LeFaso.net, l'actualité Burkinabé sur le net
Proverbe du Jour : “Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux.” Proverbe chinois

Phone coash et Fasonet : Droit de réponse de l’ONATEL-SA

Publié le mardi 15 décembre 2009 à 02h14min

PARTAGER :                          

En réaction aux lettres ouvertes de MM. Dieudonné Boubacar Diallo et Fidèle Hien, parues dans l’Observateur Paalga du mardi 1er décembre 2009, nous sont parvenus deux droits de réponse séparés émanant de la Direction générale de l’ONATEL-SA. Dans l’un comme dans l’autre, les responsables de la société s’évertuent à donner des explications appropriées, non sans prendre acte des remarques et critiques des auteurs des écrits ci-dessus cités, qu’ils remercient au passage pour leur démarche.

Avant de donner des éléments d’information, sur Phone Cash Nouveau, nous tenons à exprimer notre surprise concernant certains points soulevés. Nous acceptons les critiques liées à l’incompréhension de l’offre, car écouter le client est une règle importante pour nous.

Mais, affirmer que le client n’est pas informé de l’offre relève d’une autre façon de voir les choses. En effet, le lancement de l’offre, intervenue le 22 octobre par l’entremise d’un déjeuner de presse, a été largement suivi d’une campagne de communication à travers les médias (télé, radio, presse écrite, affichage, Internet).

A l’issue de ce lancement, et au vu des premières réactions des clients, les actions suivantes ont été entreprises : la participation à l’émission "Affairage" de Ouaga FM de responsables de l’ONATEL, le renforcement de l’assistance clientèle dans nos agences et notre centre d’appel, mais surtout l’information téléphonique individualisée des abonnés (opération toujours en cours).

Toujours dans un souci de transparence, nous avons, une fois de plus, convié l’ensemble de la presse à une conférence de presse, tenue le 18 novembre dernier et largement relayée par la presse écrite et audiovisuelle. Par ailleurs, l’ensemble de nos supports donne l’information sur les avantages et la contrepartie de l’offre : du spot radio, au spot télé, en passant par l’annonce presse et l’affichage urbain, il est clairement établi que le bénéfice de l’offre est soumis à un prélèvement systématique mensuel de 2 000 F pour "GARDER SA LIGNE ACTIVE".

Et ce, avec des traductions audio et audiovisuelles dans les langues nationales les plus parlées. Au-delà des explications, nous tenons à rassurer notre clientèle que Phone Cash nouveau n’a pas été lancé dans une démarche ou un esprit d’imposition. Son lancement fait suite à une étude pour la mise à disposition d’un service plus adapté aux besoins de la clientèle.

Il est clair qu’une offre évolue également en s’adaptant aux besoins de sa clientèle ou en suivant les contraintes de son environnement. La nouvelle formule du Phone Cash n’est pas inédite dans le paysage des télécommunications.

Dans de nombreux pays, la tendance du Fixe est au paiement d’un forfait mensuel pour bénéficier davantage de communication que les appels ordinaires ne sauraient combler. On ne peut parler de redevance puisqu’une redevance ne donne droit à aucun avantage. Elle est simplement destinée à supporter les charges de maintenance et d’entretien du service rendu.

Nous remercions l’auteur de la lettre ouverte pour la définition du bonus et ses explications sur les théories du marketing. Cependant, affirmer que « le phone cash fonctionne selon le principe d’une recharge mensuelle de 1 000 francs par mois... », c’est induire toute la clientèle en erreur. Puisqu’il s’agit de démontrer, essayons-nous donc à des comparaisons.

Le Phone Cash sous son ancienne formule imposait à tout abonné une recharge mensuelle minimum obligatoire de cinq mille francs (durée de validité du crédit pour une carte de 5 000 F = 30 jours) donnant droit à effectuer et à recevoir des appels.

Tout compte non rechargé au bout de 15 jours après l’expiration du crédit faisait l’objet d’une suspension et sa réactivation était conditionnée par le paiement d’une pénalité de 2500 francs et l’achat d’une carte d’au moins 5 000 francs. L’attitude de Monsieur Diallo est d’autant plus incompréhensible que le Phone Cash Nouveau est plus favorable à la clientèle :

prélèvement systématique de 2 000 francs par mois, octroi d’un bonus de 1 000 francs par mois ouvert à tous les réseaux et la configuration de deux numéros fixes nationaux au choix que le client peut appeler à souhait durant tout le mois. En plus, le crédit restant ou non utilisé est reconduit à chaque recharge ; il n’est pas écrasé comme précédemment dans l’ancienne formule.

De plus, cette nouvelle offre respecte entièrement nos engagements pris avec le Phone Cash ancienne formule : toujours sans facture, sans redevance, et constitue un moyen sûr pour la maîtrise de son budget par le client.

L’ONATEL-SA connaît les textes en vigueur au Burkina Faso, particulièrement dans le domaine de la réglementation du secteur des télécommunications où nous nous efforçons toujours d’inscrire nos actions dans le respect strict de la réglementation du pays. Parlant de souci de rendre nos services accessibles, nul ne peut ignorer le rôle précurseur du groupe l’ONATEL/TELMOB dans la tendance des bonus au Faso.

Aujourd’hui encore et presque au moins deux ou trois fois par mois, nos clients peuvent bénéficier des différents bonus 100% qui contribuent à diviser pratiquement le prix de l’appel par 2.

Pour le cas du Fixe, nos offres Soirs et Week-ends, Bonus Dounia et autres contribuent à faire chuter le prix des communications et nous sommes résolument engagés dans la voie de la démocratisation du téléphone dans notre pays en vertu de notre engagement à faire des télécoms un service universel auquel chaque Burkinabè a droit.

Cela, par le biais de subventions des postes téléphoniques, de l’extension des réseaux dans les zones même les plus reculées. Il suffit de parcourir les provinces pour voir des villages entiers connectés au réseau téléphonique. Nous voudrions terminer en informant Monsieur Diallo que malgré les contraintes multiples qui pèsent sur le Fixe face à l’hégémonie du Mobile, personne de nous ne voudrait sa disparition.

Si le Fixe doit continuer à jouer ce rôle combien précieux dans nos relations de famille et de travail, il faut qu’il soit avantageux pour appeler et recevoir, et non pour recevoir uniquement. Phone cash offre cet avantage. Le développement et la qualité de service nécessitent un suivi et une maintenance des installations que le prélèvement de 2 000 F ne saurait totalement combler.

Si nous avions voulu réellement appliquer les coûts des investissements, nous serions largement au-delà des 2 000 F. Pour le comprendre, sachez Monsieur Diallo que de nombreuses localités rurales sont couvertes par les réseaux téléphoniques sans même posséder chacune une base clientèle importante pour des investissements très importants. C’est ça le sens de notre responsabilité sociale.

La Direction générale

Au sujet de Fasonet

Dans le souci de l’amélioration de la qualité du service à la clientèle, l’ONATEL-SA a investi énormément ces dernières années dans la modernisation de ses réseaux par l’acquisition de nouveaux équipements plus performants. Cela, aussi bien pour le réseau Mobile que le réseau Fixe, et surtout l’Internet.

Voudrions-nous nous appesantir sur les investissements réalisés ces dernières années que nous ne le pourrions pas tant ce n’est ni l’occasion indiquée, ni l’objet de la lettre ouverte. Nous remercions au passage Monsieur Hien pour la sincérité de ses propos puisqu’il le reconnaît quand il fait état des actions que nous avons engagées du point de vue de la sécurité et de la confidentialité.

C’est le lieu de rappeler notre disponibilité à recevoir les avis de nos clients si tant est qu’ils contribuent à la recherche de solutions pour une meilleure qualité des services.

Pour revenir au problème soulevé par notre cher abonné, il faut dire que la situation évoquée est en grande partie tributaire des effets de la cybercriminalité dont aucun Etat, aucune société, aucune institution et aucun individu n’est à l’abri.

La lutte contre la cybercriminalité est un combat quotidien que nous menons et qui prend de plus en plus de l’ampleur sur la Toile mondiale. Sans verser dans une fuite en avant, nous pouvons dire que ce sont très souvent les moyens mis en œuvre pour éradiquer ce fléau qui engendrent des effets collatéraux imprévisibles c’est-à-dire constatés a posteriori par les utilisateurs d’Internet.

En ce qui concerne le serveur de messagerie de Fasonet, nos dernières statistiques révèlent, d’une part, un taux de sollicitation très élevé pour la gestion des boîtes et mails des abonnés Fasonet ; d’autre part, une utilisation élevée de notre serveur par des personnes non abonnées à Fasonet, mais qui sollicitent ce serveur pour l’envoi de leurs mails, pour la plupart, des messages indésirables (spams).

Il arrive donc que dans la surveillance du réseau, des messages en provenance d’un serveur soient bloqués par un autre serveur quand il constate un envoi massif de spams dans le but de se protéger des "spammeurs" et des virus. Les messages ainsi bloqués sont mis en attente et programmés pour une livraison ultérieure.

Lorsque le délai d’attente arrive à expiration pour certains mails, ceux-ci ne parviennent plus à destination. C’est hélas le cas parfois pour les abonnés de Fasonet comme ça l’est aussi pour des mails en provenance d’autres serveurs vers Fasonet. C’est la raison pour laquelle le mail n’est pas délivré et il n’y a pas d’accusé de réception.

Si toutefois nous ne pouvons tout remettre sur les inondations du 1er septembre, il est opportun tout de même de préciser que les dégâts causés par cette catastrophe n’ont pas épargné non plus les équipements de Fasonet. Le dispositif de renforcement de la sécurité a ainsi été utilisé pour assurer le fonctionnement ordinaire du système dont le matériel avait subi les affres de la montée des eaux.

Nous tenons tout particulièrement à rassurer nos clients que toutes les dispositions sont prises afin de leur assurer un service de qualité, et restons à leur écoute afin d’améliorer la qualité de nos services grâce à leurs critiques constructives. Pour l’éradication du problème soulevé, de nouveaux équipements sont en cours d’installation et devront permettre d’augmenter encore plus le niveau de veille, notamment l’antispam sortant.

En matière de lutte contre la cybercriminalité, seules la vigilance et la réactivité sont de mise face à des « ennemis » passés maîtres dans l’art de l’adaptation et de l’utilisation d’astuces nouvelles à l’échelle planétaire. C’est un combat permanent qui nous renvoie à l’analogie du Tonneau des Danaïdes, c’est-à-dire une lutte sans fin pour laquelle nous nous engageons.

Pour ce qui est des autres aspects soulevés par Monsieur Hien, nous en prenons acte et voudrions le rassurer ainsi que tous nos abonnés sont notre souci et notre engagement à faire toujours plus pour leur satisfaction.

Nous ne saurons terminer nos propos sans apporter à Monsieur Hien et à nos abonnés la bonne nouvelle de la diversification de nos liens Internet grâce à une 4e liaison que nous venons d’établir sur le câble sous-marin SAT3 via le Bénin, après les liaisons par fibre optique avec la Côte d’Ivoire et le Sénégal et la liaison satellite pour l’accès à Internet.

La diversification de ces liens, tout en augmentant la bande passante, renforce la sécurité de nos liaisons Internet face aux risques d’interruption du réseau du fait d’actes malveillants ou autres travaux constatés soit au Burkina soit en Côte d’Ivoire, ou encore sur l’axe Mali/Sénégal.

La Direction générale

L’Observateur Paalga

PARTAGER :                              

Vos commentaires

  • Le 15 décembre 2009 à 05:51, par Kelgue En réponse à : Phone coash et Fasonet : Droit de réponse de l’ONATEL-SA

    Merci pour ces éclaircissements mais j’ai deux petites questions.

    1) Qu’est-ce qui justifie la difficulté de communication : tout récemment durant mon dernier jour de visite au Burkina j’ai chargé mon téléphone avec une Puce Telmob pour 10 000 cfa avec au moins 5000 ou 10 000 de bonus. Mais ca ne m’a pas servi à grand chose parce que quand j’appelais mes amis qui avaient des numéros Telmob ils n’étaient pas joignables (réseau occupé...). Même les sms ne passent pas immédiatement.
    2) Pourquoi est-il presqu’impossible d’appeler sur les fixes au Burkina à partir de l’extérieur ? Ca n’a pas toujours été le cas pourtant. Par exemple des USA, j’ai tenté, durant trois jours consécutifs en vain d’appeler sur deux numéros fixes dans la région du plateau central en vain : ces numéros fixes fonctionnent pourtant quand il s’agit d’appels locaux. Quand on appelle des numéros de certains pays voisins on n’a pas besoin de tenter deux fois. Pour le Burkina que ce soit le fixe ou les portables, il faut s’armer de patience. A quoi sert d’avoir un fixe chez soi au Burkina s’il faut finalement appeler de l’extérieur sur un portable Burkinabé (quand ca marche) parce que le fixe ne réponds jamais ?

    Merci pour tout éclaircissement

  • Le 15 décembre 2009 à 09:31, par lumière En réponse à : Phone coash et Fasonet : Droit de réponse de l’ONATEL-SA

    Vos commerciaux auraient pu établir une plaquette simple concise et précise...
    Phone Cash Nouveu :
    - Téléphoner en ILLIMITE vers Deux (2) numéros de téléphone fixe au burkina préenregistrés. ( ces deux numéros sont-ils changeables en cours de mois ou au bout de combien de temps ? précision à rajouter) COUT => 2000 Frs/mois par prélèvement automatique.
    - Octroi d’un BONUS de 1000 Frs/mois utilisable pour tous appels (report systématique du solde du bonus utilisé ou non utilisé)

    Voici en résumé comment ce produit devait etre présenté.....

  • Le 15 décembre 2009 à 10:46, par moubass En réponse à : Phone coash et Fasonet : Droit de réponse de l’ONATEL-SA

    Tout ça ce sont des explications "foireuses". Enlèvez simplement le "prelèvement automatique" de 1000F et il n’y aura plus de polémique. Messieurs du service marketing de l’onatel ayez l’humilité de reconnaître que que vous avez foiré votre coup et que cette "reforme" ne passe pas dans l’opinion. En matière commercial quand ça marche pas on change son fusil d’épaule au lieu de "s’entêter bêtement", au risque de perdre des clients.Au fait, " A quand l’ouverture de fixe à la concurrence ?"

  • Le 15 décembre 2009 à 13:30, par hic En réponse à : Phone coash et Fasonet : Droit de réponse de l’ONATEL-SA

    Pour l’amour du ciel, arrêtez vos histoires de bonus (je m’adresse à tous les opérateurs) et baissez simplement les coûts de communication : 30F par appel ou au maximum 50 comme c’est le cas ailleurs dans la sous-région. Tout le reste, c’est de l’arnaque !!!

  • Le 15 décembre 2009 à 15:10 En réponse à : Phone coash et Fasonet : Droit de réponse de l’ONATEL-SA

    Madame "La Direction Générale", vous n’avez rien compris, me semble-t-il !

    On a dit, à propos du phone cash, et nonobstant tous les avantages qu’il offre, vous ne sauriez débiter les deux milles (2000)francs du compte d’un abonné sans son accord.

    Dans la pratique, certains abonnés, qui ont certes suivi votre promo à travers les médias, sont tombés à la renverse lorsque après avoir chargé par exemple 5000 francs pour effectuer des appels, ils ont remarqué que leur solde n’avait augmenté que de 3000 francs, "le système" ayant coupé, automatiquement et sans préavis, les 2000 francs. Est-ce que vous comprenez ça, Madame "La Direction Générale" ?

    Est-ce parce que l’ONATEL a investi, et continue d’investir, des millions ou des milliards, parfois dans des zones économiquement non rentable pour elle (l’ONATEL), ou encore, que l’ONATEL ait fait une grande campagne autour du phone cash à la télé, à la radio,.... que vous allez débiter le compte d’un abonné sans que celui-ci ne souscrive d’une manière ou d’une autre à votre produit ? C’est à ces questions que vous êtes appelé à répondre.

    NB : Vous avez débité 2000 francs sur mon compte. Je l’ai su seulement quand j’ai voulu téléphoner et la "voix" m’a dit que je n’ai plus assez d’unités. Je vous donnerai si nécessaire, sur ce forum, mon numéro.

    Un abonné de Ouaga.

  • Le 15 décembre 2009 à 16:12, par ZORRO En réponse à : Phone coash et Fasonet : Droit de réponse de l’ONATEL-SA

    Je crois que l’ONATEL fait la sourde oreille. Oui, il a fait une campagne d’information ! oui, nous les consommateurs avons compris le phone cash nouveau.
    Mais nous disons simplement que nous ne voulons pas charger 2000f, en consommer 1000 et utiliser les 1000 autres francs pour appeler 2 numéros 24h/24.

    J’ai signé un contrat avec l’ONATEL sur ce produit, et je m’interroge de plus en plus sur la pertinence juridique de la modification du service qui implique qu’on prélève 2000f de mon compte sans mon accord. Ce prélèvement n’existe nulle part dans le contrat que j’ai signé. Attention à l’ONATEL, les consommateurs pourraient envisager d’aller plus loin en les assignant en justice.

    Bref, si l’objectif du phone cash était de "sauver" le téléphone fixe au Burkina, je crois que l’ONATEL s’est trompé de méthode. Il est même probable que l’engouement qu’avaient les consommateurs lors du lancement de ce téléphone disparaisse.

    Pour beaucoup de consommateurs,le phone cash n’est en aucun cas une nécessité. A l’air des mobile, on était en contact avec nos proches. Dans ces conditions, il n’y a pas mille solutions : nous allons simplement débrancher nos téléphones phone cash, et nous aurons la paix en bonus !
    la solution est simple.

    • Le 15 décembre 2009 à 17:21, par toutou En réponse à : Phone coash et Fasonet : Droit de réponse de l’ONATEL-SA

      Bien dit cher internaute.l’Onatel se fout de sa clientèle car comme l’a si bien dit quelqu’un, il a le monopole du fixe au BF et c’est triste. je pense qu’avant de mettre un produit sur le marché, il faut sonder auparavant les consommateurs et rectifier le tir en cas désaccord.mais là, c’est la force pure et dure.
      Nous recommandons à l’onatel de revenir à son ancien système avant que la clientèle ne revienne à leur ancien système c’est à dire, ignorer phone cash.

      • Le 15 décembre 2009 à 20:19 En réponse à : Phone coash et Fasonet : Droit de réponse de l’ONATEL-SA

        l’ONATEL-SA s’occupe de ses intérêts et non des besoins de la clientèle.Nous aussi on n’est pas dupe,mais on n’a pas le choix.publicité mensongère sur des produits à la qualité non avérée comme ces fixes bizarres qui se bloquent à chaque coupures d’électricité et deviennent inutikisables,bonus qui disparaissent on ne sait comment et pourquoi.Votre boite est une sacrée connerie exploitant l’ignorance des consommateurs pour s’enrichir indûment.

      • Le 17 décembre 2009 à 03:45, par BADO En réponse à : Phone coash et Fasonet : Droit de réponse de l’ONATEL-SA

        Alors toutou, juste vous donner un surplus d’eclairage, si vous le voulez bien.

        d’abord, l’onatel n’a plus le monopole au niveau de qoi que se soit. ni mobile, ni fixe, ni internet. tout le monde peu donc auj, vendre du fixe au burkina. c’est juste une question de moyen. un ami a zain, me confiait il ya peu, qu’ils n’ont pas encore lance’ le fixe, parce que c’etait moins interessant, et nettement plus couteux au depart.

        qq1 dans le forum, a parle’ d’appareil bizar. s’il veut parler des postes phone cash sans fil, je lui demanderer, juste de retourner le poste. il verra, une place reserve’e a l’inserTion de puce (comme les puces telmob, zain..). c’est dire que la technologie, peut s’adapter en fixe comme en mobile (c’est le k au usa). et adapte’ en fixe, cela peut donne’ un model poste fixe , ou poste cellulaire. et l’onatel a fait les 02.

        et puis toutou, j’en appelle a votre memoire. il ya environs 06 ans seulement, pour avoir un fixe chez soit, dans ce pays, il fallait connaitre qq1. ! (avec 2500f de redevance par mois obligatoire, sans aucun autre droit, q celui de recevoir de appels). et je repete, il fallait connaitre qq1 pour ca !!

        et auj, la plupart de ceux qi ont pris le fixe ces dernieres annees, l’on pose’, depuis pres d’un an sans recharger.

        Ayons donc la patience d’appeller le service client pour mieux nous informer d’avantage.on comprendrait mieux. il est au 133, c’est gratuit !

        Regardez. chaque fin de mois,il ya du bonus 100% sur le fixe phone cash. il me suivit maintenant de recharge mes 2000F, pendant ce moment, je recoit 2000f de bonus vers telmob et le fixe, le des que le 1er, les 2000f me sont preleve’, je recoit 1000f de bonus suplementaire vers tous les numeros, avec 02 fixes nationaux gratuits de mon choix. (DONC 3000F DE bonus, 02 fixes nationaux gratuits, en echange de 2000f).

        Malgre les differentes explications, je trouve les plaintes insistantes, tres etranges !

        UN CLIENT MIEUX INFORME, ET QUI EST FIER DE JOUIR DE SON FIXE PHONE CASH !!

        UN CLIENT

  • Le 16 décembre 2009 à 09:57, par PlacidNitrik En réponse à : Phone coash et Fasonet : Droit de réponse de l’ONATEL-SA

    Chers Messieurs de l’ONATEL,
    Ne nous prennez pas pour des idiots.
    Pour ce qui est du fixe c’est simple, Vous n’avez pas le droit de prélever de l’argent sur un compte client sans l’aval de ce dernier. Et tout changement d’offre doit être soumis à approbation du client. C’est la loi un point c’est tout.
    Pour l’internet c’est tout aussi simple des logiciel gratuit et fiable comme sendmail bien configuré en SMTP authentifié regleraient le problème une fois pour toute. C’est parceque votre serveur sortant SMTP n’est pas protégé et peut être utilisé en anonyme que vous avez des problèmes avec les spams. Ajoutez aussi spamassasin et votre problème est réglé à 99%.
    Donc une petite recherche sur google avec sendmail et spamassassin ne vous ferait pas de mal. Ils sont gratuit et tournent bien sous linux avec des machines abordables. La preuve, je les utilisent au bureau sur un vieux Pentium 3. Vous ne bossez pas à fasonet.
    En plus votre connexion est médiocre on paye pour une service qui n’est jamais fourni et qui se coupe intempestivement pour des durées indeterminées.
    Vos DNS sont toujours en pannes etc.
    Alors de grâce, n’essayer plus de nous raconter des sornettes et assumez votre incompétence.

 LeFaso TV
 Articles de la même rubrique
Burkina : Une économie en hausse en février 2024 (Rapport)