LeFaso.net, l'actualité Burkinabé sur le net
Proverbe du Jour : “Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux.” Proverbe chinois

CONFIDENCES DU WEEK-END : Affaire Brafaso, les protagonistes devant le juge ce matin

Publié le lundi 24 octobre 2011 à 03h16min

PARTAGER :                          

Les protagonistes de l’affaire Brafaso se retouvent en principe ce matin à la Cour de cassation. Les avocats de Brafaso ont finalement introduit un sursis à exécution de la décision de liquidation rendue le 12 août dernier. Le juge examinera les arguments de Brafaso sur les motivations du sursis qu’elle demande. La BIB, la BCB et la CNSS, partenaires de Brafaso, l’ont assignée en justice pour tenter de sauver l’argent qu’elles ont injecté dans cette entreprise qui n’arrivait plus à honorer ses engagements vis-à-vis d’elles. En principe, la décision du 12 août dernier est exécutive et le recours actuel n’entraîne pas la suspension de cette décision sauf avis contraire du juge à l’issue de cette dernière rencontre.


Affaire Maternité Sylla Sanon de Bobo : 3 millions d’amende et 6 mois ferme pour l’accoucheuse

De report en report, c’est enfin le vendredi 21 octobre 2011 que le Tribunal de grande instance de Bobo a statué sur le sort des deux agents de santé inculpés pour homicide involontaire sur la personne de Sita Traoré alors qu’elle donnait la vie, le 1er septembre 2011, à la maternité Sylla Sanon de Bobo-Dioulasso. Salimata Bahan/Ouattara (l’accoucheuse auxiliaire) et Zeinabou Yoni (agent itinérant de santé) ont respectivement écopé de peines de six mois de prison ferme et six mois de prison avec sursis, plus une amende de trois millions de F CFA pour dommages et intérêts. Contrairement à ce que le parquet avait requis, à savoir une peine de deux ans ferme pour les deux et une amende de 600 000 F CFA.

L’époux Adama Traoré avait aussi demandé la somme de 40 millions à titre de dommages et intérêts. Il va ainsi se contenter de six millions pour les réparations. En rappel, Sita Traoré, 26 ans et mère de six enfants, s’était rendue à la maternité dans la nuit du 30 août au 1er septembre, en compagnie de sa coépouse et de son époux. Les heures suivantes, elle va passer de vie à trépas pendant que les agents mis en cause, se reposaient dans la salle de garde, où l’on disait qu’elles suivaient un feuilleton. Pris de fureur, les habitants du secteur 21 ont incendié la maternité. Arrêtées et traduites devant le TGI de Bobo pour non assistance, les deux agents n’ont pas reconnu les faits, farouchement défendues par leur avocat.

Au cours du procès, le tribunal a eu des difficultés à situer les responsabilités, puisqu’aucune preuve, aucun témoignage, n’a démontré que Sita Traoré a rendu l’âme en tombant de la table d’accouchement comme l’avouaient les parents de la défunte. Il fallait donc, selon le constat fait, faire une autopsie pour situer exactement la cause réelle de la mort de Sita. A noter que les agents de santé qui s’étaient mobilisés depuis le début des audiences, ont estimé que le verdict n’est pas de leur goût, et ont promis de faire appel. Certains faisaient savoir qu’ils vont marcher pour soutenir ces condamnées en premier ressort.


Tour du Faso 2011 : un véhicule termine sa course sous un hangar à Gourcy

Le vendredi 21 octobre 2011 a eu lieu la 1re étape (Laye- Ouahigouya) de la 25e édition du tour cycliste du Faso. A Gourcy, chef-lieu de la province du Zondoma, et point chaud, les autorités administratives bien que n’ayant pas été officiellement conviées, ont tenu à être témoins de l’évènement, avec à leur tête le haut -commissaire Hassane Sawadogo . Les dispositions sécuritaires nécessaires ont été également prises par les forces de l’ordre et de sécurité et tout s’est bien passé même si les populations, faiblement mobilisées par manque d’information, ont attendu en vain les gadgets, contrairement aux éditions précédentes. Le lendemain samedi, lors du transbordement pour Yako, pour la seconde étape, un véhicule du convoi de marque a terminé sa course sous un hangar, les quatre fers en l’air, après avoir percuté un cycliste.

C’était aux environs de 7 heures, aux abords de la route nationale n°1. Selon des témoignages recueillis sur place, les occupants, au nombre de trois, seraient sortis indemnes. Ils auraient même continué leur chemin à bord d’un autre véhicule avant les constats d’usage de la gendarmerie pour assister au départ de l’étape. Quant au cycliste, il a été évacué du côté de Ouahigouya pour des soins appropriés. Il y a eu plus de peur que de mal quand on sait que ce lieu, situé au centre ville, grouille de monde à tout moment de la journée.


Trafic d’enfants : huit enfants interceptés à Tiankoura

La police de Tiankoura, dans la Bougouriba, a intercepté huit enfants dont cinq filles avec une moyenne d’âge variant entre 12 et 18 ans en partance pour Kpèré (Comoé), situé sur l’axe Gaoua-Banfora. Ils sont pris actuellement en charge par la cellule de veille de la direction provinciale de l’Action sociale et de la solidarité nationale (DPASSN) de la Bougouriba en attendant leur retour dans leurs familles respectives. Ils sont originaires de Tchériba et environnants, dans la région de la Boucle du Mouhoun, selon les explications de la plus âgée. Selon cette dernière, c’est la deuxième fois qu’elle s’y rend. C’est à partir de Lassou qu’un véhicule dépêché de Kpèrè est venu les chercher afin qu’ils rejoignent leurs oncles qui auraient téléphoné à leurs parents de les laisser venir pour travailler dans un restaurant. Les trois garçons, quant à eux, disent ne pas savoir ce qu’ils feront une fois sur place. Le chauffeur, Abou Yoin, interpellé par la police, a laissé entendre que ce sont les enfants qui sont montés eux-mêmes à bord du mini-car et lui ont demandé de les conduire à Ouo, une autre localité de la région des Cascades, située sur le même axe.

Il ajoute par ailleurs qu’il devait être payé une fois à destination. Les enfants ne détenaient, par devers eux, aucun document permettant de les identifier ni de contacts téléphoniques des parents. Selon le commissaire de police de Tiankoura, Sékou Ouattara, c’est grâce à la collaboration d’un citoyen que le grappin a été mis sur le présumé trafiquant d’enfants. Selon le DPASSN de la Bougouriba, El Hadj Arouna Simporé, le phénomène du trafic d’enfants est assez récurrent dans la province. En effet, et d’après lui, en août, un trafiquant recrutait des enfants à Nicéo et les envoyait à son grand-frère à Bobo-Dioulasso. Le 16 octobre 2011, un paysan de Dan (Houet) s’est rendu à Navielgane (Bougouriba) chercher des enfants pour la récolte du maïs et du coton à l’insu des parents, a-t-il ajouté.


Régulation des prix des denrées de grande consommation : la Kossi a sa boutique-témoin

C’est par un communiqué émanant du Haut-commissariat de la Kossi, et radiodiffusé depuis le lundi 17 octobre 2011 que les populations de la Kossi ont été informées de l’ouverture d’une boutique-témoin dans la ville de Nouna. Issa Badini, responsable du magasin et vendeur attitré de la SONAGESS, venu spécialement de Ouagadougou à cet effet, a fait savoir que pour le moment, la Kossi a reçu dix (10) tonnes de riz local.Le stock est constitué, pour le moment, uniquement de riz local vendu à 7 850 F CFA le sac de 25 kg. A la question de savoir comment M. Badini compte s’y prendre pour éviter la vente de ce riz à des non nécessiteux ou du moins à des personnes qui nourrissent l’ambition de prendre des quantités importantes pour des buts spéculatifs, le gérant a laissé entendre que toutes les mesures sont prises pour que pareilles situations ne se produisent pas.


Gratuité des soins de la santé maternelle : comme droit de l’Homme selon Amnesty Burkina et Help

La santé maternelle a été au centre des préoccupations de Amnesty International section du Burkina et de Help. Les responsables des deux structures ont rencontré les organisations de la société civile de Bobo-Dioulasso le lundi 17 octobre dernier pour donner des informations autour du thème : « L’exemption du paiement : un pas vers l’accès universel aux droits et aux soins de la santé maternelle et infantile ». Noémie Marcellin, représentante de l’ONG allemande Help, et Christian Ouédraogo d’Amnesty Burkina, ont prêché l’importance de la santé maternelle aux participants issus d’une vingtaine d’organisations. Ils ont exploré les différentes pistes pouvant permettre aux femmes en situation de grossesse de bénéficier de la santé comme droit élémentaire. Pour un pays pauvre comme le Burkina Faso, les conférenciers ont estimé que le paiement des soins constitue une barrière quant à l’accès des services de santé, ce qui fait malheureusement de nombreuses victimes dans les familles. Ces échanges directs avec les organisations de la société civile visent au renforcement des plaidoyers, pour convaincre les partenaires financiers à subventionner la santé maternelle et infantile à 100%, contrairement aux 80% déjà adoptés par le Burkina depuis 2006.


Tilékoumbora : un concept de l’association SITALA pour promouvoir la culture africaine

Tilékoumbora, qui signifie littéralement le lever du soleil en langue dioula, est le concept de l’association SITALA. Née en 1998 et reconnue en 2002, cette association a déjà démontré son savoir-faire dans la musique africaine. Dispensant des cours de musique, de danse et dessins aux enfants en Europe où elle est basée, l’association vient donc nouer un lien direct entre les élèves burkinabè et français à travers le partage de la culture africaine. Le coordinateur du projet, Amadou Coulibaly, est actuellement dans nos murs, accompagné de plusieurs amis français évoluant dans le même domaine. Des cours et spectacles sont prévus à cet effet.


Banfora : le dépôt pharmaceutique de l’ACSMM cambriolé

Le dépôt pharmaceutique de l’Association chrétienne de soutien aux malades marginalisés (ACSMM) de Banfora a été cambriolé dans la nuit du mardi 18 au 19 octobre 2011. Vers 8 heures et demie ce 19 octobre, le personnel s’occupait des malades venus pour la consultation ou pour honorer des ordonnances. Seule la porte arrière de la pharmacie que les délinquants ont forcée pour accéder à la salle de vente des produits, laissait voir les traces d’un cambriolage. Le portail en question a été déformé et les crochets littéralement arrachés. Selon un des responsables de l’association du nom de Boniface Yaméogo, c’est la 7e fois que la structure, qui aide les malades marginalisés, c’est-à-dire ceux qui sont sans accompagnant ou ceux qui sont démunis, a reçu des visiteurs indésirables. « Ils n’ont jamais rien pu emporter puisqu’à part les médicaments que nous vendons à des prix sociaux, aucun sou ne reste dans la caisse », a précisé M. Yaméogo, qui pense qu’au regard de la vocation de la structure, elle devrait être épargnée de ces genres de visite.


Assise du CCRP dans les Cascades : difficile début des travaux

Les travaux du CCRP dans la région des Cascades ont débuté avec plusieurs difficultés. En effet, après la cérémonie d’ouverture présidée par le gouverneur Toukoumnogo Léonard Guira et le départ de celui-ci, les participants de la Léraba, comme un seul homme, se sont retirés de la salle au motif que leur nombre, au lieu de 53 conformément aux termes de références de la rencontre, se limitait à 49. Selon eux, les quatre places qui revenaient à leur province ont été occupées par des gens de la Comoé. En effet, après vérification, il est ressorti qu’au lieu de 15 participants au titre de la majorité présidentielle, la Comoé en a envoyé 18. Très vite, la tension est montée. Les plaintes fusaient de partout. « On ne peut pas prendre part à ces travaux pendant que nos camarades sont dehors. Leurs noms figurent sur la liste que le Haut-commissaire a envoyée.

Ils ont engagé des frais pour être là. S’ils n’accèdent pas à la salle, alors nous laisserons la Comoé seule faire le travail ». Tels étaient les propos des protestataires. Le superviseur général des travaux, Marc Somda, est alors obligé de sortir. Pendant plusieurs minutes, il a supplié les boycotteurs de réintégrer la salle. Ceux-ci n’obtempéreront que lorsque Marc Somda les aura rassurés qu’il veillera personnellement à ce que cette erreur soit corrigée. Comme si cela ne suffisait pas, à l’entrée de l’hôtel qui abritait les travaux, plus d’une quinzaine de Lérabéens, qui se réclamaient participants, attendaient ; une autre paire de manches pour les organisateurs. Selon ces Lérabéens, certains participants, sur les 49 de la Léraba, qui avaient déjà pris place dans la salle, militent dans des formations politiques telles que le PDP/PS, l’UPC et l’UNIR-PS dont les états-majors refusent de participer aux assises. Jusqu’à midi, les travaux n’avaient toujours pas repris. Le superviseur général était toujours à la manœuvre pour ramener les participants de la Léraba dans la salle. En plus de tout cela, la cérémonie qui devait commencer à 9 heures ne le sera que vers 10 heures. A ce moment, certains qui devaient assister à l’ouverture des travaux étaient déjà repartis, las d’attendre.


Assita Koné et Kader Kouanda unis pour toujours

Le samedi 22 octobre 2011, à la mairie centrale de Ouagadougou, Assita Koné et Abdoul Kader Kouanda désormais unis dans les liens sacrés du mariage, se sont promis amour et fidélité pour la vie. C’était en présence de parents, amis et connaissances venus nombreux pour l’événement. Figuraient parmi les invités de marque, François Compaoré, petit frère du président Blaise Compaoré, des ministres du gouvernement et d’anciens ministres, des opérateurs économiques bien connus du monde des affaires. Le monde du sport n’était pas non plus en reste, étant donné que le géniteur de Kader, l’ancien député El hadj Mahamadi Lamine Kouanda, est une sommité dans le domaine du sport burkinabè. L’officier d’état civil, Jean Christophe Ilboudo, premier adjoint au maire de Ouagadougou, a été le célébrant de ce mariage. Abdoul Kader est entrepreneur de fonction et son épouse, assistante en communication.


Union sacrée entre François Ouédraogo et Arlette Somé

La date du 22 octobre 2011 restera gravée en lettres d’or dans la mémoire de Jean François Ouédraogo et Arlette Somé. Pour cause : ils se sont dit oui pour la vie devant Dieu et les hommes. C’était à la paroisse Notre-Dame des apôtres de la Patte d’oie à Ouagadougou. En plus des parents, amis et connaissances, des membres du gouvernement étaient là, ainsi que des anciens ministres comme Tertius Zongo, Alain Yoda. Des députés et des communicateurs ont honoré le nouveau couple de leur présence. C’est dans la plus grande ferveur religieuse, avec les bénédictions personnelles du Pape Benoît 16, dans sa lettre écrite au Vatican le 19 octobre 2011, que le fils de Béatrice Damiba et sa dulcinée ont été unis. Les évêques Thomas Kaboré et Wenceslas Compaoré ainsi que le père Jacques Simporé, recteur de l’Université Saint- Thomas d’Acquin (USTA), ont invité l’ingénieur architecte, à savoir Jean François, à bâtir avec son épouse sur le roc et non sur le sable. Ils ont, pour terminer, souhaité heureux ménage au couple et les ont invités à être un couple modèle pour les autres.

PARTAGER :                              

Vos commentaires

  • Le 24 octobre 2011 à 11:17, par j En réponse à : CONFIDENCES DU WEEK-END : Affaire Brafaso, les protagonistes devant le juge ce matin

    C’est bien comme procès mais qu’en est il de l’affaire Seydou Zagré de Koudougou qui a détourné des biens publics et violé la constitution en discriminant les Burkinabè (attribution systématique et sans procédure de biens publics à certains Burkinabè qu’il désigne comme riches au détriment de certains qu’il considère à priori comme pauvre et ne pouvant construire 10 toles en 10 ans.Il devait etre aux arrets.

  • Le 24 octobre 2011 à 13:45 En réponse à : CONFIDENCES DU WEEK-END : Affaire Brafaso, les protagonistes devant le juge ce matin

    J’ai cru comprendre que selon la règlementation du diocèse de Ouagadougou, il n’est pas permis à plusieurs prêtres de concélebrer une messe de mariage ! Et cette règlementation, si je ne me trompe, est pour limiter certaines injustices ! Pourquoi donc pour celui-ci il y a jusqu’à deux évêques et un prêtre ? Ou bien la règlementation n’est plus en vigueur ? Parce que rien que y a trois semaines, j’ai un promotionnaire qui s’est marié, il y avait plus de 10 prêtres promotionnaires à la messe mais ils n’ont pas pu concélebrer, règlementation oblige ! Que les règles soient donc bien claires et que tout le monde les respecte, ça y va de la crédibilité de nos autorités religieuses ! Merci

  • Le 24 octobre 2011 à 14:41, par walabi En réponse à : CONFIDENCES DU WEEK-END : Affaire Brafaso, les protagonistes devant le juge ce matin

    6 enfants à 26 ans ’’ABABA’’ j’espère que dans tout ca chacun aura fait son auto critique ;une coepouse peut elle assister sincèrement sa rivale ?de l’argent(40 BRIQUES même s’il n’a eu que 6 BRIQUE) pour la vie de quelqu’un,. C’est une nouvelle race de commerçant à venir

  • Le 24 octobre 2011 à 15:08 En réponse à : CONFIDENCES DU WEEK-END :

    Bonjour Monsieur ou Madame l’auteur de l’article intitulé : "Affaire Maternité Sylla Sanon : 3 millions d’amende et 6 mois ferme pour l’accoucheuse"

    Juste vous signaler une erreur(si je ne m’abuse) au niveau de l’identité de l’une des personnes mises en cause. Il s’agit, si mes informations sont justes, de : BAHAN/TANKOANO Salimata et non BAHAN/OUATTARA Salimata comme vous l’indiquez.

    En conséquence veuillez donner l’information juste et complète à vos lecteurs, en corrigeant. Il y va de votre crédibilité.Professionnellement ! Merci.

    Que l’ame de Sita TRAORE repose en paix et que la paix revienne en nos coeurs !

    Citoyen

  • Le 24 octobre 2011 à 15:09 En réponse à : CONFIDENCES DU WEEK-END : Affaire Brafaso, les protagonistes devant le juge ce matin

    Bonjour Monsieur ou Madame l’auteur de l’article intitulé : "Affaire Maternité Sylla Sanon : 3 millions d’amende et 6 mois ferme pour l’accoucheuse"

    Juste vous signaler une erreur(si je ne m’abuse) au niveau de l’identité de l’une des personnes mises en cause. Il s’agit, si mes informations sont justes, de : BAHAN/TANKOANO Salimata et non BAHAN/OUATTARA Salimata comme vous l’indiquez.

    En conséquence veuillez donner l’information juste et complète à vos lecteurs, en corrigeant. Il y va de votre crédibilité.Professionnellement ! Merci.

    Que l’ame de Sita TRAORE repose en paix et que la paix revienne en nos coeurs !

    Citoyen

  • Le 25 octobre 2011 à 16:03, par Tendaogo En réponse à : CONFIDENCES DU WEEK-END : Affaire Brafaso, les protagonistes devant le juge ce matin

    on s en fout des mariages pompeux.Ils st sources de divorce.vs les jounalistes la meme vous etes pr les riches ou pr les pauvres ?çes deux 2 mariages st des faits divers loin d un evenement.Parlez de la famine et d autres problem ki ns interesse.
    Eux au moins ils ont a manger .

 LeFaso TV
 Articles de la même rubrique
Développement : SOS pour la route Pouytenga-Bogandé
Portées disparues : Fati et Mounira ont été retrouvées