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Paul Kéré, avocat au Barreau de Nancy

Publié le samedi 27 mai 2006 à 07h16min

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Me Paul Kéré

Paul Kéré est avocat au Barreau de Nancy et subsidiairement enseignant de Droit dans plusieurs établissements de formation de la ville. D’origine burkinabè, il réside en France depuis 17 ans mais s’emploie à faire connaître son pays de naissance à la population nancéenne à travers les structures associatives dont le Lions Club. Pour lui, il faut prendre garde à ce que la France ne perde pied totalement en Afrique.

Comment appréciez-vous l’évolution des relations franco-burkinabè ?

L’évolution des relations franco-burkinabè est positive à mon humble avis. En effet, de l’ancienne puissance coloniale (l’époque de la Haute-Volta) au Burkina Faso d’aujourd’hui, nul doute que cette évolution est naturellement positive. Il est clair que les deux pays souverains ont chacun un intérêt capital à sauvegarder une meilleure qualité de ces relations bilatérales.

De manière générale, la France est en train de "perdre pied" en Afrique et si l’on n’y prend garde, les pays anglo-saxons ou asiatiques risquent de la doubler dans les vingt prochaines années à venir. C’est la raison pour laquelle, il conviendrait de consolider ces relations traditionnelles d’amitié et de coopération politico-économique. Il est clair que le choix actuel de "l’immigration choisie" ne favorise pas l’amélioration escomptée de ces relations surtout au niveau du ressenti de certains de nos frères africains, ou, même, d’une grande majorité de français. C’est indéniable.

Comment se passe votre séjour en France au plan social et professionnel ?

Pour ma part, tout va, relativement bien sur ces deux plans. Cependant, chaque fois que l’on jette un regard massif sur la situation socio-professionnelle de la majorité de nos compatriotes, on ne peut s’empêcher d’être triste car, on aimerait bien que la situation soit davantage meilleure pour ces milliers de burkinabè. Tout récemment, j’ai eu un entretien téléphonique avec un burkinabè résidant aux Etats Unis. Celui-ci m’a parlé, entre autres, des maisons qui sont vendues clé en mains par des entreprises américaines, des machines capables de bâtir des routes en un temps record. A quand la vulgarisation massive de telles technologies par la France au Burkina ? La réponse à cette question est plus importante que ma situation socio-professionnelle qui, globalement, est satisfaisante.

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Vos commentaires

  • Le 27 mai 2006 à 16:45 En réponse à : > Paul Kéré, avocat au Barreau de Nancy

    Vous dites de prendre garde pourque la France ne perde pas pied en Afrique. En Afrique on n’a plus besoin de la France et des autres soutiens des tyrans et dictateurs. Votre idee me rappelle Peaux Noirs Masques Blancs de Frantz Fanon. Vous etes prets a vous allier au diable pour "coloniser" l’Afrique. Heureusement qu’il y a des personnes averties. Vote attitude est celle des negres qui sont contents de l’exploitation de l’Afrique par la france, parce que vous, vous plaisez en France ou vous vivez pendant que la corruption et la mal-gouvernance ruinent chaque jour l’espoir des millions de Burkinabe. Je ne suis pas surpris par vos propos. En vous lisant sur la toile, je me suis fait une idee de votre personne. Vous etes un courtisan, un sycophante pret a faire les courbettes afin que le "chef" sache que meme en France, il a de farouches sympathisants.

    • Le 28 mai 2006 à 21:46, par Me Paul Kéré, Avocat au Barreau de Nancy En réponse à : > Paul Kéré, avocat au Barreau de Nancy

      J’ai lu avec une importance capitale votre message qui a retenu toute mon attention.
      Mon premier regret c’est que votre message n’est pas signé. Je ne sais donc pas qui vous êtes et j’ai, pour habitude d’écrire à ceux que je connais.
      Mon second regret c’est que vous êtes complètement à côté de vos "pompes" sur l’intérêt de la coopération bilatérale entre la France et le Burkina. Je vous exhorte à examiner les chiffres de la coopérations économique entre les deux pays et vous aurez parfaitement compris l’intérêt de mon pays à maintenir ces relations bilatérales. Je n’ose même pas évoquer le travail des associations caritatives françaises dans le cadre de la coopération non étatique. Votre aigreur vous empêche d’être réaliste. Avec la mondialisation actuelle, aucun Etat ne peut se permettre de dire qu’il n’a besoin du concours des autres Etats sans que cela ne se traduise par une notion de domination. La colonisation est une notion qui est actuellemment rejetée de part et d’autre par toutes les communautés internationales.
      Mon troisième regret, c’est que vous pensez que chaque fois que je fais une contribution je veux bien me faire voir par les autres et, en l’espèce, par le "Chef" (sans que je ne puisse savoir de quel chef il s’agit). J’imagine tout de même qu’il ne s’agit pas du Président du Faso. Ah ça, ce sera bien effectivement. Mais, celui-ci n’est pas Avocat et les avocats n’ont jamais de chef. L’exercice de la profession d’avocat est incompatible avec la soumission à une quelconque hiérarchie. Et je cherche en vain qui dois-je courtiser ? Peut-être ma clientèle qui me fait vivre.
      Enfin, je regrette profondément qu’à travers ces jugements hâtifs, vous ayiez une mauvaise idée de ma "personne", encore que ma chétive individualité importe peu en comparaison des enjeux du développement de notre pays. Je me trompe peut-être. Mais j’ai l’impression que vos propos sont empreints de haine incompréhensible car me considérer comme un partisan de la "recolonisation" de l’afrique revient à méconnaître incontestablement mes convictions personnelles.
      Je vous rappelle que je suis un prince du Boulgou dont les arrières grands parents ont combattu pour asseoir la royauté actuelle de TENKODOGO. Et ça, à l’heure actuelle, j’essaie, autant que faire se peut et partout, de perpétuer cette mémoire collective de mes ancêtres.
      En dépit de vos erreurs d’appréciation, je vous transmets mes sincères salutations fraternelles en espérant que vous êtes burkinabé, un vrai. Ce que je doute et les raisons ne manquent pas à ce doute...
      Je vous fais observer, compte tenu de votre mémoire sélective que vous avez volontairement occulté ma tristesse concernant la condition sociale de la grande majorité de mes compatriotes. Et ça, je pense que votre contribution est non seulement empreinte d’erreurs évidentes d’appréciation et, surtout, subjectivement bas (car vous tentez de porter des coups en dessous de la ceinture), sans y parvenir bien sûr car vous n’êtes pas à la hauteur. Voici mes coordonnées au cas où votre courage vous dirait de m’affronter ouvertement en révélant votre identité. Me Paul KERE, Avocat à la Cour, 3 Ter, Rue du Général FABVIER (54000) Nancy. Tél. : 0033383909360 Fax : 0033383909393 e-mail kere.paul@wanadoo.fr

    • Le 29 mai 2006 à 18:58, par Traoré Hector En réponse à : > Paul Kéré, avocat au Barreau de Nancy

      On n’empechera pas les aigris de déverser des insanités et autres salades composées de je ne sais quoi sur les autres.C’est la marque des laches que de signer anonymement.Il est vrai que le venin se vend bien , mais il ne faut pas en abuser.
      Peu importe que vous soyez d’accord avec Me Kéré, ou le contraire ; il est de bon ton de repondre aux arguments par des contre arguments, et qu’une discussion sur la question s’engage. Au moins, ayez le courage de vos actes et déclinez votre identité.
      Vous semblez animé d’une telle aigreur !!!!
      Je ne me pose pas en défenseur de Mé Kéré, il l’a déja fait. Enfin,mon cher ami, sachons éviter les offenses puisque nous ne savons pas les supporter.

      • Le 29 mai 2006 à 23:28, par Me KERE, Nancy En réponse à : > Paul Kéré, avocat au Barreau de Nancy

        Merci Hector, fils de SIA, intègre et digne fils de notre burkina natal,
        J’ai été très touché par la simplicité et la compassion de tes mots.
        Me Kéré, Nancy.

        • Le 4 juin 2006 à 00:02, par kabre En réponse à : > Paul Kéré, avocat au Barreau de Nancy

          Une question a Me Kere.Pourquoi est ce que vous etes chaque fois l’objet d’une contradiction ou d’une confrontation ?Je pense qu’il vous est difficile de dire "oui j’ai tors ou je me suis trompe la".Il n’ya pas de mal en cela."Nul n’est parfait"dit l’adage.A cette allure,vous allez encore quitter le forum.Vous avez des idees mais pas le fair play.La democratie,c’est aussi accepter les idees des autres,s’asseoir ensemble car personne ne detient la verite,sinon Dieu seul.En vous souhaitant longue vie sur lefaso.net,recevez mon bonsoir.Vive le faso.net

          • Le 5 juin 2006 à 10:45 En réponse à : > Paul Kéré, avocat au Barreau de Nancy

            Bonjour Kabré,

            Je suis frappé par le nanisme visionnel de certains internautes. Dans cet article, "Le faso.net" sollicite mon avis sur l’amitié entre la France et le Burkina. J’ai livré, sincèrement, mes arguments qui sont, naturellement critiquables. Mais venir me considérer comme un partisan de la "recolinisation" de l’Afrique est une vision étriquée et dénuée de tout fondement sérieux. Votre vision de moi à travers votre message est également, parfaitement, erronée. Je vous confirrme que j’aime la confrontation et la contradiction car, ma vie professionnelle au quotidien est faite de ces types de combats là. A la limite j’apprécie peu mes amis car "préservez-moi de mes amis, mes ennemis, je m’en charge" ; Je trouve qu’il est beau cet adage !!!.

            • Le 10 octobre 2006 à 21:44, par Mr Philippe BERTIN En réponse à : > Paul Kéré, avocat au Barreau de Nancy

              Bonjour,

              Maître Paul Kéré est imprégné et a la connaissance de la culture Française et celle du Burkina, il sait quelle aide peut apporter la France que ce soit à travers l’Etat français ou par les actions des structures associatives au Burkina, mais le Burkina peut j’en suis sure nous apporter beaucoup, Mr Kéré en est un exemple, car j’ai l’honneur de suivre certain de ces cours qu’il donne à l’université.
              Nous ne devons pas effacer et oublier le passé colonialiste, mais il serait regrettable de toujours ce réfugier derrière pour ne pas agir ou comprendre.
              Mr Kéré m’a donné envi d’approfondir la connaissance de son pays, et loin de moi la pensé de le coloniser, mais avec la connaissance on acquière la tolérance.

              • Le 24 mars 2007 à 21:34 En réponse à : > Paul Kéré, avocat au Barreau de Nancy

                Mon Très Cher Philippe,

                Votre réflexion suscite l’observation suivante.

                Ceux qui sont intolérants sont, nécessairement, ignorants (de l’autre, de sa pensée, de sa parole, de son action, de son omission ou, encore, de sa culture tout simplement). Les voyages forment la jeunesse ! et fortifient l’amitié entre les peuples. Me Paul Kéré, Avocat au Barreau de Nancy

                • Le 11 avril 2007 à 14:06, par Nicolas Sarkozy En réponse à : > Paul Kéré, avocat au Barreau de Nancy

                  Je suis tout à fait d’accord avec ce que viennent de dire Paul et Bertin sur ce sujet.
                  Bien à vous.

                  • Le 16 septembre 2007 à 23:11 En réponse à : > Paul Kéré, avocat au Barreau de Nancy

                    Monsieur le Président, et bien Cher Confrère,

                    Je ne suis pas surpris de votre position sur notre opinion concernant la coopération avec l’Afrique.
                    C’est la preuve que nous sommes sur la bonne voie et vous avez été élu avec un très brillant score. Les français ne se sont pas trompés en vous accordant la légitimité de leurs suffrages.
                    Mon désir ardent est de vous rencontrer, le cas échéant, pour échanger sur les voies et moyens de sortir l’Afrique de sa torpeur et de sa léthargie légendaire. Je suis sûr que vous avez une brillante idée sur ce sujet et je souhaite être le Sarkozy du Burkina. Bien à vous également. Paul Kéré, Barreau de Nancy.

                    • Le 18 novembre 2012 à 01:30, par Tapsoba En réponse à : > Paul Kéré, avocat au Barreau de Nancy

                      En fait, moi je pense que pour sortir l’Afrique du "trou", il faudrait d’abord faire en sorte que ces africains veuillent sortir du trou parce qu’autrement, ils se débrouilleraient pour y retourner à noveau !

                      Juste pour dire que si les africains veulent progresser, ils progresseront et personne, je dis bien personne ne pourra les en empêcher, pas même les américains avec leur armes de destructions massives !

                      Mon point de vue à propos du développement de l’Afrique est que il est impossible de libérer un prisonnier qui se sent bien dans sa cellule !!!

                      La France et le Burkina faso, c’est deux mondes différents, très différents !!!
                      Je vous remercie.

    • Le 27 novembre 2022 à 19:20, par Leonardo Chau En réponse à : > Paul Kéré, avocat au Barreau de Nancy

      A high-profile Liberal senator has slammed ’ victory speech
      as ’really rude’ and accused him of making his critics out to be anti-vaxxers after the Victorian Premier
      celebrated his third term by declaring ’vaccines work’.
      Mr 
      Andrews kissed his wife, pumped his fists and trumpeted his controversial Covid
      policies - which included a 263-day of , the world’s longest - as a tough decision that ultimately succeeded and united Victoria. 
      However, his comments were criticised by a furious Jane Hume,
      with the Liberal senator describing his victory speech
      as ’not gracious’. 
      ’I always believe that the electorate gets it right and they made their voice
      very clear tonight,’ she said on Sky News.

      ’However, that was not a gracious speech.
      ’He didn’t mention Matthew Guy and
      it essentially said that the only reason that people disliked him was if they were anti-vaxxers.
      I thought that was really rude and totally disrespectful to his opponents.’
      An ecstatic Mr 
      Andrews, whose party had an easy majority of 54 seats as of 3am Sunday morning, admitted he had slept ’not very
      much’ since the election was called in his favour last night.
      ’My politics has never been about the win, it is always about the work,’ he told ABC Insiders on Sunday.
      ’You’ve got to win to do that, but I grew up
      being taught every day that with opportunity comes
      a profound obligation to do your best, to work hard, to do what matters, and that’s exactly what I’ve delivered over
      these last eight years and I’m humbled and so grateful, so, so grateful that Victorians have re-elected a majority
      Labor government.’
      Mr Andrews dodged questions about Labor’s favourability taking
      a hit in some electorates because of his hard lockdown policies and stay-at-home orders with his party suffering a 9 per cent swing in Melbourne’s north-west suburbs. 
      Victorian Premier Daniel Andrews celebrates during his victory speech at the Labor
      election party surrounded by his wife and children
      Liberal senator Jane Hume has slammed Dan Andrews, describing
      his election victory speech as ’not gracious’ and ’really rude and disrespectful’
      ’They couldn’t work from home, many of them.

      What do you put those swings down to ?’ host David Speers asked.
      ’Well, the point you make, not being able to work from home and things of that nature,
      ’ Mr Andrews responded.
      ’That’s why being in work is so important.

      Our political opponents were going to cancel projects and what happens when you cancel projects, you cancel jobs. 
      daftar togel pakai dana

  • Le 30 mai 2006 à 19:05 En réponse à : > Paul Kéré, avocat au Barreau de Nancy

    Voici encore un défenseur de l’ordre néo-colonial au Burkina. Il aurait été intéressant que Me KERE nous dise clairement ce qu’il y a de positif dans la situation actuelle du Burkina, ce que la France a apporté de positif au Burkina. On pourra ainsi avancer dans le débat.

    Louis BICABA.

    • Le 1er juin 2006 à 12:58 En réponse à : > Paul Kéré, avocat au Barreau de Nancy

      Monsieur BICABA,
      Vous êtes totalement ignorant de l’intérêt de la coopération entre la France, l’Europe et le Burkina.
      A l’instar de nombreux autres pays africains, si les subventions de la Communauté Européenne n’étaient pas versées au Burkina, la situation économique serait encore plus dramatique. Incontestablement, à côté de cette coopération étatique (que vous pourriez qualifier de néo-colonial) vous ne pouvez pas contester l’action des associations caritatives qui n’ont aucune relation avec les "politiques" des deux Etats souverains. Vous pouvez, du reste, vous renseigner au Ministère de la coopération pour en avoir le coeur net sur les chiffres. Venir me considérer comme un "défenseur de l’ordre néo-colonial" est une bêtise insensée à laquelle j’ai déjà apporté des réponses à l’autre internaute anonyme. J’imagine que vous n’avez pas lu ma réponse. Le cas échéant, je vous l’invite à le faire avant d’écrire vos insanités.
      Cependant un point positif à votre actif : votre identité.
      Vous, au moins, avez le courage de vous identifier. Je suis au regret de vous énoncer que votre contribution n’apporte aucun éclairage sur les tenants et les aboutissants de l’amitié entre la France et le Burkina. Il s’agit de l’appréciation des relations d’amitiés entre le peuple français et le peuple burkinabè, peuples frères, liés par une histoire commune que vous le voulez ou non. Je vous salue à l’avance de répondre sur ce thème afin de faire avancer le débat. Me Kéré, Nancy

    • Le 1er juin 2006 à 23:29, par Me Kéré, Avocat à Nancy En réponse à : > Paul Kéré, avocat au Barreau de Nancy

      Louis BICABA, vous vous exprimez déjà en français pour vous faire comprendre par un bissa, pourtant vous n’êtes pas bissa. C’est déjà une contribution linguistique de la France qui nous permet de se comprendre. Tant pis pour nous si nous n’avons pas valorisé le moré ou le dioula. Et vous quelle est votre contribution concrète pour le burkina. N’attendez rien de la France car en France il y a beaucoup de chats à fouetter. Me KERE

  • Le 22 avril 2013 à 15:13, par Alexio En réponse à : Paul Kéré, avocat au Barreau de Nancy

    Un grandf dilemme est que aucun pays africains ne s est developper avec la france comme premier partnaire. Larrogance francaise accompagnee de son complexe de superiorite est un handicap depuis 50ans de cooperation. La misere est restee la misere dans l afrique occidentale francaise. L apolitique de la dependance est la meme depuis 1960. Les conferences, les grandes reunions infinies,la bureaucratie etouffante du pragmatisme. Maintenant ils crtiquent l offensive chinoise du kontinent alors qu ils avaient le monopole. L afrique doit se retourner les pays englophones pour emmergence,car les colonies englaises ont de l avance en matiere technologique du au trafert des technologies du royaume unis et led Etats-unis.

  • Le 14 novembre 2014 à 13:43, par Samba zola En réponse à : Paul Kéré, avocat au Barreau de Nancy

    Bonjour Mr l’ Avocat
    Je suis Mr Samba et je vous écris depuis la suisse. Mon frère a un problème qui nécéssite une défense. Un ami m’ a donné votre nom , mais malheureusement il n’ a pas votre numéro de téléphone. Chez aussi chercher sur internet et je n’ ai pas trouvé votre numéro. SI possible envoyez - le moi sur ma boite e-mail. Comme ça je pourrai fixer un rendez-vous avec vous.
    Merçi pour la réponse

    Samba zola

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