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Procès Thomas Sankara et douze autres : Le parquet et la partie civile ont fait une confusion, selon Me Ollo Larousse Hien, avocat de Ninda Pascal Tondé

Publié le lundi 8 novembre 2021 à 18h37min

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Procès Thomas Sankara et douze autres : Le parquet et la partie civile ont fait une confusion, selon Me Ollo Larousse Hien, avocat de Ninda Pascal Tondé

L’avocat de l’accusé Ninda Pascal Tondé, Me Ollo Larousse Hien n’est pas d’accord avec ce que le parquet et les avocats de la partie civile ont développé au cours de l’audition de son client, ce lundi 8 novembre 2021.

Pour lui, son client était d’abord un témoin dans l’affaire. En tant que témoin, il a eu à faire des déclarations et il est tout naturellement allé voir un autre témoin du nom de Abderrahmane Zétiyenga pour lui donner des conseils en tant qu’ami.

"Il est possible que le juge décide de t’entendre encore. S’il le fait, si tu dis que tu étais au Conseil au moment des faits, il est probable qu’on decerne un mandat contre toi. Il faut donc dire que tu n’étais pas au Conseil mais en ville", voilà en substance ce que l’accusé a dit à son interlocuteur.

De l’avis de son avocat, c’est une décision qu’il a prise tout seul. Et tout ce qu’il a eu à dire, il n’y a rien de faux là dedans. "A mon avis, le parquet et la partie civile ont fait une confusion entre l’audition de mon client en tant que témoin et son audition en tant qu’inculpé. Ils devraient l’interroger rien que sur la subornation de témoin", a-t-il fait remarquer.

Un logiciel mis dans la tête de Ninda Pascal Tondé ?

L’avocat de la partie civile, Me Ferdinand Nzepa a indiqué que l’accusé fait tout pour ne pas impliquer le général Diendéré malgré toutes les contradictions dans le dossier. "C’est comme si on avait placé un logiciel dans sa tête", a-t-il imaginé.

Me Nzepa a laissé entendre que le mis en cause a changé de version plusieurs fois. Tout cela pour dire qu’il n’a pas été mandaté par le général Diendéré pour faire ce qu’il a fait. A l’en croire, il veut tout simplement exonérer le général.

Du reste, le procès reprend demain mardi 9 novembre 2021, avec l’audition du général Diendéré. Me Nzepa Ferdinand espère que contrairement au colonel major Jean Pierre Palm, il s’assumera pour l’histoire de ce pays.

"J’attends que le général Diendéré prenne ses responsabilités. Qu’il nous dise ce qui s’est passé le 15 octobre 1987 au Conseil", a-t-il espéré.

Obissa juste MIEN
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Vos commentaires

  • Le 8 novembre 2021 à 19:33, par Ka En réponse à : Procès Thomas Sankara et douze autres : Le parquet et la partie civile ont fait une confusion, selon Me Ollo Larousse Hien, avocat de Ninda Pascal Tondé

    ’’’’’’Il a à la fin de son audition, demandé la clémence du tribunal.’’’’’’’’ Monsieur Tondé Ninda Pascal dit Manga Naaba "Nul n’a le droit de se faire justice" DANS UN ETAT DE DROIT comme le Burkina. Tu vas régulièrement voir un criminel en puissance a la MACA, qui durant 27 ans avec son mentor de complice, les deux criaient dans tous les médiats du monde entier que c’était Thomas Sankara ou eux, reconnaissant qu’ils ont tué sans regret l’espoir de tout un continent. Aujourd’hui, vous Mr. Tondé Ninda Pascal dit Manga Naaba et tous les autres veulent sauver la peau de ces criminels qui vous a envoyé canardé vos frères d’armes.

    Pour que le tribunal militaire soit indulgent, il fallait commencer à prier avant le 15 Octobre 1987 pour que Blaise Compaoré, Gilbert Diendéré, Y. Kafando n’embrassent pas leur carrière de criminel en puissance. Maintenant qu’ils sont dedans jusqu’au cou, qu’ils assument leurs actes posés.

    Et ce que les familles des victimes vous demandent, c’est de dire la vérité, afin que le droit soit dit pour Thomas Sankara et ses compagnons. En jouant avec les mensonges les juges militaires sauront comment faire pour que les peines que vous encourez ne soient pas ridiculement légères en comparaison de la transgression des lois et du désastre commis par les mis en cause.

    Ce que vous faites comme mensonges en ce moment devant le tribunal militaire est plus criminel et on doit vous traiter comme tels. Le procureur militaire doit être prompt à condamner de manière franche avec de lourdes peines, car les mensonges sont justifiés. La justice Burkinabé pour sa crédibilité dans cette affaire ne devrait pratiquer aucun traitement de faveur à un des militaires qui a participé à cette boucherie gratuite.

  • Le 9 novembre 2021 à 01:59, par Alexio En réponse à : Procès Thomas Sankara et douze autres : Le parquet et la partie civile ont fait une confusion, selon Me Ollo Larousse Hien, avocat de Ninda Pascal Tondé

    Le PCRV avec ses coquins de la branche de notre armee qui supportait Blaise Compaore m etait rien d autres que des reactionnaires revisionistes bourgeois.

    La preuve 27ans de pouvoir anime d une VOYOUCRATIE d etat.

    Ds crimes de sangs par l escadron de la mort le RSP. Le traffic d influence et les intimidations.
    Le monopole des richesses du pays par cette mafia installee dans l armee que dans la vie civile des acteurs du regime sanguinaire.

    La paraonoa avait pris le decu de leur mental psychique qui leur conduisait a tuer tous goyers de resistance de diversgences politiques. Thomas Sankara a ete tue par la jalousie de son charisme de leadeur referenciel avec une moralite standard sans egal aupres de ses bourreaux et leurs commanditaires de la Francafrique.

    Ennemie des peuples d Afrique.

    Depuis notre enfance, j ai remarquer que J Pierre Palm avait un complexe cacher et sournoie. Cela venait en surface souvent apres echec soit apres un match de foot. ou bien un echec aupres d une nanna.

    Un mauvais perdant qui n aime jamais perdre. Il aimait toujours s imposer avec son temperamment qu il controllait passablement. Il aimait etre le centre de ce monde.

    Il a choisit la gendarmerie peut- etre parce que son pere etait un gendarme a BOBO-Dioulasso.

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