Burkina : Le CSC retire les cinq fréquences de RFI

Le Conseil supérieur de la Communication (CSC) a décidé du retrait des cinq fréquences de Radio France Internationale (RFI), ce vendredi 27 septembre 2024, rapporte l’Agence d’information du Burkina (AIB).

Il s’agit de celles des villes de Ouagadougou, Bobo-Dioulasso, Koudougou, Banfora et Ouahigouya.

Vos réactions (10)

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• par lamoussa, 27 septembre 20:47

  Comme avec notre président il n’y a pas de guimbes d’argent à recevoir, ils sont dans la déstabilisation tout azimut Sage décision et surtout vigilance au maximum !!

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• par Le nouveau sage, 27 septembre 20:57

  BRAVO au CSC ! Les operations se poursuivent ! La patrie ou la mort, nous vaincrons !

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• par Danton, 27 septembre 22:51

  Him !… enfoncer des portes ouvertes.

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• par Ilboudo, 28 septembre 00:08

  Décision salutaire

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• par LePauvre, 28 septembre 00:17

  En règle général c’est toujours dans les pays où les dirigeants sont illégitimes, que l’on fait tout pour museler la presse, l’information ne doit pas circuler car la bonne information est toujours une mauvaise nouvelle pour ces regimes !

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• par Passakziri, 28 septembre 05:04

  Toujours et encore la diversion suivant le même chemin. Pour éviter de rendre compte sur les échecs, il faut trouver quelque chose pour endormir, donc il faut rapidement trouver un complot er suspendre un média. Vous suspendez mais ça ne vous empêche pas d être informé de ce que les suspendus disent, donc visiblement vous vous cachez pour les suivre ? Passakziri

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• par jan jan, 28 septembre 09:22

  C’est bien, mettez maintenant radio Moscou, peut-être vous gagnerez plus à manger à l’Est. Ou avez vous décidé de vivre sans les aides ? Je pense que c’est la meilleure solution, .... Parceque, si c’est pour laisser Pierre et aller chez Paul, c’est vraiment pas la peine tout ce ramdam, eux tous sont blancs de peau et d’esprit, ....

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• par kwiliga, 28 septembre 09:26

  Est-ce que quelqu’un peut expliquer l’utilité du retrait des cinq fréquences de RFI, puisque cette radio était déjà suspendue depuis bientôt deux ans ? Apparemment cela ne change pas grand chose, puisqu’aujourd’hui même, RFI relaie l’appel de 547 radios communautaires, pour la protection du journalisme local au Sahel, en même temps qu’elle dénonce les accusations portées contre Wassim Nasr et revendique 4,4 millions d’abonnés à la chaîne WhatsApp de France 24. Intimider, censurer, bloquer, éliminer l’information locale, sera sans doute plus facile que de nous priver de l’accès aux médias internationaux.

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• par Barkatigui, 28 septembre 11:50

  Aucun régime, je dis bien aucun régime n’a survécu dans le musèlement de la presse. Ces « nouveaux sankaristes » fades ne savent même pas que le grand Sankara est celui là même qui a largement investi dans la liberté de la presse en créant aussi bien un journal d’état (Sidwaya) et en impulsant l’AIB. Il était conscient du pouvoir de la presse et il était entouré de femmes et d’hommes de presse brillants (Bamouni Paulin - paix à son âme, Béatrice Damiba, etc.) Que Dieu sauve le Burkina de l’imposture.

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• par Citoyen ordinaire, 28 septembre 23:19

  Les mêmes refrains "muselement de la presse" ! Quand il s’agit de RFI, un muselement est insuffisant ! Le Burkina a retiré les fréquences à la Radio " Mille Collines" génocidaire et c’est tant mieux ! RFI continue de diffuser en Europe, en Amérique, en Asie et en Afrique ! Le Burkina ne représente rien pour ce média et il n’y a pas de raison de crier ! Ceux qui ne peuvent vivre sans les mensonges de RFI pourraient rejoindre la France démocratique où on a déversé l’équivalent des centaines de milliers de djembé contenant des milliards de dollars pendant les.65 dernières années ! Et ça, RFI ne le dit jamais ! Au-revoir RFI, TV5, FRANCE 24, JEUNE AFRIQUE et autres merdiques médias ! Le monde est si vaste que des Journalistes comme Wassim Nasr ont de la matière pour une spécialisation. Je lui propose le terrain de l’Ukraine et de Gaza pour le traitement de l’information en lieu et place du Burkina et du Sahel en général !

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