Selon certaines indiscrétions, le préfet boxeur ne serait pas à son premier forfait et chercherait à se débarrasser de sa femme pour se rapprocher d’une autre, commerçante de son état. L’homme aurait même abandonné le lit conjugal et ne rentrerait qu’à 6h du matin. A en croire ce qui est rapporté à Kantigui, des femmes qui ont vécu la scène auraient décidé de porter l’affaire auprès des supérieurs hiérarchiques de l’agresseur.

SNI 2011 : pour un ancrage du « e-gouvernement » au Burkina

Kantigui a ouï dire que la 7e édition de la Semaine nationale de l’Internet et des autres TIC (SNI), qui se tient du 3 au 11 juin prochain, porte sur le thème : « e-gouvernement ». La SNI 2011 se veut être donc une volonté renouvelée du gouvernement burkinabè de promouvoir le « e-gouvernement ». De la définition parvenue à Kantigui, l’e-gouvernement (ou gouvernement électronique ou encore administration en ligne) décrit l’utilisation des Technologies de l’Information et de la communication (TIC) par les administrations publiques pour rendre les services publics plus accessibles aux citoyens et aux entreprises et améliorer aussi le fonctionnement interne de l’État.

Il s’agit d’une autre façon, de travailler qui met à profit l’utilisation des TIC pour forger une administration publique plus transparente et plus efficace. En mettant en ligne des services offerts par l’administration et en permettant aux citoyens d’y accéder, sans avoir à se déplacer, c’est le pays tout entier qui gagne en temps et en productivité.

Kantigui a eu l’assurance qu’en plus des réflexions sur l’e-gouvernement, la SNI 2011 annonce des activités traditionnelles comme la campagne d’initiation à l’utilisation d’internet et des autres TIC, le Salon international des TIC de Ouagadougou (SITICO), la journée sans papier et celle des logiciels libres. Et comme à toutes les éditions, la semaine prendra fin avec la nuit des TIC, une soirée de récompenses des meilleurs sites web, ainsi que du génie logiciel. Kantigui ne peut que souhaiter bon vent à cette manifestation organisée par le ministère des Transports, des Postes et de l’Economie numérique qui contribue, chaque année, davantage à la promotion et à la vulgarisation de l’internet et des autres TIC.

Bientôt une journée sans papier

Kantigui a eu l’assurance qu’en plus des réflexions autour du e-gouvernement, la SNI 2011 annonce des activités traditionnelles comme la campagne d’initiation à l’utilisation d’internet et des autres TIC, le Salon international des TIC de Ouagadougou (SITICO), la journée sans papier et celle des logiciels libres. Et comme à toutes les éditions, la semaine prendra fin avec la nuit des TIC, une soirée de récompenses des meilleurs sites web ainsi que du génie logiciel. Kantigui ne peut que souhaiter bon vent à cette manifestation organisée par le ministère des Transports, des Postes et de l’Economie numérique qui, contribue chaque année davantage, à la promotion et à la vulgarisation de l’internet et des autres TIC.

Christophe Dabiré reconduit commissaire de l’UEMOA

Kantigui a appris avec satisfaction, la nomination lundi dernier à Lomé, de Christophe Joseph Marie Dabiré comme commissaire pour le Burkina Faso au sein de la Commission de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA). Ancien commissaire de l’UEMOA, ancien ministre des Enseignements secondaire et supérieur et de la Santé, ancien député, Christophe Dabiré a tout simplement été reconduit aux côtés des sept (7) autres commissaires du Bénin, de la Côte d’Ivoire, de la Guinée-Bissau, du Mali, du Niger, du Sénégal et du Togo. En attendant la nomination d’un nouveau président, en remplacement du sortant Soumaïla Cissé, Kantigui souhaite bon vent aux nouveaux commissaires.

Des hôtesses et restaurateurs de Ziniaré mécontents

De passage à Ziniaré, Kantigui a entendu des révélations qui frustrent plus d’un. Selon des informations parvenues à Kantigui, le choix des hôtesses à Ziniaré lors des cérémonies n’incombe plus au service du protocole. Lors des cérémonies, c’est l’autorité elle-même qui établirait la liste des hôtesses et appellerait personnellement certaines au téléphone pour qu’elles viennent faire la prestation. Pourtant, une source digne de confiance a signifié à Kantigui qu’un groupe d’hôtesses a été formé par le protocole d’Etat, au bénéfice de la province. Mais ce qui étonne, c’est que ces hôtesses formées ne figureraient jamais sur la liste de l’autorité. Celles-ci se demandent pourquoi après tant de prestations, elles sont reléguées au second plan. Sont-elles incompétentes ? Sont-elles peu présentables ? Que se passe-t-il ? Autant de questions que se posent des hôtesses. Kantigui a par ailleurs, été surpris d’apprendre que c’est la même situation du côté de la restauration. La même autorité aurait accordé le monopole à un seul restaurateur. Pour tout atelier organisé dans la cité, l’autorité aurait exigé que le marché soit attribué à ce restaurateur. D’aucuns se demandent alors, si la libre concurrence est désormais prohibée avec cette autorité. M. l’autorité, n’avez-vous plus besoin des services du protocole d’Etat ?

Des dégâts matériels à Kaya, des blessés à Dori

Il est revenu à Kantigui que les récentes manifestations des militaires à Kaya et à Dori auraient occasionné des dégâts matériels et quelques blessés. Du côté de Kaya, les militaires mécontents auraient visité l’Etat-major de la 1re région de gendarmerie où ils auraient cassé le téléviseur. Les pandores de garde, tous étonnés par le comportement de leurs frères d’armes, auraient assisté sans rien dire aux actes de leurs hôtes qui, après quelques fouilles, se sont déportés au foyer du soldat. Là, ils auraient vidé les réfrigérateurs de leurs contenus. A quelques centaines de kilomètres plus loin précisément, dans le chef-lieu de la région du Sahel, les tirs des militaires mécontents auraient blessé trois personnes dont deux seraient encore hospitalisés. On a vu dans un passé récent, des familles perdre leurs membres à la suite de crépitements d’armes, d’autres ont même perdu leur unique fils. Kantigui appelle vivement les vaillants hommes en armes à savoir raison garder. Vous savez tous que chaque crépitement d’arme peut provoquer la mort, alors Kantigui vous supplie tous, évitez autant que possible, de tuer d’innocentes personnes qui sont, malgré tout, vos frères et sœurs burkinabè.

Kantigui

Sidwaya