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COLONEL SAYE ZERBO, ANCIEN PRESIDENT DU BURKINA : "La politique est un art hautement humain"

Publié le vendredi 6 mai 2011 à 20h41min

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Le président Saye Zerbo est un miraculé sous la Révolution, sa vie n’a tenu qu’à un fil. Dans cet entretien-témoignage, il revient sur une page peu connue de l’histoire du Burkina, celle de ses relations houleuses avec le président Thomas Sankara.

Le Pays : 50 ans d’indépendance pour notre pays. Y a-t-il des souvenirs que vous souhaiteriez raconter au Peuple burkinabè ?

Colonel Saye Zerbo :
- La création de l’Armée nationale voltaïque ;
- Ma première mission en tant que Commandant de Compagnie ;
- Règlement du premier conflit frontalier Haute-Volta - Mali par voie diplomatique, en tant que ministre des Affaires étrangères ;
- Le 3 Janvier 1966 ;
- Le pourquoi du 25 Novembre 1980 par le Comité militaire de redressement pour le progrès national (CMRPN) ;
- Cause profonde des dissensions au sein du CMRPN : "L’ethnicisme" pour ne pas dire le racisme.

Vous avez joué un rôle de premier plan au Burkina en tant que président de la Haute-Volta aujourd’hui Burkina Faso. Pourquoi avez-vous quitté la scène politique depuis que vous n’êtes plus aux affaires ?

Depuis mon jeune âge (16 ans), j’ai voulu être militaire comme mon père. C’est ainsi que je suis passé par les écoles d’enfants de troupe de Kati (Soudan Français, actuel Mali) et de Saint-Louis au Sénégal. Pour ensuite fréquenter les écoles militaires supérieures en France : Cours de capitaine à Saint¬-Maixent, Ecole d’état-major et Ecole supérieure de guerre à Paris. Donc, ce sont les circonstances de la vie qui ont fait que j’ai assumé des fonctions politiques (Ministre des Affaires étrangères et chef de l’Etat).

Que retenez-vous du pouvoir politique aujourd’hui ?

Rien d’autre que lui souhaiter bon vent et pleine réussite dans la voie démocratique.

Vous avez été renversé par de jeunes officiers aidés par certains de vos collaborateurs. Quelle était la cause profonde des dissensions au sein du CMRPN qui était pourtant bien accueilli par les populations ?

La cause profonde, vous la connaissez peut-être mieux que moi-même, n’était autre que la déclaration de l’éminent homme politique et syndicaliste de Saaba, ancien maire de Ouagadougou et beau-fils des Samo - paix à son âme - et dont je tais le nom. En effet, le 25 novembre 1980, il lança subversivement ceci : "Il n’y a pas d’officiers mossi capables ? Il faut encore un Samo ?"

Quelles sont les raisons de l’échec du CMRPN ?

Si le fait d’avoir quitté le pouvoir sans effusion de sang peut être considéré comme un échec, alors que ni les moyens, ni les compétences ne faisaient défaut au CMRPN, tel constat ne peut que l’honorer aux yeux des personnes éprises de paix et de justice. Etant donné qu’en Indochine j’ai participé à la souffrance du peuple vietnamien en quête de son indépendance (1952 - 1954) en tant qu’exécutant, caporal et sergent, faut-il encore qu’en tant que responsable d’un peuple auquel j’appartiens, j’apporte une souffrance pouvant aller jusqu’à sa partition ? Non ! Tout sauf ça ! Car de jeunes officiers avaient secrètement fait allégeance à l’Empereur des Mossé en lui promettant, en échange de son soutien, une monarchie constitutionnelle avec toutes les conséquences d’une guerre civile allant jusqu’à la partition du pays. Et des preuves existent au palais impérial en ce moment.

Avez-vous eu peur un seul instant pour votre vie ?

De race et de famille guerrières, je considère cette question comme une injure.

En voulaient-ils à votre vie ?

Sans nul doute que les révolutionnaires en voulaient à ma vie. Je ne sais toujours pas pour quelle raison, mais à Dieu infiniment grand merci ! Deux exemples parmi d’autres pour attenter à ma vie. Tout d’abord le mardi 09 novembre 1982, le téléphone qui était interrompu depuis le 06 novembre fut rétabli. Il sonne, je décroche le combiné et j’entends dire : « Mon colonel, on me charge de vous dire de vous préparer et qu’on viendra vous conduire au Nouveau Camp (Maintenant : camp Général Sangoulé Lamizana). » En moins de dix minutes, je me retrouvais dans la villa numéro 3 encerclée d’armes de divers calibres, avec des chars de combat stationnés hors de l’enceinte du bâtiment. Consigne a été donnée cavalièrement : « Détruire la villa, s’il le faut, plutôt que de laisser le colonel en sortir vivant en cas de tentative de le libérer ». Dès lors, le ton était donné.

Or dans la nuit, Dieu me dit en songe : « Tu sortiras un vendredi. » Et ledit jour vendredi 27 mai 1983 : « Le Conseil de salut du peuple (CSP) est dissous. Tous les détenus politiques sont libérés. » Puis, venons aux faits du Président du Conseil national de la révolution (CNR). Au Tribunal populaire de la révolution (TPR), bien que rien de valable ne pouvait être retenu contre moi, je fus condamné à 15 ans de prison, 64.313.625 FCFA d’amende avec confiscation de tous mes biens et transféré à la Maison d’arrêt et de correction de Ouagadougou (MACO) sous le numéro 96 du Vendredi 4 mai 1984 à 9h. Et une chambre noire m’a été affectée à l’étage.

Mais, par la grâce du Seigneur, et selon Sa révélation, je n’ai passé qu’une vingtaine de minutes à la MACO puis retourné au Conseil de l’entente après avoir vu "l’endroit mauvais" que le Seigneur m’avait révélé le samedi 17 décembre 1983, à 4h du matin. Une seconde fois, étant en résidence surveillée dans ma ville natale, Tougan, le mercredi 09 novembre 1983 a 21 h, un officier accompagné de deux gendarmes viennent me prendre pour Ouagadougou, via Koudougou où le président Maurice Yaméogo (Paix à son âme) embarque à côté de moi. Nous arrivons à Ouagadougou le jeudi 10 novembre à 1 h du matin au Conseil de l’entente. Après une demie-heure d’attente, nous avons été logés séparément. J’étais "locataire" du bâtiment Dahomey (Bénin). Le 10 Novembre 1984, à 8h30, un lieutenant métis accompagné d’un militaire voltaique, entrent dans ma chambre de détention. Tous deux me saluent et je réponds a leur salut. Puis l’officier métis me dit : « Mon colonel, permettez-moi de vous fouiller ». Ce qui fut fait. Puis il me dit sans ambages : « Mon colonel, on m’envoie vous tuer ».

Ma réponse : « C’est pour cela qu’il m’a fait venir donc. Faites votre travail ». Mais l’officier garda le silence ; le voyant hésitant, je lui dis : "Mon Lieutenant, n’hésitez pas ! Faites votre travail !". Puis il finit par me dire : "Je ne peux pas, parce que ce que vous avez fait à mon père, je ne peux pas l’oublier et celui qui vous tue, je le tuerai". Sur ce, ils me saluèrent et firent demi-tour pour sortir, me laissant perplexe quant à l’identité de son père et de l’officier métis lui-même. Le président Sankara est venu à Tougan pour me dire publiquement qu’il va m’envoyer à Ouagadougou pour me mettre dans le noir. Or le noir, c’est la mort. « Parce que le Colonel Saye Zerbo, il regarde la révolution, il ne dit pas s’il veut ou ne veut pas ! Moi je n’aime pas ça. Je vais l’envoyer à Ouagadougou pour le mettre dans le noir ... ». Le mardi 14 juin 1985, entre 23h et 23h 15, je reçois la révélation suivante : "D’après Radio Côte d’Ivoire, le capitaine Sankara serait mort." Après ma sortie du Conseil de l’entente, j’ai eu des précisions sur leurs identités, sur la situation de l’officier métis et son père que j’ai fait libérer de la MACO quelques jours après le 25 novembre 1980. Il s’agissait de Monsieur Nouhoun Sigué et de son fils Vincent Sigué devenu mercenaire en France, et que le président du CNR avait recruté pour ses basses besognes. Le lundi 6 janvier 1986 à 9h 30, je sors du Conseil de l’entente pour Tougan.

Un an, trois mois et vingt jours après, le 13 octobre 1987, à 16h40, je quitte Tougan escorté de deux policiers de ma résidence surveillée pour Ouagadougou, suite à une convocation par radio de tous ceux qui avaient été condamnés par les TPR. Le mercredi 14 octobre 1987 à 7h, j’étais dans le bureau du directeur de cabinet du ministre de la Justice - Blaise Compaoré. Après les salutations d’usage, le directeur de cabinet, le maire actuel de Ouagadougou, me dit en substance : "C’est jour de conseil, le ministre est à Pô, il ne sera pas là. Un message a été envoyé à Tougan pour vous dire de ne pas venir". "Je n’ai pas reçu ce message", répondis-je en prenant congé de lui. Après une visite de courtoisie au secrétaire d’Etat du ministère de la Justice (celui-là même qui avait présidé mon jugement au Tribunal populaire de la révolution (TPR), je quittais le ministère pour mon lieu d’hébergement afin de me préparer à retourner à Tougan, sans connaître la ou les raisons pour lesquelles j’avais été convoqué.

A peine ai-je quitté le ministère que l’un des policiers me dit : "Mon Colonel, le directeur général de la Sûreté a dit de le voir avant de partir à Tougan".

Sur ce, le lendemain jeudi 15 octobre à 9h, j’étais à la Direction générale de la Sûreté nationale. Celle-ci était alors près de la Cour suprême à ce moment. Après mûre réflexion, j’en suis venu à la conclusion que le président du CNR mettait en exécution sa promesse faite à Tougan de me mettre dans le noir à Ouagadougou, malgré son échec avec l’officier métis. Pendant une longue attente - quarante minutes sur un banc dans le couloir-le directeur général de la Sûreté était occupé à téléphoner partout à mon sujet. Cela n’augurait donc rien de bon. Toutefois, lorsqu’il me reçut dans son bureau, c’était des salutations pleines d’égards, comme si j’étais pour lui un revenant, mais sans rien dire de plus, l’air étonné. En effet, il devait me retenir à la Sûreté jusqu’aux environs de 20h, puis me faire conduire au lieu du supplice pour être fusillé à 20h au Conseil de l’entente.

Par compassion du capitaine Blaise à mon égard, bien que lui-même soit menacé de mort, dès que le complot fut éventé, il fit envoyer un message à Tougan pour me dire de ne pas venir. Lequel message fut probablement mis en veilleuse par le haut-commissaire de Tougan qui était de connivence avec le président du CNR. Le lieutenant Vincent Sigué auquel le Président du CNR n’avait plus totalement confiance compte tenu de sa position envers moi, fut chargé du bouclage de la ville de Ouagadougou, avec Poste de commandement (P.C) à Saaba, à l’Est de Ouagadougou, donc loin du Conseil de l’entente. Et c’est pour cette raison que dès qu’il entendit des coups de feu en ville vers 15h, il dit : "Pourtant il n’est pas encore 20h ...", selon les soldats qui étaient avec lui au bouclage de la ville.

Revenu à mon lieu d’hébergement chez mon gendre, je quittai Ouagadougou, le 15 octobre 1987 à 16h30 pour Tougan. Dès après le pont de Gounghin, je vis un véhicule antiaérien tourner sur lui-même. Nous nous arrêtâmes pour acheter du pain et nous continuâmes. Arrivés à Yako (108km au Nord-Ouest de Ouagadougou), le véhicule de mon cousin s’immobilisa devant le commissariat de police au bord de la route. Après les salutations, le commissaire de police me dit : "Mon Colonel, faites vite pour être à Tougan avant 19h parce qu’il y a couvre-feu sur toute l’étendue du territoire national à partir de 19h." A ma question : "Pourquoi ?" Il répondit : "Paraît-il que ça ne va pas à Ouagadougou".

Nous démarrâmes aussitôt tout en sachant qu’il nous serait pratiquement impossible d’atteindre Tougan avant 19h, compte tenu de l’état de la route.

En effet, il était 19h15 quand nous arrivâmes à Bagaré à une cinquantaine de kilomètres avant Tougan. Nous débarquâmes pour passer la nuit à la belle étoile. Comme mon cousin Ilo, notre chauffeur avait un poste radio à bord de son véhicule, il le mit en marche. Et voici ce que nous entendîmes sur Radio France internationale : « D’après radio Côte d’Ivoire, le capitaine Sankara serait mort. » Ceci était conforme à la révélation que j’ai reçue le mardi 14 juin 1985 entre 23h et 23h15 alors que j’étais enfermé au Conseil de l’entente. A 19h30, Radio Burkina annonce le renversement du capitaine Sankara et l’instauration du couvre-feu. Ces nouvelles m’ont bouleversé toute la nuit. Par quelle fatalité le capitaine Thomas Sankara en était-il arrivé là ? D’autant plus que mes conseils pour lui éviter la dérive ont été vains. Mieux, il les avait pris en aversion. Le lendemain 16 octobre à 5h du matin, nous quittâmes Bagaré pour Tougan où nous arrivâmes à 5h 45. Ainsi s’accomplirent également les révélations du mercredi 28 novembre 1984 et du jeudi 24 janvier 1985 relatives à ma délivrance. Et comme pour matérialiser la puissance de la Parole du Seigneur, un certificat de mise en liberté fut conçue ainsi (voir encadré) En conclusion, la politique se veut l’heureuse gestion des intérêts d’une nation avec pour objectif le bien-être de chaque citoyen.

A la suite des faits que j’ai personnellement vécus, j’ai la ferme conviction que lorsque la politique devient mensonge et violence, le Seigneur Jésus-Christ, Révolutionnaire le plus authentique de tous les siècles, parce que le plus lucide et le plus soucieux du bien-être des hommes, nous aide à supporter la souffrance et nous inspire le pardon. "Car il vaut mieux souffrir en faisant le bien, si telle est la volonté de Dieu, qu’en faisant le mal !) (1 Pierre 3.17). La politique est donc un art hautement humain. De ce fait, le Seigneur enregistre tous les actes des êtres humains. Et, en temps opportun, Il restitue fidèlement à chacun les conséquences bonnes ou mauvaises de ses actes.

« Quelle gloire y a-t-il, en effet, à endurer un châtiment pour avoir commis une faute ? Mais si vous endurez la souffrance tout en ayant fait le bien, c’est là un privilège devant Dieu » (Pierre 2.20). En conséquence : « Le méchant complote pour ruiner le juste, il organise ses dents contre lui. Pourtant, l’Eternel se moque de lui, car Il voit venir le jour de sa perte (Psaumes 37.12-13). C’est donc dire : « L’appel reçu par le chrétien peut comprendre des souffrances imméritées à l’imaqe de celles du Christ » (1Pierre 2.20).

Certificat de mise en liberté

"Je soussigné Camarade Laurent SEDEGO, Secrétaire Général du Ministère de la Défense Populaire et de la Sécurité, certifie que le Camarade Colonel en retraite Saye ZERBO, précédemment interné administratif est mis en liberté totale, conformément à l’esprit du KITI N°AN V-0004/PP du 15 octobre 1987.

En fois de quoi, le présent Certificat est établi pour servir et valoir ce que de droit.

La patrie ou la mort, nous vaincrons."

Propos recueillis par "Le Pays"

Le Pays

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Vos commentaires

  • Le 6 mai 2011 à 02:29, par ohnana En réponse à : COLONEL SAYE ZERBO, ANCIEN PRESIDENT DU BURKINA : "La politique est un art hautement humain"

    bonjour mon President, je vous respect bcp et vous remercie pour avoir eu la sagesse d epargner le peuple de la misere. juste une chose pourkoi SIGUE es rester vivant apres avoir refuger de vous liquider ? Etait il au dessus de 4 patrons de la revolution ou ces just ke personne ne voulais vraima votre mort ? je n ai aucune formation militaire mais si j etais a votre place j aurais chercher a savoir comment on pe desobeir un ordre et rester en vivant et surcroit a la meme base. quelquechose dans mon fort interieur me dit ke vous (fin stratege de guerre ) avez eu les memes preoccupations et mon intuition me dire encore que avez trouver la reponse mais avez omit de le notifier
    tous ca just pour dire ke ceci : c est la peur du regime actuel ki vous oblige a depeindre le feu TOm San de la sorte ou ces just pour nous dire ke vou en voulez tjr au president defunt ?
    je croyais ke le but de cet interview rentrant de l apaisema du climat social

    • Le 6 mai 2011 à 05:07 En réponse à : COLONEL SAYE ZERBO, ANCIEN PRESIDENT DU BURKINA : "La politique est un art hautement humain"

      Mon type, le gars n’a rien demandé, on lui pose des questions , il répond point, si tu es fan de Tom sank c’est ton droit, mais laisse le raconter ce qu’il a vécu au plus profond de lui et ce qu’il a ressenti lui et don tu ne sait rien, Tom sank est un heros pour l’histoire et pour certaines prises de positions, ça ne veu surement pas dire qu’il étai un saint. Tu la dit toi même : tu n’est pas militaire, tu ne sai donc pas plus que moi les circonstances qui ont mené a la mort de ton héros. Dans l’armee je crois que c’est souvent "toi ou moi" quand ça chauffe alors...

      • Le 6 mai 2011 à 19:45 En réponse à : COLONEL SAYE ZERBO, ANCIEN PRESIDENT DU BURKINA : "La politique est un art hautement humain"

        La question ne se pose pas en termes de fan de Thomas sankara ou pas. La question se pose en termes de logique. La, le Colonel exagere sa situation. Il est sur nle mode paraxoniaque. C’est aussi une forme de folie. Quand on envoie tuer quelqu’ un, a- t- on besoin de le luire dire ? Et moi qui croyais que le tigre bondissait sur sa proie pour la croquwer aussi de philosopher et d’ humaniser autouyr de la victime. Si SDigue avait ete envoye, ce gartcon qui n’a aucun scurpule allait faire son boulot. Le Colonel aurait du savoir, lui qui a fait uene ecole de guerre et qui etait un officier superieur, qu’ on ne rechigne devant un tel ordre et continuwer a ecumer les boites de Ouaga. Ca n’ apas de sens, mon Colonel. Il y a trop vues biaisees dans votre histoire meme si vous dites repondre a des questions.

        LOP

    • Le 6 mai 2011 à 06:13, par bigsou des usa En réponse à : COLONEL SAYE ZERBO, ANCIEN PRESIDENT DU BURKINA : "La politique est un art hautement humain"

      Bien parle mon frere. je suis sur quil dira du mal de Blaise sil netait pas au pouvoir ojourdhui. cest une maniere de denigre feu thom sank. sinon, sil le voulais vraiment mort je ne penses pas quil serait la parmis nous ojourdhui. paix pour le B.f

    • Le 6 mai 2011 à 06:52, par Isidore En réponse à : COLONEL SAYE ZERBO, ANCIEN PRESIDENT DU BURKINA : "La politique est un art hautement humain"

      Bien dit Monsieur ! Apparement ; SEM le Colonel a vécu Quatres(4) Ans sous un régime qui soit disant voulait sa mort ; pourtant le President successeur avait suffisament de MILITAIRES qui pouvaient s’en charger et pourtant non...Thomas Sankara ; mauvais ou pas ; aurait-il eu du mal à eliminer une Personne dont il n’y trouve plus d’interêt ?

    • Le 6 mai 2011 à 07:52, par Hess En réponse à : COLONEL SAYE ZERBO, ANCIEN PRESIDENT DU BURKINA : "La politique est un art hautement humain"

      Une lecture tout à fait plausible.

    • Le 6 mai 2011 à 11:15, par Concitoyen En réponse à : COLONEL SAYE ZERBO, ANCIEN PRESIDENT DU BURKINA : "La politique est un art hautement humain"

      Mon Prési dite nous en terme claire ce qu’il ya... Donc le mal de la revolution est le feu Tom Sank ? Oubien vous avez peur ? Votre histoir est très flou meme pour un breveté... Désolé car vous dites pas tout par peur et ça se lit entre vos lignes !!!

  • Le 6 mai 2011 à 03:10, par trm En réponse à : COLONEL SAYE ZERBO, ANCIEN PRESIDENT DU BURKINA : "La politique est un art hautement humain"

    Avec tout le respect que j’ai pour le Colonel Saye Zerbo, le seul President de mon pays a qui j’ai eu la chance de serer la main alors que je n’etait qu’un garcon de 11 ans en plein Haute Volta rurale, j’ai le regret d’observer qu’il n’arrive pas encore a pardonner Thomas Sankara. Je ne suis certes pas aussi devot que le Colonel, mais je crois au pardon et je pense qu’il doit s’efforcer de donner l’exemple, lui qui communique si regulierement avec Dieu ; a moins que Dieu lui ait dit en un songe non encore revele, qu’il ne doit pas pardonner cette fois.

  • Le 6 mai 2011 à 03:12, par Kappa En réponse à : COLONEL SAYE ZERBO, ANCIEN PRESIDENT DU BURKINA : "La politique est un art hautement humain"

    C’est assez confus. Le texte est très difficile à cerner, il faut s’y reprendre plusieurs fois pour comprendre ce qu’il veut dire. Cela m’étonne d’un colonel. Le journaliste aurait pu transcrire pour nous épargner des migraines.
    Enfin, il est toujours en vie c’est déjà ça. Concernant les faits qu’il a omis, je le comprend. On ne peut pas se réclamer enfant de Christ et parler de vengeance. Soyons modérés et la vie nous apportera des surprises.

    Cheers !!!

    • Le 6 mai 2011 à 20:39, par Yombié En réponse à : COLONEL SAYE ZERBO, ANCIEN PRESIDENT DU BURKINA : "La politique est un art hautement humain"

      C’est ton esprit qui est confu de sorte que tu vois de la confusion partout. Sois courageux et informe toi sur tom sank et tu seras surpris de savoir qu’il n’etait pas un saint comme tu semble le penser. Pour ta gouverne saches que du temps de la revolution tu n’aurais meme pa eu la liberté de t’exprimer sur ce site.

  • Le 6 mai 2011 à 05:29, par beurk En réponse à : COLONEL SAYE ZERBO, ANCIEN PRESIDENT DU BURKINA : "La politique est un art hautement humain"

    Que des conneries avec ces songes et révélations bibliques.De toutefaçon vous n’avez rien fait pour la Haute-Volta quand vous étiez au pouvoir et l’histoire ne retiend et ne retiendra rien de vous même après votre mort "naturelle",ce qui n’est pas le cas de Thomas Sankara qui restera éternel dans la mémoire de beaucoup de Burkiabè.Comme PF,en moins de 5 ans,il a fait plus que certaines personnes qui sont là depuis 24 ans.Paix encore à son âme

    • Le 6 mai 2011 à 19:50 En réponse à : COLONEL SAYE ZERBO, ANCIEN PRESIDENT DU BURKINA : "La politique est un art hautement humain"

      Quand il etait au pouvoir, il etait le seul sincere. Sinon le reste de son entourage passait tout son temps a forniquer les petites filles a l’ Hotel Ricardo et autres Galaxie tandis que certains pasaient le plus clair de leur temps a cocufier les hommes maries et a se faire extraire les balles des fesses. Ce regime des colonels a declenche beaucoup d’ admiration mais Saye Zerbo, le seul honnete du Groupe, comme Sankara etait le seul revolutionnaire de son camp, doit s’ en prendre d’abord a son propre camp. Dieu a delivre la Haute- Volta de ses colonels et le peuple, militaires (mises a part les frasques inacceptables), etudiants, eleves, commercanst, etc, va delivrer le peuple burkinabe de la msiere et de la mal- gouvernance. C’est une loi scientifique de la nature.

      LOP

  • Le 6 mai 2011 à 05:38, par fasobiiga En réponse à : COLONEL SAYE ZERBO, ANCIEN PRESIDENT DU BURKINA : "La politique est un art hautement humain"

    Votre récit est un peu ambiguë. Vous avez dit que Sigué a refusé de vous tuer pour avoir fait libérer son père et qu’il a dit qu’il tuerait toute personne qui attenterait à votre vie.Une question mon président ,pour quelle raison il a accepté de barricader la ville depuis le pc de saaba tout en sachant que le but de tout ça était de vous tuer à 20h. Pourquoi n’a t-il pas essayé de vous sauver comme il l’a fait la première fois ?Au pire pourquoi n’a t-il pas essayé de tuer le capitaine Sankara ? Avec tout le respect que je vois dois, arrêtez de nous raconter des bobards.

  • Le 6 mai 2011 à 07:29, par lilboudo En réponse à : COLONEL SAYE ZERBO, ANCIEN PRESIDENT DU BURKINA : "La politique est un art hautement humain"

    Il faut qu’un jour toutes les langues se délient pour qu’on comprenne les bavures de la révolution. On connait ses bienfaits - hautement énormes -mais on ignore pour le moment ses faces sombres

  • Le 6 mai 2011 à 07:36, par Hess En réponse à : COLONEL SAYE ZERBO, ANCIEN PRESIDENT DU BURKINA : "La politique est un art hautement humain"

    Respect pour Moncieur le Président,

    Difficile quand même de faire la part des choses entre les faits historiques, les interprétations ou suppositions et les professions de foi !

    « Car de jeunes officiers avaient secrètement fait allégeance à l’Empereur des Mossé en lui promettant, en échange de son soutien, une monarchie constitutionnelle avec toutes les conséquences d’une guerre civile allant jusqu’à la partition du pays. Et des preuves existent au palais impérial en ce moment. »
    Ceci est GRAVE et mérite d’être connu. C’est la plus important information de cet entretien si je puis me permettre. Dommage que l’on ait pas donner plus d’éléments.

    Qui en sait quelque chose sur ce point pour nous éclairer ?

  • Le 6 mai 2011 à 09:17 En réponse à : COLONEL SAYE ZERBO, ANCIEN PRESIDENT DU BURKINA : "La politique est un art hautement humain"

    Nezien Badembié lui avait certainement eu affaire à des gens plus durs. Mr le Président, un Président qui veut tuer une personne et ne le fait pas en 4 ans vraiment, c’est par faiblesse ou par compassion. J’espère que le Seigneur vous donnera encore d’autres détails.
    En 4 ans Sankara n’a pu vous tuer, en moins de deux ans, Lingani, et Henri Zongo sont partis ; en tuérie certains sont plus forts que d’autres.

  • Le 6 mai 2011 à 09:52 En réponse à : COLONEL SAYE ZERBO, ANCIEN PRESIDENT DU BURKINA : "La politique est un art hautement humain"

    bonne remarque ohana ! Monsieur le Président, une épisode à été omise dans le résumé !

  • Le 6 mai 2011 à 10:37, par OHLé En réponse à : COLONEL SAYE ZERBO, ANCIEN PRESIDENT DU BURKINA : "La politique est un art hautement humain"

    Bonjour. J’ai un grand respect et une profonde reconnaissance à l’endroit du Colonel PrésidentSaye ZERBO. Il est l’un des chefs à avoir effectué le plus grand nombre de tournées dans le BURKINA profond en si peu de temps à la tête de l’Etat burkinabè, preuve de sa proximité d’avec son peuple. On se rappelle aussi de sa politique anti-émigration en direction de la Côte d’Ivoire. En somme c’est un homme de bonne foi et honnête. Mais mon colonel si vous permettez je trouve que vous êtes obsédé par les évènements qui ont prévalu sous le CNR. A chacune de vos sorties vous ne manquez pas l’occasion d’en parler. En plus je trouve beaucoup d’incohérences dans la rélation des faits, en ce qui concerne par exemple le supposé complot de votre exécution.C’est connu SANKARA n’était pas un ange ni un enfant de coeur mais il faut savoir qu’il n’était pas seul, je vous trouve très clement à l’endroit de l’actuel Chef d’Etat qui était le bras séculier et le monsieur sécurité de T. SANK, pourquoi lui vous l’épargnez totalement ? En plus SIGUE est décrit par la plupart des gens comme un militaire au service de Sankara qu’il servait avec zèle et donc très intransigeant à l’égard des ennemis de son patron il ne pouvait donc se dérober à ses ordres s’il avait effectivement reçu l’ordre de vous exécutez. N’avait-il pas dit un jour que si SANKARA lui démandait d’exécuter tous les Burkinabè, il l’allait s’exécuter sans hésiter ?
    Enfin vous faites trop cas de "songes et de révélations", à partir de ce moment on est plus dans la rationnalité et donc plus de place pour la lucidité, mais il est évident que ce sont vos convictions réligieuses qui fondent vos propos toute chose difficile d’emporter l’adhésion de nous autres. En guise de conclusion je considère que votre façon de raconter l’histoire fait la part trop belle aux vainqueurs qui sont les actuels dirigeants du pays.
    Belle et paisible retraite à vous mon colonel.

  • Le 6 mai 2011 à 10:43, par Adams En réponse à : COLONEL SAYE ZERBO, ANCIEN PRESIDENT DU BURKINA : "La politique est un art hautement humain"

    Je suis parfaitement d’accord avec mon camarade internaute.C est vrai avec le plus grand respect et considération que tous les peuple te doit, pourquoi attendre ce moment pour faire une conclusion. et à travers ton analyse on sait ta foi en vers le tout puissant et j’aurai aimé avoir une compréhension empruntant la même voie que l’autre sur la non respect des ordre du métis à ses supérieur si ses ordres étaient comme vous le pensée.

  • Le 6 mai 2011 à 10:53 En réponse à : COLONEL SAYE ZERBO, ANCIEN PRESIDENT DU BURKINA : "La politique est un art hautement humain"

    Moi aussi je trouve ce témoignage incohérent. 1) Sigué est resté l’homme de main de Sankara malgré sa désobéissance de vous tuer ; 2) Si ceux qui vous ont déposé avaient promis la monarchie constitutionnelle au Mogho Naaba, pourquoi le cconsidère-t-ils par la suite comme n’importe quel burkinabè , en coupant par exemple l’électricité chez lui.

  • Le 6 mai 2011 à 11:29, par Thomas En réponse à : COLONEL SAYE ZERBO, ANCIEN PRESIDENT DU BURKINA : "La politique est un art hautement humain"

    Comme le dit un adage "l’âge fait de certaines personnes des vieux que des sages". Je trouve cette sortie du colonel ex-président hasardeuse. L’imbroglio entre l’irrationnel et le rationnel est déconcertant. Qu’il utilise ses relations privilégiées avec le tout puissant pour lui demander le retour de la stabilité au Burkina et l’assagissement des dirigeants actuels contre toute velléité de "monarchisation" du pouvoir source de lendemain incertains pour le pays. Ce coup de pub pour l’actuel président a complètement foiré. Tout le monde sait que le bilan humain sous l’actuel régime mérite d’être inscrit dans le livre Guiness des reccords.

  • Le 6 mai 2011 à 11:31, par kasimir En réponse à : COLONEL SAYE ZERBO, ANCIEN PRESIDENT DU BURKINA : "La politique est un art hautement humain"

    En effet, le 25 novembre 1980, il lança subversivement ceci : "Il n’y a pas d’officiers mossi capables ? Il faut encore un Samo ?" Attention, attention. Je crois que cette question rentre dans le cadre de la parenté à plaisanterie et ne doit pas etre pris comme un acte de racisme ou ethnicique.
    De grace n’envenimons pas du tout la situation qui est deja déletere. Pour un Pasteur, je trouve ces propos et ces affirmations très très grace et incitative à la violence

  • Le 6 mai 2011 à 11:42, par SOUL En réponse à : COLONEL SAYE ZERBO, ANCIEN PRESIDENT DU BURKINA : "La politique est un art hautement humain"

    ET DIRE QUE CE MONSIEUR A ETE PRESIDENT DE CE PAYS ?IL RACONTE DES BALIVERNES.SIGUE POUVAIT IL REFUSER D EXECUTER LES ORDRES DU PRESIDENT SANKARA.VOUS ETES TROP RANCUNIER MONSIEUR LE PRESIDENT.VOTRE HAINE NE DATE PAS DU 07/11/82 MAIS BIEN AVANT.ON SE SOUVIENT QUE SANKARA AVAIT DIT MALHEUR A CEUX QUI BAILLONNENT LEUR PEUPLE.A SON TEMPS VOUS AVEZ EXIGE QU IL SOIT RAYE DE L’EFFECTIF DES FAN.
    RESTEZ SAGE COMME UN BON PASTEUR,EXCELLENCE MONSIEUR LE PRESIDENT.

  • Le 6 mai 2011 à 11:58, par Joukov En réponse à : COLONEL SAYE ZERBO, ANCIEN PRESIDENT DU BURKINA : "La politique est un art hautement humain"

    Je met cette ITW dans le même régistre que la diffusion des 7 épisodes du film "La Bible" en 1999 en pleine crise Norbert Zongo. Mr le President n’aviez vous pas dépassé l’age d’être instrumentalisé par des gens paniqués qui font feu de tout bois. Vous n’avez jamais été un grand président dans ce pays au contraire. Qu’a couté votre "Laissez Passer" à la jeunesse voltaique de l’époque ? Beaucoup de perte en vie humaine et le developpement d’une immigration illégale. En plus votre "Laissez-Passer" ne vous a til pas mis à dos votre puissant voisin du sud. Mon Colonel, au lieu de donner des ITW qui seront vite oubliées, demandez leur de vous trouver un "Nègre" pour vous aider à écrire vos mémoires qui pourront servir dans les écoles et les universités et vous rapporter quelques sous. Sankara n’etait il pas votre beau si je ne me trompes ? Aurait il pris le risque de vous faire mourrir comme ça pour rien. Il nous est rapporté que vous avez participé à la guerre de noël 1985 comme concepteur et stratège de guerre, pourquoi vous n’en parlez pas oubien c’est "Secret militaire".

  • Le 6 mai 2011 à 12:01, par le BURKINDI En réponse à : COLONEL SAYE ZERBO, ANCIEN PRESIDENT DU BURKINA : "La politique est un art hautement humain"

    MR LE PRESIDENT JE PENSE QUE LE CNR DINT SANKARA ETAIT LE LEADER A FAIT COULER LE SANG DE PLUSIEUR OFFICERS A LEUR ARRIVé au pouvoir,donc votre mort n’était pas décidé.de 1983 à1987 le cnr a fait avancer le BURKINA plus que le règne de tous les gouvernements de ce pays.Sankara était le leader d’un groupe et il ne decidait pas seul.les menbres du CNR SONT ENCORE VIVANT ET CERTAIN toujours prochent du pouvoir actuel.si vous en voulez au CNR,faite les juger et pour votre conflit perso avec notre heros vous pouvez prier pour que le seigneur appaisse vtre coeur.

  • Le 6 mai 2011 à 12:10, par peacemaker En réponse à : COLONEL SAYE ZERBO, ANCIEN PRESIDENT DU BURKINA : "La politique est un art hautement humain"

    Bon, moi je n’ai rien vu d’interressant de ce qu’il a dit. Trop de revelations de la part du Seigneur. De plus un officier qui refuse de le liquider et qui est toujours en liberté ! C’est du jamais vu dans l’armée surtout du temps de la revolution. Je pense qu’il ne faut pas tout jetter sur le pauvre Thom Sank. Il avait réellement la volonté de mette le Faso sur la bonne voie mais fut victime de ceux-là.
    Sous la révolution tous les anciens présidents sont restés en vie donc c’est un grand exploit pour le revolutionnaire. Bref, je n’ai rien retenu de dans cet interview sauf un salissement de l’image du défunt et toujourd très populaire Capitaine Thomas I. Sankara

  • Le 6 mai 2011 à 12:21 En réponse à : COLONEL SAYE ZERBO, ANCIEN PRESIDENT DU BURKINA : "La politique est un art hautement humain"

    Vraiment,suis très déçu de la narration du président Saye ZERBO, pourtant c’est un Monsieur que j’ai admiré depuis la nuit des temps.
    A son grade et fonction d’ancien chef d’état, je ne peux pas comprendre qu’il garde encore cette haine contre le président du CNR.
    S’il le voulait, il aurait pu organiser votre élimination accidentellement et je pense que ce n’était pas les moyens qui manquaient à l’époque.
    Beaucoup ont été éliminés jusqu’à lui même, donc c’est vous dire qu’il nétait pas au courant de certains actes de mort organisé par ses détracteurs.
    Il a été votre secrétaire d’état chargé de l’information sous vous où il a été presque humilié, avant de démissionner.
    Il faut savoir pardonner
    J’invite le président Saye ZERBO à faire sienne cette lecture du pardon de dieu.
    "Ne cultive pas de haine au jardin de ton coeur, c’est à toi le 1er que tu ferais mal"
    "Ne garde pas de rancune à la moelle de tes os, c’est toi le 1er que tu briseras"
    "N’entretien pas de vengeance au creux de ta mémoire, c’est toi le 1er qui en souffrirais"
    "Pardonne, tu seras plus heureux et tu feras plus d’heureux autour de toi"
    "Le pardon est le signe d’un amour authentique, un amour qui pardonne, qui reconcilie, qui donne une nouvelle vie, la nouvelle création"
    "La route de la divinisation : la finalité de la vie spirituelle est notre participation à la vie divine. Dieu s’est fait homme, afin que l’homme devint Dieu"
    "Le pardon est la dimension essentielle de l’existence humaine. Il est la seule activité humaine citée dans le notre père. Il est le pain de la vie"
    "Le pardon humain est à la fois une conséquence et une condition du pardon de dieu"
    "Celui qui ne parrdonne pas à son frère , n’a pas reconnu le pardon que dieu lui donne"
    "Le pardon est le don par excellence, qui nous rend à la ressemblance de dieu"
    "L’ennemi n’est pas quelqu’un à abattre par esprit de vengeance......, mais quequ’un à gagner par esprit de pardon"
    "Le manque de foi : c’est ne pas croire que l’amour est plus fort que la haine"
    "L’amour donne la vie, la haine tue, elle tue l’autre et à la longue, elle me tue aussi"
    "Soyons en paix avec nous même"
    Voilà ce que Monsieur Saye ZERBO doit retenir

  • Le 6 mai 2011 à 12:34, par salutcolonnel En réponse à : COLONEL SAYE ZERBO, ANCIEN PRESIDENT DU BURKINA : "La politique est un art hautement humain"

    Mon colonnel vraiment avec tout le respect que je vous doit du à votre statut d’ancien chef de l’Etat je pense sincèrement que vous dites tout cela pour faire plaisir au regime en place. Apprennez à regrouper clairement vos idées pour qu’on vous comprenne. Sinon je dois vous avouet et c’est regrettables que vous nousracontez de vains bobards. Arrêtez donc Cher colonnel president d’amuser le peuple. j’espère que Dieu vous revelera cela.

  • Le 6 mai 2011 à 12:36, par peacemaker En réponse à : COLONEL SAYE ZERBO, ANCIEN PRESIDENT DU BURKINA : "La politique est un art hautement humain"

    Bon, moi je n’ai rien vu d’interressant de ce qu’il a dit. Trop de revelations de la part du Seigneur. De plus un officier qui refuse de le liquider et qui est toujours en liberté ! C’est du jamais vu dans l’armée surtout du temps de la revolution. Je pense qu’il ne faut pas tout jetter sur le pauvre Thom Sank. Il avait réellement la volonté de mette le Faso sur la bonne voie mais fut victime de ceux-là.
    Sous la révolution tous les anciens présidents sont restés en vie donc c’est un grand exploit pour le revolutionnaire. Bref, je n’ai rien retenu de dans cet interview sauf un salissement de l’image du défunt et toujourd très populaire Capitaine Thomas I. Sankara

  • Le 6 mai 2011 à 12:50, par anta En réponse à : COLONEL SAYE ZERBO, ANCIEN PRESIDENT DU BURKINA : "La politique est un art hautement humain"

    Vous savez, dès qu’on fait intervenir Dieu dans une histoire entre des hommes, toute objectivité devient caduque. Les juifs qui ont tué Jesus pensaient qu’ils faisaient oeuvre pie en éliminant un blasphémateur. Les chrétiens qui ont développé l’antisémitisme à cause de ce déicide, invoquaient Dieu le père. Mahomed aussi a invoqué Dieu allah pour classer juifs et chrétiens parmi les infidèles.Enlevons Dieu de nos querelles.Thom Sank est mort ; s’il a été mauvais, c’est entre Dieu et lui. Mon colonel, vous cachez mal votre haine envers le défunt.Vous hante-t-il toujours ? Le psalmiste disait"le ciel c’est le ciel du Seigneur. Aux hommes il a donné la terre". Rendons notre terre viable en bannissant la haine de nos coeurs.

  • Le 6 mai 2011 à 13:34 En réponse à : COLONEL SAYE ZERBO, ANCIEN PRESIDENT DU BURKINA : "La politique est un art hautement humain"

    ARRÊTEZ DE VOUS FATIGUEZ SUR LES PULSIONS D’UN HOMME QUI CROYAIT KON EN VOULAIT A SA PEAU ALORS KIL N’EN EST RIEN. IL VERTIGE PARCE QU’IL CROIT F ROLLER LA MORT ET SE DIT INSULTE QUAND LE JOURNALISTE LUI DEMANDE S’IL A EU PEUR. POURTANT IL A TOUJOURS PEUR DE ça KIL TREMBLE DEVANT LE MICROS LOIN DU POUVOIR DE LA 4èMe RÉPUBLIQUE.SI LE CAMARADE PRESIDENT DEFUNT VOULAIT REELEMENT VOTRE MORT ASKIA NE POUVAIT L’EN EMPECHER JE CROIT QUE LE REPENTIR PERMET A TOUT UN CHACUN D’ETRE PROCHE DE DIEU.PAIX ET SALUT POUR LE PEUPLE

  • Le 6 mai 2011 à 13:55, par Viconte de dralignac En réponse à : COLONEL SAYE ZERBO, ANCIEN PRESIDENT DU BURKINA : "La politique est un art hautement humain"

    Oui,mon cher Président du CMRPN, nous vous comprenons. C’est dure d’avoir été président d’un an et de voir un jeune officier qui a de meilleures idées pour son pays. Entre vous eet Sankara, c’est le jour et la nuit en matière d’idéal pour le Burkina.Sankara est un progressiste avec un projet de société pour le pays. Quel était le vôtre ? Peut- être les chimère de l’UPV/FPV ? De grâce, continuez de prier pour ce que vous considérez comme ayant de la valeur et laisser nous en paix

  • Le 6 mai 2011 à 14:25 En réponse à : COLONEL SAYE ZERBO, ANCIEN PRESIDENT DU BURKINA : "La politique est un art hautement humain"

    encore une fois il me déçoit ce monsieur.
    je suis chrétien et je me rappel l’avoir rencontrer lors d’un camp de jeunes où il était invité comme conférencier, mais il m’avait laissé perplexe quant à sa bonne appréciation des choses.

    si seulement il pouvait lire nos commentaires pour comprendre ce que nous ces petits enfants sommes pas dupes pour croire des coupés collés aussi flagrants.

    un jour nous saurons la vérité.
    ils parleront. une chose dont je suis convaincu, suis pas militaire mais sais que Tom était très très intelligent mais n’avait pas le cœur empoissonné sinon il aurait tué tous ceux qui croient qu’il en voulait à leur vie.

    au fait j’ai poussé démarrer le véhicule du Capitaine Sank (président) au Lycée marien.on l’a fait ensemble lui avec nous.

  • Le 6 mai 2011 à 14:26, par mbakatre En réponse à : COLONEL SAYE ZERBO, ANCIEN PRESIDENT DU BURKINA : "La politique est un art hautement humain"

    Monsieur le Président, je ne suis pas un expert en politique mais je vois une chose dans vos propos : Vous condamnez la révolution et en occurrence Feu le Président Thomas Sankara et aussi vous appreciez le Président Blaise Compaore.
    Vous condamnez Thomas Sankara parce qu’il voulait vous mettre au noir et vous appréciez Blaise Compaore parce qu’il avait de la compassion pour vous. C’est tout a fait normal que vous ayez ce genre de sentiment. Mais, Monsieur le président j’ai quelque question à vous posez :
    1. Est-ce que le président Sankara avait besoin de vous faire venir à Ouaga pour vous mettre au noir ?
    2. Blaise Compaore ne vous a pas fait mettre au noir, mais combien de personnes a t’il fait mettre au noir ?
    3. D’ou venait le charisme de Sankara ?
    4. Pensez vous que votre cause vaux mieux que la cause du peuple qui aimait Thomas Sankara ?
    5. Pourquoi choisissez vous ce moment pour faire ces révélations ?
    6. Faites vous cela pour proteger celui qui a de la compassion pour vous ?

    Sans vouloir vous offensez, Monsieur le président, je pense que vous êtes animé d’un sentiment d’égoïsme. C’est votre cause qui vous importe et non la cause du peuple. C’est tout a fait le contraire de Thomas Sankara : pour lui c’est le peuple d’abord. Et je pense que c’est ce même sentiment d’égoïsme qui anime nos dirigeants actuel et qui fait que les richesses du pays sont accaparées par des individus égoïstes. Monsieur le président, je suis désolé que vous aillez eu des tourments pendant la révolution, mais la nuit du 15 octobre lorsque vous vous réjouissiez secrètement en apprenant par RFI la mort de celui qui vous persécutait, avez vous pensez au peuple ? Avez vous pensez à la perte pour l’Afrique et le monde ? Non, vous avez secrètement poussez un ouf de soulagement. Et aujourd’hui on se refuge dans la parole de Dieu pour jugez les gens alors que vous savez deux choses :
    1. Ne jugez point afin que vous ne soyez juger
    2. Dieu aime la Justice

    Alors Monsieur le président, merci de soutenir celui qui a de la compassion pour vous, mais pensez un jour à d’autres personnes qu’à vous même.
    Merci monsieur le président

  • Le 6 mai 2011 à 14:42, par Ano Nyme En réponse à : COLONEL SAYE ZERBO, ANCIEN PRESIDENT DU BURKINA : "La politique est un art hautement humain"

    Avec tout le respect au Colonel, j’espère qu’il acceptera de pardonner. Commme lui-même le dit, "La politique est un art hautement humain" et parmi les humains, nul n’est parfait. Même pas lui qui, c’est vrai a reçu des révélations et s’est converti, devenant une personne très pieuse et respectée chez les chrétiens. "On" raconte qu’il traîne lui aussi des casseroles... On parle de traitements infligés à certains "dignitaires" de la troisième république. On questionne même son admission au cours officier à l’époque... Alors, s’il veut parler, qu’il vide tout son sac et qu’on fasse ensemble la catharsis...

  • Le 6 mai 2011 à 15:34, par Vincent En réponse à : COLONEL SAYE ZERBO, ANCIEN PRESIDENT DU BURKINA : "La politique est un art hautement humain"

    Cher compatriotes,
    Je constate que l’histoire du Cpt. Thomas SANKARA déchaine toujours les passions, ce qui empêche les uns et les autres de regarder l’histoire avec lucidité. La majorité des gens pour qui il est une source d’inspiration aujourd’hui n’avait même pas 15 ans le 15/10/1987. Les discours entendus sur lui sont pleins d’idéalisme et de démagogie. Pour ceux, qui ne le savent pas, le regime SANKARA a fait plein de victimes physique. Mais son entourage sachant dissimuler les informations, plusieurs meutres resteront terrés dans le silence. De plus, qui aurait révé un jour, manifester contre le régime à l’époque sans être traité de réactionnaire et ensuite mis au poteau au conseil de l’entente non loin de la "villa Burkina" ? Tous ces agissements ont divisé notre armée à l’époque. Le clan du président du CNR avec à sa tête Vincent Askia Sigué, et le clan de Compaoré avec le lieutenant Gilbert Diendéré. Sans refaire l’histoire, Reconnaissons au Cpt. Sankara le mérite d’avoir été un résistant face au néocolonialisme, mais écoutons avec le maximum d’objectivité quand des membres de l’armée qui l’ont cotoyé nous parle.

  • Le 6 mai 2011 à 15:38, par Charles En réponse à : COLONEL SAYE ZERBO, ANCIEN PRESIDENT DU BURKINA : "La politique est un art hautement humain"

    Je suis vraiment surpris des sorties de son Exellence Saye ZERBO contre son Exellence feu Thomas SANKARA.
    Il n’a jamais fait un entretien sans une attaque à son encontre. Si vraiment vous avez eu ces songes (comme vous êtes toujours vivant), quels sont les témoins ? c’est à dire à qui vous avez expliqué avant que ça n’arrive avec les mêmes détails. Vous êtes intellectuels et je pense que vous ne doutez pas que toute chose doit être authentifiée.
    Nous avons besoin de vous en tant que sage. Que vous prodiguez des conseils à la jeune génération au lieu de continuer dans ce sens. Le pays a besoin de sages. Prenez l’exemple de son Excellence Jean Baptiste OUEDRAOGO.

    Avec tout le respect que je vous dois.

  • Le 6 mai 2011 à 15:53, par merci king black En réponse à : COLONEL SAYE ZERBO, ANCIEN PRESIDENT DU BURKINA : "La politique est un art hautement humain"

    respect,mon Colonel
    THOMAS n’as jamais voulu votre mort.il n’avait pas ce coeur.s’il vous plait il ne faut pas nous raconter des propos haineux.vous etes pour nous un papa national comme le medecin président JEAN BAPTISTE OUEDRAOGO.de grace enseignez-nous plutot la sagesse que la vengence et la haine.que vous le voulez ou non le president SANKARA est au dessus de tout ce que vous racontez.des gens comme le Camarade président sont rares.il a accepté mourir pour son peuple.de grace on doit du respect pour sa memoire.que chacun porte sa croix.le président SANKARA a accepté porter sa croix.Aussi en africain on doit du respect pour les morts.le respect pour le mort doit avoir la primauté sur celui du vivant.

  • Le 6 mai 2011 à 16:22, par LePaysan En réponse à : COLONEL SAYE ZERBO, ANCIEN PRESIDENT DU BURKINA : "La politique est un art hautement humain"

    Bonjour Mr le Président,
    Est-ce une plaisanterie de Chameau ou êtes vous au sérieux ? Je constate beaucoup d’incohérences et de non dits dans votre propos !

  • Le 6 mai 2011 à 16:35, par TAPSOBA En réponse à : COLONEL SAYE ZERBO, ANCIEN PRESIDENT DU BURKINA : "La politique est un art hautement humain"

    Songeons tous à notre Ange Saye Zerbo . C’est tout ce que nous pouvons lui procurer . Songes et encore songes . Non ! Monsieur le Président . Vous n’y êtes pas du tout . Aujourd’hui , l’immense majorité des Burkinabè sont inscrits dans le réel et leur réalité se conjugue avec la misère , la vie chère , l’obscurantisme et le baïllonnement des libertés . Le cousinage à plaisanteries qui lie les Samos et les Mossi peut porter à interprétations certains propos . Cela ne doit pas justifier le raccourci que vous empruntez pour voir dans les propos tenus par Feu Jo Ouéder de racistes ou d’ethniciste . C’est faire injure à nos traditions . La découverte de la Biblique d’Israêl ne vous a pas fait oublier que vous appartenez à un socle culturel plusieurs fois séculaire . Je l’espère vivement pour vous .
    Si vous songiez moins , vous vous apercevriez que les revendications des populations burkinabè sont inscrites dans un quotidien réel et palpable .

  • Le 6 mai 2011 à 16:40, par issa.mande@yahoo.com En réponse à : COLONEL SAYE ZERBO, ANCIEN PRESIDENT DU BURKINA : "La politique est un art hautement humain"

    Nous étions très jeunes à l’époque mais j’ai souvenance d’avoir lu dans les journaux les propos désobligeants du capitaine Sankara sur son ainé après le coup du 7 novembre 1982. S’était-il installé une animosité entre ces deux hommes que j’admire encore, au point que le colonel le charge tant. ?

    Concernant l’épisode de Vincent Sigué je voudrais dire deux choses mon Colonel
    - D’abord il n’était pas lieutenant en au moment des faits mais il l’est devenu en 1986 suite à un stage à l’étranger. Le colonel a pu être trompé du fait que les militaires de la garde présidentielle portaient un passant rouge traversé de deux barrettes jaunes, ce qui laissait penser au grade de lieutenant
    - Enfin Sigue n’était pas un homme à désobéir à Thomas Sankara car la mort du colonel Somé et du Commandant Djebre sont là pour nous le rappeler. S’il en avait reçu l’ordre de Thomas Sankara il l’aurait certainement exécuté.

    Je ne veux pas me prononcer sur les événements du 15 octobre notamment le complot de 20 heures selon les uns et simple réunion du CNR pour d’autres. Tous les protagonistes étant encore en vie, le temps nous dira ce qu’il en était réellement.

  • Le 6 mai 2011 à 17:21, par dan26 En réponse à : COLONEL SAYE ZERBO, ANCIEN PRESIDENT DU BURKINA : "La politique est un art hautement humain"

    Quand Saye Zerbo a instauré le laissé passé entre la Cote d IV
    il y a eu beaucoup de morts des gens qui cherchaient a passer par la foret a pieds a t il eu une revellation sur ces morts avant de prendre la decision

  • Le 6 mai 2011 à 17:27, par lapy En réponse à : COLONEL SAYE ZERBO, ANCIEN PRESIDENT DU BURKINA : "La politique est un art hautement humain"

    Tous mes respects mon Colonel, à quand vous remonte les revelations sur les mutuneries des militaires de mars et avril passé ? ainsi que la fuite du Blaiso ?
    Je pense qu’il faut que les uns et les autres se rendent compte maintenant que le peuple burkinabè n’est plus le même qu’il ya 50 ans, nous sommes aujourd’hui capable de lire entre les lignes et comprendre un certain nombre de choses...Donc un peu de respect pour nous et arrêtez de nous prendre pour des nez percés en racontant des histoires à dormir débout. on criminalise les "morts" et on glorifie les "tueurs" qui sont vivant. Pourquoi ?
    Le Conlonel à son âge doit pouvoir dire la "vérité" en ce qui concerne tout le monde...remarque, dans son entretien il ne dit qu’une seule phrase sur le regime actuel, et s’étale honteseusement sur la période la plus "riche" (1983-1987) de l’histoire de notre pays...pauvre pays des hommes intègres.
    Que Dieu nous sauve !

  • Le 6 mai 2011 à 17:37, par Kosweogo En réponse à : COLONEL SAYE ZERBO, ANCIEN PRESIDENT DU BURKINA : "La politique est un art hautement humain"

    Réponse à l’ancien président

    Vous avez été renversé par de jeunes officiers aidés par certains de vos collaborateurs. Quelle était la cause profonde des dissensions au sein du CMRPN qui était pourtant bien accueilli par les populations ?
    La cause profonde, vous la connaissez peut-être mieux que moi-même, n’était autre que la déclaration de l’éminent homme politique et syndicaliste de Saaba, ancien maire de Ouagadougou et beau-fils des Samo - paix à son âme - et dont je tais le nom. En effet, le 25 novembre 1980, il lança subversivement ceci : "Il n’y a pas d’officiers mossi capables ? Il faut encore un Samo ?"

    Alors Joe Oeuder aura été un raciste moaga qui refusa d’epouser une femme moaga mais une femme samo, la seule pendant toute sa vie. Quelle logique ?

    Quelles sont les raisons de l’échec du CMRPN ?
    Non ! Tout sauf ça ! Car de jeunes officiers avaient secrètement fait allégeance à l’Empereur des Mossé en lui promettant, en échange de son soutien, une monarchie constitutionnelle avec toutes les conséquences d’une guerre civile allant jusqu’à la partition du pays. Et des preuves existent au palais impérial en ce moment.

    Donc c’est l’empereur des mossé qui a pris le pouvoir après votre chute !

    Avez-vous eu peur un seul instant pour votre vie ?
    De race et de familles guerrières, je considère cette question comme une injure.

    Bravo ! Quelles sont les guerres que votre race et famille a gagnées ? Donnez-nous un nom d’une bataille connue de mémoire d’hommes ?

    On dit toujours que le pouvoir sur cette terre est l’œuvre du diable. Apparemment, il vous a conquit.

  • Le 6 mai 2011 à 17:51 En réponse à : COLONEL SAYE ZERBO, ANCIEN PRESIDENT DU BURKINA : "La politique est un art hautement humain"

    Vraiment bizare ce que dit l’ex-président. Son message est tres flou avec des révelations venant de je ne sais quel Seigneur. Laissez le Seigneur hors de ca et soyez bref dans vos propos. Moi je n’ai rien vu d’interessant dans ce qu’il a dit. Il s’en prend à Thom Sank alors que lui meme n’a rien foutu pour le pays. Comme le dit l’une des reactions:Thom Sank a fait en 4 ans ce que des gens n’ont pas pu faire en 24 ans. Et, si Thomas voulait réellement le tuer je ne vois pas ce qui l’empecherait de le faire. Peut etre une jalousie car Sankara est venu eclipse tous les présidents de la HV au Burkina. Qu’il essaie d’etre bref comme militaire et eviter de nous faire perdre le temps avec des propos sans fondement.

  • Le 6 mai 2011 à 17:53 En réponse à : COLONEL SAYE ZERBO, ANCIEN PRESIDENT DU BURKINA : "La politique est un art hautement humain"

    Il mourait quant je partais en classe de CP1 Mais d’après l’histoire Je crois bien que les pères de la revolution étaient Blaise et Sankara Pourquoi Mr le Président n’a t-il pas martélé le rôle joué par Blaise dans sa chute ? Comme il considère comme injure quand les journalistes l’ont demandé s’il avait peur de mourir, qu’il ait le courage de tout dire.
    Au lieu de salire la mémoire du Président Thomas Sankara, il aurait pu suggérer à ce qu’on baptise ne serait qu’une route en la mémoire du Président Thomas Sankara Car il mérite plusque ca
    Merci !

  • Le 6 mai 2011 à 18:07, par sidsaayan En réponse à : COLONEL SAYE ZERBO, ANCIEN PRESIDENT DU BURKINA : "La politique est un art hautement humain"

    Mr le vieux Samo, vous ne faites pas de révélation riche d’élement aidant à l’apaisement social presentement ou dans le futur !!! rien ne justifie l’information de jeunes officiers
    faisant des promess à l’amperreur..., suposez un seul instant que cette fausse idée soit vrai, qu’en pensez vous des conséquences, si d’autres personnes se devaient d’imaginer des comportement aussi raciste. vous savez également très bien que mêm si cette histoire était vraie, les officiers ne sont pas tous mossi encore moins leur action qui n’a rien avoir avec les mossi. c’est plutot une stratégie politique comme tant d’autre.Dites nous quand même quand est-ce que le depart de ce système au pouvoir sera entendu à RFI, ca pourrait aussi nous faire des idées.

  • Le 6 mai 2011 à 18:09 En réponse à : COLONEL SAYE ZERBO, ANCIEN PRESIDENT DU BURKINA : "La politique est un art hautement humain"

    Il mourait quant je partais en classe de CP1 Mais d’après l’histoire Je crois bien que les pères de la revolution étaient Blaise et Sankara Pourquoi Mr le Président n’a t-il pas martélé le rôle joué par Blaise dans sa chute ? Comme il considère comme injure quand les journalistes l’ont demandé s’il avait peur de mourir, qu’il ait le courage de tout dire.
    Au lieu de salire la mémoire du Président Thomas Sankara, il aurait pu suggérer à ce qu’on baptise ne serait qu’une route en la mémoire du Président Thomas Sankara Car il mérite plusque ca
    Merci !

  • Le 6 mai 2011 à 19:36 En réponse à : COLONEL SAYE ZERBO, ANCIEN PRESIDENT DU BURKINA : "La politique est un art hautement humain"

    Bonjour M.le président ; il me semble que vous avez beaucoup de revelations à l’instart des pasteurs de Laurent Gbagbo et cela nous inquiète beaucoup. Pour votre respect je pense que vous devez vous taire maintenant ; vous avez trop raconter des histoires et ça suffit maintenant. Si les revolutionnaires voulaient vous tuer vous etiez mort.

  • Le 6 mai 2011 à 19:40 En réponse à : COLONEL SAYE ZERBO, ANCIEN PRESIDENT DU BURKINA : "La politique est un art hautement humain"

    C’est dommage. Son Excellence est devenu fou. Trop d’ incoherences et d’affirmations gratuites de sa part. Ca pue la haine contre Sankara. Mon Colonel, je vous croyais plus grand que cela.
    Les historiens ne peuvent aucune exploitation de temoignanges si biaises imbibes d’ illuminationnisme.
    Dans tous les cas, tout le monde ne peut pas avoir al hauteur de vue d’ Un General, Lamizana qu’ il se nommait, qui atete renverse par un colonel, dont vous, mais qui a su raison garder.

    LOP

  • Le 6 mai 2011 à 20:02, par EL politicos En réponse à : COLONEL SAYE ZERBO, ANCIEN PRESIDENT DU BURKINA : "La politique est un art hautement humain"

    J’ai lu l’intervention du colonel et une partie retient mon attention « Car de jeunes officiers avaient secrètement fait allégeance à l’Empereur des Mossé en lui promettant, en échange de son soutien, une monarchie constitutionnelle avec toutes les conséquences d’une guerre civile allant jusqu’à la partition du pays. Et des preuves existent au palais impérial en ce moment. »
    C’est vrai une des raisons qui a concouru à la chute du CMRPN et qui m’est revenue c’est la très faible réprésentativité des mossé aux positions stratégigues du CMRPN et son gouvernement. Mais quoique j’ai des choses à redire sur les propos du colonel, je vois un début de réponse au crash du 15 octobre 1987 puisque effectivement avec le Front Populaire la chefferie est remonté à des niveaux jamais atteints dans l’histoire politique de notre pays. Ainsi donc parmis les éléments qui ont porté le 15 octobre on retiendra désormais foi de mon colonel la place de la chefferie mossi. Et Salif DIALLO ne propose rien d’autre qu’une monarchie constitutionnelle dans son projet de reforme politique. Vous êtes donc prévénu.

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