Escapade amoureuse de Sarkozy en Egypte : Expression achevée de la « rupture »
Quelque deux mois après son divorce d’avec Cécilia, l’homme le plus puissant de France, « qui n’en pouvait plus d’être seul le soir à l’Elysée », vient de rompre avec la disette conjugale. Au cours d’un dîner organisé par le publicitaire Jacques Séguéla, Nicolas Sarkozy faisait connaissance avec la sémillante ex-mannequin (une top-modèle encore !) Clara Bruni.
Il en est tombé amoureux et ne s’en cache pas. Et là, pas du tout. Tant pis pour les contempteurs du désormais fameux mot « rupture ». Ils vont voir ce qu’ils veulent voir.
Candidat à l’élection présidentielle, Nicolas Sarkozy avait fait de ce vocable la pierre philosophale d’une France malheureuse de son conservatisme médiéval, longtemps maternée par L’Etat-maman-cajole-tout.
Les Français étaient donc prévenus, même si dans certains domaines, comme la politique extérieure, (félicitations chaleureuses au Russe Poutine pour la victoire de son parti aux dernières élections controversées, visite chez le Chinois Hu Jintao, accueil triomphal du Libyen Kadhafi, tous des présidents démocratiquement peu recommandables) super Sarko ne diffère en rien de ses prédécesseurs.
Mais de là à s’attendre à une rupture, parfois indécente, dans la conduite publique et privée du président français, c’est là une nouveauté face à laquelle nombre de Gaulois s’arrachent les cheveux par touffes entières. Tenez !
Observateur Paalga