Dix (10) milliards de francs CFA, c’est le montant de la somme que l’Institut international d’ingénierie de l’eau et de l’environnement (2IE) reçoit pour construire son siège.
La signature de la convention a eu lieu à Ouagadougou, mardi 16 janvier 2007, au cours d’une assemblée générale de l’institut. C’était en présence du ministre d’Etat, ministre de l’Agriculture, de

l’Hydrauliques et des Ressources halieutique, Salif Diallo et de la vice-présidente de la Banque mondiale, Mme Frannie A. Léautier.
Le directeur général du Groupe EIER-ETSHER, Paul Ginies, le président du conseil d’administration, Abdoulaye Aboubakary ainsi que le directeur de la coopération scientifique et universitaire, Antoine Grassin ont également honoré de leur présence la cérémonie de signature de la convention.

Pour le ministre, Salif Diallo, avec la création de la Fondation 2IE, la question de la formation « coûteuse » des ingénieurs à l’extérieur trouve une solution.
En effet, la Fondation 2IE est l’équivalent du groupe EIER-ETSHER, une école de formation d’ingénieurs de « très haut niveau ».

Avec la nouvelle configuration de l’établissement, ce sont cinq mille (5 000) ingénieurs ruraux issus de 14 pays qui y feront leur formation. Et au directeur général de l’EIER-ETSHER, Paul Ginies de souligner que « des étudiants occidentaux pourraient également venir s’y former ».
La cérémonie de signature de la convention a été une occasion pour le ministre et les bailleurs de fonds de découvrir la maquette de l’édifice qui devrait abriter, dans quelque mois, le siège de la Fondation 2IE.

Alban KINI

Sidwaya