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Velléités de déstabilisation du Congrès pour la démocratie et le progrès : La position de la jeunesse consciente du Parti

Publié le mercredi 16 juillet 2008 à 11h58min

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Sidwaya vous livre in extenso la position de la "Jeunesse consciente" du CDP à propos des récents événements concernant la vie de ce parti.
Depuis quelques semaines, des snipers venus paradoxalement de l’intérieur du parti, se livrent à une véritable œuvre de déstabilisation du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP) et à ses dirigeants, dont notamment son président Roch Marc Christian Kaboré. Toute chose qui a amené la "Jeunesse consciente" du parti à sortir de sa perspicace position d’observateur.

En effet la crise actuelle, si l’on doit ou peut l’appeler ainsi, tant elle est artificielle, que certains tentent vaille que vaille d’installer dans notre parti, n’est à notre avis, que des velléités de cramponnements de certains membres du BPN et du BEN, selon toute vraisemblance, frappés par la logique démocratique et qui se refusent à faire valoir leur droit au repos.

Tout serait parti, on se souvient, de leur positionnement sur les listes des candidats lors des législatives dernières. N’ayant pas pu occuper les places de leur choix, comme cela leur avait été concédé par le passé, ce groupe constitué surtout de « papys » afin de jouer aux vierges outrées en se retirant purement et simplement de ces listes de candidats. Pire, ils se sont livrés pour la plupart d’entre eux sinon tous, à des actes de sabotages déguisés ou parfois ouverts contre le parti lors de la campagne électorale.
Deux cas illustratifs. L’un dont le parti originel est un animal prisé par les cavaliers, a quasiment tenté, non sans avoir intoxiqué ses parents, l’accès à son village d’origine aux candidats CDP pour y battre campagne. Très rapidement, ce prétendu passionné à dessein du chef de l’Etat, s’en mordra les doigts car non seulement le parti y abattu campagne mais surtout a remporté le gain des voix en jeu.

Un autre membre de ce groupe après avoir joué les premiers rôles dans le bureau de l’Assemblée nationale au cours de la législature dernière ( en qualité d’argentier de cette noble et honorable institution républicaine), en dépit, est allé dans son village natal (décidément !) situé dans la partie Est de notre pays, pour tenter de saboter l’action du directeur départemental de la campagne désigné par le parti, comble de malheur, avec son véhicule de fonction malgré l’interdiction faite par le parti d’user des moyens de l’Etat pour battre campagne. Mais sa tentative s’est heurtée à la clairvoyance du directeur départemental en question, qui l’a publiquement rabroué au cours d’un meeting où il était venu pour semer la graine de la division.

Ces deux cas illustrent si besoin en était, que les tentatives de fractionnement si ce n’est de divisionnisme de ces messieurs, qui se sont retirés d’eux-mêmes des listes des candidatures, a débuté plus tôt. Passons sous silence les actes et propos de nuisance, lors de cette même campagne législative, des autres membres du groupe de frondeurs pompeusement baptisés actuellement « réformateurs ».

Mais grâce à la magnanimité, à l’esprit de conciliation et de tolérance du président du parti, ils n’ont point été sanctionnés malgré les preuves accablantes les concernant. L’objectif ayant motivé cette option du président étant sans doute que passée cette période de colère voire d’égarement passager, ils reviendront à de meilleurs sentiments pour œuvrer à l’œuvre commune qu’est la mise en œuvre du projet de société du président Biaise Compaoré contenu dans le "Progrès continu pour une société d’espérance". C’était mal connaître.

En tous les cas, nous, "Jeunesse consciente" du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP) avons observé le silence depuis cette époque afin de mieux comprendre les tenants et les aboutissants des actes, actions et propos antipartis de ce groupe de pseudo cadres. Et dire que depuis la première République, certains d’entre eux sinon le gros du lot font de la politique. Tout de même !

Nous soutenons fermement la décision de les suspendre en attendant que le congrès décide de leur sort. Nous invitons par ailleurs chacun d’eux à faire une analyse et une comparaison objectives, entre son passé et les sacrifices que le parti et son président ont consentis pour lui. Notre credo est l’unité au sein du parti. Nous disons non aux actes d’égoïsme et d’ingratitude ! Pour une jeunesse consciente, rempart contre les actes de déstabilisation peints en « réformes », mobilisons nous !

Pour une jeunesse du CDP consciente de son rôle historique derrière son président et les membres du BPN et du BEN, debout camarades ! Force doit rester à la discipline du parti et à l’unité !

La Jeunesse consciente cdp Jc@yahoo.fr

Sidwaya

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