LeFaso.net, l'actualité Burkinabé sur le net
Proverbe du Jour : “Nous sommes lents à croire ce qui fait mаl à сrοirе. ” Ovide

Protection de l’environnement : Une politique nationale s’impose

Publié le lundi 4 juin 2007 à 07h03min

PARTAGER :                          

Alain Edouard Traoré

Le ministère de l’Environnement et du Cadre de vie organise, du 31 mai au 1er juin 2007, un atelier de validation du second rapport sur l’état de l’environnement au Burkina Faso. La cérémonie d’ouverture a été présidée par le secrétaire général dudit ministère, M. Alain Edouard Traoré.

La connaissance de l’état actuel de l’environnement et des problèmes y relatifs s’avère nécessaire et constitue un préalable indispensable à la préservation et à la gestion durable de l’environnement. Pour ce faire, le Burkina s’est lancé en 2000 dans l’élaboration d’un document sur cet état.

Validé en 2002, ce premier rapport a été descriptif et a pu dresser l’état des lieux de l’environnement physique ; identifier des informations et des pistes de réponses pour la mise en œuvre des plans et programmes pour la protection de l’environnement. Cinq ans après, il est proposé un second rapport sous forme provisoire. Le présent rapport sera validé du 31 mai au 1er juin 2007 au cours d’un atelier par les acteurs chargés des questions environnementales.

Ceci en vue de recueillir leurs contributions pour finaliser le deuxième rapport. Il s’agira pour les participants de prendre connaissance du document, de l’examiner et d’y apporter les amendements de forme. La gestion efficace des ressources naturelles au profit d’un développement durable et de la lutte contre la pauvreté requiert d’identifier les changements environnementaux et de les suivre par des indicateurs de performance.

Ainsi cet atelier d’examen et de validation du second rapport est, selon le secrétaire permanent du ministère de l’Environnement et du Cadre de vie, M. Alain Edouard Traoré, un cadre technique de partage et d’échanges en vue de son appropriation par l’ensemble des acteurs.

Il offre également l’opportunité à tous les partenaires de contribuer à l’élaboration d’un document de référence sur la politique nationale de la gestion de l’environnement. C’est pourquoi, il a invité les participants à mener des débats constructifs et fructueux permettant de parfaire l’élaboration de cette politique.

Aline Verlaine KABORE

Sidwaya

PARTAGER :                              

Vos commentaires

  • Le 4 juin 2007 à 21:31 En réponse à : > Protection de l’environnement : Une politique nationale s’impose

    Bla bla bla et rien. On lit, vite, de plus en plus vite, on n’apprend rien. Ah si : qu’il y a eu une énième "restitution " de quelque chose au cours d’un énième atelier : indispensable ! Du vrai journalisme, mille fois bravo, continuez à écrire pour ne rien dire. Nous devons seulement bêler comme des moutons, éblouis, et dire : "Wallaye, ils travaillent !!". Eurêka, on n’en attend pas moins. On aimerait pourtant que notre journaliste nous donne des chiffres, des analyses, fasse elle-même un travail d’information, c’est à dire la mise en relief de données, un état des lieux même synthétique, bref qu’elle se remue un peu les méninges. Peser les forces et faiblesses du ’sujet’ débattu auquel elle est censée assister, non ?! Le journalisme, ce n’est pas un communiqué, zut alors ! Frédéric Bacuez.

  • Le 8 juin 2007 à 14:41, par Mossi En réponse à : > Protection de l’environnement : Une politique nationale s’impose

    Les communes rurales doivent fixer une taxe aux cultivateurs qui ont plus de 5 hectares de champs (surtout de coton) car ce sont en quelque sorte des fonctionnaires qui ne payent d’IUTS.

 LeFaso TV
 Articles de la même rubrique
Burkina : Une économie en hausse en février 2024 (Rapport)