Coopération Burkina-FMI : Le représentant résident chez le premier ministre

Le Premier ministre Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo a accordé une audience, ce jeudi 13 mars 2025, au Représentant résident du Fonds monétaire international (FMI), William Gbohoui. Cette rencontre s’inscrit dans le cadre de la prise de fonction de ce dernier et a permis d’aborder les axes majeurs de la coopération entre l’institution financière et le Burkina Faso.

Vos réactions (3)

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• par LE FORGERON, 14 mars 21:24

  Bonjour, Nous pensons que le Mali a refusé les prêts du FMI proposés au Mali avec des conditions inadaptées. Alors que tous les pays de l’AES fassent la même chose que le Mali en rejetant tout prêt de cette institution FMI car elle n’est pas dans nos pays de l’AES pour notre développement mais elle est ici pour nous maintenir dans la même situation de précarité en nous imposant des domaines de financement. Que cette institution même quitte notre territoire car elle ne nous sert pas. Sinon pourquoi depuis plus de 60 ans nous sommes toujours des pays pauvres très endettés alors que nos sous-sols sont très riches ? C’est fini "sauvons l’Afrique’" Au revoir le FMI et que vive les partenariats gagnant-gagnant.

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  • par kwiliga, 15 mars 09:56

    Bonjour LE FORGERON, Ah bon, mais d’où provient cette information ? De mon côté, les infos que je recueille indiquent le contraire : "Je suis ravie d’annoncer que l’équipe du FMI et les autorités maliennes sont parvenues à un accord portant sur un prêt au titre du guichet « chocs exogènes » de la facilité de crédit rapide du FMI. Sous réserve d’approbation par l’équipe dirigeante du FMI et le Conseil d’Administration du FMI, le Mali recevra environ 120 millions de dollars (0,6 % du PIB). Les discussions sur les mesures visant à combler le déficit immédiat et urgent de la balance des paiements du Mali..." Communiqué de presse 24131 du 30 avril 2024. Si vous détenez d’autres sources fiables, merci de les partager. Si la souveraineté est omniprésente dans les discours, dans la réalité, c’est une autre affaire. Mais jusqu’à présent, il semble que le "Peuple" se satisfasse de se repaitre des discours populistes.

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    • par Yol-Yolé, 18 mars 08:24

      Après l’assassinat du Président Thomas SANKARA, les syndicalistes véreux du Burkina ont jubilé et ont célébré leur libération ! Elle fut de très courte durée car le champ était ouvert pour les privatisations sauvages préconisées par.les institutions de Breton Wood avec le FMI en tête ! Les Sociétés d’État furent rapidement privatisées et "vendues " à un sou à des Sociétés Occidentales (SN SOSUCO,...) avec en sus, des licenciements massifs. Les yeux des syndicalistes s’ouvrirent brutalement. Lors d’une visite du Patron du FMI en 1990, Mr Tolé SAGNON, alors responsable de la GCTB , fut invité à la cérémonie. Excédé par tant de misère et de désespoir des nouveaux chômeurs, conscient que le semblant de libération offerte par le Rectificateurs de la Révolution, Mr Blaise COMPAORE était plutôt le plus grand piège, Mr Tolé SAGNON n’a pas hésité à déclarer devant Blaise COMPAORE et son illustre hôte : "FMI = Faim, Misère et Impérialisme". C’est le début de la longue lutte qui allait durer jusqu’à l’insurrection d’octobre 2014. Chaque fois que ces usuriers comme le FMI se présentent dans un pays, tous les corps de métiers ont intérêt à s’intéresser à leurs offres sordides et pousser les.gouvernants à refuser car c’est la condamnation de plusieurs générations de travailleurs qui est scellée à chaque signature de convention ! Qu’on ne s’étonne donc pas de l’offensive brusque de ces institutions de Breton Wood dans les pays de l’AES car ils risquent de perdre leur contrôle. Si nos pays de ce qui les attend, qu’ils aient le courage de refuser ces offres pour le bien des générations présentes et futures !

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