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Coopération Togo-Burkina Faso : Le Togo réaffirme son soutien à la Transition

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Publié le mercredi 25 janvier 2023 à 19h00min

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Coopération Togo-Burkina Faso : Le Togo réaffirme son soutien à la Transition

(Ouagadougou, 25 janvier 2023). Le Président de la Transition, Chef de l’Etat, le Capitaine Ibrahim TRAORE a eu un échange, ce mercredi matin, avec le ministre des Affaires étrangères, de l’Intégration africaine et des togolais de l’Extérieur de la République du Togo, Robert DUSSEY.

Le ministre togolais est porteur d’un message du Président Faure GNASSINGBE à son homologue burkinabè le Capitaine Ibrahim TRAORE. « C’est surtout un message d’amitié et de soutien à la fois au peuple et au gouvernement burkinabè », a-t-il indiqué.

Le Burkina Faso et le Togo partagent une même frontière et les liens séculaires entre les deux pays sont très forts, selon le ministre en charge des Affaires étrangères.

« Nous sommes venus rassurer le Président de la Transition, au nom du Président Faure GNASSINBGE, que le Togo reste disposé, aux côtés du Burkina Faso, et à soutenir le peuple burkinabè pendant cette période de Transition », a soutenu le ministre togolais Robert DUSSEY.

Direction de la Communication de la Présidence du Faso

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Vos réactions (6)

par Renault HÉLIE, 25 janvier 2023 23:03

Qu’est-ce qu’on parie qu’ils ont parlé à mots couverts d’une certaine milice douteuse ? Bien entendu, on a donné des assurances que non ,jamais, il n’y aura pas d’autres tropupes étrangères au BF, ce serait impensable, etc., etc. BEN VOYONS ! Après tout, ceux qui connaissent un peu l’histoire de Byzance et de son empire (capitale : Constantinople, l’actuelle Istanbul) se rappelleront de la « garde varègue » de Byzance. Et les Varègues (Варяги-Variaguis), étaient des Vikings ancêtres de devinez qui ? Eh oui, ce sont des ancêtres des Russes et des Ukrainiens. Le métissage de ces Scandinaves avec des chefs slaves a donné l’aristocratie russe (le prince Oleg, par exemple) Sauf que les Varègues, restés fondamentalement des pirates, se sont permis d’assiéger Byzance... Étonnant, non ? Donc, attention, camarade président, l’histoire est parfois farceuse...

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par AHMED, 26 janvier 2023 05:42

HÉLIE vous parlez de quoi ? Parlez nous de l’actualité et du présent. Le ministre Togolais est venu par le président. Ibrahim est là pour le peuple. Il est venu par un coup d’état certes mais il y a des coups d’état qui ont échoué. Ce qui nous intéresse que ce ministre ne soit venu comme un envoyé de Macron et de ALASSANE. Le Burkina va évoluer désormais sans les militaires français au FASO.

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par Anonyme, 26 janvier 2023 10:19

Nous savons que nous partageons les mêmes Frontières, l’heure n’est pas propice, cette coopération sous entend un mécontentement manifeste pour le départ des troupes françaises.Que le Burkina ouvre le bon oeil.

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par HORUDIAOM, 26 janvier 2023 11:25

Avec la récente visite de la Ministre des Affaires Étrangères et de celui du commerce du Burkina en Guinée Conakry pour explorer de nouveaux canaux de ravitaillement, les Togolais ont compris. Les flux commerciaux entre les deux pays(Burkina-Togo) sont tellement importants qu’il faut transcender rapidement les différends. De plus, la lutte contre le terrorisme nécessite un mutualisation des moyens entre les deux pays pour relever le défis sécuritaire. Je félicite donc le président Togolais pour cette clairvoyance.

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par Jeunedame seret, 26 janvier 2023 15:41

HÉÉiiiii....!! attention à Fort Gnessimbé ; « message du Président Faure GNASSINGBE » et soutien sont à prendre du bout des lèvres. IB, attention à l’harmatan ; il y a des tourbillons de toutes couleurs.

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par Renault HÉLIE, 26 janvier 2023 20:45

Quand je rêve d’une Afrique de l’ouest en paix sur la voie du développement et de l’enrichissement, je vois un colossal réseau de train qui relierait Ouaga à Lomé, Cotonou, Accra, Niamey, Bamako, Conakry, Dakar, Lagos, etc. D’interminables trains de marchandises et des trains de passagers rapides sillonneraient ce réseau à 120km/h comme en Europe (quoique en Europe, c’est carrément 160km/h pour les petites lignes et même 320km/h pour les grandes).. Pour le moment, il n’y a guère qu’Abidjan-Ouaga, mais c’est déjà extraordinairement précieux, ne serait-ce que pour l’approvisionnement en carburant, en céréales et la commercialisation du coton et autres produits.

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