par SAD En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    Soyons serieux monsieur MBDHP. Croyez vous que les populations jadis victimes des imputaions, tueries et autres violations graves des droits humains ne sont pas des hommes qui ont des droits ? En tout état de cause, l’armée malienne qui était censeée faire ce que vous dites a demandé un appui car se voyant incapable. Soyez réaliste dans vos prises de positions pour éviter d’etre parfois ridicule comme ce cas. Vous étiez où pour laisser les africains se beigner de cette honte depuis l’indépendance. On connait bien ceux qui ont dit non à cette honte ; c’est entre autres Patrice LUMUMBA, KWAME KURUMA, THOMAS SANKARA etc.. etc.. et loin d’etre vous autres, prets à se faire corrompre à tout instant. Je regrette.

  • Le 28 janvier 2013 à 21:53, par Sidpawalemdé : désespérance africaine ! En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    Je suis tout à fait déçu de cette organisation. Et voilà comment le MBDHP et Blaise en viennent à être solidaires pour laisser les maliens croupir dans leur malheur en prétextant de dialogue. Et en le faisant se rendent coupables et complices des exactions islamistes.

    On a pendant longtemps laissé la Somalie à son triste sort et qu’a-t-on vu ? Il a fallu qu’une coalition africaine se mette en place pour déloger les chébab. Et la lutte continue à ce jour. Qu’est-ce que la Somalie n’a pas payé comme lourd tribut ?

    Voilà le résultat quand on est arcbouté à défendre des idéologies plutôt que les droits humains. C’est simplement pathétique !

    Imaginons les islamistes envahissant Bamako et la bataille de rue, la guerilla urbaine pour les en expulser et le nombre de morts que cela coûterait quelle que soit l’armée qui le ferait. Et on aurait dit que c’est parce que le Mali est pauvre qu’aucune puissance extérieure ne s’y intéresse...

    Frères africains, la liberté et l’indépendance ne sont pas synonymes de fermer les yeux sur le malheur des autres. Si vous voulez être indépendants, arrêtez de faire la quête des partenaires techniques et financiers pour alimenter vos budgets en déficit permanent car ça commence par là. Que l’Afrique assume donc seule le financement de sa MISMA au lieu de tendre la main pour quémander des sous pour l’intervention au Mali. Quant au MBDHP, qu’il arrête de recevoir des financements extérieurs pour son fonctionnement et on verra bien combien de temps il va vivre.

    Je trouve que les africains sont désespérants et désolants à mourir. Et pourtant j’ai été de vos luttes, de vos marches dans l’affaire Norbert Zongo comme dans bien d’autres, mais j’ignorais que vous en arriveriez là un jour. Et que n’avez-vous pas fait dans le cadre du Collectif pour que l’extérieur, la communauté internationale mette la pression sur Blaise. Aujourd’hui, vous et Blaise sont à mettre dans le même sac. On connait les limites du "dialoguisme". Que négocieriez-vous si Bobo, Fada ou Dori réclament par la voie de la violence armée une quelconque indépendance ou l’application de la charia ?

    Il y a certainement nécessité d’un dialogue politique entre maliens, mais l’heure est à l’éradication pure et simple des kystes de l’islamisme et du séparatisme. Et tant mieux si la France le fait à la place de la CEDEAO et de l’Afrique qui sait plus organiser des rencontres de chefs d’Etats et de CEMA et s’offrir des perdiems que d’intervenir. On a vu cela en Côte d’Ivoire : des rencontres qui n’ont jamais permis le déploiement de l’ECOMOG. Le seul salut des ivoiriens fut l’ONUCI et la Force Licorne et c’est tant mieux.

  • Le 28 janvier 2013 à 21:58 En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    Monsieur le Président, un peu de réalisme quand même. Vous parlez de peuple malien et d’armée malienne. Une armée qui n’en était plus une. Que pouvait faire cette armée face à ces islamistes surarmés ?La médiation était la première voie envisagée par la CEDEAO. Aujourd’hui, même le Médiateur désigné de cette organisation ne condamne pas cette intervention et à juste titre.Nous devons souvent faire l’effort d’extirper de nos têtes cette façon de voir qui consiste à croire que tous les problèmes des africains sont causés par les anciennes puissances coloniales.Tout ce qui vient des occidentaux ou de l’étranger n’est pas forcement mauvais pour les africains.Monsieur le Président, dites nous clairelment qu’est ce qu’il fallait faire quand en pleine négociations, cesislamistes ont déclanché une offensive en direction de Bamako. Qu’on les laisse occuper tout le pays pour après négocier avec eux ? et qu’est ce qui allait naitre de ces négociations ? Personne ne veut ni ne souhaite la guerre, mais il ya des guerres inévitables, légitimes.Par ailleurs il faut faire observer que le monde est un monde interconnecté, si bien qu’un problème n’est jamais propre à un seul Etat.Autrement dit, la crise malienne a des conséquences sur le reste du monde et l’on peut se demander s’il faut encore parler d’intervention étrangère quand on sait que les pays qui interviennent ont intéret à le faire. Monsieur le président, l’idéologie qui prone l’opposition systématique à tout interventionnisme étranger est dépassée. Il faut maintenant analyser les situations au cas par cas.Et à mon humble avis, je pense qu’il n’yavait plus d’autres alternatives que la guerre au Mali.

  • Le 28 janvier 2013 à 22:06, par Le Sage. En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    M. ZOUGMORE,

    Autant j’ai beaucoup de respect pour vous et pour votre précédesseur Halidou OUEDRAOGO, autant je vous demande l’autorisation de contester démocratiquement votre position.
    Lorsque des "islamistes" je dirai même des bandits de grands chemins pour ne pas salir le nom de l’islam, coupent des mains, asservissent des femmes, je n’ai jamais entendu sur les antennes ou par le biais du fasonet la voix du MBDH.
    Alors, s’il vous plaît, lorsque la France, puissance militaire parmi les pays occidentaux vient libérer ces peuples du joug et de la pesanteur de l’obscurantisme d’un autre âge, vous devez au contraire vous réjouir. S’opposer pour s’opposer n’est pas une position acceptable dans ce cas. Je vous demande de vous ressaisir et de condamner ces barbaries de ces voyous du désert et surtout d’encourager la France à nous aider à les bouster hors de nos frontières. La réaction de l’Algérie sur son sol en est l’exemple pathétique qu’il ne faut pas se montrer complaisant avec les terroristes.

  • Le 28 janvier 2013 à 22:29, par L’oeil de la cité En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    L’heure n’est plus de savoir si on est d’accord ou pas avec l’intervention militaire au Mali puisque le Nord du Mali est en train d’être libéré grâce à cette intervention de la France que je salue et que j’attendais personnellement avec impatience. Que ce soit la France ou un autre pays qui était intervenu, c’est bien pour l’humanité d’abord. C’est l’après intervention qui doit maintenant alimenter les débats car on doit avancer. On est fatigué des donneurs de leçons à la "phraséologie creuse" comme le disait mon prof de philo au lycée. C’est très facile de critiquer quand on n’est pas directement touché et victime.

  • Le 28 janvier 2013 à 22:30 En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    Le MBDHP est-il financé par la seule cotisation de ses membres ? Non ! Reçoit-il des financements de bailleurs de fonds extérieurs, qu’il s’agisse d’Etats étrangers à travers leurs ambassades et services de coopération ou des ONG qui bénéficient de financements publics dans leurs pays ? Sans doute !

    Alors arrêtez de nous chanter l’antienne de l’indépendance africaine et commencez vous-même par vous départir de cet idéologisme. Si on vous laisse face au pouvoir actuel sans influence extérieur, vous allez être réduit à néant, dissouts, persécutés.

    J’imagine bien les liens et connexions avec la branche COPAM du Mali et la truculente Aminata Traoré l’altermondialiste. Mais l’opposition à l’Occident ne doit pas vous conduire à des prises de position aussi aberrantes qu’inutilement pitoyables de laisser le Mali à son propre sort et la férule de Sanogo.

    Rien à foutre désormais de vos prises de position car si c’était au Burkina, vous seriez de ceux qui participeront à la désintégration de la nation.

  • Le 28 janvier 2013 à 22:37, par Wake up En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    Mr zougmoré allez dire vos pensées aux familles des victimes de ces groupes terroristes,vous verrez bien ce qu’ils pensent de l’intervention de la France ..

    Comme l’a si bien dit Raso,les français n’auraient pas intervenus Bamako serait sous contrôle des terroristes et toute intervention pour liberer le Mali aurait fait plus de victimes.

    J’approuve cette intervention

    Mieux vaut prévenir que guérir..

  • Le 28 janvier 2013 à 22:48, par Issouf Savadogo En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    Monsieur le president, Qu’est ce que toi meme concretement en tant que africain a apporter en soutient au peuple. Ce genre de discours ne trouve pas sa place dans le context actuel. Vous les africains n’allez jamais changer Alors on lassera le peuple malien mourrir ajourdhui et demain ce sera nous meme. Il faut revoir ta parole sinon toi meme tu est terroriste.

  • Le 28 janvier 2013 à 23:03, par Alphonse En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    C’est vrai qu’on ne peut pas se réjouir d’une intervention étrangère mais puisque les africains n’arrivaient pas à se décider, disons merci à la France.
    Arrêtons de nous endoctriner avec des théories dites progressistes et regardons une fois la vérité en face.

  • Le 28 janvier 2013 à 23:16, par Sans rancune En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    Si Mr le Président était dans une des villes maliennes occupée par les islamistes et que son pied était coupé, il n’aurait pas la même la réaction. Désolé d’être aussi direct.
    Il ne faut pas parler pour parler comme le dit-on couramment. Et merci à Charles.

  • Le 28 janvier 2013 à 23:18, par Albert En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    Je crois que vous devriez allez a Bamako, Tombouctou, Gao dire aux maliens que l’on pouvait encore dialoguer, attendre que les fondamentalistes se calment et que il n’y avait pas le feu, pas de danger imminent pour que les Francais interviennent et je crois que les populations vous repondront. Trop malicieux d’attendre qu’on chasse les islamistes pour sortir avec des polemiques inutiles. C’est de la politique politicienne.

  • Le 29 janvier 2013 à 02:06 En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    je suis triste pour le mbdhp
    le vieux déraisonne sur l’intervention au mali
    s’opposer pour s’opposer n’est pas constructif

  • Le 29 janvier 2013 à 04:10 En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    Merci Mr Zougmore. Par rapport au probleme Malien, vous n’ etes pas d’ accord pour les interventions etrangeres. Que proposez- vous a la place ? En attendant, les barbus coupaient les mains de ceux qui ne vivaient pas comme eux. Alors, on fait quoi ? Sinon tout le monde sait que la France n’ agit pas pour le s beaux yeux des maliens. Qui aurait d’ ailleurs exposer ses propres hommes pour ca ? Donc, d’ un point de vue pratique, que proposez- vous ? J’ y vois , dans la situation malienne, une aporie. Personnellement je suis d’ accord que les francais interviennent puisque la CEDEAO, c’est pour donner des gros salaires a des ressortissants de pays pauvres tres appauvris, sans plus. Ils passaient le temps a se rencontrer a Bamako et a Abidjan dans les hotels capitonnes pour augmenteter encore leurs perdiems alors que les populations du Nord mali se mourraient. La france intervient pour ses interets mais est que nos etats riverains du mali, eux ils n’ avaient pas d’ interets.? Peut-etre que le Sarkome de Fransozi n’avait pas tout a fait tort. Il se pourrait que le noir, surtout l’ alphabetise ne soit ;as entierement rentre dans l’ histoire. Puisqu’ il n’ apprend jamais la lecon de choses.

  • Le 29 janvier 2013 à 06:31, par le solitaire En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    Avec tout le respect que je dois au President Zougmoré, je dois dire que cette fois ci, il a tiré à côté parceque sans l’intervention de la France, le Mali aurait disparu complètement en tant qu’Etat et la situation aurait pu être beaucoup plus dramatique pour toute la sous région y compris le Burkina-Faso. Quand on n’a pas les moyens, il n’y a pas de honte à demander l’aide de pays amis. Le gouvernment malien est souvearin et a estimé que sans l’aide de la France et de la CEDEAO, il n’est pas en mesure de combattre tout seul les terroristes. Je ne vois pas où est le problème ? Je trouve que c’est trop facile de condamner quand on n’est pas directement concerné. Les dirigeants maliens, au delà de beaux discours sur la souveraineté le néocolonialisme, la dignité, la honte ect.., savent exactement les limites de leurs moyens !

  • Le 29 janvier 2013 à 06:40, par shalom En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    tu fais exprès waaah ou bien tu connais pas.
    il dit qu’on devait poursuivre le dialogue, que l’armée malienne peut et devrait reconquerir le nord seule.
    des gens ont été violés, fouettés amputés assassinés, tout ca c’est rien on devait laisser continuer tout ca le temps que l’armée qui a fuit le nord reviennent, quand ? on ne sait pas, meme si ca prendra beaucoup de temps et qu’en attendant on continue de violer amputer, pour vous c’est pas grave ? la misma n’arrivait pas a se deployer car cela coute des milliards et malheureusement nos pays n’ont pas les moyens, malgré tout ca on devait toujours attendre qu l’armée malienne reviennent, les intégristes ont ronpu le dialogue et lancer une offensive, malgré tout pour vous on a encore le temps pour le dialogue et pour permettre a cette meme armée malienne qui n’a pas pu riposter de revenir.
    mmmmm...

  • Le 29 janvier 2013 à 07:22, par L’enseignant En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    Il faut urgemment un gros cours de sciences politiques au MBDHP car raisonner ainsi à la date de ce jour est sinon désuet du moins limité.les relations internationnales et la géostratégie mondiale impose de n’observer aucun attentisme.INDEPENDANCE ? en quoi est ce contradictoire avec lutte commune contre tte forme de terrorisme ? d’extrémistes ? de narcotrafiquants ? Parlant de droits de l’homme seulement, rien que ça, le MBDHP est complètement largué car n’ayant même pas appris ( j’ose croire le contraire ) que BENSOUDA est au premier plan pour rechercher ces islamistes qui ont amputé, violé, molesté,détruit,.....pour le compte de la CPI.messieurs du MBDHP ! cette forme d’indépendance là n’existe nulle PART ENCORE.nos Etats sont de grands ensembles que l’on gère plus intelligemment que ça.faut vous mettre à l’heure HEIN !!!! avec tte cette approbation pour cette intervention vous nétouffez pas de modestie en exposant ces lubies là ?

  • Le 29 janvier 2013 à 07:40, par L’Africain En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    Messieurs du MBDHP,

    Vous n’avez pas su faire une bonne lecture de la situation au Mali.

    Vous avez fermé les yeux sur les coups de fouets en public de maliens et maliennes

    Vous avez fermé les yeux sur les mains coupées de jeunes maliens.

    Vous faites confiance aux barbus qui refusent et rejettent la culture des autres notamment celle du peuple malien.

    Vous défendez le dialogue avec les barbus sans trop savoir Quel dialogue s’agissant de l’instauration de la charia ? Ils ne sont venus que pour ça et ne transigeront jamais sur ces points.

    Vous avez oublié les sanglots de cette petite Malienne petite Aicha violée, comme beaucoup d’autres, sous la menace des armes.

    Vous refusez de voir tous ces Maliens obligés d’aller en exil avec ce que cela comporte comme privation, misère et désolation.

    Vous avez oublié toutes ces destructions du patrimoine culturel et religieux de Tombouctou et du Mali.

    Vous avez oublié qu’il s’agit de dealers de drogue, de terroristes et de preneurs d’otages pour des rançons.

    Vous avez privilégié le point de vue de Valery Giscard d’Estain et vous n’avez pas pris en compte les vœux et souhaits du peuple malien qui demande l’aide des pays africains et européens. VGE qui parle de néocolonialisme et vous y croyez ? L’homme aux diamants de Bokassa ?

    Les islamistes prennent Konnan et veulent marcher sur Bamako pour instaurez la charia dans tout le Mali et vous, vous dites « laissez les maliens les repousser ». S’ils le pouvaient les islamistes n’auraient pas pris Tombouctou, Gao…

    Messieurs du MBDHP, pour une fois, vous défendez des positions d’arrière garde. Vous méprisez le peuple Malien au profit de VGE et du Mediateur de la CEDEAO en pensant qu’il est possible de dialoguer avec ces islamistes. N’est ce pas de la table de dialogue qu’ils sont allés prendre la ville de Konnan ?

    Vous ne connaissez pas la situation au Mali plus que le peuple Malien.

    Vous êtes comme la Capitaine Sanogo. Vous ne savez que parler. Celui qui n’est pas dans l’arène est très fort et même champion dans la lutte. C’est trop facile Messieurs du MBDHP.

    Revenez de vos rêveries d’étudiants qui refusent les responsabilités parce qu’il est facile de critiquer quand on n’a pas de responsabilités. Oui on a la part belle, mais quelle et votre réelle contribution concrète au développement de votre pays ?

  • Le 29 janvier 2013 à 07:46, par changeons En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    Désolé pour ce monsieur, mais l’intervention de la France est salutaire, à féliciter. Sans cette intervention, les bandits armés étaient maintenant à Bamako et c’est toute la région en danger. Il ne faut pas chercher mordicus à avoir un argument contraire qui ne tient pas. Vivement que monsieur Zougmoré soit otage des ces groupes pour mieux réfléchir.

  • Le 29 janvier 2013 à 07:48, par DEBA En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    Monsieur, Il faudrait remercier la France et son Président François HOLLANDE. Pourquoi cette fierté nationaliste qui nous amène nulle part ? Il faut reconnaitre sans l’intervention de la France les populations des zones occupées souffrirons et continuerons à souffrir. Où était la CDEAO pendant 9 mois sans réaction comme si ce problème ne l’intéressait point. La France prenant ce courage d’intervenir nous honore pour preuve la population des zones libérée manifeste de joie partout. J’aurai que la CDEAO prenne l’initiative mais hélas, c’est une coquille vide, et une honte sous régionale. Aujourd’hui mais demain ça pourra être un autre pays !!!
    Nous sommes fier d’être libéré par notre colonisation un point. Ceux qui ne sont pas content ou contre qu’il parte se plaindre à la Haye.

  • Le 29 janvier 2013 à 08:07, par Karim En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    Monsieur le président où étiez vous avec votre droit de l’homme quand les islamistes amputaient, lapidaient à mort, violaient, fouettaient, poussaient des milliers de maliens hors de leur pays ?
    Je crois qu’à un moment donné, la raison doit emporter sur la théorie et la fausse fierté d’indépendance. En réalité, aucun pays n’est indépendant. Tous dépendent d’une manière ou d’une autre à d’autres.
    Vous parlez de souveraineté ? Soyez donc d’accord que le président malien demande de l’aide extérieure pour recouvrer l’integrité de son territoire, et celà, en toute souveraineté !

  • Le 29 janvier 2013 à 08:08, par Un fidèl du LeFaso.net En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    Mr du MBDHP, arrçêtez SVP ! Vous pensez que n’eut été l’intervention militaire au Mali, vous seriez assis tranquillement dans votre fauteuil pour accorder cette interview ? Soyez réaliste malgré votre combat noble. L’objectif de cette guerre c’est la paix, la liberté et le respect des droits de l’Homme. Comment pouvez vous penser qu’il faille attendre, négocier avec des ’’fous de dieu’’ pendant que Bamako et même votre capitale sont menacées ? Je vous respecte mais cette fois-ci vous êtes du mauvais côté de l’histoire.

  • Le 29 janvier 2013 à 08:35 En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    C’est ça hien !! Avec vos condamnations fermes, les islamistes ont continué à amputer, flageller, un peu le chien aboie, la caravane passe. C’est ça justement, vous aurez continuer à condamner même quand le Mali serait totalement occupé. Mais bon, il faut justifier vos financements.

  • Le 29 janvier 2013 à 08:43, par Pablito-Camaron En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    Ce qui me chagrine, c’est que cette opinion déteigne négativement sur le MBDHP qui est une organisation sérieuse. Si je comprend bien, le respect des Droits de l’Homme que Mr Zougmoiré défend de toute son ame pouvait encore attendre au Nord Mali , il fallait y mettre la maniere avec l’intervention malienne ;

  • Le 29 janvier 2013 à 09:03, par shalom En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    "souveraineté, souveraineté" qui connait souveraineté plus que la france ? quand pendant la 2eme guerre mondiale hitler se baladait a paris, c’est pas les anglais, americains... qui les ont aider a reprendre la france ? arretez ca la !

  • Le 29 janvier 2013 à 09:08 En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    Il faut être pire qu’un imbécile pour s’opposer à l’intervention actuelle au Mali. Ceux qui soutiennent cela sont peut être de ces ONG qrecoivent les financements des pays qui soutiennent le terrorisme comme le Quatar. C’est fort probable que le MBDHP vive de ces soutiens vu que ce sont des affamés qui cherchent leur pain.

  • Le 29 janvier 2013 à 09:10, par changeons En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    C’est vrai. Monsieur le président doit justifier ses financements, cette fois, c’est une sortie ratée, capotée. Il reste à côté de la plaque et en principe, les membres de son mouvement doivent le sermonner pour cette grosse erreur. A l’écouter, le MBDHP (il parle au nom de ce mouvement), est pour le viols des femmes et jeunes filles, les amputations, les mariages forcés, les flagellations, la stagnation de l’économie malienne, la remise à zéro du processus du développement du nord, le trafique de drogues et autres stupéfiants etc. Monsieur, si vous étiez là-bas, vous n’allez pas faire cette déclaration qui remet en cause les nobles combats des membres du MBDHP. je connais très bien la zone et je parle en connaissance de cause. On ne défend pas un diable, sauf si vous même vous êtes diable !!!!

  • Le 29 janvier 2013 à 09:34, par koana En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    Je comprends la réaction des uns et des autres par rapport à l’entretien du président du MBDHP sur l’intervention armée au Mali. Mais ce que le monsieur dit est vrai, après 50 ans d’indépendance c’est honteux pour toute l’Afrique. même le président de l’UA a presque dit la même chose dans son discours d’ouverture à Adis. Il a fallu que nos anciens patrons se décident à intervenir parce qu’on ne pas capable de prendre cette décision. Tout le monde savait que le Mali avait besoin d’aide de ses frères africains parce que c’est ne pas un problème du Mali seulement. le terrorisme est mondiale. les dirigeants africains ne sont ni prévoyants ni ambitieux. à quoi sert aujourd’hui un homme, un pays sans défense, sans éducation, sans manger, plus grave sans solidarité alors que c’est ça l’Afrique. je soutien la France, elle au moins est humaniste, réactive et solidaire.

  • Le 29 janvier 2013 à 09:34, par alizeta En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    je pense que ce n’est plus possible de penser a l’Afrique separè du monde, comme du monde separé de l’Afrique.Nous sommes tous interdependants.Comment parler de l’independence de l’armée malienne, quand nous savons qu’ils sont formée et armée pqr le USA ?comment parler des interets des français en Afrique, sans considerer que ce sont aussi des interets africains ? nous devons envisager des nouvelles cathegories, ce n’est plus le colonialisme, mais au meme temps nous devons negotier et pas subire.Je pense que l’erreur c’est de refuser toute intervention étrangere en nom d’une idéee tres generique d’independance ou, de l’autre coté subir une intervention sans negotier et participer.Se rebeler ou se soumettre...c’est une vieille maniere qui nous aide pas a etablir des relations paritaire,de participation.

  • Le 29 janvier 2013 à 09:35, par mohamed En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    Cette position peut ne pas plaire actuellement car tous les instruments de propagandes disent le contraire. Mais elle demeure celle qui vaille pour le futur. Sur ce forum, certains, s’ils sont honnêtes, reviendront se dédire.
    Comment on fait pour être membre du MBDHP ?
    Courage pour son combat tout mon soutien !

  • Le 29 janvier 2013 à 09:50, par Le citoyen En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    Bonjour, Si je ne me trompe le sigle, MBDHP signifie Mouvement Burkina des Droit de l’Homme et des Peuple. L’essence même de la création de cette organisation réside dans la défense des droits de l’Homme, donc défense des droit des Maliens et défense du Peuple Malien. Je ne comprend donc pas cette sortie de Monsieur Zougmore, car j’ose imaginer que tous les membres du MBDHP n’ont pas le même point de vue que lui. Après quel décompte macabre ( Lapidation à mort, amputation, flagellation, Burka forcé, viol..) il fallait intervenir. Si les exactions des Islamistes au Mali, ne sont pas aux antipodes du respect des droit de l’Homme, alors il faut trouver un autre sigle pour votre organisation. Il faut s’opposer il est vrai, mais la critique stérile est l’un des maux des Africains et plus Particulièrement des Burkinabè. Comme on dit , la vérité rougit les yeux , mais ne les crève pas. Au vue de la situation actuelle, il vaut mieux reconnaitre sa mauvaise interprétation initiale de la situation que de s’entêter dans l’erreur.
    Merci

  • Le 29 janvier 2013 à 10:08, par Wendy En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    Mon cher Zougmoré, il n’y a pas de honte à crier au secours quand on sait que objectivement, on est impuissant devant quelqu’un qui est décidé à vous tuer, au risque de sa propre vie pour défendre une idéologie. Sans cette intervention française qui est d’ailleurs venue à temps (le Mali n’ayant malheureusement pas une armée structurée et vous le savez bien), ce pays frère et ami serait sans doute envahi, toute la sous-région avec, à commencer par le Burkina Faso pour lequel vous craignez tant. Autant que nous pouvons, aidons donc le Mali à se libérer de cette impasse car nous ne saurons nullement être en paix si à côté de nous notre voisin est en guerre.

  • Le 29 janvier 2013 à 10:18, par Sisqo En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    Du n’importe quoi. Qu’est ce que le Mali peut faire face à ces terroristes hyper équipé ? Depuis que la CEDEAO parle d’envoyer des troupes quand ont t’elles commencé à se déployer ? Pendant ce temps les populations meurent au nord Mali, on détruit les monument. Allez dire cela aux parents des gens qu’on tu la bas. N’importe quoi MBDHP

  • Le 29 janvier 2013 à 10:31, par CIRE En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    Je suis décu de l’attitude de Monsieur Chrysogone.

  • Le 29 janvier 2013 à 10:44, par RIFIFI En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    Vous auriez du arreter ce sanogo. il est responsable de vos mots. c’est ceque tante d’expliquer mr. Zougmore. Les militaires sont des putchistes, dictateurs et aucune capacite a defendre les territoires nationaux. Il faut bien lire et bien reflechir avant de condamner. Il ne ’sest pas opposé, il parle de la manière d’intervenir. User un peu la cervelle au lieu de voir seulement les amputaions des bras. Sanogo, où est-il ? depuis l’assaut des français. C’est les maliens qui ont traites la CEDEAO de tous les maux du monde ; et aujour’dhui vous dites qu’ils trainent les pas.
    DEFENDEZ-VOUS BIEN. VOUS ETES DES GARçONS PILS !!!!!!!!!!

    QUE VEUT L’ETRE HUMAIN ?

  • Le 29 janvier 2013 à 10:49, par bany En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    quand en 1940 les américains sont intervenus en France cela n a en rien enlever la dignité des francçais et aussi je suis écœuré de voir ce monsieur si sa fille était violée femme battue d auditeurs par la faute des soit disant politique comme lui qui toujours ne font que mentir au peuple des responsables politiques incapable de fructifier l héritage légué par leur devancier qui font la honte de l Afrique alors de grâce tu dis des bêtises parceque c est pas ta fille qui fut violée à gal flagellée de Tombouctou alors fermé la et pour soutient on voit le temps que mets la cedaeo pour se mobiliser c est des politiques Côme toi dégoûtant

  • Le 29 janvier 2013 à 10:49, par WURO YIRE En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    Faites attention a vos prises de position. La paix dans le Monde a été construit sur la guerre. Sinon des Fous detruirons tout selon leurs grés. Nous avons de la chance qu’il existe des puissances militaires.
    Il faut noter que pour defendre le Droit des Hommes il faut être assis en Paix et Libre le MBDHP doit le savoir et le comprendre.
    Je felicite encore les Occidentaux particulièrement la France et son President.

  • Le 29 janvier 2013 à 11:20, par PIBRAY En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    je suis surpris de la position du MBDHP sur le cas du Mali.vous oubliez que c’est le président Malien,face à l’avancée des troupes rebelles, qui a appelé les français en aide.Face à la réalité du terrain et surtout des souffrances endurées par ces populations face aux envahisseurs,le choix de la France est sans débat sauf pour certains "intello" de salon.
    Face à votre position,je commence à comprendre celle de l’Egypte.Dans tous les cas, je vous suggère d’écouter en intégralité le discours du président malien lors du sommet de l’U.A. le Mali sait aujourd’hui où se trouve ses vrais amis.

  • Le 29 janvier 2013 à 11:31, par Bouba En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    Ecoutez, les gars ! Relisez l’interview attentivement avant de vous acharner sur le MBDHP et son président. L’analyse s’appuie sur des arguments qui sont loin d’être farfelus. Ceux -là qui avancent l’application de la charia comme principal argument contre ce que dit le MBDHP doivent aussi faire appel aux forces étrangèrse pour interevenir dans d’autres pays. Suivez mon regard... La France va-elle rester indéfiniment au Mali ? Sinon, gare au syndrome lybien et autre apys déstabilisés pour longtemps.

  • Le 29 janvier 2013 à 11:34, par DAWANZIRI En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    J’aimais bien ce monsieur mais cette fois ci je me demande s’il est bête ou s’il fait exprès. comment peux tu vouloir que l’on regarde ces sans foi intégristes maltraité de la sorte nos frère malien. tu ferai mieux de réfléchir avant de dire des sotises. t’es tu un peu mis à la place des maliens du nord. quand on n’a pas de solution à un problème on la ferme.

  • Le 29 janvier 2013 à 11:53, par Bonne analyse du MBDHP En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    A tous ceux qui sont pour l’intervention de la france au Mali. Sachez tout simplement que vous avez une connaissance superficielle de la situation du Nord-Mali.Je comprend parfaitement votre attitude par ce que vous ignorez beaucoup de choses sur l’impérialisme et le néocolonialisme notamment francais.Loin de faire un cours d’histoire, n’oubliez pas que vous subissez l’impérialisme et le néocolonialisme sur tous les plans.Vous etes preparer psychologiqmnt et mentalement pour accepter cette domination sur le plan culturel, economique, politique.Donc ce n’est pas facile de comprendre ce qui passe dans nos Etats surtout au Nord-Mali.C’est pourquoi vous les partisans de l’intervention de la france vous ne voyez que la partie superficielle( iceberg).Toute les infos sur lequelles vous fondée votre argumentaire vous sont fournies par TV5monde, RFI, France24...relayées par nos pauvres médias.Ne savez vous pas que les médias constituent un 4ème pouvoir ? L’info que vs recevez n’est pas neutre. Elle a des objectifs a atteindre. La fin justifie les moyens.Après plus de 50 ans "dindependance" cherchez à sortir de la naiveté.... Comme vous saluez lintervention de la France, j’espère que vous ferez de telle sorte que la France reste au Mali pour toujours au Mali.Par ce que si votre france repart ... On allume le feu puis on vient jouer aux pompiers.

  • Le 29 janvier 2013 à 11:54, par shalom En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    aahhh modérateur tu es deja parti ou bien ? il faut que ton patron ajoute tes indemnités pour que tu sois plus present pour nos réactions.

  • Le 29 janvier 2013 à 11:57, par fissoni En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    Bonjour
    vous savez le MBDHP profite aussi de la sitaution pour faire sa propre PUBLICITE sionon comment faire pour sortir de temps à autre de l’ombre ????

  • Le 29 janvier 2013 à 12:06, par zinzin En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    Je déplore totalement cette position du MBDHP. Je peux comprendre qu’on déplore le fait que ce soit la France qui intervienne devant la cinquantaine des Etats africains. Mais à condamner l’intervention !!! C’est presque ridicule.Nous devons parfois abandonner les positions idéalistes pour être réalistes. Vous n’avez même pas votre propre monnaie et vous parlez de souveraineté !La France a intervenu devant l’irresponsabilité et l’incapacité des etats africains. Allez dire aux maliens dont les bras et autres ont été coupés, que vous condamner l’intervention.

  • Le 29 janvier 2013 à 12:12, par paragraphe En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    "Je pense aussi que la perspective, clairement exprimée, d’une mise en œuvre d’accords militaires que le Mali a pu signer avec des pays amis, aurait pu suffire pour dissuader ces groupes terroristes"quelques phrases de la réponse donnée à une des question dans cette interview.Mais n’est il pas la plus qu’une dissuasion cette intervention de la France qui d’ailleurs je crois est l’un des pays avec lequel le Mali a signé des accords militaires.

  • Le 29 janvier 2013 à 12:23, par Kayouré En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    Parcourant tous les écrits de tous ces internautes, avec le respect que j’accorde aux avis des uns et des autres, je comprends cependant pourquoi l’Afrique trime. Osons souvent voir au-delà du bout du nez.. Si les Maliens ne sont pas capables de chasser les terroristes de leur pays, des pieds, des mains, voire des têtes seront encore coupés, même avec l’intervention étrangère. Monsieur le Président, le futur éduquera vos contradicteurs ou détracteurs.

  • Le 29 janvier 2013 à 12:42, par le visionnaire En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    Et Pourquoi le MBDHP est resté silencieux quand les islamistes coupaient mains et jambes, tuaient, pillaient le patrimoine africain à Gao et Tombouctou ?
    Souvent le silence est une position plus sage surtout quand on est aussi absent sur des cas de violations graves des droits dans son propre pays ( cas des recents massacres de Zabré).
    Je n’apprecie pas l’intervention française mais je dois savoir me taire dans certaines circonstances !
    Adopter profil bas quand je vois l’incapacité chronique de nos Etats et me dire il faut travailler dur pour que nos futurs enfants n’aient pas encore a être obligé de supporter une intervention française.

  • Le 29 janvier 2013 à 12:45 En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    Vous avez dit indépendance ? C’est quoi çà ? çà se mange ? MIAAMM, j’ait faim !

  • Le 29 janvier 2013 à 12:51, par Guestaoré En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    Vous savez, en plus des djihadistes, les intégristes et fondamentalistes du 21ème siècle sont les prétendus défenseurs des droits humains. Qui est ce monsieur pour porter un jugement sur cette intervention ?Pour qui il roule pour dire autant de choses ?Si vous n’avez rien à dire taisez vous et ne rajouter pas à la souffrance des maliens ! Ou étiez vous quand on tuait, violait, amputait ? Au nom de dogmes vieillis et de vaines idéologies, vous enfilez une voile noire à vos yeux et vous sortez des choses de ce genre ?Entre l’interventionnisme salvateur et la non ingérence destructrice, que choisissez vous ?Au Rwanda, on a accusé et on continue d’accuser la France de n’avoir rien fait pour empêcher le génocide !Ici elle intervient pour assurer la liberté à un peuple pris en otages par des criminels et vous vous criez Indépendance o heee ! Honte à vous et au PCRV dont vous incarnez l’opinion sans doute !

  • Le 29 janvier 2013 à 13:37, par Le Faucon En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    Prépare-toi, demain je vais t’attaquer !!! c’est ainsi que le Mali et la CEDEAO s’adressaient aux terroristes en planifiant l’intervention militaire en septembre 2013. Quand on veut aller en guerre, on occupe le terrain et c’est ce que les terroristes ont fait.
    Monsieur le Président, vous défendez les droits des personnes ; les Maliens sont brimés dans leurs droits fondamentaux alors allez les défendre. Je vous invite à vous rendre dans le camp des islamistes avec votre paquet de cigarettes afin de fumer le calumet de la paix et une bouteille de champagne pour fêter la victoire ; vous comprendrez ce que veut dire fanatisme et intégrisme. Les droits de l’homme c’est pour ceux qui sont respectueux de la Loi. Je veux bien parler de droits de l’homme mais pas devant ces fous de Dieu. Sont-ils respectueux des droits des autres ? Négocier, négocier oui avec des gens ouverts à la négociation. Si vous tendez votre joue gauche à un assassin, il vous décapitera.
    Défendez le défendable et n’affichez pas des positions de principe pour des principes. Avec les terroristes, il n’y a pas de négociations qui tiennent. S’ils ne veulent pas subir les bombardements et autres attaques, que ces terroristes déposent les armes et vous verrez que les Français repartiront illico, que la CEDEAO cessera de se triturer les méninges pour savoir si on attaque ou pas.
    Vive la guerre contre les terroristes et les assassins du Peuple.

  • Le 29 janvier 2013 à 15:04, par Sidpawalemdé : désespérance africaine ! En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    Je suis tout à fait déçu de cette organisation. Et voilà comment le MBDHP et Blaise en viennent à être solidaires pour laisser les maliens croupir dans leur malheur en prétextant de dialogue. Et en le faisant se rendent coupables et complices des exactions islamistes.
    On a pendant longtemps laissé la Somalie à son triste sort et qu’a-t-on vu ? Il a fallu qu’une coalition africaine se mette en place pour déloger les chébab. Et la lutte continue à ce jour. Qu’est-ce que la Somalie n’a pas payé comme lourd tribut ?
    Voilà le résultat quand on est arcbouté à défendre des idéologies plutôt que les droits humains. C’est simplement pathétique !
    Imaginons les islamistes envahissant Bamako et la bataille de rue, la guerilla urbaine pour les en expulser et le nombre de morts que cela coûterait quelle que soit l’armée qui le ferait. Et on aurait dit que c’est parce que le Mali est pauvre qu’aucune puissance extérieure ne s’y intéresse...
    Frères africains, la liberté et l’indépendance ne sont pas synonymes de fermer les yeux sur le malheur des autres. Si vous voulez être indépendants, arrêtez de faire la quête des partenaires techniques et financiers pour alimenter vos budgets en déficit permanent car ça commence par là. Que l’Afrique assume donc seule le financement de sa MISMA au lieu de tendre la main pour quémander des sous pour l’intervention au Mali. Quant au MBDHP, qu’il arrête de recevoir des financements extérieurs pour son fonctionnement et on verra bien combien de temps il va vivre.
    Je trouve que les africains sont désespérants et désolants à mourir. Et pourtant j’ai été de vos luttes, de vos marches dans l’affaire Norbert Zongo comme dans bien d’autres, mais j’ignorais que vous en arriveriez là un jour. Et que n’avez-vous pas fait dans le cadre du Collectif pour que l’extérieur, la communauté internationale mette la pression sur Blaise. Aujourd’hui, vous et Blaise sont à mettre dans le même sac. On connait les limites du "dialoguisme". Que négocieriez-vous si Bobo, Fada ou Dori réclament par la voie de la violence armée une quelconque indépendance ou l’application de la charia ?
    Il y a certainement nécessité d’un dialogue politique entre maliens, mais l’heure est à l’éradication pure et simple des kystes de l’islamisme et du séparatisme. Et tant mieux si la France le fait à la place de la CEDEAO et de l’Afrique qui sait plus organiser des rencontres de chefs d’Etats et de CEMA et s’offrir des perdiems que d’intervenir. On a vu cela en Côte d’Ivoire : des rencontres qui n’ont jamais permis le déploiement de l’ECOMOG. Le seul salut des ivoiriens fut l’ONUCI et la Force Licorne et c’est tant mieux.

  • Le 29 janvier 2013 à 15:14, par Ibrahimo En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    Au moins l’MBDHP est resté sur ses principes que d’ailleurs chaque africain doit avoir et assumer quel qu’en soit les conséquences. Ces mêmes africains qui crient a tout bout de champs à l’impérialisme, au néocolonialisme et à l’interventionnisme occidentale en Afrique dans certains conflits, se permettent encore d’applaudir ces mêmes impérialistes, néocolonialistes et interventionnistes occidentaux dans d’autres conflits. En fait que voulons nous au juste en tant que africains, surement quelque chose en son contraire. Vraiment, il faut coloniser les africains car ils ne savent pas ce qu’ils veulent.

  • Le 29 janvier 2013 à 15:30, par WEND LA BANGRE En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    Quand le BURKINA sera occupé un jour par les islamo-terroristes,vous pourrez alors réfuser l aide étrangère.En attendant,les MALIENS ont souverainemment accepter l aide "ETRANGERE" (COMME SI LE MALI N ETAIT PAS MEMBRE DE LA COMMUNAUTE INTERNATIONALE).

  • Le 29 janvier 2013 à 18:47, par polder En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    la france a aucun interet au mali ,dans d’autre pays limitrophe je ne dit pas ,toi en tout cas tu est un lache tu préfére voir tes frères maliens se faire couper les mains ou fouetter

  • Le 29 janvier 2013 à 19:31, par ANNAN En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    de deux maux, le bon sens voudrait qu’on ose faire le choix de celui qui est le moindre. entre l’occupation des hommes sans loi ni foi, soutenus par certains pays arabes très riches et reconnus, de façon officieuses, être les animateurs patentés de la terreur sur les habitants de cette planète, et celle de la France coloniale, le choix est sans équivoque. La france vaut mieux car ses intentions sont déjà connues. Mais qui peut connaître papa de chiots ? qui est à mesure de reveler les intentions de ces brigands, qui de surcroît cachent leurs identités derrière des voiles noirs, avec des drapeaux et des emblèmes à connotations lugubres. Mr Zougmoré, faites vous une condamnation de principe ou êtes vous au serieux dans votre conviction ?

    • Le 29 janvier 2013 à 22:20, par nifri En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

      la position de principe du mbdhp ne sied pas dans le cas malien vu la souffrance qu’endurait la population et la menace reelle de la disparition de l’etat malien au profit d’un etat "islamiste" suite à l’agression de non maliens

    • Le 29 janvier 2013 à 23:32, par le fils du peuple En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

      Encore des gens idées galvodées,independance,souveraineté et quoi encore ?La solidarité internationale existe pourquoi messieurs du MBDHP ?Le mali a demandé l’aide de la france,vous vous asseyez ici dans vos bureaux climatisés que vs etes contre,qui mieux que les maliens savent ce qui est bien pour eux ?vous o mbdhp sans l’aide de l’exterieur pouvez vs payer vos loyers ?arretez l’obscurantisme et travailler les droits de l’homme.c’est une honte de voir des activistes de droits de l’homme raisonner de la sorte !vous citer Valery Giscard est-il un africain ?quand un blanc dit des choses qui vous arrangent vs applaudissez,quand ca ne vous arrangent vous criez au colonianisme !Vous meme Zougmore,vous etes chrétiens,quand les barbus arriveront ici on verra ce que vs allez devenir ;honte à vous et dire que vous croyez avoir raisonné,vous avez resonné oui !!!

  • Le 29 janvier 2013 à 21:29, par joe En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    Vraiment que voulez vous finalement ?

  • Le 29 janvier 2013 à 21:31, par JUMEAU En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    Bsr .Vos condamnations sont-elles de principe ou sérieuses. si non comment comprendre que le Nord du Mali soit assiégé pendant 9 mois et qu’une Résolution de l’ONU en autorise la libération et que des gens trouvent cela anormal.Dans tous les cas notre FASO Natal tout comme la Cote d’Ivoire étaient dans le viseur de ces Narco- terroristes.

  • Le 29 janvier 2013 à 22:32, par Abdou En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    Tout cela ne nous étonne pas de la part du MBDHP. Il ne faut pas oublier que cette organisation a été créée par des anciens communistes avec à leur tête Halidou avec l’aval et le soutien de Blaise Compaoré ( c’est Halidou même qui le dit) . Halidou en ce moment était conseillé à Présidence. En fait le MBDHP ne s’est jamais départi de ce background, dans bien de cas leur prise de position est beaucoup plus politique que tout autre chose.
    Cette organisation dit soutenir la démocratie alors qu’il n’y a pas de démocratie en son sein. Seule la maladie a fait que Halidou a quitté la tête de la structure. Et, comme les présidents des républiques bananières, il a tout fait pour imposé quelqu’un d’insignifiant pour continuer à contrôler le Mouvement.
    On se rappelle, en Cote d’Ivoire lorsque la guerre a éclaté en 2002 et les partisans de Gbagbo tuaient à tout bout de champ à Abidjan, les condamnations fusaient de partout pour dénoncer ces crimes. Mais le MBDHB de Halidou est resté silencieux. La presse fut obligée d’aller recueillir son avis. Il n’a rien trouvé à dire que Gbagbo était démocratiquement élu….
    Tout cela pour vous dire que le MBDHB n’est qu’une coquille vide. Elle n’est plus rien … sauf la renaissance des idées originelles de ces créateurs qui traitaient de « droit de l’homme bourgeois » ce que nous appelons « droits de l’homme » tout court aujourd’hui.
    Les maliens peuvent mourir, être amputésr, les maliennes peuvent être violées mariées par force, pour le MBDHB souverainiste tout cela est secondaire par rapport au principe sacro -saint de la lutte…. Tout cela est consistant avec les idéaux des créateurs. Après tout ils sont toujours admirateurs de ce que Staline à fait en URSS…
    Abdou

  • Le 30 janvier 2013 à 06:19, par Jean Lazarre En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    Monsieur ZOUGMORE
    Pour vous mieux valait encore le Mali sous le joug des islamistes et terroristes qu’une intervention française. Comme cela est triste que le responsable du MBDHP ne comprenne par ce qui est important pour les Maliens. savez vous seulement ce que c’était la dure vie des Maliens occupés par les terroristes ?
    Le minimum est de dire merci à la France, qui expose la vie de ses soldats sans atermoiement.
    Votre position est insupportable. Et je suis heureux que plusieurs personnes refutent votre position.

  • Le 30 janvier 2013 à 06:38, par En avant En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    Position courageuse et clairvoyante. Il ne faut jamais avoir peur de ses idées même si au moment de les exprimer, elles peuvent ne pas correspondre avec l’opinion. Laquelle d’ailleurs ?
    Le malheur est qu’il y a des internautes qui se limitent au titre des articles pour faire leur commentaires. Autrement, s’ils lisent tout l’article, ils sauront que la position n’est pas celle de Zougmoré mais du MBDHP. Il a en effet rappeler que la situation dans la sous-région particulièrement au mali a été débattu et une position arrêtée : condamner les exactions et condamner toute forme d’intervention étrangère.
    Pour ce qui saluent l’intervention, décrivez-moi ce qui va se passer au nord-mali à partir de maintenant.
    Félicitations au MBDHP pour avoir assumé ses idées en sachant que la tendance n’est pas favorable !!!
    Rien que pour ça et la profondeur de l’analyse qui l’accompagne, il mérite félicitation.
    C’est ça une organisation responsable

  • Le 30 janvier 2013 à 08:03, par Nanoukda En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    Je veux que le MBDHP sache que s’il avait des bureaux au Nord Mali, ils étaient tous en cendre et leurs représentants qui n’auraient pas pu prendre leurs jambe au cou avaient peut-être les mains coupées et les femmes voilées ou violées ! Une anecdote de chez nous dit que "quand on s’amuse avec le fou, il ne faut pas s’étonner qu’il te morde" ! A bon entendeur, salut !

  • Le 30 janvier 2013 à 09:09, par AD En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    Laissez les théories academiques voir populistes. Ces trafiquants de drogue etaient à 10 m de la porte de BAMAKO . On fait cmt ? Je pense qu’il faut d’abord exister pour pouvoir reclamer son independance. On en a marre des mouvements qui critiquent pour critiquer. Si la panthère peut m’aider à me debarrasser du serpent c’est tant mieux. J’ai peut etre d’autres opportunité pour organiser ma defense !

  • Le 31 janvier 2013 à 12:06, par Leuk En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    Toujours des positions de principe. C’est facile à marteler lorsque ce n’est à son frère ou à sa sa soeur que l’on coupe un bras ou une jambe. Dans la situation du Mali, peut importe la tête du "sauveur". Qu’l soit ange ou démon, le plus important c’est de bouter hors du territoire ces intégristes "barbus" d’une autre époque qui veulent se prendre pour des Saints et qui prétendent enseigner aux autres musulmans les bonnes pratiques de l’Islam !

  • Le 5 février 2013 à 11:38, par tommy D En réponse à : Chrisogone Zougmoré (MBDHP) : « Nous étions et restons fondamentalement opposés à toute forme d’intervention étrangère au Mali »

    La réaction du MBDHB ne doit pas nous surprendre car en toute situation surtout politique il faut des opposants.mais ce qui est déplorable c’est que le MBDHB se dit defenseur des droit de l’homme

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