La Banque mondiale est sur l’élaboration d’une stratégie de promotion de la bonne gouvernance et de la lutte contre la corruption. Avant de finaliser le document y relatif, l’institution a organisé, au cours de la période du 17 au 25 janvier dernier, des consultations avec plusieurs acteurs de développement du Burkina.

Elle a rencontré, dans ce cadre, la société civile et les médias burkinabè, le 22 janvier 2007, à sa représentation à Ouagadougou. Entre autres organisations de cette composante, qui étaient représentées à cette rencontre : le SYNTER, le RECIF-ONG, FEME, le REN-LAC, la communauté catholique, l’Ordre national des experts- comptables et comptables agréés, l’Ordre des avocats, l’Association des femmes juristes.

Avant de recueillir les avis des participants, la Banque a donné le contenu de sa stratégie à travers un exposé fait par Célestin Bado et Nicole Kekeh, respectivement chargés des Opérations au Burkina et des Politiques à Washington. « Renforcement de l’action de la Banque mondiale pour promouvoir la gouvernance et lutter contre la corruption » ; tel est le thème de cette communication.

Par la suite, les participants, répartis en deux groupes, ont pu ainsi apprécier les pistes dégagées par la Banque et apporter leur contribution pour aider cette institution à améliorer ses activités au profit de notre pays en matière de gouvernance et de lutte contre la corruption. Les échanges se sont déroulés en présence de la représentante résidente de la Banque mondiale au Burkina, Ellen Goldstein.

O.H.

L’Observateur