Kiemdoro Dô Pascal Sessouma raconte : « Le jour où j’ai rencontré le président Roch Kaboré »
Dans ce témoignage, Kiemdoro Dô Pascal Sessouma, Président de Vision Burkina et candidat malheureux à la présidentielle de 2020 raconte sa rencontre avec le président Roch Kaboré pour lui parler d’une proposition de stratégie de lutte contre le terrorisme qui est restée sans suite.
« Monsieur Pascal, qu’est-ce qui se passe chez vous là ? A ce rythme vous allez tous y passer… »
J’étais à Montréal au Canada en novembre 2019 quand j’ai reçu cet appel d’un ami arabe. C’était juste après l’attaque contre le car des travailleurs de la société minière canadienne Semafo dans la région de l’Est, attaque qui avait fait près de 60 morts, et qui avait créé une véritable onde choc au Canada, qui avait toujours en mémoire les images des attaques de l’hôtel Splendid et du Cappucino où 9 Canadiens avaient perdu la vie. Au cours de cet échange téléphonique, mon interlocuteur qui semblait être au parfum des événements au Sahel et au Burkina Faso m’annonce que nous allons souffrir parce que notre gouvernement ne semble pas maîtriser les 3 dimensions qui forment les fondements du djihad : la dimension militaire, la dimension religieuse et la dimension idéologique.
En octobre 2020, quelques semaines avant les élections auxquelles j’étais candidat, nouvel appel de mon ami arabe de Montréal. Après les salamalecs et les courtoisies d’usage, il me lance :
« Pascal, comme ça tu veux devenir président ? Alors si tu es élu, nous allons t’aider à vaincre le terrorisme. »
« Vous qui ? »
« Non, ce n’est pas une blague. Tu sais qu’avant vous, nous sommes passés par là, et nous les avons vaincus, donc nous connaissons leurs points faibles. »
Devant mon étonnement et mon air dubitatif, il enfonce le clou : « La solution est sous votre nez, mais vous ne pouvez pas la voir. Elle est là sous vos yeux, elle n’est pas ailleurs, elle est chez vous. Mais vous ne pouvez pas la voir si on ne vous aide pas. »
Mon ami est Algérien. C’est lui qui est à l’origine de mon slogan de campagne « la paix et la sécurité en 18 mois, ou je démissionne ».
En mars 2021, quelques mois après les élections, c’est moi qui prends l’initiative de contacter cet ami. Après quelques piques de plaisanteries sur mon échec à la présidentielle, je me lance à l’eau : « C’est vrai que je n’ai pas été élu mais est-ce que vous êtes disposés à nous aider ? Si vous voulez que je devienne président du Burkina Faso un jour, il faudrait d’abord sauver le pays non ? » . Un bref échange s’en suivit, laissant la porte ouverte à une rencontre. Vu l’importance de la question, j’en informe un proche du président Roch qui valide l’initiative, avec la promesse que je pourrais faire le point de ma mission directement au président dès mon retour au pays.
En octobre 2021, après plusieurs reports en raison de covid 19 et des restrictions de voyages des autorités canadiennes, me voilà enfin à Montréal. Mon ami, qui était à Toronto, décide de prendre l’avion pour me rencontrer. Pendant près de 3 heures d’horloge, mon ami me brosse le tableau de la situation, la psychologie des djihadistes, leurs stratégies, les différentes cellules, les katibas, qui agissent indépendamment les unes des autres, et surtout leur objectif final. Ses explications sont ponctuées de versets du coran d’où les djihadistes tirent leur légitimité, notamment la Sourate At-Tawbah et son verset 5, le verset de l’épée.
« Pascal, je peux te dire que si vous appliquez la stratégie que nous allons vous donner, la peur va changer de camp, et même rapidement. Dans tous les cas vous n’avez rien à perdre puisque vous n’aurez rien à payer si ça ne change pas ».
Je lui fais comprendre que le Burkina est pays pauvre et que même en cas de succès il ne faudrait pas qu’il s’attende à recevoir un pont d’or. On a rigolé de ce jeu de mots car si le Burkina produit de l’or, il ne roule pas sur l’or.
Sur place, j’appelle le proche du président que j’avais informé de mon initiative. A l’issue du bref échange téléphonique entre le proche du président et mon ami, celui-ci décide de retourner à Toronto.
Le lendemain, par souci de prudence et de vérification de certains détails, j’entre en contact avec un célèbre islamologue de l’université de Sherbrooke, arabe lui aussi mais du Proche Orient, qui me confirme pratiquement les propos de mon ami de Toronto. Début novembre, je décide de rentrer au pays dans l’espoir de rendre compte rapidement au président comme convenu.
Contrairement à ce qui m’avait promis, le président n’était pas disponible. Mais finalement, le 7 décembre 2021 en soirée, le président me reçoit dans l’un de ses pieds-à -terre à Ouaga 2000.
« Monsieur le président, je vous ai combattu farouchement lors de la campagne, mais ici, il s’agit d’œuvrer à sauver le Burkina, d’où le sens de mon initiative » lui dis-je.
« Non, il n’y a aucun problème à cela, quand on est en campagne c’est comme ça » répond le président.
Affable, très calme, disponible, le président écoute mon rapport. Il me félicite de l’initiative en me demandant de creuser davantage le sujet.
A Montréal, mon ami m’avait suggéré d’effectuer une mission dans 3 pays dès que je serai de retour au Burkina, pour tenter de comprendre les dimensions militaire, religieuse et idéologique du terrorisme pour mieux cerner la stratégie de riposte que lui et son groupe allaient nous livrer. Car selon lui, la problématique du terrorisme au Burkina est comme un puzzle composé de ces 3 composantes qui sont dans 3 pays différents. Ma mission aurait été de rassembler les 3 morceaux du puzzle que lui et son groupe auraient déchiffré pour nous.
« Mais tu penses que moi qui ne suis pas musulman je peux effectuer une telle mission dans des pays musulmans, arabes de surcroit ? » lui demandai-je ?
« Justement parce que tu n’es pas musulman tu pourras entrer déjà dans la dimension religieuse de votre problème. Ta connaissance de l’anglais t’évitera les mauvaises interprétations, et comme tu as commencé à apprendre l’arabe, ça peut t’aider » me répondit-il.
J’étais disposé à effectuer cette mission, à mes frais, tout comme je l’ai fait pour le voyage de Montréal. Sauf qu’il me fallait une autorisation officielle, juste au cas où il m’arriverait quelque chose au cours de cette mission, autorisation qui n’est jamais venue. Et c’est là que je me suis rappelé cette citation de Benjamin Franklin, l’un des pères fondateurs des Etats-Unis : « Il y a bien des manières de ne pas réussir, mais la plus sûre est de ne jamais prendre de risques ».
De par sa profession, Roch est un banquier, or les banquiers n’aiment pas les risques, ils aiment les garanties. Tout le contraire en politique.
Kiemdoro Dô Pascal Sessouma
Président de Vision Burkina
Vos commentaires
1. Le 26 janvier 2022 à 16:08, par ZAJ En réponse à : Kiemdoro Dô Pascal Sessouma raconte : « Le jour où j’ai rencontré le président Roch Kaboré »
excellent conteur !!!
Résumons nous : un arabe algérien vivant à Montréal a la solution contre le terrorisme ! Mais qu’attendent tous les pays frappés par ce fléau de proposer ce prophète au prix Nobel ?
FOUTAISES INTEGRALES !!!!
2. Le 26 janvier 2022 à 16:09, par PIONG YANG En réponse à : Kiemdoro Dô Pascal Sessouma raconte : « Le jour où j’ai rencontré le président Roch Kaboré »
Merci ce témoignage. Ce que je retiens, c’est que Roch est portent bien accessible. Et écoute même ses adversaires politiques. Nous perdons un "bon" chef d’état qui se souciait sérieusement du développement de ce pays. Il a été incompris. Mais l’histoire le réhabilitera très très bientôt.
3. Le 26 janvier 2022 à 16:10, par triandekou En réponse à : Kiemdoro Dô Pascal Sessouma raconte : « Le jour où j’ai rencontré le président Roch Kaboré »
HUMMMMM vraiment les burkinabé. Nous te voyons venir. comme tu as affaire a des militaires, tu veux de l’argent pour aller te promener il me semble ? c’est jeunes militaires sont plus intelligents que toi. Tu n’auras rien a manger. profite de ta retraite.
Bonne continuation
4. Le 26 janvier 2022 à 16:16, par kantigui En réponse à : Kiemdoro Dô Pascal Sessouma raconte : « Le jour où j’ai rencontré le président Roch Kaboré »
voilà de nouveaux charlatans qui veulent séduire les militaires.
Ah ces intellectuels là
5. Le 26 janvier 2022 à 16:58, par caca En réponse à : Kiemdoro Dô Pascal Sessouma raconte : « Le jour où j’ai rencontré le président Roch Kaboré »
Vraiment dommage qu’il n’a pas autorise votre déplacement. Mais gardons l’espoir que vous pourrez apporter votre expérience. Vous êtes courageux et Dieu vous bénira !
6. Le 26 janvier 2022 à 17:22, par Basnam En réponse à : Kiemdoro Dô Pascal Sessouma raconte : « Le jour où j’ai rencontré le président Roch Kaboré »
Honnêtement dit mon souhait le plus ardent est que le MPSR prenne un décret de suspension de tous les partis politiques. Le pays est dans l’urgence et il faut moins de divertissement. Nos discussions devront être des lieux pour réfléchir ensemble comment sortir le pays de l’ornière.
7. Le 26 janvier 2022 à 19:26, par KingBaabu En réponse à : Kiemdoro Dô Pascal Sessouma raconte : « Le jour où j’ai rencontré le président Roch Kaboré »
Kiemdoro Do Pascal Sessouma, ’’what is your point ?"". Votre écrit semble inachevé, et on a du mal à cerner ce que vous voulez vraiment dire à l’audience de ce forum...je retiens que vous avez eu accès à Roch un homme affable et calme qui a écouté vos conseils et s’est montré disposé à les appliquer. Seulement il souhaitait en savoir davantage et vous a exhorté à l’aider dans ce sens. Mais vous, un mois après l’avoir rencontré, vous exigez déjà ’’des autorisations officielles" du gouvernement pour vous mandater ? Vous n’êtes pas crédible. C’est parce que Roch est dans des difficultés aujourd’hui que vous pondez un tel témoignage décousu et anachronique. Ou soyez digne et assumez-vous !
8. Le 26 janvier 2022 à 19:58, par HORUDIAOM En réponse à : Kiemdoro Dô Pascal Sessouma raconte : « Le jour où j’ai rencontré le président Roch Kaboré »
Pascal, ce que vous avez fait relève du patriotisme. Et le président devrait vous y accompagner. C’est bien dommage ! Je suggère que vous prenez contact avec Damiba quand les choses se seraient calmées pour explorer davantage la piste. Il n’y a pas de sacrifice de trop pour sortir un pays du bourbier. Félicitation à vous !
9. Le 26 janvier 2022 à 20:25, par Boukary En réponse à : Kiemdoro Dô Pascal Sessouma raconte : « Le jour où j’ai rencontré le président Roch Kaboré »
Lui au moins il a dépensé son argent pour chercher à comprendre alors que d’autres sont assis a Ouaga et ne font que parler. Combien connaissez vous qui ce sont bougé par leur propre moyen pour chercher à comprendre et apporter une solution à part parlé seulement.
10. Le 26 janvier 2022 à 20:54, par CESSOUMA Issa En réponse à : Kiemdoro Dô Pascal Sessouma raconte : « Le jour où j’ai rencontré le président Roch Kaboré »
Lui au moins a dépensé son propre argent pour chercher à comprendre alors que d’autres sont assis a Ouaga et ne font que parler.
11. Le 26 janvier 2022 à 21:35, par Tierkou En réponse à : Kiemdoro Dô Pascal Sessouma raconte : « Le jour où j’ai rencontré le président Roch Kaboré »
C’est du Qnet vous avez voulu faire. A défaut, ça pourrait sérieusement ressembler à du trading.
12. Le 27 janvier 2022 à 00:14, par Manli En réponse à : Kiemdoro Dô Pascal Sessouma raconte : « Le jour où j’ai rencontré le président Roch Kaboré »
Bravo a vous Mr Sessouma , vous etes un grand homme un patriote, riche d’idees.
Le pays a besoin de bous, necouter pas ces ignorants d’mppistes echoués
13. Le 27 janvier 2022 à 00:20, par Manli En réponse à : Kiemdoro Dô Pascal Sessouma raconte : « Le jour où j’ai rencontré le président Roch Kaboré »
Lors de la campagne electorale quant tu ecoute ce Monsieur, tu sais qu’il peut beaucoup aider ce pays, mais helas le burkinabe a préfférer les 2000f de mpp qui’il est entrain de vomir aujourdhui
14. Le 27 janvier 2022 à 00:23, par Manli En réponse à : Kiemdoro Dô Pascal Sessouma raconte : « Le jour où j’ai rencontré le président Roch Kaboré »
President Rock aussi dèh,
Comment on peut refuser un tel piste .ça pouvait l’aider a eviter ce qui larrive aujourdhui.
15. Le 27 janvier 2022 à 00:36, par Diarra En réponse à : Kiemdoro Dô Pascal Sessouma raconte : « Le jour où j’ai rencontré le président Roch Kaboré »
Dieu vous bénis pour toutes ses démarches, je vous demande de ne pas vous découragé par certaines commentaires de ceux là qui ne réfléchissent pas avant de parler continuer svp. Car nous commençons a vous donner raison que la solution militaire n’es pas la bonne.
Il faut chercher a comprendre et négocier
16. Le 27 janvier 2022 à 00:42, par LI En réponse à : Kiemdoro Dô Pascal Sessouma raconte : « Le jour où j’ai rencontré le président Roch Kaboré »
Je ne comprend pas cette volée de bois vert lancée suite à l’écrit osé de M. Pascal Do Sessouma. Osé dis-je, car il prend de sérieux risques de s’afficher si ouvertement comme un combattant du terrorisme, qui a des contacts à même d’aider à vaincre cet hydre ! Prendre de son argent afin d’effectuer un voyage au Canada pour la recherche de solutions stratégiques pour vaincre le terrorisme est un acte hautement patriotique qui mérite d’être salué à sa juste valeur. Tout comme RMCK l’a écouté, le nouveau pouvoir qui veut changer de paradigme dans son approche sécuritaire gagnerait également à l’écouter le temps venu. Rappelons nous que nous avons traité le chercheur atypique DANGO l’égyptologue, de fou, de DINGO. Mais les américains l’ont pris au sérieux et invité aux USA, pour l’entendre et le comprendre. Soyons ouvert à l’écoute des gens que nous jugeons à priori d’illuminé, d’atypique, alors qu’ils pourraient être la solution à nos problèmes. Le nouveau burkinabè doit être tolérant et ouvert aux autres et non avoir la critique facile, sans rien proposer en retour !!!
Le 27 janvier 2022 à 14:54, par Hess En réponse à : Kiemdoro Dô Pascal Sessouma raconte : « Le jour où j’ai rencontré le président Roch Kaboré »
« Je ne comprend pas cette volée de bois vert lancée suite à l’écrit osé de M. Pascal Do Sessouma. »
Parce que cela ressemble à du marketing personnel ! Sinon si c’est sérieux, un mois après sa rencontre avec le président c’est trop tôt pour faire une sortie et étaler les choses en public. Ce n’est pas sérieux.
Le PF ne va quand même pas sauter sur n’importe quelle piste sans vérification ou sans avoir un maximum d’info... C’est entre autre pour cela que les gens soupçonnent de l’opportunisme.
Do Pascal, le présentateur était un idole. Depuis son lancement en politique... quel gâchis.
17. Le 27 janvier 2022 à 06:08, par DeChicadi En réponse à : Kiemdoro Dô Pascal Sessouma raconte : « Le jour où j’ai rencontré le président Roch Kaboré »
Vraiment la honte necktie pas au Burkina. voila quelqu un qui en 3 heures a pu avoir drs solutions que drd professionnels militaires et strategists ne connaissent pas. Est ce que tu es obligrt de nous raconter ces balivernes ? Yêrê lon ka fissa.
18. Le 27 janvier 2022 à 09:52, par YES WE CAN En réponse à : Kiemdoro Dô Pascal Sessouma raconte : « Le jour où j’ai rencontré le président Roch Kaboré »
Sans donner un chèque en blanc à monsieur SESSOUMA, j’ai la conviction que cette cirse au sahel ne peut se résoudre sans la participation de l’Algérie qui partage une grande frontière avec le Mali.
Monsieur Mélégué TRAORE, un des meilleurs diplomates burkinabè de sa génération, en a aussi fait cas lorsqu’il en avait l’occasion.
19. Le 27 janvier 2022 à 14:41, par PMU Politique En réponse à : Kiemdoro Dô Pascal Sessouma raconte : « Le jour où j’ai rencontré le président Roch Kaboré »
Sessouma, un peu de dignite. Ce que vous faites, la, on appele ca, jouer au PMU’ politique. Rester digne.
20. Le 28 janvier 2022 à 15:40, par BURKINABE En réponse à : Kiemdoro Dô Pascal Sessouma raconte : « Le jour où j’ai rencontré le président Roch Kaboré »
Mais pourquoi en parler aujourd’hui dans la presse ? Vas faire la proposition aux nouvelles autorités en toute discrétion. Elles pourront donner une suite favorable à tes initiatives si tu arrives à les convaincre.
21. Le 28 janvier 2022 à 16:37, par lino En réponse à : Kiemdoro Dô Pascal Sessouma raconte : « Le jour où j’ai rencontré le président Roch Kaboré »
Quand je lis les commentaires, je comprend que l’afrique à du chemin encore ! Des gens trouvent que le récit est ridicule, qu’il ment ou qu’il veut se faire courtiser. Ceux qui sont intelligents à l’intérieur et non à l’extérieur savent bien que c’est une piste sérieuse. il existe plusieurs manières de vaincre un adversaire sans forcement l’attaquer de face ou de front.
Merci a vous pour avoir au moins essayer ! et vous n’êtes pas le seul d’ailleurs. Des gens ont proposer des équipement de pointe, adaptés et ont fait des démonstrations à la hiérarchie militaire en son temps, mais c’est resté sans suite. ils ont juste appréciés et se sont levés partir ! l’activiste younga vous a dit seulement que la poule de yoro n’est pas morte pour rien. Le jour de l’enterrement de ladji yoro, une poule est sortie de nul part et après avoir dandiné est morte les pattes en l’air a côté de la tombe de yoro. Toutes les compromissions sortiront dans cette lutte sortiront au grand jour
Le 8 février 2022 à 07:44, par LE JUSTE En réponse à : Kiemdoro Dô Pascal Sessouma raconte : « Le jour où j’ai rencontré le président Roch Kaboré »
Je vous comprends et je loue l’initiative de Do Pascal Sessouma, mais peut-être si on savait combien de malfrats, de truands ont mangé nos millions dans ça ? Rock n’est pas du genre à rejeter les propositions, mais s’il a subi des escroqueries de ce genre,
Le burkinabè d’aujourd’hui est cupide et sans vergogne.
22. Le 29 janvier 2022 à 06:05, par Yiriba En réponse à : Kiemdoro Dô Pascal Sessouma raconte : « Le jour où j’ai rencontré le président Roch Kaboré »
Des détenteurs crédibles de solutions dans la lutte anti-terroriste qui fuient leurs pays pour s’exiler au Canada. Pourquoi sont-ils en exil avec autant de connaissance et ne pas aider leurs propres pays toujours en prise avec le terrorisme ? Ils proposent trois dimensions de lutte, tout facilement énoncées ici, sans explication de leur developpement et de leur mise en place sur le terrain. Si le Burkina veut une solution magique et de charlatan pour combattre le terrorisme, il ne faut plus chercher longtemps que de saisir ce qui est proposé ici.
23. Le 29 janvier 2022 à 08:50, par Passakziri En réponse à : Kiemdoro Dô Pascal Sessouma raconte : « Le jour où j’ai rencontré le président Roch Kaboré »
Disons que je suis resté sur ma faim , car personne hormis Mr Dô son interlocuteur et le président RMCK ne sauront si ces solutions magiques sont à prendre au sérieux. J’ai quant même perdu deux minutes de ma vie à lire cet article et j’y consacre 30 secondes pour y exprimer ma "déception "
Passakziri
24. Le 29 janvier 2022 à 12:29, par Irlandais En réponse à : Kiemdoro Dô Pascal Sessouma raconte : « Le jour où j’ai rencontré le président Roch Kaboré »
je pense que c’est tout à son honneur de faire ce genre de démarches. Après le problème, c’est qu’il fait en solo. Ces choses doivent etre consultés avec les membres de l’armée et des services de renseignements ; sous reserve que les services de renseignements veulent travailler avec lui.
ce n’est pas la peine de parler en vain, si il y a des resultats mesurables alors ne discutons pas les données .
Trop parler c’est maladie...
25. Le 31 janvier 2022 à 09:27, par justice En réponse à : Kiemdoro Dô Pascal Sessouma raconte : « Le jour où j’ai rencontré le président Roch Kaboré »
Grand frère en bon patriote tu aurais du remettre le contacte de ton ami au Président pour que les structures compétentes s’en occupe.
Le 31 janvier 2022 à 11:42, par Salifou En réponse à : Kiemdoro Dô Pascal Sessouma raconte : « Le jour où j’ai rencontré le président Roch Kaboré »
Toi tu connais Rock ?
Il va prendre ça et dire qu’il est en démocratie et demander une réunion élargie pour statuer. c’est là que ça va fuiter et on sera plus morts.
Des choses pareilles, c’est le président et SESOUMA qui doivent créer une cellule financée par la caisse noire ; cette cellule alors devait s’en occuper avec SESOUMA comme point de repère.
Le 31 janvier 2022 à 11:42, par Salifou En réponse à : Kiemdoro Dô Pascal Sessouma raconte : « Le jour où j’ai rencontré le président Roch Kaboré »
Toi tu connais Rock ?
Il va prendre ça et dire qu’il est en démocratie et demander une réunion élargie pour statuer. c’est là que ça va fuiter et on sera plus morts.
Des choses pareilles, c’est le président et SESOUMA qui doivent créer une cellule financée par la caisse noire ; cette cellule alors devait s’en occuper avec SESOUMA comme point de repère.
26. Le 31 janvier 2022 à 17:04, par justice En réponse à : Kiemdoro Dô Pascal Sessouma raconte : « Le jour où j’ai rencontré le président Roch Kaboré »
Bien reçu Salifou. Dans tout ca là c’est le burkina qui gagne
27. Le 1er février 2022 à 10:21, par Kemi Seba En réponse à : Kiemdoro Dô Pascal Sessouma raconte : « Le jour où j’ai rencontré le président Roch Kaboré »
Terrorisme de facette dont la piece angulaire est le colon dhier et daujourhui.
coupes lui lherbe sous les pieds : sorts du CFA, empeche lui de se fofiler chez toi nettoies ses infiltrations quil a pondu chez toi.
Cest tout ce quil ne faudra pour vivre en paix....................
28. Le 3 février 2022 à 14:26, par abou En réponse à : Kiemdoro Dô Pascal Sessouma raconte : « Le jour où j’ai rencontré le président Roch Kaboré »
c’est vrai ce que tu dis ? c’est de la politique....
29. Le 7 février 2022 à 12:51, par Medher En réponse à : Kiemdoro Dô Pascal Sessouma raconte : « Le jour où j’ai rencontré le président Roch Kaboré »
Tout ce que je retiens de cette interview c’est la belle conclusion que :"le banquier n’aime pas les risques, mais les garanties."
Comment veux tu qu’il te donne un feu vert officiel avec l’argent public à un agent non assermenté civil et politique (intérêts égoïstes) qui après avoir fondé une branche radicale dont on sait toujours les débuts mais à quand la fin ?
Sur ce point le Président n’a pas péché car l’ANR travail déjà sur ces dimensions.
J’ai peur du jour où le Président kabore fera sortir son livre car tous les burkinabè seront déçu de la hiérarchie militaire et les clans politique. Certains pour la course à l’enrichissement illicite avant la retraite, d’autres pour le sabotage du programme de développement.
En politique on prend tous les risques avec les jeunes officiers de l’armée dont le Président en est le chef suprême avec plus de garanties car n’ayant pas les mains sales et prêt à servir la nation que de prendre moins de garanties avec plus de risques avec la vieille classe d’officiers loin de la troupe et absente des camps.
Pensons à panser notre cher pays qui un terrain vierge qui a tout l’avenir devant lui.