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POT-POURRI : Zondoma, deux écolières se noient dans des puits

Publié le vendredi 27 mai 2011 à 02h39min

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Le mercredi 25 mai 2011, pendant que les enseignants étaient en grève, deux écolières se sont noyées dans des puits à Niességa dans la commune de Gourcy et à Tougo ( localité située à 30 km de Gourcy). A Niességa, il s’agit de Rosalie Ouédraogo, 9ans, en classe de CP2 à l’école ’’A’’ dudit village. Elle serait partie à la cueillette de mangues avant de se retrouver au fonds d’un puits maraîcher, sans margelle, d’une profondeur d’environ 11mètres avec une hauteur d’eau de 2m70. Après des heures de recherche, c’est le géniteur de la victime qui aurait fait cette découverte macabre à l’aide d’un grappin. A Tougo, la victime se nomme Fatimata Romba, 7 ans, élève en classe de CP1 à l’école ’’B’’ de la localité. Partie à la recherche d’eau, son corps sans vie a été extrait d’un puits à grand diamètre d’une profondeur de près de 24m50.

Certains témoignages affirment que la corde était courte pour atteindre le niveau de l’eau et c’est en se penchant davantage qu’elle aurait perdu l’équilibre. D’autres pensent que la puisette était trop lourde pour elle, ce qui aurait entraîné sa chute. Une fois de plus, les autorités locales sont interpellées quant à l’insécurité grandissante autour de ces puits dont les victimes sont généralement des femmes.


Bobo-Dioulasso : un débiteur bat l’enfant de son créancier

Le mercredi 18 mai 2011, "Le Pays" a reçu à son agence de Bobo-Dioulasso, un jeune homme du nom de Brade Camara, accompagné d’un de ses proches. « Nous sommes venus vous raconter un fait divers qui s’est passé chez nous à Bendougousso, secteur 17. C’est toute une famille qui s‘est ruée sur l’enfant de son créancier et l’a battu jusqu’à le blesser. Au commissariat, le débiteur et sa famille refusent de payer les soins de leur victime afin de résoudre le différend à l’amiable. Ils sous-tendent que leur parti, le CDP, a les moyens, des juges et avocats pour défendre leur dossier". Telle a été la déclaration du prénommé Brade.

Déporté dans la famille de la victime (puisque nous n’avons aucune coordonnée de l’autre partie, le débiteur), nous avons vu un jeune garçon avec du sparadrap sur la tête, des blessures sur le bras et à la gorge. Le jeune, du nom de Ibrahim Ouédraogo, aurait été celui-là qui a été battu par le débiteur et ses complices. Le père de la victime, Abdoulaye Ouédraogo, qui est le créancier en question, a précisé que l’affaire date d’avril 2011. « C’est un soi-disant maçon du nom de Zakaria Dama qui m’avait proposé la somme de 45 000 F pour crépir ma maison. Ayant payé une avance de 10 000 F, je me suis rendu compte qu’il n’avait pas la compétence. Il a été porté disparu à la suite des remarques que je lui ai faites. J’ai saisi son père pour trouver une issue. J’ai proposé que l’enfant me retourne la moitié de la somme versée (5 000 F CFA).

Chose conclue, j’ai envoyé mon fils (le blessé) le 5 mai 2011 pour entrer en possession de mon argent. C’est ainsi qu’il a été battu dans un premier temps. Je n’ai pas réagi, et j’ai même grondé mon enfant battu. Le 13 mai dernier, alors que l’enfant allait au terrain de football pour y jouer au ballon, Zakaria et sa famille l’ont intercepté de nouveau et l’ont copieusement battu. N’eût été le secours d’un douanier et d’un militaire qui étaient de passage, l’enfant aurait succombé », a détaillé le père. Ils ajoutèrent que le créancier et ses complices menaçaient de le tuer sans courir de risques, car leur parti le CDP dispose de tous les moyens pour trancher les choses en leur faveur. Abdoulaye Ouédraogo a donc porté plainte contre son créancier pour coups et blessures volontaires sur son fils. Au commissariat, la police aurait suggéré que les accusés remboursent les frais des soins, afin que l’affaire soit résolue à l’amiable. Mais ceux-ci auraient refusé, selon leurs propres dires, et sont prêts pour que l’affaire aille au tribunal.


Nouveau bureau de l’Assemblée nationale : Naboho Kanidoua reconduit à son poste de 1er vice-président

L’Assemblée nationale s’est réunie le 26 mai 2011 en séance ordinaire aux fins d’élection du nouveau bureau. Au terme de cette séance présidée par le président de l’Assemblée nationale (AN), Roch Marc Christian Kaboré, le député Naboho Kanidoua a été reconduit à son poste de 1er vice-président de ladite institution. Ce nouveau bureau a été mis en place sur la base d’un consensus entre les différents groupes parlementaires. Certains des élus, à l’image du 1er vice-président, Naboho Kanidoua du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP) et le 5e vice-président, Bassière Batio Nestor de l’Alternance-Démocratie-Justice (ADJ) ont, tout en remerciant leurs bases pour leurs propositions, promis d’être à la hauteur de la tâche qui leur sera confiée.

Le bureau en intégralité

1er vice-président : Naboho Kanidoua (CDP) 2e vice-président : Aline Koala/Kaboré (CDP) 3e vice-président : Idrissa Adiouma Thiombiano (ADF/RDA) 4e vice-président : Gouem Laléyan dit Saïdou (CFR) 5e vice-président : Bassière Batio Nestor (ADJ)

Poste des secrétaires parlementaires

1er : Sawadogo/Ouédraogo M. Blandine (CDP) 2e : Sorgho Tarbala Victor CDP) 3e : Drabo Kanyoulou Joséphine (ADF/RDA) 4e : Bonkoungou Oumarou (CDP) 5e : Tou/Héma Makoura (CFR) 6e : Yerbanga/Ouédraogo Eulalie (CDP) 7e : Bamouni BessinValentine (ADJ) 8e : Lompo Pagari Christophe (CDP).

Poste de questeurs

1er : Kélem Blaise Lambert 2e : Ouattara Benoît


Centre hospitalier universitaire de Bobo : les stagiaires internes en sit-in contre le manque de matériel

Les étudiants en 7e année de médecine, venus de Ouagadougou pour leur stage pratique au Centre hospitalier universitaire de Bobo, sont en sit-in de 48 heures renouvelables depuis le lundi 23 mai 2011. Comme revendication, ils exigent un minimum de matériel de travail pour leur formation continue.

Ils sont plus d’une vingtaine de stagiaires internes du Centre hospitalier universitaire Souro Sanou (CHUSS) de Bobo à observer 48 heures de suspension des actvités hospitalières et de la garde depuis le lundi 23 mai 2011. L’objectif de ce mouvement qui est reconductible jusqu’à l’obtention de gain de cause est d’exiger de meilleures conditions de travail pour leur permettre de poursuivre sereinement leur stage pratique. Etudiants en 7e année de médecine pour certains, en 8e année ou en phase de préparation de la thèse de doctorat pour d’autres, ils se disent confrontés à d’énormes difficultés au CHUSS de Bobo. Pénurie des supports adaptés pour les dossiers médico-cliniques des patients, manque de bulletins d’examens et d’ordonnanciers, quasi- inexistence de bilans biologiques et radiologiques en urgence sont là quelques difficultés énumérées pour justifier leur exaspération.

Malgré les interpellations des responsables des différents services et du directeur des qualités de soins, la situation est restée en l’état et la formation de ces jeunes médecins reste hypothétique. "Nous ne revendiquons pas de l’argent, ni de la nourriture. Nous voulons seulement le matériel pour travailler comme nos camarades de Ouaga. Nous ne voulons pas que les gens pensent que nous sommes simplement en grève pour laisser les patients dans la souffrance", ont fait savoir les stagiaires qui ont été envoyés dans cet hôpital en février 2011. Selon des indiscrétions, ces jeunes médecins s’apprêtent à retourner à Ouaga pour continuer leur stage si une oreille attentive n’est pas prêtée à leurs préoccupantions.


Gourcy : un responsable d’association aux arrêts

Le responsable d’une association basée à Gourcy (province du Zondoma) a maille à partir avec ses collaborateurs et les populations des zones d’intervention de sa structure. Tout serait parti d’une plainte de ces populations la semaine dernière au haut-commissariat puis à la brigade territoriale de gendarmerie au sujet de micro-crédits qui leur auraient été promis depuis belle lurette moyennant une garantie en espèces. Quant aux collaborateurs, ils réclameraient des prises en charge et salaires impayés. Aux dernières nouvelles, ’’l’indélicat’’ serait entre les mains du procureur du Faso, près le tribunal de grande instance de Ouahigouya.


Compliment et coup de gueule d’un lecteur

Dans le courrier ci-dessus qu’un internaute nous a envoyé, il félicite les Editions "Le Pays" pour le travail abattu et exprime du même coup sa préoccupation sur l’électrification du secteur 30 de Ouagadougou.

"Bonjour Monsieur le Directeur Général des Editions "Le Pays" et merci pour l’effort constant que vous ne cessez de déployer pour être la voix des sans-voix que nous sommes afin que l’information parvienne à quiconque, où qu’il se trouve. Courage dans vos actions quotidiennes et que le Tout-Puissant vous donne la santé et la force de toujours nous servir. Je suis un résident du secteur 30 de Ouaga et plus précisément du quartier Balkuy. Ma préoccupation porte sur l’électrification de cette partie du secteur. Voilà bientôt plus de deux ans que les travaux d’électrification ont commencé et cela quelques mois après ceux de l’adduction d’eau. Bravo à ces deux sociétés car depuis leur venue, la physionomie du quartier à changé fondamentalement.

Mais la manière de procéder de ces sociétés nous laisse penser que leur premier souci n’est pas de servir toute la population. Sinon, comment comprendre que dans le même quartier, les uns aient l’eau et le courant depuis deux ans pendant que les autres se demandent à quand ce droit leur sera accordé (on nous dira que c’est la faute de l’entrepreneur ; mais c’est quand même un contrat et les termes y sont bien définis). Pour le cas précis de la SONABEL, ces temps-ci, nous assistons à la reprise des travaux d’implantation des poteaux électriques un peu partout sauf dans notre six- mètres, dans la section 805 du côté du bas-fond nous séparant de Karpala. Peut-être que d’autres sections connaissent le même problème.

Si nous avons tenu à le souligner à Monsieur KI, le nouveau Directeur Général à qui nous souhaitons la bienvenue et surtout bonne chance, c’est parce que nous avons été délaissés de la même manière par l’ONEA, et pendant près de deux ans. Monsieur le Directeur Général, faites de nos préoccupations les vôtres car vous n’êtes ni novice, ni étranger dans cette société où les travailleurs ont accueilli avec satisfaction votre nomination. Bon vent à vous afin qu’on puisse dire d’ici peu à Balkuy que la SONABEL est réellement devenue belle !"


Revendications syndicales : le SYNATEB durcit le ton à Yako

Les militants du SYNATEB, section du Passoré, ont répondu massivement au mot d’ordre de leur bureau national qui a consisté à organiser des sit-in devant les DPENA et les CEB de leurs localités respectives et ce depuis le lundi 23 mai 2011. Ainsi, c’est devant la DPENA du Passoré à Yako que nombre d’entre eux ont campé depuis lundi dernier. La revendication est unique : "avancer tous les enseignants sans condition de notes", nous a confié Aurélien Ouédraogo, SG de la section. Les militants ont procédé à la fermeture de la DPENA après avoir été reçus par le patron des lieux qui n’a pas été entendu par ses interlocuteurs. Puis, les couleurs ont été descendues avant que les CEB de Yako I et II ne connaissent le même sort.

Toutefois, dans la région du Nord, le mot d’ordre ne s’est pas limité à ces actions. A entendre M. Ouédraogo, la coordination régionale a décidé de fermer manu militari toutes les écoles de la commune et celles environnantes. A l’heure où nous tracions ces lignes, les manifestants sont toujours campés sur leur position du lundi, attendant les nouvelles instructions du bureau national.


CEB Yako II : Lilbouré remporte la finale foot 2011

La finale foot, édition 2011 de la CEB de Yako II, s’est jouée le samedi 21 mai sur le terrain de l’école Yako mixte. Opposée à Bouria, Lilbouré s’est imposée sur le score de 3 buts à 1, à l’issue des 60 minutes de jeu. Avant le coup d’envoi, le chef de la circonscription et le président du comité d’organisation ont loué l’esprit de sacrifice des différents acteurs, ce qui a permis la tenue de cette manifestation sportive très importante pour l’épanouissement des élèves, malgré un manque crucial de moyen. D’ailleurs, l’édition 2011 s’est déroulée sans parrain et il a fallu que les Associations des parents d’élèves et les enseignants, chacun à son niveau, mettent la main à la poche pour que les meilleurs en foot comme en athlétisme puissent être primés.


BLOC-NOTES

Conférence sur le thème "La gestion du foyer musulman" le 29 mai 2011 de 8h à 16h à la Maison de la femme de Ouagadougou dans le cadre de la journée de la famille musulmane du CERFI/Kadiogo.

Le Pays

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Vos commentaires

  • Le 27 mai 2011 à 05:43, par Simpore depuis Hollywood aux Etats Unis d"amerique (USA) En réponse à : POT-POURRI : Zondoma, deux écolières se noient dans des puits

    il faut interdire les puits sur toute l’etendu du territoire au burkina. les gens ont l’argent pour boire mais pas pour payer l’eau courante. les puits de devraient pas existes au 21 eme siecle. quand meme !!!! meme quand on est pauvre on fait un effort. un peu de dignite ne tue pas le pauvre

    • Le 27 mai 2011 à 17:47, par Mètuor Somda En réponse à : POT-POURRI : Zondoma, deux écolières se noient dans des puits

      Connais-tu la zone couverte par l’ONEA ? faut éviter de vous moquer ainsi de nos braves populations ; souhaitons plutôt une meilleure protection des bords des puits

    • Le 28 mai 2011 à 02:33 En réponse à : POT-POURRI : Zondoma, deux écolières se noient dans des puits

      il faut eviter de repondre a ce genre personne(Simpore des USA)en manque d’attention

    • Le 28 mai 2011 à 13:26, par Bakarijan En réponse à : POT-POURRI : Zondoma, deux écolières se noient dans des puits

      Cessons d’interpeller les autorités et assumons notre responsabilité parentale. Les autorités auront beau sécuriser les puits ; si nous n’assumons notre responsabilté des drames DE CE GENRE surviendrons toujours.

      Oui disons le, c’est de l’irresponsabilité des parents que nous sommes qui est en cause. Envoyer un enfant de 7 ans ( s’il vous plait) puisser de l’eau dans un puits à grand diamètre et s’asseoir dire que si DIEU le veut rien ne va lui arriver, c’est de l’irresponsabilté. la réparation de ces genres d’actes incombe plus aux citoyens qu’aux autorités.
      Paix aux âmes de ces inoncents : d’autres meurent par des balles perdues des inconscients et d’autres par démission des parents.
      L’UNICEF est ainsi interpellé car la terre du FASO n’est pas aussi sécurisant pour les petits anges.
      A voir ces petits anges traverser les voies, faaufilans entre les deux roues sur le chemin de la quête du savoir on a souvent un pincement là où il le faut et même des frissons aux trips.
      dur, dur de grandir au burkina
      Il faut réellement être du hoolywood pour penser qu’on peut se passer des puits, du moins au burkina faso

    • Le 28 mai 2011 à 16:03 En réponse à : POT-POURRI : Zondoma, deux écolières se noient dans des puits

      “@Simpore depuis Hollywood aux États Unis d"Amérique”
      et dis t’es pas un Burkinabé pour dire ça toi ou t’es vraiment parti depuis trop longtemps..
      même moi qui ne me suis rendu au Burkina qu’une fois, je sais que dans les villages parfois le seul approvisionnement en eau c’est le puits.
      oui faudrait sécuriser les puits et surtout une volonté politique réelle pour améliorer l’accès à l’eau.

  • Le 27 mai 2011 à 06:41, par bonjour En réponse à : POT-POURRI : Zondoma, deux écolières se noient dans des puits

    Jusqu’à présent, il y a des gens qui n’ont pas compris que le pays est en plein bouleversement socio-politique et qu’avancer la thèse "je suis du CDP donc j’ai des soutiens, et je suis fort" ne marche plus.
    Finalement, on a l’impression que certains militants au CDP sont des tortionnaires, des violents. Donc CDP,on peut faire du mal et du tord à votre nom sans rien craindre.
    Les gars, ouvrer l’oeil car le CDP tout puissant nous a conduit où ?
    Donc ne vous cacher pas derrière le CDP pour foutre le bordel au Faso.

  • Le 27 mai 2011 à 14:05, par cheicklamenace En réponse à : POT-POURRI : Zondoma, deux écolières se noient dans des puits

    "interdire les puits sur tout l’étendu du Burkina" quelle bêtise !!!!!!!!!!!! mr hollywood dite moi que vous êtes pas sérieux la ? il faudrait juste sensibiliser d’avantage la population rurale et améliorer les conditions de sécurités autours de nos puits.

  • Le 27 mai 2011 à 17:55, par Le Porte Parole du Peuple (PPP) En réponse à : POT-POURRI : Zondoma, deux écolières se noient dans des puits

    "Ils ajoutèrent que le créancier et ses complices menaçaient de le tuer sans courir de risques, car leur parti le CDP dispose de tous les moyens pour trancher les choses en leur faveur".

    Chers responsables du CDP, il est temps que vous rappeliez à l’ordre vos camarades (tous militants du CDP sans exception, y compris vous-mêmes) en ce qui concerne certains de leurs agissements pas catholiques. J’ai l’impression que vous n’avez pas encore compris que le Peuple ne veut plus que désormais le Burkina soit gouverné comme de par le passé.

    Rappelez-vous de ce qui est arrivé au parti de l’ex président tunisien, Ben Ali, à savoir le RCD.
    A bon entendeur, salut !
    Œuvrons tous pour l’Intérêt Général du Peuple.

    Le Porte Parole du Peuple (PPP)

  • Le 27 mai 2011 à 19:07, par Tomos En réponse à : POT-POURRI : Zondoma, deux écolières se noient dans des puits

    Le forum n’est pas fait pour dire des bétises monsieur de Hoolywood.

    Etes vous déja aller dans un village du Burkina Faso ? C’est mieux que tu ne revienne plus au Faso. faut rester là bas.

    Il faut plutot interdire aux parrents d’envoyer les enfants de moins de 10 ans au puits sans accompagnant.

  • Le 28 mai 2011 à 02:20, par Toronto En réponse à : POT-POURRI : Zondoma, deux écolières se noient dans des puits

    mr hollywood. Ton raisonnement un null. j’eassai de te comprendre tu n’a jamais fait un tour ds ton village et tu n connai rien de la pauvrete .L’onea , onea ? penses tu que l’onea couvre toute la nation ? rien qu’a Ouaga il ya des familles qui n’ont pas acces a l’onea. donc fo reflechir 2 fois avant d’ecrir du n’importe qoi.

  • Le 28 mai 2011 à 11:37, par kokou En réponse à : POT-POURRI : Zondoma, deux écolières se noient dans des puits

    Monsieur Simpore de Hollywood, c’est vraiment très naif de votre part de croire qu’on peut supprimer les puits au BF. Ou bien vous êtes de mauvaise foi ou bien vous êtes complètement perdu après tant d’années vécues hors du pays. Et en ce moment il serait mieux pour vous de ne même plus revenir au Faso comme l’a dit un précédent intervenant. Revenez sur terre SVP !

  • Le 30 mai 2011 à 13:53 En réponse à : POT-POURRI : Zondoma, deux écolières se noient dans des puits

    aussi bien qu’on prend sonin de son rejeton en famille bien serait de prendre soin des enfants qu’on encadre. j’accuse sans ambages ces enseignant qui ont délaissé ces momes dans la brousse au point que mort s’en suive.

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