Lutte contre le trafic de stupéfiants au Burkina : Une centaine de kilos de cannabis saisie dans le Centre-Est
La police nationale informe le public qu’une importante quantité de cannabis a été saisie dans la zone de Bitou, région du Centre-est. L’ information a été donnée sur sa page Facebook ce jeudi 23 juin 2022.
Selon elle, ce sont trois individus qui s’adonnaient à ce trafic de stupéfiants. Ils étaient basés à Mogande, localité située non loin du Poste de Police Frontière (PPF) de Kanyire-Sangabouli, dans la zone de Bitou, région du Centre-Est.
Mais grâce à la collaboration de la population et surtout à la vigilance des éléments du PPF Sangabouli, les enquêteurs ont réussi à découvrir la cachette du réseau. Ils ont appréhendé deux des trois trafiquants et saisi 95 plaquettes de cannabis entre leurs mains, soit environ 100 kg.
Par ailleurs, elle tient à rappeler à tous la nécessité de redoubler de vigilance face à cette montée en puissance du trafic de stupéfiants dans nos cités qui décime à petit feu la frange jeune. Elle les invite également à toujours poursuivre la dynamique de la dénonciation des cas suspects aux numéros verts suivants : les 17, 16 et 1010.
Lefaso.net
Source : Page Facebook de la Police nationale
Vos commentaires
1. Le 23 juin 2022 à 15:20, par zidbala En réponse à : Lutte contre le trafic de stupéfiants au Burkina : Une quantité importante de cannabis saisie dans le Centre-Est
Félicitation à la police ; contrairement à ceux qui saisissent la marchandise et laisse filer les trafiquants ; ici le boulet est complet et bien fait. on Saura ceux qui sont derrière ce trafique.
2. Le 24 juin 2022 à 13:57, par Floda En réponse à : Lutte contre le trafic de stupéfiants au Burkina : Une centaine de kilos de cannabis saisie dans le Centre-Est
Félicitations aux forces de l’ordre. Une vraie panacée car la drogue circule trop dans nos contrées et qui sait si elle ne finance pas le terrorisme. Les grands barons sont connus mais rien ne se fait car trop de corruption dans ce pays. Même dans nos écoles et universités il faut sévir