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Blaise COMPAORE préside la session du Conseil Supérieur de la Magistrature

Publié le vendredi 18 mai 2012 à 18h09min

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En sa qualité de Président du Conseil Supérieur de la Magistrature, le Président Blaise COMPAORE a dirigé personnellement la session dudit Conseil, le 18 mai 2012.

Lors de la cérémonie d’ouverture des travaux, le Ministre de la Justice, Garde des Sceaux, Mme Salimata SAWADOGO, a indiqué que la tenue du Conseil supérieur de la Magistrature intervient avant la fin des stages des élèves magistrats. Cette session, a-t-elle précisé, « se justifie par la nécessité de pourvoir au plus tôt, au poste laissé vacant suite au départ à la retraite d’un magistrat de haut rang, à savoir, la présidente du Conseil d’Etat. » La Cour des Comptes enregistre également des départs à la retraite et des fins de mandats de certains de ses membres.

La session aura donc à pourvoir au poste de premier président du Conseil d’Etat d’une part, et donnera des avis sur la nomination de magistrats et de personnalités non magistrats dans les hautes juridictions.
Enfin, elle va examiner le rapport du comité chargé de faire des propositions relatives aux modalités de fonctionnement du Conseil Supérieur de la Magistrature.

La Direction de la Communication de la Présidence du Faso

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Vos commentaires

  • Le 18 mai 2012 à 18:41, par Tapsoba En réponse à : Blaise COMPAORE préside la session du Conseil Supérieur de la Magistrature

    Mais Blaise a l air d’être,comme aimait à le dire mon prof, " présent de corps ,absent d esprit".

  • Le 18 mai 2012 à 19:56, par Yeux rouges En réponse à : Blaise COMPAORE préside la session du Conseil Supérieur de la Magistrature

    Je pense qu’il est temps que le Président du Faso ne préside plus le Conseil Supérieur de la Magistrature(CSM). Cela constitue à mon avis une grave entrave à la séparation des pouvoirs.En France d’où nous calquons tout, le CSM n’est plus présidé par le Président de le République mais par le Premier Président de la Cour de Cassation pour les magistrats du siège et le Procureur Général près ladite Cour pour les magistrats du Parquet. La logique de l’indépendance du pouvoir judiciaire doit aller jusqu’au bout pour mettre fin à des pratiques telles les affectations sanctions.

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