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Burkina/Média : Le directeur des rédactions de L’Observateur Paalga interpellé

Publié le lundi 13 octobre 2025 à 19h30min

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Burkina/Média : Le directeur des rédactions de L’Observateur Paalga interpellé

Le directeur des rédactions du quotidien L’Observateur Paalga, Ousséni Ilboudo, a été interpellé dans la matinée de ce lundi 13 octobre 2025, par des individus se présentant comme des éléments de l’ex-Agence nationale du renseignement (ANR).

Selon le média, M. Ilboudo s’apprêtait à présider la conférence de rédaction quotidienne lorsqu’il a été abordé par ces hommes à l’intérieur même des locaux du journal.

Il aurait immédiatement obtempéré avant d’être conduit à bord d’une fourgonnette pour une destination inconnue.

Depuis cette interpellation, la rédaction du quotidien affirme être sans nouvelle de son directeur. Les raisons de cette interpellation demeurent, pour l’heure, inconnues.

Lefaso.net
Source : Losbpaalga.com

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Vos réactions (20)

par SOME, 13 octobre 15:27

Courage à vous. Ça va aller. Wenna songdo. C’est tout ce qu’on peut dire. L’autre SOME et ses ami pourront faire tous les développements possibles. SOME

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- par SOME, 17 octobre 22:21
  
  Evidemment ce pauvre hère de peu de moralité ne peut s’empecher ! C’est plus fort que lui : c’en est ainsi quand letre s’obstine à nier avoir une conscience qu’il doit suivre. Oui, Courage à toi qui t’obstine a usurper ce pseudo pour diffuser des idees contraire à celles de "l’autre SOME et ses amis". Ça va aller. Wenna songdo. Dieu t’aidera, il ne desespere jamais de l’homme. C’est tout ce que "L’autre SOME et ses ami" peuvent dire et faire comme développements possibles. Entre toi et nous, il y a une difference, une grande difference ! SOME (’l’autre SOME", le vrai)
  
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par Lom-Lom, 13 octobre 16:13

On reviendra à "l’Observatoire Koudgo" (Observateur ancien) un jour ou bien à l’Observatoire Paal- Paalé ( c’est-à-dire Observatoire 2 fois neuf ) ! Le doyen Édouard OUEDRAOGO est toujours vivant et n’a certainement pas oublié les épisodes de 1984 avec l’incendie du Siège de son Journal l’Observateur et j’espère qu’il n’a pas aussi oublié son propre commentaire suite à l’annonce de l’assassinat de Norbert Zongo en décembre 1998. J’espère que ce doyen n’a aucun regret à ce propos parce que rien ne va ressusciter le Journaliste Norbert Zongo. La caractéristique d’un Journal et des journalistes honnêtes, c’est la constance et l’objectivité dans leurs productions et si d’aventure on a des doutes sur une une information non avérée, c’est l’usage du " Conditionnel" qui s’impose ! Restons calmes, si Mr Ilboudo a un Dieu comme tous les autres Burkinabè, il sera défendu et délivré mais s’il a travaillé contre le Burkina ou contre un de ses concitoyens, qu’il soit traité comme tous les justiciables ! Bon vent à lui !

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- par SOME, 17 octobre 22:36
  
  A bas la reaction. Les reactionnaires en auront pour leurs frais SOME
  
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par Conscience africaine, 13 octobre 16:58

Il y a une chose que les burkinabé doivent intérioriser une fois pour toute. Les temps ont changés. Le temps de la réaction c’est fini. C’est la dictature du bon sens, celle du plus grand nombre donc de la vérité. Celui qui ne veut pas comprendre ça doit traverser la frontière à la Blaise Compaoré. Au Burkina toute action publique doit concourir pour la satisfaction et le bien être du plus grand nombre. C’est ça le sens de la RPP prônée par le président Ibrahim Traoré. Tout ce qui tend vers les glorioles personnelles est à proscrire. Inch Allah.

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- par vérité, 14 octobre 07:20
  
  Bien lamentable d entendre vos propos minables. Vous ne pouvez rien reinventer. Faites semblant d ignorer la misere et detresse des gens. La conscience ne va pas oublier cela... on peut convoquer le journaliste et toute personne susceptible d être interpellee.. pas besoin de ces pratiques. Ça n’arrive pas qu aux autres. Un jour tu t en rejouira mieux quand ils vont faire a ton proche
  
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  - par Kouka, 14 octobre 09:19
    
    La roue tourne. Et ceux qui sont devenus des Saints et qui voient les autres en démons là auront certainement leur tour.
    
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  - par freddy le loup, 14 octobre 10:07
    
    Vraiment désolé, tu n’as de vérité que le sobriquet que tu utilises. Nous sommes au courant de la situation du pays, du moment qu’elle sert les intérêts de la quasi totalité des burkinabé, on doit et on s’y conformera. Vous parlez comme si au temps du régime corrompu de BC il n’y avait pas de gens pauvres ou mécontents. Vis ta vie comme tu l’entends mais si tu interfères dans celle des autres tu répondras de tes actes. Il y’a suffisamment d’exemples pour que les journalistes sachent à quoi s’en tenir mais si malgré tout, des individus continuent à faire du zèle au mépris de toute éthique déontologique et des attentes du régime en place et du peuple alors ils seront ciblés, verrouillés et traités efficacement. Tu peux ne pas être content, c’est ton droit mais tu n’est pas obligé de te mettre devant un ordinateur et sur un réseau social pour le dire, si tu le fait tu déclenches les représailles qui s’imposent si cela nuit à la cohésion, à la sécurité et aux intérêts du pays
    
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    - par Passakziri, 14 octobre 14:49
      
      Ca alors ! je pensais qu on ne pouvait pas tomber plus bas que la pretendue conscience africaine, mais je reconnais que vous avez demontré que c’est bien possible de le faire ! Pitié pour le Burkina si la majorité de ses citoyens sont de ce gabarit, chose que je ne me peux pas imaginer. Passakziri
      
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      - par SOME, 17 octobre 22:43
        
        Et pourtant toi passakziri tu viens de demontrer que ce gabarit de citoyens que tu n’imagines pas existe bel et bien. Tu en es l’illustration SOME
        
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- par @lpha2025, 14 octobre 07:58
  
  L’internaute "Conscience Africaine" serait-il dans le secret des Dieux ? Alors que le Président Ibrahim Traoré lui même ne s’est pas encore exprimé sur la question, certains ont les ressources pour nous expliquer la RPP ! La sagesse peut-être voudrait qu’il laisse la primeur au Capitaine TRAORE plutot que de nous servir des théories qui ne seront peut-être pas conformes à la pensée du président !
  
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- par Passakziri, 14 octobre 11:21
  
  Drôles d’affirmations insensées . De quelle dictature du bon sens et de quelle majorité parlez-vous ? Vous l’avez calculé comment ? Non, tant pis pour ceux qui veulent traverser la frontière à la Blaise. Moi je ne suis pas d’accord mais je ne vais pas le faire à la Blaise parce que le Burkina n’est pas la cour privée de quelqu’un, c’est la terre de nos ancêtres. Donc monsieur ou madame l’autoproclamée conscience africaine, prenez vos médicaments pour ne pas nous sortir de telles héresies. Passakziri
  
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- par IMA, 14 octobre 11:32
  
  vous êtes tout simplement une personne haineuse, et vous reflétez les mêmes caractéristiques d’un wayignan. Ce pays appartient à tous, et tous , nous avons le droit de dire ce qu’on pense. Dans tous les cas, les mêmes causes ont toujours produit les mêmes effets. wait and see
  
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par kwiliga, 14 octobre 09:42

Ben, force est de constater que ça continue et, encore une fois, on ignore tout des raisons... ce qui n’empêche pas certains de faire de longs commentaires et de s’en réjouir à demi-mots... Quelqu’un, lecteur attentif de l’Observateur Paalga, a-t-il une idée du motif ?

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- par SOME, 17 octobre 22:31
  
  Ben Kwiliga, je m’attendais a te voir parler d’enlevement. etc. Tiens ! tiens ! et tant mieux ! En attendant tes longs dveloppements SOME
  
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par kabem weder, 14 octobre 15:41

Je me demande pourquoi les gens s’inquiètent. Une interpellation reste une interpellation et non une accusation ou condamnation. Peut être même que son témoignage aidera à résoudre beaucoup d’équations sans forcément l’incriminer dans quoi que ce soit ? Attendons seulement de voir la suite car toutes les stratégies naissent de la discrétion.

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par Sacksida, 14 octobre 18:25

Comment un Regime qui se veut serieux peut il Bafouer tous les textes fondamentaux du Burkina Faso et dans une situation securitaire et Sociales reccurentes graves ? C’est quoi le probleme ? Depuis le debut vous avez dit etre venus pour lutter efficacement contre le Terrorisme et le Grand Banditisme desastreux en prevoyant 6 mois au plus afin de sortir le Burkina Faso du Bourbier Terroristes Apres 3annees meme si l’on considere que vous avez fait des efforts pour des equipements Militaires et securitaire adequats ; et force est de constater que le probleme central pour lequel le Coup d’Etat a ete fait persiste. Et puis vous creer d’autres problemes tels que des Enlevements Recurents de Citoyens Burkinabe, Emprisonnements Arbitaires de Citoyens et sans perspectives de Justice devant des Tribunaux Legaux. Des accusations reiterees de Voisins sans aucune preuve publiee etc. Pendant ce temps, dans certaines localites du Pays des Terroristes continuent de faire leurs sales besognes contre nos FDS et VDP ainsi que des Civils Innocents. Malgre tout vous continuez a multiplier des actions illegales et dignes des Tontons Macoutes ? Ainsi donc vous contribuer a l’ensauvagement du Climat National Social et Securitaire qui ne donnent pas une bonne image du Pays autrefois credible et Reconnue Integre. De surcroit l’Economie Nationale en souffre et vous voulez une economie resiliente ? Que Sublime aide notre Peuple Burkinabe et Africains. Salut

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- par SOME, 17 octobre 22:47
  
  Sacksida tu es en retard. Change ton disque ; il est trop rayé ! SOME
  
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par bougre33, 14 octobre 19:25

DEPUIS QUE JE SUIS NE,JE N’AI JAMAIS VU CA : PRESENTEMENT, LES BURKINABE SONT SUR LES NERFS, PAS DE PARDON, INCAPABLES DE SUPPORTER LA CONTRADICTION D’AUTRUI ! SI NORBERT ZONGO ET TOM SANK SE REVEILLAIENT DANS LEURS TOMBES EN CE MOIS D’OCTOBRE, ILS EN PLEURERAIENT !!!

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par caca, 18 octobre 11:17

Dans un contexte marqué par une lutte intense contre l’insécurité, le Burkina Faso voit émerger une tension croissante entre impératifs militaires et libertés fondamentales. Parmi elles, la liberté de la presse semble particulièrement fragilisée, prise en étau entre le droit à l’information et le devoir de réserve imposé par les autorités. Le discours officiel tend à présenter le « droit du militaire » comme une nécessité en période de guerre, reléguant le droit à l’information au second plan. Cette hiérarchisation des droits, bien que compréhensible dans une logique de défense nationale, soulève des interrogations sur la place accordée à la transparence, au pluralisme et à la critique constructive. Les journalistes, acteurs essentiels du débat public, se retrouvent confrontés à des restrictions croissantes : accès limité aux zones sensibles, pression sur les rédactions, et parfois même des interpellations. Ce climat, s’il se veut protecteur, peut aussi engendrer une forme de repli démocratique, où l’information devient un privilège plutôt qu’un droit. Il ne s’agit pas ici d’opposer frontalement sécurité et liberté, mais de rappeler que l’un ne saurait durablement se construire sans l’autre. L’histoire du Burkina Faso, y compris sous le régime Compaoré, montre que les périodes de tension peuvent coexister avec des espaces de parole, à condition que les institutions jouent leur rôle de médiation. Dans cette période délicate, il est essentiel de préserver des canaux d’expression indépendants, capables de relayer les réalités du terrain sans tomber dans la propagande ni dans la défiance systématique. Car si le droit du militaire s’impose dans l’urgence, le droit à l’information reste un pilier de la résilience collective.

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