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SONABEL : La preuve par Saint-Nazaire

Publié le jeudi 19 novembre 2009 à 02h46min

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La période chaude, qui va de mars à mai, est un moment de dur labeur pour la Société nationale d’électricité du Burkina (SONABEL), compte tenu de la forte demande en électricité. Est prévue pour pallier le déficit en électricité, la future centrale de Silmissin (Komsilga) dont le premier tour de manivelle aura lieu en mars 2010. Du 10 au 15 novembre 2010, une mission de la Nationale de l’électricité a effectué un séjour à Saint-Nazaire sur le site de fabrication du moteur.

Jeudi 29 octobre 2009, dans la commune rurale de Komsilga, à une trentaine de kilomètres au sud de Ouagadougou. La route qui mène à la future centrale électrique de Silmissin, quoique non bitumée, est assez praticable. Des deux côtés de la voie, des tiges de mil en train de sécher au soleil portent encore des épis dont l’apparence en dit long sur la mauvaise qualité de la saison agricole.

Parvenu dans l’enceinte du site qui va abriter le groupe électrogène, le visiteur remarque que, telles des abeilles dans leur ruche, des ouvriers s’activent. La première œuvre qui se dresse à ses yeux, c’est le massif sur lequel sera installé le groupe électrogène. Un imposant bloc de béton de 1,90m enfoncé dans le sol et qui donne une idée du mastodonte de 375 tonnes qui y sera bientôt posé.

Toutes les installations sortent de terre : la salle des commandes, le local de dépotage, les bureaux, les citernes, le bâtiment de traitement des combustibles, la section incendie, l’atelier-magasin. Même le gros-œuvre du futur logement de celui qui sera le chef de la nouvelle installation, Ibrahim Bamogo, est achevé. C’est avec un plaisir légitime, d’ailleurs, que ce dernier a fait le tour en tant que futur locataire des lieux avec les invités du jour. En somme, tout semble être parti pour un accueil, selon les normes du G1 en fabrication en France.

Mercredi 12 novembre 2009, Ville de Saint-Nazaire dans l’Ouest de la France, à 435 km de Paris. Il fait froid. Le thermomètre affiche un peu moins de 10 degrés et un petit vent typique des régions situées en bordure de l’océan dicte sa loi. Les premiers responsables de l’usine MAN Diesel SAS accueillent une délégation venue de Ouagadougou et composée de : Salif L. Kaboré, Directeur général de la SONABEL ; Mohamed P. Sogli, PDG de SOPAM S.A ; Alphonse Kadjo, Directeur général de la BIB (aujourd’hui UBA) ; Gnoumato B. Ouattara, Chef de projet de la centrale de Komsilga ; Arona Diarra, Chef du Département Communication et Relations publiques de la Nationale de l’électricité et des représentants de la société de transit chargée d’acheminer le matériel jusqu’au Burkina.

Vaste domaine que MAN Diesel SAS ! La structure d’accueil, avec ses 570 employés répartis sur deux sites, est active sur les marchés de centrales de base pour la production d’électricité, les groupes de secours de centrales nucléaires et de systèmes de propulsion pour les applications marine, marchande et militaire. Grâce à ses capacités de levage dans ses ateliers, à la proximité des installations portuaires, et aux compétences de ses équipes, le site de Saint-Nazaire est positionné comme un axe majeur dans la production de très grands moteurs Diesels.

Sur le dépliant distribué à l’occasion, l’on lira que MAN Diesel est leader des fournisseurs de gros moteurs Diesel à travers le monde et, parmi les milliers de moteurs vendus, l’entreprise a, à son actif, 14 500 moteurs Diesel qui représentent plus de 42 500 000 kW. Au nombre de ses clients, figurent des sociétés bien connues comme Electricité de France (EDF) qui vient, d’ailleurs, de passer une commande de 50 moteurs.

L’objectif global du projet de construction de la centrale thermique diesel 18 MW de Komsilga est l’augmentation de la capacité de production d’énergie pour pallier le déficit de puissance du Centre régional de consommation de Ouagadougou et sécuriser l’approvisionnement en énergie électrique. Pour sa concrétisation, la Nationale de l’électricité a décidé d’assurer, elle-même, la maîtrise d’ouvrage en lieu et place d’un bureau d’ingénieur-conseil. Le projet comprend trois composantes dont la plus importante est la construction, la fourniture, le montage et la mise en œuvre, clé en main, des infrastructures de la centrale. Le génie civil, la construction et l’installation du moteur sont du ressort de l’entreprise SOPAM S.A. La mise en service de la centrale est prévue pour le mois de mars 2010. Son coût global d’un montant de 18 milliards de FCFA est financé par un emprunt d’Etat de 10 300 000 000 de FCFA et par les fonds propres de la SONABEL à hauteur de 8 533 000 000 de FCFA.

« Nous sommes venus constater de visu l’effectivité de la construction du groupe électrogène. Il nous faut ce groupe avant la prochaine saison chaude. C’est devenu une affaire nationale. Nous avons beaucoup été éprouvés par les critiques et nous continuons d’en recevoir. Des plus sérieuses aux plus farfelues », a annoncé, droit dans les yeux et sans fioriture diplomatique aucune, le Directeur général de la SONABEL, Salif L. Kaboré, au patron de MAN Diesel SAS, Patrick Renaud, et à son chef de projet, Patrick Haussaire. « Il n’est pas dans nos habitudes d’amener des hommes de médias dans nos réunions d’affaires. Cette fois-ci, nous avons fait exception pour que les journalistes qui sont avec nous puissent constater qu’il s’agit bien d’un groupe neuf, car bien des choses ont été dites sur les machines de la SONABEL », a aussitôt ajouté le chef de mission comme pour rassurer ses hôtes.

En effet, il semble que s’il y a une race dont se méfient les industriels, c’est bien celle des reporters. La preuve, dans ce milieu, la prise d’images est souvent taboue. Après ces préalables, c’est vite parti pour des réunions de travail et des visites de terrain pour vérifier l’état d’avancement du groupe en construction.

Toujours est-il que durant tout le séjour, c’est un langage de vérité qu’a tenu le premier responsable de la SONABEL. Le moment le plus attendu ayant été la visite de l’atelier où trônait, majestueux, le châssis sur lequel seront bientôt installées toutes les parties. L’objectif principal est que la machine soit prête au plus tard le 16 décembre 2009. Ce détour dans les ateliers de fabrication a contribué à décrisper bien des visages. En effet, Dieu seul sait combien de fois le ton est monté pendant les différents échanges.

La hantise de tous, surtout du DG de la SONABEL, était le non-respect de l’échéance de mars 2010. Et nul n’a été épargné. Il en va jusqu’au banquier, Alphonse Kadjo, dont la structure (la BIB) finance le projet. Le PDG de SOPAM, un brin taquin, n’a cessé de l’interpeller pour qu’il daigne délier le cordon de la bourse à chaque fois que de besoin afin que le délai soit respecté. Réaction du DG de la BIB, le jour de son départ, qui a aussitôt apprécié l’initiative de la SONABEL, avant de poursuivre.

« Elle nous a permis, à nous autres banquiers qui travaillons à partir de documents, de toucher du doigt certaines réalités et de voir concrètement ce qui est en train d’être fait en termes de qualité et de technicité. Cela nous a permis également de toucher du doigt un certain nombre de contraintes et d’impératifs. Cela nous permettra de faire une programmation beaucoup plus efficiente et qu’à chaque étape, le financement requis soit disponible ».

En attendant, le DG de MAN Diesel SAS ne tarit pas d’éloges sur le modèle commandé par la SONABEL et SOPAM S.A. « MAN est une compagnie majeure dans la fabrication de moteurs Diesel. Le moteur 48-60 est un moteur éprouvé et est déjà présent dans de nombreuses centrales ; Electricité de France (EDF) l’a choisi. Nous avons été très sensibles à vos préoccupations et vous avez notre engagement que nous ferons tout pour que la centrale soit prête dans les délais ».

Issa K. Barry


Salif Kaboré, DG de la SONABEL : « Il y a souvent une intention de nuire »

Pourquoi ce voyage à Saint-Nazaire ?

Nous avons initié cette visite pour vérifier l’état d’avancement de la construction du G1 de Komsilga. Comme vous le savez, l’Etat a permis de faire passer une commande de ce groupe avec la société SOPAM S.A. Malheureusement, ce projet a connu un petit retard. Et, pour nous rassurer cette fois-ci que nous aurons le groupe pour la période chaude de 2010, nous avons tenu à venir sur le site même de fabrication afin de prendre langue avec MAN Diesel SAS. Nous avons aussi tenu à associer la presse afin qu’elle puisse témoigner que le G1 qui sera installé à Komsilga, à l’instar du G8 installé à Kossodo, est un groupe neuf. A la SONABEL, nous avons dépassé la période où l’on achète des groupes d’occasion. En tout état de cause, sous l’ère Salif Kaboré, la société n’a jamais acquis une machine d’occasion.

Quelles sont vos impressions après le séjour effectué à MAN Diesel ?

Vous avez certainement constaté avec moi que notre machine est fabriquée dans de grands ateliers avec un savoir-faire évident. Et je crois que le montage des pièces sera achevé dans les délais et que la machine sera opérationnelle dans les délais.

En termes d’offre, que représentera pour vous la centrale électrique de Komsilga ?

Le déficit en électricité, cette année, était de l’ordre de 12 mégawatts. Le groupe en construction sera de 18. C’est déjà bien. Mieux, avec l’arrivée de la ligne d’interconnexion Ouaga-Bobo à la fin de cette année, nous serons à même de satisfaire amplement la demande en électricité dans la ville de Ouagadougou. Mais je tiens à préciser que, comme tout gros appareil neuf, il pourrait connaître ce que l’on appelle des « erreurs de jeunesse ». A ses débuts, il pourrait y avoir des hauts et des bas avant d’enclencher sa vitesse de croisière. Il en est de même pour la ligne Bobo-Ouaga. De petits problèmes de réglages pourraient survenir au début.

Vous avez été sous les feux de la rampe cette année, particulièrement pendant la période chaude. Quelles sont les leçons que vous tirez de toutes ces interpellations et de certaines accusations ?

Nous sommes une société de service et de par ce fait, nous devons satisfaire la demande des clients. Et lorsqu’un abonné n’est pas satisfait, c’est de son bon droit de se plaindre. Je comprends donc les manifestations d’humeur durant les périodes de délestage. Elles sont légitimes. Seulement, il est dommage de constater qu’il s’agit, le plus souvent, d’attaques personnelles à notre égard. Le grand problème chez nous, c’est la désinformation ambiante.

J’ai même l’impression qu’il y a souvent une intention de nuire. C’est pitoyable lorsque j’entends ou je lis quelque part que le G8 installé à Kossodo est un groupe d’occasion. Il faudra qu’au Burkina, on arrête de parler de ce qu’on ne sait pas. En ce qui me concerne, lorsque je ne maîtrise pas un sujet, j’évite de l’aborder en connaisseur. En le faisant, je donne l’occasion à ceux qui m’écoutent de me traiter de menteur. Mais comme je l’ai dit plus haut, il y a souvent une intention manifeste de nuire et c’est dommage.

I.K.B


Mohammed P. Sogli : « Les gens racontent du n’importe quoi ! »

Vous êtes le premier responsable de SOPAM S.A, la société adjudicataire du marché d’installation de la centrale de Komsilga. Quelles sont vos impressions après le séjour à Saint-Nazaire ?

C’est un grand soulagement pour moi dans la mesure où mon client, la SONABEL, et la banque (BIB) qui a accepté m’accompagner dans ce projet, ont constaté que le montage de la machine commandée se poursuit normalement.

SOPAM S.A a-t-il réellement une certaine expertise dans l’installation de centrales électriques ?

Votre question est pertinente parce que beaucoup ignorent que je suis dans ce secteur depuis 1996. Je suis l’un des rares Africains dans ce domaine en concurrence avec les Européens. Nous nous sommes retrouvés plusieurs fois sur le marché de la compétition. J’ai fourni plusieurs centrales à la SONABEL. Auparavant, pour un sommet de l’OUA qui s’est tenu à Ouagadougou, j’ai fait déplacer par avion spécial des groupes électrogènes pour alimenter les différents sites d’accueil. Nous sommes également connus dans la sous-région, notamment au Bénin, en Mauritanie, au Sénégal ou au Mali. Dans le dernier pays cité, j’y ai installé une centrale électrique, personnelle je tiens à le préciser, de 60 Mégawatts que je mettrai bientôt en fonction.

Et pourtant vous ne semblez pas manquer de de détracteurs …

Eh oui ! C’est le Burkina. Tous les groupes que j’ai vendus au Burkina ont toujours été neufs et fabriqués dans des maisons très respectables. Mais nous entendons du tout. Je trouve dommage d’entendre, par exemple, que la SOPAM aurait vendu des groupes électrogènes de bateau qu’il faut arroser avec de grands seaux d’eau lorsqu’ ils s’échauffent. Je pense qu’il faut aller vers les sociétés concernées avant de livrer une information. Dans notre secteur d’activités, vous avez les compétences ou vous ne les avez pas. Il n’y a pas d’accointances. Soit tu es qualifié ou tu ne l’es pas. Et si les structures continuent de commander chez moi, c’est qu’elles trouvent satisfaction. Sinon je ne serais pas dans ce secteur d’activités pendant une vingtaine d’années. Les détracteurs ont donc intérêt à mieux s’informer avant de parler.

Pour ce qui concerne Komsilga, pourrez-vous respecter l’échéance de mars 2010 ?

Nous allons jouer notre partition pour que ce soit le cas. Mais les gens oublient souvent que c’est un travail très complexe à plusieurs chaînes. Du côté de la France, il y a la construction de la machine et son transport par bateau jusqu’en Côte d’Ivoire, avant qu’un véhicule, hors-gabarit fabriqué pour l’occasion, ne l’amène à Komsilga à petite vitesse. Au Burkina, il y a le génie civil, la construction de cuves, le montage, les essais, etc. C’est donc un travail d’assemblage où il y a beaucoup de sous-traitants. C’est si complexe qu’il n’y a pas beaucoup qui s’investissent dans ce domaine en Afrique. C’est un travail hautement qualifié et hautement professionnel. Mais nous en avons l’habitude. C’est devenu une affaire nationale, et nous ferons tout pour que la centrale soit fonctionnelle en mars 2010.

I.K.B

L’Observateur Paalga

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Vos commentaires

  • Le 19 novembre 2009 à 05:13 En réponse à : SONABEL : La preuve par Saint-Nazaire

    tous ca c’est wobawoba attendons de voir d’ici mars .j’esper ke le bateau ne vas pas couler cette foi si ?

  • Le 19 novembre 2009 à 09:02 En réponse à : SONABEL : La preuve par Saint-Nazaire

    Correction : la visite a eu lieu en 2009 pas 2010. Merci

  • Le 19 novembre 2009 à 09:08, par albert En réponse à : SONABEL : La preuve par Saint-Nazaire

    Le Burkina n’a pas de pétrole, le pétrole se fait rare et les prix du baril monte (spéculation).

    Les réserves de pétrole ne sont pas illimités et bientôt il n’y ara plus du tout de pétrole sur terre.

    Dans les pays occidentaux, ils sont conscients de tout ça et recherchent des alternatives (énergie renouvelable, nucléaire etc)

    Au Burkina, comme d’habitude, on monte des projets qui coûtent chères, qui donnent l’impression que le pays avance, alors que ces projets sont destructeurs pour le pays.

    Que va devenir cette centrale demain quand le prix du pétrole va doubler ? (on a vu ça il y a moins de 2 ans)
    Que va devenir cette centrale dans 10 ans quand les réserves de pétrole seront au plus bas ?

    Des milliards ont été engloutit dans des barrages hydroélectriques (Bagré etc) qui devaient apporter de l’électricité… Ou en est on ?

    Pauvre pays. Avec cette nouvelle centrale, nous restons dépendants de la France : combien de temps faudra t’il pour avoir des pièces détachées quand il y aura une panne ? combien coûtera la maintenance (par les français) ?

    Bref, les journalistes devraient se poser toutes ces questions avant d’applaudir a ce projet.

  • Le 19 novembre 2009 à 10:10, par nogyele En réponse à : SONABEL : La preuve par Saint-Nazaire

    Nous, on s’en fou du tapage médiatique ni de votre excursion en France on a vu en 2007 avec ce groupe de 18MW ca na rien donné si ce n’est que des délestages et en son temps on avait entendu toutes sortes de commentaires la-dessus. et au finish c’était la déception ; on attend 2010 pour faire le bilan avec ce machin car il ne suffit pas d’aller faire une visite dans un atelier Mr le DG et affirmer déja que les produits fabriqués sont impeccables.ca c’est le fort de nos dirigeants !!!

  • Le 19 novembre 2009 à 10:12 En réponse à : SONABEL : La preuve par Saint-Nazaire

    Bonjour au journaliste pour ce travail,

    S’agit-il d’un publi reportage commandé par la SONABEL, SOPAM et UBA ? Je le pense. Mais comme le rôle du journalisme c’est de parler "des trains qui ne sont pas à l’heure", je suis surpris qu’il n’ait pas parlé des problèmes que vivent les populations malgré tout.

    A quand l’électrification totale de toutes ces zones loties où sévit le banditisme à cause du noir ? A quand la baisse du coût de l’électricité ? La baisse des frais de branchement...?

    Je pense humblement que vous avez encensé la SONABEl et êtes désormais mal placé pour lui parler de ce qui ne va pas demain.

    Certes M. Salif KABORE fait des efforts, mais il faudrait qu’il aille jusqu’au bout. La centrale qui sera construite à Komsilga est destinée à qui ? A tout ceux qui ont déjà du courant, mais qui n’en auront pas assez en période chaude !!?

    Quid de tous ceux qui n’ont pas de courant tout simplement, qu’il fasse froid ou chaud ?

    Merci d’apporter s’il vous plaît, une réponse à mon interrogation

  • Le 19 novembre 2009 à 10:18, par Jeune Burkinabè Indigné En réponse à : SONABEL : La preuve par Saint-Nazaire

    « A la SONABEL, nous avons dépassé la période où l’on achète des groupes d’occasion. En tout état de cause, sous l’ère Salif Kaboré, la société n’a jamais acquis une machine d’occasion ». C’est bien dit Mr. le Directeur, mais l’ère des nouvelles machines est aussi dépassée. L’heure est aux énergies renouvelables, notament Solaire, que nous pourrions exploiter au Faso de facon illimitée. Je crois qu’il vaut mieux commencer par voir déjà comment promouvoir ces nouvelles possibilités au Faso. Avec 18 Milliards, beaucoup de choses pourraient être faites dans ce sens.

  • Le 19 novembre 2009 à 11:03 En réponse à : SONABEL : La preuve par Saint-Nazaire

    Et oui, au moment où l’on parle de réchauffement climatique, d’énergies alternatives, où l’on fuit les énergies fossiles comme la peste, au moment où tout le monde se reconvertit aux énergies renouvelables, au moment où les premiers producteurs de pétrole choisissent de se reconvertir dans le tourisme, ... c’est à ce moment que nous allons aller vers nos ancêtres les gaulois, acheter un moteur diesel super consommateur de carburant et super pollueur pour mieux s’enfoncer dans notre morbidité. On a fait quoi au bon Dieu ?

    La Côte d’Ivoire ou le Ghana ont fini leur courant ou quoi ? On parle d’intégration sous régionale, quelle meilleure intégration que de partager nos biens au lieu d’aller verser des milliards à ces mêmes français à qui on nos parents ont déjà emprunté des trillions et qui ne cessent de voir en nous des vaches à lait, une société de consommation aveugle de tout ce qu’ils produisent ?

    Quelle pitié.

  • Le 19 novembre 2009 à 11:51 En réponse à : SONABEL : La preuve par Saint-Nazaire

    Ouaga, le 19/11/2009

    A lire cet article, il y a de quoi se poser des questions sur l’avenir de l’énergie électrique au Burkina Faso.

    En effet, à l’heure actuelle, les autorités devraient penser à l’énergie solaire qui est une source d’énergie pour l’avenir. Je parle d’avenir pour l’Afrique et le Burkina en particulier car en Europe et en Chine cette source est déjà utilisée malgré qu’ils ont peu de soleil ; de grosses centrales solaires ont été implantées dans certaines régions de l’Europe pour le bonheur des citoyens.
    Le Burkina Faso a trop de soleil, trop même, la chaleur qui règne sur la terre des hommes intègres à une réputation qqui dépasse nos frontières. Au lieu de laisser ce soleil venir griller gratuitement et rendre la vie dure aux pauvres populations, les autorités devraient penser à exploiter les opportunités que peuvent offrir ce soleil brulant afin de sortir le pays de sa misère énergétique.

    Pourquoi personne ne s’en préoccupe ? C’est parce que aller sur la voie de l’énergie solaire reviendrait tout simplement à abandonner l’utilisation destonnes pétrole qui font tourner les grosses machines et, de ce fait, aller contre les intérêts des producteurs et autres revendeurs du précieux liquide. Il est vrai qu’il y a des intérêts énormes qui profitent aux firmes étrangères et bien sûr à nos autorités mais de grâce, ayez pitié des pauvres que vous gouvernez.

    Salifou de BAYOU

  • Le 19 novembre 2009 à 12:08 En réponse à : SONABEL : La preuve par Saint-Nazaire

    OUAGA, le 19/11/2009

    C’est bien mais il faut penser nécessairement à développer l’énergie solaire au Burkina Faso car c’est l’une des voies qui peuvent nous tirer d’affaire en matière d’énergie solaire.

    Les européens et les chinois n’ont pas autant de soleil que chez nous mais ils développent déjà cette source naturelle que Dieu a voulu mettre gracieusement à notre disposition.

    Le problème de l’Afrique et du Burkina Faso en particulier, c’est sa pauvreté d’inaction, je dirai pas intellectuel car ce serait insulter beaucoup de compétences qui ne demandent qu’on leur permettent de mettre leurs connaissances au profit des populations. Mais le vrai problème ce sont les intérêts des uns et des autres qui sont en jeu au mépris total des pauvres populations. Ainsi, nos états et leurs dirigeants préfèrent investir dans le pétrole et dans l’achat des grosses machines souvent avérées inefficaces et, en retour ils récoltent les grosses commissions pour faire la pluie et le beau temps ici au Faso et à ailleurs. Mais ayez pitié des populations qui souffrent.

    Salifou de BAYOU.

  • Le 19 novembre 2009 à 12:39 En réponse à : SONABEL : La preuve par Saint-Nazaire

    Salif et Sogli peuvent dire ce qu’ils veulent. Ils peuvent aussi aussi tenter de se justifier en fabriquant des missions pareils.
    Ce que je veux dire est que notre DG n’en est pas un bon. Ses capacités de visionnaire tout comme celles d’anticipations sont zéro. Notre pays est fatigué de ces directeurs et managers qui attendent que les problèmes se posent pour maintenant commencer à jongler.
    Il faut éviter de nous abrutir. On veut du courant moins cher un point un trait.

  • Le 19 novembre 2009 à 14:08, par YN En réponse à : SONABEL : La preuve par Saint-Nazaire

    Pour peu que tout cela nous mette à l’abri de la privation de l’energie electrique sans laquelle aucun developpement sérieux n’est envisageable !

    Monsieur le DG ne dit pas comment on choisit aussi les sites à électrifier dans ce pays là. Pendant que des vieux quartiers de ouaga lotis depuis 10 ans et bien habités sont sans électrité (ex. GODIN/Bindego à ouaga), on voit des potaux dans des déserts de parcelles ailleurs. En simple observateur, cela me semble être du gachi économiquement parlant. on perd de l’argent en exploitanat pas ces potaux et fils électriques suspendus qui attendent les futurs locataires....pardon salfo, faut connecter le quartier GOdin et les autres qui attendent belle lurette que la nationale leur permette un developpement....content que les critiques vous blessent et vous amènent à trimer pour mieux faire...si c’est cela qu’il faut, vous serez critiquer toujours et toujours pour que ça marche....

  • Le 19 novembre 2009 à 14:19 En réponse à : SONABEL : La preuve par Saint-Nazaire

    Bien merci pour cet article ; je suis qu’en meme deçu de voir qu’il a été orienté dans un sens : celui de montrer que la sonabel utilise des machines d’occasion.
    Et oui,monsieur le directeur,nous le dirons et nous n’arreterons pas tant que vous ne ferez pas preuve de transparence dans vos actions.
    Les burkinabé paient leur facture mais ils ne sont pas informés de ce qui se passent à la sonabel.
    Aucune declaration de la part du directeur en temps de delestage.Alors c’est tout à fait normal que les gens accusent la sonabel.
    Aujourd’hui,il ne fait aucun doute qu’il faut informer les burkinabé.Il faut leur dire ce qui se passent à la sonabel pour les delestages.
    Le peuple ne se sentait pas ecouter, donc les rumeurs ont commencé à se developper et comme le DG ne dit rien,ces rumeurs se sont amplifiées.
    La consommation de l’energie est en forte croissance donc il faut anticiper :
    - soit en achetant de machines de forte puissance
    - Soit en achetant plus d’energie
    - ou meme encourager les energies renouvelables.
    Si la sonabel ne peut pas gerer ce problème,alors il faut permettre aux burkinabé de produire de l’electricité et de revendre à la sonabel.

  • Le 19 novembre 2009 à 14:52, par Le Coupable En réponse à : SONABEL : La preuve par Saint-Nazaire

    ca c’est l’exemple typique d’un mauvais article. comment on peut comprendre que quelqu’un qui se dit journaliste, travaillant dans un média sérieux comme l’observateur puisse traiter d’un tel sujet de cette de manière partisane. Quand au DG de la Sonabel, il n’a savoir qu’on s’en fou . ce qu’on veut c’est le courant et moins cher. Avant lui il y avait le courant pour tous à ouaga. c’est son incompétence qui a envoyé cette situation. S’il ne veut pas de critique, il n’a qu’a aller au village. C’est nous les contribuables qui faisons vivre la Sonabel. S’il trouve que ca le dérange, il n’a q*aller ouvrir sa société à lui et personne ne le dérangera. Mais c’est pas votre faute. c’est la faute de celui qui vous a mis la bas. Mais sachez que chaque chose a une fin. Le peuple n’est pas dupe.

  • Le 19 novembre 2009 à 15:29 En réponse à : SONABEL : La preuve par Saint-Nazaire

    Meme si cet article venait d’ un journaliste stagiaire, il ne serait pas bon a prendre. Mr. Le Journaliste, les journalistes ne sont pas des Messieurs Connait Tout comme certains intervenants bien connus sur ce site. mais le professionnalisme recommande qu’ ils fassent des recherches avant de rencontrer les personnalites a interviewer. Ne chercherz pas a faire plaisir pour les gombos que vous allez recevoir. Faites vous respecter. Comment pouvez- vous avaler tout ce que Salif, un directeur qui doit encore demontrer ses competences manageriales a un poste si strategique et Sogly, un operateur economique (entendez un commercant moderne qui ne dira pas que le produit qu’ il a commande est d’ une petite maison en France et d’ une qualite que lui- mme ne connait pas, n’etant pas ingenieur ?). Avant de transcrire leur boniment, il fallait aussi faire de l’ analyse sinon n’ importe qui peut al ;ler tendre son micro a n’ importe qui puis noirir les pages des journaux. Sui c’est de l’ information, j’ en doute, ce n’est surementpas de la communication. Un communicateur se doit de mettre les idees cot a cote afin que l’ n puisse voir les tensions, les contradictions entre elles. Par exemple, ce n’est pas la premiere fois que Salif, soit dit en passant, on s’ en fout de votre personne, on ne veut pas vous nuire , on veut simplement du service bien rendu). Pourquoi vous ne lui posez pas la question a savoir les promesses de 2007 ? Il cree l’ optimisme dans les populations pur nous vendre en realite de la chaleur. Pourquoi ne pas faire une petite recherche sur les Energies nouvelles et renouvelables ? Pourquoi ne pas faire une recherche comparee sur les differentes machines (allemandes, franaciases, Japonaises ?). Ya -til en France seulement ou on peut s’ approvisionner ? J’ espere que l’ association des journalistes apprendra a ses membres a poser les questions qui derangent afin que la presse reste veritablement le 4 eme pouvoir. Sinon les journalistes risquent de rester de petits reporters gomboises.

    LOP

  • Le 19 novembre 2009 à 15:42, par poko En réponse à : SONABEL : La preuve par Saint-Nazaire

    Très bien, le DG de la SONABEL connait bien son métier ? Seulement je n’arrive pas à comprendre comme une entreprise performante ne dispose pas d’ingénieurs de poids pour procéder à de pareils acquisitions. Pourquoi un appel d’offre pour q’une entreprise burkinabè livre un tel matériel alors que la SONABEL dispose de beaucoup plus de techniciens et d’ingénieur pour assurer la fiabilité d’un tel investissement. Autrement dit, je ne comprends pas comment la SONABEL peut après tant d’années d’existence ne pas posséder de l’expertise en matière d’énergie.

    Je voudrais savoir qui avait fait les premières livraisons pour qu’il y autant de pannes et de délestage. La SONABEL a t-elle tiré leçons de ce premier appel d’offre ou il avait été livré des groupes défectueux ?

    Pour le moment on peut reprocher aux clients d’être exigent, mais c’est quand même eux qui payent les factures.

    Quand il s’agit de nous faire un coup de pub, on ne voit pas le DG. Cette fois-ci je pense qu’il a compris que le moindre délestage sera une injure à l’opinion publique. Pourtant nous ne sommes pas encore à l’abri.

    La photo que nous voyons doit nous interpeler. Un tel matériel ne peut arriver au Burkina avant janvier 2010. Et puis par quelle route le matériel arrivera ? Il passer sur quel pont à Ouagadougou ou le déluge du premier septembre a fragiliser les infrastructures.

    SOPAM et SONABEL ont-il analyser ce risque ?

    Pour conclure, sachons que ce materiel ne sera pas prêt en mars 2010 pour couvrir les besoin du pays en électricité.

    Voilà ce qui est prévisible dans le court terme :

    Le matériel a été d’occasion

    Le cahier de charges n’avait pas prévu telle ou telle situation

    Nos ingénieurs et techniciens ne sont pas encore expérimentés.

    N’attendons pas une amélioration sur les délestages, parce que la consommation et les besoin du pays ont augmenter. Regarder combien de maisons sortent de terre chaque année. Combien de climatiseurs les particuliers et les entreprises utilisent, le nombre de réfrigérateurs qui sont installer par an, et nous comprendrons qu’en réalité aucune étude allant de prévisions à un an, allant jusqu’à 10 ans ne sont pas faites. Aucune anticipation, pourtant gouverner c’est prévoir.

    Jusqu’à présent personne ne pourra dire combien les délestages ont coûté aux entreprises et aux particuliers, la SONABEL ne s’en préoccupe pas. La SONABEL n’a pas de compte à rendre à ses clients mais à l’Etat.

    Vive la privatisation et cette gestion de l’énergie.

  • Le 19 novembre 2009 à 15:44, par Machiavel En réponse à : SONABEL : La preuve par Saint-Nazaire

    Qui a payé le voyage du journaliste sur les lieux. Si c’est la SONABEL, cela a un nom. Je sais qu’il n’y a pas quelqu’un qui peut me sortir un ordre de mission avec justificatifs de frais au nom du droit à l’info.

    • Le 19 novembre 2009 à 20:55, par Pouknini En réponse à : SONABEL : La preuve par Saint-Nazaire

      Bien vu mon cher. Si la SONABEL emporte dans ses bagages des journalistes (paiement du billet, du séjour et peut-être perdiems), il va sans dire que l’orientation de l’article est toute trouvée avant départ. L’indépendance de la presse n’est pas seulement face au pouvoir politique, mais aussi vis-à-vis des entreprises...

  • Le 19 novembre 2009 à 17:13, par Koutou Moctar En réponse à : SONABEL : La preuve par Saint-Nazaire

    Je dois dire à M. le DG de la SONABEL que la confiance est suffisamment rompue entre la SONABEL et ses abonnés. Qu’il souffre donc d’être critiqués après tant de mensonges. Tantôt c’est Narcisse qui est allé chercher une pièce, tantôt c’est le manque de pluie...Même avec ce nouveau groupe en construction il dit : "je tiens à préciser que, comme tout gros appareil neuf, il pourrait connaître ce que l’on appelle des erreurs de jeunesse. A ses débuts, il pourrait y avoir des hauts et des bas avant d’enclencher sa vitesse de croisière." On vous voit déjà venir ! D’ici là on va nous dire que le bâteau qui transportait le groupe a coulé ou a été attaqué par des pirates...Quand on sait que un nouveau groupe a besoin d’un long temps de rodage on doit tout faire pour l’installer avant, le tester pour qu’il soit opérationnel pendant la période chaude. Je parie que 2010 sera encore un cauchemar avec les délestages. Et c’est pas les explications qui manqueront. C’est dommage !

  • Le 19 novembre 2009 à 18:46 En réponse à : SONABEL : La preuve par Saint-Nazaire

    Oui vous savez, c’est nous qui payons nos factures, le DG n’a jamais rien paye, et voila pourqoi, il na jamis essaye pour l’amelioration des conditions de vie des burkinabe. Mettez vos relations avec d’autre pays et lessez la France. On en a assez.Tu n’a pas honte de venir nour que les machines dont nous utilisons sont des machines occasionees.
    Voila pourqoi a chaque chose il nous faut un changement. Nous nous parlons de l’energie solaire, ce DG ne connait pas ca. Alors ,il nous faut des Jeunes tres bien formes qui vont parvenir aux changements de la condition de vie de tout le monde au Faso.

  • Le 19 novembre 2009 à 18:49 En réponse à : SONABEL : La preuve par Saint-Nazaire

    Salu tout le monde, si c’est ce type la qui est notre DG de sanabel, remplcons le. Il fait le Malin. Regardez coment il est dans sa photo. C’est un blofer.

  • Le 19 novembre 2009 à 19:22, par sniper de chicado En réponse à : SONABEL : La preuve par Saint-Nazaire

    le fait est que avant l’ere Salif donc au moment ou on achetait des machines d’occasion il n’y avait pas de delestage. sous l’ere Salif on achette des machines neuves et on a plus le courant en continu. alors on fait quoi ? comment vous vous expliquez que vos predecesseurs aient fait mieux que vous avec moins d’argent.

  • Le 19 novembre 2009 à 19:33, par sidyasoma En réponse à : SONABEL : La preuve par Saint-Nazaire

    pourquoi pensez vous toujours que les gens vous en veulent. les gens vous jugent sur les conneries que vous racontez et qui vous rattrapent tout de suite. Travaillez bien et honnetement et vous verrez que les gens vont ignorer jusqu’à votre existance. Qui ne connait pas qui dans ce pays. Noubliez jamais votre passé et prenez pas les autres pour des nez percés. Mars 2010 est vite arrivé et on verra.

  • Le 20 novembre 2009 à 13:48, par Owalas En réponse à : SONABEL : La preuve par Saint-Nazaire

    OH gens d’intelligence,

    Vous qui savez tout sur la déontologie de la presse,
    les nouvelles énergies valables, la raréfaction du pétrole etc.

    Peut être qu’il ne vous reste plus qu’a vous mettre à la recherche sur les énergies pour nous aider à résoudre ce que la recherche actuelle n’a pas encore réglé : il faut plusieurs hectares de panneaux solaires pour produire de l’énergie solaire suffisante pour un supermarché comme MARINA MARKET.

    Il faudrait peut être raser Saaba pour alimenter Ouagadougou ou les champs des habitants de kombissiri pour que j’ai la lumière dans mon kiosque à café pour mes clients.

    Pourquoi pas si ça donne des emplois ?
    A réfléchir court, et si on s’associait pour créer un bon journal, avec de bons journalistes. On se ferait beaucoup d’argent en vendant beaucoup de journaux aux 80% des burkinabés qui ne savent pas encore lire.

    On serait de vrais patriotes et on réinventerait le journalisme.

    • Le 22 novembre 2009 à 05:38 En réponse à : SONABEL : La preuve par Saint-Nazaire

      Qu’est-ce que tu veux dire au juste ? Que les gens ont tort de critiquer la gestion chaotique de la direction de la SONABEL ? Qu’ on denonce la collusion inacceptable entre une societe d’etat, une entreprise de la place et des journalistes qui refusent de faire proprement leur boulot au profit de la chasse aux sous ? De grace, n’ insultez pas l’ intelligence du peuple burkinabe. On n’a vraiment pas besoin tous d’ etre journalistes, economistes, hommes d’ affaires ou detenteur du plus haut diplome en science nucleaire pour donner son idee sur la marche de cette societe/communaute a laquelle nous appartenons tous. On n’a pas besoin de cette vision messianique des choses. Tout burkinabe a le droit d’ emettre son opinion sur la marche des espaces publics. C’est seulement quand quelques diplomes vont cesser de croire qu’ il leur revient a eux- seuls d’ Opiner sur notre vie a nous tous que la societe civile montrera a nos commis une autre facon de gerer la res publica.

  • Le 22 novembre 2009 à 05:40 En réponse à : SONABEL : La preuve par Saint-Nazaire

    C’est qui ca ? Moi je croyais que c’etait un jeune artiste- musicien congolais en train de produire son clip au bord de la Seine. L’ autre intervenant a raison. Nous voulons de la Lumiere et de la chaleur. Pas du bloohh, Salif. C’est ridicule, sinon indecent.

  • Le 24 novembre 2009 à 18:58, par prevoyant En réponse à : SONABEL : La preuve par Saint-Nazaire

    avec 18 miiliards ne peut-on pas construire un barrage hydro electrique qui aura pour avantage de produire du courant mais aussi offrir de l’eau pour l’alimentation et l’agriculture.

  • Le 19 février 2010 à 10:58 En réponse à : SONABEL : La preuve par Saint-Nazaire

    Bonjour, Je tiens quant même à précier que cette centrale devait être livrée pour Juin 2009, avant la fin des travaux de l’interconnexion HT. Alors comment ce fait-il que le moteur soit juste (toujours) en construction en Novembre 2009 ? Le contrat Sonabel /Sopam ayant était signé en Juillet 2008 a pour échéance 12 MOIS ???????????

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