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On murmure : Le premier responsable de SOMITA interpellé

Publié le mercredi 24 août 2011 à 03h11min

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Kantigui ne laisse pas son lectorat indifférent, loin s’en faut ! En effet, il a encore reçu la visite du président de l’Association pour le développement du monde rural(ADMR), venu le remercier de son soutien à propos de son cri de détresse concernant la société minière de Taparko (SOMITA).
En effet, il est revenu à Kantigui que son écrit de la semaine dernière a permis une réaction de cette mine qui, pourtant, avait rompu toute communication avec l’ADMR.

Toutefois, cette association demande, par le canal de Kantigui, au premier responsable de cette société à s’impliquer personnellement pour résoudre le problème qui la « tenaille » depuis 2008.


Colère de la jeunesse de Titao contre un responsable d’association

Kantigui a eu vent de la grogne des jeunes de la commune de Titao. Selon les sources de Kantigui, la raison principale du courroux de la jeunesse s’explique par le fait qu’un dirigeant d’association de donneurs de sang bénévoles du Lorum (ADSBL) a, par le canal de la presse, tenté de ternir l’image de l’administration communale, partant du bourgmestre Jacques Boukary Niampa. Cette association a, en effet, à en croire les jeunes, tenté de faire endosser l’échec de son activité de sensibilisation et de don de sang à la mairie sous prétexte que l’hôtel de ville qui a refusé d’octroyer l’espace de la place de la nation de Titao qui, en réalité, était déjà programmé pour une activité religieuse le même jour et à la même heure. Selon les sources de Kantigui, les jeunes de Titao se disent indignés et réaffirment leur soutien à leurs élus locaux qui, pour eux, ont contribué au développement réel de la cité depuis l’avènement de la communalisation intégrale.

Kantigui a été informé qu’une marche de soutien des jeunes serait en préparation pour marquer leur adhésion aux actions de l’administration communale et au maire afin que ces derniers ne se laissent pas divertir dans la cité du phacochère. Kantigui suit la situation de près et ose tout simplement espérer que les humeurs des uns et des autres ne soient pas sources de tensions.


Axe Ouagadougou-Cotonou : silence, on raquette

Kantigui se fait l’écho du calvaire subi par des transporteurs burkinabè sur l’axe reliant les capitales burkinabè et béninoise.
Partie de Ouagadougou le 21 août 2011, une équipe de journalistes qui se rendait à Cotonou pour un voyage d’études a été témoin de l’abus des agents de sécurité béninoise sur les usagers de la route. De la frontière qui sépare les deux pays à Cotonou, il est revenu à Kantigui qu’une quarantaine de postes de contrôle a été dénombrée, où les transporteurs se devaient de verser la somme de 1000 à 2000 F CFA sans reçu et sans présenter un quelconque papier du véhicule. Kantigui qui a été mis au courant des faits, déplore cette situation d’autant plus que la libre circulation des personnes et des biens dans l’espace CEDEAO et l’intégration des peuples nous sont toujours ’’chantées’’ dans l’espace CEDEAO et l’UEMOA. Kantigui interpelle par conséquent les autorités compétentes à agir avec fermeté pour soulager les compatriotes qui empruntent régulièrement l’axe Ouagadougou-Cotonou.


www.tilojavideo.com pour des liens fraternels et familiaux solides

Kantigui a eu vent de l’avènement d’un site social pour valoriser les liens familiaux et amicaux dans le monde.
Il s’intitule : www.tilojavideo.com. Crée par un compatriote du nom de John Theophile Ilboudo résidant aux Etats- Unis, le site permet aux amis et aux familles à travers le monde de discuter, d’échanger des vidéos, des photos, de jouer à des jeux, d’écouter de la musique, etc.
Le site est en anglais, mais les francophones peuvent se connecter sans difficultés.


Courrier confidentiel, un nouveau journal en ligne

Kantigui a eu l’heureuse nouvelle portant création de Courrier confidentiel, un journal 100% électronique, accessible sur Internet, à l’adresse www.courrierconfidentiel.net. Selon les informations de Kantigui, courrier confidentiel est une publication indépendante d’enquêtes, animée par des journalistes professionnels. Il révèle, le 10 et le 25 du mois, des informations secrètes de la galaxie politique, du monde des affaires et du pouvoir judiciaire au Burkina Faso. Kantigui a ouïe dire que ledit journal publie aussi, outre ses deux parutions, des alertes sur des informations de haut niveau. Des informations croustillantes sont contenues dans le tout premier numéro du courrier confidentiel qui est en ligne sur l’adresse ci-dessus.


Conférences du MENA : une catégorie d’enseignants laissée pour compte ?

Il est parvenu à Kantigui que le ministère en charge de l’Education de base a fait, depuis la nuit des temps, du renforcement des compétences des agents, son cheval de bataille. Ainsi, a-t-on dit à Kantigui, à défaut de multiplier les stages de recyclage, le ministère sacrifie annuellement à la tradition des conférences.
Après la conférence pédagogique annuelle des enseignants en cours d’année scolaire, ce sont les encadreurs pédagogiques, à savoir les inspecteurs d’enseignement du premier degré (IEPD), les conseillers pédagogiques itinérants (CPI) et les instituteurs principaux (IP) qui se retrouvent pour échanger sur la problématique de la gestion de l’éducation de base dans le contexte de la décentralisation. Selon la source de Kantigui, c’est le personnel administratif qui ferme la boucle des conférences du MENA.Des indiscrétions parvenues à Kantigui laissent croire que le personnel enseignant des bureaux espère qu’à partir de cette année, il sera associé à cette dernière conférence.

En effet, Kantigui a été informé que depuis que ces derniers ont été invités à opter, soit pour la classe, soit pour l’administration dans le cadre des emplois spécifiques, ce type de personnel n’est comptabilisé, ni avec les enseignants, ni avec les agents administratifs.
De ce fait, ils sont expressément mis à l’écart des conférences. Du reste, ils s’interrogent sur leur sort, puisque depuis 2008, leur nomination dans les emplois spécifiques se fait toujours attendre. Kantigui a ouïe dire qu’ils ont les regards tournés vers le ministre de l’Education nationale et de l’Alphabétisation ainsi que celui de la Fonction publique, du Travail et de la Sécurité sociale afin qu’ils se penchent sérieusement sur cette question.


MCA-Burkina : un appel d’offres
à problèmes ?

Il y a quelques années de cela, le Burkina Faso a été élu par le Millenium Challenge Account (MCA) comme pays à programme devant bénéficier d’une importante enveloppe financière au titre de l’aide publique américaine au développement.
Kantigui a ouïe dire que le lancement, il y a peu de temps, par le MCA-Burkina, d’un avis d’appel d’offres international pour les travaux de construction de la route Dédougou-Nouna, frontière du Mali, pour une longueur totale de 143,7 km de bitume est sensé donner de l’espoir aux entreprises burkinabè désireuses d’y participer. Malheureusement, en feuilletant ledit appel d’offre, Kantigui a aperçu une clause, une seule clause et non des moindres, qui pourrait empêcher toutes les entreprises burkinabè d’y soumissionner. Il s’agit de la justification en bonne et due forme d’un chiffre d’affaires annuel moyen des activités d’un montant de quarante cinq millions 45.000 000 de dollars US, soit la contre-valeur d’environ 22,5 milliards de FCfA).

Kantigui, en regardant autour de lui, se rend compte que rares sont les entreprises burkinabè qui pourraient être éligibles quand bien même certaines restent capables d’exécuter les travaux en question. Par la voie de Kantigui, les entrepreneurs burkinabè appellent les autorités compétentes à demander à nos amis Américains de revoir sensiblement à la baisse cette clause afin d’offrir des chances aux entreprises burkinabè.


Une trouvaille de Radio Palabre pour les vacances

C’est la période des vacances scolaires et on ne compte plus les activités auxquelles s’adonnent les jeunes pour tuer le temps. Ayant constaté cela, Radio Palabre de l’Association Benebnooma de Koudougou a, selon les sources de Kantigui, initié un projet radio vacances dénommé « Fréquences Mômes ». Kantigui a ouïe dire que c’est un projet qui se propose d’organiser des ateliers de réalisation de reportage et de présentation d’émission (journal parlé) par des enfants de 12 à 18 ans, une cinquantaine, sous la supervision de l’équipe de Radio Palabre, du 15 août au 15 septembre 2011. Les émissions en question traitent des sujets liés au développement socio-éducatif, économique et culturel de la commune de Koudougou et de la région du Centre-Ouest.

Kantigui demeure convaincu que cet apprentissage va susciter des vocations tout en cultivant le goût de la communication par la radio chez les enfants. Kantigui souhaite bon vent à la trouvaille de cette radio pour le grand bonheur des vacanciers koudougoulais, mais surtout qu’elle ne s’arrête pas en si bon chemin.


Mécontentements à Pissila

Kantigui a ouïe dire que le 16 août 2011 le palais de justice de Kaya a été pris d’assaut par des hommes venus de la commune de Pissila à une trentaine de kilomètres de là.
Venus à moto ou dans des camions, ces hommes entendaient soutenir leurs concitoyens convoqués en premier ressort pour répondre des faits de destruction volontaire de bien publiques et privés lors d’une manifestation contre le maire de ladite commune.
Selon les sources de Kantigui, les forces de sécurité venus en maintient de l’ordre ont su, dans le dialogue, convaincre les manifestants qui sont repartis dans le calme.
Les auditions se sont donc déroulées sans problème. Kantigui se pose une question.

Etait-il opportun de traiter cette affaire ? Puisque le maire, déclaré persona non grata dans sa propre commune est toujours en concertation pour réintégrer la mairie. Cette manifestation n’est-il pas un signe que le dialogue sera difficile entre le maire, constitué, partie civile et la population ? Attendons de voir !


De la lumière du côté de la cité An IVB, s’il vous plaît !

Kantigui a constaté, au cours de sa randonnée nocturne, du côté de la cité An IVB, en face du siège de l’ONEA à Pissy, que certaines ampoules de l’éclairage public de la SONABEL n’éclairent plus cette cité.
La raison est que ces ampoules sont « grillées » et méritent donc que la SONABEL les remplace. Kantigui a ouïe dire que des démarches ont pourtant été entreprises par des résidents de la cité auprès de cette société à l’effet d’y remédier. Mais jusque-là, rien n’a été fait. Sans doute parce qu’il y a plus urgent que ça. Kantigui en convient ! La SONABEL a certes trop à faire, mais un bref détour dans cette cité avec quelques ampoules serait tout aussi salutaire. Alors, vivement que la lumière soit pour le bonheur des résidents de cette zone…

Kantigui

Sidwaya

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Vos commentaires

  • Le 24 août 2011 à 03:37 En réponse à : On murmure : Le premier responsable de SOMITA interpellé

    Il ne faut rien changer aux conditions pour cette route. C’est en faisant des arrangements qu’on se retrouve avec des goudrons préfabriqué comme c’est le cas de certaines routes à Bobo. Que ceux qui peuvent faire le travai le fassent. Nous voulons une bonne route.

    • Le 24 août 2011 à 10:25, par tièkadiyé En réponse à : On murmure : Le premier responsable de SOMITA interpellé

      Je suis d’avis avec vous M. Kantigui doit revoir sa copie. On sais que les journalistes de Sidwaya sont ce qu’ils sont et que l’on sait, mais, de grâce évitez nous un ènième massacre. Si une entreprise ne repond pas à ces critères arrêtés par des experts que je pensent plus compétents et indépendants que les nôtres, qui sont incapables de réaliser des études fiables pour la réhabilitation d’un aéroport, alors qu’elle en soit écartée de ce marché.

      Il ne faut pas vouloir une chose et sont contraire. Ou l’on désire l’excellence et on se plie aux contraintes y afférentes, oubien on continue dans notre médiocrité et notre malgouvernace.

  • Le 24 août 2011 à 03:58, par le bon citoyen En réponse à : On murmure : Le premier responsable de SOMITA interpellé

    Bonjour à tous,

    Je pense que cette affaire d’appel d’offre nous révèlera qu’est ce que nos entreprises déclarent comme chiffres d’affaires. Vous n’allez pas me dire malgré la quantité de routes bitumées qui ont été faites ces derniers temps au Burkina, il y a des entreprises qui ont exécuté cela sans avoir le CA de 22 milliards. Par exemple l’entreprise qui a réalisé le tronçon Echangeur – sortie de Bobo pour 17 milliards peut elle déclaré autres chose ?
    Que le MCA maintient le cap et on verra qui au juste au Burkina est une entreprise digne de ce nom.

    Qui est pris qui croyait prendre.

  • Le 24 août 2011 à 09:39, par RamsesII En réponse à : On murmure : Le premier responsable de SOMITA interpellé

    Le chiffre d’affaires exigé dans les dossiers d’appel d’offres (DAO) est fonction du coût estimatif des travaux. Vu la longueur de la route à bitumer, on peut penser que ce coût est élevé, ce qui pourrait justifier le niveau du chiffres d’affaires demandé.

    Dans tous les cas, les entrepreneurs ont la possibilité de porter plainte devant l’Autorité de regulation des marchés publics, s’ils estiment qu’un critère du DAO est discriminatoire.

  • Le 24 août 2011 à 09:40, par YORO En réponse à : On murmure : Le premier responsable de SOMITA interpellé

    Merci à Kantigui pour le travail d’information fait ; mais que dis-tu de la cour du CHRU Yalgado qui est désespérément sombre, faute d’éclairage ; voyez seulement du côté de la maternité !

  • Le 24 août 2011 à 09:41 En réponse à : On murmure : Le premier responsable de SOMITA interpellé

    Si on avait respecté des règles aussi strictes, une certaine belle-mère n’aurait pas eu pour chantier l’une des voie les plus importantes de la capitale du Burkina. A peine créée, son entreprise se voit attribuée un marché de 14 milliards de FCFA (porté ensuite à 17 milliards). Voici les conséquences ! Il faut tirer la société vers le haut et ne pas rester dans les petits débats

  • Le 24 août 2011 à 10:54, par tigré En réponse à : On murmure : Le premier responsable de SOMITA interpellé

    on ne va rien revoir.
    je suis suis sur que les entreprises n’ont rien demandé mais l’etat lui meme afin qu’ils se partagent le jackpot comme d’ab.
    il faut que nos entrepreneurs grandissent et abandonnent certaines pratiques.on peu pas contunier a gaspiller l’argent du contribuable sur des gens qui ne veulent pas bien travailler.j’ai mal quant je prend la route de Pissy ;les routes du projet zaka qui sont degradés alors que le projet n’a meme pas veritablement demarré ;l’avenue 56 qui as du mal a etre terminé.ca vous coute quoi de bien travailler.un travail mal fait ratrape toujours meme 1000 ans.

  • Le 24 août 2011 à 11:20, par tièkadiyé En réponse à : On murmure : Le premier responsable de SOMITA interpellé

    Je suis d’avis avec vous M. Kantigui doit revoir sa copie. On sait que les journalistes de Sidwaya sont ce qu’ils sont et que l’on sait. Mais, de grâce évitez nous un ènième massacre. Si une entreprise ne repond pas à ces critères arrêtés par des experts que je pensent plus compétents et indépendants que les nôtres, qui sont incapables de réaliser des études fiables pour la réhabilitation d’un aéroport, alors qu’elle en soit écartée de ce marché.

    Il ne faut pas vouloir une chose et sont contraire. Ou l’on désire l’excellence et on se plie aux exigences y afférentes, oubien on continue dans notre médiocrité et notre malgouvernace.

  • Le 24 août 2011 à 12:12, par L’Aigle noir En réponse à : On murmure : Le premier responsable de SOMITA interpellé

    Il faut même durcir davantage les conditions d’accès à certains marchés pour éviter que des "boutiquiers" se disant "nopérateurs économiques" ne sapent nos travaux.

  • Le 24 août 2011 à 12:27, par le bon citoyen En réponse à : On murmure : Le premier responsable de SOMITA interpellé

    Bonjour à tous,

    Que le journaliste revoit son titre, car à mon sens, ce n’est pas l’appel d’offre qui est à problème c’est nos entreprises qui ont des problèmes. Avec les combines qu’elles sont habituées à faire ici, elles ne savent pas que ç ne les grandit pas.

    Je pense que cette affaire d’appel d’offre nous révèlera ce que nos entreprises déclarent comme chiffres d’affaires. Vous n’allez pas me dire malgré la quantité de routes bitumées qui ont été faites ces derniers temps au Burkina, il y a des entreprises qui ont exécuté cela sans avoir le CA de 22 milliards. Par exemple l’entreprise qui a réalisé le tronçon Echangeur – sortie de Bobo pour 17 milliards peut elle déclaré autres chose ?
    Que le MCA maintient le cap et on verra qui au juste au Burkina est une entreprise digne de ce nom.

    Qui est pris qui croyait prendre.

  • Le 24 août 2011 à 19:01, par SAKSIDA En réponse à : On murmure : Le premier responsable de SOMITA interpellé

    FELICITATIONS ET FELICITATIONS pour cette mesure salutaire. C’est là que l’on comprendra que la rigueur et serieux sont indispensables dans le developpement. Voulez vous me dire que dans le Burkina Faso, il n ya pas d’entreprises capables de postuler à cet appel d’offre. Cette affaire de copain, d’amis, de favoritisme est terminée. C’est même triste que ce soit le MCC qui exige une telle mesure. Regardez la valeur du marché, son impact, on ne peut pas permettre aux constructeurs de petites cases d’accéder à ce marché. Il faut même durcir la mesure et on saura au Burkina faso les vraies entreperises. Chacune postule à ses capacités réelles et on ne peut pas demander à un constructeur de pistes rurales de prendre part à ce genre de marché. Cette fois-ci Kantigui a manqué de logique. On se rappelle ces goudrons qui s’envolent comme de la poussière dès le passage du premier vehicule ou moto. Alors de grace, laisser au moins les responsables du MCC appliquer la rigueur au bonheur des passagers du troncon.

  • Le 24 août 2011 à 23:20, par Domingo En réponse à : Appel d’offre MCA

    Ceux qui tiennent a ce que les entreprises burkinabe realisent les chantiers de bitumage routiers n’ont rien compris. Le Burkina a les reseau routier le plus mal bitume. L’Entreprise Kanazoe n’a fait que du bordel au fil des ans.C’est maintenant le tour de Alizeta Gando et de Kadafi. Tout ca pour s’arranger entre copins et se partager des commissions au dos des populations.

    Aller voir les routes bitumees au Mali, au Niger, en Cote d’Ivoire, au Ghana... Pauvre Burkina dirige par des incultes.

  • Le 25 août 2011 à 04:53, par mamiko En réponse à : On murmure : Le premier responsable de SOMITA interpellé

    bsr a tous il ne faut rien changer aux conditions pour soumissionner a ce marché on est fatigué

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