A la Une de L’Evénement du 10 septembre 2020
Dans ce numéro, le jounal consacre sa Une principale à la fronde militaire au 23e Régiment d’infanterie commando de Dédougou. En effet, au lendemain de l’embuscade, le 19 septembre 2019, contre des militaires du régiment sur l’axe Toéni-Néhouro qui a fait 5 morts, le chef de corps, le colonel Souleymane Sanou est accusé de complicité avec les terroristes et a été débarqué de son poste. Selon L’Evénement, un an après, des faits de cavale contre le chef de corps se précisent.
Le journal revient également sur le cas du nitrate d’ammonium saisi par ordonnance de justice et stocké à la ZAD, à Ouagadougou. L’affaire avait fait grand bruit suite à l’explosion à Beyrouth.
Sachant que c’est le même produit qui a ravagé la capitale libanaise le 4 août 2020. L’Evénement révèle que la Cour d’appel de Ouagadougou vient d’annuler l’ordonnance de saisie. Cependant, sa décision soulève des suspicions indique le canard.
Enfin, le journal fait cas de la condamnation, par la Justice, de l’Université Aube Nouvelle (ex ISIG). L’Université est reconnue coupable de licenciement abusif d’un enseignant. Elle est sommée de payer à ce dernier plus de trois millions de FCFA.
Vos commentaires
1. Le 21 juin 2021 à 06:31, par David En réponse à : A la Une de L’Evénement du 10 septembre 2020
Il est très bien que le journal s interesse au cas des licenciements abusif. D ailleurs en ce qui concerne l université Aube Nouvelle qui a choisit de faire appel, ce Mardi 15 Juin 2021, la cour d appel a confirmé le licenciement abusif et a alourdi le montant des dommages et interets de 1 000 000. C est bien fait