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Route Ouaga-Boromo-Bobo : Difficile réfection de la Nationale n°1

Publié le jeudi 31 août 2006 à 07h40min

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La naissance d’une structure nationale, de surveillance, de contrôle et de suivi de l’amont à l’aval dans les dossiers BTP au Burkina Faso, est indispensable pour éviter la chute des routes et des bâtiments.

Les leçons sont tirées de part et d’autre à partir de la route Boromo - Bobo surtout quand des voix extérieures s’élèvent en plus de ceux-là mêmes chargés de défendre les intérêts du Burkina Faso en financement de routes sur le plan international (cf Indépendant n° 654 du 21/03/2006). Je n’aurais jamais écrit encore, à propos de cette route, parce que j’ai déjà tout dit, sans cette rencontre DGR-Journalistes tenue les 15 et 16 juillet 2006.

Récente rencontre DGR - journalistes

La rencontre du Directeur général des Routes (DGR) avec journalistes, parue dans Sidwaya Plus n°5650 du 15 au 16 juillet 2006, laisse apparaître des problèmes et que notre Nationale n°1 n’est pas en réfection définitive mais en réparation de maintien à un niveau acceptable. Pour ce faire, l’administration est obligée de dépenser des sommes colossales (1,5 milliard CFA).

Les intérêts de l’administration seront toujours sauvegardés (dixit DGR), mais comment, avec tous ces paradoxes qui s’étalent au fil des jours dans les médias ? Laissez-vous aider ; il n’y a pas de honte à cela surtout que vos ressources humaines manquent d’expériences, et c’est le DGR lui-même qui le dit.

Tant que les arguments techniques des autorités burkinabè n’arriveront pas à démontrer que notre administration T.P. a été trompée, cette route ne trouvera pas de solution salutaire pour usagers.

L’Union européenne n’est pas notre défenseur et la solution n’est pas impossible à trouver sans porter atteinte à la dignité de qui que ce soit : ce sont des pièces techniques qui vont parler dans un rapport à présenter à l’Union européenne partie prenante de ce diagnostic qui sera initié et accepté par tous.

Suite à la rencontre DGR - Journalistes, parue dans Sidwaya n° 5650 du 15 juillet 2006, et concernant encore et toujours les travaux de Razel sur la Nationale n° 1 (Ouaga-Boromo-Bobo) actuellement en réparation de maintien, je croyais que ce dossier était clos, fermé et je suis fortement étonné de voir son retour sur les médias.

C’est dans le cadre de la coopération souhaitée, à travers des suggestions, pour la promotion de notre patrimoine routier que j’ai entrepris de prendre contact avec le DGR et ce, depuis le 1er août 2006. Mes tentatives ayant été vaines, je me résous aujourd’hui à publier le présent article.

Je profite de cette occasion pour remercier tous ceux qui m’ont aidé, encouragé à tenir le coup et à rencontrer les responsables et techniciens de la Direction générale des Routes du Burkina Faso. Cette rencontre a eu lieu le 23 août 2005, voilà un an, et j’ai même espéré, depuis ce temps, remonter la pente avec de petits contrats expéditifs, mais en vain.

Le renouvellement de mon agrément F même pose problème et je me suis même fait entendre dire que ce pays n’était pas aux gouvernés mais aux gouvernants ; et que je ne pouvais me prévaloir de consultant avec mon second agrément de VRD ce type d’agrément est pourtant plus technique : la spécialité de projeteur VRD est très peu connue au Burkina Faso sinon comment comprendre que Ouagadougou soit menace d’inondations alors que des caniveaux non fonctionnels continuent de se creuser au mépris de cette science de l’assainissement eaux pluviales (E.P.).

Les eaux remontent, à travers les ouvrages et y restent stagnantes toute l’année avec parfois même des pentes inverses, en centre - ville.

Aussi, je suis promoteur de trois (3) grands projets en réflexion, actuellement, dans les ministères ; j’espère qu’un au moins marchera et certainement pas avec le ministère du Désenclavement qui me prend, à tort, comme un ennemi public.

Pourtant, j’ai fait preuve de coopération pour la sauvegarde de notre patrimoine routier et en supportant l’inactivité pendant deux (2) ans grâce à des amis comme si je ne savais rien faire de mes dix doigts. Il est maintenant temps pour moi de travailler, et j’ai des engagements auxquels je tiens.

Les soi-disant ennemis, artisans de ma situation actuelle de déconfiture économique, ne comprennent pas que je n’aie pas d’ennemis.

Tous les arbres ne se coupent pas dans un champ et j’en sais quelque chose dans l’exercice de ce plus beau métier du monde, où il n’y a pas de bricolage : la topographie, base de toute connaissance planétaire de précision, d’astronomie et surtout quand on est doté d’une spécialisation comme projeteur V.R.D.

Aussi, dois-je regretter qu’après ma rencontre avec les TP, ce qui est ressorti de nos entretiens n’ait pas été servi au public. Ce qui a été plutôt servi au public, concernant l’histoire de cette route RN1, c’est le compte rendu de la presse avec ma photo illégalement bien en évidence et non le procès verbal (P.V.) avec les signatures des techniciens crédibilisant le contenu (cf Sidwaya n° : 5383 du 31 août 2005). C’est une erreur certes incompréhensible. Mais cela cache un flou, maintenant, en partie dévoilé par M. Jean Richier ex-ingénieur assistant du LNBTP (cf Indépendant n° : 654 du 21/03/2006).

Réaction extérieure (M. Jean Richier)

Cet ex-ingénieur assistant du LNBTP affirme qu’un chantier vient de s’ouvrir pour le même projet et après un constat d’échec reconnu à défaut d’être expliqué. Le début des travaux de cette nationale n°1 Ouaga-Boromo-Bobo sans explication de l’échec constaté et reconnu serait un point d’interrogation pour les bailleurs de fonds.

L’explication de cet échec est sans nul doute lié au besoin de faire le diagnostic, de connaître les causes réelles de cet échec avant tout début des nouveaux travaux. Sans cette épreuve de diagnostic et de corrections les mêmes causes produiront inévitablement les mêmes effets. C’est un sujet suivi avec intérêt par Monsieur Richier qui a souvent été sollicité par les bailleurs de fonds pour les travaux routiers financés au Burkina Faso : 4ème projet routier :

81 - 83 : Banque mondiale ;

85 - 87 : supervision des travaux ;

98 - 2000 : RN1 (l’échec de Razel prévenu et donc évitable).

Cet axe routier Ouaga - Boromo - Bobo intéresse beaucoup les bailleurs de fonds pour les raisons suivantes : la traficabilité de cet axe routier est d’un intérêt vital pour le Burkina Faso.

Et on peut même ajouter que l’instrument de la réduction de la pauvreté au Burkina Faso, c’est aussi et bien la fonctionnalité, la praticabilité de cette artère RN1 : Ouaga - Boromo - Bobo. De plus un rapport, de recommandations non suivies, daté du 1er Mai 1998, aurait même été remis au Directeur des routes de l’époque. Ce rapport était à exploiter pour l’avenir en commençant par la réfection définitive de la RN1 : Ouaga - Boromo - Bobo.

Selon toujours M. Jean Richier, les travaux de la RN1 ont été ordonnés et programmés dans l’intérêt de faire du chiffre au mépris de ces recommandations techniques des bailleurs de fonds il y ait mentionné que l’état de la RN1 tenait encore bon après trente (30) années de services rendus malgré les surcharges (dixit Jean Richier).

Sauvegarde des intérêts en péril de l’Administration (réparation de fautes non commises)

En examinant attentivement les arguments techniques du DGR au cours de rencontre avec les journalistes, l’on peut aisément constater une suite de paradoxes nuisibles à notre administration si elle laisse s’échapper haut les mains le constructeur Razel et son contrôle DIWI. Des arguments techniques existent encore et toujours pour faire pression sur le constructeur tant que cette route ne sera pas entièrement détruite et reprise à zéro.

Mais malheureusement et comme le dit bien le DGR ; l’administration dépense actuellement des sommes colossales (1,5 milliard CFA) pour maintenir cette route (dixit DGR) : en quelque sorte il s’agit de réparer des fautes que l’on n’a pas commises.

Ces faits sont des pistes qui sont en train de partir progressivement en attendant que l’expert en contentieux, mis encore et toujours à la disposition du Burkina Faso par l’Union européenne, dépose le rapport qui doit permettre d’envisager les réparations cela est incertain, car le compte bloqué de Razel (1,852 milliards CFA) qui ne doit plus présenter qu’un solde créditeur de trois cents millions CFA (300 millions), un montant juste pour environ 5 km de réparations et de maintien de notre artère nationale, instrument de réduction de la pauvreté au Burkina Faso.

Le Burkina Faso doit être certain d’une chose : l’Union européenne n’est pas notre défenseur dans cette affaire, mais elle conforte chaque jour qui passe, avec ce genre de rencontres, sa position d’avoir eu de bonnes raisons pour décaisser, et ceci est bien expliqué par le DGR. Le défenseur du Burkina Faso est l’ensemble des arguments techniques de l’administration burkinabé et il en existe encore comme je viens de le faire remarquer.

Comment un entrepreneur, comme Razel, soucieux et inquiet normalement, de son paiement : Patron, je ne suis pas d’accord avec vos propositions, parce que j’y perds et de proposer sa propre technique de rattrapage par imprégnation sablée, qui fait long feu (dixit DGR).

Les 1,852 milliards de Razel bloqués et préventivement rongés ne peuvent plus refaire cette route. Une autre négociation de subvention s’impose, sinon notre dotation en souffrira au détriment de notre progrès dans le domaine routier au Burkina Faso. Ainsi :

1 - Si nos routes bitumées, avec la technologie de ce millénaire ne peuvent supporter que la moitié de 23 tonnes soit 11,5 tonnes alors que les camions remorques sont chargés entre 35 à 40 tonnes depuis les ports ; je crois qu’aucun transporteur ne va accepter cet état de fait.

Nous devons plutôt mener une politique de réduction de la pauvreté tout en faisant face à la croissance des coûts galopants du pétrole que nous ne produisons pas ici, comme disait l’autre. Il n’est pas nécessaire de construire des magasins à nos frontières pour recevoir les trop plein des charges à l’essieu que les seules routes du Burkina Faso ne peuvent pas supporter.

Non ! la solution est ailleurs : faire bien nos routes, sinon bonjour la pagaille ! Les échantillons chez l’huissier annoncés depuis l’année dernière, si cela est vrai, semblent inutiles puisque c’est maintenant, avec ces travaux de maintenance, que l’on a pris conscience de la gravité des choses, que les essais ont été transmis à cet expert en contentieux de l’Union européenne.

2 - S’il est vrai et bien expliqué par le DGR, qu’il y a une insuffisance et même une incompétence en ressources humaines, et que les ingénieurs présents actuellement au Faso, plutôt au TP, sont inexpérimentés après 40 années d’indépendance, le Burkina Faso ne serait donc pas encore autonome dans ce domaine et donc toute la chaîne de cette hiérarchie TP a besoin d’être urgemment formée ou reformée.

Cette formation prendrait le temps de rattrapage qu’il faudrait et ce n’est pas demain la veille. En attendant le DGR ne peut pas garantir que l’expérience Razel ne se reproduira pas au Faso sans le diagnostic d’une personne neutre pour l’administration et non de l’Union européenne susdit, pas notre défenseur mais un financier qui doit tenir prêtes les justifications de ces décaissements pour le contrôle de sa hiérarchie

3 - Si les arguments techniques développés, par le DGR, sont aussi minces et de nature à condamner notre administration, dans cette récente rencontre, avec les journalistes, et ne peuvent pas sauvegarder les intérêts de l’administration ce qui sera le cas ;

4 - Si on ne peut pas éteindre cette affaire de la RN1 raison de cette résurgence dans les médias, avec cette rencontre DGR-Journalistes du 15 Juillet 2006 ;

5 - Enfin, si jusqu’ici le DGR n’a pas pu assurer les journalistes que l’expérience Razel ne se reproduira plus au Faso ;

Alors, je pense qu’il est temps de faire appel à une expertise en opposition à la conclusion de l’expert en contentieux, fourni par l’Union européenne comme susdit, n’est pas notre défenseur.

Je suis à votre disposition pour apporter ma toute petite et modeste contribution, si vous la voulez, parce que la coopération m’a souvent été demandée dans les médias. Un autre rapport, en opposition à la conclusion de l’expert en contentieux de l’Union européenne, est indispensable afin que Razel et son contrôle ne s’en tirent pas, à notre déshonneur, haut les mains au détriment de notre administration si cela n’est pas désiré.

C’est dans le cadre de la coopération souhaitée à travers des suggestions et pour la promotion de notre patrimoine routier, que j’ai transmis les documents demandés à notre rencontre du 23 août 2005, soit dit inconnus dans la littérature des travaux routiers au Burkina Faso, par lettre n°2005-008/etn/Boromo et reçue le 16/09/2005 par le DGR après un entretien avec lui.

Aussi, je réitère ma proposition de revêtements graduels même si on semble dire aussi que cette partie d’une route ne représente qu’un pourcentage faible. Evidemment, si cette partie est un pourcentage faible, donc négligeable, raison des résultats médiocres sur le terrain, une route bitumée sans revêtement solide n’est pas une route bitumée.

C’est aussi d’ailleurs dans le cadre de cette coopération souhaitée que j’ai pris contact en vain avec le DGR, depuis le mardi 1er août 2006, avant de publier cet article aujourd’hui, date de dépôt le 07 août 2006.

Comme susdit l’Union européenne n’est pas là pour défendre l’intérêt de notre Administration, mais financer et justifier le bien-fondé de leurs décaissements au profit de l’entreprise Razel et de son contrôle DIWI qui ont bien exécuté les travaux parce que acceptés par l’Administration.

C’est plutôt les arguments techniques de l’Administration burkinabé, sur le terrain, qui seront capables de réduire à néants ceux de l’expert UE, de briser cette chaîne au profit de l’Etat burkinabé sans nuire à personne, mais au corrupteur Razel qui est condamnable puisque son travail est mal fait, mais à démontrer d’abord forcément par un diagnostic.

Mais continuer à réparer des fautes non commises aux frais de l’Etat, comme le dit bien le DGR, c’est une autocensure qui assure que l’Administration ne doit rien attendre de qui que ce soit ; à éviter.

Libérer les nœuds asphixiants

S’il y eût corruption ou pas (ce qui ne devait d’ailleurs pas être un problème majeur ni un handicap) au préjudice de la qualité du travail, mais sur le bénéfice de l’entreprise, mais malheureusement pour cette route RN1, la réalité est visible sur le terrain, l’inexpérience de nos techniciens a été exploitée au maximum.

La clef de voûte, dans la compréhension de l’inconnue, se trouve avec le sieur Yaro Yacouba, fils de feu Yaro Kandalou Issiaka hangar n° 3219 (détenu par Yaro Seydou son petit frère) au marché central de Bobo-Dioulasso. Ceci peut être son adresse si ce sieur Yaro Yacouba est si introuvable au Faso.

La plainte n° 3810 du 27/09/2005 à la police de Zogona à l’encontre du sieur Yaro Yacouba, mon propre neveu, jamais inquiété et qui se fait rare, voire invisible depuis sa découverte dans les médias, pour usurpation de titres, abus de confiances, escroqueries et menaces de mort etc. etc.. sur autrui et sur ma personne, dans cette pourriture de Razel bien servie au peuple burkinabè.

Ce sieur Yaro Yacouba selon lui n’est qu’un exécutant sur instructions, comme il l’a souvent répété, d’on ne sait qui jusqu’ici. C’est pourquoi d’ailleurs, je ne lui en veux pas puisqu’il reconnaît n’être qu’un robot biologique sur touches digitales.

Entendre ce dernier à huit clos libèrera bien des nœuds asphyxiants

Si les paradoxes sont aussi énormes, condamnant, explicativement dénombrables et démontrables, c’est que la Direction des routes ne sait vraiment pas comment elle a pu arriver jusqu’à ce niveau de tromperies sans qu’elle se rende compte sur un tronçon d’au moins 200 km visibles à l’œil nu.

C’est là que mon intervention pourra être très, très intéressante pour avoir traversé toutes les facettes tant dans les études que dans les réalisations, les contrôles et le suivi des travaux beaucoup plus compliqués que ce qui est fait ici au Burkina Faso.

J’affirme qu’on peut voler dans les travaux routiers. Oui, et c’est même inévitable. Mais, de manière inaperçue et un travail bien fait ; cela est pour les expérimentés et c’est pourquoi, dans mon premier écrit titré « Ma petite expérience en travaux routiers » paru dans Sidwaya n° 4864 du 22/10/2004, je disais qu’on ne badine pas avec le revêtement.

Cela veut dire qu’ailleurs, dans les autres rubriques des prix, on peut faire ce qu’on veut sans que l’œil critique de l’usager s’en rende compte.

Mais quant le X du ministère dit : je cite : « M. Yaro, les gens n’ont rien à foutre de vos cut-back 01 » fin de citation ; cela veut dire aussi que lui et sa gouverne ont affaire à des analphabètes et que la voie est libre ; mais, c’est oublier justement cet œil critique de l’usager qui ne connaît rien dans la construction des routes, mais constate et voit bien les trous qu’il ne peut, malheureusement, pas parfois éviter pour rendre l’âme ou se retrouver dans son véhicule les quatre roues en l’air.

N’oublions pas qu’une route comme celle de la RN1 (Ouaga-Boromo-Bobo) est un bien national mais aussi international raison de son intérêt suivi par tous et même de l’extérieur.

Ce qui s’est réellement passé sur la nationale n°1 est effectivement une évidente question d’inexpériences de bas en haut : le DGR n’a donc pas tord de le relever dans ses critiques comme tare au T.P. du Burkina Faso.

Et l’exploitation de cette inexpérience persiste toujours sur les présents chantiers en construction dits techniques de béton bitumineux ou enrobé dense (exemple route de Koupèla pour ne citer que celle-là parcourue) :

Etanchéité ou imperméabilité assurée ;

Planéité acceptable et peut faire mieux ;

Norme de mise en œuvre et résistance négative des talus (érosion rapide en perspective) ;

Béton bitumineux ou enrobé dense doit se poser sur une couche d’accrochage en interurbain.

Observations : La dégradation de ces routes, avant délais de vieillissement, commencera par les bords de chaussée pour causes de d’érosions ou glissement des talus et le béton bitumineux ainsi suspendu ne pourra pas supporter une charge, même minime.

Les re-réparations vont commencer après la saison pluvieuse de 2007 si des corrections n’interviennent pas entre-temps. Le Burkina Faso attend beaucoup d’effort de ses fils dans ce domaine-ci.

Paix - Amour & Fraternité

Kouamé Marcel YARO
Bureau d’études E.T.N.
BP 522 Boromo
Tel : 00226 70 70 84 20
00226 78 84 96 91
E.mail : yamar_etn@yahoo.fr

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